* Nous formons une équipe.



La nuit était à son apogée, la lune reluisait et humecter le monde de l'homme. En ses rayons hurlant leurs élancement d'une lumière blafarde et funeste on lisait toute les peinnes de l'astre lunaire. Cet astre voyait la flamme de la vie qu'à travers la lugubre obscurité de la nuit. Jamais n'avait-il connut l'atrabilaire répugnance de la terre inhumé sous le soleil., jamais au grand jour, découvert, il avait vue les vices que l'humain s'acharne à dissimuler derrière un voile de zelé croyance utopique. Jamais l'astre lunaire n'avait vue la vie dans sa réalité, dans sa fangeuse réalité qui n'inspirai guère autre sentiment que la commisération. L'altruiste lune, elle, laissait les ruffians se délecter de sa beauté gelée. Il n'y avait pas de monnaie d'échange pour cet astre amenant à l'admiration et à l'aphasie de l'homme face à sa grandeur. Je ne serais dire cela était le pain de tous en contemplant cette dernière mais pour ma personne cela l'était. Tout d'un coup quand je me laissais allez à de maint rêverie lunaire c'était comme un apaisement qui venait m'envahir contre mon grès et ainsi j'avais honte de ma nature si ignonime. Je n'osais même pas une enfantine comparaison car ce serait un ultime affront. Non tout cela n'est pas un comportement hyperbolique mais bien réel. La petitesse de l'être humain se reflète à merveille en la Lune, elle nous dépeinds avec ses macabres rayons ce qui fait notre vilainerie sans même que l'on s'en rende compte. En cela elle était admirable et admirée. Je décrochai à contre coeur mon regard de cet astre pour le repporté sur moults parchemins posé à mes cotés. Ce soir encore je me laissais aller à la fénéantise, c'était devenue comme un rituel pour moi ou voyons plus loin une phylosophie ? J'inspirai profondémment l'air fraît de notre belle Suna, la nuit était froide mais cela ne me gêner pas et disons que je savais apprécier cette futilité de la vie. Assise les jambes étendues, les bras moue et lasse appuyer sur le toit de l'immeuble sur leque je jonchai fièrement je me plaisais à fixer le vide de la nuit. Tout y était paisible, placide...Ma main droite vint passer délicatement dans ma chevelure d'ébène remontant une ou deux mèches belliqueuses puis dans un mouvement lasse j'empoignai alors l'un des parchemins. Je le déroullai sous les rayons de la lune avec ma lenteure habituelle, sous mon regard vide défilait des écritures, des pattes de mouche, tellement la personne avait négligé son écriture.

Spoiler:

Je plissais les yeux au fil des lignes afin de mieux apprécier une lecture qui sans ça serait impossible. En parallèle je maudissai les incompétents m'ayant fournis ce résumé d'un dossier sans hésitation plus lisible que ce torchon. En refermant d'un geste j'en foutiste le parchemin, je méditai sur cette jeune Kyouran. Sa personalité était cabalistique et en cela j'y trouvais du charme avant même de l'avoir cotoyé. Avec un sourire dissimulé par un rictus de lasse je pris le second en ma main en le fixant. Les hommes n'étaient pas logique pourquoi fournir trois parchemins alors qu'un seul aurait suffit. Je semblais comme en arrêt devant ce parchemin que je tenais dans ma main close sur ce dernier. D'un regard extérieur on aurait put se demander ce que j'avais en avançant l'hyposthèse d'une attitude absurde mais à vrai dire je méditai à ce nouveau rôle que l'on m'avais attribué. Chef d'équipe. Moi chef d'équipe qui l'eut crut ? Personne, ma personalité ne s'y prêtait pas et même si l'on m'avait clairement énoncé les raisons de l'attribution de cette équipe... je ne les comprennaient pas. Je fronçai les sourcils étant légèrement en désacord avec cette décision puis ouvrit enfin ce parchemin.

Spoiler:

D'un mouvement de tête réprobateur, j'observai les informations donnés avec cette même écriture de saligot mais j'appréciais les informations, courte mais préicse juste ce qu'il fallait. En même temps avec une écriture pareil il fallait mieux qu'il évite les romans. Je déplorai sa situation mais bon ne pouvant rien y faire je passai à autre chose en reposant le parchemin à coté du premier. Redressant la tête et fixant de nouveau la lune, c'est à taton que ma main cherchait le troisième et dernier parchemin. Il y avait bien deux bonnes semaines que j'avais été prévenu pour cette équipe et je n'avais rien préparer d'original, l'élan addicteur de la flegme. Je n'avais pas de mensonge pour me justifier car je n'avais à rendre de compte à personne après tout. C'est vrai j'étais seule dans l'aventure de la vie. Dans un soupir tapageur je prit dans ma main le dernier patente et effectuai le même rituel que pour les précédents.

