Prénom et Nom : Ayano Isamu
Âge :19
Village / organisation désirée : Suna

Description physique :*percute un gamin* Dégage saleté de bambin ! ! Oui,oui allez va jouer plus loin ...

Le physique ! relatif à l'aspect extérieur du corps humain, à la physionomie de ce dernier. Dans notre monde il fait la loi en dépit les dires des personnes si fiant. "L'habit de ne fait pas le moine", ce dicton est bien la preuve que la plupart de la populasse ne cherche en aucun cas les vertues d'une personne avant de la jugée. Une personne au physique ingrat n'acquiera point aussi rapidement qu'un être qualifiait de beau la confiance d'autrui. a beauté elle même abstraite arme de doute l'individu sur son apparence. Ayano ? Ha oui Ayano. En ce qui la concerne je pense que l'habit ne fait pas le moine résume bien. Hum... Oui, Ayano Isamu est une jeune demoiselle d'une vingtaine d'année environ. D'une stature toute en finesse, son corp est très harmonieux, rien n'est disproportioné au plus grand damne de la gente masculine. Sa taille s'élève aux alentour du mètre soixante dix voir même quelques centimètres de plus ce qui fait de cette demoiselle une femme élancée et sa fine taille est probablement sans nul doute son faible poid, car en effet ne dépassant pas les cinquante cinq kilogrammes la demoiselle possède un IMC plus que raisonable. Vous l'aurez compris cette silhouette que l'on pourrait avoir peur d'abîmer comparable à de la porcelaine n'ets en faite qu'un masque. Dissimulant des muscles plus que bien dévellopé c'est une grossière erreur de prendre à la légère cette jeune femme. Bien qu'elle possède des membres fins et allongés, ils n'en restent pas moins bien fourni en masse musculaire. Ce qui fait le poid de cette jeune demoiselle est bien entendu sa masse osceuse mais surtout sa masse musculaire. Pas un poil de graisse pour cette fameuse Ayano ! Ses bras tout autant que ses cuisses sont destinés au combat ,loin de la couture et autre absurdité destiné au publique féminin. Des cuisses certes musclées mais aps pour autant massive et imposante ce qui étonne énormement mes individu de sexe féminin. Des avant bras bien déssinés tout autant que ses biceps tout aussi ferme que ses cuisses ou encore ses mollets bien taillés. Son fessier légèrement rebondis, on devine un postérieur tendre mais pas flasque pour autant et pourquoi pas agréable au touchet. Lorque l'on remonte nous atteignons ses hanche, sa taille. Fine, bien dessiné, la forme de sablier si caractéristique de la féminité est porté dans toute sa splendeur par la demoiselle. Un buste tout aussi fin est bien déssiné donnant l'envie de laisser tomber ses mains au grès de ses formes si plaisante à l'oeil. Des hanches accompagnées d'un petit ventre parfaitement plat et ferme, ici apparait les traces d'un entrainement très "hard" passé. Plus haut, la poitrine si désiré par la gente masculine. Proportionelle au restant de son corp, la poitrine de Ayano n'est excessivement ronde. Ni trop peitte, ni trop généreuse pous sa silhouette fine, elle garde des formes arrondis typiquement féminine. Ses épaules sont la prochaine étape, bien taillé et peut-être légèrement carrées, l'une de ses épaules garde une trace d'un combat passé sous forme d'une grossière cicatrice qui vient interrompre la douce étendue d'une peau de marbre. Nous remontons jusqu'a son cou, lui aussi délicat et étroit parsemé avec pacimonie de quelques grains de beauté. Si vous avez l'occasion de pouvoir observer la plante des pieds de la demoiselle vous veriez de nombreuses marque de brûlure et cicatrice vestige d'un entrainement acharné. Qaund à ses mains elles parraissent douces et sensuelle, un homme pourrait avec aisance les imaginés se ballader au grès de son propre corp mais si vous saviez le nombre de crime et funeste action auxquelles ont aidés. Un détail pas des moindres cependant, vous pourrez remarquer sur l'un des avants bras de cette jeune femme une étrange suite d'inscription sous forme d'une brûlure ancrée en sa chaire. Et bien cela est assurément ce qui pourrait vous alertez si vous deviez tomber sur cette femme. Cette suite d'inscription est tous simplement ce qui prouve l'appartenance de cette femme au clan Isamu est surtout clan Aruka l'un des plus célèbres clans de Suna. Enfin bref. Une fois le cou passé, l'on voit sa machoire allongée et bien formée, gracieuse lui octroyant quelque charme enfantin. Des lèvres légèrement pulpeuse refletant quelque reflet du soleil couleur pêche les soirs d'été, bien dessinées avec la lèvre inférieur velouteuse et la supérieur fine. Souvent en forme de faux sourire autant que de temps à autre grimaçant sa bouche porte à l'envie. Un nez délicat qui de profil parait légrement pointu venant briser les formes jusque là arrondis de la femme, apportant comme une pointe de femme dans ce corp qui parfois aparrait presque trop doux pour être celui d'une adulte. Un regard d'un bleu céruléen qui quand il vous fixe est capable d'adopter n'importe quel aspect, tant tôt mou, tant tôt profond... Encadré de longs cils allongés lui donnant une impression de profondeur. Elle possède de long cheveux brun qui lui retombe sur une partie du visage sous forme d'une longue mèche et qu'elle attache avec de longue tresse dan sle dos. Formant un contraste parfait avec cette peau de marbre et ce regard azurée. Grossièrement c'est une belle femme qui cache les plus sombres intentions. Vestimentairement parlant Ayano priviligie l'aisance de mouvement à la mode. En général elle porte toujours une longue écharpe aux teintes orangées autour de son cou en toute saison, souvent son haut ne couvre pas la moitié de son ventre laissant apparaitre son nombril. Privilégiant les teintes sombres pour ses hauts, elle fait un sorte de contraste de bon gout entre son écharpe et ses hauts. Le long de ses avant bras elle mets en général une sorte de gant montant mais sans tissu sur les mains. Ces derniers on pour but de dissimuler sa marque de fabrique, cetet fameuse brûlure car dans la position où elle est, il serait mal venut qu'en voyant son avant bras on sonne l'alerte. L'un vert vert l'autre bleu recouvrant jusqu'au haut de son bras. En bas c'est généralement une sorte de mini short de jupe dans les tons bleus afin d'avoir une aisance de mouvement et d'esquive pour la demoiselle. Elle porte autour de la taille une ceinture marron à laquelle elle accroche une petite sacoche dans laquelle repose tous les outils d'un aprfait ninja. Il n'est pas rare de la voire jouer avec deux pièce de monnaie qui sont l'une des seules choses qui lui reste de sa défunte mère. Ces pièces ont une valeure sentimentale extrêmement forte et si il lui venait de l'égarer ne vous trouvez pas dans les parages.

