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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée|

Hunk Moroshi
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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue1377/2000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (1377/2000)
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MessageSujet: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeDim 19 Juin 2011 - 10:37





. : Doucereux comme une danse de Minuit. : .

Cela était tout simplement parfait. Douce ironie, que cela ne tienne. Pourquoi autant de haine s’effondrant comme une massue de l’inquisition sur le pâle hérétique hurlant des miséricordes contre la Planète Terre. Une soirée s’annonça normalement tout simplement bénin et magnifique se transformant alors en une espèce de pseudo-buverie lassante et moindre. Effectivement, tout était cela véritablement parfait. Le sort se posait-t-il sur le jeune homme à la crinière flamboyante ? Comme la masse vicieuse de l’intelligence amoindrie. Levant doucement les yeux envers les magnifiques cieux bleuâtres, son esprit maintenant ailleurs était en total réflexion. Le pauvre fantôme, la chose rampant dans les prémisses des Ténèbres hurlant. Le loup dans la prairie cherchant avec une fureur toute simplement inquisitrice. Bientôt, cette chose arrive. Bientôt, sa puissance sera définitivement à son apogée la plus puissance. L’issu de la violence la plus bestiale hurlant sa rage contre l’innombrable génie des quatre vents. La personne créant le loup étant ce dernier lui-même, naviguant entre les nombreuses formes difformes qu’est la brume. Cette vague, cet habitat de mal-être pour la majeure partie des personnes. Le magnifique fantôme de plaisir, le créateur de toute chose, le Titan à la chevelure d’argent. Semblable encore et toujours à cette magnifique créature qu’est la bête noir ébène. La magnifique puissance à l’état pure, engendrant les autres forces militaires avec une certaine magnificence. Et pourtant, derrière cette apparence des plus terribles, une forme de muscles finement développés augmenté par une intelligence à toute épreuve. Effleurant malheureusement l’incompréhension de ces compères de travail. L’enveloppe corporelle nullement certaine, donnant une façade machinale, méchante, directe, froide. Une source indirecte de terreur profonde. Hors que, finalement, ce magnifique loup humain ne résulte définitivement qu’une boule de tendresse, n’espérant finalement qu’un peu d’amour ou encore bien-même d’amitié de la part d’une forme de tendresse pure.

Effectivement, en cette magnifique soirée, à la brume nullement apparente. Cela était pour certaines personnes ce qu’on littéralement appeler d’une façon bien significative une soirée de buverie intense. L’une de ses choses dont raffolent littéralement les jeunes gens, les choses nouvelles de la population, la jeunesse Konohajienne. L’alcool, la drogue et bien entendu le sexe. Trois choses assez courante pour ces créatures encore totalement juvéniles. Le nombre de ces nombreuses soirées avaient littéralement augmentés dans les mois derniers. Signe bien évidement que l’immense village de la feuille se mourrait avec une certaine lenteur plutôt conséquente. Mais maintenant, cette douce femme était morte, ou encore bien mourante. S’offrant avec une certaine passion tous les délices. Les sept pêchées capitaux avec une paresse sans aucune autre restriction. Et bien entendu, certaines personnes de la population de ce magnifique village en profitent avec une ardeur toute simplement inquisitrice et, il faut bien entendu le reconnaitre une certaine malice mêlant perversité ainsi que ricanement diabolique. Tranquillement, ces nombreux groupes partent vers les établissements désignant ses nombreuses formes de plaisirs et de délectation. Et cela, était originalement la direction de l’espèce de l’ectoplasme brumeux. Bien entendu, cela n’était pas sous l’enveloppe corporelle extrêmement incongrue. Mais plutôt comme l’espèce de chose nullement inconnue. Ou plus communément appelé comme une personne de la société d’aujourd’hui. Nullement habillé d’une matière militaire, nullement de masque à gaz, nullement d’arme ou autre chose directement issu de sa carrière au siens de l’élite ninjas. Non, rien de tout cela. Aucune tenue toute simplement extrêmement extravagante. Tout simplement une pâle chemise noirâtre accompagnée par le pantalon en jean de la même couleur. Simple, discret. Peut-être comme le prisme de plaisir qu’était ce militaire pendant ces nombreuses missions suicidaires. Enfin, suicidaires, plus vraiment depuis un certain temps. Mais que cela ne tienne…

Prenant par définition la direction vers le centre-ville. Une nouvelle fois. Effectivement, la dernière fois où cette nouvelle masse d’homme c’était afflué de sa tenue militaire, il avait eu une rencontre des plus originales avec un jeune garçon, enfin, étant était sous son masque à gaz, la position de ses paroles n’était nullement la même qu’aujourd’hui. Où, bien entendu, la seule chose cachant son magnifique visage blanchâtre était l’espèce de tissu noirâtre dissimulant la sphère émeraude assez particulière de l’anthropoïde maladroit. Flânant entre les nombreuses artères de l’immense et gargantuesque métropole cachée, il s’arrêta finalement. Farfouillant pendant un petit moment dans l’un de ses poches arrière de son propre pantalon. Un objet rectangulaire d’une envergure d’environ cinq centimètres. D’une douce couleur crémeuse. Une boite jeune et fraiche, sa sensation qui vous attrape à la capturant avec vos fins doigts blanchâtres. D’un geste assez rapide du pouce, la somptueuse boite à la beauté olympienne s’ouvrit dans un petit murmure de douleur. Le carton se déchira assez mollement avec une certaine monotonie ardente. Subtilisant alors, par conséquent un petit cylindre blanchâtre ainsi que marron. Le doux rouleau de mort, ce dernier se posa avec une certaine lenteur contre les fines lèvres rosâtres de l’humain habitant au village de la feuille maintenant morte. Reportant sa main dans sa poche de pantalon, il en ressort un géniteur de flammes, en retour, le paquet rectangulaire était bien entendu revenir dans le pantalon noir ébène de l’animal humain. Son pouce effectuant encore une fois un geste, une gerbe de flammes rougeâtres apparut devant le seul œil visible du jeune homme. Effectivement, si la paresse lui était apparue, l’homme aurait très bien pût effectuer une série de signe et par conséquent, faire surgir une forme d’électricité envers son doigt. Allumant par conséquent la cigarette. Cela n’était pas son genre. Nullement.

Reprenant tranquillement sa marche, l’homme à la crinière se retrouva en tête à tête avec cette magnifique et tendre cigarette. La fumée s’établissant avec une somptueuse douceur inquisitrice envers sa seule pupille libre. Cette brume grisâtre montant péniblement dans les cieux, formant finalement l’espèce de chose difforme que les plus grands et olympiens prêtes appelle littéralement la grande Faucheuse. Pourtant pour l’espèce d’ectoplasme au masque métallique, cela n’était seulement une grande et puissance source de plaisir. Un plaisir assez banal pour être totalement, voir efficacement exacte. Il était peut-être malheureux de le dire, mais la vérité n’est pas une chose tombant dans la plus grande des puretés. Ce prisme de plaisir est un fumeur assez conséquent. Engendrant par la même occasion tous les vices et les petites difficultés de la vie que cela va avec. Mais de toute façon, la nonchalance de ce geste ne lui était véritablement pas un défaut pour son esprit. Continuant vers un chemin totalement prédéfinie, le jeune homme à la peau finement blanchâtre –de par son masque qu’il portait quatre-vingt pourcent du temps.- tourna dans l’une des artères principales de la métropole Ninja. Par pure idiotie mais Hunk s’arrêta une fraction de seconde suite à un léger ricanement de la part d’une source inconnue. Haussant définitivement les épaules dans un air légèrement incongru, l’homme reprit alors sa marche, regardant par-dessus son épaule pour la dernière fois. Surement un pauvre homme rageant littéralement comme le démon au paradis envers la vie. Cette dernière le berçant vers une mort lente et incertaine. Arrivant finalement devant l’établissement assez particulier, il regarda rapidement l’enseigne de l’immense bâtiment aux couleurs grisâtres. Une espèce d’appartement se divisa finalement en deux parties. La premier dans une espèce de bar fumeur livrant alcool ou encore bien-même des sodas. Et de l’autre, une simple boite de nuit. Rien de bien compliqué.

Engendrant un pas, il ouvrit finalement la porte avec une certaine nonchalance. La soirée ne faisait que commencer. Et originalement, l’ectoplasme n’allait pas s’en plaindre. Posant tranquillement une main dans sa poche, il écrasa mollement sa cigarette dans le cendrier le plus proche. Une légère déflagration sonore perça avec une légère douceur les oreilles du jeune homme travaillant dans le plus grand des secrets pour l’unité militaire. Relevant définitivement la tête, une grimace arriva mollement contre sa façade blanchâtre. La queue était… Littéralement gargantuesque. Semblable à l’immense serpent verdâtre, ses yeux jaunâtres, voir ambre cherchant avec une certaine fureur sa petite proie. Créature faiblarde au corps pourtant si maigre. L’entrée pour la boite de nuit n’était pour être pas pour tout de suite. Son autre main se posa avec une certaine contre sa boite crânienne, arrangeant rapidement sa douce et magnifique chevelure flamboyante. Sans rien dire, et d’un pas assez trainant voir plutôt patibulaire, Hunk Moroshi se dirigeait donc vers l’immense queue de personnes doucement vivante. Son autre main blanchâtre se retrouvant dans les prémisses de son pantalon noir ébène. Finalement, voir définitivement, la source d’amusement n’allait pas être immédiate. Malheureusement ou encore bien heureusement ? Les avis divergent là-dessus, cela est véridique. Grognant encore une fois contre les personnes se trouvant devant lui, un soupire s’ajouta rapidement à cette forme littéralement de violence mentale. Tapotant l’épaule de la personne juste devant lui, un large sourire arriva finalement contre son visage, son œil émeraude brillant de nature vivante et d’énergie en cette soirée.


« Je sais qu’on se connait pas du tout et par conséquent je m'excuse d'avance. Mais… Euh… Vous êtes présente depuis combien de temps ici ? Que je fasse une idée du temps d'attente... » Demanda-t-il assez timidement, ses joues prenant peut-être un teint un peu trop rougeâtre en ce début de soirée. Son sourire se dissipa bien entendu, laissant place à un visage assez timide.

. : Suite à venir. : .




Tsuki Ôkami
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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue696/1000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (696/1000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeDim 19 Juin 2011 - 15:46

Cela faisait quelques jour que j’étais arrivée à Konoha , un village bien différent du mien de diverses manières, mais ce qui m’avait le plus frappée à mon arrivée c’était l’agitation de ce village , à toute heure des gens allaient et venaient dans de grands éclats de rires et un brouhaha incessant ce qui d’un autre côté me gênait quelque peu car si j’étais partie de Kiri c’était pour avoir la paix et non être abordée toutes les 5 minutes par des lourdeaux ou autres marchands enquiquineur . Cependant j’avais trouvé refuge dans un petit studio dans le centre-ville à l’ écart de cette multitude . Mais d’autres part cet environnement me plaisait , cette verdure et cette forêt verdoyante entourant le village dans un climat doux et tempéré me changeait de la relative humidité et froideur tant bien par le climat que par la nature des gens de mon village . J’étais debout au rebord de la fenêtre les coudes appuyé sur ce dernier regardant le village qui s’endormait peu à peu au fur et à mesure que la lune montait dans le ciel. Kuro mon fidèle compagnon se dressa sur ses pattes arrière en étirant son cou pour tenter de voir ce qui pouvait tellement m’intriguer. Je clignais plusieurs fois des yeux, sortit de mes pensées par ce dernier tournant rapidement la tête afin de regarder sa silhouette noire vaciller sous l’effort de sa position tout sauf naturelle ,cette douce créature me jugeant de ces yeux d’un jaune éclatant . Je poussais un profond soupir en passant délicatement une main entre les oreilles de mon ami lupesque avant de rediriger mon regard vers l’horizon.


Ces derniers temps je dormais de plus en plus mal, mes nuits écourtées par des rêves agités ou je revivais à chaque fois les même scénario des pires instants de ma vie. La douleur ne disparaitrait-elle donc jamais ? Cette sensation de vide au creux de mon cœur grandissait chaque jour comme si un démon vivant au creux de mes entrailles me rongeait chaque jour un peu plus. Malgré mes efforts pour tenter d’oublier en devenant ninja , les missions me permettant de détourner quelques jours mon attention de ce mal-être je n’arrivais pas à m’en défaire , plus je me débattais plus je m’enlisais dans les ténèbres . Ce sentiment d’agonie me rendait la vie impossible et c’est pourquoi après que le village est essuyé l’attaque de l’Akatsuki j’avais lâchement fuis car je sentais que si je ne le faisais pas je ferais quelque chose de beaucoup plus grave. Peu de gens peuvent comprendre ce que l’on ressent lorsque l’on est totalement seul, livré à soi-même depuis l’enfance et qu’à chaque fois que l’on aperçoit une lueur d’espoir , qu’on pense enfin pouvoir, aussi prétentieux cela soit-il ,atteindre le bonheur la fatalité s’abattait alors irrémédiablement sur nous, nous écrasant sous une nouvelle peine pour nous replonger au plus profond des abimes du désespoir . Ainsi avais-je essuyé la mort de mes parents, d’amis et il y a peu celle de mon fiancé . Je passais lentement une main dans mes cheveux ébène,s un frisson me parcourant l’échine car l’image des corps mutilés de ces personnes que j’avais aimé revenait dans mon esprit , à chaque fois de manière soudaine sans que je puisse faire quoi que ce soit pour la réprimer .


Kuro posa à ce moment précis son museau sur ma main placée sur le rebord de la fenêtre et me mordit très doucement , ressentant le malaise qui m’habitait et voulant m’en sortir bien qu’il ne puisse pauvre créature qu’il était pas faire grand-chose pour m’aider , hormis son soutien sans faille et sa joie de vivre éternelle . Je sursautais au contact froid et humide de sa truffe et de ses crocs enveloppant mes doigts . Je souris et m’accroupissait pour lui flatter la joue, ses yeux se fermant de plaisir sous les caresses et content de voir qu’il avait une fois encore réussit à me faire sourire alors que j’étais au plus mal. Me relevant doucement je décidais qu’il fallait que j’arrête de me morfondre, il fallait que je prennes l’air et j’avais repéré dans ma méditation plusieurs groupes de personnes plutôt bien apprêtée sortant dans les rues ce qui signifiait qu’il y allait avoir de l’activité ce soir et cela n’allait pas pour me déplaire . Je m’étirais doucement avant d’ouvrir la commode ou j’avais rangée les quelques vêtement que j’avais, je les achetais au fur et à mesure de mes déplacements et les laissait généralement dans l’appartement que j’avais loué ne voulant pas m’encombrer de choses inutiles.


Je sortis une robe noire que j’enfilais aussitôt, plutôt aguicheuse car ayant un décolleté vertigineux et un dos nus bien que ma longue chevelure cache mon dos en descendant jusqu’à mes reins . Elle était plutôt courte, moulante et fendue sur la cuisse gauche. Me préparant rapidement , prenant soin de ne pas oublier de prendre de l’argent car tête en l’air comme j’étais j’allais surement oublier même si j’allais essayer de ne pas tellement en dépenser me débrouillant comme à chaque fois pour trouver quelques jeunes hommes me payant ce que je désirais . Je souriais à cette idée, les hommes seraient prêt à tout pour assouvir leur désir sexuel mais je me jouais bien plus souvent d’eux . Je mis rapidement de fines chaussures à talon tout en ébouriffant une dernière fois la tête de Kuro qui me regardait les oreilles plaquées en arrière avec un air de chien battu car il savait très bien que dans ce genre d’endroit je ne l’emmenais pas avec moi . Je lui dis que j’allais revenir vite et j’eus droit à un grognement désapprobateur avant qu’il ne se couche la tête dans les pattes ce qui me fit doucement rire . Je lui fis un petit signe de la main avant de sortir en prenant soin de refermer la porte derrière moi . Les rues étaient plutôt calmes et l’on entendait que le claquement régulier de mes talons sur le pavé tantôt rompu par quelques éclats de rire de passants ou bien d’un sifflement d’un jeune homme soumis à un peu trop de testostérone . Je ne savais pas trop ou j’allais mais je savais juste que je comptais passer une bonne soirée, afin de me changer les idées. Ainsi je suivis un groupe de 5 jeunes gens, parlant fort et riant de bon cœur , ils devaient bien aller dans un endroit intéressant et c’étaient des locaux cela se voyait et de plus je ne savais pas où aller donc je n’avais d’autre choix que de les suivre .


Après les avoir discrètement suivi pendant quelques minutes ils entrèrent dans une sorte de bar je suppose . Je relevais la tête en regardant l’insigne et d’un haussement d’épaule rentraie à mon tour, il y avait un bar et du coin de l’œil je vis les gens que j’avais suivis se placer à la fin d’une queue absolument impressionnante , je soupirais , décidément cette boite avait intérêt à être bien car je ne voulais pas perdre mon temps pour arriver dans un endroit miteux . Je m’avançais vers le bar et avec un grand sourire commandait une vodka orange au serveur celui-ci s’empressa de me la servir mais je l’arrêtais alors qu’il allait rajouter le jus de fruit , lui prenant délicatement la bouteille des mains j’en versais un peu plus dans le verre , un peu ? que dis-je , je le remplis au ¾ de sa contenance et versait le jus d’orange dans le peu d’espace qui restait . Le jeune serveur me regarda faire sans rien dire , je le payais en lui laissant un pourboire avec un petit clin d’œil , celui-ci sourit et reprit son travail . Quant à moi je m’avançais devant cette queue qui me désespérait et pris place à la fin de celle-ci , buvant une grande gorgée de mon verre pour me donner du courage , j’eus un frisson en sentant la chaleur de l’alcool emplir ma gorge et passait plusieurs fois la langue sur mes lèvres , j’avais peut être abusé sur ce coup là . Au bout de 10 minutes je commençais à m’impatienter car je n’avais avancé que de quelques mètres et mon verre était pratiquement vide , une des personnes devant moi se retourna , un jeune homme avec un grand sourire . Je ne connaissais que trop bien ce sourire et me maudissais intérieurement d’être sortie . Il me regarda de bas en haut avant d’ajouter :


-« Alors ma jolie , on sort toute seule ? «


Je lui souris en retour bien que profondément énervée par ce manque de tact et le fait que je détestais ce genre d’individu, aussi d’un geste simple je plaçais mes mains sur ses épaules et le retournais en direction de l’avancement de la queue en lui disant de me laisser tranquille et je fis signe à une fille devant moi lui disant que ce même jeune homme était intéressé par elle . Elle eut un grand sourire et gloussa d’une manière ridicule avec une voix suraigüe ,avant de commencer à parler avec le jeune homme qui avait l’air ravi de ce compromis . Je poussais un long soupir , au moins une bonne chose de faite . Après cela je penchais mon regard sur mon verre faisant tourner d’un geste du poignet le reste du liquide qu’il contenait d’une pale coloration orangée avant de le finir . Mais au moment où je portais le verre à mes lèvres je sentis une main sur mon épaule , je fermais les yeux en jurant intérieurement ,et cette personne me parla , mais pas de ce que a quoi je m’attendais ce qui me soulagea et suite à sa question je me retournais , passant ma langue sur mes lèvres pour enlever les dernières gouttes d’alcool sur ces dernières avant de répondre :


« Je ne sais pas trop , un quart d’heure je pense … mais je ne saurais vous renseigner sur la durée d’attente , à vrai dire je ne suis pas d’ici et parfois l’on avance rapidement en quelques secondes ou d’autres on reste figé pendant de longues minutes … «


Je souris en voyant la teinte colorée apparaitre sur ses joues, c’était plutôt rare de rencontrer un garçon poli ces derniers temps et qui plus est d’une si grande beauté . Je ne le fis pas remarquer sur mon visage mais un frisson me parcouru face à ce jeune homme , ce qui me frappa tout d’abord fut le contraste entre sa chevelure éclatante d’une teinte magnifique et son regard d’un vert pénétrant , cependant un de ses yeux était caché par un bandeau ce qui titilla encore un peu plus ma curiosité. Il avait un visage fin, une peau d’une douce pâleur et un corps de ce que je pouvais estimer fin mais cependant musclé . Mais c’est la force de son regard qui me fit penser à celle de l’homme que j’avais chéri, le même regard intense , et un nœud se forma dans ma gorge . Je toussais doucement prétextant que j’avais avalé de travers alors qu’il n’en était rien, j’étais juste troublée par cet homme pour une raison inconnue . Alors que je lui parlais nous avions machinalement avancé de quelques mètres car les personnes devant nus en avais fait de même, je une main dans mes cheveux maladroitement et me penchais plaçant mon verre au sol et le poussant doucement avec mon pied contre le mur avant de me relever en souriant et d’ajouter :


« Et sinon , quel est votre nom ? pour ma part je m’appelle Tsuki . je me mis à jouer machinalement avec mon collier et ajoutais : Vous venez souvent ici ? car j’aimerais savoir si cela vaut la peine d’attendre … «
Hunk Moroshi
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeLun 20 Juin 2011 - 20:37




. : Veuillez me pardonner... : .

L’esprit humain ressort finalement de la simple mais pure machinerie totalement mécanique. Une machine devant parfaitement marcher sous une peine de se voir totalement humilier par les autres cerveaux anthropoïdes, qui eux, à la différence de celui-là marche somptueusement et littéralement bien, huiler avec une fureur inquisitrice. Comme cette douce horloge effleurant avec une tendresse totalement infinie les barrières irréelles du temps. Chaque sentiments, qu’il s’intègre à la colère, à l’amour, ou encore bien-même à la pitié est tout simplement une pièce mécanique ressortant du bijou tout simplement unique et par conséquent d’une beauté toute simplement olympienne. Cette horlogerie des temps anciens est le fonctionnement-même de notre enveloppe corporelle pourtant si fragile de par les magnifiques sphères ornant la façade colérique des créatures abyssales. Ces mêmes créatures qui, une fois avoir analysé avec une certaine nonchalance votre corps aux pouvoirs et aux compétences amoindries, sauterons sur votre élément de la matière comme un seul homme. Vous arrachant chaque pièce de cette mécanique pourtant si incomparablement et merveilleusement construite. Le merveilleux liquide rougeâtre se répandant alors à travers la gueule de la gargantuesque bête à la crinière noir ébène. Sans amusant peut-être légèrement, se délectant bien entendu par la même occasion de votre intelligence totalement pittoresque. Sur cette douce plaine qui ne ressort finalement que de la Planète Terre, cette créature n’est rien dans son ensemble, pourtant, vous comme cet impérieux humain écrivant mollement ses lignes le savent. Cela n’est finalement et véritablement pas grand-chose face à l’horreur que peut nous offrir le globe terrestre. Epée d’or contre la terre fébrile, salit par les nombreux mouvements des hommes, cette dernière gémit définitivement. Ce plaignant de sa pauvre vie totalement nullement affectueuse envers ses semblables. La différence de l’esprit à un coût bien particulier. Tout le monde ou presque connaissent la cause de cet échéance…

Cette épée d’ambre, maintenant sa position avec une ardeur toute simplement bestiale comprend enfin son rôle avec, malheureusement une certaine difficulté sa propre position. Ne devant nullement faiblir, ce sabre des temps anciens sait maintenant. La connaissance de la réalité est sienne et par conséquent, les différentes barrières berçant son être ne sont plus présentes. S’étant envolés comme âme perdues ricanant sous le chemin des prémisses de l’Enfer. Lieu où les pires atrocités orchestré par des démons sont vivantes. Le sabre de métal s’abat de nouveau avec une fureur magnifique, cette dance de la guerre flattant mollement les oreilles des innombrables guerriers sur le champ de bataille. Ces derniers le savent aussi. La connaissance de la plus simple vérité est leur. Pourtant, ces membres d’une élite militaire totalement inconnue se battent encore et encore dans la plus grande joie. Répandant le sang comme le ferait un animal seulement guidé par son bas instinct animal. Vouloir et pouvoir sont deux actes pourtant bien différents, mais dans leur esprit, ces deux derniers mots de la langue forme un seul et unique ordre, ayant par conséquent la même racine. Le passé n’est nullement changeable, cette chose s’accroche à sa prestance avec une certaine fureur, comme le ferait finalement une hyène rieuse contre la pâle antilope galopant aux grès des caprices du vent. Le présent lui par contre, tombe dans une trappe assez aléatoire, ne pouvant finalement n’être nullement arrêter, et au contraire, le pouvant avec une certaine facilité totalement déconcertante. Le plus intéressant reste certainement le futur, l’expression de la vérité par un flou total. Impossible de savoir avec une certitude hérétique les actions futures, les actions de la propre vérité tout simplement. C’est pour cela que les horlogeries des guerriers s’animent dans un feu éternel, alimenté par une douce mélodie, les lamentations de leurs ennemis.

