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Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée|

Hunk Moroshi
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Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Left_bar_bleue1377/2000Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Empty_bar_bleue  (1377/2000)
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MessageSujet: Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Icon_minitimeMer 24 Aoû 2011 - 12:27




. : La survie est un art, l’avoir est autre chose. : .

Les feuilles, les feuilles et encore des feuilles. Surement trop pour lui. Pourquoi autant de haine envers son nouveau grade militaire. Bien qu’il sache que bien par conséquent son nouveau statut allait bien entendu devoir être beaucoup, beaucoup, beaucoup de paperasse, il ne s’était jamais imaginer comme cela. A être devant un bureau pendant une journée à remplir des permis de reconstruction ou encore bien à écouter des rapports lassants de ninjas à moitié blessé, murmurant alors par conséquent leur dialogue plus que pitoyable. Sérieusement, mais la vie d’un Kage se résumé véritablement à cela ? Et les combats dantesques sur des musiques préenregistrées totalement et simplement épiques ? Apparemment, cela n’était nullement au programme pour l’instant. Malheureusement. Bien que, quelque part, comme cela il ne pouvait bien entendu par avoir un risque contre sa vie. Lentement mais avec une valeur sure, le jeune homme ne pouvait malheureusement rien faire pour changer de cela, hormis peut-être partir en mission de rang « A. », « S. » ou encore bien : « SS. ». Mais pour l’instant, il ne devait pas encore sortir du village de Konoha No Kuni. Après tout, la reconstruction de l’immense agglomération était beaucoup plus importante et encore plus, son devoir était aussi bien entendu aussi de rassurer les habitants de son propre village. Après tout, maintenant qu’il était le dernier rempart contre l’attaque de la pègre ainsi que des mercenaires. Son devoir était l’un des plus importants dans ce Monde et par conséquent, l’homme devait tenir sa promesse. La promesse qu’il avait fait à ses habitants. Que ces derniers sont de pauvres hommes ou alors, au contraire, des magnifiques et somptueuses personnes riches de la métropole gargantuesque. Lentement mais surement, le changement se fera obligatoirement mais pourtant, avec une certaine lenteur. Pour le bien être…

Et bien entendu, originalement, des feuilles étaient aussi présente dehors. Verdâtre, et d’une santé à toute épreuve. Malheureusement, impossible pour le jeune homme à la chevelure rougeâtre de sortir prendre un peu l’air et par conséquent prendre un peu de bon temps. De plus, pour ne rien arrangé, sa nouvelle tenue n’était nullement une aide plutôt précieuse. Evoluer dans une armure de métal pesant assez lourd pour pouvoir mieux maitriser ses affinités assez puissante. Et pour l’instant, il n’avait nullement eu le temps ainsi que le besoin de voir comment avait évolué ses nouvelles aptitudes. Mais que cela ne tienne. Pour l’instant. Soupirant légèrement suite à cette pensée, ses bras surplombés de pièces de métal se levèrent assez mollement vers les cieux marron de son plafond qu’était son bureau. Originalement, et heureusement pour lui le nouvel Shishidaime Hokage avait enfin une idée plutôt plaisante et bien entendu, assez simpliste quand on y pense. Cette dernière, elle résulte d’une chose bête. Enfantine. Peut-être même un peu lassante. Cela est, simplement : « Ouvrir la fenêtre. » Se levant lentement mais surement de son siège, ce dernier grinçant légèrement suite au poids de son armure, son armure qu’il adorait plus que tout maintenant d’ailleurs. Marchant d’un pas lent vers l’immense et gargantuesque fenêtre qui se trouvait dans le bureau, le morceau de verre disparut finalement dans son emplacement – garnison -. Alors que finalement la fine et légère brise de l’été frappa son masque métallique, il sentit une fraicheur venir contre son corps résultant d’une enveloppe corporelle purement et simplement parfaite. Alors qu’une fine esquisse de sourire démoniaque se dessina avec une lenteur inquisitrice. La vue était assez spéciale puisque, par conséquent, de nombreux bâtiments étaient détruits. Mais cela n’était pas dérangeant pour lui. Sa puissance allait se refaire sur son village gargantuesque.

Alors qu’il regarda son village, ses cavités auditives sentirent trois coups venir contre la porte de son bureau, et par conséquent, la suite arriva rapidement. L’inconnu rentra rapidement, et en même temps, une odeur de la pestilence rentra immédiatement dans la pièce. Originalement, nullement d’expression de dégout arriva immédiatement contre la façade blanchâtre de l’être humain à la chevelure flamboyante voire sanglante. Non, nullement, il eut autre chose. Un magnifique sourire carnassier se dessina lentement mais surement sur son visage. Enfin, sa venue était enfin présente dans son bureau. Enfin, nullement sa présence. Ces présences. Car effectivement, l’Hokage, le Maitre du village, le Tyran des provinces du Pays du Feu et encore d’autre surnom avait demandé une chose bien particulière pour la mission de ce ninja. Ce membre de l’unité militaire ayant un pouvoir tout simplement gargantuesque dans les paumes de ses mains. Oui, ces deux hommes se connaissent bien entendu bien avant cette magnifique et somptueuse guerre opposant le village de Konohagakure no Satô ainsi que de Mizu No Kuni. Pour être totalement direct, ces deux hommes à l’apparence blanchâtre avaient participé dans le même camp. Dans le camp des traites et des hommes trahissant par conséquent son propre village. C’était pour cela que le jeune homme avait une confiance pratiquement aveugle envers lui. Satoshi Hateru. Un militaire avec des pouvoirs conséquents, une ambition gargantuesque ainsi que des capacités que des millions d’hommes aimeraient avoir dans sa poche ainsi que dans son esprit maussade. Finalement et définitivement, le plus puissant ne bougea pas. Regardant toujours et toujours son village quasiment et pratiquement détruit, son sourire ne bougea pas. Son sourire nullement humain, son sourire démoniaque, son sourire satanique ainsi que méphistophélique. Une bonne nouvelle allée venir pour lui, pour cette personne assez parfaite à ses yeux. Une grosse promotion…