Description morale : Hein ?! En quoi ça te regarde microbe !? Gné, pour ton affectation à une équipe ? Mais en quoi le fait que j'te fasse un portrait détaillé de ma personnalité va t'aider ?.... Je suis pas convaincue mais si ça peut me permettre que tu me foute la paix. Bon alors ... pff par où commencer. *s'éclairçit la voix* Je suis généralement ce que l'on pourrait appeller une personne secrète, oui je n'affectionne point la manie d'étaler comme on présenterait au grand publique des fruits ma vie privée. Ce que je suis ne regarde que moi et mes proches et encore ... Je dois bien admettre à contre coeur que je ne suis pas du genre à badiner sur mes habitudes, sur mes goûts ou bien même mes répugnances. Certains m'inculperont d'une trop grande timidité ou prendrons ce comportement cachotier comme étant une retenue zélée. Chacun voit midi à sa porte après tous pourquoi briser leurs savantes déductions en évoquant une fruste placidité. *baille à s'en décrocher la machoire*Humm, je ne pense pas faire parti de ce que l'on peut nommer : rebelle. ou belliqueux Non j'irais même jusqu'à suggérer une éventuelle habitude de répondre positivement à toute requête, question. Cela dit je vous annonce tout de suite que ce n'est pas parceque je vous ai dit "oui" que je vous est ouï. Comment dire cela, je dirais que répondre de façon positive à quelqu'un et une manière comme une autre de s'en débarasser et de ne plus l'entendre chouiner à mes cotés pendant quelques instants. Par contre je dois bien avouer que ce comportement tellement comparable à :"cause toujours tu m'interresses "m'a souvent attirrer de nombreux problèmes. Ba oui l'on récolte ce que l'on sème, cependant je ne nie pas ma faute. Du même que toute faute dût à mon comportement ne sera jamais nier à outrance. J'assume toute responsabilité. Oui car je suis une fervante adepte du fameux dicton énoncant le fait évident que nier n'est util qu'au sot car toute vérité se sait un jour. En dépit de cela je n'en suis pas moins en total accord avec le fait que toutes les vérités ne sont pas bonne à dire maispas vu pas prit. SI bien que je me dénnonce que lorsque l'on me prends la main dans le sac. J'ai prit l'habitude d'avoir une franchise en or, parfois même l'on me le repproche. Ba c'est vrai... *marque une pause en soupirant* Quand quelqu'un à un déficit mental évident autant lui dire en face que derrière au moin il en serat conscient. Souvent l'on m'a dit que la franchise n'était pas le repas du sage ... et alors ? Je ne prétends pas l'être. Autrement dit je ne ments que rarement, je suis comme tout le monde le mensonge ne m'a jamais été étranger. A part ça, je suis capable d'écoute ! J'adore les potins et autres racontars ! Méfiance quand vous me confiez un secret car je suis incapable de ne pas le répéter. C'est sûrement par peur qu'autrui fasse de même que jamais je ne dévoile ma vie. J'ai le sens de l'honneur et je sais être reconnaissante quand il faut même si l'occasion de le montrer est rare. Bon je suis peu enthousiaste pour ce qui demande une quelconque activité de mes muscles inutile de le cacher plus longtemps je suis une flemmarde. Cette grande flemmardise quotidienne me joue souvent des mauvais tour. Oui je suis rarement à l'heure, voir même jamais. Bon vous l'aurez compris je ne suis pas ponctuel et peu énergique. C'est vrai je suis surement la personne la plus paresseuse de Suna . Je ne peux nier le fait évident que je ferai n'importe quoi pour avoir le moins de tâche possible à faire , je suis une véritable tire au flanc ce qui me vaut souvent un petit détour par la case réprimende. Je vous rassures de suite c'est une question d'habitude. Ne me confiez pas trop de chose à faire ce n'est qu'un conseil bien sur car en plus d'une flegme hors norme je me lasse rapidement de tous ce qui demande de l'effort. Je n'aime pas m'agiter dans tous les sens chacun son truc. Je ne fait dans le l'éloge car bien que je ne sois pas un modèle à suivre et possède conscience de mes défauts et bien j'ai aussi conscience de ceux des autres et je dois bien avouer que je n'hésite pas à leurs dire si l'occasion ce présente. C'est peut-être pour cette raison que souvent on me repproche une once d'insolence de temps à autre. En ce qui concerne mes finances, je suis économe à l'estrême...soit une bonne radine ! Un sous est un sous et mon sous est mon sous. L'autre peut bien être dans le besoin le plus complet, être nu affamé et assoifé en pleine forêt mon sous est mon sous ! Non ce n'est pas de la cruauté u_u. Je ne peux dissimuler cette radinerie cela dit je sais partager quand il ne s'agit aps d'argent, je partage oui ! mais avec modération tout de même et ce dans des situations extrêmes. Je n'ai pas d'élan de timidité, mais disons des élans de flegme qui me pousse à parraître timide mais à le parraitre seulement. Le fait que j'assume tous ce que je fait m'écarte de toute possibilité de ressentir une éventuelle honte et il donc d'une pénurie grandissante de me voir dans des situations qui pourraient me m'être mal à l'aise. Autant vous le dire de suite je me sens à l'aise partout, jamais