Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
Alors n'hésites pas à nous rejoindre, plusieurs villages t'attendent afin de livrer bataille ! L'esprit de loyauté t'attire, et tu souhaites appartenir à un village caché ? Ou bien la voie de la débauche et du crime te séduit plus que tout ? Dans tous les cas, tu es le seul maître de tes actions ici, et tes actes, qu'ils soient bons ou mauvais, auront une influence sur le Monde tout entier !
Tu pourras ainsi rentrer dans la famille NNr' et découvrir la folie des membres sur le forum ! ^^
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Sujet: Un retour non attendu... (PV : Akari) Dim 24 Avr 2011 - 11:06
J’avais entendu parler que le village de Kiri avait subi une petite crise, l’ancien Mzukage avait déserté le village de la brume pour partir quelque part, personne ne savait où il se trouvait mais ce qui m’intéressait à présent c’est qui été le prochain Mizukage. J’avais entendu des petites rumeurs qui parcouraient le monde shinobi mais une seule m’avait surpris : le prochain Mizukage serait une dénommée Akari Hasegawa ! Cette nouvelle me fit sourire lorsque j’avais entendu cette nouvelle dans un bar proche de la frontière du village de la brume. Alors elle était de Kiri cette jeune fille que j’avais combattue et humiliée dans tous le monde shinobi. Cette jeune fille avait pu être Mizukage, décidemment il engageait n’importe qui ou quoi ? A moins qu’elle n’ait fait d’énormes progrès elle n’avait rien d’extraordinaire mais bon il devait en avoir le cœur nette, il se rendait en ce moment même à Kiri pour voir ça de ces propres yeux mais il savait très bien que si c’était le cas Akari n’allait pas le laisser repartir indemne, elle avait je pense toujours une rage contre moi. Je continuais donc ma marche tranquillement sous un soleil des plus réchauffant vers le village de la brume. Ce voyage allait être très amusant surtout lorsque Akari allait le revoir après quelques mois. J’en rigolais déjà, je voyais la tête de celle que j’avais humilié virer au rouge la transformation de visage qui passera du sentiments de bien être dans son village au sentiment de colère et de meurtre. Ça me faisait rire !! C’est alors qu’en marchant en rigolant je rencontrai un vieil homme, celui-ci me dit bonjour mais il ne finit pas sa phrase, il commença à me racontait l’histoire du village de Kiri, plus précisément celle des clans qui avait faillit détruire le village de la brume il a de cela quelques années.
En vérité, la situation dans le village était très froide et plutôt tendue. En réalité le village caché du brouillard été divisé en deux à cause d’une histoire de clan, il avait deux groupes : les clans qui se disaient normaux et les clans qui utilisaient des affinités élémentaires évoluées. Le moment qui fi basculé la situation du village de Kiri était lorsque les clans aux affinités élémentaires prirent de plus en plus le pouvoir sur la politique du village et ils devinrent très vite une grande force du village. Les différents autres clans ne voyaient pas la monter en puissance des autres d’un bon œil mais ils ne pouvaient rien faire car ils n’arrivaient pas à contrer les attaques des puissantes affinités évoluées lors des affrontements, ils s’inclinaient alors devant la puissance des gènes héréditaires. Le Sandaime Mizukage, à ce moment la aux raines du village était satisfait des nombreuses réussites des puissants clans aux gènes surpuissants lors des missions, voila pourquoi le Sandaime leur donna de plus en plus de mission. Cet acte fit monter encore et encore les clans héréditaires dans la hiérarchie du village. Au détriment des autres clans aussi puissant mais ne possédant pas des gènes surpuissants. Ce qui s’en suivit était un véritable carnage, les deux partie se livrèrent une lutte sans merci. Pour conter la puissance des gènes surpuissants, les autres formèrent donc l’escouade nommée les 7 épéistes de Kiri qui se composait d’un membre de chaque clan, le plus puissant de tous les clans était envoyé dans cette escouade. Malgré la puissance de cette escouade, elle n’arriva pas à faire chuter les clans aux gènes surpuissants. Les clans jaloux allèrent donc s’emparer du Bijuu Sanbi, écartant les membres aux gènes héréditaires du contrôle du Bijuu. Cependant ce plan était vain, les clans surpuissant prenaient petit à petit tous les pouvoirs dans le village de Kiri, ils régulaient aussi les autres clans et élièrent des responsables beaucoup plus mineures.
Les clans dis normaux, mis de côté de la politique du village, se soudèrent entre eux, les crises approchaient petit à petit, ils le savaient. Une énorme guerre civile se préparait au sein du système administratif du village de Kiri. Les clans dis normaux prenaient sur eux en attendant le jour où ils se soulèveraient et où ils reprendraient les rennes militaire et politique du village. Caché, leur alliance leur permettait de contrôler l’organisation de Kiri, il possédait Sanbi, il allait l’utiliser au bon moment pour en faire une arme de destruction massive. La situation était tout autre du coté des clans surpuissants, fier de leur avancée au sein du village ils se livrèrent plusieurs guerres froides en se faisant des coups bas ou encore des guerres civils entre eux. Ils enchainaient les prises de pouvoirs dans des points stratégiques de l’organisation du village caché de la brume. Voila ce que lui avait raconté le vieux qui venait apparemment du village de Kiri ou d’une contré proche. Je l’avais écoutait jusqu’au bous car c’était toujours bon de savoir le passé de la destination où on allait. Je saluai donc ce vieil homme avant de continuer ma route, c’est alors que j’arrivai devant les grandes portes du village de la brume, deux gardes me fixèrent bizarrement des lances aux mains, c’est alors qu’ils firent un pas vers moi, le premier me dit :
« Identifiez-vous tous de suite étranger ! »
A ce moment la je levai ma tête, mes yeux verts étaient froncés mais j’avais un petit sourire en regardant les gardes de Kiri, je ne m’arrêtais pas et continuais ma route vers Kiri, le deuxième garde lui prit ça comme une offense et se mit juste devant moi en pointant sa lance vers ma poitrine, cela me fis rire, je levai ma main et empoignai la partie faite de bois juste avant la lame, un courant lumineux traversa la lance et celle-ci partit en poussière, je saisis alors la gorge de celui qui avait voulut me tuer avant d’écraser son petit corps sur le sol, celui poussa un cris de douleur car je venais de lui déplacer de nombreuses vertèbres. Je me relavai alors et fixais l’autre garde, je lui dis alors :
« Je suis venu voir votre Mizukage, dépêches toi d’aller le chercher avant que j’y aille moi-même ! »
Le deuxième garde me regardait d’un air terrorisé, il prit donc juste après ces jambes à son coup et partit chercher le Mizukage, celui-ci n’allait pas tarder à arriver, je ma plaçais donc tout en haut des portes du village, c'est-à-dire en alignement direct avec le soleil et à environ une dizaine de mètres du sol. J’attendais le Mizukage, si jamais c’était Akari alors on allait bien s’amuser, enfin surtout moi, peut être bien qu’elle m’avait oublié ? Non impossible, je savais que ce n’était pas le cas. Je regardais au loin, la route qui traversais le village était bien car l’on pouvait voir l’autre bous du village, je sentais un chakra qui s’éveillait au loin, j’avais eut raison de venir. QUE LE SPECTALE COMMENCE !