Un silence pesant arriva définitivement contre la pièce. Un silence glacial provoqué par l’apparition de ce jeune homme à la chevelure noirâtre, ébène, ténébreuse. Ne disant mot, comme toujours, son regard émeraude caché par les nombreuses lentilles de son casque métallique. Finalement et définitivement, le jeune homme à l’apparence gargantuesque par rapport à son armure se retourna alors envers la personne qui rapporta se magnifique cadeau. Son sourire ne quitta nullement ses fines lèvres rosâtres. Alors que finalement son armure métallique et grisâtre s’avança lentement vers le jeune homme au sac crème. Arrivant définitivement devant lui. Le silence continua tranquillement mais surement sa douce vie. Alors que finalement son regard émeraude, olive, jade ou encore bien magnifique se déposa alors contre ce sac. Ce sac dont le fond était teinté d’une couleur rougeâtre dont l’origine était bien entendu ces trois têtes d’anciens membres de Konoha No Kuni. D’un geste plutôt lent et doux, sa main gantée de plaque métallique se déposa contre le sac. Subtilisant alors ce dernier à son ninja. Effectivement, l’homme n’étant rien d’autre qu’un pauvre tyran devait bien entendu faire une vérification de tout cela. Ouvrant alors lentement mais surement le sac crème, une odeur honorant la pestilence elle-même. Cette fois-ci, la grimace fut bien entendu présente contre le visage du militaire haut gradé. La décomposition des têtes avaient bien déjà commencé mais les visages étaient encore, - pour l’instant – facilement identifiable pour un œil ayant connu ces trois têtes et dont La Mort n’est plus rien qu’une vielle amie. Alors que l’homme en armure releva finalement la tête vers son homme, son militaire, son soldat, son parfait citoyen. Il hocha de haut en bas la tête. En signe de signification positive envers sa mission. Se retourna finalement, son enveloppe se retourna vers la fenêtre ouverte, lentement…


« Regarde le village Satoshi… Tu me connais plus que quiconque ici par et conséquent tu le sais. Je veux que cela change par tous les moyens. La chasse aux anciens membres que nous appelons les Pro-Fujita se sont échappés. Et certains villageois n’aiment pas le régime politique que j’instaure depuis maintenant plusieurs semaines. J’ai besoin d’aide pour remettre le village sur pied et par conséquent, il me faut une aide. Une aide bien précise. Toi. »

Lentement mais surement, le jeune homme se retourna vers son « ami ». Casque toujours sur la tête, son apparence lui donner un air froid et distant bien que sa voix lui assez sympathique tout en étant respectueuse et assez hautaine.

« Félicitation. Tu es mon Bras-Droit. »

. : Suite à venir. : .





Satoshi Hateru
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Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Left_bar_bleue476/1000Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Empty_bar_bleue  (476/1000)
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MessageSujet: Re: Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Icon_minitimeMer 24 Aoû 2011 - 20:11

Un tournant

  • L'instant où j'avais dans un élan de confiance briser de quelques mots le silence fut court, sa briéveté faisait sa force. Maintenant je n'avais plus qu'à attendre, attrendre que notre noble maître Hokage ne daigne m'apporter un réponse. Lui et moi avions passé une sorte de contrat à sens unique c'était le cas de le dire. Quoique..Trois têtes contre rien ? Non. Certe, la mission fut plus que dangereuse et complexe mais je croit que j'en sortais encore une fois grandit éclaboussant présomptueusement le nom de mon clan que je louangeais tant. Finalement, chacun avait ses int^érêts, nous nous y retrouvions tous deux. Mais quand bien même je n'avais rien eu qui rende ma victoire que plus belle, j'avais toujours la satisfaction d'avoir un servit un homme fort de notre monde. Je n'irais pas jusqu'à dire qu'un lien unissait ce colosse de sadisme et moi même, mais ayant tous deux participaient à ce retournement de situation et étant dans le même oflag, le même camp je pouvais sans consteste annoncer qu'une confiance sans faille c'était instauré entre nous.. Réciproque probablement, certainement même. Quand à ceux qui pense que je puisse ressentir d'éventuel regret ils se fourvoyaient de toute leurs masse, lourdement et avec une violence telle que je ne pourrais qu'en rire et m'en m'amuser jalousement. J'appartenais à un clan prestigieux à le renomée grandissante, je voulais étandre mon clan au rangs des légendes et je me devais de ne reculer devant rien. Puis finalement, la destinée d'un Kage n'est-elle pas de mourire dans la fleur de l'âge ? A défaut d'y avoir était moi même cela ne demeurait qu'une pousse de réflexion au sein de songe tout aussi fertile qu'aléatoire. Si, un jour je devais regretter.. Cela signerait sans l'ombre possible d'un doute la mort de mon esprit et de mes principes. J'appréciais à assumer toutes mes actions bonnes comme mauvaises et je persiste et signe à penser que ce que j'avais fait précdemment aux cotés de Hunk Moroshi, notre nouvel Hokage était pour la prospérité de Konoha. Peu à peu la feuille de Konoha s'empatait et jaunissait attendre les craquelures pour agir ? certainement pas. J'avais fait mon choix et j'avais agit pour leurs procurer un aspect matériel en quelque sorte.

    Le silence avait reprit ses droits et alliant patience et respect, tête inclinée je ne pouvais que faire preuve de compréhension envers ce maître de glace qui s'ouvrait à moi. Ce bureau m'apparraissait comme un hydre de pression. Pourquoi étais-je nerveux ? Ma mission bel et bien accomplit les preuves reposant docilement au fond de ce sac teinté de rouge. Etait-ce dut à cet homme qui ne parraissait point en être un. Intouchable et distant cela le résumer bien en surface uniquement, c'était un homme perplexe mais j'admet que cette armure de métal qu'il avait constamment sur lui renvoyer à merveille cette image. Un tyran de glace, de marbre d'une dureté sans comparaison. Je relevais en quatimini la tête vers cet homme. Il observait son village, village partiellemen tdétruit ce qui collérer cet air de changement qui depuis plusieurs semaines déjà se faisait humer avec une indélicatesse certaine et avérer. Ma tête retombant vers le sol, les pas sourd de l'Hokage se firent ouïre me demandant intérieurement comment cela était possible de traîner une semblable armure à longueur de journée. Chassant cette futile pensée je me recontrais sur l'instant présent plutôt que sur des rêveries. Il tendit avec une douceur insoupçonné sa main de fer, l'expression "une main de fer dans un gant de velour" n'avait jamais était aussi vraie. Dans un mouvement fluide mes doigts délaissaient le sac pour l'abandonner aux mains de cet homme de fer. Me prenant m'on macabre trophée j'espérais simplement qu'il n'allait pas vouloir en vérifier le contenu. Même si mes narines ne sentait que l'odeur du sang autour d'elle depuis que je me trimballais ce sac je ne tenais pas particulièrement à ce que une putride effluve bien pire m'envahisse. Retenant un rictus de désapprobation je le voyais ouvrir le sac renfermant mes trois victilmes, enfin ... Une forte et inévitable effluve de puanteur répugnante s'élevait dans le bureau de l'Hokage. Je ne put retenire une grimace passagère.

