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Sujet: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Dim 5 Juin 2011 - 17:18
. : La dance d’un village. : .
Les délices crées sur la Planète Terre sont nombreux et gargantuesque. De par cette nuance inconnue des merveilleuses saveurs aussi délectant qu’onctueuse. Certaines personnes partent à la recherche de ses extraordinaires et prodigieuses douceurs, voulant connaitre ces dernières avec une magnifique ferveur. Semblable à la foi de l’hérétique contre l’inquisiteur se servant du preux livre à la blancheur éclatante, renfermant les divines lois de Dieu. Ce merveilleux secret jalousement gardé aux yeux de tous. Ses nombreux mélanges, quel que soit la couleur, leur goût acre ou encore bien amer, rien n’empêche les pionniers à parcourir les immenses terres et plaines pour finalement, trouver avec une certaine nonchalance le doux breuvage effleurant l’apogée sexuelle. Toute personne, légèrement d’ôter d’une conscience propre et d’une intelligence tombant tout simplement dans la pauvre moyenne connait le goût d’un de ses liquides offrant sur d’autre horizon. L’anthropoïde n’est qu’une bête vicieuse, s’amusant de ses propres vices. Tombant dans un puits sans fond, où l’immense épée d’azur viendra lui subtiliser la vie avec une fureur sans pareille, mais pourtant sans aucun mot. Mais cependant, le pauvre mortel sous un effet complet du merveilleux fluide à l’écume doucement doré de par le temps et ses ingrédients finement choisit s’en fiche éperdument. L’homme a réussi son objectif totalement ignoble, bien que tout simplement d’une beauté olympienne pour cette chose s’établissant maintenant contre les immenses sacs d’ordures. Il se trouve maintenant parmi les siens. Une fine esquisse de sourire apparut alors, la surnaturelle et extravagante faucheuse lui effleure doucement sa joue, légèrement rougeâtre de par le nombre incalculable de matière visqueuse se trouvant maintenant dans ses pâles veines. Se nourrissant comme un poison dans l’enfant malade, cloué contre sa volonté dans son lit en mauvais état. Avec douceur et délicatesse, elle s’approche de sa victime, et s’assied avec elle…
Nous sommes tous sensible à cette merveilleuse douceur. Certains plus que d’autre, mais personne ne peut dire que son esprit pathétique et misérable n’eut connu un immense trou noir semblable à l’intelligence de son propre propriétaire. Quel que soit votre rang social. Semblable à un pauvre ver de mouche, flânant rampant contre un morceau de viande en décomposition avancée, ses compères s’établissant au-dessus de lui, voulant fuir cet endroit besogneux et déplorable. Ou encore bien-même à une personne de sang pure, s’établissant avec la plus grande des fiertés dans les lignées royales. Commandant d’une main de fer son royaume totalement appauvri sous l’influence de l’écume ambre. Secouant péniblement la tête, pour ce faux roi, tout ne sont qu’une pauvre bande d’incapable partageant lamentablement et avec paresse dans la boue maussade qu’est leur vie tellement insignifiante à ses deux nébuleuses princières. Nous sommes tous sensible à cette merveilleuse douceur. Même le membre surveillant de son nuage aux doux haillons d’argent connait cette sensation de liberté qu’exporte avec elle la magnifique et divine boisson refermant le breuvage des Titans eux-mêmes. Même la faucheuse, œuvre de la vie elle-même connait ses moments de faiblesse assez preux. Un doux ricanement perça les oreilles des habitants de la douce mais cependant minuscule planète Terre. Personne ne connait sa localisation précise. Mais néanmoins, nous savons tous qu’elle est présente. Se moquant de vous avec une certaine fureur et une anti-politesse bien présente. Son rire cristallin, se posant encore et encore au creux de votre oreille. Pourquoi fait-il cela ? Et avec une ferveur aussi puissante ? Impossible de la savoir véritablement avec une précision effleurant les cent pourcent. Le possesseur ne connait nullement l’ivresse du doux liquide, mais son deuxième lui, son autre esprit misérable non. Et de par cette différence, il se moque, paisiblement, lentement.
Temps de fête dans ce merveilleux village qu’est Konoha No Kuri. La cause ? Le fantôme ne la connaissait nullement, mais ce n’était véritablement pas important. Maintenant, à cette soirée de doux Printemps, les nombreuses pensées négatives pouvaient être mises de côté avec une certaine nonchalance, laissant alors une mine assez joyeuse contre la façade du petit et minuscule farfadet d’ombre. Cette physionomie n’étant, comme d’habitude caché par l’imposant et gargantuesque masque de métal. Offrant un aspect froid, autoritaire au haut gradé de la hiérarchie militaire. Cependant, la première pensée qui viendrait contre un pauvre être humain à l’intelligence amoindrit serait que ce masque tombe pour venir draguer les quelques femelles et autres créatures de ce village. Voir, boire jusqu’à la dislocation de l’estomac dans une large gerbe visqueuse de sang. Mais nullement. L’ectoplasme de la brume vivante reste sous son voile de ténèbres, aucune partie de son corps finement musclé aux temps des entrainements n’était définitivement visible. Seulement un flot de vêtement plus ou moins noirâtres. Tombant tous dans des tons sombres voir inquiétant. Cela était surement la banalité de sa vie, enfin, plus exactement de son style vestimentaire. Mais tout cela lui était égal, et seulement son jugement était important envers ses yeux faussement bleuâtres. Ces fichus bout de verres, éclairant continuellement n’importe quelle surface sur laquelle le jeune homme posait avec lenteur son regard de cristal. Cela était un détail assez gênant quand l’utilisation d’un masque à gaz n’était nullement une habitude, mais, avec le temps, cela ne devenait finalement rien d’autre qu’une balle de ténèbres dans un univers extrêmement lumineux. Une balle remplie d’essence noirâtre totalement ignoble, cela était aussi le cas pour sa respiration rauque et mécanique. Une déflagration sonore nullement douce à l’oreille de son entourage il fallait bien le dire. Dommage pour eux…