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Sujet: Re: Un retour non attendu... (PV : Akari) Dim 24 Avr 2011 - 12:17
Que ne faut-il pas faire pour survivre en tant qu'île isolée. Non mais je vous jure. D'un côté, je bénis l'alliance que le village caché de la brume dispose avec le village caché des Nuages. Cela fait plusieurs semaines déjà et les récoltes parviennent à destination. Nous leur envoyons du poisson tandis qu'ils nous font parvenir des matières premières. La quatrième grande guerre est terminée. Ou presque et c'est la paix qui régie sur Kiri actuellement. Le reste reste des affaires internes. La situation du village n'est pas nouvelle, mais je tente de faire ce que je peux pour régler ses conflits. Le pire c'est que cela s'est aggravé depuis que je suis à la tête de Kiri en raison de ma faculté de contrôler un élément élémentaire évolué. Là-dessus, je peux dire merci papa... c'est lui qui m'a transmit cette faculté impressionnante de contrôler le Hyouton. Mais cela devait cesser, car cela pourrit l'avenir certain du village et même si tout semble calme, la guerre peut revenir à tout moment. A mes yeux, ce n'est vraiment pas le moment surtout que je devais trouver le moyen de me faire respecter par mes capacités plutôt que par obligation. La question, c'est comment dois-je m'y prendre ? Je suis jeune et aux yeux de beaucoup ma place n'est pas justifiée... Je dois donc justifier le rôle que le Conseil m'a confié. En même temps, je m'y attendais et ce n'est pas une surprise. Bien que les shinobi normaux m'ont acceptés sans broncher, ce n'est pas le cas des clans usant d'éléments évolués.
En tant que maître des Glaces, je dois asseoir mon autorité sur ce bureau qui fait à la fois si peur et à la fois jalouse. Mais je ne me considère pas comme un kage... Bien que j'ai le titre, je serais véritablement kage lorsque je serais parvenue à me faire respecter de tous... Pas avant... Un véritable chef doit savoir reconnaître son travail à travers son comportement... J'envie ma mère pour ça... A Suna, elle a été respectée quasiment tout de suite et on a toujours reconnu son travail ainsi que son intellect. C'est ce qui l'a différencié des autres Kazekage. Cependant, bien qu'elle soit ma mère, je ne sais pas si j'agirais de la même manière. Néanmoins, j'ai des projets pour le village qui resteront à germer dans ma tête pour le moment.
Assise sur la chaise du bureau se trouvant dans la plus haute tour du village, je lisais simplement des rapports sur les précédentes missions. Je devais les lire afin de pouvoir ordonner d'autres missions. Mais je forçais tous les clans à coopérer... c'est ainsi et pas autrement. Les équipes étaient fondées sur des membres de clan surpuissants comme ceux qui ne pouvaient pas évoluer vers quelque chose de plus dangereux. Beaucoup semblent avoir oublié que s'entretuer est la pire chose qui puisse arriver dans un village. Par ailleurs, j'ai dû en liquider un qui s'en est prit à un de ces coéquipiers. J'avais en quelque sorte montrer l'exemple pour les prochains et je ne fais pas de cadeaux... Soit ils coopèrent soient je les détruis un par un... Je ne leur laisse pas le choix. C'est aussi une des raisons pour laquelle les clans surpuissants n'acceptent pas que je sois en haut de la hiérarchie. Ils s'imaginent que je suis de leur côté alors que je suis neutre dans cette situation. Je ne permettrais pas une guerre civile dans mon village... Déjà que le passé de Kiri est assez sanglant, il est peut-être temps d'évoluer vers un stade basé sur le calme et la sécurité. Actuellement, il n'y a ni l'un ni l'autre. En tant que Mizukage, je devais trouver des solutions et c'est pour cette raison que j'ai bien l'intention de regrouper les différents chefs de clan afin de leur imposer mes décisions que cela ne leur plaisent ou non. C'est comme ça et pas autrement... Même si je sais que je risque d'en avoir pour des années. Mais je prendrais le temps nécessaire pour y parvenir même si je dois y sacrifier ma propre vie.
Je souris, car cette pensée me répercute vers ma mère décédée qui a donné sa vie pour protéger son village natal. Je suis née à Suna ,mais je n'ai pas vécu longtemps. J'ai quitté le soleil brûlant alors que j'avais à peine huit ans. Mais tout ceci appartient au passé. Terminant de lire l'un des derniers rapports, je le ferme avant de me mettre à bailler. J'étais seule dans ce bureau et il n'y avait même pas un bruit. Je sens que je vais aller chercher des pigeons voyageurs afin de me tenir compagnie, car honnêtement cela craint.
Me levant de mon siège, je le pousse vers l'arrière avec mes jambes et je m'écarte tout en m'étirant. Cela commence à devenir long de rester enfermé ici. Finalement, je me décide a abandonné mon bureau quelque temps afin de monter sur le toit arrondi de la tour du Mizukage. C'est depuis ces hauteurs que l'on peut observer une magnifique vue sur la totalité du village. Par ailleurs, la reconstruction est quasiment terminée et c'est plutôt un bon point. Fermant les yeux, je laisse le soleil et la brise marine me fouetter le visage. Détachant ma longue chevelure flamboyante, je laisse aussi mes cheveux profités du temps et du vent. Ils sont toujours attachés alors ils peuvent bien s'envoler de temps en temps. Alors que je pensais être seule, je ressens un chakra qui approche rapidement de la tour. Laissant mes yeux fermés, je savais que si cette personne voulait me voir, elle saurait me trouver. Depuis les hauteurs, je vois les marchands vendre leur produit ainsi que les commerces locaux qui font leur marché. Bref, tout semble repartir dans un bon sens... Mais je dois rester sur mes gardes. Rapidement, je suis rejoint par un homme ninja de Kiri mais celui-ci était essoufflé. Entendant son souffle, je me dirige vers les escaliers après avoir ouvert les yeux et j'attrape le ninja qui affichait un regard terrifié. Je le maintiens debout avant de le regarder avec un air inquiet. Que se passe-t-il dont ?