génée ... A cela s'ajoute le fait que je ne ressent pas particulièrement le besoin d'avoir un confort matériel autour de moi et pour ainsi dire cela accroit ce fait. Je ne suis pas exigente ni envers moi et mon entrainement ni avec autrui car après tous je n'ai pas l'orgueil d'exiger plus que de moi même, cela évoquer je n'en suis pas plus modeste. Si jamais il m'arrivais de sauver un homme de la noyade est bien vous en mangerez pendant au moins une journée. Les gens et quelques senseis que j'eu au cours de ces dernières années m'on souvent réprimendée pour mon auto-satisfaction injustifiée, oui j'ai la dommageable tendance à être fière de moi pour des choses d'une banalités effarante et c'est ainsi que je ne ressent jamais le besoin de faire mieux. Bon malgré ça et cette flemmardise maladive je n'ai aucune difficulté en tant que ninja. J'ai des capacités ... je ne sais même pas comment je les acquis. Un jour on m'a dit que j'avais du talent à dévelloper ! *rit* Je n'ai jamais voulut ou même prétendut vouloirs avoir ses capacités mais bon je fait avec. Bien que je soit flemmarde et nonchalente à souhait j'ai quelques bonnes maîtrise de l'art de la déduction et de la stratégie. Pour le coup j'ai acquis ces dons intellectuels grâce aux nombreux réçit de mission de mon père et de l'expérience de ma mère. Ce sont peut-être les seuls capacités réel que j'ai accrut par une possible et rare curiosité. Nonchalante, flemmarde, fuiyant le plus possible de tâche, oui oui mais bon je sais m'interresser à un sujet. Rare sont ses sujets, ils s'élèvent au nombre de deux qui sont pour moi de réel passion. A savoir la stratégie sous toute ses formes si bien dans un jeu, qu'au combat ou retranscrite à travers les livres et le domaine beaucoup plus abstrait de la vie. *Toussote* Oui,oui j'ai une véritable facsination, un attrait grandissant pour la vie. J'entends par la ce qui touche l'origine humaine. C'est une façon pour moi de confronter ma nature réaliste, terre à terre avec les coutumes humaines et leurs croyances. Peu de gens trouvent ces deux sujets passionnant et préfère le domaine de la musique par exemple et c'est ainsi qu'on m'inculpe et m'accuse de vouloir faire la génie zélée et autre catouilleries ineptiques inutiles. Heureusement pour moi, j'ai le j'en foustisme d emon coté qui me permet de passer au dessus de ses remarques comme toutes les autres remarques même si elles sont positives. Bon souvent on me repproche cette attitude ne me disant que je n'écoute rien, que je ne prends pas en compte les remarques et bla bla bla . J'ai tendance à avoir un bon sens de l'observation et remarque aisément les points faibles et atouts d'un adversaire c'est ce qui fait ma force ma rapide capacité d'analyse à part ça ... *soupire puis reprends* Je suis totalement insensible aux plaisirs de la table, du pain frait ou bien raçit n'influencera en rien mon humeur voir même apétît, je ne suis pas gourmande et totalement indifférente aux patisseries, sucreries et autres cochoneries qui ne font qu'ajouter une bonne couche épaisse de gras aux gens en abusant. Bon étant une personne modéré je ne fait pas dans l'excés, c'est àdire pas d'excés d'enthousiasme, pas d'excés de colère ... En parlant de colère c'est une chose que je ne connais pas . Je ne m'énerve jamais je n'en vois ni l'utilité, ni comment on fait. En bref je suis tous le temps très calme voir même amorphe. J'ai beau être d'une flemmardise incomparable, d'un j'en foutisme à son apogée et d'une nonchalance qui n'a plus à faire ses preuves je reste tous de même une personne souriante. Pas de joie de vivre particulière juste un sourire quand j'ai bien dormis et comme cela est souvent le cas ... Pour me mettre d'humeur déclinante il m'en faut beaucoup, ce n'est pas une dispuste, une contrariété qui va changé une éventuel bonne humeur. De toute façon étant plus grincheuse qu'autre chose cela arrange bien des choses. Oui je suis peut-être souriante mais pas forcément d'humeur notable. J'ai le sens de la justice mais je n'irais pas défendre une personne victimisée de moi même, si elle se débat, hurle, pleurs, crie et supplie l'agresseur là effectivement je peux tenter une intervention. Je ne suis pas froussarde et peut-être même témérraire. Non pas que j'ai du mal à évaluer les risques mais disons que la peur n'empêche rien donc autant y aller franchement. *laisse s'installer un long et pesant silence* .... Je suis en accord total avec la faim justifie les moyens. Eumm ... En gros je pense et suppose que toute action faite si elle part d'une bonne intention n'est pas mauvaise même si elle le parrait. Je pense être quelqu'un de réfléchit car avant toute action ainsi que décision j'analyse la situation afin de choisir efficacement et rapidement la meilleure des option se présentant à moi, avant de parler je tourne sept fois ma langue dans ma bouche. J'aime à être ouverte d'esprit et dialogue sur tout sujet sur lesquels j'ai toujours un avis. Je n'apprécie pas forcément les originaux, toutes personnes voulant se rendre différentes... Voilà mon portrait maintenant va joué ailleurs sale gosse !