Cela est donc, dans un état d’esprit assez maussade voir lassant que le jeune ectoplasme se trouvait en ce jour de gaité et d’ambiance festive. On pouvait aussi le sentir un léger brin lunatique dans son attitude. N’allait nullement croire qu’en se magnifique jour, dont le cresson bleu était mis en valeur avec une beauté incomparable par les fines étoiles dorés le brumeux être au sens aguerris était légèrement dépressif ou dans un mal-être plutôt conséquent. Nullement, cela était tout simplement son attitude quand le preux farfadet au ricanement perçant était encore sous son voile de colère, totalement l’exact contraire du magnifique voile blanchâtre de paix. Ce dernier apporté par la douce colombe prônant la tolérance. Un fin bâillement arracha alors les lèvres rosâtres du jeune fantôme avec une certaine lenteur monotone. Effectivement, bien que l’ambiance soit électrique, joyeuse, ou tout simplement magnifique aux yeux de certaines personnes vivant dans cette immense et gargantuesque agglomération. L’ectoplasme était peut-être dans sa propre boule, une sphère de protection, où chaque parole. Femelle ou encore bien masculine est tout simplement annulé avec une certaine violence. Ou chaque forme de délicatesse, de caresse n’est jamais rendue, hormis peut-être avec un léger grognement. Glaçant alors le sang avec une légère perversité ou encore bien malsaine. Une tâche de graisse dans un moment tout simplement parfait. Mais, de par les nombreux services que le jeune homme avait rendus dans l’ombre pour l’agglomération grandissante, on préférait finalement le laisser tranquille. De peur d’attirer les nombreuses foudres de sa puissance olympienne. Hunk est une personne assez, voir totalement différente de son entourage. N’aimant nullement les contacts humains en majeure partie. Effectivement, ce jeune homme ne tombe nullement dans le pauvre stéréotype de l’espèce de créature sombre, refusant l’amitié et cherchant tout simplement la puissance intergalactique pour une vengeance…
C’était donc affuté sur la table d’une terrasse quelconque, les avant-bras contre cette console de fer légèrement rouillé par les sables du temps que se trouvait le preux militaire à la respiration rauque et mécanique. Aucune boisson liquide contre la petite tablette. Après tout, les personnes pouvant boire à travers un filtre métallique d’environ cinq centimètre sont extrêmement peu nombreux. S’élevant peut-être à zéro… Secouant mollement la tête de gauche à droite, ses magnifiques yeux émeraudes –bien entendu impossible à percevoir pour l’entourage.- analysèrent avec une certaine lenteur la situation dans laquelle il se trouvait maintenant. On pouvait résumer l’orientation du magnifique centre-ville à cette pauvre et misérable phrase : « Une douce ambiance festive tombant littéralement dans l’alcool et le sexe. » Effectivement, il y avait pour tous les goûts. Drôle de liquides fumantes, corps tout simplement d’une beauté olympienne ou autres, l’être humain tout naturellement lambda se contemplera avec aisance dans cette fameuse ambiance dite de : « bonne enfant. » Un léger soupira s’écrasa avec une violence inquisitrice, semblable à l’immense marteau de la justice contre le condamné pleurant sur son avenir contre le filtre du masque à gaz au teint noirâtre bien qu’à la matière métallique. Une fois son déchainement de parole finit, il remarqua une vague ombre floue. Sa main se posant avec une douceur littéralement saine contre le dossier de la chaise face à l’ectoplasme brumeux. Qu’était-il ? Impossible de le savoir véritablement, puisque que son attention s’était maintenant déposé contre la serveuse, ayant apparu à sa droite. Plusieurs solutions, le premier est le simple hasard, plus aucune place et par conséquent, la serveuse l’avait orienté sur la table du jeune homme. La deuxième solution, serait une rencontre dont le prisme de plaisir n’était pas au courant. Les autres solutions, elles, finirent dans les limbes de l’Enfer, légèrement trop saugrenue pour intervenir dans la vie réelle. Levant lentement la main, cette dernière ce secoua de droite à gauche. Signe qu’il ne voulait nullement de boisson.
« On se connait ? »
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Sujet: Re: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Lun 6 Juin 2011 - 20:01
Je venais de terminer mon entrainement, quand j'ai eu la fâcheuse envie d'aller voir du pays tel la colombe qui à envie de s'envoler vers des climats plus favorable à sa pleine vie mais dont le chasseur cherche toujours à abattre afin de pouvoir se vanter cher ses voisins de la magnifique prise qu'il venait de capturer! Oui, il m'arrive d'avoir le mal du pays et de vouloir voir d’autres horizons. Il m'arrive de regarder au loin et de me demander qu’est ce que je serais devenu si je n'avais pas vécu dans cette famille, appris à être ninjas et avoir fait une formation militaire. Pour moi, les êtres humains sont la pire chose qui n’est jamais été mise au monde sur notre planète! Ils sont comme des parasites, si futiles, si sans intérêt... Je ne peu me résoudre à penser que nous ne vivons que parce que nous devons vivre. Il me semble qu'il doit surement y avoir une raison logique au fait que nous soyons obligé de vivre dans ce bas monde sans savoir pourquoi!... Pourquoi... C'est un mot bien vain si on n'a pas d'explication à fournir. C'est comme si un corbeau venait à demander à dieu pourquoi il l'a fait corbeau et non colombe. Dans le monde, chacun trouve son opposé et tout être se trouvant à une extrémité de l'éventail dois surement avoir son altère contraire parfait de l'autre côté de l'éventail. UN peu comme la colombe et le corbeau, la colombe : un animal si majestueux, une seul nous fait envie quand on envoie une c'est de vivre la vie à plein poumons. C'est le signe universel de la justice, de l'amour et de la paix! Alors que le corbeau, est un animal très négatif: Il inspire les mauvais présages, il prévient la mort et toutes ces amis que sont la maladie, la souffrance. Je suis comme ce corbeau, je repends la mort partout où je passe et je ne suis une marque de bonheur pour personne. Je ne suis pas ce genre 'homme à broyer du noir juste pour que l'on me pointe du doigt et que l'on me dise que je suis cool! Non, si je broyé du noir c'est uniquement parce que l'amour ne m'a jamais atteint et que la haine et l'indifférence sont les seuls sentiments auxquels je pouvais encore m'accrocher...