« - Mizukage-Sama ! » « - Du calme... Reprenez votre souffle calmement... » « - Un ... Un.. étranger... » « - Qui est-ce ? » « - Inconnu... au... bataillon... pour moi... » « - Doucement ! » « - Il... vous... cherche... » « - Que s'est-il passé ? » « - Il... il... il...a utilisé du Tai ... pour mettre un garde hors-service... » « - Très bien... Calmez-vous et allez chercher des ANBU afin qu'il se rendent aux portes. » « - Ok... »
Je l'avais maintenu debout le temps de la petite discussion. Une fois terminée, je l'aide à marcher afin qu'il récupère. De là, je finis par le poser par Terre lentement afin qu'il reprenne son souffle. Je le place contre quelque chose afin qu'il ne s'allonge pas. Je ne suis pas médecin, mais je ne pouvais pas laisser quelqu'un s'en prendre à un membre de mon village... A un des miens... Rapidement, je le regarde et je pense à prendre son pouls. Il est vraiment rapide et j'hoche la tête. Le regardant une dernière fois, je manifeste un sourire avant de prendre la route pour les portes du village caché de la Brume. Sautant de toit en toit, mes yeux envoutants observait en direction des portes. Je devais être vigilante pour la suite, car cela peut-être n'importe quoi... Surtout que des monstres se baladent un peu partout dans le monde ninja et bien que pour le moment tout semble calme du côté de Kiri, cela ne le restera pas éternellement. Plus je m'approchais des portes et plus ce chakra m'était familier... Je le connais aucun doute là-dessus. Et non, je ne l'ai pas oublié. En même temps, j'ai toujours eu une excellente mémoire. Dissimulant mon chakra, je finis par apparaitre sur les hauteurs des portes avant d'apercevoir au loin une silhouette que je connais. Manifestant un sourire, je disparais de ma position avant d'apparaître non loin de lui... Il a dû me repérer maintenant.
« - Tient tient... Un fantôme ? Je vois que les rumeurs vont relativement vite à traverser le monde tel que nous le connaissons... »
Elle n'est pas surprise de le revoir et encore moins aux portes de Kiri. Elle avait sa longue chevelure détaché et elle regarde Kyoshu avec ses yeux bleus. Elle n'a pas peur, mais elle sait ce qui risque de se passer. D'ailleurs, elle a bien envie qu'il sert d'exemple pour les prochains. Mais elle n'est pas du genre à massacrer sans raison. De plus, la brise faisait voler mes cheveux légèrement sur le côté. Je n'ai pas fait une entrée magistrale et ce n'était pas le but. Laissant mes yeux fixes sur lui, je me demandais ce qu'il venait faire ici... Même si j'ai ma petite idée sur la question... Seulement, beaucoup de choses ont changés depuis notre dernière rencontre. Laissant mes mains le long du corps, je ne portais même pas la tenue de Mizukage... En même temps, je ne l'aime pas cette tenue et en plus, elle est bien trop grande pour moi. Dans le bas de mon dos, on pouvait l'étui de ma gunblade repliée mais prête à être utilisée. C'est une arme qu'il n'avait jamais vu sur moi, mais qui me sert beaucoup. Restant aussi neutre qu'un poux, je l'avertis.
« - Tu es venu asseoir ton autorité sur ma défaite de notre dernière rencontre ? Saches que tu n'es pas le bienvenue à Kiri... »
Dernière édition par Akari Hasegawa le Mar 26 Avr 2011 - 19:42, édité 2 fois
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Sujet: Re: Un retour non attendu... (PV : Akari) Dim 24 Avr 2011 - 14:05
La rage… Un sentiment qui m’était bien entendu connus mais qui était présent surtout chez mes adversaires. Ce sentiment, celui qui peut signifier plusieurs choses… La première la rage de vaincre, cette rage là n’est pas vraiment mauvaise car elle nous pousse à dépasser nos limites pour arriver à nos fins. Cette rage est faite pour nous surpasser et pour vaincre plus fort que nous. Dans mon cas, j’avais utilisé ma rage de vaincre pour essayer de ne pas mourir lorsque j’étais esclave de ce paysan dans le pays du village de Kumo, j’avais beau essayé de plaider ma cause lorsque j’avais tué cet homme mais personne n’avait voulu m’écouter. J’avais donc dus me débrouiller seul mais malheureusement ma haine pour ce porc était trop grande. Lorsqu’il avait essayé de tuer mon compagnon le plus cher, mon corps n’avait pas résisté et j’avais dus l’exécuter pour protéger la vie de mon ami ainsi que la mienne. Je n’aurai pas fait cela, il aurait tué mon ami et il aurait surement fait la même chose avec moi. Dans le cas général, celui qui utilise la rage de vaincre peut s’il y met tout son cœur arriver à atteindre son but, cependant ce n’est pas quelque chose d’aisé car il faut avoir résisté toute sa vie, il faut avoir galérer depuis son premier souffle pour que tous le sens de l’expression « rage de vaincre » arrive à nous dire quelque chose. Ceux qui ont utilisés ce concept sont devenus de grand homme car ils se sont battus toute leur vie contre des maux et ils ont réussis à survivre malgré que la nature était contre eux. Ce genre de personne est celle à qui l’on doit le plus de respect, ils n’ont pas eut une vie facile mais ils continuent quoi qu’il arrive ils regarderont toujours devant eux, les yeux vers l’avant à regarder toujours plus loin.