    Dans un mouvement de tête approbateur probablement il semblait satisfait et je me sentais comme soulagé. Un poid disparut soudainement remarquant que je m'accoutumais de mieux en mieux aux effluves cadavérique j'eu un questionnement paradoxale, devenais-je un monstre ? Non. Le pardoxe demeurait dans le fait qu'en accomplissant ma mission je me sentais tout sauf humain. J'avais l'impression d'avoir entamé une mutation me conduisant contre ma volonté vers les horizons inexplorés de la cruauté. Si cela était le prix à endurer, le fardeau à porter alors je m'y plierais avec une droiture exemplaire. La montagne de métal se retournant vers la fenêtre j'enviais sa position. Pas son rang non nullement mais juste le fait qu'il soit devant cette porte ouverte vers un air frait ? Mais serais-je au moins capable d'humer une différence ? N'en n'étant pas certain je préférais éviter cette confrontation. Enfin il dégnait s'exprimer par la parole :« Regarde le village Satoshi… Tu me connais plus que quiconque ici par et conséquent tu le sais. Je veux que cela change par tous les moyens. La chasse aux anciens membres que nous appelons les Pro-Fujita se sont échappés. Et certains villageois n’aiment pas le régime politique que j’instaure depuis maintenant plusieurs semaines. J’ai besoin d’aide pour remettre le village sur pied et par conséquent, il me faut une aide. Une aide bien précise. Toi. » Il se retournait vers moi. Que devais-je adopter comme attitude ? Sur l'instant je ne sut. A la fois réjouit par cette gratification et à la fois préférant rester digne. Homme de raison plus que de coeur, je préférais l'impassibilité de la sagesse. Relevant mon faciées vers le maître Hokage j'affichais une expression froide et close comme à mon habitude impassible je pouvais parraître autoritaire et dur. M'enfin ... Je savais que l'homme d'une voix presque sympathique devinerait ma surprise mais ne laissant rien parraître j'écoutais la suite avec assiduité : « Félicitation. Tu es mon Bras-Droit. » Demeurant impassible et sérieux d'un mouvement de tête froid je remerciais cet homme et c'est d'une voix refletant ma fermeté que je dit alors " Je serais me montrer digne de cette fonction maître Hokage. En moi vous avez placé votre confiance et je ne peux que vous en remercier humblement." Je finit ces mots par une révérences souple et élégante dans un mouvement fluide.
Hunk Moroshi
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MessageSujet: Re: Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Icon_minitimeJeu 25 Aoû 2011 - 13:35




. : Félicitions, au fait. Pour votre survie. : .

Que faire et dire maintenant ? Pour tout dire, il voulait une réponse purement et simplement positive de ce jeune homme qu’il considérait presque, oui, presque comme un véritable frère. Il ne faut pas croire, l’homme à la chevelure flamboyante ne s’amusait nullement avec ses sentiments alors dans la mesure où la relation était professionnel, cela restait une relation professionnel dans le langage bien que pour l’être humain au casque, il voyait son interlocuteur comme un très bon ninja sur qui il pouvait compter bien entendu. Que devait-il faire maintenant, que cela soit pour son magnifique village ou encore bien, au contraire pour ses nouveaux habitants. Pour l’instant, le nouvel Hokage était dans un flou total et par conséquent, même ses conseillers ne l’avaient pour l’instant nullement aidé dans sa tâche assez gargantuesque. Mollement mais surement, son regard se perdit dans le vague, bien entendu, il était tout simplement impossible pour l’autre personne de le voir, heureusement pour lui. Sa situation n’était finalement pas celle dont il espérait véritablement. Pour tout dire, depuis l’annonce de cette guerre dont les motifs étaient pour lui rien d’autre que les engrenages de son pouvoir ainsi que de son statut, le militaire de haut rang, à savoir celui de Maitre Tyran sur sa Provence, son village, son pays et encore bien plus. Pour l’instant, tous cela n’était rien d’autre qu’un tissu de paix blanchâtre apporté par la colombe qui disparaissait lentement mais surement dans les prémisses d’un enfer méphistophélique dont un immense ver gargantuesque ainsi que las était le gardien des plus grands mystères des pandémoniums humains ainsi que démoniaque. Et pour l’instant, ce ver, n’était plus le jeune homme se retrouvant dans son propre bureau. Alors que son regard se reconcentra finalement sur le jeune homme se trouvant devant lui, il sourit. Longuement.

Voilà, la réponse était composée et par conséquent, cette dernière fut totalement et magnifiquement positive. Finalement et définitivement, le jeune homme à la chevelure démoniaque, sanguinolente des batailles dont l’esprit maussade avait livré. Oui, effectivement, pour lui tout cela était une certitude plus que bénéfique. Alors que sa main droite se posa avec une certaine lenteur contre le rebord de la fenêtre, son autre main, à savoir celle de gauche serra fortement le sac d’une douce couleur crème se mélangeant peu à peu aux différents sangs des victimes faites par le nouveau et unique Bras-Droit du Shishidaime Hokage, le nouveau monstre de métal pure connaissant sur le bout des doigts ses trois affinités dont l’une, c’était manifesté pendant un combat totalement au hasard. C’était assez original mais pour lui, cela était une nouvelle puissance maintenant découverte dans les deux paumes de ses mains purement et simplement métallique. Lentement mais surement, le sac se retrouva dehors, maintenant seulement disposé par la main gauche de ce nouveau Tyran d’une ère qui apportera prospérité ainsi que délicieuse aux habitants du village de Konoha No Kuni. Le village caché de la Feuille. Un monstre de puissance maintenant détruit à cause de la bêtise de l’homme, que ces derniers soit ceux de Konoha ou encore bien de Kiri No Kuni. La cruauté de l’homme avait fait disparaitre tous ce qui pouvait être parfait dans cette agglomération. Mais la reconstruction arrivera avec une lenteur certaine, comme ce pauvre ver rampant mollement mais surement pour protéger son nid des Enfers méphistophéliques. L’homme en armure – à savoir le plus haut gradé – ne portait pour l’instant nullement d’attention à son interlocuteur, il avait eu une réponse, qui plus est, une réponse positive. Cela était le plus important et par conséquent, le reste lui importa peu. Pour l’instant du moins.