Je suis malade, malade de frénésie, je deviens de plus en plus insensible au fil que le temps passe et que les choses évolues. Je ne suis pas ninjas depuis une éternité mais je sais reconnaitre mes priorités. Je me suis donc rendu à konoha tel le marchand qui, tant un pays lui à donner de clients, ne désire point à être profiteur, remballe ses marchandises et s'en repart pour un autre pays en priant dieu que ce nouveau domaine soit pour lui source de profit et de bien être. Je me sentais mal certes, mais je sentais aussi que le fait de changer de milieu de vie pendant une journée pourrait m'être d'un grand secoure dans la mesure où je ne vivais pas à fond ces temps si... J'avais besoin d'un petit moment de détente comme le maçon qui rentre cher lui après 36 heures de travail et qui se jette sur son canapé alors qu'il lui reste de nombreuses factures à payer mais il a envie de faire le vide et de ne pas penser à ça juste pour oublier. Et dans ce cas là, il y a deux solutions, soit il noie sa peine en buvant trop beaucoup trop et en lâchant des insulte sur les combats entre ninjas, soit il affronte le problème et prend le risque de finir tellement crever que son prochain sommeil sera sans aucun doute le dernier. Je suis donc arrivé à konoha où j'ai rencontré de nombreux ninjas. Je n'avais pas envie d'un conflit ou de me battre juste pour le plaisir comme ces amateurs sortant des bars parce qu'ils se sont fait jeter pour vandalisme. Non, j’avais vraiment besoin de décompresser en plein air tout en buvant un peu d’eau. Je n’avais pas droit à l’alcool vus que j’étais encore mineur mais j’en abusais quotidiennement cher moi quand je me sentais mal. Je rentrais donc dans le premier bar pas trop crasseux qui se trouvait par là tel le tavernier rentrant dans sa cage avec les nouvelles bières toutes fraiches qui venait d’arriver. Je regarde donc autour de moi et je vois des tables, des tables mais pas une seul place libre. Je cherche encore un peu et comme par magie, je vois une place pas trop éclairée bien en retrait sur une table déjà occupée malheureusement. Je décide néanmoins de courir le risque et d’aller m’assoir à côté du drole d’énergumène qui se trouve à mes côté à présent. Il était petit comme un farfadet ou comme un lutin. Il portait aussi un masque à gaz et je me demandais comment il faisait pour boire avec un masque à gaz sur la bouche. Je ne le regardais pas et je venais à peine de commander un verre qu’il se mit à me parler : -On se connaît ? Je ne pouvais plus l’ignorer comme un chasseur de prime ignore une proie parce qu’il sait qu’elle est bien trop dangereuse pour lui. Je me résolue donc à répondre avec ma voie froide et je lui dit le plus sereinement possible : -Je ne crois pas, je ne suis pas d’ici. C’est à ce moment que j’ai aperçu le bandeau de konoha qu’il portait. C’était un ninja mais son air assez réservé me paraissait comment dire sans trop avoir l’air d’une tarloose ? Il y avait comme une force qui me disait d’étendre la conversation car celle-ci pourrait se révélée fortueuse pour moi comme le chasseur cherchant des renseignements auprès de l’oie couleur neige qui souhaite se débarrasser des canards pour s’approprié le terrain. Je lui dis donc de mon voie froide tout en prenant mon verre du plateau de la serveuse avec ma chaine ayant la flemme de bouger ma main : - Vous ne voulez pas sortir d’ici et aller discuter en marchant, je crois que cela nous feras du bien. Je me levais et, lui faisant signe de me suivre, je lui montrais mes yeux vert qui se croisèrent avec ses yeux couleurs du diamant tant convoité par les collectionneurs de tout pays qui n’est autre que l’émeraude.
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Sujet: Re: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Mer 8 Juin 2011 - 18:12
. : Le discours de la méthode. : .
L’interaction était maintenant faites, le contact oral, maintenant dans un suspend calleux. Semblable à la pauvre corde nullement rigide soutenant l’immense masse de bois qu’est le pont en ébène reflétant la réalité de la situation. Ce pont faussement olympien, ornant avec superbe et douceur les hautes montagnes rocheuses. Ces dernières se délectant doucement de la situation présente. Peut-être légèrement grotesque et désopilante pour certaines personnes. C’était une position assez ardue, dans laquelle ce retrouvé finalement l’espèce de fantôme naissant de la plume de l’écrivain. Pouvoir illustrez ses propres images ou encore bien-même ses merveilleuses et tendres, voir distrayantes idées. Les paroles s’envolent avec une certaine acrimonie et une suavité envoutante mais par contre, les écris inscrit à la dureté de la plume d’oiseau. Se courbant lentement au grès des nombreuses courbes se formant sur le papier blanchâtre. Que dire et que faire pendant cette situation tendue ? Ne rien dire, devenir comme une statue de marbre, surveillant de ses deux yeux magnifiques son entourage alors, simplement une colonie de pauvre fourmis, grisollant sous le poids de la nourriture. Ou encore bien, devenir une espèce de pâle personne à l’allure bien fessant, mêlant peut-être légèrement un doux goût acre de clownerie, suite à l’ambiance lamentable qui s’établissait mollement dans l’immense village à la puissance militaire décuplé. Cette puissance, ces nombreux commandements tactiques étant connue jusqu’aux propres frontières de la planète Terre. Bout de prairies, se perdant piteusement et pitoyablement dans l’univers orné de gargantuesques étoiles lumineuses dont le cosmos s’étalait doucement avec tendresse. La Mort froide gratta avec parcimonie le centre de la corde. Regardant avec une douce délicatesse chaque fils se détaché avec une lenteur flagrante. La situation se commence, elle tombe dans une violence sans pareille, elle n’est rien, elle est tout. Il ne se passe, finalement, strictement rien.
Doucereux comme l’amour d’une mère envers son pauvre enfant malade. Ce dernier toussotant lamentablement dans une mélodie lente, aux notes faussement exécutées. Chaque odeur, chaque sensation, chaque parole de l’entourage. Toute ses choses et encore bien plus encore ce retrouvé lentement analysé par ce magnifique fantôme, ectoplasme des rêves brumeux de la douce civilisation. Cette dernière tombant dans une monotonie assez flagrante. Se conformant alors dans des idéologies plus que banal et maussade. Ne devenant finalement qu’une matrice mécanique, immense contrefort de métal, se résultant d’une magnifique armée de doux automate. Obéissant alors au doigt ainsi qu’à l’œil pourpre de son propriétaire. Se confortant doucement dans cette idée de nostalgie éphémère, cette cohorte, ce bataillon d’homme se battant sans le savoir pour la prospérité du village cachée de Konoha No Kuni. Cet ordre de joie et de délicatesse, tombant comme une pluie battant sur les autres agglomérations de la sphère connue de nombreuses personnes. La douce mère jetant finalement son enfant malade dans son propre tombeau. Dans un rire légèrement étouffé par la merveilleuse pluie noirâtre s’abattant contre son enveloppe corporelle assez pâle et maussade. Que devient finalement cette métropole à la luxure débordante ? Une luxure tombant définitivement dans un sens écœurant. Ce magnifique pêché nullement résolue depuis des années, se reposant alors sur ses nombreux atouts nouvellement acquis avec une fureur inquisitrice. Cela ne tiens plus qu’à la seule et immense volonté au conseil. Ces derniers s’engouffrant alors dans une pitance des plus débectantes. Ils ne s’en occupent même plus. Préférant leur adoration aimable, se perdant lentement dans une douce mélodie d’intelligence amoindrit. Le pauvre farfadet regarde tous autour de lui, contenant dans ses mains blanchâtres et rugueuses la fine corde au teint totalement incolore. Impossible à décrire précisément. Et maintenant, que se passe-t-il finalement ? La situation…
Finalement, et avec une certaine lenteur, un léger sourcil se leva contre la façade de l’anthropoïde au masque métallique. Filtrant doucement sa respiration rythmée, semblable à un chien de guerre qu’on dresse à effectuer les nombreuses tâches sales ordonnées avec un fin sourire perversement accroché à ses lèvres. Originalement, ce mot étant utilisé comme un doux euphémisme résultant de la pire des moqueries. Le doux fantôme, se mêlant lentement à la plume des écrivains analysa avec une certaine monotonie son interlocuteur mystérieux. De par la physionomie du membre encore inconnu, ce dernier se trouvait surement dans une tranche d’âge encore faible. Ne dépassant surement nullement la pauvre quinzaine d’année. La première pensée qui traversa les nombreux filets neuroniques du jeune ectoplasme furent la venue de cette chose dans un lieu strictement ou en grande partie réservé pour les adultes. Première anomalie, son entrée. Comment le patron ou encore bien même les nombreux servantes ou serveurs ne l’avait pas vu ? Certes, le travail – en ce moment de la nuit – était véritablement bien présent. Le voile d’ombre posa finalement cela sur le compte de l’inattention. Le deuxième point assez original, fût, l’espèce d’haillons d’argent qui ne sortit de nulle part, venant définitivement attraper la boisson fortement alcoolisé se trouvant précédemment sur le plateau circulaire de la douce jeune femme aux cheveux blanchâtres. Le dernier point, s’attardant sur la dernière personne précédemment citée, cette travailleuse prenant finalement son travail véritablement pas à cœur. Mais surtout, c’est son non interdiction contre la boisson alcoolisée survenant contre le jeune homme. Allez savoir pourquoi, mais quelques pars, cela n’étonnait guère le preux ectoplasme créé à l’encre de chine, aussi noirâtre que le cœur des pauvres hommes se trouvant sur cette planète Terre ? Immense plaine, n’étant finalement rien dans les espaces du cosmos pâle, lointain.