La deuxième est la rage qu’une personne possède envers une autre personne, cet état est très vite observable car elle se traduit par un état affectif pouvant se manifester par une grande violence verbale ou physique, ou par un silence hargneux fait de colère, de ressentiment ou de haine, qui est généralement causé par un sentiment d'impuissance devant une situation frustrante. Voila ce que ressentait généralement mes adversaires après m’avoir rencontré, chacun ne me retrouvait par dans son cœur mais plutôt ils rêvaient d’avoir ma tête sur la lame de leur épée. Malheureusement pour le moment aucun ne m’avait tranché la tête, bien sur j’avais perdu un combat, un seul mais j’avais perdu contre quelqu’un d’admirable, cependant à ce moment la j’étais encore faible mais aujourd’hui c’était différent, j’avais acquis beaucoup d’expérience et j’avais mis en place des techniques interdites que j’utiliserai à présent quelque soit la situation. Dans mon cas l’exemple le plus évident que j’avais vu de mes propres yeux est la rage que possédait Akari Hasegawa envers moi, il faut dire aussi que je n’avais pas fait dans la dentelle après l’avoir combattu, j’avais fais circuler l’information dans tous le monde Shinobi, il m’a fallait deux mois pour que le jeune femme soit connu par tous le monde comme étant la perdante contre un petit déserteur. Elle avait après cela essayer de nombreuses choses mais aucunes ne porta ces fruits, grâce à moi elle avait un peu plus galérer dans la vie, cette petite avait été beaucoup trop aidé par sa mère, Kazekage du village de Suna. Il fallait qu’elle apprenne que sa mère n’était pas partout, malheureusement cette couveuse était morte quelque temps plus tard. C’était malheureux mais c’était comme ça, elle devait faire avec, vous me direz que je suis trop froid mais j’ai vu mon père tuer quelqu’un devant mes yeux et ma mère est partie lorsque j’étais tout petit alors la mort d’une personne proche je connais, malheureusement au point où j’en suis si mon frère Taika devait mourir demain j’aurais une haine féroce envers celui qui l’aurait exécuter mais surtout contre ce monde pourri jusqu’à la moelle, voila ce qu’était mon nindo : protéger mon petit frère et faire de ce monde un monde sans mort idiote !
Pour cela je devais devenir quelqu’un de puissant pour que je puisse tenir tête à n’importe qui, même le plus puissant homme du monde, je devrais être capable de lui faire mordre la poussière. Mais pour le moment j’étais venu voir ma vieille « amie » Akari Hasegawa. J’avais mis en place une bonne mise en scène pour la faire sortir de son trou, j’avais la flemme de la chercher alors en mettant au sol un de ces hommes il y avait 100% de chance de voir sa petite tête sortir et à présent la voici, elle était devant moi. Elle n’avait pas vraiment changée j’entendis ça voie en contrebas :
« - Tient tient... Un fantôme ? Je vois que les rumeurs vont relativement vite à traverser le monde tel que nous le connaissons... »
Elle apparut d’un seul coup juste devant lui, ces yeux bleus me fixaient avec insistance mais son visage ne montrait aucune surprise. Je continuais d’afficher un petit sourire, décidemment elle n’avait pas changé. Je me remémorais sa tête deux ans plus tôt et je la comparer à ce beau physique qui se trouvait devant moi. Du haut de ses un mètre soixante dix, elle marchait droitement. Visage arrondi, on peut la prendre pour une enfant mais c'est loin du compte. Elle à passer le stade d'être une gamine même si il lui arrive de jouer. Elle à une vision du monde très différente que lorsqu'elle était plus jeune. Elle pensait vivre dans le parfait des mondes mais la mort de ces parents lui ont fait réaliser quelques années après que c'était un monde de survie et que pour survivre, il fallait se battre. Cheveux courts rouge, elle ne peut pas les attacher. De nature, elle aime rester élégante au niveau vestimentaire. Elle n'est pas quelqu'un qui mange beaucoup, elle mange ce qu'il faut et lorsqu'elle à le temps. Être ninja n'est pas simple... Au niveau des autres parties du corps, elle commence à avoir des rondeurs naturelles. Et plus, elle grandit et plus elle ressemble à sa mère. Elle n'est pas grosse mais elle est assez forte au niveau des épaules. Sa peau est naturellement blanche et celle-ci bronze beaucoup. Sur son visage, on peut voir des yeux de couleur tournant au alentour du vert clair. Ses sourcils sont fins et elle n'éprouve pas le besoin de les raser ou même les épiler. Sa bouche est assez fine mais elle ne s'en sert que pour parler, du moins pour le moment. De couleur rouge-rosé, celle-ci fait contraste avec sa couleur de peau claire. Très simple au niveau de la langue, elle parle le plus souvent le langage familier. Mais elle adapte son langage. Son intelligence est redoutable et sa facilité de tromper l'ennemi est des plus déstabilisantes. Voila ce qui est dangereux chez cette jeune femme. Décidemment on dirait que l’on avait l’ancienne Kazekage devant nous, c’est alors qu’avant que je puisse faire la moindre remarque elle répliqua :
« - Tu es venu assoir ton autorité sur ma défaite de notre dernière rencontre ? Saches que tu n'es pas le bienvenue à Kiri... »
Elle n’avait pas du tous changer dans son petit crâne, elle éprouvait toujours la même rage et cela me faisait rire voila pourquoi j’éclatai de rire devant l’air sérieux qu’avait prit la jeune femme. Je me tenais le ventre quelque peu car je commençais à en avoir mal. C’est alors que je repris mes esprit et redevint normal mais toujours avec les sourcils froncés, mes yeux couleur émeraude et mon petit sourire narquois. Je regardais ces yeux ‘d’un bleu éclatant avant de dire :
« Je suis venu pour en avoir le cœur net, alors c’est bien toi le nouveau Mizukage je te félicite, cependant j’ai connu tes prédécesseurs, l’ancien et encore celui d’avant, ces deux la étaient de puissants combattants mais toi je me demande ce que les anciens de ce village ont pu te trouver, à part le nom des Hasegawa… »
A ce moment la je me dématérialisais à l’aide de ma technique et je réapparus juste devant Akari, je lui pris le menton avant de lui dire avec le sourire nos yeux étaient à quelques centimètres :
« Pour ce qui est de notre combat et de ta défaite saches que j’ai déjà fait ce que j’avais à faire. Je ne suis pas le bienvenu à Kiri ? Voyons entre bon ami tu pourrais au moins m’offrir un petit verre ? »
A ce moment la je me dématérialisais à nouveau pour réapparaitre au bar que se trouvait juste en contre bas, c’était un des premiers magasins qui se trouait en entrant dans le village, je fis signe à ma vieille ami de venir, j’avais déjà commandé deux limonades, la jeune fille n’aimait pas encore le saké. J’étais assis sur un petit siège en cuir et j’attendais la Mizukage, pas mal de monde fréquentait apparemment cet établissement, je savais donc que je pouvais m’amuser en tout tranquillité, je n’aurai rien à craindre de la Mizukage. C’est alors que je vis deux jeune femmes assez bien habillé, c’est alors que je leur demandai si elles voulaient s’installer à ma table, je fis un regard des plus charmeur et bien sur elles y succombèrent, j’entamait donc une petite conversation entre mes deux jeunes femmes mes bras autour de leur coup, je savais que cette plaisanterie n’allait pas durée longtemps car Akari détestait qu’on la fasse tourner en bourrique. Je m’attendais au pire mais toujours avec le sourire.