Le sac revient finalement à l’intérieur du bâtiment avec une lenteur toute particulière qu’on pourrait même dire d’inquisitrice. Lentement mais surement, le sac en toile crème se déposa lentement contre le mur donnant sur la fenêtre. Ces trois têtes seraient par conséquent mit dans trois boucaux différents et ensuite afficher comme d’immenses et gargantuesques trophées de guerre. Alors que son regard se perdit sur l’enveloppe corporelle du jeune homme à la chevelure purement et uniquement ébène, un infime et inaudible soupir arracha littéralement ses fines lèvres rosâtres. Et maintenant, que devait-il bien pouvoir faire ? Lui fournir une nouvelle mission, lui demander d’annoncer la bonne nouvelle à son clan, famille, femme, enfants ou autre forme de plaisir humain ? Pour tout dire, le jeune homme à la chevelure rougeâtre ne le savait véritablement pas. Finalement et définitivement, l’immense colosse en armure purement et magnifiquement métallique s’avança vers son bureau, le contournant lentement. Ce bureau, ses appartements avaient bien changé depuis qu’il avait pris son règne entre ses mains. Le bureau était maintenant tapissé de noir, et derrière l’immense table en ébène, de gargantuesques bibliothèques se retrouvaient contre les murs. Remplies de livres, de trophées sanglant ainsi que de parchemin et d’ouvrages anciens en tout genre. C’était assez spécial, mais pour lui, cela ne changera pas. Cela était une chose véritablement sûre. Mollement mais surement, l’homme s’assied lentement sur son long et noirâtre fauteuil, ce dernier grinçant lentement suite à son poids. Du moins, le poids de son armure. Car, hors l’armure, le jeune homme blanchâtre n’était d’un poids plume… Mais grâce à cette armure, il inspire la peur, la terreur et des sentiments similaires dans le cœur des hommes maussades et nullement saint d’esprit. Soupirant lentement, ses mains se posèrent contre son bureau, lentement, mais surement. Le changement était fait…

Désignant d’un geste de sa tête métallique le fauteuil se trouvant juste devant son propre bureau, il se s’attarda pas sur le mouvement du jeune homme alors, il regarda alors encore et encore par l’immense et gargantuesque fenêtre donnant sur son village de Konoha No Kuni. Un monde détruit, un avenir nullement radieux pour les habitants de la population de l’agglomération tout simplement gargantuesque. Pourquoi autant de haine envers un Monde pourtant si magnifique, il fallait réunir tous les hommes sous une unique et simple bannière blanchâtre. Un drap de paix apporté par la plus puissante des colombes. Soupirant pour la troisième fois maintenant, l’homme se retourna alors vers sa bibliothèque, immense et gargantuesque tout simplement. Pour tout dire, maintenant, le nouvel Hokage, pour être totalement exacte, le sixième du nom recherchait un livre assez particulier dont il avait reçu d’une ancienne personne, un scientifique qui n’était plus dans la fleur de l’âge. La fleur était largement plus près de flâner que de revivre. Après quelques secondes de recherche assez lente et monotone, le manuscrit se retrouva dans les mains en métal de ce nouveau Tyran de la Provence. C’était un livre assez simple, d’une taille plutôt moyenne. Pas très grand mais sans pour autant être totalement minuscule. C’était un livre discret qu’une majorité de personne ne connaissait nullement et ne prêterait nullement attention dans une étagère. Finalement, il ouvrit le livre à la première page. Page légèrement jauni par le temps. Le livre était originalement totalement et véritablement vierge. Attrapant une fine plume qu’il trempa dans un pot d’encre aussi noirâtre et ténébreux que l’espèce d’organe de vie qu’avait le Tyran dans sa cage thoracique. Alors que les tracés se faisant lentement mais surement, une étoile à huit branches furent inscrit sur toute la page jauni. En dessus, il faut marquer le nom de son Bras-Droit : « Satoshi Hateru. »

« Cette étoile représente le Chaos à son état le plus simple. Je veux que, dans ce livre tu décrives tes missions et des états d’esprits envers ces dernières. Et surtout tes idées concernant le village. Je te fais confiance ne me déçois nullement. Sinon, tu en subiras les conséquences sans attendre. Chaque mois, tu transmettras ce que tu as écrit dans ce livre et me le montrera. »

Il referma le livre lentement et le poussa avec une douceur certaine vers lui. Derrière son masque, il souriait. Effectivement, cela était une chose sûre.

« Tu as tes questions ? Des doutes ? »

. : Suite à venir. : .





Satoshi Hateru
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Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Left_bar_bleue476/1000Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Empty_bar_bleue  (476/1000)
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MessageSujet: Re: Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Icon_minitimeJeu 25 Aoû 2011 - 20:52

Acceptation

  • Je m'étais exprimé de façon suffisement digne selon moi, gardant une placidité impassible méritant le nom de sagesse. Je m'aimais à cexercer l'art de contenir mes émotions, tant de personne méprise ce comportement que dans un soucis de distinction je m'y était confondu en ma totalité. Je dirais presque que j'avais perdu la clé de la spontanéité dans le labyrinthe de la retenue. Mais ne faut-il pas mieux pour un homme dans une situation comme celle-ci de savoir faire preuve d'une certaine consigne agissant comme directive je la suivais avec l'assiduité la plus hardu par soucis du détail. Fausseté sont les hateux qui me décrive comme un bloc de glace, un homme sans émotions, une enveloppe sans contenance, non je réfutais ces déductions trop véloces pour uniquement me décrire comme une personne dont les prémices d'une sagesse à venir se faisait humer. Et même si ce n'était que pour l'instinc une étincelle au milieu du vide j'allais la faire croître jusqu'à son épanouissement, ce jour là j'aurais atteint mon idéal. Mais il m'arrive en temps de doute de me demander si ce n'est pas justement un vin trop ambitieux pour une déléctation encore si novice qu'est la mienne. Je m'hasarde rarement au venin nocif des doutes mais je n'hésite jamais à me remettre en question. Paradoxale ? Non logique tout simplement. Comment devenir un shinobis accomplit si l'on se penche pas sur soi même, sur ce qui nous fait vibrer et sur nos faiblesses ? Quel rapport me direz vous, cela n'est possible qu'en s'abandonnant aux territoires hostiles de la remise en question. Le doute ? C'est un domaine complexe qui diffère sur tant de point que cela me serais impossible de tous vous les citer. La différence majeur est réside en la confiance que l'on a en nous à l'instant de chacun, de ce phénomène si déplaisant et si abscons. Entortillés tortueusement sont les énigmes qui les composent ? De quoi ? L'instant en lui même.