Spoiler:

Dans un mouvement de lassitude léthargique je le reposai aux cotés des deux autres. Je repliai mes jambes puis inspirai profondément en fermant les paupières. J'avais l'attitude d'un voyageurs quittant son pays d'origine pour les étendues routes de notre monde et pourtant il n'y était rien. Je me relevai alors en prenant appuit sur le toit, je m'étirai indélicatement puis prit les parchemins posés avant de les prendre sous mon bras et de m'avancer d'un pas quasi solennel vers le bord du toit. Une fois au bord j'observai d'un regard vide le sol séparé de moi d'environ une quinzaine de mètres. Pour me faciliter la tâche les propriétaires avait à leur premier étage un petit balcon pittoresque. Je bondit sur ce dernier souple de nature je n'avais rien sentit. Je me penchai alors accoudé à ce dernier vers le sol puis fit un saut de nouveau mais au sol cette fois-ci. Je me redressai alors en cherchant une façon différente d'aborder les futurs membres de mon équipe. Les parchemins sous le bras je mis ma main libre dans ma poche puis poursuivai mon chemin d'une allure lente, j'étais comparable à un cul-de-jatte qui se trainerait au sol pour avancer. Les rues vides et placide de Suna m'apaiser mais ne m'apporter aucune aide dans ma requête. Je levai les yeux au ciel en repensant au jeune genin que j'avais utiliser pour joindre le lieu de rendez-vous de demain à mes coéquipiers. Cette flamme de la jeunesse brulait en lui, c'était beau à voir. Remontant le rues déserté ou par hasard de temps à autre je croisai un chat ou deux je vit enfin droit devant moi l'immeuble où je résidais. Je sortis de ma poche un vieux trousseau rouillé puis ouvrit la porte menant aux appartemments, en bonne flemmarde que je suis je résidais au premier étage. Je montais les marches unes à unes alissant glisser ma main le long de la rampe gelé toujours à la rehcerche de cette fameuse idée. Je me triturai l'esprit pour des gens que je ne connaissai même pas ! Je m'étonnais moi même. J'ouvrit la porte pas fermé comme à son habitude puis laissa tomber au sol les trois parchemins. Je n'avais pas la force de les rangés. Par contre j'avais la force de me vautrer ce que je fit. Mes bras croisés derrière ma tête, les yeux fermés... J'aurais put céder au sommeil mais j'en décidai autrement. Je n'en n'avais assurément pas l'air mais je méditai. Une chose était sur il fallait que j'arrive avant eux, cela allait être dur pour moi qui n'est jamais à l'heure mais il le fallait pour le coup. Quelques secondes plus tard ma méditation n'étais plus... J'avoue .. j'ai c-cédé au sommeil et ses charmes attrayants. J'étais dans ses bras ne voualient pas les quitter pour la vie et surtout ce qui m'attendait. Par chance pour eux ... je me réveilla rapidement autant dire que j'avais déjà anticipé le coup. De nuit profonde, on était passé à soleil éclatant. Il devait être au alentours des onzes heures le rendez-vous était à treize heures trentes. Bon j'avais tout mon temps. Je vous épargne les détails de mon détail par la salle de bain et passons directement à la suite. Comme souvent l'on m'a dit que la nuit porte conseille je dois bien avouer que je suis tout à fait d'accord. Je sortis un encrier, une plume un parchemin et commençai à écrire hâtement quelques mots avec un petit sourire satisfait aux lèvres. J'avais mon idée, c'était parfait je 'navais plus qu'à y aller. Mon regar divagua au grès des méandre de la pièce en s'arrêtant devant un sac. Je le prit par l'ance mollement puis l'ouvrit avec cet même élan de fougue ! J'y fourra une gourde d'eau bien remplie, quelques fruits, les trois aprchemins et celui que j'avais écrit. Je le mit sur mon dos puis ajouta quelques shurikens, kunai et autre dans une petite sacoche que je j'accrochais autour de ma taille. Je ressotis de ma demeure prête et en avance enfin pour l'instant. Je m'engageai à présent dans les rues de Suna animées, bondées, emplis d'une foule inexistante encore hier soir. Des crires, des rires, que de vivacité ici-bas. Je vagabondai donc dans Suna baigné par le soleil et la chaleur écrasante habituelle, faisant profil bas et ne me hatant pas plus que la norme. Peu de temps après je marchais en plein désert la fameuse destination étant l'oasis il allait falloir que je lutte contre la fatigue comme au quotidien de toute façon. Mes pas lents foulant le sol c'est vers les treizes heures que je vit enfin devant mes yeux l'oasis en question. Dans cette étendue sableuse rayonnait une touche de verdure et d'eau. C'était comme donner la vue à un aveugle, c'était un miracle de la nature. J'avais choisit ce lieu pour de bonnes raisons m'enfin qu'importai en l'instant. Une fois arrivé j'observais s'étendre devant moi l'eau et de l'herbe fertile avec quelques plantes. Je posai alors mon sac sur le sol et en sortit les quatres parchemins que je posai alors près du lac en pile. Sur le quatrième j'avais noté ces quelques mots :

Spoiler:

Je désertai alors la petite oasis pour aller me réfugier un peu plus loin ou il y avait quelques roches assez grosses pour me dissimuler. Afin je cacher les traces de pas je fit un jutsu fuuton. Les traces avaient disparu maintennat je n'avais plus qu'à attendre de voir ce qu'ils allaient faire pour dérouler la suite de mon plan.