Dernière édition par Kyoshu Hikari le Lun 25 Avr 2011 - 9:27, édité 1 fois
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Sujet: Re: Un retour non attendu... (PV : Akari) Dim 24 Avr 2011 - 23:41
De la haine ? Voilà longtemps que j'ai dépassé ce stade. Les seuls qui méritaient ma haine ne sont plus là pour la voir. Néanmoins, il y avait beaucoup de colère. J'ai perdu... Il faut dire que j'ai perdu plusieurs combats, mais ce n'était que du passé et puis personne ne peut être parfait. Je suis la première à reconnaître. Depuis notre dernière rencontre, beaucoup de choses avait changées... Trop même, mais je préfère me taire sur la question. Debout non loin de lui, je me prête à intervenir s'il dépasse les bornes. Déjà qu'il s'estime heureux que j'ai bougé mes fesses depuis mon bureau. Il faut dire que l'appel fut plus que tentant. Des heures dans ce maudit bureau et dans le silence... Voilà de quoi devenir complètement dingue... Bien que ma mère fut nommé Kazekage, jamais je n'ai jamais compté sur ma mère pour survivre. Elle est décédée bien avant que j'entre dans la vie active en tant que ninja. Et d'ailleurs, je n'aurais jamais voulu que cela se fasse. Non pas par honte, mais plutôt par envie de montrer que je peux me débrouiller seule face à tous ces machos qui croient que parce qu'ils ont un outil entre les jambes, ils sont meilleurs qu'un trou. La preuve en est là... C'est moi qui suis Mizukage et pas un de ses machos aux grands airs. Il est vrai que j'ai perdu, mais je ne suis pas invincible pour autant... Et puis d'ailleurs, ce n'est pas parce que je suis Mizukage que je suis invincible... Personne n'est invincible et on a tous des faiblesses... J'en ai et je sais où elles sont... Pourtant, je ne les mets pas de côté et dans mes entraînements, j'essaye de toujours transformer ses faiblesses en force ou en quelque chose qui ne peut me nuire. Mais alors autant dire que cela est véritablement impossible.
Observant mon vieil ami, je n'étais guère surpris de sa présence. A croire même qu'il ne sera pas le seul à venir me narguer dans mon propre village. Je vis son sourire et je reste de marbre. Il est vrai qu'en deux ans, les gens changent. Laissant mes yeux le fixé, je reste attentive à ces faits et gestes. Le code de déontologie voudrait que je m'en débarrasse, mais je préfère mettre le village à l'abri lorsque cela arrivera. Puis j'avais parlé de manière sérieuse mais celui-ci se met à rire. J'arque un sourcil puis deux... Tient, tient ... Il rit maintenant ? Étrange comme réaction... Je garde les sourcils arqués tandis qu'il se calme. Je ne suis pas particulièrement haineuse, mais je n'accueille pas les déserteurs à bras ouverts comme le dit l'expression. Il est temps que les rangs de Kiri se referment et forment ce qu'ils ont de meilleurs. Ce sont les décisions qui sont miennes concernant ce village et personne ne viendra me contrecarrer. Enfin, je ne veux pas non plus mettre le village à feu et à sang. Ce n'est pas mon rôle de détruire Kiri... Je dois plutôt veiller sur lui et forger un avenir. Après s'être calmé, il s'adresse à moi comme autrefois. Il vient me féliciter pour le poste de Mizukage... Voilà qui est encore plus étrange... Il n'a pas fini de me surprendre. Puis il se demande ce qui a poussé le conseil à me nommer à ce poste hormis mon nom de famille. Haussant les épaules et levant les yeux au ciel, je monte presque que je me fiche de son discours. C'est alors qu'il apparait à quelques centimètres de mon visage et il attrape mon menton. De manière instinctive, je lui attrape la main en le regardant droit dans les yeux.
« - Bas les pattes... »
Ce ton était assez grave et j'étais très sérieuse. Je le lâche... Un verre... Bah voyons et puis quoi encore ? Comme cela ne lui suffisait pas de me narguer voilà maintenant qu'il s'invite dans le village. Non mais je rêve là. Puis il se dématérialise pour apparaître plus bas. Bah tient. Je remarque son signe. Au début, je reste là où je suis et j'attends mes ANBU... Que dois-je faire ? La déontologie voudrait que je le chasse de là et que je le tue sans attendre ... Enfin, que m'arrive-t-il soudainement ? Je suis Kage, merde ! Si je veux garder ce village, je ne peux pas hésiter. Fermant les yeux quelques instants, je pense à quelque chose pour me décider. Finalement, en moins de deux, je me suis décidée. Sautant depuis les portes, je finis par rejoindre là où il 'est rendu. Entrant dans la pièce, je le recherche des yeux avant de le trouver assit à une table avec deux filles qui semblaient lui plaire. Et bien, c'est gratifiant de savoir qu'un déserteur et ennemi aime les filles de mon village. Avançant vers lui, je regarde les filles et je leur fais signe de dégager. Il est hors de question qu'il en fasse de trop. Lançant une grosse pièce au barman, je lui commande un saké, ma boisson favorite. Lorsque j'ai besoin de réfléchir, l'intensité de son alcool me permet d'y voir plus clair. Le regardant de nouveau, je reste debout.
« - Tu t'amuses ? »
Je resterais debout, car je ne veux pas qu'il traine trop longtemps ici. Il n'a pas sa place. Par ailleurs, il était déjà observé par des ninjas placés sous mes ordres. Cependant, je les regarde rapidement et ils tournent la tête pour l'ignorer. Le respect des rangs commence à se faire sentir à Kiri. Il serait peut-être temps... Puis je garde cet air sérieux en lui disant simplement. Je me dis que si je lui dis de sortir il ne le fera pas. Que faire ? Bon allez, après tout, il ne fait rien de mal... Soupirant, je lève les yeux au ciel avant de m'assoir à ces côtés. Je vois le serveur qui s'approche avec nos commandes. Enfin, surtout la mienne. J'aime beaucoup le saké et elle me permet d'y voir plus clair quand tout ne tourne pas rond. Je prends le tout petit récipient qui contenant le liquide et je le bois d'une traite. Non, habituellement, je ne bois pas mais là... Tout de même...
