Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
Alors n'hésites pas à nous rejoindre, plusieurs villages t'attendent afin de livrer bataille ! L'esprit de loyauté t'attire, et tu souhaites appartenir à un village caché ? Ou bien la voie de la débauche et du crime te séduit plus que tout ? Dans tous les cas, tu es le seul maître de tes actions ici, et tes actes, qu'ils soient bons ou mauvais, auront une influence sur le Monde tout entier !
Tu pourras ainsi rentrer dans la famille NNr' et découvrir la folie des membres sur le forum ! ^^
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Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : S, niveau 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (476/1000) | Âge du personnage | : 18 ans
Sujet: Un combat sous la tutelle du passé. [Pv Henze] Jeu 25 Aoû 2011 - 21:13
InvitéInvité
Sujet: Re: Un combat sous la tutelle du passé. [Pv Henze] Lun 29 Aoû 2011 - 21:09
Errance, c’est un mot qui semble si bien définir la folie décadente qui semblait se tapir dans les flammes perverses qui rongeaient avec une sournoise avidité les bâtisses qui se dressaient tels des mémoriels à l’ancienne Konoha, et à la volonté d’une vie détruite et purifiée dans le feu de la guerre. Il est amusant de constater à quel point ce que l’homme cherche à construire durant tant de temps, des années durant qui semblent prendre la forme d’une éternité, peuvent être aussi aisément détruite en l’espace de quelques secondes ou minutes par la simple furie destructrice d’un jugement impitoyable qui se répand tel l’enfer sur terre, engloutissant tout dans les bras décharnés du sombre roi gouvernant au royaume des trépassés. Au milieu de ces flammes de folies, je me sentais comme un prince au bal de la décadence, offrant mes bras à une silhouette enflammée imaginaire pour danser à ses côtés sur la place de la déchéance et de la folie, m’offrant comme digne cavalier de celle qui se prétend être l’abysse de la guerre elle-même. Ce genre de terrains était de ceux que j’appréciais le plus, car je voyais mon propre monde de terreur et de joie perverse s’y refléter, et enfin je me sentais un petit peu moins seul, car le monde lui-même devenait aussi fou que moi. Je me sentais comme libre et joyeux dans cet univers de chaos et de ruine où seuls les hurlements des victimes désignés pour ce massacre sans nom venaient pousser un chant victorien en chœur pour former l’orchestre de la damnation, une chanson de béatification qui résonnait à mes oreilles comme la plus belle des œuvres. Je dansais comme un fou furieux au milieu des ruines, laissant quelques flammes venir vers moi, puis m’éloignant d’elles sans cesse, comme dans un balais macabre, une danse maudite où seuls les âmes damnés pouvaient tendre la main à des partenaires invisibles et tout aussi maudit que l’esprit de ceux qui se laissaient aller à ce spectral spectacle. Cette guerre avait beau être pour la majorité de notre armée, et pour tout Konoha, un désastre sans nom, je voyais en cet évènement une belle aubaine de laisser la véritable nature humaine qui anime l’homme dans les ténèbres de son cœur, s’exprimer, et surtout une occasion d’enfin pouvoir combattre et tester dans une vraie bataille mes pouvoirs étranges qui font mon étrange et redoutée renommée au sein du village de Kiri. Mes propres créatures, les messagères des enfers se régalaient de ce carnage, et nombreux étaient les cadavres de ninjas qu’elles avaient laissés dans leur sillage après avoir allégrement démembré ou déchiqueté ceux-ci afin de s’en repaître, ne laissant dans leur sillage que des amas de chairs bouillonnant, des organes et autres membres traînant un peu de partout à présent dans les chemins et ruelles que nous avions empreintés. Une magnifique couleur rouge qui venait décorer le sol moribond de ce village afin de créer une toile ravissante et sanguinaire.