Le reste, l’étonnant encore plus. Sa demande assez rapide voir totalement déplacée. Cette chose totalement faiblarde et pauvre de par son âge voulait effectuer une balade avec lui. Sans le connaitre. Sans savoir son passé. Son présent. Et qui sait, peut-être ses convictions futures. Ou encore bien plus simplement, son prénom ainsi que son nom de famille. A la différence du nouveau inconnu, le haut gradé militaire ne bougea d’un seul millimètre. Doucereux comme la brise des merveilleux vents des génies montant dans les innombrables tours de nuages noirâtres. Levant ses magnifiques prunelles faussement bleuâtres envers le ninja du pays encore inconnu, sa respiration rauque et mécanique fut –pour l’instant- la seule source de réponse qu’engendra l’ectoplasme aux traits noirâtres. Finalement, voyant que cette chose totalement mystérieuse, au visage parfaitement inconnue se déplaçant, une délectation de la voix perça l’anthophore de la pièce avec une certaine violence. Une violence nullement agressive. Doux paradoxe. En creusant un peu, ses cordes vocales de délectaient finalement seulement d’une voix juste, peut-être un brin interrogateur mais nullement méchante ou encore bien froide. Seulement dénudé d’émotion par le filtre du masque à gaz.
« Originalement, vous ne me connaissez pas, et vous m’invitez à une balade à travers les nombreux couloirs sombres du village ? Cela est véritablement un geste déplacé, notamment de par votre âge et votre statut, ce dernier surement nullement élevé dans la hiérarchie ninja. J’en déduis cela de par la chaine que vous avez utilisez pour votre boisson. Vous êtes un membre de l’équipe militaire d’un village. Je ne sais pas lequel. Veuillez, d’ailleurs remettre cette boisson alcoolisée sur cette table. Vous n’êtes nullement en âge pour boire cela. Vous comprendrez que cela ne m’enchante nullement de voir un mineur boire, qui plus est sous mes yeux. »
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Sujet: Re: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Ven 24 Juin 2011 - 17:37
L’ambiance chauffait sec dans ce bar. Je venais de me faire remarquer en me faisant insulter par un inconnu à qui je venais bêtement de demander s’il voulait sortir dehors. Après le traditionnel flot d’injure auquel j’ai eu droit en raison du fait qu’étant mineur je buvais de l’alcool et que je venais de proposer une sortie ambigüe à un ninja de konoha, je regardais, tel l’aigle sur sa nouvelle proie, les yeux émeraudes de mon interlocuteur qui avait l’air exaspérer. La seule chose qu’il ignorait, c’est que je venais juste de découvrir un point de sa personnalité et c’est précisément ce que je désirais connaitre en agissant de la sorte. Une jubilation étrange montait en moi et ma chaine qui la ressentait, se mit à frétiller et à sa balancer de droite à gauche car, en insufflant continuellement mon chakra dans cette chaine, je la faisais réagir à mes sensation intérieur se qui, je dois l’avouer m’handicapais gravement dans l’intimidation et le bluff dont j’usais contre mes adversaires. Tout était devenu tellement calme, les gens commençaient peu à peu à partir et comme je ne disais toujours rien, ils en revinrent à leur plat au lieu de s’intéresser à nous. Moi, je restais là, à le fixer du regard, mon regard était intense, bien plus que le sien. Car, lui comme moi étions différents des autres. Lui, parce qu’il porte un masque de fer et moi, parce que je ne suis qu’une ombre dans une nuit déjà sombre et obscure. Je le regardais et plus cela durait, et plus je ne voyais rien. Je m’étais peut-être tout simplement trompé mais je voulais en être parfaitement sûr. Alors, je détournais mon regard pour le remettre sur mon verre d’alcool et j’en bus pratiquement le trois quart. Le quart qui restait, je le laissais à l’intérieur et je remis mon verre au bar man pour lui faire signe que j’avais terminé. Je me fichais bien de ce que pouvais penser cet homme au masque et je me fichais bien du fait qu’il croit que suis un alcoolo ou un homosexuel en mal d’amour. Tout se que je désirais savoir, je le saurais. Depuis mon plus jeun âge, j’ai toujours su déceler cher les gens qui m’entourent, les signes avant coureur d’un sentiment quelconque et donc, je me suis tournée vers robot cop et je lui ai dit tout en le fixant de travers : -Je suis désoler si vous avez pensé à une invitation à une partie de jambes en l’air ou à un inconnus dérangé mais j’aimerais tout de même clarifier certains points. Tout d’abord, si je vous ai invité à sortir dehors c’étais pour savoir qu’elle réaction vous aurez eu face à une telle situation et je dois dire que cela est assez satisfaisant. Ensuite, je ne vous permets pas de me dire si je dois boire ou non ! Je ne suis pas en service et le fait que je sois mineur n’a pas vraiment déranger la serveuse qui se trouvait là. Troisième point, je vous trouve assez excité pour un ninja en plaine nuit, vous semblez contrarié par quelque chose et vous rejetez tout sur moi. Allez, je vous propose de vider votre sac autour d’un ver. Bien entendu, il n’y aura que moi qui boirais car je doute que vous puissiez avaler quoi que ce soit avec ce truc autour de votre bouche. Alors, oublions un peu les problèmes et discutons comme deux personnes civilisée. Bien, comment vous êtes vous retrouvés transformé en masque de fer ? Je sentais que le malaise montait entre nous et cela ne me dé réjouissais pas trop ! Je jubilais encore plus qu’avant et ma chaine alla chercher un autre ver cher le bar man pour apaiser ma soif. Je le regardais dans les yeux et j’attendais sa réponse. [Désoler pour la longueur problème d’emploie du temps et ,bravo pour les figures de style tu es un as]
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Sujet: Re: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Dim 26 Juin 2011 - 10:12
. : La loi est, comme la chance, totalement impartiale. : .