    Quand à l'instant présent ? Il n'y avait absolument rien, rien si ce n'est un pesant silence qui électivement avait reprit ses droits. Une atmosphère étrange régnait, je ne saurais vous la décrire, c'était de ces minutes longues mais que l'on aimait tout en les haïssant. Oui, c'était cela, typiquement cela même, ces minutes après une annonce, un révélation qui changera votre vie à jamais. Ces dernières durant lesquelles l'individu voudrait bondir, jaillir, profiter du vin de l'orgueil mais pendant lequel on doit se résoudre à patienter dans le silence, dans le mutisme de la retenue. Loie morale et simplement règle fondamentale de la respecter. Eduqué et respectueux je me devais de l'anoblir et en l'instant c'était en me laissant vagabonder à mes songes que je le faisais. L'homme de fer était toujours face à cetet fenêtre, le sac dasn l'une de ces mains, mon regard céruléen impassible se posait sur cet aspect bondé. Taché de sang, de sang humain il était enduit. Dans un effacement complet je revoyais l'instant où moi Satoshi Hateru avait mit fin à leurs vie. J'avais joué le rôle de la grande faucheuse à merveille. Mon visage avait été leurs dernier souvenir, à tous. Ma foi j'avais tout de même varié mes expression, c'était tout de même une fortune. La vie avait cela de dure psycologiquement parlant. Détenir le sort de trois hommes n'était pas chose aisé, je dirasi même qu'avoir le choix de vie ou bien de mort dans le cas échéant était immonde et repoussant. Je réfutais l'aspect satanique de l'acte en lui même mais cela ne m'empêchait pas de le faire. C'était là encore contradictoire mais je suis un homme de devoir pas de coeur.

    Fixant toujorus ce même sac qui fut leurs derniers cerceuil je le vit s'élever lentement, instinctivement je le suivit jusqu'à le voir passer par dessus la fenêtre. Avant tout surpris, je pdétournais finalement mos regard. Qu'allait-il faire. Les laissés tomber, je n'osais le croire. Non cela m'étonnerais. Quelques minutes s'écoulèrent pendant lesquelles le silence perdurait avant de revoir ce même mouvement fit dans le sens inverse cette fois-ci. Sans osait le fixer par respect, les pas de l'armure de fer se déplacèrent, puis suivit d'un grincement il s'immobilisèrent. Redressant la tête il me fit un geste de la tête m'invitant à prendre place. D'un pas rigide et ferme je prit place face l'Hikage dans un soupçon d'élégance. Je le vit se retourner vers cette bibliothèque dégageant une sensation de mort, ou itous simpelment. Au bout d'un court lapse de temps il prit entre des dougts métalliques une fin ouvrage. D'une taille tout à fait moyenne, il n'attisait nullement la curiosité. Je suivit son mouvement,il l'ouvrit laissant vue sur une page jaunit et vierge. Il prit une plume si lègère comparait à sa masse que ce spectacle si banale parraissait soudainement attrayant bien que loin de soulever les foules et ne provoquait absolument rien ainsi je demeurais impassible. Avec minution il traçait. Prenant une allure d'étoile à branche multiple elle prenait la quasi totalité de la page. Sa plume glissant toujours sur le papier il écrivait quelques chose. Il écrivait mon nom.A la suite il me dit alors : « Cette étoile représente le Chaos à son état le plus simple. Je veux que, dans ce livre tu décrives tes missions et des états d’esprits envers ces dernières. Et surtout tes idées concernant le village. Je te fais confiance ne me déçois nullement. Sinon, tu en subiras les conséquences sans attendre. Chaque mois, tu transmettras ce que tu as écrit dans ce livre et me le montrera. » Aquiessant d'un signe de tête mesuré je me faisais dubitatif face à cela. C'était comme une sorte de journal intime car plus qu'un rapport il demandait mes ressentis, donc une forme de jugement ainsi que mes idées. L'idée s'apparentant à l'essence de la réflexion d 'une personne. « Tu as tes questions ? Des doutes ? » ajoutait-il. Le systhème assimilé, je m'y attélerais avec assiduité comme à mon habitude.En réponse à cet montagne de fer, c'est de cette même voix que je souflaiss : "Nullement maître Hokage, chaque mois vous aurez donc mes écrits comme à votre demande." Ajoutant un signe de tête respectueux en signe d'ultime engagement.
Hunk Moroshi
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Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Left_bar_bleue1377/2000Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Empty_bar_bleue  (1377/2000)
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MessageSujet: Re: Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Icon_minitimeVen 26 Aoû 2011 - 22:15




. : C’est la fin, mais le commencent débarque, comme les militaires sur un champ de bataille. : .

L’homme à la chevelure purement et simplement ébène acquisse lentement mais surement de la tête. Apparemment, le jeune homme d’un clan connu était d’accord pour tout cela. Tant mieux pour l’homme se tenant devant lui, car, après tout, si cela arriverait, si la réponse aurait été bien entendu négative, la suite des évènements n’auraient nullement été une chose assez gracieuse, que cela soit pour l’espèce d’immense armure se tenant derrière le bureau et devant les gargantuesques bibliothèques ou encore bien pour le nouveau et compétant Bras-Droit se trouvant alors face au monstre de métal vivant. Maintenant, la discussion était close et par conséquent, il n’avait plus rien à lui dire. Le petit homme maintenant devenu colosse pouvait allez voir sa femme, ses enfants, sa famille et encore bien d’autre chose et avoir, en cette soirée, une espèce de pseudo-fête purement et simplement gargantuesque. Que cela ne tienne, de toute façon, pour le nouvel Hokage. Le sixième du nom. Lui, veillerait surement pendant longtemps à son bureau, se régalant des nombreuses factures, papiers de constructions ainsi que des rapports de mission à lire dans son armure métallique. Une merveilleuse soirée en perspective. Enfin, depuis quelques semaines maintenant, l’anthropoïde à la crinière d’un Titan des anciens temps avait l’habitude de tous cela. Et, les cernes sous ses yeux ne faisaient que devenir plus lourde et plus importante. Soupirant lentement suite à cette pensée, mais pourtant, pour l’instant, l’homme ne pouvait rien faire contre cela, et par conséquent, les sabliers du Temps s’amusaient émondement avec son corps pourtant si frêle par rapport à son armure métallique. Peut-être que, vers la fin de la soirée, l’homme s’autorisera à avoir une pensée pour sa douce et magnifique et par conséquent, venir dans le pigeonnier, écrire les dernières nouvelles. Après tout, elle se devait d’être informée.