L’épée d’or, le sabre d’ambre, cette chose toute simplement magnifique faiblit définitivement. Les éclats de poussières de cette magnifique couleur parfaite s’étale dans les vents, avec une certaine lassitude pour tout dire. Une marée de flot rougeâtre s’étalant autour de cette arme purement blanchâtre. Effectivement, et avec une lenteur cette arme devient un être vivant seulement composé d’hémoglobines. Un homme. Cette petite chose totalement faiblard et peureuse. Semblable à la plus idiote de la plus petite des créatures existantes sur ce petit bout de masse terreuse résumant finalement très bien la Planète Terre. Pourtant, une chose différencie bien précisément cette petite chose trainant maintenant dans la boue la plus ragoutante. Une autre masse de terre, donnant par conséquent une envie de voir ses merveilleuses cordes vocales complètement obstruées par un flot de défécation orale. Cependant, cela est bien et bel son habitat. Cette épée topaze laissant son soupire venir contre ses fines lèvres rosâtres. Cette dernière trahissant malheureusement son état qui, apparemment n’était nullement d’une quelconque joie. Les nombreuses onces de guerriers arrivant par vague littéralement gargantuesque. Effectuant encore une fois un geste tranchant, le plasma pourpre se reposa violement contre le plat de l’objet en métal, cette dernière s’en amusant avec une certaine nonchalance. Au loin, malheureusement ou encore bien heureusement un cri rauque et bestial se fit entendre loin des pleines de l’horlogerie internes. Cette déflagration sonore stoppa littéralement les nombreux combats s’établissait au plus haut de la plaine terrestre. Le futur est maintenant, peut-être prédéfini. Les hypothèses s’engendrant avec une grande puissance. Le futur, chose encore totalement pas véritablement acquis. Le sabre jaunâtre effectuant un dernier mouvement, l’hurlante bête arriva dans une bestialité extrêmement importante. Déchirant sans aucune once de pitié ses propres guerriers, cette chose noirâtre, issu directement des Ténèbres les plus vicieux, elle arriva. L’épée fondant contre la créature. Cette dernière devient la bête, et la bête devenant l’épée…

Secouant rapidement la tête, le teint purement rougeâtre contre ses fins carreaux de joues s’établissait dans sa peau ne s’arrêtant nullement. Gardant sa carnation rouge totalement inhabituelle envers sa peau normalement finement blanchâtre. La gorge de l’ectoplasme se contracta assez mollement suite à la réponse de la jeune femme à la crinière ébène. Ecoutant avec une attention inquisitrice le flot de paroles de la colombe, l’espèce de militaire laissa malheureusement sa douce sphère émeraude parcourir avec une certaine lenteur le magnifique corps de l’inconnue à voix pourtant si douce. Se délectant de chaque partie de la peau blanchâtre nue, la couleur rougeâtre continua tranquillement son chemin, restant comme une espèce de ver de mouche sur un tas de viande putride. Remontant lentement pour la seconde fois son regard assez particulier envers la fine cuisse crème de la douceur humaine, sa propre nébuleuse se calma finalement, se reposant contre le regard de la jeune femme. Ayant effecteur un geste totalement déplacé, le fantôme de la brume sentit son mal-être revenir une nouvelle fois, avec une exquise fureur. Laissant la main ayant précédemment effleuré la peau dénudée de la parfaite demoiselle, cette dernière effectua de petits balancements contre la gravité de la Planète Terre. Son autre main, elle, s’extirpa toujours aussi timidement de la poche de son pantalon noir ébène. Il avait déjà effectué un mauvais geste envers l’inconnue, nullement besoin d’avoir qui plus est une attitude nonchalance voir arrogante. Replaçant d’un geste assez doux une de ses propres mèches flamboyantes contre l’arrière de son oreille. Ces derniers extrêmement bien lissés par une fureur inquisitrice avec malheureusement la lassante habitude de revenir avec une certaine monotonie contre le front pâle du jeune homme. Grognant gentiment contre lui-même, alors que cette mèche se positionnait finalement et définitivement contre la source d’audition, il engendra un deuxième petit sourire depuis le début de la soirée.

Finalement, le jeune homme hocha positivement la tête envers le flot de paroles qu’elle avait littéralement déversée sur le jeune homme à l’allure de pirate. Ses paroles étaient clairs, simples et, il fallait bien l’avouer assez plaisantant à l’oreille. De par cette élocution sonore, un léger frisson parcourra sa colonne vertébrale avec un certain amusement. Essayant par conséquent de paraitre le plus naturel possible face à la jeune femme à la crinière magnifiquement noir ébène. Son sourire toujours aussi timide laissa place à une mine légèrement mécontente pendant une fraction de milliseconde. Finalement, l’espèce de forme de plaisir réapparut avec une certaine douceur contre sa façade purement blanchâtre. Ne s’en rendant définitivement plus compte, les nombreux litres d’hémoglobines détenues dans ses joues eurent dévissement reprirent leurs nombreux emplacements. Que cela soit dans le bras, dans les jambes ou encore bien-même de l’immense horlogerie calculant les moindres faits et geste du haut gradé militaire. Remarquant la jeune femme prise par une quinte de toux assez conséquente, il engendra finalement un pas vers elle. Surement par pur réflexe que par galanterie. Néanmoins, le jeune homme à la crinière flamboyante ainsi qu’à la tenue sombre s’inquiéta auprès de la situation de la douce colombe apportant la paix dans cet endroit peut-être légèrement trop exiguë. Passant une main légèrement tremblante dans ses propres cheveux, ces derniers furent remis encore une fois en place. Ce geste allait surement revenir souvent dans la soirée, que cela soit au courant de la nuit ou encore bien-même au début de la soirée. Remarquant que la file venait finalement d’entre légèrement réduite, plusieurs pas s’engendrèrent avec Tsuki Ôkami, maitresse inconnue d’un pays encore plus inconnu. S’étant positionner à la droite de la jeune femme, le militaire regarda par-dessus l’espèce de graisse fleurant littéralement avec une prostituée. La suite allez encore être assez longue. Voir trop… Reportant finalement son attention vers la jeune femme, il annonça. Le militaire n’avait bien attendu pas vu le geste du verre, trop absorbé par la file… Remarquant d’ailleurs un détail assez surprenant.


« Je me prénomme Hunk Moroshi. Mais Hunk suffira surement, mademoiselle… Sinon, pour répondre immédiatement à votre question, il m’arrive de venir quelque fois ici. Rarement, je me dois bien entendu de l’admettre. Malheureusement, aujourd’hui est une soirée à thème. » Laissa un petit silence dans ses propos, il engendra un pas sur le côté, désignant la pancarte juste en face de l’affiche. « Une soirée avec de la mousse à perfusion... » Murmura-il.

Son regard ce reportant finalement sur la jeune femme, le petit sourire timide revenue encore et encore. Comme une douce machinerie. Secouant une nouvelle fois, sa main gauche se leva finalement, cette dernière s’avançant vers celle de la jeune femme. Pour tout dire, Hunk Moroshi venait de repérer un trou pouvant accueillir facilement deux personnes dans la file, se retrouvant par conséquent presque au-devant du long chemin humain. Définitivement, sa main se retrouva près de celle de la colombe blanche.

« Puis-je ? » Demanda-t-il dans un murmure, les joues en feu.

Une fois l’action effectuée, Hunk accéléra légèrement le pas, se glissant alors avec une certaine furtivité dans le nouvel emplacement. Le teint toujours aussi rougeâtre, il lâcha finalement avec une douceur magnifique la main blanchâtre de la jeune femme, s’excusant par avance.

« Veuillez m’excuser de ce geste, mais je voulais vous remerciez de m’avoir indiqué le temps, et… Vous faire passez plus vite est mon remercîment… »

. : Suite à venir. : .




Tsuki Ôkami
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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue696/1000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (696/1000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 15:46

Il est assez intéressant voire même captivant d’étudier le comportement des gens lorsqu’ils rencontrent un inconnu , les réactions sont variées mais ce que l’on retient souvent est la première impression que nous a fait une personne . Pour ma part je laissais rarement transparaitre mes émotions et je me contentais juste d’être courtoise envers la personne en face , du moins si elle le méritait , sinon je pouvais avoir des réactions … Démesurées ? Nous pourrons dire cela comme ça mais j’avais perdu l’habitude de rencontrer des gens ou tout du moins de m’intéresser à eux . En général il n’était pas rare que j’écoute une personne me parler sans prendre gare à ses dires avant de me retourner avec un grand sourire et lui dire que je m’en fichais complètement. J’aimais voir alors le visage de cette personne se décomposer passant d’un air surpris à mal à l’aise puis parfois à la colère mais qu’importe , les gens ne pensent qu’à eux même la preuve étant justement ce besoin , la nécessité de parler de sa vie à des gens que l’on vient tout juste de rencontrer, je ne comprendrais jamais cela et je les méprisais, comment pouvait-on vouloir raconter des choses personnelles à tout bout de chant , certes les expériences que j’avais vécue trompaient sans doute quelques peu mon jugement mais l’Homme est une créature tellement vile et fourbe qu’il me donnait la nausée .


Cela va tant pour les hommes que les femmes quoique j’ai certes plus de mal avec les hommes . Ayant vécue seule depuis des années j’avais pu me rendre compte de la lourdeur et de l’absence totale d’intelligence chez ces individus à tel point que j’étais surprise quand je rencontrais une personne que je qualifierais « d’intéressante « car l’Homme ne cherche pas à se différencier bien au contraire il aime se complaire dans sa médiocrité en voulant à tout prix ressembler à la normalité alors qu’il ignore même ce que ce mot signifie. Ces individus me répugnaient profondément , totalement inconscient de ce qu’étais réellement la vie et ne voulant que leur petit bonheur personnel sans se soucier d’autrui et il n’était pas rare que je me mêle tout comme eux le font si bien des choses qui ne me regardent pas et que je les remette correctement à leur place de misérable qui leur était réservée .


La rencontre que je venais d’avoir avec un de ces homme ne répondant qu’à ses hormones illustrait exactement ce que je pensais et ne faisait que renforcer ma haine envers le genre humain . Bien que je sois humaine moi aussi même si j’aurais souhaité être autre chose que cela. Cependant ma deuxième rencontre de la soirée s’annonçait plus intrigante et avait piquée ma curiosité exacerbée , de par son attitude absolument nouvelle et surprenante pour moi car je pense du moins aussi loin que ma mémoire veuille me ramener n’avoir jamais rencontré un homme faisant preuve de timidité , tous présomptueux , sur d’eux , ou même si ils étaient sympathique jamais ils ne faisaient preuve de timidité . Cette réaction nouvelle pour moi attirait donc mon attention , la teinte carmin de ses joues me faisant sourire et me mettant également mal à l’aise car je ne savais pas quel comportement adopter face à cela , me retrouvant comme un enfant qui découvre une chose qu’il n’avait jamais connu avant et ne sachant comment réagir se retourne vers ses parents avec un regard interrogateur cherchant des réponses . Sauf que mes parents à moi n’avaient pu m’apprendre ces choses-là et je me retrouvais dans une situation déstabilisante .


Mais cela ne dura pas très longtemps car je sentis le regard du jeune homme se poser sur moi avec insistance, la couleur de ses joues allant croissante au fur et à mesure qu’il parcourait mon corps du regard . Je souris intérieurement , cette situation était déjà beaucoup plus familière et me rappela que les hommes sont bien tous les mêmes . Je détournais le regard faisant mine de rien et en profitais pour regarder les lieux. La queue avait considérablement augmenté depuis son arrivée et je me demandais comment tant de personnes allaient bien pouvoir rentrer …. Je fus sortie de mon dilemme mathématique car je sentis quelques chose m’effleurer, je clignais alors des yeux et vis la main du jeune se balancer nonchalamment d’avant en arrière . J’esquissais discrètement un fin sourire , il sortit son autre main de sa poche et d’un geste fluide plaça ses cheveux derrière son oreille , sans doute une espèce de diversion je supposais car j’étais moi-même adepte de ce mouvement , j’eus envie de rire un instant mais je me retins , le simple déplacement de ces cheveux avait déplacé son odeur dans l’air et un frisson me parcouru l’échine , subtile et enivrant parfum . Je perçus également son léger grognement de mécontentement alors que son visage perdait son sourire avec lequel il m’avait abordé , puis reprenant un sourire il s’approcha de moi me révélant son nom , Hunk Moroshi , je le répétais instinctivement dans ma tête tout en l’admirant , le noir de ses vêtements faisant ressortir l’éclat de ses cheveux qui contrastaient merveilleusement avec la couleur divine de ses yeux . Il me révéla également qu’il s’agissait d’une soirée à thème , soirée mousse plus exactement . J’écarquillais les yeux et tournait mon regard dans la direction qu’il m’indiquait , la pancarte était claire au moins , on ne pouvait pas avoir de doute sur le thème de la soirée et je me demandais pourquoi je n’y avais pas prêté attention avant .Aussi je fus surprise de cette révélation , je n’étais pas habillée de manière à aller dans une telle soirée mais tant pis , advienne que pourra , et cela pouvait être plutôt distrayant .Après avoir examiné la pancarte mon regard se reposa à nouveau sur la file qui bien qu’ayant diminué quelques peu étaient tout de même désespérément longue, c’est alors que le jeune homme me tendit la main avec un sourire en demandant la permission que je la lui donne , cela me fit sourire car je n’étais pas vraiment habituée à ce genre de courtoisie aussi acquiesçais-je simplement de la tête et pris sa main . Rapidement il m’emmena au devant de la file se faufilant dans un espace vide , Je le suivis me demandant un instant si nous allions nous faire remarquer ou pas espérant que cela ne soit pas le cas et je fus fort contente de me retrouver si bien placée mais le jeune homme se confondit en excuse dès que nous ayons repris place dans la file d’attente ce qui une nouvelle fois me surpris, cet individu était décidément bien différent de tout ceux que j’avais rencontré , et cela n’allait pas pour me déplaire . Je me demandais aussi si ses joues perdraient leur teinte vermeille un instant … Je lui souris :


« Il n’y a aucun mal … Et ce serait plutôt à moi de vous remercier car je vous ai juste dit quelques mots et vous m’avez fait gagner au moins une heure d’attente , je vous revaudrais cela une fois que nous serons entrés «


Je lui fis un clin d’œil et nous continuames à avancer , en à peine quelques minutes nous fumes arrivés devant la porte et le videur leur adressa juste un regard , les scannant de haut en bas jugeant leur tenue et ouvrit la porte en leur faisant signe d’entrer . Ce fut un choc lorsque j’entrais non pas dans le mauvais sens du terme bien au contraire , la salle était immense et je dus plisser les yeux pour m’habituer à la sorte de pénombre des lieux traversées par les rayons lumineux et autres stroboscopes mais ce qui me frappa le plus fut le niveau de la musique quoique habituel les premières minutes étaient toujours douloureuses de plus que j’avais une ouïe bien plus développée que les autres humains ce qui me donna un peu le vertige les premiers instants sans pour autant me faire perdre ma bonne humeur . Je me retournais avec un grand sourire et fit signe à Hunk de me suivre , me dirigeant vers un bar sur lequel il y avait de l’alcool à profusion, je me mettais sur la pointe des pieds en faisant signe au serveur m’approchant de son oreille pour lui passer commande et quelques instants après il m’apporta 2 verres bien colorés sentant assez fortement l’alcool , je mis la paille dans ma bouche et en pris une gorgée , un frisson me parcouru et je plissais les yeux en secouant quelques fois la tête avant de me mettre à rire . Je tendis l’autre verre à Hunk en souriant :


« Tenez , pour vous remercier de m’avoir permis de rentrer aussi rapidement , bon c’est plus un cadeau empoisonnée qu’autre chose et j’en suis franchement désolée mais je ne savais pas quoi prendre j’ai donc demandé au serveur de me donner ce qu’il voulait , je n’aurais sans doute pas du … «


Je me remis à rire doucement continuant de siroter cette boisson au goût inqualifiable en regardant Hunk puis détournant mon regard vers la piste de danse , noire de monde se déplaçant comme une masse unique au rythme de la musique avec toujours les mêmes genres de personne , les bourrés qui tiennent à peine debout mais qui dansent comme des acharnés , les dragueurs lourdingues qui se collent à vous pensant avoir une chance , les filles sûrement pas majeures qui se tortillent de façon vulgaire attirant des hommes ayant parfois plus de 10 ans de plus qu’elles , les gens normaux qui viennent entres amis pour passer une bonne soirée , le gars ou la fille seule au bar qui sirote son verre attendant désespérément que quelqu’un l’invite à danser et bien d’autres énergumènes … Cela faisait une éternité que je n’étais pas allée dans ce genre d’endroit et je sentis la petite boule d’excitation se nouer dans mon ventre me faisant sourire bêtement , je trépignais sur place , il y avait tellement longtemps que je n’avais pris un instant pour m’amuser que mon corps tout entier voulait se ruer sur la piste de danse ayant passé des années à apprendre cette discipline j’en ressentais à ce moment précis un véritable besoin . Je regardais mon verre qui se vidait d’une incroyable lenteur mais je dois dire que ce n’était pas le cocktail le plus fameux que j’eus gouté jusqu’à ce jour mais néanmoins un des plus violents je dois dire car je sentais le liquide couler dans ma gorge en y laissant une chaleur intense . Je touillais mon verre avec ma paille et prenant mon courage à deux mains je le vidais d’un trait ce qui me valut de faire une grimace assez sympathique mais si je n’avais pas fait cela je sais que je ne l’aurais probablement jamais fini , sur ce coup là le serveur m’avait bien eut . Je regardais alors Hunk remettant un instant mes cheveux en place avant de m’avancer un peu plus vers lui , approchant mon visage de son oreille afin qu’il puisse m’entendre :


« Vous … Enfin on peut se tutoyer non ? Seulement si ça ne vous , enfin si ça ne te gêne pas … Euh … Donc , tu veux danser ? «



Je me reculais d’un pas me sentant absolument ridicule, si il y avait eu un mur à proximité je me serais volontiers frappée la tête contre celui-ci car ma phrase n’avait ni queue ni tête. Je passais une main dans mes cheveux en penchant la tête sur le côté avec un sourire maladroit en jurant intérieurement contre moi-même .
Hunk Moroshi
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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue1377/2000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (1377/2000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeLun 27 Juin 2011 - 9:34




. : La danse est une poésie muette. : .

L’amitié d’une nouvelle raconte est une chose assez originale mais qui, une fois commencé est une chose totalement parfait et, quelque peu amusante. Cela était une chose bien véridique dans l’esprit maussade de chaque être humain rampant avec une douceur certaine contre le trottoir sale, meurtrie par les nombreux voleurs, s’enrichissant mollement des trésors des hommes de la Haute Société. Et cela ne nous dérange nullement. L’anthropoïde aime ce sentir aimer, que cela soit par ses proches de la famille, ou encore bien les magnifiques êtres humains que nous plaçons avec une certaine nonchalance dans la catégorie crémeuse de « fiancé(e) ». Malheureusement, il n’est pas rare que cette espèce de catégorie reste, avec une certaine nonchalance mollement vide pendant un laps de temps assez important. De par cela, la population environnante reste dans une zone de l’amitié assez timide, une chose qu’on pourrait qualifier de mignonne selon certaine personne. Les piller, choses totalement faites de marbre pures et magnifiques s’intègrent dans ce qui pourrait être la délivrance de notre organe le plus précieux. Ce dernier maintenant recouvert d’un fin voile blanc, nullement tâché par le souffle perversement perfide de la douce Faucheuse. Son long manteau trainant dans une marée à l’hémoglobine rougeâtre, voir pourpre. L’amour, l’amitié, la mort ou encore bien-même la colère sont de nombreux sentiments que la plupart des pâles personnes vivants sur le grain de poussière croyant que tout cela n’a véritablement aucun lien propice. Mais pourtant, derrière la barrière transparente de l’irréel, un homme, un spectre, une chose qu’on pourrait finalement croire nullement vivante tire, dans un ricanement magnifique les ficelles de la vie. Organisant chaque sentiment dans une catégorie bien précise. Chaque case, étant par conséquent relié par un fil, un fil totalement indestructible crée par la magnifique araignée noirâtre, voire légèrement, finement blanchâtre.

Un pauvre enfant, son dos mollement courbé vers l’arrière contre une plaine terrestre n’étant rien d’autre que son habitat naturel. Que peut bien-t-il faire dans un endroit aussi maussade que cela ? Un pauvre terrain honorablement médiocre. Son enveloppe corporelle avait connue d’innombrables horreurs depuis de nombreuses années. Voyant de gargantuesques vies, infimes certes venir rejoindre le somptueux manteau de l’imminente faucheuse. Pourtant, bien que ces âmes bien plus fortes que ce petit enfant, cette chose totalement faiblarde sortant de son trou seulement pour venir se nourrir de temps en temps, lui, était encore présent. Et, l’insignifiant le savait véritablement. Le chemin de la destinée lui était connu et perçu depuis des nombreuses années. Que cela soit en sa faveur, ou encore bien au contraire, amenant son corps à être lieu de d’infinies tortures douces. Mais son cœur, pâle instrument faisait mettre en route son enveloppe corporelle était toujours en marche, comme une magnifique machinerie, un robot qu’on graisse mollement suite à de nombreuses révisions menées avec une fureur totalement inquisitrice. Et sait, le mot savoir est une chose assez importante à ses yeux. Ce petit monstre de savoir grandit avec une certaine monotonie affolante, puisque, par conséquent, il connait le créateur de ses nombreux fils totalement indestructibles. Serait-il finalement ce même personnage ? Sa vie assez monotone est tout simplement la même que le magnifique animateur. Cette chose, cette créature finalement maussade et glauque ricane en vous regardant de son air simplement supérieur. Grossissant à chaque sentiment s’insérant doucement dans l’esprit assez simpliste des êtres humains tombant dans la catégorie purement lambda. La carapace ce forme lentement, renforçant par la même occasion les nombreux enchainements de cordelettes. Maintenant, la créature change encore et encore, passons cependant une fois par une nouvelle forme assez conséquente, l’enfant n’existe plus, pour toujours.