Chaque personne, aussi intelligente ou encore bien idiote, aime des choses différentes selon sa palette gustative. Et généralement, cela afflue grandement sur notre manière d’être, de vivre, ou encore bien-même de nous comporter envers les nombreuses personnes qui entourent ce pâle être humain s’amusant à être présent. Pourtant malheureusement, c’est généralement sur cela que nous jugions au minimum trente pourcents de l’enveloppe corporelle de la personne que nous émettons mollement à notre analyse assez complète. Et originalement, cela ne nous dérange véritablement pas. Au mieux, nous trouvons cela normal. Tombant dans une monotonie et banalité assez écœurante. Et de là, tout commence, la créature se nourrit de cette délicieuse chose qui, pour une personne ayant un niveau de quotient intellectuelle plus supérieur à la moyenne est tout simplement débectante. Son enveloppe corporelle grossissant doucement à chaque jugement et qui plus surement des plus maussades. Tranquillement, les parties de son corps ressemble enfin à quelques choses. Sa gueule béante devenant la part principale de l’immonde créature, un doux gémissement grossissant avec une certaine lenteur. Sa chair rosâtre composant le fin fond de sa mâchoire inférieure. Les nombreuses cellules se décomposant avec une certaine lenteur, prenant alors une forme bien significative. De gargantuesques pointes blanchâtres grandissantes avec une ardeur totalement inquisitrice. Ces choses pouvant détruire totalement tout et n’importe quoi, la chair comme l’os déjà rongé par les innombrables insectes. Le pandémonium, antre-même des prémisses des Ténèbres, voir encore bien-même des Enfers. Tout simplement. Ce monument, ces nombreux piliers des voleurs et des brigands venant justes de perdre un membre important de leur cargaison. Un cri perçant, une déflagration sonore venant, la créature maussade était bientôt dans un éveil aussi parfait que le nuage olympien, regardant les hommes, ces choses n’étant rien d’autre que des pauvres pantins. Ils nous regardent, elle aussi…
La loi. Une chose composée de nombreux articles, de paragraphes, ou encore bien-même de simples et bêtes phrases. Pourtant, cela, nous devons malheureusement ou alors heureusement pour certaines personnes. Et cela est bien important. Puisque, si nous tombons dans les forces obscures de la loi, ne la respectant nullement cela aura directement une incidence colossale sur notre vie. Cela était véritablement sûr aux yeux de l’imminente créature à la carapace noirâtre. Au contraire, si nous respectons cette chose, ce poste des lois nous dictant notre fine conduite, une somptueuse arme blanchâtre se posera contre votre épaule frêle. Semblable à l’immense balance, objet de la massue de la justice. L’énorme marteau de l’Inquisition s’abattant dans une fureur sans pareille contre l’hérétique hurlant des pauvres mensonges contre le monstre allant abattre finalement son arme blanchâtre contre la chose toute simplement immonde. Définitivement et originalement nullement semblable à la créature à la béante. Cette arme blanchâtre n’étant finalement rien d’autre qu’une épée ambrée. Deux êtres totalement opposés, qui pourtant œuvre avec la même fureur pour leur camp respectif. Leur chemin de la destinée n’est nullement semblable, deux choses véritablement différentes. Et pourtant, cependant ces deux merveilleuses créatures, se retrouveront avec nonchalance toute particulière. Tombant finalement dans un combat tout simplement gargantuesque, s’inscrivant avec une ardeur fanatique dans les nombreux livres d’histoires, rejoignant alors les innombrables articles de loi maintenant présente dans les esprits des jeunes soldats depuis des années considérables. Nullement le besoin de se voilé la face au travers de ce magnifique sujet, qui est, définitivement une chose assez tabou envers un certain groupe de personnes s’établissant dans un cercle vicieux de la haute société. Ces derniers, faisant finalement grossir l’immense créature à la gueule dégoulinante, de par leurs innombrables mensonges, et, possédant par la même occasion l’épée doucement et magnifiquement ambre.
Pourquoi, deux choses étant littéralement aux antipodes les plus extrêmes seraient finalement réussies pour la même raison ? La mise à pieds des nombreux sanglotements de la race pauvrement humaine. Les contraires s’attirent, cela est véritablement au fait. Une chose totalement négative, à savoir la magnifique créature à la gueule béante. Ainsi qu’une chose totalement positive, à savoir la douce mais parfaite épée dorée, voir topaze. La fusion de ces deux choses engendrait une nouvelle ère totale, récrivant finalement l’histoire d’un revers de griffe sanglante ou encore bien de lame parfaitement affutée avec une ardeur simplement inquisitrice. Originalement, une seule personne savait ce que pouvait engendrer une telle fusion envers ses deux personnages assez magnifiques en des points différents. Oui, un être que personne ne connait véritablement. Une chose assez originale, semblable aux deux choses à la fois positive et négative. L’ordre des choses sera bouleversé avec une violence sans pareille. Et de là, le commencement n’existera plus jamais, s’étalant avec une lenteur sans pareille mais pourtant bien présente. Les livres d’histoires, ces choses finalement nullement utile seront balayés d’une seule traite sans prendre l’orientation mentale des autres personnes utilisant ces derniers. La créature beugle, encore et encore, l’épée tranche avec une fureur tout simplement sans limite. Les incalculables possibilités de déchéance de ces nombreuses personnes seront bien entendu de mise envers la nouvelle fusion. Doucereux comme la plus pâle des créatures, cette amalgame répugne, cela est bien entendu un fait. Mais que cela ne tienne. Le futur est certes totalement indéfini, mais une chose est pourtant bien sûr. Les hypothèses envers cette chose, ce temps. Sans amusant presque, l’ectoplasme le sait. Car, effectivement, cela est cette personne qui connait le futur avec, une petite nonchalance toute particulière. Pourtant, ce secret reste finalement scellé dans ce monstre de puissance pure.