Les relations à distances n’étaient nullement quelque chose de simple, cela était une chose absolument sûre. Et parfois, il se pouvait que le cœur fasse malheureusement des siennes et dans ce cas, le moral était au plus bas pour l’homme ou alors la femme ne trouvant rien de mieux que d’avoir une relation à distance. Mais le monde était fait comme cela et par conséquent, il était tout simplement impossible de connaitre les futures relations, sentiments, amitiés ou encore bien ennemis que nous pourrions avoir avec le temps. Lentement mais surement, pourtant, cela ne changeait pas dans le cœur de l’espèce de créature méphistophélique. Non, nullement, cela était comme au premier jour. La distance n’avait nullement d’impact sur ses sentiments – heureusement ou malheureusement, veuillez choisir votre camp bien entendu. – et par conséquent, cela rester comme un bloc de béton dont rien ni personne ne pourrait le détruire. Heureusement. Cela était par contre une valeur véritablement sûre. Souriant lentement mais surement suite à cette pensée, l’homme lâcha pourtant un soupire de lassitude envers tout cela. Peut-être que, malheureusement il recherchait largement trop loin dans son esprit ? Impossible de le savoir véritablement bien que, malheureusement pour lui, cela ne change rien hormis un maux de tête assez gargantuesque. L’homme voulait faire sa vie avec la créature douce et d’une beauté olympienne et par conséquent, l’anthropoïde espérait fortement que son nouveau grade, à savoir celui du sixième Hokage ne serait nullement une barrière contre tout cela. L’adulte ne le voulait véritablement pas. Car après tout, pour eux l’homo sapiens avait de grand projet pour lui ainsi que sa belle. Notamment la naissance d’une petite créature mais cela serait à voir avec la demoiselle. Et pour l’instant, il n’avait pas encore le temps. Mais cela viendra, dans son esprit, cela était absolument sûr.

Finalement, le jeune homme resta mollement dans son fauteuil marron, voire noirâtre. Pour tout dire, il resta comme cela, ne disant rien. L’homme, l’adulte, le démon, la créature méphistophélique, le vampire et encore d’autre surnom ne voulait nullement continuer à être dans son bureau, ne plus sentir le vent frais malgré la fenêtre bien entendu ouverte de ses appartements. Pour tout dire, sa première envie était de partir pour le lieu où tous les pigeons voyageurs étaient présents dans la Tour des Hokages. Cela était là-haut, sur l’un des derniers étages de tout cela. Regardant alors le jeune homme, son nouveau Bras-Droit. Son homme de main dans lequel il avait une confiance pratiquement aveugle. Cela était une chose aussi simple que véridique. Et pourtant, bien que cela paraisse tellement compliqué, cela résulté d’une chose aussi simple que la création d’un être humain. Soupirant lentement, l’armure se leva alors de son fauteuil tandis que d’un pas toujours aussi lent, il se redirigea vers le sac contenant les trois têtes. Trois futurs magnifiques trophées qui se placeront sur les étagères de ses immenses et gargantuesques bibliothèques. Mais pour l’instant, ces trois choses restèrent dans le sac. Ce dernier lui-même sur son magnifique bureau. Alors que le sac se déposa envers le bureau, l’homme, le tyran, le monstre, la chose démoniaque déposa une main sur l’épaule de son nouveau Bras-Droit. Mollement mais surement, il la retira et désigna d’un geste lent mais assuré la porte précédemment fermé de la pièce. La sortie. Il était temps pour l’homme de partir, n’oubliant nullement bien entendu son nouveau carnet noirâtre d’une taille purement et simplement moyenne. Se dirigeant alors vers la porte, de sa main de fer, l’homme l’ouvra avec une certaine lenteur monotone bien que bien réaliste. Regardant derrière son casque de métallique aux nombreux pupilles rougeâtres, le jeune homme, son air hautain glaça littéralement la pièce. Finalement, d’une voix sans émotion, il annonça.


« Il est temps pour toi, de partir. Tu dois surement avoir des personnes qui seront content de ta promotion dans les rangs de Konoha No Kuni. Ce village qui renaitra de ses cendres comme le ferait le plus imminent des phénix sanguinolent. Je sais que tes actes ne seront nullement décevant et c’est pour cela que, tu es maintenant le Bras-Droit d’un Hokage qui apportera une ère nouvelle dans ce monde totalement maussade et dont les humains se perdent lentement dans la voie de la gloutonnerie ainsi de la luxure. Change le pauvre grain de sable qu’est la Planète Terre en une chose bien meilleur que maintenant. L’apocalypse n’est pas encore proche, profite-en pour montrer que la Volonté du Feu existe encore dans le village et par-dessus ses terres… Je te fais confiance Satoshi. »

. : Suite à venir. : .





Satoshi Hateru
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MessageSujet: Re: Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Icon_minitimeSam 27 Aoû 2011 - 12:05

Repartir gagnant

  • Ultime engagement, mes mots vous semblent trop fort pour si peu de chose n'est-ce pas ? Personnellement je les trouvaient allégremments et parfaitements utilisés. Ils prenaient une dimension tout à fait spectaculaire dans cette situation. Alliés ils laissaient entrevoir la fin, l'échéance et bien c'était ce que je ressentais en l'instant même pour être franc. L'incompréhension se tordant en moi comme un ver bourreau, j'épprouvais des difficultés à conscillier mes émotions. Il y avait encore de cela quelques minutes je nageais dans une excitation que je canalisais tant bien que mal et maintenant au beau milieu de ce renouveau, de ce magnifique changement, je sentais une sensation intense et ô combien désagréable d'acoir atteint l'échéance de quelque chose. La fin, le terminus se faisait sentir pourquoi ? Sa délicate effluve se faisait humer et s'émanait de mon corp comme une aura pourrait le faire. Etait-ce la l'effet de cette contrainte aui avait réduit mon enthousiasme à l'état d'interrogation ? Qui avait semé la confusion, une confusion qui de plus était fertile. Ma foi, la déduction se tenait, cette contrainte me rendait rétissant.

    Rétissant mais qu'importais dnas le fond. Je m'étais engager auprès de notre nouvel Hokage et j'allais me montrer en homme de parole comme à mon habitude. Il fallait savoir faire des concessions au cours de sa vie et je crois que selon moi c'était l'heure. Ma vie prenait un autre tournant je devais de la tenir d'une poigne de fer au pied. Je voulais continuer à la diriger, à réussir, à triompher, jusqu'à maintenant j'avais réussit la preuve en était bientôt dix-huit ans et j'étais déjà bras Droit de l'Hokage. Devais-je m'opposer à ce fabuleux destion ? Je ne pense pas et je ne voulais pas. La vie me souriait, j'allais briller, l'illustre clan Hateru s'éléverait encore une fois. Le prix à payer était cependant le fait de renoncer à la pudeur de mes pensées, de mes opinions. Intérieurement un vent inconnue de mélancolie soudaine s'élevait remuant le brouillard de mes sentiments. Tous cela était si perplexe qu'un homme tel que moi s'y était perdu. Je ne me voyais pas comme particulièrement différent des autres au contraire, c'était juste que moi je privilégié la raison aux sentiments et ainsi m'égarer en eux me troubler. Ce qui d'ailleurs m'amenait à penser qu'ils étaient plus puissants que je ne le pensait.