Originalement, la magnifique créature qui est, définitivement ce pauvre petit enfant à la crinière simplement et littéralement flamboyante, s’intègre dans la vie de la population insoutenable. Cela est certes bien entendu lassant de voir cette chose devenir un être humain tout simplement. Pourtant, ses sentiments sont impeccablement gardés par une forme de machinerie sans état d’âme. Un monstre de métal assez gargantuesque au pouvoir tout simplement infinie. Une chose que nous pouvions finalement trouver assez comique, ironique ou encore bien-même, pour un part peut-être infime de personne satyrique. La créature, suite à sa nouvelle apparence regarde le monde l’entourant avec une fureur inquisitrice. Son regard résultant de deux nébuleuses affirmant sa propre opinion sur l’agglomération, voir la population l’entourant avec une certaine lassitude, ne prêtant nullement attention à lui. Cela ne dérange nullement cette mystérieuse créature à a carapace noirâtre. Cette chose totalement incassable comme le plus pur des cristaux bleuâtres. Un objet comme adorerait avoir en sa possession mais qui, malheureusement est tout simplement impossible de l’obtenir. Et pourtant, les personnes ne se dépassent nullement. Ils le savent, la connaissance est le savoir, il le garde avec une fureur inquisitrice, mais pourtant, il ne l’utilise nullement. Ce détail en deviendrait peut-être légèrement amusant. L’hydre antique regarde son environnement, pour la deuxième fois depuis cette magnifique transformation en ce qui semble être un pauvre être humain assez las. Certes, pour l’instant la nouvelle créature a encore du mal avec cette nouvelle enveloppe corporelle. S’en amusant presque, il se devait de connaitre chaque possibilité et compétence de cette chose résultant du pauvre amas de chair littéralement abjecte. De nouveaux pouvoirs, de nouvelles possibilités toutes simplement gargantuesques. Oui, la violence, la puissance, le contrôle de nouvel être, et de chose totalement parfaite. Oui, maintenant, cela n’allait nullement être finit, l’apogée était présente.

Gardant encore son attention sur la jeune femme, le teint plutôt rougeâtre du militaire s’échappa finalement une fois pour toute de la façade blanchâtre. Cela était un véritable soulagement pour ce haut gradé. Alors qu’une légère forme de plaisir, à savoir un petit sourire s’installait suite au petit clin d’œil, la main blanchâtre rejoignit finalement et pour toujours le vaste poche de son pantalon noirâtre. Non, nullement, le jeune homme à la crinière flamboyante n’était pas encore fatigué ou encore bien-même blasé. Ne prenant définitivement aucunement le temps d’observé l’espèce de chose gardant les lourdes portes de la merveilleuse boite de nuit. Poussant la gargantuesque portail miniature, un coup d’œil apparut pourtant contre la colonne antique, et l’attitude qu’il engendra comme l’enveloppe de la demoiselle fit naitre une grimace en coin. Certes, il avait effectué le même mouvement des sphères oculaires. Mais, cependant il ne s’était nullement concentré sur des zones intimes de la jeune femme. Secouant définitivement la tête, le ninja de Konoha No Kuni manqua de percuter avec une certaine violence l’un des piliers de la salle à la sonorité assez puissante, voire d’une violence totalement magique. Cette déflagration arracha littéralement les deux cages auditives de l’homme, cela était une habitude à chaque rentrée dans un établissement de plaisir. Une sorte de punition qu’on devait malheureusement accepter pour pouvoir finalement s’amuser avec une ardeur totalement fanatique. Grognant légèrement contre l’espèce de musicien de la boite, son attention se reporta alors contre la jeune femme qui, apparemment c’était déjà dirigée vers l’espèce de restaurant à boisson purement alcoolisés. La rattrapant finalement, une main toujours dans la poche, le jeune homme leva mollement les yeux vers l’espèce de fond plafond originalement blanchâtre. Boite de nuit composée de deux étages, le premier servant pour la danse et l’autre pour des choses…

Ayant perdu la jeune femme, son regard magnifiquement émeraude se posa contre les rambardes donnant sur le deuxième étage. Effectivement, du peu qu’on pouvait en voir cela était totalement une chaleur différente contre le premier étage de la boite de nuit. Cela désespérait légèrement le jeune homme à la crinière somptueuse. Sur le plan théorique, selon sa propre vision des choses, l’acte amoureux, qu’importe le niveau de l’acte. Que cela soit tout simplement des caresses ou encore bien un autre acte. Cela ne devait véritablement pas être à la vue de tout le monde. Définitivement, la douce, voir parfaite voix de la magnifique colombe le tira de sa propre conscience. Lui engendrant un magnifique sourire, ses fins doigts capturèrent avec une douceur assez particulière l’espèce de léger verre transparent. Ce dernier bien entendu remplie par une chose à l’odeur assez forte, voir puissante. Le militaire remercia la jeune femme d’un léger « Merci. » ainsi qu’un d’un petit hochement de tête .Cette boisson engendrant une grimace contre la façade blanchâtre du militaire de haut rang. Le doux breuvage venant contre les fines lèvres rosâtres, un goût assez particulier arracha littéralement les cordes vocales de l’enveloppe corporelle totalement indéfinie. Faisant définitivement descendre l’espèce de drôle de breuvage, sa langue se posa contre les lèvres, se nourrissant des fines goutteles à la couleur assez changeante. Clignant par la suite plusieurs fois des yeux, il décida de poser le verre contre la table basse la plus proche. Le mélange d’alcool étant assez fort, il ne valait mieux pas commencer une soirée, - qui plus est une charmante compagnie – d’une façon assez bourrative. Son regard ce perdit une nouvelle fois, nullement contre le corps assez somptueux de la jeune femme, mais plutôt vers le point central de la pièce numéro une. La dance bestiale. Ecoutant d’une oreille attentive la jeune colombe, il hocha simplement la tête.

« … Je… Oui, oui, pas de problème. Vous… Enfin, non. On peut… »

La regardant d’un sourire légèrement gêné, le militaire se sentit assez idiot sur le coup mais que cela ne tienne. Secouant rapidement la tête de gauche à droite, l’homme au bandeau déposa une nouvelle fois sa main contre celle de la jeune colombe aux plumes ébène. L’amenant avec une douceur tout simplement infinie, l’anthropoïde l’apporta tranquillement vers le carré de dance. Bien qu’il ne sache danser, il fallait bien faire quelques efforts pour s’amuser. Le destin, peut-être sourira définitivement au jeune homme, puisque, originalement la musique se stoppa avec une violence sans pareille. Dans un petit soulagement, Hunk leva les yeux vers les nombreux piliers qui, apparemment laissé ouvrir une petite boite incrusté dans le marbre-même du pilier. Dans un gargouillement, les colonnes vomissement littéralement un flot de mousse blanchâtre tout simplement gargantuesque, remplissant par conséquent le premier étage de la boite de nuit. Celui où les deux jeunes adultes étaient –malheureusement ou heureusement –. Tenant toujours la main de la jeune femme, la musique réapparut avec une certaine douceur, l’ambiance changeant bien entendu par conséquent. Complétement déboussolé, sa main tomba finalement dans le vide, il secoua rapidement la tête, sentant le sol glissant, essayant de tenir, droit, il engendra un geste de la main pour reprenant la dernière de la Déesse puis, le corbeau rougeâtre annonça :

« Eh… Bien… Cette dance alors ? » Plaisanta-t-il doucement, l’atmosphère devenant un peu plus enfantine qu’avant…

. : Suite à venir. : .




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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue696/1000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (696/1000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeVen 8 Juil 2011 - 9:22

La timidité dont j’avais fait preuve il y a quelques instants était nouvelle pour moi et je ne comprenais d’où elle venait ce qui, connaissant mon caractère avait le don de m’énerver car je détestais ne pas avoir le contrôle sur moi-même et sur beaucoup de chose. Quand on vous laisse bien que involontairement seule à l’âge ou l’on ne connait encore que peu de choses au monde et où l’on devrait se soucier de passe-temps futiles, et que soudainement l’on se retrouve projeté dans le monde adulte par mégarde, cela vous oblige à prendre le contrôle ou alors vous devenez fou ou bien finissez par mourir seul délaissé. Si j’avais survécu jusqu’ici , car je ne peux dire que j’ai vécu jusqu’à présent , ma vie a duré 8 ans puis c’est brusquement fini . Depuis ma vie n’a plus vraiment de sens hors-mis un sens la vengeance , trop souvent entendu et devenant parfois banal mais l’Homme est ainsi, si il est blessé il voudra vous faire souffrir en retour . J’étais morte ce jour là et cet individu devrait également en payer le prix . J’avais donc jusqu’à présent plus généralement méprisé les gens que montrer de la timidité en vers eux .


Mais je fus ravie au fond de moi lorsqu’il balbutia avec peine une phrase toute aussi incongrue et vide de sens que la mienne et je dus discrètement me pincer la lèvre inférieure pour ne pas rire . Me prenant la main il m’entraina vers la piste de danse , je le suivis en souriant et remarquais qu’il y avait un étage au dessus de nous , des rambardes marquant les balcons attirèrent mon attention car un homme et une femme s’embrassaient avec passion ce qui me valut un haussement de sourcil dédaigneux , c’était une prostituée , cela se voyait en un coup d’œil et la plupart des femmes se trouvant dans ce genre d’endroit en étaient bien que se faisant passer pour des jeunes filles de bonnes familles . N’attardant mon attention plus longtemps je reportais mon regard sur Hunk, le regardant avec un peu plus d’attention , une attention nouvelle , différente . Puis soudain la musique s’arrêta , je fronçais les sourcils en cherchant quelque chose qui aurait valu cela en poussant un soupir de déception car j’avais réellement envie de danser . Puis un bruit plutôt étrange pour ce genre d’endroit ce fit entendre et quelques secondes plus tard je sentis quelques chose de froid contre mes jambes ce qui me fis sursauter en écarquillant les yeux avant que je me rende compte que cela n’était que de la mousse en me mettant à rigoler bien que je fus en cet instant j’eus un peu froid , enfin j’avais froid dans le bas du corps mais je sentais la douce chaleur de l’alcool sur mes joues bien qu’encore subtilement discrète.


La mousse continua à monter doucement , la musique n’ayant pas encore repris les gens commençaient à s’amuser avec la mousse , certains se faisant des barbes de père noël ou autre chapeau étrange , puérils , mais il est vrai que cette mousse avait tendance à vous faire retomber en enfance et vous donnait envie de faire des pitreries. Je lançais un regard malicieux à Hunk en établissant un mini plan dans ma tête , sa main tenait toujours la mienne mais je n’y prêtais qu’une attention secondaire maintenant sauf que la musique reprit mais différemment , plus douce . Au fond de moi j’eus envie de me frapper la tête contre le sol , le destin s’acharnait sur moi je pense , je voulais danser et je me retrouvais entourée de mousse , ma robe encore plus collée à mon corps comme si c’était une seconde peau et qui plus est avec un slow qui commençait . Non mais c’était quoi ces boites qui arrêtent la musique en plein milieu alors qu’il y a une ambiance du tonnerre et vous mettent un slow , du jamais vu . Je poussais de nouveau un long soupir alors que je sentis sa main me lâcher , un sourire se dessina sur mon visage . Et après un instant de timidité il reprit ma main , j’entrelaçais mes doigts avec les siens et il me demanda de danser . Je lui fis un sourire tendre et prenant discrètement une poignée de mousse avec mon autre main puis je la lui passais doucement sur la joue , lui recouvrant une moitié du visage de ces fines petites bulles avec un sourire avant d’ajouter :


« Je reviens … «


Puis mon sourire s’élargit et je lui tirai la langue avant de disparaitre parmi la foule recouverte de mousse . Je ne cacherais pas que je glissai à plusieurs reprises parfois me rattrapant à la personne la plus proche de moi . Pourquoi j’étais partie ? Je ne le sais pas trop mais je dois dire que cette situation me mettait mal à l’aise et j’avais l’impression qu’il disait ceci sans conviction , par défaut dirais-je et lorsque j’étais mal à l’aise la solution la plus simple était de partir, je poussai d’ailleurs un long soupir de soulagement d’avoir échappée à cette situation bien qu’une autre partie de moi criait au scandale et voulait que je retourne le voir.Je venais de lui mettre ce que l'on peut appeler " un vent" et pas des moindres , seulement j’étais confuse et il fallait que je me remette les idées en place , et pour cela rien de mieux que d’aller voir mon meilleur ami de toutes les soirées , le barman . M’avançant de nouveau vers le bar je commandais rapidement un verre que je bus tout aussi vite en regardant la piste de danse ou quelques couples dansaient , un nœud se forma dans mon estomac mais ne dura que quelques instants car en une transition plutôt réussie la musique reprit son ambiance normale de soirée, c’est-à-dire un volume outrageusement élevé et un rythme entrainant . Ma robe gouttait régulièrement sur le sol et mes cheveux commençaient à onduler à cause de l’humidité croissante. La piste se noircit à nouveau de monde et je ne mis pas longtemps à retourner sur la piste cherchant la trace de celui que j’avais lâchement abandonné par peur .


J’avançais à tâton parmi cette foule bondissante , me glissant entre les personnes tout en cherchant cette chevelure rousse si reconnaissable . Pendant quelques minutes je ne la vis pas et commençait à me dire qu’il avait du partir ou bien trouver une compagnie plus plaisante que la mienne . Cette idée me déplut quelques peu et je l’oubliais rapidement . Restant immobile au milieu de la piste je tournais sur moi-même en me mettant sur la pointe des pieds bien que portant des talons afin d’essayer de le retrouver puis d’un seul coup une effluve me parvint et un sourire se dessina aussitôt sur mon visage . Je suivis la direction de cette odeur bien que n’ayant nullement voulu utiliser mes qualités de pisteuse pour le retrouver mais son parfum m’était parvenu par hasard. J’aurais pu fermer les yeux et suivre mon instinct et me serait retrouver face à lui , je suivis mon flair et sa chevelure m’apparut , étrangement un frisson me parcouru lorsque je le vis puis un sourire se dessina sur mon visage , je m’avançais discrètement vers lui par derrière et approchant ma tête de son oreille je lui chuchotais :


« Bouh … «


Puis le regardant avec un sourire je passais une main dans mes cheveux mouillés par la mousse qui était d’ailleurs encore présente sur quelques endroits de ma robe et j’ajoutais :


« Je suis désolée d’ être partie précipitamment … je ne sais pas trop ce qui m’a pris … Aussi je comprendrais si tu ne veux plus de ma compagnie … «


Je baissais les yeux avec un sourire maladroit et eus un petit hoquet , je ris spontanément , les effets de l’alcool commençaient à se faire ressentir , je n’avais bu qu’assez peu , mais suffisamment vite et relativement bien dosé ce qui me valait d’être un petit peu joyeuse en cet instant et un peu mal à l’aise également car les gens vous jugent lorsque vous êtes ainsi , vous prenant pour un ivrogne alors qu’ils ne savent rien de vous . Mais je me moquais de ce que les gens pensaient de moi et si il me voyait ainsi alors c’est que je m’étais trompée sur son compte . Je relevai la tête le regardant à nouveau


« Ca fait longtemps que je ne suis pas sortie donc j’ai un peu perdu mes repères… si on peut dire ça comme ça «



Un léger frisson avait parcouru mon corps lorsque j’avais croisé son regard , cet homme m’intriguait énormément et cela m’enthousiasmait tout en me bloquant , normalement si un homme m’avait proposé de danser j’aurais accepté volontiers mais là j’avais paniqué comme une enfant de 12 ans à son premier bal et je me retrouvais tout aussi tétanisé.




Ps : vraiment désolée du temps de réponse mais entre le bac , les fêtes d'après bac , la famille qui débarque , ma préparation de voyage au Japon ...etc je me suis un peu laissée débordée .. Pardon .
Hunk Moroshi
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeSam 9 Juil 2011 - 16:10




. : La maladresse de l’homme, est son arme la plus puissante. : .

Chaque relation que nous tissons dans notre esprit reste plus ou moins dans notre passé. S’accrochant alors comme un petit ver blanchâtre rampant alors à la paroi qu’est la corde vocal de l’humain. Gigotant avec une fureur tout simplement animale, l’espèce de cylindre vivant ne lâchant nullement les nombreuses acoustiques de l’espèce de géant vivant habitant entre ses innombrables semblables. Pourquoi nous efforcerons de faire tout cela ? Nous nous amusons de faire tout cela. Devenir des ami(e)s, devenir des ennemi(e)s ou encore bien d’autres situations assez originales ou tout simplement banales. Chaque enveloppe corporelle se confond dans un certain confort qui grandit avec une certaine monotonie dans ses veines rougeâtres. Et, quelque part, entre les vers grandissant à la lueur de la nuit, ainsi que le cadavre putride maintenant dans le cresson bleu de la nuit, rongé doucement par les derniers insectes se délectant des nombreux organes pourpres, magnifiquement. Plusieurs choses apparaissent. Ces dernières pouvant être finalement misent dans la même catégorie pour toujours. Cela s’appelle tout simplement les sentiments. Un flot, une marée tout simplement magnifique voir somptueusement d’une beauté olympienne. Nous connaissons tous cela. Qu’importe notre âge assez dérisoire, ou encore bien-même extrêmement élevé. Nous le savons tous. Absolument. Grognant contre son propre sort, le cadavre se réanime doucement et avec une certaine lenteur monotone. Oui, bien que son pauvre cœur résultant des prémisses du pandémonium infernal. Cela est un mystère de la nature sûre mais, originalement personne ne s’en rend véritablement pas compte. Hurlant contre le cresson maussade, s’étalant comme un tableau aux teintes bleuâtres. Oui, ce monstre, cette créature ou encore bien-même ce qu’on pourrait littéralement appeler un « zombie » n’est guidé que par une seule et unique chose. Ses sentiments magnifiques existent encore dans son organe mort depuis des crépuscules. Pour malheureusement toujours.

Chaque enveloppe corporelle à sa propre méthode. Il l’organise comme une merveilleuse dance ou encore bien un papier à musique qu’il se doit d’entretenir avec une fureur tout simplement fanatique, voire inquisitrice ou encore bien hérétique selon certains points de vue. Nous l’avons tous. En nous et par conséquent nous l’utilisons sans le vouloir. Mais, originalement, nous utilisons ce savoir-faire de différente façon. Que cela soit pour discuter tranquillement, pour s’amuser légèrement avec une certaine personne maussade ou encore bien, au contraire une personne qui nous intéressasse extrêmement. Il existe aussi une autre forme de méthode qui, elle, se situe beaucoup plus haut dans le ciel de l’intelligence pour certaines personnes, ou alors, à la différence, cela ne résulte seulement d’une intelligence totalement amoindrit. Faisant effectuer de nombreux et d’innombrables éclats de rire pour la population environnante. Cela est amusant pour le merveilleux Titan à la crinière magnifiquement constituée d’haillons d’argent scintillant. Nous pouvions appeler cela extrêmement vulgairement la chose suivante comme cela : « De la drague. » Chose semblable à la pire des créatures rampant mollement dans les égouts sales et putrides d’un monde à perdition depuis des générations mourantes. Pourtant, selon la méthode que l’anthropoïde utilise, cette créature résulte soi du pauvre et las asticot à la lueur blafarde ou alors, au contraire du merveilleux papillon aux couleurs tout simplement d’une beauté somptueuse et olympienne. Semblable à un tableau de nuances diverses et variées qu’un artiste à l’esprit ouvert sur de nouveaux horizons. Tout cela, ces nombreuses créatures, ces nombreuses situations, ces nombreux vices. Tout cela et encore plus ne résulte tout simplement que d’une chose. La méthode. Et cela, le sublime monarque aux pouvoirs tout clairement gargantuesque le sait bien. Puisque, par conséquent, il utilise cette méthode. Mais nullement à des fins assez maussades. Nullement, véritablement.

De par cette méthode qu’il adopte alors, cela est extrêmement simple de connaitre la personne en l’analysant seulement d’un simple coup d’œil et par conséquent d’obtenir de nombreuses informations, que cela soit sur sa mentalité ou encore bien, par ses attentions malsaines ou au contraire plutôt sympathique. L’être humain et comme cela, semblable à la plus magique des machineries complexes, dont seulement son créateur connait son fonctionnement – Soi Dieu ou bien les parents, l’opinion de la personne diverge sur ce point de vue. – Mais, heureusement, une certaine personne, qu’elle soit de sexe masculin ou encore bien du sexe féminin arrive à connaitre le fonctionnement de l’enveloppe corporelle d’un individu de type lambda. Magnifiquement, cette clé du cœur de ce dernier va pouvoir connaitre tous les secrets, tous les vices, tous les fantasmes, tous les rêves. Absolument tout et avec une fureur tout simplement délectant. La fermeture en or ne peut être nullement brisé par le geste du sort, du moins pour certaine personne. Cette clé d’ambre et d’argent pourrait, si le plaisir lui convient de devenir une arme de destruction massive pour la personne, que cela soit avec une certaine lenteur monotone, ou encore bien, l’abattant avec une rapidité tout simplement affolante. La clé devient mollement une arme blanchâtre. Devenant une épée de Damoclès au-dessus du personnage central du grain de sable résultant seulement de la Planète Terre. Comme le sabre magnifique s’installant dans la créature noirâtre à la carapace résultant des pires ténèbres, la coéquipière de l’armure topaze se posa finalement dans le monstre à la gueule béante rosâtre. Monstre grandissant mollement dans la catégorie de la méthode, son âme dégageant alors une encense des plus noires et des plus sales. Tout cela n’est pas une chose possible pour la méthode. Pour le possesseur de la magnifique créature, oui.