Rampant lentement, doucement, mais surement. Cette douce mais magnifique créature haussa un mou sourcil. Cela était véritablement intéressant de voir la réaction de l’espèce de chose totalement immonde qu’était l’inconnu. Et originalement, cela allait amuser l’espèce de somptueuse créature s’installant avec une fureur totalement inquisitrice dans les bas-fonds de la gargantuesque métropole. Il ne bougea point. Ecoutant le flot de paroles avec une certaine nonchalance, le visage de l’humain à la peau somptueusement blanchâtre se figea dans une grimace assez maussade. Cela était véritablement une chose qu’aimait l’espèce d’ectoplasme à l’allure purement froide. Toujours cette grimace contre son visage, sa main gauche bougea lentement envers l’espèce de table ronde en bois. Ses fins doigts gantés se mettant à pianoter avec une lenteur et une douceur totalement magnifique ce petit bout d’arbre noir ébène. Magnifiquement, ses doigts continuèrent leur douce machinerie, comme un doux véhicule qu’on aurait avec une certaine monotonie mise à jour pour qu’elle marche avec une prestance parfaite. Finalement, cette mélodie ne se finit nullement, la partition ne faisait finalement que seulement commencée, et cela, l’ectoplasme à la brume vivante le savait bien évidement. Par contre, son interlocuteur le savait-il véritablement ? Connaissait-il ce magnifique morceau pourtant bien connu d’un être humain à l’intelligence moyenne. Effectivement, l’agent du village de Konoha No Kuni faisait pour son plaisir personnel d’un instrument de musique qu’on pourrait définitivement qualifier de classique pour certaines personnes dans le milieu de la bassesse musicale. Pourquoi ? Surement pour briser la monotonie du geste depuis ses nombreuses années, bien entendu, il n’avait pas accepté cet instrument de son plein grès dès son plus jeune âge. Mais maintenant, chaque partition mollement effectuer était une véritablement vague de bonheur l’envahissant littéralement. Une somptueuse mélodie gagnant pour finir ses douces et fines oreilles blanchâtres. Avec douceur et lenteur.
Définitivement, l’ectoplasme se leva telle la douce machinerie qu’il était. Accepter-t-il la proposition du jeune homme ? Ou encore bien la refuser-t-il encore et encore ? Pour l’instant, lui seul le savait avec, une certaine nonchalance assez particulière. Tranquillement, son regard faussement bleuâtre s’installa contre les nombreux haillons d’argents vivants. Cette arme, cette pauvre chose totalement inutile. Un objet finalement magnifique en apparence mais sans valeur véritable quand nous creusons légèrement en sa surface. Cela ne sera nullement un obstacle pour la suite des évènements, ces derniers devenant assez électrique dans les heures qui suivront. Ce spectre issu des noirceurs de l’encre des plus grands écrivains de ce Monde, le savait encore et encore. Sa figure formant une grimace c’était maintenant transformée en, une sorte de pauvre sourire assez pervers. Nullement dans son premier sens, effectivement, mais dans une solution tout autre. Sa main gantée stoppant par la même occasion la mélodie, l’ectoplasme se retrouva derrière le jeune homme. Attrapant avec rapidité son bras droite avec forme grâce à sa main de la même ligne, son autre main, à savoir celle de gauche se posa immédiatement contre l’encapuchonné. Effectuant une pression contre la tête du jeune homme, essayant par conséquent de lui faire baisser la tête. Remontant lentement le bras du prisonnier contre le dos du possesseur, une forte pression continua encore et encore. La douleur était de mise dans ce spectacle à la senteur toute simplement parfaite. Ses expressions n’étaient nullement visibles. Cela était une vérité tout simplement nullement fictive.
« Vous êtes en état d’arrestation pour possession et consommation d’alcool. Selon votre statut mineur vous n’êtes nullement en droit de consommé des boissons alcoolisés, et par conséquent je me réserve le droit de vous amener au poste. Veniez me suivre sans rien dire, sinon je serais en mesure d’utiliser la force… »
. : Suite à venir. : .
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Sujet: Re: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Lun 27 Juin 2011 - 18:29
J’avais envie de rire! Je n’avais pourtant jamais envie de rire ! Je ne sais pas pourquoi, je ne savais jamais pourquoi ! Cela me prenait comme ça, sans que je le sache. Je me disais certainement que je ne devais pas abuser de ma malice contre des personnes qui aurait pu devenir des amis. Mais je n’arrivais pas à le croire, il était tombé dans le panneau jusqu’au coude. J’étais comme le lion, je suis toujours froid et calculateur mais il suffit que je croise une hyène dans la magie de la savane pour que je commence à rigoler comme à fou. Je m’esclaffais tellement intérieurement. Bien sûr, je n’émettais aucun son mais je gardais sur mon visage les traits d’un léger sourire ! Je ne pouvais m’empêcher de penser à la tête que ferais cet homme une fois qu’il aura découvert le poteau rose. Je ne décidais de rien dire pour lui faire la surprise. Après l’avoir bien chauffé, je m’attendais à une réaction ! Cela était évident mais je ne m’attendais pas vraiment à cela. Mais pourquoi pas ! Cela ne pourrait que l’humilier encore plus qu’avant. Il n’avait pas la moindre idée de ce que j’avais préparé depuis que je m’étais assis à cette table. Je n’ai rien fait, absolument rien fait qui ne puisse être fait sans arrière pensé de ma part. Bien sûr, je n’étais pas particulièrement fière de moi mais cela restait une victoire sans précédent. Je ne connaissais pas ce shinobi de konoha mais à première vus, il me semblait haut gradé et je me disais donc que je pourrais m’amuser à le titiller un peu le vieil ours mais il semble que le vieil ours n’aime pas trop se faire titiller. Eh oui, à chaque bêtise, il y a le châtiment qui va avec non ? Dans mon résonnement, je n’étais pas vraiment le mec qui effectuait la bêtise mais plutôt le châtieur. Mais après le ‘clic clac clic cloc c’est quoi ce bordel ?’ je me suis mis à réfléchir et me dire que cela serait encore plus marrant si je laissais cette mascarade continuer mais au fur et à mesure, j’avais de plus en plus envie d’en finir. Donc, après que le gentil flic shinobi m’ai dit pourquoi il m’arrêtait. Je ne fus obligé que de lui répondre et de lui expliquer que c’est un vrai crétin. -Hahahahaha ! Vous êtes un vrai phénomène vous ! Je n’arrive pas à le croire. On ne vous a jamais apprit que on n’accuse pas sans preuve ? Vous êtes peut-être majeur mais vous ne le méritez pas vraisemblablement. Je ne dis pas ça contre vous mais comme vous avez l’air tellement obnubilé par mon incarcération potentiel que vous en a oublié les preuves éventuelles qui vous mèneraient à cette procédure d’arrestation. J’arrive donc à la conclusion que vous êtes un crétin qui se laisse emporter par ses émotions. Si vous vérifiez, dans mon ver il n’y a que de l’eau mais si vous voulez m’incarcéré alors faite le mais sur une accusation réelle basé sur des preuves matériels. Sinon on peut continuer à discuter. Mais j’apprécierais assez que vous me détachiez. Je vous ai fait croire que je buvais de l’alcool uniquement pour tester votre réaction, j’avoue que j’y suis peut-être allé trop fort mais c’est vous qui refusez le dialogue. Ne vous énervez pas, on finit toujours par se faire piéger et puis j’adore votre sens morale. Eh oui, je l’avais piégé car dans les bars comme celui-ci, on ne serre pas d’eau d’habitude mais c’est moi qui ai mis le verre sur le plateau de la serveuse et près du barman que j’ai payé pour qu’il fasse se qu’il fallait.