Les grognements doucereux de mes princesses accompagnaient les hurlements désincarnés qui s’élevaient par-ci par là à travers les zones plus ou moins proches du village, des explosions résonnaient comme des tambours glorieux, tandis que les voix hurlantes, elles, composaient un chœur redoutable et doux à la fois. En plein milieu de l’allée principale je tournais et virevoltait comme un dément, sous l’œil interloqué d’un ninja de Konoha qui s’était arrêté par là et regardait le fou que j’étais dansant comme un idiot au milieu du sang, des ruines et du feu, comme un fou bienheureux tout droit surgit des portes de l’enfer. Je saisissais le bras d’une de mes créatures, la forçant à danser avec moi, ses grognements d’incompréhension accompagnant nos pas sans suites et sans réelle chorégraphie, une danse d’aliénés qui semblaient se régaler au banquet de la dépravation. Finalement, le petit homme de Konoha finit par s’élancer vers nous au moment au moment ou je venais de passer mon bras dans celui de ma créature pour faire un tour, souriant comme un dément, je la propulsais vers l’homme, le grognement terrifiant de la démone déchirant le son du crépitement des flammes en sentant l’odeur de cette nouvelle proie qu’elle allait transformer en met de choix. Tandis que ma chère « fille » dévorait sa victime après l’avoir rapidement massacrée, j’avançais dans les ruines d’une maison de laquelle s’échappait une puissante odeur de viande carbonisée ainsi que de lourds relents de cendres qui obscurcissaient la vue. Je m’amusais à sauter de gravat en gravat afin de m’enfoncer un peu dans une sorte de corridor à moitié écroulé, laissant deviner sur les parties latérales des ouvertures qui devaient être celles des pièces adjacentes. Tout de même, si il y avait bien une chose qui me décevait, c’est que je n’avais pas réussis à trouvé un seul corps dans un état assez acceptable pour être emporté à Kiri afin qu’il puisse profiter à mes études… Il était bien dommage que la Mizukage ait osé proférer un ordre nous interdisant de faire du mal à ceux qui ne participaient pas à combat, car j’avais tantôt repéré un groupe de civils, des femelles qui auraient bien pu faire des sujets d’expériences très intéressants… Mais j’avais du à la place les escorter vers un lieu sur en attendant que des ninjas non combattants du camp ennemi les évacuent, si jamais elles survivaient jusque là. Dans cette maison-ci aussi, je ne trouvais rien, et c’est décu que je ressortais des décombres pour poser un regard sur ma diablesse de compagnie qui était vautrée sur le corps du jeune ninja. J’aurais peut être du la retenir et m’en occuper moi-même proprement, j’aurai au moins pu le ramener oui, mais c’était à présent trop tard, elle avait déjà la tête plongée dans ses entrailles, et de ce que je voyais il semblait encore en vie, ses bras remuant légèrement. Il savourait ses derniers instant dans une douleur monstrueuse, c’était la parfaite image de la vie elle-même, douleur et souffrance.
Je m’asseyais sur un pan de façade écroulé et laissait mon regard se perde dans le ciel, avant de m’étaler dos au sol. Je m’ennuyais, et cette guerre commençait à m’énerver, je ne trouvais rien à capturer, ni aucun adversaire un tant soit peu intéressant, toutes ces larves de Konoha étaient trop faibles pour m’offrir un duel vraiment amusant… je commençais alors rouler par terre en battant des poings dans la poussière en bramant comme un demeuré des « Meeeeeerdeuh ! ». La dévoreuse sursauta au son de ma voix, et s’approcha de moi en grognant de plus belle, le visage couvert de sang, et baissa sa tête vers moi afin de me renifler. Je m’arrêtais et reportais mon attention sur elle, arrachant un morceau de chaire flasque accroché à son nez. Je me relevais alors quand une seconde de mes petites chéries apparut sautant d’un toit tout proche, tenant entre ses crocs le bras de ce qui devait être une kunoichi, à en juger par le vernis à ongle noir que les ongles arboraient. Un craquement sonore ce fit alors retentir, des bruits de pas. Etait-ce encore une de ces vermines incapables, ou un des idiots qui portait le bandeau de Kiri et qui faisait partie de notre armée… J’en avais rien à faire et dans mon état, j’aurais été même capable de tuer un des notre rapidement pour rapporter sa dépouille dans mon laboratoire en prétextant l’avoir trouvé ainsi. Je n’eu guère le temps d’apercevoir celui ou celle qui se tenait non loin qu’un immense dragon de feu, engloutissant dans son passage un pan de façade, fonça sur nous. Pris par surprise, mes guerrières eurent toutefois le