La sensation assez froide qui traversa le visage du jeune homme réveilla ce dernier avec une rapidité certaine. Bien que la tension fût assez gênée, l’écume blanchâtre posait contre une table d’ébène une situation assez enfantine, voire légèrement mignonne pour de jeunes adultes dans la fleur de l’âge. Alors que le teint plutôt rougeâtre s’installant dans la façade blanchâtre de l’eau ne le quitta pas d’une seule seconde, le militaire à la crinière sanglante ne bougea nullement, tout simplement absorbé par les deux pupilles noirâtre, voire noisettes de la douce et magnifique demoiselle se trouvant alors devant son enveloppe corporelle assez fine, mais pourtant merveilleusement musclé. Par la suite, la douce tira son propre muscle rosâtre en dehors de sa cavité vocale. Originalement ou nullement, l’enveloppe corporelle masculine ne bougea toujours pas, bien que son attention fût maintenant contre la voix mielleuse de la jeune femme. De là, une vague de froid envahit alors le soldat du village à la feuille morte. Une certaine déception arriva alors, mêlant brisement de moral ainsi qu’une désillusion certaine. Ne comprenant pas véritablement, l’hominien aux yeux émeraude posa finalement et définitivement cela sur le compte de la musique changeante. Passant d’une musique au rythme assez conséquent à une voix assez douce, voir mélodieuse. Maintenant que la parfaite était retourné vers un endroit nommé « X », les mains blanchâtres du garçon s’installèrent une nouvelle fois dans les poches du pantalon noirâtre du propriétaire. Dommage, cela était maintenant une certitude mais de toute façon, il fallait bien évidement faire avec. Alors qu’il se décalait maintenant, se retrouva par définition sur le bord de la piste, son regard diamant olive se perdit vers l’étage supérieur. Une grimace apparue finalement contre ses fines lèvres rosâtres. Derrières les nombreux rideaux noirâtres, impossible de savoir ce qui se passait…

Se retournant finalement dans tous les sens, le vieil adolescent se perdit alors dans les limbes du pandémonium musical. Les minutes défilées mollement mais surement. Que faire ? Que dire ? Evitant par conséquent de nombreuses personnes qui venaient rejoindre le carré assez gargantuesque de dance. Apparemment, de nombreux couples étaient présents à cette magnifique soirée de printemps. Bien que, il était impossible de prendre parti pour la soirée, car, définitivement la population était enfermé dans une pièce noirâtre. Secouant doucement la tête, les nombreuses idées qui s’emmêlent dans sa tête disparurent avec une lenteur plutôt monotone voire lasse. Mais surement. Ses fines mains blanchâtre dans les poches de son pantalon, l’adulte à la crinière flamboyante, voire rougeâtre se retrouva définitivement dos à la piste de dance. Entre temps, la musique était maintenant devenue dans une ambiance purement électrique, le genre de musique que les personnes dans une tranche d’âge assez basse sans pour autant être gargantuesque adoraient pus que tout, du moins en majeur partie. Alors que les minutes s’établissaient encore et encore, une voix qu’il connaissait maintenant plutôt bien s’engouffra dans sa cavité auditive avec une douceur et une délicatesse olympienne tout simplement magnifique. La finesse de sa voix donna un merveilleux frisson contre la colonne vertébrale de l’anthropoïde. Se retournant alors par conséquent vers la douce et parfaite, un petit sourire joueur arriva contre sa façade pâle. Posant alors ses deux mains contre la poutre noirâtre, son enveloppe corporelle s’installa contre cette dernière. Son petit sourire ne se perdant nullement. Il hocha doucement la tête en l’écoutant finalement. Regardant de ses deux sphères jades, la douce baissant alors ses yeux, originalement, les rôles étaient maintenant inter changé. Rigolant doucement, mais s’en pourtant être d’un rire plutôt moqueur ou alors comique, le militaire s’enleva alors de la poutre.


« Ne t’inquiète pas, cela n’est nullement grave. Nous avons tous besoin de prendre nos distances, surtout que tu ne me connais pas… Après tout… »

Ne bougeant pas, son teint rougeâtre revient finalement, alors que, le militaire jetait par-dessus l’épaule de Tsuki un rapide coup d’œil regardant le reste de la pièce. La musique était toujours à son comble en pleins milieu de soirée, les jeunes personnes s’amusaient comme des enfants et par conséquent, l’alcool coulé bien entendu à flot avec une nonchalance assez particulière. Reprenant finalement la parole d’une voix douce et magnifique, le léger sourire joueur se perdit finalement, devenant quelques choses de largement plus timide.

« Et… Tu sais Tsuki… » Commença-t-il avec une certaine légèreté. « Je… Ta compagnie. Enfin… Reste. S’il-te-plait. »

Une légère pause s’installa finalement entre les deux adolescents assez âgés. D’un part, le haut gradé dans la hiérarchie militaire était véritablement gêné de la situation. Il ne savait nullement quoi dire maintenant. Aucun sujet de conversation venant dans son esprit assez maussade. Détournant finalement le regard légèrement honteux, ses pupilles se refermèrent finalement dans une mélodie assez douce.

« Je ne sais pas dansé au fait… J’ai un peu menti… » Rouvrant les yeux, il la regarda, plongeant son regard émeraudes dans ceux de la douce à la crinière ébène. Une main dans ses propres cheveux…

. : Suite à venir. : .




Tsuki Ôkami
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeLun 11 Juil 2011 - 21:40

Je fus finalement soulagée lorsqu’il se mit à rire doucement et la pression retomba un peu car j’étais vraiment mal à l’aise de ce que j’avais fait. Un sourire s’afficha finalement sur mon visage lorsqu’il balbutia avec timidité que ma compagnie lui était plaisante , je ne sus quoi répondre hors-mis ce sourire puis Il se redressa finalement et il y eut un blanc pendant un instant ce qui eut pour effet de faire revenir la petite boule au creux de mon estomac , je passais alors nonchalamment une main dans mes cheveux en regardant aux alentours mine de rien sans savoir quoi ajouter. Finalement le jeune homme brisa la glace en annonçant qu’il ne savait en réalité pas danser . Je penchais d’abord la tête sur le côté avec un air interrogateur , plutôt étrange de venir dans une boite de nuit si l’on ne vient pas pour danser , mais soit . Je ris un instant avant de lui répondre :


« Pourquoi venir ici alors si tu ne sais pas ou n’aimes pas danser ? c’est un peu paradoxal non ? «


Il avait détourné le regard et posant mon index sur le côté de sa mâchoire je lui tournais la tête face à moi avant de lui sourire :


« Tu … veux sortir un peu si tu ne souhaites pas danser ? ou je ne sais pas … «


En l’espace de quelques secondes le fait de parler m’avait à nouveau détendu et je commençais à sentir l’humidité voire même plutôt le fait que mes vêtements soient trempés sur moi , la légère morsure du froid commençait à se faire ressentir bien que mon naturel faisait que je ressentais que rarement le froid lui-même mais j’avais cependant une sainte horreur de l’humidité . Plutôt étrange pour une fille du pays de la Brume ou l’humidité est toujours présente. J’essorais d’ailleurs mes cheveux en attendant une réponse de sa part tout en réfléchissant à nouveau . Il me plaisait , il n’y avait aucun doute à cela, physiquement il était parfait et il semblait aussi de ce que j’avais pu en apercevoir avoir une personnalité tout aussi belle . Mais au fond de moi je n’osais faire quelque chose pour lui montrer ou me rapprocher de lui j’avais peur de lui faire du mal et de m’en faire à moi-même . Je me rendais compte désormais que je n’étais plus la même et que je me renfermais de plus en plus sur moi-même contre mon gré. Ne voulant songer à cela plus longtemps je secouais un peu la tête et souriait à Hunk puis grelotant un peu je me mis à danser doucement en faisant simplement balancer mes hanches pour me réchauffer un peu en souriant maladroitement alors que la piste de danse n’était qu’à un mètre de nous, le sol était réellement glissant car recouvert de mousse et du fait que les gens se déplace de partout dans cet endroit ils avaient amené avec eux l’eau en résultant ce qui avait recouvert le sol d’une fine pellicule d’eau dans les moindres recoins de la boite .Discrètement je fis affluer un peu plus de chakra sur mes talons pour éviter de tomber par maladresse et de me mettre une honte monumentale , de plus les quelques verres que j’avais bu ne m’aidaient guère à garder l’équilibre . Puis dans un élan de je ne sais quoi je lui pris les mains en continuant de danser en souriant :


« Tu vois ce n’est pas bien compliqué , tu dois juste laisser tes pieds suivre le rythme de la musique «



Je ris doucement avant d’arrêter de danser car il n’en avait peut-être pas envie tout en gardant cependant ses mains dans les miennes, leur chaleur me réchauffant légèrement et je ne sais pourquoi m’apaisant . Je ne savais plus que faire à présent , aussi le regardais je simplement ,me demandant de nouveau pourquoi il portait un bandeau sur son œil ma curiosité toujours insatisfaite de ne pas avoir eu de réponse : une blessure ? un simple accessoire pour attiser la curiosité des jeunes femmes ? Je ne le saurais pas ce soir dans tous les cas car il n’avait pas l’air extrêmement bavard et la teinte vermeille répétée que prenaient ses joues en disait long sur sa timidité . Ses cheveux quant à eux contrastaient avec cette nature plutôt discrète car leur teinte d’un orange flamboyant ne pouvait passer inaperçue et ils auraient bien pu me rendre jalouse de par leur beauté éclatante . Désormais il était lui aussi mouillé , la mousse ayant imbibé ses vêtements et le bas de sa chemise se collant donc bien plus à son corps me laissant ainsi apercevoir ses muscles saillants .Puis je m’arrêtais brusquement de le fixer car pendant ces quelques instants mon esprit était partie dans la lune et je ne m’étais pas rendue compte de ce que je faisais , je passais mes mains sur ma robe pour en enlever les dernières traces de mousse et j’en gardais une sur ma taille . En fait plus le temps passait plus je me rendais compte que finalement ce lieu ne m’enchantait guère, non pas que je n’aime pas ce genre d’endroit car en temps normal j’aurais déjà été sur la piste voir même monté sur les cubes permettant de se retrouver au-dessus de la foule mais ce soir déjà cette soirée mousse surprise ne m’enchantait guère car je n’aime pas l’eau et je ne l’avais pas prévu . Au premier abord j’avais pensé que cela pouvait être drôle et il est vrai que cela devait être distrayant à en juger la piste noire de monde rigolant , dansant , glissant même parfois au sein de cette salle partiellement illuminé par des flashs . Seulement cet homme que j’avais rencontré maintenant j’aurais désiré être seule avec lui , faire plus ample connaissance , en apprendre plus sur lui , c’était plus fort que moi . Et lorsque quelqu’un me plait bonne chance à lui pour se dépêtrer de moi il allait lui falloir une bien bonne raison et l’excuse vieille comme le monde du « j’ai déjà quelqu’un « ne fonctionnait nullement sur moi car je m’en contrefichais , égoïste certes mais je ne m’en souciais guère.


Je relevais brièvement la tête en jetant un regard au niveau supérieur en fronçant les sourcils , pas ici , cet endroit n’était réellement pas convenable et encore moins attirant . Des rideaux sombres , des murs sombres , une ambiance glauque de maison close avec comme musique de fond les basses de la discothèque . De plus à en juger les personnes s’y trouvant cela donnait encore moins envie d’y aller , plutôt dehors qu’ici . D’ailleurs oui pourquoi ne pas sortir , j’avais attendue de longues minutes dans la file ,avait dû me débarrasser d’un énergumène douteux avant d’enfin pouvoir rentrer il serait donc stupide de vouloir ressortir maintenant . Mais, en effet il y a toujours un mais , j’avais également fait une rencontre sympathique avec ce jeune homme prénommé Hunk et maintenant je me retrouvais trempée comme si j’avais sauté dans une piscine toute habillée ce qui réjouissait peut être les quelques hommes posant le regard sur moi mais pour ma part ce n’en était pas le cas . Or si je voulais en savoir plus sur lui il allait m’être difficile de converser dans cet endroit les boites de nuit ne sont pas réputées pour être lieux de discussion mais plutôt d’action , et comment tenir une conversation lorsque l’on ne s’entend pas soi même parler . Je lui avais posé la question il y a quelques minutes mais comme bien souvent quelle que soit sa réponse je faisais moi-même le choix , une vieille habitude que j’avais gardé de mon enfance ou je choisissais strictement le contraire de ce que mon père me disait pour l’embêter.


Il ne m’avait fallu qu’une dizaine de secondes depuis que j’avais arrêté de danser pour penser à tout cela et aussi je lui repris discrètement la main avec un sourire en faisant un mouvement de tête lui indiquant que je voulais sortir et je pris aussitôt le chemin de la sortie tout en prenant soin de garder sa main dans la mienne afin de ne pas le perdre dans la foule . Je me faufilais entre les personnes légèrement trop imbibées d’alcool , les couples naissant , les gens faisant une pause avant de retourner se déchainer et autres individus plus loufoques les uns que les autres . Bientôt nous arrivâmes devant le même videur que précédemment qui de la même manière nous ouvrit la porte sans porter attention sur nous , la porte se referma et je sentis mes oreilles revivres le simple battements réguliers des basses me parvenant maintenant . Je me retournais un instant et adressai un sourire à Hunk avant de passer devant la file d’attente qui était toujours aussi longue , traversant le bar , poussant l’ultime porte et enfin je sentis l’air frais de l’extérieur sur mon visage , une légère brise revigorante . Mes talons claquèrent sur le pavé lorsque nous fumes finalement dehors et je me retournai de nouveau vers Hunk :


« Que fait-on ? «



C’était moi qui proposait de sortir et également moi qui demandait que faire après cela, j’avais pris une décision , à lui d’en prendre une . Cette idée me fit sourire intérieurement alors que la morsure du froid se faisait plus vivace de par la fraîcheur de la nuit .
Hunk Moroshi
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeMer 13 Juil 2011 - 17:33




. : Douce tragédie au cœur de l’homme. : .

Qu’importe comment nous utilisons notre corps pour faire diverses choses. Nous sommes toujours assez heureux de la situation qui en ressort finalement. L’homme heureux se complait dans la miséricorde qu’on lui apporte avec une certaine nonchalance. Il n’est pas pour autant complètement abruti ou encore bien même, comme nous pourrions dire beaucoup plus magnifiquement : « simplet ». Cela ne peut point le détruire de l’intérieur comme un monstre grimpant avec une certaine lenteur dans son esprit le plus maussade qu’il soit. Cette chose, ce magnifique et sublime ver de mouche s’accrochant maintenant à la matière grise de l’utilisateur obtient une connaissance tout simplement infinie envers de nombreuses choses. La soif de connaissance ne peut nullement être étanchée et par conséquent, une certaine frénésie s’empare de ce monstre à la bouche ornée de merveilleuses et fines dents. Et pourtant, il reste d’une intelligence totalement amoindrie. Une antithèse fait alors son apparition dans ce qu’on pourrait appeler elle-même la thèse de la genèse de l’histoire. Cette dernière sera inscrite pour les crépuscules, les années, les siècles ou encore bien-même les décennies à venir pour élargir nos horizons. Nos goûts de toute chose formant finalement qu’une seule et même chose. L’instrument. L’instrument du savoir n’est nullement une chose, un objet ou un art à prendre à la légère comme un jeu d’enfant composé de règles totalement farfelues, grotesques et complétement sans valeur profonde. Pourtant, quand pouvons-nous dire qu’un personnage, un pauvre et las individu de type lambda devient une personne tombant alors dans une moyenne purement intellectuelle ou bien, il s’élève de ses compères avec un fanatisme religieux mais cependant nullement voulu. Le simplet peut, voir devient une machinerie de guerre immense, tout simplement gargantuesque. La puissance mentale devenant par conséquent son arme la plus puissante. Toujours plus de puissance, de connaissance.

Simplet, ou encore bien nullement. Nous devons bien entendu faire des choix. Qu’il soit abjecte ou encore bien irréalisable. Que cela soit envers notre propre enveloppe corporelle assez originale ou encore bien face à un inconnu ou une inconnue que nous ne connaissons nullement ou alors que depuis un laps de temps assez brève. Pourtant, cela intrigue l’homme ayant découvert le feu. Comme une bête curieuse, il cherchera à en savoir plus. Toujours plus. Nullement de soif de connaissance mais seulement une certaine curiosité animale voire légèrement fanatique devant être comblée avec tout ce qui peut être une sorte d’amusement certain pour un temps qu’il faudra bien entendu nommé : « X » car, impossible de connaitre la durée que cela durera. Pourquoi tout cela ? La curiosité est pourtant un défaut bien connu. Mais, cependant les méthodiques scientifiques décrivent l’être humain. L’homme. Comme la créature la plus parfaite qu’il soit. Pouvant avoir des pouces opposables, pouvoir construire des objets extrêmement complexe et surtout une adaptation aux environnements de vie tout simplement incroyable. Cependant, une montagne de points négatifs s’empare de tous cela. De l’homme, de la création de Dieu. Ce dernier représentant bien évidement la personne à la perfection la plus puissance. A son apogée la plus complète. Un être aussi parfait n’arrive nullement à faire le choix de recrée la même perfection qui l’anime depuis des générations. De là, toute la chaine se doit d’être remise en cause par un simple et unique mot : « Perfection. » Notion bien évidente de l’esprit. Une notion qui se doit d’être abstraite ou encore bien, nullement existante. Pourtant, une chose de la perfection est prédéfinie depuis des crépuscules. L’art de connaitre ce que nous dicte notre organe de vie. Notre cœur. L’homme qui est fait un choix, résulte la perfection.

Une fois ces nombreux choix effectuer et notre partie prit pour les quelques années à venir, voire beaucoup, largement plus pour les autres personnes. Il reste – Malheureusement ou heureusement, venez choisir une fois de plus votre camp, camarades. – un autre choix à effectuer avec une certaine lenteur nonchalante. Certaines personnes sont curieuses, et par conséquent, ils bougeront dans tous les sens, voulant connaitre avec une ferveur inquisitrice tous les secrets, tous les mystères de la vie le plus rapidement possible. Et d’autre, par contre ne seront motivés seulement par une autre source de plaisir encore inconnue, et, surement incongrue. Et pourtant, ils continueront dans une ferveur tout simplement fanatique, hérétique ou alors, semblable à son contraire. Inquisitrice. Bougeront comme un troupeau d’animaux prêt à émettre de nombreux cris, plus ignobles les uns que les autres. Et tout cela, ne changera nullement dans les nombreux crépuscules qui servent de marqueur temporels pour les méthodiques scientifiques gagnant en succès à chaque découverte faite. Comme le soldat servant avec une frénésie colérique toute particulière son pays, son village, sa vie utilise son arme la plus merveilleuse, l’humain civil utilise son organe de réflexion. Voulant nullement tomber dans une certaine monotonie qu’est la vie. Pourquoi faire tout cela alors que, définitivement et finalement tous ce que nous voulons est à notre portée la plus simple. Dansant autour de notre enveloppe corporelle comme le ferait un magnifique ectoplasme de brume vivante. La bêtise humaine, ou alors la paresse – Tout dépend de la condition et de l’opinion de l’humain envers ce dernier. – sert simplement à connaitre ce qu’il veut. Connaitre ses choix. Bien que normalement, un homme ou bien une femme doit être sûr(e) de ses convictions avec une fureur tout simplement gargantuesque. Simplet ou nullement. Encore une fois. Nos choix guident notre chemin, pour toujours.

La situation dans laquelle se trouvait maintenant de haut gradé militaire était assez lourde, bien que tombant dans une banalité sans limite. La première question que la douce posa contre son attitude lui fit esquisser un petit voire très léger sourire de timidité. Certes, au premier abord une boite de nuit est faite par définition pour danser. Venir oublier tous ses problèmes de la vie. « Oublier » était bien le mot caractérisant les antipodes de la raison de la venue du jeune homme au bandeau de tissu noirâtre. Son passé n’était rien d’autre que de nombreux fragments mollement constitués de pierre saine. Un tissu d’horreur sanglante n’ayant pour l’instant aucune signification bien particulière. Toute personne résultant du pauvre et putride stéréotype qu’est le personnage s’asseyant contre le bar, une boisson alcoolisée en main pour une signification bien précise. Que cela soit par un miséreux chagrin d’amour, une amitié perdue ou encore bien un proche maintenant dans les limbes du pandémonium infernal. Les causes sont nombreuses. Mais tous se retrouve dans un point. L’oubli. Et au contraire, lui, ce magnifique être humain à la crinière sanglante, voire flamboyante buvait pour autre chose. Une chose bien différente pour toute personne vivant sur la coalition de plaines qu’est finalement la Planète Terre. Nullement, ce monstre de puissance, cette épée d’ambre aux reflets magnifiquement topaze boit pour une raison pure et simple. L’homme résultant des forces militaires du somptueux village qu’est Konoha No Kuni boit pour se rappeler. Simplement… Sa joue subissant un doux contact, le jeune homme frissonna légèrement et finalement, son regard se reporta contre la demoiselle de la nuit. Regardant les nombreux nids de mousse contre la robe de la jeune femme, un deuxième petit sourire apparu, cette fois-ci plutôt maladroit. Finalement, elle ôta son doigt venant essorer ses cheveux.

Finalement, la dance arriva dans son corps. En même temps qu’une certaine question encore une fois posée par la colombe venant d’un village encore inconnue. Totalement sous le choc d’un geste assez déplacé mais pourtant que le militaire trouvait littéralement : « Mignon. », ses joues pour une inconnue nouvelle fois reprirent une teinte pourpre. Son hémoglobine rougeâtre remontant allègrement contre ses carreaux de peau de son visage. La bouche légèrement entre-ouverte, le guerrier de l’une des plus grandes puissances militaires secoua rapidement la tête alors que son seul œil émeraude, jade se perdait dans ceux de la douce et magnifique de la célibataire. Deux trous noirs d’une beauté somptueuse et olympienne. Essayant tout de fois de suivre le rythme pendant ce court laps de temps de dance, nullement originalement le soldat se perdit dans la musique et ses pieds eurent du mal. S’emmêlant allégrement les pinceaux. Une chose était bien sûre dans son esprit. Il était bien mieux derrière un piano plutôt que devant une piste de dance. Intérieurement, l’enveloppe corporelle masculine remerciait le musicien d’avoir annulé le slow. Bien que, il l’avait surtout évité par la jeune femme qui était partie vers un endroit que nous nommerons : « X » encore une fois. Alors que les deux corps des deux ardents jeunes juvéniles s’étaient maintenant arrêtés d’effectuer des pas de dance, le militaire repensa à sa question. Sortir n’était pas une idée totalement dénudée d’intérêt. Loin de là. Pour tout dire, elle se trouvait finalement être assez plaisante voire parfaite. Alors que l’oiseau de la paix au plumage ténèbres subtilisa une nouvelle fois la main blanchâtre du vétéran à la crinière rougeâtre. La douceur de Tsuki l’apaisa littéralement alors qu’il fermait son seul œil de libre pendant une fraction de secondes. Elle se dirigea vers la sortie.