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Sujet: Re: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Lun 27 Juin 2011 - 18:41
Bonjour/Bonsoir.
Je me permet de mettre un petit Hors Jeu. Car là, j'ai un peu de mal avec ce que tu viens d'écrire... Tu dis que tu n'as nullement bu d'alcool alors que tu en bois dans ton autre post. Je cite :
Citation :
Alors, je détournais mon regard pour le remettre sur mon verre d’alcool et j’en bus pratiquement le trois quart.
J'ai un peu de mal à suivre dans la mesure où tu ne dis nullement que finalement, cela est un verre d'eau et nullement d'alcool... Tu ne peux changer ton verre en eau. Comme ça... Donc bon, j'aimerai quand même avoir une explication ou encore bien-même un changement.
Hunk.
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Sujet: Re: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Mar 28 Juin 2011 - 7:45
dans un sens j'ai dis ça c'est vrai mais je l'ai fait pour te pousser à ne pas voir venir la chose si tu vois ce que je veux dire.
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Sujet: Re: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Mar 28 Juin 2011 - 15:13
Bonjour/Bonsoir.
Si on part sur ce point, c'est véritablement trop facile. Autant dire que dans mon prochain post, cela était finalement un clone de Hunk qui parle depuis le début. Et par conséquent chaque action est nul. C'est trop simple si on part sur ce pied là. '~~
Hunk.
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Sujet: Re: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Ven 1 Juil 2011 - 11:13
dac ta qu'a dire que tu analyse le verre et qu'il y a effectivement de l'alcool et que je bluffais! Envoie moi en taule aller
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Sujet: Re: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Sam 2 Juil 2011 - 15:51
. : L’alcool, doucereux comme un ange. : .
Certaines personnes mentent, certaines accusent pour un rien. Ce plaindre et voir sa vie devenir l’apogée même de la puissance et le propre de l’homme à l’enveloppe corporelle lambda. Ce nourrissant avec une fureur hérétique des montagnes de graisses servant finalement de support à la somptueuse loi olympienne. Grognant à chaque partie maintenant engloutit dans son immense gueule béante. La chose se nourrit depuis toujours, semblable à la genèse même de la magnifique coalition des terres. Ricanant peut-être légèrement en pensant au majestueux destin se déposant contre le merveilleux papillon, son poids venant émettre une descente conséquente contre l’insecte aux couleurs inimitable. Cette hydre antique résulte du poids contre lépidoptère aux antennes légèrement noirâtres. Son gémissent ne devenant nullement une déflagration sonore conséquente, ce perdant finalement mollement dans les caprices du vent, invention même du génie des blizzards chauds. Originalement, la montagne, cette colline, cette chose totalement gargantuesque ne finit tout simplement jamais. Se reconstituant à chaque secondes, à chaque minute, à chaque heure. Pour toujours. Mollement, la créature laissa son cri venir contre les nombreuses plaines terrestres, arrachant avec une violence tout simplement inquisitrice les innombrables vies nullement importante étant contre les collines fébriles. Tout cela n’est bien entendu totalement interdit par un écrit de vie, dirigeant ces dernières d’une main de fer totalement parfaite. Effectivement, cet immonde dragon aux nombreuses têtes ne s’éteint nullement dans les prémisses de la gargantuesque caverne qu’est le grain de sable devenant finalement le Monde. La gratuité de l’acte n’est finalement une chose, un agissement nullement et véritablement interdit par l’ordonnance ou encore bien par l’assujettissement mené par les nombreux inquisiteurs du globe terrestres assez maussade. Et pourtant, la conséquence et bien entendu analyser et cela, l’immonde créature, ce monstre de puissance pure connait une violence comme cela. Comme le brigand menteur, peureux.
Rigolant peut-être légèrement, cette chose tout simplement débectante n’était pas une chose simple. Cela était une certitude assez maussade. Mais pourtant, elle grandit peu à peu, commençant par devenir un pauvre grain de sable dans une mer de sang putride, l’odeur ne servant finalement seulement à faire repousser les personnes surement trop curieuse de voir la vérité maintenant à l’apogée totalement infinie. L’esclavage n’est plus de mise pour maintenant qu’une pauvre prémisse de l’un des petits monstres du pandémonium tout simplement humain. S’en amusant peut-être légèrement, les petits farfadets grimpent mollement sur l’enveloppe corporelle de l’un de ses pauvres humains à l’intelligence amoindrie. Comme l’ogre se réveillant mollement face au crépuscule de la matinée, cette créature tout simplement fantastique ne connait nullement les barrières irréelles qui composent finalement l’espèce de loi assez dure mais pourtant bien réelle. S’en amusant presque, un petit ricanement perça ses fines lèvres rosâtres doucement ornaient d’une paire de crocs parfaitement blanchâtre. La créature à la gueule béante se massant mollement le menton – Tout cela n’était rien –, cela est une certitude envers son enveloppe corporelle assez gargantuesque. Sa montagne hurlant alors, la graisse s’anima d’elle-même, une chose normalement tout simplement impensable et nullement métrisable. Doucement mais surement. Il ne pouvait rien faire pour le moment, cela était une certitude littéralement véridique. Une légère graisse de gras envers une magnifique voile blanchâtre résultant de la paix la plus totale envers le globe terrestre. La peur est dans tous les esprits, que ne cela soit d’un simple être humain à l’enveloppe corporelle assez basse voire défectueuse ou encore bien d’une machinerie d’or composée finalement rien de plus que de muscle purement monstrueux. Et ce cauchemar vivant, nous ne pouvions nullement lui échappé, que cela soit par la course vivante ou encore bien-même la mort pure et simple.