Son histoire : EN COURS *se lève pour aller profiter de son lit* ..* se retourne* Quoi ?! Quoi mon histoire ? Qu-que je te la raconte ? NANMEHO ! ça va bien oui ? Pfff sale mome. Ah non !! Pas de flatterie j'y suis insensible tu sais bien ! Oui bon bon d'accord pfff bon ... *se laisse tomber sur la chaise* Bon je vais te diviser mon histoire en plusieurs parties pour que tu comprennes et que je n'ai pas répéter surtout*baille*

I) Une rencontre comme une autre.

Alors ma naissance commence par la rencontre et l'union de deux êtres qui me sont chères comme toute naissances lorsque l'on y repense. C'est une longue histoire que je vais entreprendre alors écoute bien sale morveux. Bon ici bas sur cette terre, il y a multitude et abondance de petits recoins et territoires. Sur l'un d'entre eux nommé Sunna, heureux élu du destin il y avait une population qui ne cessait de grandire. Suna était et est encore l'un des cinq grands villages ninja comme tu le sais. Bon cela débute il y a bien longtemps quand Kenji Isamu avait environ six ans et quand à la même époque Matsuri Aruka en avait huit. A l'époque le clan Aruka était à son apogée, réputé tous le monde le nommait le "Fameux" clan Aruka. *baille* Ce clan avait joué un non négligeable rôle à l'époque des grandes guerres ninja. L'illustre Shintaro Aruka, mon arrière grand-père, avait sauver Suna à multiple reprises et se fit connaître par de nombreux dit "exploits". On lui vantait ses capacités en ninjutsu, son habillité au taijutsu, sa maîtrise du genjutsu et cette FAN-TAS-TI-QUE invocation qui depuis son utlisation et son succès fleurissant lors d'un combat décisif était comparable à la marque de fabrique des membres de la famille. Cette famille qui était partit de rien pour arriver à tout s'était fait un nom parmis les plus grandes. C'est vrai que c'est pas mal joué comme même. Bref, tous cela pour dire que contrairement à ma branche maternelle ma branche paternelle était dans le complet anonyma. C'est vrai rien ne destinait mon père Kenji Isamu à être unis par l'amour à ma mère Matsuri Aruka et pourtant ... Enfin bon ma mère avait deux ans de plus de mon père ce qui creusait encore le fossé de leurs différences, l'un réputé, bon parti, bon élève, l'incarnation de la perfection... l'autre inconnu, chicaneur, peu appliqué. Les parfaits opposés. Ils grandirent en se croisant mais sans ce connaitre plus qu'à la normale. Ma mère réussit avec talent son passage en tant que genin, quand ce fut l'âge à mon père de le passer ... il le loupa une fois. *toussotement* Mais l'eut finallement. Quand mon père fut enfin genin ma mère, elle fut chuunin. Ce fut ainsi juqu'a ce qu'à l'obtention du grade Juunin de mon père. Ce jour là il suprit la foule qui jusque là l'avait rabaissé au simple rang de touriste, de raté. Il ne l'a jamais évoqué en publique mais selon ces dires cette période l'aurait énormément fait complexé sur ces capacités ainsi que ses origines. Quand à ma mère cette période avait été pour elle tous sauf exceptionnelle. Ma mère d'origine calme et ayant un talent incomparable n'avait eu aucun problème avec autrui. Jusqu'à la j'admet qu'il n'y as rien de particulier mais tu as insister maintenant tu assumes ! *se redresse*Bon peu de temps après l'affectation de mon père au grade de Juunin il fut envoyé presque immédiatement en mission. Son équipe devait aider une autre déjà sur le terrain. Cette autre formation était celle de Matsuri Aruka. Bon c'est ici qu'ils firent leurs première rencontre comme on me l'a tant de fois raconter. *soupire*Comme tu t'en doutes à la suite de cette mission, ils entretenèrent une relation qui devenait de plus en plus gênante pour les Aruka. Comment un membre de ce clan d'élite pouvait fréquenter une famille de bas quartier ? De nombreuses fois on fit comprendre à la jeune Matsuri que cette relation gênait et qu'elle n'était pas la bienvenue au sein même de sa famille. Matsuri avait déclaré à son père que c'était honteux de faire pareil simagrès pour si peu , quand à lui il lui avait répondut qu'il ne méritait pas une femme comme sa fille était. Enfin rien de bien interressant jusque là. Durant cette conversation il fut évoqué le clan Hateru de Konoha ce si grand clan qui gardait son pouvoir de façon si "étrange"mais si efficacement, il fut évoqué aussi une "façon radicale d'arrêter ces conneries" et aussi l'ascencion d'un clan qui ne pouvait se permettre d'écart. La jeune demoiselle d'une vingtaines d'années ne prit pas ces menaces et réprimandes qu'elle jugée en tant que simplettes gamineries au sérieux. Elle aurait peut-être dut la belle enfant, la douce fillette rêvant d'un monde meilleur idéaliste à souhait, enfant modèle naïve aveuglé par des vestiges d'une enfance trop rose ? Ba oui dans le cas de ma mère c'est vrai. En total opposition avec les intentions de ma mère, mon grand-père lui était très sérieux dans ses propos. Si sérieux qu'il applica ses menaces à la lettre et sans écart. On peut le juger bien cruel et sans coeur mais au moin c'est un homme de parole. Comme il l'avait dit :" Si tu ne le raye pas de tes fréquentations c'est nous qui le feront". Quelques jours après les querelles avaient céssés et le jeune Kenji fut envoyé en mission de reconnaissance à la frontière de Kumo. L'homme qui avait proféré ses menaces se déplaça lui même sur le lieu le où jeune homme devait se rendre pour cette mission. Il s'en suivit une longue abscence, Kumo n'était pas la porte d'à coté et ne l'est toujours pas. Accompagné du frère Raito de Matsuri ils allèrent sur les lieux en prétextant un voyage à Konoha. Deux contre un peu loyal n'est-ce pas ? Bon mon père ce fit battre comme un débutant, un bleu. J'avoue que contre deux membres du clan Aruka il n'avait aucune chance la pauvre. Il n'en revint pas. Il fut trouver aux allentours de Kumo par des Juunins en patrouille. Suite à cette abscence Matsuri s'imaginait le pire tant dis que son père jubilait d'une telle réussite. Quand à Kenji il fut soigné et suivit de la réeducation suite à de nombreux os brisés. De long mois passèrent alors que tous le monde l'avait enterré et pour certain oublié. On dit que c'était un regrettable accident et qu'il était mort en mission quoi de plus beau pour un Juunin. Il crée la surprise quand le défunt Kenji Isamu revint de sa "mort". Pour la plus grande joie de sa famille et de cette fameuse demoiselle, en contre parti il s'offrait tous seul la haine d'un clan qu'il fallait mieux avoir dans sa poche. Il fut suspendu quelques temps de mission pour le plus grand soulagement de sa bein aimée.