« - Dis-moi... Que vient-tu faire ici ? Je doute que tu te sois réellement déplacé pour vérifier une rumeur... »
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Sujet: Re: Un retour non attendu... (PV : Akari) Mar 26 Avr 2011 - 16:02
Le village de Kiri, cet endroit regorgeait de belle fille à l’allure gracieuse, ces filles qui portaient des kimono approprié suivant la saison, plus il faisait beau et plus les couleurs sur les kimono étaient vivent. Voila comment l’on pouvait déceler une humeur soir agréable ou soit énervé d’une personne à l’agent féminine. J’en avais rencontré plusieurs il y a de cela quelques mois, je savais très bien que je ne faisais pas fuir les jeunes femmes loin de la, je le savais et elles le savaient. La dernière en piste était Mirajane, une serveuse des plus sexy qui se trouvait au pays du feu, c’était lorsque j’étais allé visiter le pays du feu et j’étais tombé dans un bar à l’intérieur du village de Konoha. J’avais rencontre cette jeune femme quand elle me servit un verre, bien entendus je n’allais pas lui dire non donc je lui sourire en le regardant de mes yeux verts et je pris le verre avec joie. Quelques minutes après c’était partie nous faisions ce que nous avions à faire, malheureusement j’avais beau être un jolie cœur au près des femmes jamais je ne pouvais leur dire que nos histoire n’allait durée qu’un nuit ou deux car après m’être amuser je devais reprendre la route. Je possédais de nombreuse conquête à mon actif, cependant une seule m’avait donné plus de mal, cette femme Akari Hasegawa, avant de la combattre et qu’un cycle de haine s’établisse entre nous deux je le trouvais charmante mais à présent c’est pour moi quelqu’un avec qui je peux rigoler, je peux la faire tourner en bourrique et malheureusement pour elle j’adore ça. C’est pour ça que j’étais venu au village de Kiri, j’avais hâte de la revoir pour rigoler et regarder son visage devenir de plus en plus rouge.
J’avais commencé mon manège par discuter avec elle, je l’avais même touché pour qu’elle prenne un air des plus sérieux alors que je gardais le sourire. J’avais même mis les pieds dans son village pour lui montrer que rien ne m’arrêtait. Je buvais donc avec deux femmes que j’avais invitées. Cependant lorsqu’Akari mit enfin les pieds dans le bar elle fit dégager ces deux demoiselles et je retrouvai seul sur mon sofa. Akari prit ensuite une commande, du fameux saké, celui qu’elle adorait tant, apparemment elle aimait bien se plomber la tête pour pouvoir y voir plus clair dans ces idées. A ce moment la elle me dit :
« - Dis-moi... Que viens-tu faire ici ? Je doute que tu te sois réellement déplacé pour vérifier une rumeur... »
Je regardais le regard bleu et sérieux qu’avait prit Akari. Elle venait de prendre encore un peu de saké et malgré son effort pour garder l’air sérieux je voyais sur ces pommettes des petites auréoles rouges. J’éclatais alors de rire en voyant cela. Décidemment cette jeune femme m’étonnera toujours. Une fois calmé je repris mon air habituel avant de commander encore une fois deux sakés, comme cela je pourrai boire en compagnie d’Akari Hasegawe, la Mizukage du village de Kiri. J’attendis donc en regardant les yeux bleu de mon amie ma commande. Une fois que le serveur posa son plateau sur notre table, je me relevai un peu pour prendre mon verre avant de faire un petit signe en direction d’Akari pour lui dire : à la tienne ! Je bus donc la boisson d’une traite, je commençais moi-même à sentir l’alcool me monter un peu à la tête mais bon j’avais toujours les idées claires. C’est ensuite que je répondis à Akari avec mon air sérieux, sans sourire :
« Pour te dire la vérité je suis venu voir comment tu gerais le village de Kiri mais je voie que c'est bien, voila ta récompense... »
Lors de ma dernière phrase j’eus à nouveau un petit sourire car tous les deux nous savions que l’ordre et moi cela faisaient deux. C'est alors que je disparus du canapé pour réapparaître juste devant la tête de la jeune femme, je déposa un baiser sur ses lèvres douces avant de disparation et revenir sur le canapé. Décidemment cette jeune femme était à croquer, ces yeux bleus et ces cheveux qui fondaient vers le roux. Elle avait tous pour me plaire mais malheureusement elle était trop susceptible, cependant je pourrai faire une exception mais bon ça ne serait pas correcte pour le village de Kiri, vous me direz je me fiche complètement de la morale. Après tous dépend ce qui suit.
Hrp : Voila vraiment désolé pour ce post des plus ridicules mais je ne sais pas ce qui m’arrive je suis en panne sèche. ><
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Sujet: Re: Un retour non attendu... (PV : Akari) Ven 29 Avr 2011 - 13:03
Je n'aime pas que l'on me fasse tourner en bourrique. Mais je peux être patiente. Seulement, là... C'était une autre paire de manche. Cet homme était celui qui s'était vanté de m'avoir battue alors que je n'étais que Juunnin. Cela remonte à il y a deux ans maintenant... Je venais de découvrir que je pouvais contrôler la glace et je m'étais battue pour parvenir à mon niveau. Après je ne peux vraiment pas répondre à la question qu'il m'avait posé concernant mon accession au poste de Mizukage... Et puis d'ailleurs, cela ne le regarde pas du tout... Depuis quand un roturier comme lui s'intéresse à mes affaires ? Il ne m'intéresse pas et il ne figure pas parmi ma liste d'ami. Et à mon avis, il n'en fera jamais parti... Assise à ses côtés, je reste tout même méfiante. Je dois m'attendre à toutes les possibilités venant de lui.