Evitant avec une certaine difficulté les nombreuses personnes se trouvant dans la boite de nuit, son œil caché s’agitait sous le tissu noirâtre. C’était effectivement une habitude, comme toujours, mais là, cette fois-ci cela était largement plus rapide et dense. Grognant légèrement alors que la demoiselle naviguait encore et encore dans la vague d’enveloppes corporelles humaines, l’homme à la chemise mouillé ferma finalement et définitivement sa paupière dernière son bandeau à la couleur ébène. D’habitude, bien que sa sphère fût toujours ouverte derrière sa plate-bande, cette fois-ci, Sa reliquaire se retrouvait totalement clos suite à une agitation assez brusque et conséquente. Arrivant devant l’espèce de montagne de muscle gardant les portes, il aurait pu être comparé à un monarque gardien. Une statue colossale de marbre pouvant combattre l’immense et gargantuesque hydre antique hurlant contre les cieux. Clignant plusieurs fois de sa paupière, les deux compagnons de la nuit passèrent rapidement les deux lourdes portes en bois de la boite de nuit. Ses deux cavités auditives le remercièrent rapidement puis, passant une nouvelles portes, passant avant bien entendu devant la file, le militaire ainsi que la parfaite se retrouvèrent dehors. Soufflant rapidement, le jeune homme ne lâcha pourtant pas la main de la douce. La serrant sans le vouloir un peu, plus, ses doigts s’entremêlant avec les siens, les lui caressant doucement. Pourquoi faisait-il cela ? Il ne le savait, pourtant, l’action était présente. Extrêmement douce. Sentant les nombreux caprices du vent venir contre son torse sali par l’écume maintenant devenue eau de la mousse, un frisson échappa de son emprise et parcourra par conséquent tout son corps. Relevant sa tête pour regarder les alentours, rien de bien intéressant hormis une chose qui lui fit esquisser un large sourire. C’était extrêmement stéréotypé, peut-être déplacé pour une première fois mais tant pis.


« Ferme les yeux et, ne dis rien… » Lui ordonna-t-il doucement dans un petit murmure.

Lâchant finalement sa main avec une certaine lenteur, le militaire se précipita vers un marchand, originalement, il n’était nullement fermé puisqu’il offrait un service vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Attrapant son porte-monnaie de la poche arrière de son pantalon, son seul œil émeraude ce posa définitivement contre de nombreuses formes blanchâtres, de magnifiques gerbes complètement crème. Attrapant un billet de son carré d’argent, il le tendit et par conséquent, les innombrables immaculées étaient siennes. Remerciant d’un hochement de tête le vendeur, son enveloppe corporelle rangea rapidement le portefeuille renfermant les gargantuesques sommes d’argent. Alors qu’il se retrouva de nouveau face à la demoiselle en face de lui, les joues en feu. Il se demandait encore et encore pourquoi fait-il dit encore cela. D’une, cela n’était pas son genre. Du moins, nullement le premier « soir » et, comment allez réagir la douce face à ce geste assez nouveau et déplacé. Soupirant finalement, l’homme à la crinière de sang installa la forme blanchâtre entre les deux jeunes personnes. Puis, d’une voix toujours aussi douce, semblable à une caresse, ses cordes vocales lui demandèrent d’ouvrir de nouveaux ses deux merveilleuses sources de vie qu’étaient ses prunelles noisettes voire noirâtre. Que faisait-il encore une fois, allait-il maintenant à la perte de la jeune femme ou alors bien, au contraire, allait-il recevoir de gargantuesques éloges.

« Hum… Ces des fleurs… Blanches… C’est pour, comment dire. M’avoir appris à danser dirons-nous… » Rougissant suite à l’excuse tout simplement ignoble qu’il avait fourni, le militaire soupira. « Et pour la suite… Il y a un petit parc pas très loin, cela permettrait de finir la soirée plus calmement… »

Subtilisa doucement la main libre de la jeune femme, il effectua quelques pas en arrière, ne la quittant nullement des yeux. Un petit sourire contre ses lèvres nullement timides pour cette fois-ci, la couleur rougeâtre avait finalement disparue et par conséquent, Hunk prenait maintenant beaucoup plus d’assurance. Du moins, il voulait prendre plus d’assurance. Marchant encore et encore à reculons, il tourna définitivement sur la gauche, permettant par définition d’apercevoir –Pour la demoiselle à la crinière d’ébène – le petit parc surement vide de monde de par l’heure. Lui adressant toujours ce petit sourire, les deux personnes s’étaient considérablement rapprochées du lieu. Du moins, le militaire qui avait en sa possession la main de la colombe qui, il fallait bien le dire ne lâcherait pas avant un certain laps de temps. Malheureusement, l’ectoplasme buta contre un pavé, lâchant par conséquent la pince de l’enveloppe corporelle féminine. S’écrasant avec une certaine violence contre le portail métallique du parc. Grimaçant de douleur et se retrouvant par conséquent par terre, contre le sol froid et noirâtre de l’immense agglomération se mourant doucement mais surement. Alors que sa colonne vertébrale souffrante se retrouvait donc, comme déjà contre la galerie d’entrée de l’enceinte à plaisir auditive, la grimace se transformant finalement en une sorte de soupire nullement maitrisé. Bien qu’il était un ninja haut gradé, il se pouvait comme tout être humain de pouvoir être maladroit et par conséquent de se ridiculisé gravement devant une tierce personne. Relevant tout de fois sa tête vers la jouvencelle, une petite esquisse de sourire tout aussi maladroit se forma contre ses fines lèvres rosâtres. Continuant de relever sa tête, son attention se portant alors contre le panneau métallique de l’établissement, montrant par conséquent l’endroit indiqué.


« Nous… Sommes arrivés... Aie… »

. : Suite à venir. : .




Tsuki Ôkami
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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue696/1000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (696/1000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeSam 16 Juil 2011 - 22:37

Depuis combien de temps n’avais-je pas ressenti cela . Je ne saurais le dire car ces instants me paraissaient bien lointains et je les avaient enfermé au plus profond de ma mémoire car malgré que ces instants furent heureux y repenser aujourd’hui m’emplissait de tristesse et de désespoir . J’avais entre temps peut être connu quelques aventures mais l’on reconnait bien quand les choses sont plus sincères ou non lorsque l’on a acquis une certaine expérience, et je pensais que pour une fois ce jeune homme n’était pas factice comme les autres. Cette idée pouvait se révéler fausse mais un frisson m’avait parcouru lorsqu’il avait serré plus fortement ma main en y entremêlant ses doigts , alors comme une enfant mon cœur s’était accéléré involontairement et je faisais semblant de ne rien voir . Ses fins doigts caressaient tendrement ma main et je n’osais plus faire un geste , ne rien faire berçait l’illusion mais si je le faisais également , et bien en fait je ne savais pas, donc je préférais m’abstenir restant droite et immobile en écoutant les basses de la boite de nuit ou plutôt devrions nous dire pour ce soir de la piscine géante .


Puis sans savoir pourquoi alors qu’il regardait aux alentours un grand sourire illumina son visage , il avait souri quelques fois durant la soirée mais jamais comme cela , je connaissais ce sourire qui voulait dire « j’ai une idée derrière la tête « et je fronçais les sourcils en attendant qu’il ne parle , chose qu’il fit naturellement quelques secondes après son geste , mais je ne m’attendais en aucun cas à cela . Je le regardais avec de grands yeux avant de froncer les sourcils , cela ne me disait rien de bon … Je me méfiais des surprises , elles sont souvent bonnes mais le fait d’être dans l’attente m’était tout bonnement insupportable et toujours une petite voix dans ma tête me suppliait d’ouvrir les yeux ou bien lorsque l’on vous cache quelque chose en souhaitant vous le dire au moment opportun cette même voix me suppliait de nouveau de tout faire pour savoir de quoi il s’agissait , la curiosité est un vilain défaut , j’en avais déjà fait maintes fois l’expérience mais cela ne vous enlève en rien votre curiosité je dirais même qu’elle se renforce . En grognant légèrement avec un sourire je m’exécutais et fermais les yeux en mor forçant de ne pas les ouvrirent bien que la tentation soit grande . J’entendis ses pas s’éloigner sur le pavé et je concentrais toute mon attention sur ses faits et gestes pour tenter de deviner ce qu’il pouvait bien faire , mon cerveau tournait à toute allure et comme d’habitude une idée sordide me vint . Et si il me plantait là et ne revenait pas ? Mon sang ne fit qu’un tour et j’eus envie de lui courir après en prétextant une excuse absurde que j’inventerais sur le tas. Mais je n’eus le temps de penser à d’autres idées saugrenues car ces pas revinrent vers moi me redonnant le sourire , il s’arrêta face à moi . Des fleurs , je le sentais parfaitement , mes yeux étaient encore clos mais je pouvais aisément sentir leur parfum cependant il ne pouvait savoir que j’avais un odorat bien plus développé que les autres humains , je souris et rouvris les yeux lorsqu’il me le demanda . Son excuse me donna envie de rire mais je me mordis la lèvre inférieure pour m’en retenir , mon sourire s’élargissant juste un peu sur mon visage . Le regardant avec ses joues et leur teinte rougeâtre habituelles il était craquant , un peu trop même , il devait y avoir anguille sous roche un garçon comme ça cela n’existe pas normalement … Du moins pas que je sache . Je pris les fleurs ne sachant ou les mettre , en continuant de sourire et le remerciais :


« Merci … Tu sais je connais mes couleurs je sais qu’elles sont blanches dis-je avec un petit rire avant de me mordre la lèvre Mais elle sont très belles merci «


Bien que certes ce fut un stéréotype largement marqué , l’attention était touchante . Combien de fois avais-je ouvert ma porte et trouvé un bouquet de fleur d’un inconnu me disant qu’il m’aimait ou bien un homme dans la rue qui va en acheter une chez le fleuriste le plus proche et vous la rapporte en croyant que le fait de vous offrir une fleur lui donne ses chances. Les hommes sont assez divertissants lorsqu’ils cherchent des astuces pour séduire . Regardant Hunk ne sachant que dire de plus j’acquiesçais à sa demande d’aller dans un parc , pourquoi pas j’adorais la nature donc un parc me paraissait être un bon endroit et rien de mieux pour être tranquille qu’un parc la nuit bien que certains soient parfois habités de sans-abris ou alors d’énergumènes bien plus étranges et moins fréquentable également . Me sortant de mes pensées il me reprit la main , je ne dis rien et le suivit docilement , mais il marchait à reculons ce qui me perturba légèrement , pourquoi ne se tournait-il pas pour marcher normalement … Cet homme était vraiment spécial … mine de rien je regardais les bâtiments endormies aux alentours on n’aurait réellement pas cru que cette ville était si active la journée en se promenant dans ses rues la nuit , parfois l’on apercevait une lueur à une fenêtre et pouvions capter des bribes de conversations . Il tourna à gauche et je le suivis , j’entrevis un grand portail métallique orné de spirales avec un réverbère à ses côtés indiquant l’entrée à des éventuels visiteurs nocturnes . L’endroit semblait calme et sympathique , de grands arbres se balançaient doucement bercés par le vent, le silence seulement rompu par le bruissement de leurs feuilles alors que soudain venant briser cette délicate harmonie nocturne un grand bruit métallique se fit entendre . Le jeune homme m’accompagnant venait de buter contre un pavé et s’était lamentablement écrasé au sol dans des tentatives désespérées de retrouver l’équilibre . Dans sa chute il avait heurté le portail en acier , en résultant un bruit sonore peu délicat . Je ne pus me retenir et éclatais de rire , c’était trop beau pour être vrai , je croisais les bras et me pliais en deux tentant de me retenir tant bien que mal de rire ce qui fit que je manquais de peu de m’étouffer . Les larmes me montèrent aux yeux et formèrent un voile brillant sur mes pupilles me troublant la vue un instant , toussant plusieurs fois pour cesser définitivement de rire je le regardais lever la tête vers moi avec un sourire maladroit puis il me montra du doigt le portail pour me montrer que nous étions arrivé en balbutiant tant bien que mal une phrase pour accompagner son geste . Ne pouvant le laisser ainsi bien que la situation fut cocasse je me penchais légèrement et lui tendis la main avec un sourire , attrapant la sienne et l’aidant à se relever :


« Désolée d’avoir ri ainsi … Mais je dois dire que je ne m’attendais vraiment pas à cela «


Puis prenant les devants je poussais un pan du portail qui s’ouvris dans un bruit métallique mais bien que plutôt désagréable légèrement plus mélodieux que celui produit par Hunk il y avait quelques secondes . Je ne lui lâchais pas la main et pris les devants, m’avançant sur le petit sentier qui avait était tracé pour servir de guide à ceux voulant se promener dans cet endroit . Nous avançâmes un moment sans rien dire , je regardais mes pieds car je ne savais que dire et ne voulais pas tout comme lui tomber en trébuchant sur un quelconque objet pouvant se trouver sous mes pas . Le parc était redevenu silencieux et je pouvais désormais pleinement admirer celui-ci , me ravissant des fleurs bien qu’endormies , ce qui me fit regarder celles qu’il venait de m’offrir se trouvant toujours dans mon autre main et se balançant tranquillement au gré de mes mouvements . Après avoir suffisamment marché à mon goût je quittais le sentier en me retournant vers mon acolyte maladroit lui adressant un sourire , j’avançais dans l’herbe et bientôt je vins m’arrêter au pied d’un grand arbre , je levais la tête vers le ciel et admirait ce dernier nous dominant largement puis m’asseyais tranquillement dans un soupir en jetant de nouveau un regard à Hunk qui s’assit également avant de m’allonger définitivement dans l’herbe sans pour autant lui lâcher la main que je tenais depuis tout à l’heure . Je déposais délicatement les pâles fleurs qu’il m’avait précédemment offerte et regardais un instant le ciel parsemé d’étoiles avant de tourner la tête en arrière regardant pour la énième fois de cette soirée le jeune homme m’accompagnant . A mon tour mes doigts déposèrent de fines caresses sur sa main et je me mis à rougir sans m’en rendre véritablement compte . Puis sans savoir vraiment pourquoi ma main lâcha doucement la sienne et vint se poser sur sa joue la lui caressant doucement , je la retirais quelques instants après en le regardant fixement dans les yeux avant de baisser la tête et de dessiner des formes imaginaires sur l’herbe avec mon index comme un enfant voulant s’excuser :


« Je … Pardon . »



Mon cœur s’était mis à battre fort dans ma poitrine et je savais pertinemment qu’il n’y avait rien à faire contre cela bien que j’aurais voulu qu’il arrête cela pour me permettre de retrouver mes esprits et de cesser d’agir inutilement comme une enfant de 12 ans .
Hunk Moroshi
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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue1377/2000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (1377/2000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeLun 18 Juil 2011 - 14:31




. : Un début conséquent. : .

Chaque personne reçoit au moins une fois dans sa vie, une forme de douleur. Que cette dernière soit absolument bénigne ou alors, au contraire tout simplement gargantuesque. Et pourtant, ces nombreuses personnes arrivent toujours à survivre et par conséquent continuer à vivre, encore et encore. Continuant sa vie, tranquillement. Sans comprendre véritablement ce qui se passera après cette chute assez définitive. Comme le chien courant après une longue est terrible course cherchant à mordre la balle jaunâtre qu’il convoite tant. Depuis combien de temps la cherche –t-il véritablement, après tout, cela résulte seulement d’une espèce de cheminement envers sa propre destinée. Et, bien entendu avant de pouvoir attendre de ce but, cette apogée de la jouissance sélective, plusieurs, voire d’innombrables chemins annexes apportant avec eux des milliers de forces de violences ainsi que de colères. L’homme n’est finalement nullement semblable à cette espèce de canidé venu des prémisses d’un endroit que même un Titan à la crinière bleuâtre ne pourrait connaitre. Cette chose, cet animal courant dans la coalition des plaines, son muscle rosâtre pendant mollement au coin de sa gueule aux crocs obligatoirement affûtés Mollement, comme son propre esprit ne cherchant nullement à comprendre la population l’entourant. Avant de perçoire la vue de la magnifique mort, son chemin de la destinée, cette perle blanchâtre est rien d’autre qu’un brin d’herbe sur lequel sa patte s’appuie toujours mais pour son propriétaire, elle n’a nullement d’importante. Nullement comme l’humain. L’humain, l’anthropoïde, lui. Il cherche, malgré les nombreux chemins annexes qui lui font subir une plérome de brûlure, que ces dernières soit sentimentales, mentales, ou encore bien, malheureusement physique. Cet méphistophélique – Car oui, effectivement, nous pouvons définir l’humain comme cela. – veut connaitre la connaissance de ses semblables, du monde, de l’univers l’entourant depuis sa plus pâle naissance. Depuis toujours, le monstre meurt…

Mais pourtant, dans l’antithèse extrêmement médiocre qui va suivre, le Canis lupus familiaris reprend finalement la place de ce qui pourrait être défini comme la chose suivante : « Homo sapiens. ». Tout cela n’a pas de sens pour une personne ayant tout simplement une foi aveugle avec la vérité mathématique. La voie de l’homme est de réfléchir sur la consistance du monde ainsi que de son rôle dans ce dernier. Et pourtant, apercevoir la vérité sous un jour totalement mathématique n’est pas chose aisé, car, par conséquent malgré la volonté de l’hominien, il lui est encore impossible de reconnaitre certain miracle s’exécutant devant ses deux nébuleuses de différentes couleurs. Et, bien que depuis des lunes, des crépuscules, des siècles et d’autres formes qui définissent le mot : « Temps. » les personnes que nous pourrions de décrire de satanique pour les méthodiques scientifiques, ils exportent avec eux une connaissance pour certaines personnes absurdes ou encore pour d’autre de révélatrice, vrai, d’une beauté simplement olympienne. Le chien, lui, ce magnifique et simple canin accepte tout ce qui se passe au-dessus de sa tête au museau long et fin, ne cherchant nullement à comprendre. Il court, marche, mange, vie. Tout simplement comme le ferait une personne normalement constituer. Profitant un maximum de la vie. Mais l’humain machiavélique grandit encore et encore dans sa complaisance totalement fausse mais continue pourtant. Il croit connaitre la connaissance parfaite et pourtant rien n’est à sa portée. Nullement. Comme le monarque commandant sa cours, cet empereur croit pouvoir avoir une main mise sur tout cela. Mais nullement, une rébellion est toujours à prévoir. Mais pourtant, aucunement de forces ne pourrait intervenir dans cette dance de passage au pouvoir, rien, pour toujours. Le monstre vit, doucement mais croit connaitre le monde l’entourant, alors que le chien, connait…

Et pourtant, il serait très simple de dire que le chien et l’humain se complète finalement avec une certaine facilité. L’un ne cherchant nullement à comprendre le monde l’entourant avec une mélancolie des plus douces, et alors que l’autre, au contraire, cherche toujours quelque chose. Pourquoi, comment, quand, où et d’autres géniteurs de questions sont monnaies courantes chez cette personne qui gagne dans un faux pouvoir intellectuelle consistant. Et pourtant, bien que le chien grogne, hurle, cri contre eux, ils ne s’arrêteront jamais car, pour eux, tout cela est une nécessité. Semblable au petit marchant cherchant avec une fureur fanatique à pouvoir vendre ses quantités. Les contraires s’attirent cela est une vérité assez véridique bien que plusieurs cas, voire d’innombrables cas prouvent le contraire avec une certaine nonchalance bien particulière. Eux, sont unis différemment. Un lien, quelque chose. Une espèce de fil de fer à l’apparence dorée que seulement le géniteur de toute chose puisse voir avec la même nonchalance particulière qui confirme les exceptions. Doucement mais surement l’union ne disparaitra nullement de sitôt. Persistant avec une frénésie colérique pendant des années et années, seulement peut-être une seule chose pourrait ce fil raccrochant finalement à la synthèse de la chose. Cela pourrait être la mort méphistophélique gagnant peu à peu en ardeur, mais nullement. Cette chose, il est tout simplement impossible de connaitre tout cela. Car, effectivement, la connaissance est une chose tout simplement abstraite. Gagnant peu à peu en terrain, la violence des quêtes annexes disparait avec une tendresse infinie, le jeune homme ne connait plus cela. Enfin, du moins plus totalement. Et alors qu’avec une certaine lenteur il sentait son cœur devenir une centrale de magma pure et simple, quelque chose était bien entendu inscrit au fer blanc dans son organe de vie. Pour toujours ? Peut-être bien.

Ses joues toujours aussi rougissantes – Bien que la situation de ces dernières devenant totalement banales pour la soirée. – il se contenta de prendre légèrement appuie sur la main blanchâtre de la douce demoiselle à la crinière d’ébène. Effectivement, le jeune militaire à l’allure d’un pirate s’était irrémédiablement écrasé et par conséquent ridiculiser devant la juvénile venant d’un pays encore inconnue. Il y avait qu’à voir la réaction de cette dernière qui, apparemment, avait trouvé cela d’un amusement extrêmement conséquent. Certes, cela était une chose assez compréhensible mais cela ne plaisait pas pour autant à l’espèce de militaire essayant de paraitre le plus calme possible et surtout le moins timide possible. Une peine perdue ? Surement, l’ectoplasme de plaisir n’était véritablement nullement la même personne derrière son masque de métal ou alors sans. Et, malheureusement ou heureusement, la jeune femme était tombée sur la personnalité largement plus humaine de cette personne. Présentant une énorme timidité ainsi qu’un goût de la vie assez particulier. Mais chaque personne est constituée différemment et par conséquent, il est impossible de connaitre la réaction de tout cela. Maintenant que l’être turbulent s’était remis lentement sur pied, il se tient de sa main libre au portail qui poussa un nouveau juron suite à la masse conséquente qu’il posa sur ce dernier. Soupirant avec une certaine lenteur, son attention ce reporta contre l’angélique dame se retrouvant devant lui, sa main encore une fois dans la sienne. Lui souriant maladroitement, sa boite crânienne effectua une action de haut vers le bas. Bien entendu histoire de dire que son action n’était nullement grave et qu’il pouvait comprendre. Cela était effectivement un mensonge mais le dire aurait surement détruit littéralement la magnifique et douce soirée qui était présente depuis quelque temps maintenant. Soupirant pour la deuxième fois, il se laissa faire…

Se déplaçant avec une douceur sans pareille dans le petit chemin de pavé indiquant la voie à prendre, le jeune homme ressentit de nouveau la douce et merveilleuse chaleur qu’apportait la main de la demoiselle à la somptueuse crinière d’ébène. Alors que, avec une certaine lenteur le portail se refermait derrière les deux nouveaux adultes, l’humain au bandeau se retourna rapidement contre ce dernier. Haussant avec une certaine légèreté ses deux frêles épaules, le possesseur de ses dernières se laissa tranquillement faire, suivant la douce avec un comportement assez docile. Alors que ses marches continuaient à disparaitre dans le cresson bleu de la nuit, son regard merveilleusement émeraude ce posa nullement sur le parc aux innombrables fleurs mais plutôt contre sa accompagnatrice, détaillant pour la deuxième fois de la soirée ses nombreuses formes tout simplement délictueuse à la vue, une douce boule se forma avec une certaine lenteur au plus profond de la cavité vocale du militaire au masque métallique. Simple pulsion ne pouvant pour l’instant nullement être exécuté, ou alors bien une autre forme d’envie ne pouvant encore une fois nullement exécuté. Secouant finalement rapidement la tête, la philanthropie humaine reposa son regard olive contre le chemin. Chemin qui, disparut avec un empressement conséquent, se retrouvant ainsi sur une fine plaine d’herbe verdâtre. Regardant avec un petit sourcil levé l’immense centenaire se tenant devant son seul œil de libre, il n’eut nullement le temps de pousser l’admiration plus loin qu’elle était que, son enveloppe corporelle se retrouvât irrémédiablement contre le sol froid de l’endroit. Son regard se baladant doucement dans l’horizon noirâtre de la douce obscurité, une magnifique et majestueuse forme de chaleur se posa contre sa joue. Originalement, un petit ronronnement venant de la part du jeune homme se fit entendre et par conséquent, il ferma ses yeux, profitant du moment au maximum. Mais pourtant, cette source de plaisir se stoppa avec rapidité et, il rouvrit les yeux, observant la demoiselle rougissante, semblable à un enfant.