II) La nuit est chaude, elle est sauvage.

Bon ... Je saute le côté gnangan de l'histoire. Arrête de protester ! *se mordille la lèvre inférieur en retenant sa main de s'écraser sur la joue du gosse* Pfff inutile gamin. Bon c'est au cours d'une ... j'ai honte de le dire mais c'est au cours d'une soirée sakke que pour moi tous à commencer. Oui bon fait pas cette tête, tu assumes ! Au retour d'une mission qui avait miraculeusement bien tournée pour les ninjas y participant, l'un d'entre eux avait proposé une soirée pour fêter leurs retour. Les participant bien sur y avait été convié quoi de plus normal après tous. Les invités badinaient joyeusement sur la difficulté de leurs tâche et la façon dont de peu ils avaient ensemble survécut. Parmis les survivants il y avait ma mère qui été venu accompagné de ce fameux Kenji. Rire, conversation animé, premier personne gaïe, il n'y avait pas à dire ils s'amusaient. Les conversations s'enchaînaient changeant de sujet passant de la politique du pays aux goûts artisiques ou encore à l'avenir. Ce spectacle il n'y avait pas à dire était beau, ce groupe rassemblait pas l'amitié et fortement soudé par les années passaient. En bon joyeux fêtard la plupart était rougis par le sakke, titubant en rentrant chez eux. Je t'es déjà évoqué a sagesse de ma mère te bien une fois de plus cela se confirmer oui elle l'une des seule à ne pas avoir bu. Mon père lui non mais pour des raisons médicals, oui car ce combat passé avec le frère et le père de sa bien aimée avait laisser de graves séquelles comme une main en partie paralysée et une insuffisance rheinale. C'était attristant dans un sens cette maladie lui touchant les rhein l'empêchait tout excès, son alimentation était réglementée et l'achool était une chose qu'il fallait qu'il oublit. Il n'avait jamais bu à outrance pourtant. La vie est parfois injuste. En ce qui concerne cette soirée elle s'acheva sur les coups de plus de minuit passé. Ce n'était excessivement tard mais c'était une soirée festive et non de beuverie ce qu'il expliquait en partis cette heure suffisement tôt. *se gratte l'arrière de la tête et reprent* Afin d'éviter toute possible intercation c'est ma mère qui vint chez mon père, il possédait un petit appartement dans le centre de Suna où il se rendirent badinant sur leurs avenir qu'ils immaginaient commun et ce laissant aller à des rêveries crépusculaires il converser sur l'éducation d'un possible enfant en avançant. Une fois arrivé à la "résidence" ... la suite apparrait comme évidente n'est-ce pas ? Ah non je t'expliquerais pas ce genre de chose ! Espèce de ****** ! Tu insistes ?! Eh ba mon père à mit la graine dans le jardin !!!!! Voila c'est fait. Bon passons à la suite petit ... *ronchone amèrement*

III) L'aînée.