J'avais bu mon petit verre de saké d'une traite et je garde les yeux fermés. J'attendais que l'alcool me monte au nez comme le dit l'expression. Seulement, je suis habituée à boire cet alcool relativement fort. Et j'ai commencé avec les amis à Konoha. Tous me disait que le saké était une boisson pour les hommes. Je ne suis pas un homme et pourtant, je bois ça comme de l'eau lorsque cela me prend. Mais je sais m'arrêter... Généralement, quatre verres et j'arrête. Je suis toujours pompette après ces quatre fameux verre. Mais en service, je bois très très peu. Enfin, je ne peux plus vraiment parler de service vu que je suis à la tête de ce village. Je suis en train de tout revoir afin de rendre à son village sa gloire et sa terreur d’antan. Autant dire que tout le monde n'approuve pas ce que je fais mais j'estime que cela devient une nécessité et plus que flagrante. J'avais pris de sacrées décisions et je les assume mais ce village n'est pas connu pour sa gentillesse. Bien au contraire... Il est temps que ce village reprenne son statut de village sanglant.
Mais ce n'est qu'un détail actuellement. Parce qu'avant d'en arriver là, je dois régler des conflits qui frappent le village de plein fouet. Cela concerne cette stupide guerre entre clans. Je ne sais pas vraiment calmée tout le monde... Mais le mal est déjà là et pour le déloger... Il faut en avoir le souffle coupé... Enfin, je finirais bien par trouver un moyen de régler ce problème le moment venu. Puis après, je lui avais poser une question. J'ai croisé son regard et je savais très bien ce qu'il signifiait. Mais moi, je venais à me demander si je devais l'aider ou pas ? A vrai dire, je n'ai pas envie de l'aider... Remplissant une nouvelle fois son petit récipient et je remplis celui de mon « invité ». Disons qu'il s'est auto-invité... Ce serait le terme un peu plus exact... Enfin, je l'ai à l’œil.
« - Heu... Menteur... »
Ce ton était assez détendue. Je semble plus détendue après un verre. Cependant, j'étais vigilante après tout. Il est vrai que je suis plus aimable mais ce n'est pas mon but... Vraiment pas... Regardant le fond, je soupire avant d'avoir les idées clairs. Ce n'est qu'une excuse bidon et selon moi, il cache quelque chose. C'est alors qu'il disparait pour apparaître devant mon visage et il pose ses lèvres sur les miens. Voilà de quoi de mettre dans un drôle d'état. J'étais surprise au point d'avoir du mal à remettre pied à Terre. Il m'a fallu quelques secondes pour émerger de mon air surprise. Mais rapidement, je lui assène un bon coup de poing. Après quoi, je frappe mes mains avec l'air de me débarrasser de la poussière. Je ne suis pas vexée mais je ne supporte pas ça. Et puis, je vais passer pour quoi moi après. Qu'il s'invite cela passe mais ça, non. Je ne suis pas sa propriété. Attrapant mon second verre, je le bois aussi d'une traite. Mais j'allais devoir me calmer. Puis je secoue ma tête afin de redescendre sur terre. Autant dire qu'il est culotté celui là...
« - Va raconter tes bobards ailleurs... »
Je n'étais pas contente mais je n'en avais pas la tête rouge comme une tomate non plus. J'arrive encore me contrôler. Je n'en serais pas encore là... C'est vrai qu'il y a deux ans, j'avais tendance à me laisser emporter mais j'ai appris à me contrôler grâce à des ANBU qui m'ont aidé à progresser. Surtout qu'à l'époque, je visais de rentrer chez eux mais maintenant, une autre voie s'est ouverte lorsque j'ai pris la tête de ce village qui a de nouveau personne un Mizukage. Je devais me calmer un peu pour reprendre une discussion simple avec celui qui me fait tourner en rond.
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Sujet: Re: Un retour non attendu... (PV : Akari) Ven 29 Avr 2011 - 22:24
Aussi longtemps qu’elle se souvienne, Arthuria avait toujours été la gratte papier du trio que formait ses sœurs et elle. Lily dessinait des fleurs, lapins et autre broutilles de son monde rose sur les rapports de mission, tandis que Milena décrivait avec le plus de fidélité possible les massacres dont elle était l’autrice chevronnée. Il lui arrivait parfois même de joindre a son rapport un organe qu’elle aurait ramenée en souvenir. Ne pouvant acceptée de telles balivernes dans les rapports de mission qui les suivraient toute leur vie, notre aristocrate s’était portée garante pour correctement les remplir de sa fine écriture italique. Couchant les lettre sur la feuille de rapport avec une minutie proche de l’exagération, ils étaient tous proche de l’appellation œuvre d’art. A dire vrai, la junin du village de la brume ne se comprenait pas vraiment ; pourquoi faire des missions qui vont profitées à un village que l’on veut éliminer ? Pourquoi se démené et sué sang et eau alors qu’elle s’était jurée de le mener a sa perte ? S’était-elle tout simplement attachée a la vie qu’elle menait dans le village de la brume ? Il était vrai que depuis que notre blonde aux yeux d’émeraudes était respectée dans ce village ; chacune des trois y trouvait son partage. Elle n’avait pas à se plaindre de la paye des missions qui était pour le moins acceptable, et sa situation sociale était assez élevée dans la hiérarchie… elle connaissait assez bien la nouvelle kage, et le régime que cette dernière imposait au village était intelligemment géré. Au point ou elle lui en avait tirée secrètement son chapeau, dans cette situation, que demander de plus ?
Quittant sa position assise sur les talons, l’aristocrate se leva et s’étira quelques instants (étonnamment avec classe) faisant craquer les vertèbres de sa colonne vertébrale avant de récupérer les documents qu’elle avait remplit avec une précision divine. Cette dernière passa rapidement sa robe bleue marine par-dessus la petite robe blanche qui couvrait ses sous-vêtements qui eux même protégeaient sa nudité. Matérialisant instinctivement son armure par-dessus, elle quitta son appartement dans un état impécable ; chose qui était totalement inversée lorsque Lily contrôlait leurs faits et gestes.