« Non, non ! Cela est rien Tsuki… ! »

Finalement, doucement, avec une lenteur certaine, l’homme à la douce crinière rougeâtre se posta à quatre pattes, une position assez étrange pour cette suite de soirée qui s’avéré être un véritable flot d’émotions continuelles intenses. Frissonnant d’ailleurs assez légèrement suite à cette pensée assez véridique, son enveloppe corporelle s’avança alors contre la merveilleuse forme corporelle de la jeune femme qui lui tenait à présent compagnie depuis le début de la soirée. Ses lèvres s’approchant doucement, il déposa un fin et unique baiser contre la joue rosée de Tsuki. Après avoir effectué cet acte peut-être assez déplacé, il rouvrit ses paupières. Se reculant alors avec une certaine rapidité, le haut gradé militaire se repostant contre sa position initiale. A savoir être assis, la regardant avec un petit sourire. Pour la première fois de la soirée, sa peur ainsi que sa timidité avait disparue pour une bonne fois dans le doux et magnifique crépuscule. Et cela serait surement la seule fois de cette soirée à la beauté olympienne. Rougissant légèrement, une main se posta dans ses propres cheveux flamboyants.

« On va dire que… Nous sommes des grandes personnes et que, les excuses ne seront pas de mises… » Lui annonça-t-il avec ce même petit sourire.

. : Suite à venir. : .






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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue696/1000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (696/1000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeJeu 25 Aoû 2011 - 14:08

Stupide. J’étais décidément réellement stupide . Comment était-ce possible d’agir aussi bêtement, toute personne nous ayant vu à cet instant n’aurait pu s’empêcher de railler sur la banalité de nos gestes et de notre comportement . Les gens sont friands de moqueries , qui plus est lorsqu’il s’agit d’un couple ou d’un futur couple , ils ne peuvent retenir la part d’eux même qui meurt de jalousie et déverse leurs flots de remarques sur leur physique cherchant la moindre faille et rigolant de la maladresse de deux personnes se découvrant , on penserait qu’ils ont oublié que cela leur est arrivé un jour . L’Humain est un être répugnant à mes yeux mais comme dans toute règle il y a une exception à celle-ci , bien que rare cela n’était pas impossible et lorsque l’on rencontre une personne comme cela l’on ne veut la laisser s’échapper , jamais . C’est pourquoi je me retrouvais si maladroite et ingénue en cet instant tandis que avant je l’aurais conquis depuis déjà de bonnes heures , mais la conquête d’un soir et celle que l’on veut voir durer sont choses bien différentes et les émotions le sont tout autant . Autant j’étais habitué à la séduction futile mais pas à celle-ci ou tout du moins pour moi ce n’était pas cela .



Je m’arrêtais presque de respirer après ma phrase , n’osant plus bouger un muscle je le regardais, immobile . Il avait ronronné lorsque j’avais posé ma main sur lui ou bien était-ce une hallucination de mon subconscient ? je ne le savais pas mais cette idée me donna envie de sourire un instant . Très bref car délicatement il se mit à quatre pattes , mon cœur cessa presque de battre et je me raidis encore plus , il s’avança toujours aussi lentement et je détournais le regard dans la direction opposée comme si je n’avais rien vu , n’ayant toujours pas relâché ma respiration je sentis mon pouls s’accélérer mais je n’osais plus rien faire, puis je sentis le contact frais et délicat de ses lèvres contre ma joue , une vague de chaleur m’envahit et je sursautai instinctivement, relâchant ma respiration en manquant de m’étouffer avant de prendre de grandes bouffées d’air . Le contact fut bref et il se retira aussitôt se rasseyant mine de rien alors que je tournais la tête vers lui avec un regard interrogateur , je ne comprenais plus trop . Il y a quelques secondes il était plus timide qu’un enfant se cachant dans les jupons de sa mère et l’instant d’après il se retrouvait à m’embrasser , bien que cela ne soit que sur la joue en général cela signifie plus . Les hommes sont comme cela .


Il répondit à mon regard par une réplique étrange mais il n’avait surement pas de meilleures excuses qui lui était venues aussi rapidement . Il me sourit . Je le regardais toujours mais ne souris pas , j’étais désormais réellement gênée et ne savait absolument pas quoi faire . L’embrasser ? Non je n’oserais pas . Partir ? quoi de plus déplacé . Ne rien faire ? plutôt incongru … Alors que je réfléchissais à toute vitesse n’écoutant que les pulsations rapides de mon cœur dans ma poitrine un bruissement me vint du fond du parc . Je tournais rapidement la tête dans cette direction afin que Hunk ne puisse voir mon visage et fermais les yeux une seconde en prenant une bouffée d’air , fruitée , bucolique , humide , diverses odeurs me parvinrent et notamment celle du jeune homme se trouvant à mes côtés , incroyablement subtile , j’essayais de m’en détacher rapidement , et une autre odeur familière me parvint faisant aussitôt apparaitre un large sourire sur mon visage . L’odeur et le bruit que j’avais perçu était absolument inaudible et imperceptible pour un humain doté de sens normaux aussi je retournais la tête vers Hunk en masquant mon sourire tout en me demandant ce que cette petite odeur familière faisait ici bien que je sache comment elle m’avait retrouvé . Le silence était désormais pesant et je me raclais la gorge pour le rompre quelque peu voulant démarrer une discussion ou toute chose me faisant oublier son geste précédent sans pour autant avoir une idée des mots qui allaient sortir d’entre mes lèvres.



« Je ne sais même pas ton âge , tu n’as peut être que 14 ans … ou alors tu en as 40 «



Dis-je avec un léger sourire avant de passer une main dans mes cheveux pour la énième fois , encore une phrase inutile mais je ne savais que faire hors mis m’enfoncer un peu plus . Levant les yeux vers les étoiles en poussant un soupir un bruissement se fit entendre plus proche , et je pus même apercevoir les feuilles d’un buisson trembler sous son passage . Décidément celui qui avait cette odeur qui ne m’était en aucun cas inconnue ne semblait pas vouloir s’éloigner et cela me mettait mal à l’aise car j’avais déjà eu de mauvaise surprise lorsque certaines personnes l’avait vu . Une fois de plus j’avais l’impression que tout était contre moi ce soir , un homme qui se fait passer pour timide mais qui en fait ne semble pas l’être tellement , et la visite de quelqu’un que je connaissais mais que je ne souhaitais pas voir en cet instant car cela ne ferait que compliquer les choses . Je soupirais longuement pour tenter de me détendre quelques peu et me levai doucement avec un sourire


« Je … je crois que nous avons de la visite … « ajoutais-je d’une voix douce « Je suis désolée je ne pensais pas qu’il viendrait ici … ne prends pas peur s’il te plait ou je ne sais pas ... «


Après avoir dit cela je sifflai une fois brièvement et me rassis à côté de Hunk en lui souriant et posait discrètement ma main sur la sienne en plongeant mon regard dans le crépuscule à la recherche de celui que je venais d’appeler . Quelques secondes plus tard je sentis un contact frais sur mon épaule gauche et poussais un long soupir en tournant légèrement la tête , il s’avança et s’assit face à moi en fixant Hunk de ses grands yeux verts d’un air grave . De ma main libre je passais ma main sur le haut de son crâne et le frictionnait amicalement .


« Je t’avais dit de rester à l’appartement … Tu ne me laisseras donc jamais une soirée à moi « Puis je lançais un regard désolé à Hunk « Pardon , je pensais avoir vérifié toutes les possibilités pour l’empêcher de sortir … Mais il n’est pas méchant . «


Puis lâchant la main de Hunk je la lui prit et la posait sur la fourrure ébène de mon compagnon . Le grand loup hérissa le poil un instant en me lançant un regard interrogateur car il savait que je savais qu’il n’aimait pas qu’un inconnu le touche . Je lui fis un clin d’œil et il grogna brièvement avant de se détendre. Soupirant à mon tour j’avais gardé la main sur celle de Hunk tout en la posant sur Kuro . Puis je me rapprochais de ce jeune homme à la chevelure flamboyante et posait mon autre main sur sa jambe pour prendre appui et approchait ma bouche de son oreille avant de lui murmurer :


« il s’appelle Kuro , c’est … mon compagnon de voyage si on peut dire . Je sais qu’avoir un loup peut paraitre étrange … Je vais lui demander de partir , excuse-moi encore . Je reviens . «


Puis me levant je partis en direction de la sortie du parc et bien entendu Kuro me suivit en ne manquant pas de se retourner pour lancer quelques regards à l’inconnu qu’il venait de rencontrer . Je pris soin de le congédier et il s’assit devant le portail par lequel nous étions entrés un peu plus tôt avec Hunk me fixant de son regard émeraude pour me signifier qu’il acceptait de rester à l’écart mais pas de partir . J’haussai les épaules et pris le chemin inverse en accélérant le pas et revint vers Hunk , je me rassis et lui sourit en passant une main dans mes cheveux .


« Pardon , et je .. si j’ai … si je t’ai murmuré cela tout à l’heure c’était pour qu’il n’entende pas … «
je rigolai un instant et continuais « tu dois me prendre pour une folle … Mais c’est … compliqué«


Je me sentais misérable , déjà que j’étais assez maladroite toute seule, je n’avais pas besoin de la visite surprise de Kuro qui tenait absolument à me surveiller et me mettait dans une situation délicate à expliquer. Chassant cela de mon esprit je reportais mon attention sur mon compagnon de soirée qui devait maintenant me trouver encore plus bizarre que je n’en avais déjà l’air naturellement . Je m’avançais un peu plus près de lui et me rassit face à lui , genoux à terre les jambes repliées puis penchai la tête sur le côté en regardant son bandeau cachant un de ses yeux et tendis maladroitement une main vers celui-ci , glissant mon index sur la lanière sans rien dire puis l’enlevant doucement et vint reposer ma main sur ma cuisse avec un petit sourire . Malgré tout, la visite saugrenue de Kuro m’avait permis de trouver une échappatoire à la situation précédente et quelque part ce n’était pas plus mal . Mais désormais qu’il n’était plus là je me retrouvais à nouveau seule avec mon acolyte d’un soir sans de nouveau avoir une quelconque idée , j’étais assise dans l’herbe fraiche ma robe de soirée encore humide de notre précédent lieu . Elle était maintenant glacée par la fraicheur nocturne et ne pouvait sécher étant donnée l’humidité montante de la nuit , la morsure du froid se fit plus pressante car mon attention avait été détourné et la pression retombée quelque peu me permettant de percevoir d’autres choses que ce jeune homme à la chevelure étincelante . Ce bandeau m’intriguait de nouveau et je ne sais pourquoi mon attention se reportait dessus maintenant . Après avoir fait cela je lui souris tendrement , la question me brulait les lèvres mais je n’osais la poser , cela aurait été déplacé . Cependant j’avais perdu quelques peu les bonnes manières comme celle-ci et ma curiosité exacerbée ne pourrait être satisfaite sans la réponse . J’étais donc tiraillée entre la bonne conduite et la curiosité , et bien évidemment comme d’habitude la curiosité l’emporta :


- « Pourquoi portes-tu cela ? «



Je lui demandais cela d’une voix douce et timide et j’illustrais mon geste en retouchant la lanière de ce bandeau avant de lui mettre une petite pichenette sur le nez avec un sourire . Un frisson me parcouru , sans doute à cause du froid , mais d’un autre côté peut-être que cela n’était pas ça .
Hunk Moroshi
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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue1377/2000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (1377/2000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeJeu 25 Aoû 2011 - 19:51




. : Bientôt, cela arrive… Lentement. : .

Aurait-il fait quelque chose de mal ? Après tout, cela ne serait nullement et certainement pas la première fois pour le jeune homme à la crinière magnifiquement rougeâtre. Soupirant lentement mais surement envers son geste, il sentit malheureusement le désespoir venir contre ses veines sanguinolente. Pourquoi avait-t-il fait cela ? Maintenant, l’ancien militaire dans les forces du village de Konoha No Kuni savait maintenant qu’il y allait beaucoup trop vite et pourtant, une force invisible le poussait à faire beaucoup, beaucoup, et beaucoup plus. Surement une espèce de fantôme le poussant envers les bras d’une jeune femme à la crinière ébène qu’il connaissait que depuis quelques heures, et encore. Lentement mais surement, ses joues prièrent une douce et magnifique couleur rosée, rougeâtre et pourpre. Une chose était bien sûr dans son esprit, l’amateur de combat détestait magnifiquement bien son enveloppe purement corporelle. Si cela était bien entendu permit, l’anthropoïde blanchâtre se serait lentement levé pour se prendre un mur avec toute sa puissance. Et bien que malgré son enveloppe corporelle assez frêle pour ne pas dire totalement mais surement anorexique, mais pourtant, sa force était véritablement gargantuesque. Il ne faut nullement croire. Alors que finalement sa pupille cachée derrière son bandeau en cuir noirâtre se ferma une demi-seconde suite à une légère fatigue, pas de quoi émettre un fort bâillement mais pas assez non plus pour une ennuie totale. Le plus compliqué était, surement, l’espèce de silence pesant et l’espèce de gêne qui était pour le corps de la jeune demoiselle aux deux nébuleuses noisettes ainsi que pour l’autre, l’espèce de pâle ver de terre rampant pour ne pas s’endormir ou encore bien pour reprendre encore et encore une fois confiance envers son attitude ou encore bien son corps. Cela n’était pas son fort, c’était maintenant une chose absolument sûr.

Finalement, sa cavité orale se démarqua dans un fort bruit assez conséquent. Un raclement de gorge, généralement, signe de la situation était lourde, conséquente, et notamment dérangeante pour les deux personnes arrivant contre les deux espèces de trous servant à emmagasiner les divers sons. Que ces derniers soient humains, animal ou encore bien d’un objet quelconque. La regardant avec un visage totalement rouge, la question de la jeune femme au visage pourtant si délicieux et exquis lui passa littéralement au-dessus de la tête, ne la comprenant nullement et ne cherchant nullement la réponse. De toute façon, il ne le savait véritablement pas. C’était comme cela. Tant pis. De toute façon, l’homme ne pouvait lui en parler maintenant. Pour l’instant, bien que suite au lien qui semblait venir lentement mais surement entre eux, Hunk Moroshi, Maitre et futur Tyran du magnifique village qu’était Konoha No Kuni ne se sentait nullement assez proche de la douce et parfaite pour lui parler de son passé assez carnavalesque ainsi qu’un peu, voire beaucoup improbable pour le commun des mortels. Mais lui, effectivement, lui, la créature humaine s’appelant un : « Homo Sapiens », cette personne était totalement et véritablement différent. Oui, l’homme au bandeau de cuir était une personne bien entendu différente. Cela était une certitude bien simple. Mais cela n’était pas le moment de se perdre dans les limbes d’un passé assez gargantuesque bien que assez bête et nullement compliqué à comprendre. Il était une créature, une expérience. C’était tout. Point. Et bien que l’utilisateur de ce passé cache cela, pour lui, celui-ci n’était nullement différent ayant naquit dans une famille dites de « normale ». Pour lui, nous sommes tous de même sang. Et c’était pour cela qu’il arrivait à avoir ce magnifique sourire maintenant en face de la douce. Sa philosophie.

Pourtant, les autres paroles de la douce et magnifique jeune femme à la crinière ébène s’appelant d’un prénom ainsi que d’un nom d’une beauté olympienne l’intrigua au maximum. « Ne prend pas peur. », « Je ne pensais pas qu’il viendrait ici. » Cela portait effectivement dans une confusion plus que gargantuesque dans l’esprit plutôt maussade de ce jeune homme à la crinière magnifiquement peigné et d’une douce couleur rougeâtre, sanguinolente, pourpre. La couleur à la fois de la guerre, de la mort, mais aussi de l’amour. Et, apparemment, c’était cela qui frappa le plus pour l’instant. Mais il faut revenir sur les propos de la délicieuse et charmante créature qui avait d’ailleurs laissé un soupir venir contre ses fines lèvres rosâtres pour ensuite voir son enveloppe corporelle revenir sur terre. Les pieds contre le sol. En profitant alors pour remonter les manches mouillées de sa chemise noirâtre jusqu’au coude, l’homme laissa donc ses bras parfaitement à découvert. Puis, finalement et définitivement, elle revient au côté du jeune homme qui avait pendant ce temps pencher légèrement sa tête sur le côté, en attendant une explication à tout cela. Fermant un petit moment les deux nébuleuses émeraudes, jade, olive pour se reconcentrer sur le moment présent, il sentit la douce main de la jeune femme contre la sienne et par conséquent, un frisson parcouru alors sa colonne vertébrale, lui faisant alors se mordre légèrement sa lèvre inférieure avec une façon assez significative. Finalement, l’homme n’en revient véritablement pas de sa vision. Ce qui se retrouvait finalement devant son seul et unique œil visible. D’ailleurs, ce dernier cligna plusieurs fois de cet œil, voulant se rassurer qu’il n’hallucinait nullement. La soirée prenait un drôle de tournure, une tournure qu’il n’aurait pas imaginés pour être exacte. Il était en face d’un loup, ébène…

Finalement sa main se posa contre le doux poil noirâtre de l’animal adorant littéralement la viande fraiche, et pour tout dire, il ne voulait nullement finir en tartare pour loup et par conséquent, une fine gouttelette de sueur perça lentement mais surement son front blanchâtre alors que finalement, l’homme laissa pourtant sa main contre le pelage de la bestiole qui ne sembla nullement aimer ce contact. Pour tout dire, pour l’instant, cela était réciproque. Le militaire n’avait jamais été doué avec les animaux et d’ailleurs, cela lui rappela une mission de rang « A. » où, son devoir avait été de tuer une espèce de créature semblable à un ours rougeâtre et sanguinolent. Finalement et définitivement, l’espèce de canidé aux dents, ou plutôt aux crocs parfaitement blanchâtre sembla prendre un peu beaucoup plus d’aise suite à un clin d’œil de son utilisatrice. Effectivement, le loup ne sembla être nullement une invocation de par son apparence banale bien que purement et simplement magnifique. Cependant, le geste de va-et-vient envers le loup se stoppa brusquement quand une pression pourtant assez douce arriva contre sa jambe et que, par la suite le doux souffle de la jeune femme se répercuta contre la cavité auditive de son enveloppe corporelle. Un nouveau frisson purement de satisfaction ainsi que de désir se mêlant à du plaisir, se forma alors un peu partout dans son corps. Bien que les paroles ne fussent nullement sensuelles, le simple fait d’entendre le son de sa voix était déjà une satisfaction tout simplement gargantuesque pour le jeune homme à la chevelure rougeâtre. Finalement, elle disparut avec, sur son pas l’espèce de monstre assez méphistophélique derrière elle. En profitant pour laisser un soupire venir contre ses lèvres rosâtres. Heureusement, le loup n’avait nullement été méchant, et par conséquent, tout c’était bien passé.

Elle revient envers son enveloppe corporelle et par conséquent, un sourire apparut directement contre la façade blafarde de cet homme dont le cœur était maintenant comprimé. Pourquoi ? Impossible de le savoir véritablement mais pourtant, cela était bien présent dans son corps à l’apparence purement frêle. Mais que cela ne tienne. L’homme n’allait nullement en tenir compte pour l’instant. Peut-être était dû à la venue de l’espèce de créature pourtant si magnifique mais terriblement dangereux ? Ou alors, à la réaction de la jeune femme face à son baiser contre sa douce et tendre joue ? Impossible de le savoir pour l’instant, mais l’anthropoïde n’en tenait pas présence. Pour l’instant, Hunk Moroshi était avec une douce et parfaite, qui, d’ailleurs, venait d’émettre la présence de sa main contre le bandeau en cuir. Il n’aimait pas cela pourtant, l’espèce de soldat à la botte de son commandant à savoir le cinquième du nom ne bougea nullement. Mais, par pur réflexe, son œil se referma immédiatement. La demoiselle ne devait nullement voir cela. Cette pupille étoilée à huit branches. Effectivement, Hunk possédait une pupille étoilée à huit branches. Mais pourtant, cela n’était nullement dû à un un clan ou alors suite à une expérience qui aurait mal tourné. Non, c’était seulement dû à la nature et par conséquent, cette chose ne lui servait à rien hormis à avoir de drôle de regard envers son passage dans les rues. Alors, l’homme cache sa différence. C’était comme ça. Point. Finalement, son œil se retrouva à l’air libre et la demoiselle à la voix divine lui demanda la question dont il voyait bien entendu le bout de la queue depuis quelque temps. Alors qu’après la pichenette, ses poings se serrèrent fortement et par conséquent, comme un réflexe, il se mordit fortement la lèvre inférieure alors que, finalement, un fin et sinueux filet de sang perla sur son menton pour finalement finir sa vie contre l’herbe légèrement humide. Finalement, mais définitivement il ouvrit sa pupille étoilée, plongeant son regard émeraude dans celui de la douce. Nullement méchamment mais plutôt un regard remplie d’espoir…


« Pour cacher cela Tsuki… »

Lança-t-il dans un simple et unique murmure. Finalement, et contradictoirement, l’homme laissa alors sa pupille magnifiquement étoilée à la vue de la douce. Définitivement, l’homme regarda le loup, se tenant au loin des adultes. Soupirant lentement, le militaire laissa son corps retombé dans l’herbe fraiche, gémissant légèrement suite à sa morsure sanguinolente. Soupirant légèrement, le monstre humain regarda la belle.

« Et toi alors, que cache-tu ? Après tout, je suppose que nous avons tous une chose que nous voulons garder au plus profond de soi et par conséquent, ne rien dire à notre entourage… »

. : Suite à venir. : .





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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue696/1000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (696/1000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeDim 18 Sep 2011 - 15:06

J’étais fébrile. Je ne m’attendais pas à cela ,mais alors en aucun cas .J’avais pensé qu’il refuserait de me dire ce qu’il cachait derrière son bandeau ou alors pourquoi pas qu’il m’explique la raison pour laquelle il le portait mais en aucun cas à ce qu’il le retire . La perle de sang qui avait glissé de sa lèvre jusqu’à son menton avant de finir sa course dans l’herbe fraîche ne m’avait nullement échappé , cependant je ne comprenais pas cette action , l’avais-je énervé ? il s’était fortement crispé après mon geste et je me trouvais maintenant encore plus mal à l’aise car je n’avais escompté une telle réaction. Je me mordis moi aussi discrètement la lèvre par remord mais bien moins fort qu’il ne l’avait fait précédemment. Puis il poussa un long soupir avant de s’allonger sur la pelouse.