    Cette idée en tête je reportais mon regard sur cet Hokage de fer qui malgrés son aspect arrivait tout de même à parraître comme monotone c'était surprenant. Enfin j'avoue que je désuisais cela de sa posture en son fauteuil mais bref passons sur ce sujet. Il ne se passait pas longtemps entre l'instant où l'hokage s'était lever et celle où je m'étais reporter sur l'instant présent. Le sac de tête posé devant mo isur le bureau, je leurs faisais comme face une nouvelle fois. L'odeur que le sac dégageait ? J'y était tellement habitué que finalement je ne le sentais même plus. Aspiré par ce sac je sentit une main avec un calme olympien se poser sur mon épaule. C'était celle de l'Hokage, j'avais compris le message. Dans un mouvement rapide je me relevais donc de ce siège. Avant de me détourner du bureau je prit d'un geste sec le petit bouquin entre mes mains. Quand je me retournais vers l'homme il avait ouvert la porte. Manière distinguer de mettre quelqu'un dehors, 'l'ambiance" avait prit une toute autre face, maintenant gelé. D'une voix qui n'avait plus cet air presque sympathique il déclamait : « Il est temps pour toi, de partir. Tu dois surement avoir des personnes qui seront content de ta promotion dans les rangs de Konoha No Kuni. Ce village qui renaitra de ses cendres comme le ferait le plus imminent des phénix sanguinolent. Je sais que tes actes ne seront nullement décevant et c’est pour cela que, tu es maintenant le Bras-Droit d’un Hokage qui apportera une ère nouvelle dans ce monde totalement maussade et dont les humains se perdent lentement dans la voie de la gloutonnerie ainsi de la luxure. Change le pauvre grain de sable qu’est la Planète Terre en une chose bien meilleur que maintenant. L’apocalypse n’est pas encore proche, profite-en pour montrer que la Volonté du Feu existe encore dans le village et par-dessus ses terres… Je te fais confiance Satoshi. » D'une allure élégante en restant distante et respectueuse je vint à sa hauteur. Dans un geste emplis d'une fierté non dissimulé que je relevais ma manche laissant la amrque de mon clan apparraître au grand jour. Ce "tatouage" était bien plus à vraie dire mais qu'importais.- réfère toi à l'Histoire- Cette marque en plusd'être mon appartenance à mon clan avait un message codé sous forme d'une forme de pictogramme, plus que complexe elle était au touché il s'avérait être comme en 3D. Me remémorant cet instant durant lequel l'on m'avait graver mo ndestin dans la chair je dit d'une voix solennel en posant ma main sur marque : " J'agirais en conséquence maître Hokage, le clan Hateru vous servira à jamais."
    Une légère inclinaison et je passais l'encadrement de la porte. Je venais de vivre l'un des moments les plus important de ma vie.
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Hunk Moroshi
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MessageSujet: Re: Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Icon_minitimeDim 28 Aoû 2011 - 16:07




. : La fin de la survie. Enfin. : .

Lentement mais surement. La porte se referma derrière le jeune homme à la chevelure purement et simplement ébène. Enfin, maintenant, l’armure vivante était définitivement seule. Pour son plus grand plaisir totalement gargantuesque. Certes, cela était surement totalement égoïste de sa part mais que cela ne tienne. Tant pis. Si cette chose qu’était sa tenue métallique n’était nullement sur son dos, l’homme, le Dieu, le nouvel Hokage, le sixième du nom ne se serait surement lentement glisser contre la porte. Mais, malheureusement, l’adulte ne pouvait nullement le faire. Laissant son regard venir contre la pièce, un soupir arracha encore et encore les fines lèvres rosâtres de ce jeune homme. Alors que ses pas se développèrent toujours aussi lentement mais surement, Hunk Moroshi, le Shishidaime Hokage ainsi Tyran de la Province, titre donné par les villageois referma définitivement la longue vitre transparente et tira par conséquent les rideaux noirâtre, tirant peu à peu la pièce dans un tableau simplement mais terriblement ténébreux. Maintenant, une chose était sûre. Personne ne pouvait voir son visage. Son magnifique visage. Cela était une chose tout simplement gargantuesque réservé à une élite parmi les élites. Cela porter simplement le nom d’amis très proches ou encore bien de… Maitresse. Aussi. Cette espèce de chose démoniaque le tenant littéralement en laisse. Mais que cela ne tienne. Son esprit ne devait nullement venir contre cette personne, cela n’était nullement le temps. Secouant lentement mais surement la tête de gauche à droite, ses deux mains gantées se posèrent finalement contre son casque magnifiquement métallique. Finalement, l’homme ôta les attaches de son casque de métal et puis, par conséquent, l’anthropoïde blanchâtre ainsi que blafard laissa sa tête à l’air libre. Enfin. Son air fatigué eu raison de lui, et par conséquent, un bâillement arriva lentement contre sa bouche ornée de dents blanches.

Il avait un règne maintenant. Une raison de vivre ainsi que de continuer et de franchir les obstacles dans la vie. Pour être totalement exacte, il y avait deux raisons de vivre, la première était bien entendu le puissant et majestueux que l’homme à l’armure gargantuesque avait dans les paumes de ses mains. Comme la Planète Terre offerte aux Titans à la crinière simplement et magnifiquement argenté. L’adulte ne devait pas fléchir alors que son apogée tout simplement gargantuesque était maintenant présente dans son cœur noircit par le pouvoir, le contrôle ainsi que la guerre. Ce dernier change les hommes depuis des militaires, cela est une valeur sûre dont toutes personnes connaissent la cause. Mais pourtant, ici, nous n’en parlerons nullement. Cela est tout. Son village, sa métropole, son agglomération. Tout cela avait une place extrêmement importante dans son cœur malgré l’immense bataille qui s’était abattu contre lui. Certes, l’homme avait fait la traite envers son propre village. Une chose, un acte abject qui lui ouvrait littéralement les portes envers le pandémonium infernal ainsi que le septième cercle de l’Enfer. Mais pourtant, une fine ouverture de lumière lui disait le contraire. Une entrée par derrière du Paradis des Anges ainsi que des Archanges. Après tout, le Tyran faisait de Konoha No Kuni une créature d’une puissance totalement inimaginable. Un monstre de colère pouvant abattre les Kages d’un simple coup de patte, et détruire les Démons à queues, que cela soit le premier jusqu’au dernier avec un hurlement digne des plus grand dragons n’ayant nullement existé ici. L’homme avait fait de Konoha No Kuni une œuvre digne des plus grands. Mollement mais surement, le changement était maintenant présent dans le cœur de tous les hommes se trouvant dans Konoha, la somptueuse agglomération dont les plus grands ninjas ont naquit ici, effectivement.