Bon voilà. Suite à cette charmante soirée sakke ma mère commença à ressentir les effets d'une nuit appréciée et appréciable au bout de quelques semaines. Vomissement, nausée, courbature et ce qui accompagne cet agréable package. Ce fut un constat dont ils se réjouirent ensemble. Et toujours l'un et l'autre s'aimant d'un amour pure et sincère ne dissimulèrent point leurs joie d'avoir un enfant à venir. Il fallait encore attendre neuf longs et pénibles mois qui n'étaient et ne seraient pas de tous repos. Entre les devoirs d'une femme enceinte et ses envies colériques le couple eut du mal à maintenir une entente toujours calme et sereine mais cela ne les empêchaient pas tous deux de ce chercher comme des aveugles cherchent leurs canne, après une dispute. L'amour résiste à tout. Suite à ce long therme c'est dans des cries, des larmes et le sang que je vint au monde. Un bébé de 3,2 kg un bel enfant a-ton dit à mes parents ce jour là. L'on me voyait déjà robuste, enfant modèle à fort caractère et qui allait devenir une grande ninja qui dans l'idéal allait marquer l'histoire. On voyait en moi un espoir de faire naître une future et fructueuse réputation aux Isamu d'un coté et de l'autre on imaginait ma naissance comme le funeste présage de la déchéance à venir de tous un clan. Tu l'as donc compris les avis sur ... ba sur moi étaient très partagés. Tant tôt positif à l'extrême, tant tôt négatif à l'extrême. Cela à peut-être joué sur ma nature modéré tiens... *fixe le vide en réfléchissant* Hum. Bon j'étais le résultat d'une union vivement méprisé et désaprouver et crois moi toute mon enfance a était ponctué par de sympathique petites réflexions incessantes. Etant l'aînée de la famille en fondation de mes parents, ma mère entrepris de m'apprendre la fameuse invocation tant réputé du clan Aruka vers mes six ans. C'était bien jeune mais assurémment par vengeance personnelle sur son paternel elle voulait faire de moi une véritable génie. *prends une profonde inspiration*
-FLASH BACK-
-AYANO?! cria une femme d'un air décidé à la fois enjoué. En réponse elle ouïe un plaisant marmonnement emplis de fougue, d'entrain bien que belliqueux. Pourquoi belliscite ? Parce que par cet appel on attendait de la petite Ayano qu'elle se lève ce qui ne correspondait pas réellement au petit caractère que l'enfant se faisait. De toute évidence elle avait la facheuse habitude de prendre un plaisir esquit à flemmarder, principal problème pour une enfant destinée à devenir une génie de l'art ninja. Avec le temps Matsuri s'était habituer à cette attitude si apathique qui offrait un faciès peu glorieux de la nouvelle jeunesse. Ayano fesait la sourde comme tous les matins sans exception. Elle serait prête à tout pour demeurer endormis dans son lit chaud et douillet. Comme chaque matinée sa mère fut dans l'obligation d'user des grands moyens, seau d'eau ? ouverture des rideaux ? Pffeuh ! Petit joueur que tu es ! C'était bien pire car quand cette enfant est dans les bras de Morphé son sommeil ne s'évapore pas si aisément. Au bout d'une généreuse demi heure la petite fille perchée sur ses jambes chétives était face à sa mère sur une sorte de terrain vague où l'on trouvait quelques sillages d'une feu jeunesse d'un terrain d'entraînement. Un léger souffle venteux se plaisait à enquiquiner les quelques lève tôt. Erf ... oui le jours venait à peinne de se lever. L'on pouvait voir quelques "meutes" de sable trop petite pour être des dunes trop grande pour être un amas. Matsuri Aruka, pourquoi avait-elle emmené la peite ici ? Pour lui enseigner ce qui à une époque fit le succès de son clan. L'invocation, l'invocation des scorpions du clan des Aruka. Plus âgée la petite aurait sans étonnement était honoré d'apprendre une telle technique mais à un âge si peu avancé ... Sa mère prit un parchemin dans sa main,il semblait jaunît par le temps qui passe puis d'une voix ferme dit : - Allez ma vielle secoue toi un peu ! La petite leva la tête, le regard éteint, les paupière à moitié fermé. Sa nonchalance était probante comme d'habitude. Avec une lenteur quasi agacante frôlant l'insolence elle débuta quelques étirements. - Dépêche toi ! Aujourd'hui est un grand jour, tu vas enfin apprendre la fameuse invocation des Aruka ma puce . Ajouta la mère avec une tendresse maternelle. En réponse Ayano entreprit des mouvements plus rapide avec un sourire d'enfant sage qui emplis de joie n'importe quel parent. Un faux sourire, un faux semblant d'engouement pour cette technique. Elle n'était pas contre l'apprendre mais cela necessite de l'effort et la petite est ... Enfin bref. - Bon pendant que tu continues ton échauffement je vais te raconter en quelques mots comment ce parchemin d'invocation est parvenu entre les mains de notre ancêtre.

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La petite qui fidèle à elle même avait mimé l'écoute observait sa mère avec une sorte de moue sur son visage. Cette histoire elle la connaissait pas coeur et encore elle s'estimait chanceuse car pour une fois Matsuri avait fait court ! Sous son regard lasse sa mère sortit un long parchemin, se mordilla le bout du pouce dans une grâce et une vistesse qu'elle méconnaissait à sa mère elle ne manqua par une seconde de ses gestes. Le parchemin se déroula et le pouce saignant vint comme barrer une série d'inscription. Ces quelques mots retentirent : Sasori no jutsu Hiretsuna. Sous le regard de la petite fille un immense nuage blanc vint envahir le lieu. Elle toussotait puis chasser la fumée d'un geste lent. Cette dernière ce dissipa puis laissa apparaître une bête. Petite pour la quantité de fumée, des écailles rouges et en partie noir sur le dos. Elle reporta son regard lasse sur sa mère puis sur le scorpion puis sur sa mère. Matsuri se mit les mains sur les hanches satisfaite arborant un large sourire : - Après ce jour c'est ce que tu pourras faire. Son regard se posa sur la petite bestiole qui fixait de ses deux yeux l'enfant à la faible constitution. - Lui c'est Hiretsuna, qui signifie teigneux tu comprends pourquoi je suppose. Son affinité est le Katon et bien qu'il soit petit il n'en n'est pas moins redoutable au combat. Les yeux de la petite fixaient le petit scorpion, il n'était pas grand, il serait même chétif si elle s'écoutait et elle ne voyait pas comment cette petite chose pouvait maitriser le katon. Il lui fut expliquer le fonctionnement, le principe de l'invocation sous son regard moue, les gestes, les inscriptions. On lui expliqua qu'à moins d'avoir le parchemin ou une copie simulaire elle ne pouvait invoquer de scorpion, ou alors il lui fallait tatouer les inscriptions sur une partie de son corps. Elle commençait à se lasser quand sa mère lui apprit le vif du sujet. Inutil de vous dire qu'elle fut y passer toute la journée et une bonne partie de la nuit pour un invoquer un minuscule scorpion.

Je fit peu de temps après cette petite victoire je fit ma rentré à l'académie ninja du village de Suna. Au début je trouvais ça presque interréssant mais rapidement je me suis lassée. Bon comme je l'ai déjà dit je n'ai jamais fait en sorte d'être réceptive car trop flemmarde et peu enthousiaste et en dépit de ça j'étais dans le peloton de tête de la classe. On me disais que j'avais des capacités... Je n'y entendais rien. Très vite berçé le soir par les réçits de mission de mon père et les entraînements sur humain avec ma mère, j'aimais rapidement tous ce qui toucher le domaine des stratégies. Travaillant mon habilité au combat ma mère se faisait pire qu'un tyrand quand à mon père ces petits réçit étaient de véritable apologue, bourré de morale et leçon sur la vie, sur comment agir en tel ou tel autre situation. Sans que je le sache on me formait au combat. Comme on me le disait souvent tu es l'aînée tu te doit de montrer l'exemple, tu te dois d'être douée, tu te dois d'élevé le clan Isamu ... En tant que l'AÎNEE j'avais beaucoup de contrainte, c'est devenu un rôle que je haïssais dans la famille, un fardeau, une punition du destin. Être l'aînée.

IV) Marquage à vif.