Il me paraissait saugrenu qu’il me montre cela alors que nous ne nous connaissions que depuis à peine quelques heures. Pourquoi faisait-il donc cela ? Absolument rien ne l’y obligeait et il aurait été plus banal qu’il me mente à ce sujet , tant de sincérité me surprenait et je ne pouvais quitter des yeux cette œil à la pupille si exceptionnelle . Jamais il ne m’avait été donné de voir une si belle chose, tellement surprenant qu’il en relevait même de la fascination . Il m’avait été dit que certaines personnes étaient dotés de pouvoirs grâce à leur pupilles ou alors qu’ils en héritaient de leurs gènes , mais jamais je n’avais pu en voir un jour bien que j’eusses vu par le passé des personnes aux yeux avec des couleurs inhabituelles leur pupille restaient la même , un petit disque noir . Ici cela était différent et le plus étrange était qu’il ne possède qu’un seul œil comme celui là . Peut-être ne l’avait-il pas eut toute sa vie mais se l’était-il approprié … Qu’importe. Je restais muette pendant quelques instants , toujours assise sur mes genoux le regard plongé dans cet œil dans lequel j’avais l’impression que je ne pourrais le quitter du regard . Je déglutis lentement et m’allongeai doucement à côté de lui frissonnant sous le contact de l’herbe humide avant d’ajouter :


« Je … Tu n’étais pas obligé de me le montrer si tu tiens à ce que personne ne le sache , je ne comprends pas pourquoi… «

Je dis cela en jouant avec mes doigts, les faisant craquer un à un sans pour autant quitter du regard cette pupille qui m’hypnotisait littéralement. Quel interêt avait-il à me révéler cela et pourquoi acceptait-il de répondre à ma question aussi facilement ? Je n’étais qu’une inconnue rencontrée à peine quelques heures plutôt et j’aurais pu avoir de mauvaises intentions qu’en savait-il . Cette question ne cessait de revenir en moi . Interrompant mon questionnement intérieur sa deuxième phrase me fit tilt et je secouais la tête pour décrocher mon regard du sien et le plonger dans les étoiles avec une moue pensive . Puis après quelques instants de pause j’annonçais avec un sourire :


« A toi de le découvrir «


Je ris doucement et ajoutais maladroitement « Je … mes parents m’ont donné certains dons , j’ai des capacités sensorielles bien au-delà de la normale , en fait … j’ai les mêmes capacités qu’un loup . « Je m’arrêtais un instant pour passer une main dans mes cheveux avec un air gêné. Qu’étais-je donc en train de faire ? « Ôkami , mon nom de famille signifie loup comme tu as du le remarquer. Cela vient du fait que nous sommes semblables à eux en de nombreux points, enfin nous étions car je n’ai pas connaissance que d’autres membres de mon clan soit en vie … Il y avait des rumeurs comme quoi certains vivaient reclus dans les montagnes mais passons.. . Donc j’ai un odorat et une ouïe surdéveloppé , je suis nyctalope et… je peux communiquer avec les loups , comme tu as pu le voir . Et je sais hurler comme eux «


Je ris de nouveau un instant suite à mes derniers mots . Cela n’avait aucun sens et devait lui paraitre des plus étranges . Du moins les personnes normales, quand je dis normales je parle évidemment des humains les plus pitoyables c’est-à-dire ceux qui ne sont pas ninjas car certains ninjas ont mon respect car ils sont réellement uniques et se démarquent de cette société semblable à un paisible et stupide troupeau de mouton. Ces personnes donc , même si il y en a eu peu auxquelles j’avais révélé certaines de mes capacités volontairement ou bien plus souvent étaient en général effrayées ou méfiantes et bizarrement se rappelaient soudainement quelles avaient une chose des plus importantes à faire ou tenter de s’éclipser discrètement . Seulement là est le Hic , ces personnes n’avaient pu faire les choses si importante soient-elles qu’elles le prétendait car elles avaient comment dire … disparues étrangement . Non pas que j’en sois responsable , peut-être , ou peut-être pas je laisse les gens juger par eux-mêmes . Mais dans les pays étrangers et en mission il était préférable de n’avoir aucun témoin de ses agissements . Aussi je me demandais ce qu’il pouvait en penser mais lui aussi n’était pas comme le commun des mortels ce qui me rassurait quelques peu sans néanmoins faire disparaitre entièrement ma nervosité.


« J’ai d’autres secrets mais si tu veux les connaitre à toi de les découvrir « ajoutais-je en souriant


Je me raclais la gorge, nerveuse , pourquoi lui avais-je dis cela, d’ordinaire je gardais cela secret et ne le confiais qu’à mes partenaires de mission lorsque cela était nécessaire ou bien à mes supérieurs. Et je n’avais jamais dit à quelqu’un que je savais hurler. C’était une remarque inutile et j’en eu honte un instant d’avoir dit une chose si futile. Si mon père était encore là je me serai pris la raclée du siècle car il était interdit de révéler nos capacités à un inconnu et qui plus est d’un village différent au mien.Par la suite mon regard fut attiré de nouveau par une petite perle carmin qui glissa le long de ses lèvres avant de plonger sur l’herbe en laissant une petite trainée vermeille sur son visage . Et je ne sais pourquoi mais vraiment pas , et je me demande encore pourquoi j’ai agi comme cela . Certes c’est cette réaction qui a fait de moi ce que je suis depuis ce jour et qui a illuminé ma vie seulement jamais je ne pourrais interpréter ce geste même si je me suis repassée la scène en tête des milliers de fois .


Ainsi ne détachant pas mon attention de cette perle je me relevais délicatement en prenant appui sur mes mains tout en demeurant à quatre patte et d’un mouvement fluide et doux je m’approchais de lui , rapprochant mon visage du sien sans croiser son regard de peur d’y voir un désaccord, je m’arrêtais à quelques centimètres de son visage un instant. Je passai une fois ma langue sur mes lèvres n’osant agir avant de me rapprocher définitivement de son magnifique visage et poser lentement ma langue sur de la pointe de son menton ou avait perlé la goutte de sang et de remonter doucement jusqu’à sa bouche en suivant la trace vermeille de son hémoglobine. Et venir finir par atteindre sa fine bouche et venir mordiller une unique fois avec tendresse sa lèvre inférieure, à peine une fraction de seconde j’eus touché ses lèvres .

Je me reculais légèrement , réinstallant la distance de quelques centimètres entre nos deux visages en fermant les yeux quelques secondes . Je les rouvris et me mis à regarder sur le côté dans la direction ou Kuro était partie car je me sentais honteuse , mon teint devint d’un rouge intense . Je ne savais plus ou me mettre et je penchais la tête en avant pour cacher mon visage sous ma chevelure tout en jurant intérieurement . Puis passé cela je me raclais la gorge avant de relever la tête avec un très léger sourire en coin sans que la voix dans ma tête ne cesse de me faire des reproches, des insultes et autres discours . Je déglutis difficilement car j’avais, je dois l’avouer, extrêmement peur de sa réaction et désormais je n’osais bouger un muscle . Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine si bien que j’avais la sensation qu’une crise cardiaque n’était pas loin, je pris une profonde inspiration pour tenter en vain de me détendre et reconcentrais mon attention sur son regard si unique me laissant une nouvelle fois enivrer par cette majestueuse pupille .
Hunk Moroshi
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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue1377/2000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (1377/2000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeSam 8 Oct 2011 - 11:23




. : Un roi trouverait-il sa Reine ? : .

Apparemment, il serait allé bien trop vite dans la découverte de cette partielle de son passé qu’était finalement rien d’autre que sa douce et magnifique paupière en forme d’étoile à huit branches. Oh, oui et non. Un certain sentiment de regret était venu doucement mais surement en lui, contre le point central de son enveloppe corporelle. Et d’un autre côté, cette partie qu’on pourrait tout simplement de lumineuse, parfaite, d’une beauté tout simplement olympienne. Tout cela était heureux. Comme une sorte de libération totalement absurde. Pourquoi ce drôle de sentiment envahissant le contrôle de son esprit maussade. En tout cas, cela était présent et cela était pour l’instant impossible de faire partir cette sensation quelque part extraordinairement désagréable et d’un autre côté, assez bienfaitrice, d’une douce chaleur réconfortante. Malheureusement pour lui, l’homme au masque à gaz n’avait nullement la possibilité de détruire l’espace-temps et par conséquent revenir en arrière pour définitivement que toute action passé il y a de cela environ une dizaine de minutes ne fut nullement inscrite dans la longue liste noirâtre de la vie d’un homme finissant surement sa vie au plus haut point de son pouvoir. Enfin, cela ne reste qu’un rêve de toute façon. Après tout, comment de chance qu’un ninja des forces supérieures de l’armée réglementaire de Konoha No Kuni connaisse un instant de gloire tout simplement gargantuesque ? Certainement pas beaucoup. Mais, le futur n’est pas quelque chose de bien de connu et par conséquent, tout peut arriver par conséquent. Mais le futur n’était pas quelque chose d’important dans cette soirée, ou peut-être bien le futur avec cette délicieuse jeune femme à la crinière noirâtre. Cela faisait souvenir surement envers ces endroits glaudes et ténébreux que le pâle homme avait connu dans sa jeunesse plus que douteuse ainsi que parfaitement brumeuse. Tout cela n’étai pas un rêve, au moins…

Au moins, la douce et somptueuse pelouse était fraiche. Bien que par la cause de la mousse de la boite de nuit, l’homme à la chemise noirâtre n’avait nullement besoin de cela, un peu plus de fraicheur pour que ce futur héros tombe mollement et bêtement malade. Oui, effectivement, cela lui était déjà arrivé. Après tout, le militaire à la chevelure sanguinolente n’était nullement un monstre de puissance bien que son grade prouvait quelque peu le contraire. Mais même le plus puissant des hommes peut être malade. La Mort n’échappe à personne. Et cela est pareil pour la maladie. En tout cas, cela n’était pas le sujet de la soirée, et surement des autres. Encore heureux pour lui ou encore bien pour la demoiselle au village totalement inconnu. Ses deux pupilles émeraude étaient maintenant complètement en symbiose parfaite avec le magnifique et somptueux ciel du village caché de la feuille. Enfin, village caché, cela était assez contradictoire mais que cela ne tienne. En tout cas, l’homme s’amusait mentalement à retracer les différentes constellations dans le tissu, voire le tableau noirâtre qu’était ce qu’on appelé littéralement la nuit. Effectivement, l’homme avait une connaissance assez gargantuesque des étoiles ainsi que des planètes, le savoir était quelque chose d’assez important pour lui. Que cela soit envers les étoiles ou encore bien la connaissance de la Planète Terre. Finalement, la douce louve s’installa à son tour contre le parterre glacial de la pelouse dont la propriété était exclusivement envers la Mère Nature. Le bruit d’os craquant un à un fit hausser un sourcil au futur tyran d’une province maussade mais pourtant, l’homme ne bougea pas. Cela était un geste assez… Nullement féminin, ce qui étonnant d’ailleurs l’ectoplasme à ma brume vivante. En tout cas, les paroles qui parvinrent à ses oreilles annoncèrent la couleur de la vérité. Elle n’avait pas faux. Il avait cédé bien trop facilement pour un rien. Cela était-il l’alcool ? Non, surement pas. La consommation n’avait pas été assez importante pour cela.

Finalement, la douce lui dévoila une partie de ses propres secrets. Certaines choses que le monstre qu’était l’être humain n’allait certainement imaginer. Nullement besoin de se voiler la face sur cela et sur les capacités de la jeune demoiselle. Elles étaient spéciales. Pour tout dire, l’homme au fameux bandeau de cuir n’avait jamais vu ou encore bien entendu tout cela et ô grand jamais le drôle de personnage qu’il était n’aurait cru savoir tout cela. En tout cas, cela rester de toute façon une source de savoir assez infime mais qu’il pourrait surement ressortir une fois ou deux. Redirigea sa pupille étoilée envers l’enveloppe corporelle de la grande gamine. Le dernier point le fit doucement rire. Non, nullement un rire diabolique ou encore bien méchant pour devenir un être totalement moqueur. De toute façon, cela n’était pas son genre. Heureusement ou bien malheureusement, à vous de choisir votre camp en tout cas. Le guerrier de Konoha No Kuni se demandait surtout l’utilité de tout cela, bien que, en qualité d’intimidation, cela était une chose extrêmement intéressant, mais nullement fait pour lui. Lui, ce fameux lui était d’un naturel assez voire totalement discret. Alors bon, les hurlements les soirs de pleine lune à la façon d’un mauvais conte que les géniteurs racontent à leurs progénitures. Non. Jamais. Cela était une valeur sûre pour lui. Finalement, la douce était pleine de surprise est, apparemment, l’utopien n’avait encore aperçu que la pâle et glaciale surface du gargantuesque bloc de glace constituant le glacier. La soirée prenait un drôle de tournure, que cela ne soit pas le début de la soirée ainsi que la fin qui est, finalement simplement maintenant. Si on lui aurait dit qu’il aurait révélé sa fameuse pupille à une pauvre inconnu, sa réaction aurait été un immense éclat de rire, jamais celle de maintenant, de l’instant présent.

La suite l'étonna au plus grand point. Jamais il n'aurait cru que cela allé finalement arrivé. Une douce chaleur arriva contre son menton, une chaleur assez humide pour tout dire. Quelque chose d'assez contradictoire pour être tout simplement véridique. Alors que ses deux carreaux de joues blanchâtre se teintèrent lentement mais surement envers la couleur des flammes du septième cercle de l'Enfer méphistophélique. Originalement, l'homme à la chevelure rougeâtre, voire flamboyante ne bougea nullement, non, il ne voulait pas. Au grand jamais. Cette sensation n'était pas nouvelle pour lui, heureusement ou malheureusement veniez choisir votre camp et que cela ne tienne. Mais en tout cas, joues rosâtres et yeux remplies de plaisir, le militaire se laissa donc faire alors que le bout de muscle rosâtre continua doucement mais surement son chemin envers les barrières de paroles qu'était celle du mâle dominant. Alors que ses deux nébuleuses émeraude remplies en se moment, sur le vif d'une folie revigorante, le possesseur de ses dernières les referma en même temps que la léchouille se transforma lentement en une morsure bienfaitrice annonçant surement l'envie de la demoiselle aux formes esquisses. Le plaisir ne dura qu'une fraction de seconde, mais pourtant, cela lui semblant être une éternité de plaisir interdit. Et le plaisir prit finalement fin. Pour le plus grand malheur de l'homme. Ses yeux se rouvrirent, de nouveau. Le visage de la douce recula quelques peu. Et, apparemment la honte ainsi que la gêne était sur sa façade. De là, l'être humain, l'ectoplasme qu'était Hunk Moroshi la laissa totalement faire. Laissant un silence assez pesant venir contre un moment totalement magique, le soldat expira, lâchant finalement une et unique chose. En fait, il cela était plus un gemissement de gêne qu'autre chose mais pourtant, ses dents vinrent prendre avec toute la douceur dont le jeune garçon était capable, la fine lèvre inférieure de la douce, lui mordillant passion. Cela dura beaucoup plus longtemps pour lui, mais en tout cas, ses dents virent partir. Déposant un fin baiser contre les lèvres de la mystérieuse.


« Merci... Enfin... Euh... »

. : Suite à venir. : .




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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue696/1000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (696/1000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeLun 17 Oct 2011 - 17:19

Il est des choses que l’on ne sait expliquer et pour moi cette soirée en était une, mon esprit se répétait sans cesse que cela était futile et ne rimait nécessairement pas à grand-chose étant donné mon passé et ma présente situation psychologique qui n’était pas des plus … stables. Mais évidemment la conscience et l’inconscience sont toujours dans un éternel conflit et la présente situation était une aubaine pour remettre les affaires sur le tapis . D’un côté l’attirance physique que me procurait ce jeune homme qui n’était pas cependant mon genre habituellement mais avait un charme incommensurable, me faisait rougir et me donnait des frissons que je ne savais réprimer. Et de l’autre ma conscience me disant que ce n’était sans doute qu’un homme de plus ne cherchant qu’une relation sans lendemain . D’autre part l’attirance de sa personnalité , sa timidité , sa prestance, le fait où l’on s’attache à observer chaque mouvements de la personne en pensant que cela nous la révèlera un peu plus sur celle-ci en ayant conscience que cela peut tout à fait n’être qu’une mascarade pour parvenir à ses fins .


Mon geste précédent était l’archétype de cela , je m’étais laissé emporter par ce que je ressentais . Ce n’était pas quelque chose de très nouveau pour moi étant impulsive de nature mais cela avait le don de me donner des remords parfois profonds . Cette fois-ci je n’en avais pas , ou tout du moins si , mais cela n’en était pas réellement un , mon seul remord fut d’avoir rompu cet instant par une prise de conscience de mon geste . Reprenant mes esprits , quelques peu embrumés après ce que je venais de faire je ne pu me plonger dans une réflexion bien longtemps car il répéta mon geste précédent , je me figeais en le voyant se redresser et le laissais faire en fermant les yeux avant de venir glisser doucement une main dans son cou en remontant dans ses cheveux à la couleur si chatoyante , sans vouloir réfléchir à quoi que ce soit je ne tenais qu’à vivre cet instant en souhaitant qu’il dure aussi longtemps que possible . Finalement et bien évidemment, toutes les bonnes choses ont une fin, aussi brisa-t-il son geste dans un baiser qui fit frissonner tout mon être . Je le regardai avec un léger sourire alors qu’il parla . Une phrase pleine de sens . Pure ironie bien évidemment . Je me mordis doucement la lèvre inférieure en réprimant un rire tandis que cela me rappela l’instant précédent et une teinte légère apparue sur mes joues tandis que à mon tour j’émettais une phrase toute aussi intéressante :


« Je … Euh ... C'est rien … »


Par la suite je poussais un long et profond soupir comme si toutes mes côtes furent brisées et que cela fut un soulagement de clore une phrase pour éteindre la douleur révélée par l’effort que cela demandait d’émettre une phrase . Puis je le regardais , il avait du relever quelque peu son buste du fait que je m’étais reculé avant qu’il agisse. Je ne savais pas quoi faire de plus et me rallongeais à ses côtés avec un fin sourire en venant lui tirer délicatement le col de sa chemise pour que lui aussi se remette dans sa position précédente . Sachant qu’il n’avait pas protesté à mon premier geste et l’avait même poursuivi j’espérais qu’il ne dirait rien à celui-ci qui était bien moins intime, mais un geste peut en cacher un autre, et je dois avouer que si je voulais qu’il fasse cela c’était peut-être pour pouvoir poursuivre ce que j’avais eu tant de mal à commencer, ou simplement pouvoir l’admirer à ma guise, ou autre chose , je ne saurais exactement le dire. Ne le laissant néanmoins pas paraître, tout du moins je l’espérais , je m’étirais quelque peu dans l’herbe en tendant les bras au-dessus de moi ce qui provoqua un frisson réveillé par la fraîcheur nocturne . Etant de nature plus nocturne que diurne cela ne me gênait pas, la nuit ici était beaucoup moins froide que dans mon pays natal et si la fraicheur se faisait mordante cette nuit c’était seulement à cause du fait que mes vêtements étaient humides bien qu’ils sèchent péniblement avec le temps passé en compagnie de ce jeune homme. J’avais en effet connu des nuits bien plus froides lors des hivers glacés de mon village et le simple fait d’y penser me fit frissonner à nouveau . Je jetai rapidement un coup d’œil aux alentours une nouvelle fois histoire de m’assurer que personne ne fut là , mais seuls les quelques timides lampadaires éclairaient le parc totalement silencieux et plongé dans la pénombre , nombreux auraient été les enfants qui auraient pu être apeuré par la noirceur de la nuit dans un endroit comme celui-ci , redoutant qu’un monstre tout droit sortie d’un conte ne surgisse de derrière un buisson ou toute autre ineptie .


Je tournais de nouveau mon regard vers lui, pivotant finalement tout mon corps afin de me retrouver allongée de profil à côté de lui . J’aurais voulu parler pour briser le silence qui s’établissait entre nous mais aucun soupçon , aucune bribe d’idée de discussion ou ne serait-ce même de remarque ne traversa mon esprit . J’entrouvris donc maladroitement mes lèvres un instant avant de passer ma langue sur ces dernières pour cacher ma tentative raté de paroles et passai mon regard sur le jeune homme une énième fois , avant de rougir à nouveau me rendant compte de mon comportement car moi-même je n’aimais pas lorsque l’on me dévisageait ainsi et cela me mettait mal à l’aise mais ce soir ce n’était pas cela. Je rougissais du fait de ce que j’éprouvais pour lui , ou de ce que je pensais ressentir car je ne le voulais pas et cela était tout à fait surprenant pour moi ,mais également plus fort que moi et étant donné mon incapacité notoire à contrôler mes émotions cela ne pouvait que transparaitre même si je ne désirais en aucun qu’un qu’il s’en rende compte et priais intérieurement qu’il ne remarque rien sans pour autant vouloir réprimer mes gestes . Par la suite n’ayant réussi à émettre un son je m’approchais finement de lui , si bien que seuls un ou deux centimètre séparaient nos enveloppes corporelles , je lui souris et parvint à parler :


« … Et d’ordinaire … Je veux dire … Que fais-tu dans la vie ? »


Pour apporter une correction, ma phrase relevait plus d’un balbutiement qu’autre chose car même si les mots furent parfaitement ordonnés dans mon esprit mes lèvres quant à elle ne semblaient désirer dialoguer mais sans doute seulement retrouver la sensation qu’elles avaient précédemment ressenti de la part de cet homme . Puis originalement comme si elles avaient été maitresse de moi corps et âme , elles brisèrent le dernier espace nous séparant et vinrent se poser avec une tendresse infinie sur celles du jeune homme . Ne lui laissant nullement le temps de répondre , si ce n’est d’entrouvrir les lèvres pour émettre sa réponse . Mon esprit et ma curiosité voulait connaitre la réponse à cette question mais il semblait que je sois plus portée à ne pas pouvoir résister au fait de me rapprocher de lui avant d’entendre sa réponse . Se furent par la suite mes mains qui semblèrent s’animer, dès que mes lèvres eurent touché les siennes semblant jalouses et vouloir retrouver la chaleur de celle de Hunk qu’elles avaient pu saisir précédemment dans la soirée . Aussi l’une d’elle se glissa à nouveau dans le cou du jeune homme pour finir dans ses cheveux flamboyant tandis que l’autre se posa délicatement sur une de ses mains.


Bien que mon corps semblent agir de lui-même et de façon tout à fait naturelle , mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine et ma respiration s’était bloquée pendant cet instant , ce qui amplifiait le son de mon cœur qui tambourinait dans ce silence nocturne et ne faisait qu’amplifier ma gêne. Je venais de faire un pas vers lui en lui montrant ce qu’il me faisait éprouver et je ne pouvais qu’attendre sa réaction . Peut-être tenterait-il de me repousser , peut-être ne le ferait-il pas . Néanmoins je ne pouvais faire machine arrière à présent .
Hunk Moroshi
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeMar 25 Oct 2011 - 17:54




. : Enfin, cela frappe, avec douceur. : .