Et bien entendu, comme déjà dit, il y avait une autre raison de vivre. Sa bien-aimée qu’il avait connu pendant une soirée dans une boite de nuit plutôt connu du village de Konoha No Kuni. D’ailleurs, le nouvel Hokage ne savait nullement si cette fameuse boite de nuit, cette bâtisse avait été détruite pendant la guerre opposant les deux villages gargantuesques. Mollement mais surement, l’homme ferma ses paupières blanchâtres. Ses paupières extrêmement fatigué. Une chose était bien présente et sûr dans son esprit. Le repos, l’anthropoïde en avait obligatoirement besoin, et, prendre une journée de repos ne serait nullement de refus. Après tout, seulement une après-midi. Aujourd’hui. Rien d’autre. Après, il reprendra son rythme normal. Laissant ses pensées venir, lentement, les derniers évènements défilèrent mollement mais surement dans son cerveau, son espèce de cervelle gargantuesque. Effectivement, « Hunk Moroshi » était une personnalité extrêmement intelligente malgré ses apparences assez : « Je m’en foutisme » de son visage. Mais, il était né comme cela. Malheureusement ou heureusement, cela lui était tout simplement égal. L’être humain avait fait ses preuves. Que cela soit auprès du village de Kiri No Kuni ou alors, au contraire de Konoha No Kuni. Son talent était bien présent. L’homme avait en sa possession trois affinités, choses assez rare dans le Monde. Montrant encore une fois sa puissance largement plus conséquente par rapport aux autres. Mollement mais surement, ses paupières se rouvrirent surement. Gargantuesque mais simplement, son armure s’avança vers son bureau d’un bois magnifiquement ébène. Dans un cliquetis métallique, son casque aux nombreux yeux. Neuf pour être totalement exact. Laissant son casque contre le bureau, son regard d’une beauté d’une civilisation perdue, émeraude. Oui, maintenant l’homme en était originalement sûr. Une journée de repos allait être magnifiquement de mise pour l’être humain contrôlant le village majestueux.

Le temps passa mollement mais surement dans le bureau alors que le jeune homme s’était posé dans son fauteuil d’une douce couleur marron, voire crème. Les heures avaient défilés à toute vitesse pour la population ainsi que pour l’Hokage, sixième du nom. Pour être totalement dans le vrai, son système interne concernant le sommeil s’était mis en vielle, endormant l’homme, l’être humain, le tyran, le monstre, le Dieu faisait originalement un somme, une sieste pour pouvoir reprendre des forces. Endormi, son expression neutre, froide et méchante n’était nullement présente et, l’homme paraissait largement plus humain. On pouvait presque le caractérisé de : « Gueule d’ange. ». Presque, effectivement, car, bien entendu il fallait faire abstraction de choses ignobles qu’il faisait chaque jour dans ce monde ninja en perdition. Le messie se réveilla définitivement après quelques heures de sieste bien entendu magnifiquement mérité. Se réveillant lentement mais surement, ses long bras métallique se levèrent vers le plafond noirâtre de son bureau. Le bureau de l’Hokage. Mollement mais surement, l’homme se releva péniblement de son fauteuil, ce dernier grinçant légèrement suite à son poids assez développé. La faute bien entendu suite à son armure métallique. Marchant d’un pas assez lent et trébuchant, l’homme résultant d’un démon méphistophélique attrapa d’une main tremblante son casque qu’il reposa avec une certaine difficulté sur sa boite crânienne. Lentement mais surement, le seul homme de la pièce se dirigea alors vers l’immense et gargantuesque baie vitrée, dont il tira définitivement les rideaux. De là, une légère gouttele de sueur perla longuement mais surement de son front maintenant encadré par son casque à l’aspect venant d’un autre siècle futuriste. Pourtant, il n’en était bien entendu rien. Aucune inquiétude envers tout cela. La nuit était tombée, comme la douce mort important lentement mais surement le mort devant mourir, surement…

Lentement mais surement, le Konohajins rouvrit pour la deuxième fois de la journée la vitre. La légère brise froide de la soirée arriva contre son corps, son enveloppe corporelle assez gargantuesque. Lentement mais surement, son regard émeraude se perdit encore et encore dans les prémisses d’une ville complétement détruit et en train d’être mollement reconstruit. Refermant finalement sa vitre et tirant immédiatement les rideaux, l’homme contrôlant d’une poigne de fer son village. Son unique travail qui était en train de finalement aboutir à une chose d’une beauté simplement olympienne. Lentement mais surement, l’homme leva les yeux vers les cieux. Le pigeonnier était un peu plus haut que son bureau. L’homme allait devoir monter quelques marches avant. Bien entendu, une lettre devait être écrite. Chose qu’il fut, attrapant rapidement une feuille de papier à lettre ainsi que sa plus magnifique plume de paon pour écrire, la structure de la lettre se forma. Dans cette dernière, l’homme confia les derrières nouvelles, son nouveau statut de Hokage, son village détruit ainsi que son manque de ne pas pouvoir sentir sa présence. Et, en dernier, d’une main légèrement tremblante, son désir de pouvoir faire fonder une famille avec elle. Depuis quelque temps, cette envie lui avait pris, impossible de savoir pourquoi. Regardant alors sa lettre, un sourire apparut et finalement, il la scella du sceau de l’Hokage. Comme cela, personne ne s’amuserait à lire cette lettre avant de la remettre à la jeune femme. Cela était une chose sûre pour lui. L’homme grimpant donc les nombreuses marches noirâtres, et finalement, accrocha la lettre au meilleur pigeon voyageur…

. : Fin. : .




Juka Kiyomizu
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MessageSujet: Re: Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Icon_minitimeMar 20 Mar 2012 - 17:15

Topic archivé.

Bien à vous,
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MessageSujet: Re: Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Une nouvelle ère, de nouvelles personnes. [Satoshi Hateru] |Privée| Icon_minitime


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