Comme je l'ai déjà précédemment évoqué, la maitrise de la technique d'invocation était pour moi un triomphe, une petite victoire que ma mère me présentait comme une banalité et qui n'était rien fasse à ce qui m'attendais. Comme tu l'imagine j'étais abbatut à l'idée de devoir faire plus... que je ne faisai. Enfin je n'avais pas le choix si bien que chacun de mes temps libre était occupé par l'entraînement au combat avec ma mère. "Tu es l'aînée tu dois montrer l'exemple " me répétait-on sans cesse. J'ai bien essayé de me dissimuler, de me faire toute petite, fuyant les responsabilités que l'on m'imposait mais sans résultats probant. Chaque jours était pour moi une véritable poisse, un fardeau de plus en plus lourd car plus le temps avançait plus je vieillissais et plus les entraînement se corsèrent. Toute mon enfance fut rythmé par cette vie qui selon moi n'était pas destiné à un enfant mais d'avantage à un genin en entraînement intensif. J'avoue que voyant mon entrainement à cette période je redoutais la suite. Les mois passaient les uns après les autres sans réel distinction à mes yeux, toujours aussi flemmarde la seule et unique chose qui attirer une once de ma curiosité si rare était la maîtrise de cette invocation. Je me demandais pourquoi je n'avais pas le parchemin, on m'avait appris contre mon grès cette technique et je ne pouvais même pas l'utiliser. On m'avait dit que l'on pouvait invoquer sans le parchemin juste en possédant les inquantation, les inscriptions... Mais je ne m'en souvenais pas. Pour moi c'était comme avoir perdu du temps que j'aurais put gaspiller de mille autres façons plus intérréssante. Peu à peu j'avais oubliée cette technique inutile puisque je ne pouvais l'utiliser et cette fois c'est ma mère qui vint m'en parler. Je me souviens encore de ses paroles *s'étire* " Ayano aujourd'hui tu vas pouvoir user de la technique la plus râblé du clan." Maintenant pouvoir user de l'invocation m'étais bien égal, j'avais put vivre sans jusqu'à aujourd'hui. Le soir les membres les plus puissant du clan Aruka se réunirent dans une pièce à laquelle je fut conviée. Il s'en suivit une longue et barbante discussion entre les plus anciens du clan. Traitant de l'économie du village, de la réputation des Aruka et de moi. *long soupire* Ils s'était lancer dans une bataille pour savoir si oui ou non je méritais la marque. Pour passer le temps qui se faisait long je m'étais intérrogée sur ce mot "marque". Qu'était-ce ? Qu'est-ce qu'ils entendaient tous par "marque"? On ne m'en avait jamais parler ni quoi que ce soit. Après un lourd et pesant silence, ensemble ils firent un vote à main levée. Je me souviens les avoir observer comme des fous incompréhensible sortis d'un asil. Après une proclamation des résultats aussi inutile cela fut une vielle femme me prit par la main. Elle me tira au centre de la pièce me releva la manche puis avec un pinceau traçait quelques marques. Le liquide noirâtre et brûlant s'étendait sur ma peau. *ferme les yeux* J'avais d'abord penser que c'était de la peinture mais finalement cela s'avéré être une texture pateuse, aux teintes peu esthétique et chaude. Personne ne prononça mot sur ce truc que l'on m'étalait sur l'avant bras. Je regardais du coin de l'oeil les mouvements fait par la vielle qui m'écrivait sur le bras. Cela ne dura pas très lobgtemps envrion cinq minutes si ma mémoire est bonne puis lon versa l'équivalent d'un verre d'eau là ou l'on avait souillé ma peau de ce truc pateux. On me banda l'avant bras j'ignorais pourquoi d'ailleurs. Après je ne me souvint plus de ce qui c'est passé. Je sais qu'à l'aube j'étais dans mon lit ce bandage toujours au bras, les yeux emplis de larme. J'avais mal, j'en ignorais la raison. Mon bras me brûlait, j'avais l'atroce sensation que l'on m'avais arraché la peau. Je grimaçais en pleurant. On aurait put croire que je n'auraiss pas put dormir de la nuit et pourtant comme je l'ai déjà dit je me souvenais plus de rien après que l'on m'ai mit le bandage. C'était étrange... Pis même encore aujourd'hui je en sais toujours pas ce qui c'était passé. Bon quand dans la matinée on me retira la bande les mots était rouges comparable ç une brûlure. Je fit rapidement le lien. Ces mots étaient ceux de l'invocation et cet texture qui m'avais fait tant souffrir au réveil était une façon de toujours les avoirs sur moi, que jamais je n'égare un possible parchemin. Mes parents m'expliquèrent que cette texture avait pour but de brûler la peau afin de posseder l'invocation du clan Aruka snas risque de vol et qu'en plus cela marquait mon appartenance au célèbre clan Aruka. J'avais le nom de mon père "Isamu" mais mon passé fut bien plus marqué par le nom de ma mère enfin bref. Cette marque était indélébile et pour peu qu'une personne soit de Suna elle pouvait savoir déjà pas mal d'information sur mes origines sans forcément me connaitre. Bonne façon de montrer son appartenance à son clan mauvaise pour passer innaperçue. ùremonte sa mache en regardant cette marque* Erm...

V) Une période de changement.