temps de sauter assez haut pour esquiver les flammes voraces, mais pour ma part je fus tout juste assez rapide pour éviter de voir mon point vital engloutit dans l’attaque pour ne me faire happer que le bras gauche. La douleur qui s’en suivit était forte, mais je ne n’y prêtais guère attention, les Youma étant depuis trop longtemps habitués à ceci pour vraiment craindre la souffrance. Lorsque le dragon enflammé disparut derrière moi en faisant s’écrouler la bâtisse que je venais de fouiller je m’avançais de quelques pas sans prêter attention à mon bras complètement carbonisé qui pendait lamentablement à ma gauche, dégageant une affreuse odeur de viande calcinée. Un sourire de fou déchira mon visage, je sentais des pulsions de folie et de meurtres monter en moi tandis qu’une voix dans mon esprit, celle de mon partenaire tentait de me calmer, mais je n’arrivais plus vraiment à l’attendre. Quand j’étais dans ce genre de transe, plus rien ne pouvait m’arrêter, j’étais un être fou et sadique qui ne trouvait plaisir que dans l’exaltation de sa déchéance profonde. Mon démon allié qui séjournait dans mon esprit ne put ainsi malgré ses protestations m’atteindre, et je m’apprêtais à faire vivre un pur cauchemar à ce petit ninja qui avait osé abîmer ma belle tunique avec son attaque Katon. Une de mes princesses s’approcha alors de moi, émettant un profond grognement d’appétit, reniflant avec frénésie en face d’elle. Partageant une sorte de lien mental avec elles, cette odeur qu’elle ressentait me parvint aussi, et je reconnus alors le petit moucheron qui s’était échappé de Kiri après y avoir foutu le souk en blessant deux des notre, et en échappant de justesse à mes amours car j’eusse dut leur ordonner la retraite. Un rire profond s’échappa de ma gorge, et d’un mouvement sec de ma main valide, j’ordonnais à mes soldates d’aller ailleurs, et de participer avec les autres à la rechercher de l’Hokage et de son second afin de les éliminer. Je reportais ensuite mon attention sur cet homme, ce moins que rien, ce lâche qui avait fuit au plus vite face à mes princesses.
-Satoshi-kun je présume non ? Enchanté de te rencontrer petit lâche de Konoha. Tu es bien celui qui a couru le plus vite possible pour échapper à mes filles je présume ? Je suis donc le père de ces choses, celui qui les as crées. Je sais de par le lien que j’ai avec elles la terreur que tu as eus à les combattre… Comme c’est mignon. Mais comment vas-tu faire alors face à moi ? Je suis bien pire que les onze chasseuses réunis, et je possède les mêmes capacités qu’elles… Ou du moins c’est elles qui possèdent mes capacités. Je vais te faire souffrir comme jamais tu n’auras souffert, tu faire plonger dans une terreur telle que tu n’en as jamais connue, pour te faire payer le fait d’avoir osé abîmer ma belle tunique…
Je sortis de son fourreau un long katana que le forgeron de Kiri m’avait offert, et glissa la lame sous l’aisselle encore intacte de mon bras gauche et qui rattachait encore mon bras calciné au corps tout entier, puis d’un geste sec, coupait le membre, répandant un long filet de sang, mon sang, sur le sol. Puis, concentrant mon chakra dans la plaie, je refis pousser l’os, puis les muscles, nerfs et vaisseaux sanguins à grande vitesse, reconstituant un nouveau bras à la place de l’ancien. Je fis rapidement craquer mes nouveaux doigts ainsi que mon épaule avant de reporter mon attention sur le petit malotru :
-Es-tu prêt pour ta punition ? Yoton… Yougan no Tchitchi !
Je venais de composer en même temps que je parlais une brève série de signe puis crachais un long filet de lave qui se met à danser en l’air avant de s’agglutiner pour former une silhouette humaine de lave. La chose tourna la tête à droite, à gauche, puis baissa le regard pour poser ses yeux imaginaires sur son instrument de combat, son 5ème membre, son bélier, son tronc de guerre, son mat de navire, prêt à empaler allégrement son adversaire par un endroit proscrit. La créature fonça alors vers sa proie tandis que je composais une nouvelle série de signes, plus longue cette fois avant de murmurer « Doton, Ueru Kabutomushi ». Je m’accroupis à terre et posais mes mains sur le sol, laissant mon chakra envahir le sol environnant. La roche se mit alors à grouiller, et un essaim de scarabée de terre surgit alors sur une quinzaine de mètres, creusant le sol sur prêt de deux mètres… Des milliers de coléoptères venaient de surgir, et fonçaient en essaim de toute part vers le ninja de Konoha afin de dévorer sa chaire, l’arracher, ou le détruire de l’intérieur en le recouvrant complètement.