La loi fut établit par les hommes, pour protégés les hommes. Cette chose tout simplement facile d’accès est présente dans le cœur des personnes. Qu’il la respecte, ou encore bien au contraire que leur cœur ne s’oriente nullement vers cela. Peut-être assez original, cette chose est pourtant ancrée dans l’histoire depuis sa genèse la plus simpliste. Continuant tranquillement son chemin, le non dépendance de la loi est une chose ouvrant avec une fureur tout simplement inquisitrice dans le cœur des nombreux hommes. Ces derniers devant malheureusement la respectée sans rien dire. – Malheureusement ou heureusement choisissez votre poison, camarade – cinquante pourcent la respecte avec une fureur tout simplement nonchalante. Pourtant, dans les cieux magnifiquement noirâtres, certaines personnes s’opposent contre les monstres de puissance arrachant le voile de paix blanchâtre emportant la colombe parfaitement magnifique. Doucement mais surement, cela existe et ne disparaitra nullement. Grandissant avec une fureur assez monotone mais pourtant bien présente. Ce monstre devenant toujours de plus en plus puissant suite aux mensonges et autres règles nullement respectés des hommes. S’en amusant peut-être un instant, la créature continue doucement sa transformation assez importante, augmentant par la même occasion son pouvoir devenant tout simplement titanesque. Son enveloppe corporelle augmentant assez grandement, cette chose devient finalement la peur elle-même. L’essence de la mort ainsi que tu dépaysement des hommes sur ce pauvre bout de terre qu’était définitivement la Planète Terre. Alors que ses deux têtes d’hydre s’élevèrent mollement dans les cieux noirâtres, leurs cris puissants éclatèrent dans d’innombrables fragments de morceau d’étoiles magnifiquement dorées. S’écrasant finalement dans une volonté de fer pure et simple, semblable aux nombreux météores de l’apocalypse s’engendrant par la cupidité des hommes. Le Monde n’est nullement malade, il n’est nullement fou ou encore bien-même mourant. Cela n’est rien finalement que la loi. La loi est définitivement morte.
Les hommes violent leur propre voix. Pour protégé leur propre intérêt. Cela est le propre de l’homme. Une chose assez maussade voir peut-être las. Cela par conséquent de soi. Mais originalement, ces nombreux guerriers, gardiens des portes de l’équilibre sont présent pour voir ces personnes maussades. Abattant la massue de l’inquisition contre le pâle hérétique hurlant des blasphèmes tout simplement sans valeur profonde. Détruisant les démons, les succubes ainsi que les anges déchus, ces remparts vivants s’invitent dans le pandémonium infernal comme celui du paradis sain, ils n’ont nullement de limite dans leurs puissances, devant faire par conséquent respecté la loi avec une violence sans pareille, hurlant contre l’espèce de créature à la gueule béante. Ecrasant cette dernière contre le sol froid et métallique du monde humain. La loi doit être respectée par quelconques moyens. Que cela soit par le magnifique et somptueux dialogue, ou encore bien-même par la violence tout simplement gargantuesque et monstrueuse. Finalement, ce monstre au masque de fer apportant la créature en dehors de l’établissement, le rire maussade du démon arrivant contre les gouffres auditifs du jeune homme au grade militaire assez élevé. Jetant nonchalamment l’espèce de jeune contre le premier mur proche, un soupire arriva contre le filtre des gaz. La population environnante ne s’occupant nullement de la chute de l’espèce de chose ragoûtante, le guerrier, le pilier de l’équilibre s’approcha finalement de l’espèce de mineur à l’esprit assez limité de l’homme. Originalement, l’esprit de l’homme au masque s’en amusa légèrement, alors qu’une main gantée venait dans l’une de ses poches. Touchant doucement son paquet rectangulaire de cylindre au goût de la douce mort. Bien qu’il ait son masque finement métallique contre sa façade blanchâtre, il avait toujours cela sur son équipement. Cela était une sorte de bien-être assez particulière. D’une voix rauque et mécanique, il annonça, sur un ton assez froid.
« Mentir à un membre du monstre militaire qu’est Konoha est un acte passible aussi de prison. Mais, dans la mesure où vous êtes en prison, je vous épargne cela pour les prochaines fois. Nos prisons sont déjà remplies. Maintenant, si vous ne voulez véritablement finir entre les mains d’autorité plus grande, je vous conseille de fuir immédiatement la place du centre sans un mot… Je ne serais pas aussi indulgent la prochaine fois. »
. : Suite à venir. : .
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Sujet: Re: La dance d’un village. [Yusuke Katano] |Privée| Sam 2 Juil 2011 - 19:56
Il m’était de plus en plus en plus sympathique, c’est vrai. Je commençais peu à peu à prendre goût à ce dernier. C’était assez bizarre de ressentir ça. C’était comme, de l’admiration. C’était ça, je ressentais de l’admiration à son égard. Je n’ai presque jamais ressentis cela pour un de mes semblables humains. Ce dernier était capable d’outre passer les lois pour le bien du peuple et de ses semblables. Il répondait parfaitement au credo de ma famille. A savoir : Quand les lois des hommes te freinent dans ta quête, rappelle-toi que tout est permis. Je n’oublierais probablement jamais cet homme. Ce n’est pas un anarchiste, mais ce n’est pas un fanatique des lois. Il est capable de faire abstraction de tout règlement si cela est juste. Je ne pouvais m’ôter cette idée de la tête, c’est homme, je l’avais repérer de loin. Je savais qu’il était différent, comme moi. Il était capable de faire preuve d’initiative et de ne pas suivre bêtement le troupeau comme les autre brebis de la ville. Cet homme était vraisemblablement un type bien qui méritait le respect qui va avec. Il était à la fois un homme intègre mais pas coincé dans la société, il était capable de faire des efforts gargantuesques pour se hisser je le ressentais et je le voyais à travers de ses yeux émeraudes qui me semblait maintenant si chaleureux. Au risque de paraître gai mais croyez moi ce n’est pas du tout mon intention loin de là, mais il m’attirait, mais j’entends là qu’il m’attirait d’une façon purement amicale, ne nous égarons pas. C’est avec un regard hermétiquement profond que je le regardais et, quand il me détacha et me dit de m’en aller sans dire un mot. Nos regards respectifs se sont croisés, créant ainsi un lien, pas un lien de simple amitié, mais un lien de respect mutuel. C’était probablement a dernière fois que nous nous verrons, mais j’aime à croire qu’il y a une chance pour que nous puissions un jour combattre côte à côte contre un ennemi commun. Je suis sûr que j’ai énormément à apprendre de lui. Personnellement, je savais que nous allions nous retrouver un jour, je ne savais pas pourquoi mais j’en étais sûr. Je savais que nos chemins se croiseraient à nouveau. Mais je ne savais pas encore dans quel camp il serait. Il était de Konoha mais moi j’étais de Kiri, cela ne pouvais pas marcher. Je le savais bien. Il était maintenant l’heure des adieux et nous devions repartir, chacun de notre côté, vers nos foyers respectifs. Je voulais lui dire se que je pressentais à son égard, mais je n’ai dit que ces mots :-Adieu, j’aime à croire que nos chemin se croiseront à nouveaux. Merci. Sur ces mots, je tournais le dos et je sortis de ce bar. Je le savais, nous allions nous revoir. Je marchais dans la nuit noire vers mon cher pays, il était temps pour moi de rentrer à la mère patrie. Mon voyage prenait fin dans ce bar à alcool mais je pouvais dire que j’avais fais des rencontres assez… spéciale. Dans la nuit, la pluie tombant sur mes vêtements, j’étais seul sur la route, marchant au clair de lune. Et j’esquissais un léger sourire du coin de mes lèvres. J’étais satisfait.
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Dim 5 Juin 2011 - 17:18