Passé l'âge de mes dix ans tout s'accéléra pour moi. Je passa mon examen pour devenir genin que j'avais réussit haut la main et rapidement je fut affecté à ma première équipe. L'équipe 8, avec moi deux coéquipiers et un Juunin. Deux personnes pour travailler à ma place et une personne à feinter pour pouvoir jouer les tire au flanc voila ma vision d'une équipe. J'étais jeune et avec le temps cette vision évolua plus ou moins. Plus de détail ? Comment ça ?! pffff ... Bon Comme tout examen, l'agrégation genin se déroulait en fin d'année. Comme tous les ans que j'avais passée à flaner exercant mes dons de tire au flanc dès que je le pouvais. Mes parents confiants en mes bons gênes mais moins en mon aprentissage à l'académie étaient un peu anxieux la veille du fameux examen. Comme à mon habitude je ne m'en faisait pas et relativisé la chose en me disant que dans le pire des cas je pouvais le repasser l'an prochain. Durant toute la soirée j'avais eut le droit aux sermons sur ma flegme mon manque d'enthousiasme, mon attitude : parle toujours tu m'interresses. Je ne m'étais pas préparer et de toute manière je ne voulais pas car je rétorquais sans cesse que tous était déjà joué m'attirant alors les foudres de mon père optimiste de nature. Je passa une nuit tranquille, sans anxiété ou apréhension. Le stresse je connaissais pas et je ne connais toujours pas. Je me levais à l'aube ayant conscience de l'importance de ce qui m'attendait dans la matinée. Sur le chemin me séparant de chez à l'académie je réfléchissais à ce qui aller m'attendre, un test écrit ? un test de partique ? un combat ? Et finalement je me disais que j'aurais peut-être dut suivre lorsque mon sensei en avait touché deux mots en classe. Si je me souviens bien j'avais attendu en compagnie de mes camarades dans une salle de classe. Notre sensei nous appelés en suivant l'ordre de la liste. Je n'avais pas attendu longtemps passant la deuxième. Je me souviens encore des sourires se voulant rassurant des évaluateurs qui me demandaient d'effctuer le jutsu du clonage. Quand j'avais entendu ça, je m'étais tout de suite dit qu'heureusement que je n'avais pas psycoté sur cet exam. Je me revoit encore joignant mes mains et faire apparaitre deux clones parfaitement constitués à mes cotés. Sans surprise j'avais eut le grade de genin. Le lendemain je m'étais avec tous l'empressement dont j'étais capable, voir mes coéquipier ainsi que mon sensei. Je n'en connaissais aucun mais cela ne m'affectais pas plus que ça. Dans cette même journée je les avaient rencontrés. Kyoya, Akiro et Shin-sensei. Un binoclar zélé, un gosse chouineur et un Juunin avec beaucoup d'espoir voilà comment résumer les membres de cette équipe. Je dois bien admettre que j'arrivais à bien progresser avec ce sensei mais il était beaucoup trop exigeant pour une petite flemmarde comme je l'étais et le suis encore sans compter qu'en plus j'avais l'entrainement avec ma mère... J'enchainais les missions avec pas mal de succès jusqu'au jour où l'examen chuunin arriva. Mon équipe y fut inscrite. Nous passions avant tout un test écrit des plus simples, puis une épreuve de survie qui je dois admettre c'était avérée être un fardeau avec les deux boulets que je me trimbalais puis pour finir les combats. Ces combats sur l'instant je les avaient adorer. Grâce à eux j'avais été débarrasser de Kyoya et Akiro qui était pour moi deux énormes poids. J'avais réussit mon combat qualificatif rapidement suite à l'abandon de mon adversaire. J'étais loin d'être impressionnante pourtant. Enfin ... Par la suite je me souviens vaguement avoir affronter un ninja de Kumo dont le nom m'échappes qui m'en avait fait baver. C'est arrivée à la "demi finale " du tournois que je perdis mon combat par abandon face à un ninja de Konoha qui c'était avéré être le vainqueur du tournois à la fin. Je n'oublierais jamais son nom, il était issu d'un vraiment très réputé clan, le clan des Hateru.

Spoiler:

Enfin l'on me soigna pendant de long mois mon entrainement fut suspendu pour mes plus grandes jouissances. Conter toute attente quand enfin je put de nouveau marcher je fut convoqué dans le bureau de notre Kazekage. Il me proclamat Chuunin en vantant mes qualités de résistance et mes stratégies des précédents combats. Je fut informé par mon sensei des résulats du tournoi avec pour grand vainqueur Satoshi Hateru.*grimace* Depuis ce jour, j'ai compris ce que l'on ressentait quand on voulait faire mieux. Bon j'entretenu un semblant d'acharnement à la tache durant les quelques mois qui suivèrent mais un événement tragique vint boulverser cet état d'esprit. Ma mère, Matsuri Aruka s'était absentée afin de remplir une mission d'entre-aide à Konoha. Elle n'en n'ai jamais revenu. Véritable tyran je vous l'accorde mais surement la personne la plus chère à mes yeux. Je refusa cette fin que l'on me disait belle pour un ninja. Je redevint comme j'étais avant avec chaque jour le poid d'un deuil refusait sur le coeur. Les années passaient et peu à peu mes proches disparraissaient. Mon père mourra de maladie, mon petit frère mourra pour le village lors d'une attaque alors qu'il n'était que genin quand à ma peite soeur... Suite à cette attaque je ne l'ai jamais revue. Peu de temps après je devint Juunin à Suna mais je n'avais plus envie de défendre qui que ce soit. Je ne voulait plus car personne ne les avait défendu eux. Avec le temps la blessure se referma et durant cette période je fit la connaissance d'une personne. Aiku Gin'Iro, je l'aida puis peu à peu un lien particulier se créea entre nous. C'était peut-être la seule personne que je pourrais encore défendre de mon vivant. Moi qui jusqu'à maintenant qui n'avais fait que érrer sur cette terre sans véritable but j'en avais un. Je voulais voir souffrir Konoha pour ce qu'il avait fait à ma mère, je voulais voir les villages ninjas se détruirent, courire à leurs perte, je voulais voir leurs fins et surtout je voulais plus que tout y participer. Je trouva il y a peu une organisation qui partager plus ou moins mes idéaux. Je luiserait dévoué si la possibilité d'y entrer m'était présenter, l'Akatsuki serait peut-être un jour ma nouvelle" famille". Il n'y avait plus que ces membres que je voulais défendre pour voir enfin mon dessein se réaliser.

*Chasse le gosse à coup de regard agacé* N'insiste pas je n'ai plus rien à te dire ! *fanfaronne en repartant*