Cela n’était tout simplement pas possible pour lui. Apparemment, il n’arrivait pas à croire ce qu’il avait fait il y a de cela quelques secondes auparavant. Cela était-il à cause de l’air ou encore bien à un taux d’hormones surement trop longtemps contenu ? Impossible de le savoir véritablement. Mais en tout cas, maintenant, une chose était véritablement sûre dans son esprit plus que brumeux. L’homme qu’il était ne pouvait nullement revenir en arrière, et par conséquent, son enveloppe corporelle allait devoir assumer la conséquence de ses actes. Après tout, quelque part cela était tout simplement normal, non ? De toute façon, cela n’était nullement déplaisant alors que cela ne tienne pour l’instant. Le futur Tyran, suite à une extraction de la puissance physique de la jeune femme se retrouva pour une nouvelle fois, face au ciel obscur et ténébreux du village de Konoha No Kuni ainsi que contre l’herbe légèrement fraiche et mouillé du parc du centre-ville. Suite à ce changement de position non voulu mais pourtant nullement déplaisant, un long et sinueux frisson lui parcourra avec une lenteur certaine le long de sa colonne vertébrale avant de finalement finir dans ses épaules. Réprimant rapidement et bien entendu, discrètement un sourire de gêne suite à cela, le militaire d’une puissance pour l’instant encore inconnu se reconcentra définitivement sur sa seule et unique compagnie. Certes, cela était vrai que ce drôle de personnage n’avait presque voire jamais de compagnie. Que cette dernière soit féminine ou encore bien masculine, mais un peu de changement dans son univers ne lui faisait finalement pas si mal que cela. Cela en devenait presque plaisant. Effectivement, presque. Il serait tout simplement impossible de changer un homme qui, depuis des temps immémoriaux s’inscrit dans la discrétion. Que cela soit par ses compétences ou alors à l’écart de toute population, préférant être neutre dans tout cela. Dans l’œuvre du Monde.

L’homme laissa finalement ses deux prunelles, à savoir celle dites de : « Normale. » ainsi que celle génétiquement modifiée par diverses expériences ou encore bien par le génome humain de la nature, examiné le fin et doux visage de la jeune femme à la chevelure noir corbeau. Elle était jolie, mignonne, charmante. Les adjectifs valorisants pouvaient être encore nombreux, cela était une certitude pour lui, mais à faire l’éloge de cette demoiselle au village encore et encore une fois inconnu, son esprit risquerait de partir ailleurs, chose qu’il ne voulait absolument pas en cette soirée assez spéciale, il fallait bien le dire. En oubliant totalement l’entourage, que cela soit l’espèce de sale créature plus que bizarre que trimballait apparemment la douce succube ou alors bien le parc en lui-même. Seulement sa compagnie était apparemment importante pour lui, même s’il risquait de tomber dans une certaine contemplation qui serait véritablement gênante pour la cible de cet acte assez voire totalement déplacé. Mais après tout, l’homme avait bien goûté aux fines lèvres rosâtres de la femme… Secouant rapidement la tête suite à cette pensée, et par conséquent, ressentant une douce chaleur assez agréable venir contre ses deux carreaux de joues, l’homme exprima un léger gémissement qu’il tenta tant bien que mal à cacher à la douce demoiselle ce tenant depuis maintenant quelques heures devant lui. Cette soirée était finalement véritablement spéciale. O grand jamais il n’aurait cru que cela arriverait un jour et surtout, aussi vite. Mais bon apparemment la vie lui réservé encore beaucoup de surprise pour ce jeune homme. Enfin, jeune. Lui-même ne connaissait nullement son propre âge et par conséquent, se basé seulement sur son enveloppe corporelle pour établir une espèce de pseudo-estimation de la catégorie de son âge à travers le temps ainsi que les époques.

Un silence arriva finalement entre les deux personnes majeures. Un silence plus que pesant. Cela était une chose véritablement sûre. Pourquoi était-il venu comme cela ? Bloquant finalement l’élan des deux jeunes adultes ? Impossible de le savoir de toute façon. Lire dans le silence est une chose qui n’est pas possible pour le commun des mortels et surement pas pour un pauvre membre du service militaire de Konoha No Kuni. Ou alors de cette femme semi-loup de par ses capacités assez originales, si on pouvait dire cela comme cela. Mais en tout cas, cela n’était pas quelque chose qu’on pourrait dire de répugnant. Du moins, pas pour le jeune homme. Qui plus est, dans son village, il existait bien un clan qui avait des chiens et les capacités allant de pair. Alors pourquoi pas des loups ? Le monde dans lequel évolué Hunk Moroshi était surement l’un des plus complexes de par la diversité des personnes présentes mais aussi le plus magnifique. Alors que la jeune femme s’était retournée vers lui, vers son enveloppe corporelle, la seule source de chaleur valable en faisant bien entendu extraction du monstre étant on ne sait où. De là, ses joues s’empourprent encore une fois suite à cela. Déglutinant lentement mais surement, le geste qui sortit de ses lèvres mis un peu plus mal à l’aise le pauvre jeune homme qui tentait d’être le plus serein possible face à cette créature d’un autre univers que le sien. Que cela voulait-il dire ? Une provocation ? Une invitation ? En tout cas, une chose fut sûre. L’homme ne bougea nullement. Finalement, elle rougit et lui aussi, comme à son habitude pour être réaliste. La demoiselle s’approcha lentement, lentement, surement trop prêt de lui. Il ne bougea pas. Pourquoi ? Il ne voulait pas. Il voulait savoir la suite. La connaitre.

Elle annonça une phrase, et, il ouvrit sa bouche. Mais l’homme ne put répondre à sa question. Pas qu’il ne voulait pas, cela était une chose absolument certaine. Jamais deux sans trois ne dit ton pas, apparemment, le proverbe est plus que vrai. Ce même sentiment de bienfaisance, de délicatesse, de tendresse, d’amour ? Impossible de la savoir pour l’instant. En tout cas, les lèvres se rencontrèrent une nouvelle fois dans une lenteur sans pareille. Répondant sans attendre à son baiser avec toute la délicatesse qu’il pouvait par conséquent offrir, ses deux prunelles se fermèrent avec une certaine lenteur. Alors que l’une des mains de la jeune femme se déposa avec la plus grande délicatesse contre son cou, occasionnant par la même pensée un léger frisson, cette même main remonta lentement dans les cheveux ensanglantée de l’homme. L’autre main, elle, fut rapidement emprisonnée par celle du futur Septième Hokage, entremêlant ses doigts délicatement et par la même occasion, déposant de nombreuses caresses grâce à ses fins doigts blanchâtre. Sa seule et propre main de libre, elle, se déposa lentement contre l’herbe verdâtre du parc, prenant par conséquent appuie pour pouvoir mieux profiter du moment. Ce moment de bonheur simple dura, dura, et dura encore. Mais finalement, il fut brisé par le jeune homme qui baissa immédiatement les yeux, ne préférant pas subir le regard de la jeune femme à la crinière si magnifiquement corbeau. Déglutinant lentement mais surement pour la deuxième fois de la soirée dans ce court laps de temps. Se mordillant fortement la lèvre inférieure alors que finalement ses caresses continuaient à être présentes contre la main de la jeune femme. Lentement mais surement, finalement et définitivement, l’homme releva son visage, plongeant son regard dans celui de la douce demoiselle se tenant alors devant lui. Lentement mais surement, sans qu’il se rende compte, il entoura la jeune femme de ses bras… La plaçant par conséquent entre ses jambes…

« Eh bien… Je suis Juunin des Forces de Konoha. Ici… Et toi alors ? »

. : Suite à venir. : .



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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeMer 9 Nov 2011 - 17:50

Amour . Je ne saurai exprimer ce que j’ai ressenti à ce moment et ce que je ressens encore aujourd’hui du simple fait d’y penser. Mais ce moment fut spécial pour moi et le restera à jamais. Cet instant de pure tendresse ou nous nous sommes laissés aller à nos pulsions animales. Je ne puis dire si j’ai ressenti à ce moment précis de l’amour pour lui mais ce qui est sûr c’est ce baiser fut bien différent de nombreux que j’avais pu donner auparavant. Une fois j’avais connu cette sensation et je m’en pensais privée à tout jamais. La vie est pleine de surprise. Je ne pus que frissonner en fermant les yeux de délice quand il répondit à mon baiser avec une certaine ardeur, ses délicates lèvres d’une douceur infinie se posant sur les miennes. Je n’osais presque plus respirer de peur de briser cet instant et serrait instinctivement un peu plus fort ma main dans sa chevelure rayonnante . Je sentis également sa main accepter la mienne en entremêlant avec tendresse ses doigts aux miens venant y déposer de délicates caresses, cela me fis frissonner à nouveau et délicatement à son tour mon index parcouru lentement le dessus de sa main en l’effleurant tendrement tant que l’instant dura. Ce moment me parut durer éternellement et lorsque il prit fin j’aurais cru que cela s’était passé dans des temps immémoriaux. Avec un fin sourire je rouvris les yeux et vis le jeune homme détourner le regard . Mon sourire s’effaça et je fis doucement glisser ma main présente dans sa nuque jusque sur sa joue. Il déglutit. Peut-être n’avait-il répondu par mon geste que par dépit ne sachant que faire d’autre sans pour autant vouloir me repousser au risque de m’offenser. La main qui était contre la sienne la serra quelque peu davantage tandis que l’autre continua de glisser sur son visage et se posa simplement sur son torse et le voyant se mordiller sa si douce lèvre, je détournais le regard , pensive.


Je ne savais réellement que penser. Il m’avait semblé que... Puis je le vis bouger et je redirigeais donc mon regard vers lui, soutenant l’intensité de ces iris émeraudes. Tout du moins un. Sans que je m’y attende il passa se bras autour de moi avec douceur, je retins ma respiration et ne dis rien, le fixant simplement alors qu’un frisson remonta le long de mon dos. Puis par son geste je me retrouvais finalement sur lui, entre ses jambes. Une nouvelle fois je ne dis rien et sourit une fraction de seconde avant de réprimer ce même sourire et passai simplement ma langue sur mes lèvres sans raison , celles-ci portant encore le parfum de celles de cet homme. Après cela, il répondit à ma précédente question. Je l’avais presque oublié après cet instant. Je l’écoutais avec attention. Juunin . Intéressant , cela ne m’étonnait pas et un grade supérieur ne m’aurait pas plus étonné , je ne saurais dire pourquoi. Une intuition féminine. Je souris et passai une main dans mes cheveux. Peut-être faudrait-il que je songe à mon tour de tenter les examens pour passer au grade supérieur, j’en avais je pense le niveau mais je ne faisais pas disons les démarches pour cela. De plus la simple idée d’avoir des élèves m’hérissait le poil, la compagnie humaine m’était parfois peut supportable et la simple idée de me retrouver avec des Genins ou Chunins parfois bien plus jeune que moi sous ma tutelle m’hérissait le poil. La pédagogie n’est pas et j’en suis certaine mon point fort. Je soupirais donc maladroitement :


« Moi ?... Je ne suis qu’une simple Chuunin du village de Kiri… » Dis-je avec un petit rire


Pas très impressionnant certes, voire même pathétique mais il fallait dire les choses comme elles le sont. Je détournais un instant le regard en songeant à ce que mes parents penseraient de moi en sachant que je stagnais à ce grade à mon âge. Puis je retournais mon attention sur mon compagnon et vint à mon tour passer mes bras derrière sa nuque, jouant délicatement avec une mèche de ses cheveux . Mon esprit se prêta à repenser au moment précédent . Je rougis en réalisant soudainement dans la position ou j’étais et vins poser ma tête sur son torse en fermant lentement les yeux, m’allongeant par conséquent sur lui. Je pouvais sentir son cœur battre mélodieusement dans sa poitrine et vins enlacer une de ses jambes avec la mienne ce qui fit remonter quelque peu le pan de ma robe sur ma cuisse et dévoila une peu plus mon corps par la fente déjà présente sur la robe mais qui se retrouvait ici largement ouverte jusqu’à peine en dessous de mon sous vêtement. Je sentis l’air passer sur le haut de ma cuisse et frémis avant de replacer mes cheveux au milieu de mon dos, car le dos nu de la robe ne m’ évitait nullement la morsure du froid et de l’humidité. Avant de replacer mes mains dans la chaleur du coup du jeune homme en me blottissant un peu plus contre lui . Un nouveau frisson me parcouru, le froid se faisait de plus en plus présent et bien que je tente de ne point y prêter attention je sentais sa main glaciale se poser sur mon être en le remontant petit à petit.


/Pour parer à cela je me serais blottis ma tête dans le creux du cou du jeune et aurait murmuré« Je … J’ai froid, tu ne voudrais pas rentrer … Mes vêtements sont trempés et gelés… »Stéréotype bonjour . Cela faisait sans doute cliché de la fille qui a froid et qui veut aller chez vous mais là ce n’aurait était que la pure vérité, je haïssais l’humidité bien qu’elle soit constante dans mon pays et j’étais trempée depuis un moment déjà avec l’humidité ambiante de la nuit empêchant mes vêtements de sécher correctement.Ce qui est, désagréable. / Voilà ce que j’aurais dit, fait et pensé en temps normal, détestant le froid cela aurait été ma réaction mais bien évidemment je ne fis pas cela. Mon esprit était tiraillé entre les signaux de mon corps hurlant qu’il voulait rentrer à la maison et se glisser sous un édredon bien chaud pour oublier cette moiteur froide induite par la mousse, et d’autre part la peur de voir disparaitre l’individu m’accompagnant si j’émettais l’idée d’aller dans un endroit plus chaleureux. Même mes cheveux quant à eux avait pris une légère ondulation en s’imbibant de cette fraicheur nocturne comme se recroquevillant pour mieux conserver la chaleur à la manière d’un enfant prenant la position fœtale. Ce n’était pas que l’endroit fut déplaisant bien au contraire mais plus les longues minutes passaient plus mon corps s’engourdissait et désespérait de trouver de la chaleur. Cependant le fait de m’être partiellement allongée sur le jeune homme fit taire les lamentations de mon subconscient qui se ravit de trouver une source de chaleur bien qu’elle aussi fut humide. Mais c’était déjà cela.


Ne bougeant pas je restais dans cette position durant de longues minutes, n’écoutant hormis les battements de son cœur que les légers bruits environnants de la nature endormie et au lointain parfois les rires de personnes parcourant les rues, les hauts talons des femmes martelant les pavés et résonnant dans la nuit tandis que d’autres fois ce furent des groupes d’hommes à la voix grave et chantante sûrement dû à un passage dans un bar et leurs exclamations qui retentirent plus loin. Puis je rouvris les yeux et déglutis, venant soupirer longuement, ce dernier fit naitre un léger nuage de vapeur qui disparut aussitôt celui-ci terminé. Un nouveau frisson me parcouru l’échine,et des fourmis se firent sentirent dans mon pied gauche du fait de mon immobilité et de ma position suite à cela je me redressais doucement en m’étirant légèrement, me tenant droite le bassin sur le sien, mes jambes à l’extérieur des siennes les genoux dans l’herbe fraiche et vint doucement poser mes mains sur son torse en regardant tout d’abord les astres dans le ciel nébuleux quelques secondes en rougissant puis je tournai mon regard vers le sien sans rien dire en enlevant une de mes mains de sa poitrine et la passer dans mes cheveux nerveusement avant de lui sourire timidement .


« Et maintenant ? »
Hunk Moroshi
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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue1377/2000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (1377/2000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeMar 22 Nov 2011 - 10:12



. : Le roi découvre seulement sa Reine, maintenant. : .

Que pouvait-il bien faire en cette douce soirée ? Peut-être que le pauvre et las être humain à la crinière sanguinolente allait trop vite dans cette drôle d’histoire. Ou alors bien, cela résulté finalement rien d’autre que d’une aventure d’une nuit. Ou le sexe était présent. Obligatoirement. Mais après tout, l’homme à la pupille possédant huit branches lui avait bien offert des fleurs ? Une sorte de « Feeling » envers cette petite inconnue était présent. Cela était sûr. Après tout, les deux personnages avaient bien échangé un baiser rempli de passion ainsi que de tendresse. Hormis si, bien entendu, cela était seulement pour déboucher sur une chose bien entendu beaucoup plus physique. Mais cela ne pouvait nullement être cela après l’immense moment intense que les deux enveloppes corporelles avaient finalement échangé avec une fureur majestueuse ainsi que dantesque. Le plaisir, l’envie, le bon vouloir, la chaleur de la personne, l’amour ? Le dernier n’était pas possible pour l’instant. Ou du moins, cela était une chose incertaine pour l’homme qui, dans un futur finalement assez proche deviendra le maitre de ces lieux. Mais pour tout dire. En fait, l’homme n’avait nullement émis sa pensée envers l’option, la catégorie : « Coup de Foudre. ». Pour l’instant, cela n’était absolument pas le moment d’émettre son esprit contre cela. Après tout, l’homme faisant parti du corps d’armée de Konoha Gakure No Satô avait pour l’instant autre chose à faire. Et cette chose était, pour être plus précis la douce jeune femme à la chevelure noirâtre, se nommant alors du merveilleux nom de : « Tsuki Okami. ». Finalement, et définitivement, l’homme sourit suite à cette pensée. Après tout, cela était un parfait moment qu’était inscrit dans le moment présent. Oh oui, du moins, du point de vue du jeune homme ayant apporté un bouquet de fleur blanchâtre envers la délicieuse.

La chaleur de la demoiselle s’émettant alors contre son torse finement musclé, l’homme sourit finalement une nouvelle fois. Cela n’était pas plus mal. Un peu de chaleur contre son corps de par le temps frais n’est pas une chose à refuser après tout. Cela est une chose bien entendu sûre. D’ailleurs, la chaleur d’une autre personne n’était pas une chose courante pour le jeune homme à la crinière purement et simplement sanguinolente. Pourquoi ? Oh bah, pour tout dire, l’espèce d’ancienne expérimentation ne recherchait pas véritablement pas la valeur d’une chaleur humaine. Féminine. Bien entendu pour lui. D’une, les doux et mélodieux sabliers du temps ne lui laissé nullement le temps. Et par conséquent, cette fameuse soirée était tout simplement exceptionnelle. Et de deux, cela n’était pas quelque chose d’assez intéressant pour lui malgré que son physique soit inscrit dans la fleur de l’âge. Et, bien entendu, la débauche sexuelle ainsi que alcoolisée. Mais pour lui, cela était assez rare. D’ailleurs, cela n’était finalement pas présent. Hormis peut-être pour l’alcool, mais cela resté seulement une coupe de vin, un met surement trop peu connu dans ces terres mais pourtant, quelque chose de si délicieux. Mais le sexe n’était pas quelque chose pour l’homme de présent. Pas qu’il soit encore puceau à son âge. Malgré le fait qu’il ne connaisse nullement son âge. Mais bon, que voulez-vous, chaque personne est spéciale, un tant soit peu du moins. Après, « Hunk Moroshi. » est bien entendu une statue bien spéciale dans le long et sinueux musée, jardin d’Eden où la création mythique des personnages est bien entendu de mise. Cela presse peu à peu, oh, oui, cela est bien présent et cela presse. L’envie presse sur le moment présent et par définition, cela influe sur la statue spéciale de l’homme aux capacités si spéciales.

Tsuki délivra finalement, elle aussi son grade militaire. Que cela ne tienne. Le grade Chuunin. Cela remonté à longtemps pour le jeune homme à la crinière purement et simplement sanguinolente. Les équipes sous sa direction, certes, il en avait eu. Cela était une valeur sûre. Mais des coéquipiers morts aussi. Mais bon, cela n’était nullement grave de toute façon. Il faut bien mourir un jour. Et, il vaut mieux mourir pour son village plutôt que de vivre pour soi-même. Une belle phrase, mais, certes, quand on se retrouve devant la mort, la remise en question est bien entendu de mise. Mais revenons définitivement envers le moment présent. Alors que la demoiselle l’emprisonna à son tour grâce à une de ses jambes, par conséquent, sa jambe fut légèrement plus découverte, laissant apparaitre un morceau de peau assez délictueux ainsi qu’appétissant envers toutes personnes légèrement sainte d’esprit. Tandis que sa pupille assez spéciale se posa d’ailleurs envers cette jambe, son teint rougit immédiatement. Un léger frisson parcourut sa colonne vertébrale pour finir envers son cou si finement musclé, la cause étant la main d’une fraicheur assez conséquente. D’ailleurs, cette charmante demoiselle eut émis une autre source de frisson, ce rajoutant par définition à celui du militaire étant dans les armées de Konoha No Satô. Le froid était bien présent dans l’esprit des deux compagnons, autant que physiquement ou alors psychologiquement, comme déjà dis. Cela était dur. Notamment que, bien que les nuits fraiches étaient présentes dans le village. Cela n’était pas pour autant que l’homo sapiens au bandeau de cuir – Bien que maintenant contre le sol. – y était habitué. Ne sortant alors que très peu. Voire jamais le soir. Son métabolisme n’y était donc, par définition, nullement adapté à cela, le froid, cela n’était pas quelque chose qu’il appréciait à juste titre. Un peu comme les lendemains de missions, finalement…

Maintenant, les deux personnes se situant simplement dans la fleur de l’âge ne pouvaient émettre leur enveloppe corporelle encore longtemps dans tout cela, dans cette froideur d’été, ou encore bien dans la nuit, aussi mélodieuse soit-elle. Tandis que le jeune homme replaçait avec une douceur et une délicatesse certaine une de ses propres mèches de cheveux, un petit sourire naquit envers sa façade blanchâtre. Blanchâtre, frôlant de deux doux doigts l’apogée de l’utopie de l’albinisme. Sa peau ne prenait que trop rarement le soleil de par sa combinaison ainsi que son masque à gaz, et par conséquent, les pigments de sa peau ne brûlaient nullement. Mais que cela ne tienne, cela ne le dérangé nullement. Pendant que la demoiselle à la crinière légèrement ondulée ne se place un peu plus contre le torse du monstre de puissance future. Une douce chaleur véritablement parfaite. Souriant un peu plus, l’homme referma alors son étreinte, plaçant ses mains, bien que froide contre le dos de la demoiselle. Une douce position qui n’était pas plus mal et permettait alors un réchauffement léger. Finalement, la douce changea de sa position, venant par conséquent émettre ses deux bras envers les nombreux cieux, recouvert des nombreuses étoiles dorées, illuminant alors le voile bleu marin de la Planète Terre. Définitivement, la douce posa son magnifique regard envers celui du jeune homme, futur Tyran des Provinces ainsi que de Konoha No Kuni. Rougissant doucement, le guerrier l’écouta avec une grande attention, hochant alors simplement la tête. Le soldat avait une idée derrière la tête. Se levant avec une lenteur certaine, sans geste brusque, il en profita pour venir attraper les mains de la jouvencelle aux capacités si spéciales. L’émettant par obligation, debout. Entremêlant alors ses doigts au siens, quelques part furent de mise, sortant par conséquent du parc.

« Il faut que tu regagnes en chaleur… »

: Fin. : .



Juka Kiyomizu
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Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Left_bar_bleue733/1000Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Empty_bar_bleue  (733/1000)
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitimeMar 20 Mar 2012 - 16:44

Topic archivé.

Bien à vous,
Juka
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MessageSujet: Re: Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée| Icon_minitime


Doucereux comme une danse de Minuit. [Tsuki Ôkami] |Privée|

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