Traversant rapidement la ville, passant devant la plus part des marchant qu’elle connaissait histoire de garder une certaine connaissance des articles en ventes, seul un livre qui était en faite la suite d’une série qu’elle aimait lire avait attiré son attention et par la même occasion allégé son parte monnaie. Se rendant sans détours au palais impérial du Mizukage (plutôt tape a l’œil comme nom… ou plutôt a l’oreille). Ce qu’elle y trouvât dépassât de loin ce qu’elle aurait put imaginée, l’excitation était a son comble ; tous parlait avec une certaine appréhension d’un homme qui aurait écrasé en un éclair l’un des ninjas chargé de la surveillance de l’entrée du village de la brume. Soulevant un sourcil face a cette information, la première chose qui lui vint a l’esprit, c’était d’envoyer les unités d’élites voir ce qu’il se passait. Et de laisser le tout couler, en cas de complication elle s’y serait rendue elle-même. Du moins si elle était le Kage… Secouant vigoureusement la tête de gauche à droite, elle arrêtât cette frénésie dans un sourire coupable. Voila qu’elle se prenait pour le plus puissant ninja du village de la brume, continuant simplement sa route jusqu'à son bureau, y frappa trois coups avant de rentrer les yeux fermés et la tête basse. Ouvrant l’un d’entre eux pour constater que le bureau était vide, elle allât poser son rapport sur la table du bureau, pour voir que ce dernier contenait la chemise des rapports, fermée sur la gauche. Souriant à nouveau, cette petite qu’elle avait minimisée semblait faire du bon travail. La chemise fermée de ce coté exprimait le faite qu’elle avait finit de lire les rapports de missions, qui plus est le bureau était en ordre… cette dernière venait de monter une marche dans son estime.
Quittant le bureau du kage, elle posa ses yeux sur le chapeau blanc et bleu de ce dernier avant d’en sortir. A peine eut-elle fermée la porte qu’un ninja la percuta de plein fouet, bien que celui-ci fondit en excuses, le regard froid et cruel qu’elle lui lançait suffirait à congeler les flammes ardentes d’un feu de camp.
- Que vaut une telle agitation dans les bureaux administratifs ? Petit impertinent… lançât cette dernière une main sur la crosse d’Excalibur à sa ceinture.
Ce dernier lui expliqua alors ce qui s’était passé aux portes, comme quoi un ninja refusant de décliner son identité avait rétamé un garde en l’écrasant au sol, causant de multiples fractures à la colonne de ce dernier, engendrant ainsi de nombreuses complications au sein de sa cage thoracique. D’après les médecins, une cote cassée sous l’impacte avait causée une perforation du poumon de ce dernier, et il serait actuellement entre la vie et la mort ; et il devait au plus vite porté son dossier médicale a la Kage pour que cette dernière confirme quelque chose en rapport avec l’assurance ou la paye de ce dernier, car il semblait avoir besoin d’une avance pour payer les frais. Un ninja qui visiblement était le second garde qui passait déscendanit les nombreux étages du palais, suant a grosses goûtes les informa que la mizukage était absente, cette dernière ayant été demandée par cet homme des plus singulier elle avait répondu à sa demande et était aux portes avec lui. Visiblement des ANBUS avaient aussi été dépêchés sur les lieux… Pour une raison qui lui échappa, elle prit le dossier médicale des mains du ninja et l’envoya aller en chercher un autre tandis qu’elle donnait comme mission au garde essoufflé de prendre dans son compte en banque pour payer l’opération du dit garde.
Quelques minutes après, l’ex Konojin aux cheveux arborant une couleur solaire sautait de toits en toits, usant par moment de l’idoujiba no jutsu, ce qui eut pour effet de considérablement lui raccourcir le chemin. Dès sont arrivée, elle se dirigeât vers une équipe d’ANBUS attendant patiemment que la situation dégénère pour intervenir.
- Alors… ? je vous écoute, pour qu’elle raison la tête de se mécréant ne met-elle pas encore apparut sur un plateau d’argent ? Demandât la saber aux ANBUS qui sursautèrent légèrement en entendant la personne qu’il leur adressait la parole.
Leurs excuse était le faite que la Mizukage en personne était entrée a la suite du dit homme dont elle reçut le signalement, visiblement ils buvaient ensemble, puisque depuis aucun bruits suspects n’avait été discerné depuis l’édifice. Cette gamine se permettait donc de rentrer dans ce genre de bâtiments… se dit en premier lieux l’aristocrate en pensant a l’impacte que ça allait avoir sur sa crédibilité pour les forces de sont village. Mais en plus de cela, un homme qui venait de blesser gravement un de ses subordonnés était dans le même édifice qu’elle et elle n’avait jusqu’alors rien tenté pour attenter a la vie de ce dernier. Même si l’on était pacifique de nature, il y avait tout de même une certaine marge a ne pas dépasser… Se servant a nouveau de la technique de déplacement par magnétisme, Arthuria entra tranquillement dans l’édifice, posant ses yeux mi-clos lançant des éclaires de froideurs sur le gérant du bar, elle tourna deux trois fois la tête a la recherche d’une chevelure flamboyante… mais elle regretta cet acte. Car lorsque les yeux verts émeraude de la jeune fille entrèrent en contacts avec cette couleur de cheveux si particulière qui la caractérisait, ce fut pour la voir embrasser ou se faire embrasser par l’homme dont on lui avait fait la description. Comment décrire ses sentiments a cet instant précis ? Ce fut comme si l’on lui versait un sceau de neige dans le dos, la personne qu’elle était sur le point de félicité il y avait de cela à peine quelque minute venait de briser ses espérances. Elle vit l’homme perdre ensuite tout consistance et retrouver à moins d’un mètre et demi en face de la Kage du village de la brume.
Fermant les yeux, marchant lentement vers eux en passant le pouce et l’indexe dans les commissures de ses yeux avec l’autre main a la hanche, c’est dans le dos de cette dernière qu’apparut une multitude de lames en tout genre ; semblant sortir d’un autre espace temps, cette dernière murmura en n’ouvrant que son œil droit, visant avec précision :
- Babylone’s gate…
Sur le coup, une vingtaines de lames quittèrent leur berceau à une vitesse fulgurante, empalant de part en part l’homme qui leur faisait face. Avec un peu de chance pour lui, s’il pouvait se matérialiser et se dématérialiser de la sorte pour pouvoir se déplacer, il devait donc avoir une faculté de défense fonctionnant dans le même sens. De toute façon pour l’heure cela ne rentrait pas dans ses préoccupations premières. Arrêtant sa marche silencieuse au près de la jeune fille responsable de village, c’est à peine si Arthuria inclina la tête pour voir la face de la demoiselle qu’elle avait intentionnellement évitée lors de son attaque précédente.
- Ainsi donc… c’est comme ça que tu compte gérer le village de Kiri gakure no sato ?...Akari… Lançât cette dernière avec une froideur qui devait certainement rivaliser avec le Hyoton de son interlocutrice. Dans ce cas dis moi… dis moi par qu’elle partie du village tu veux que je commence a destruction, car au point où l’on en ait, je préfère le détruire de mes mains, plutôt que de laisser aux mains d’une enfant pourrie gâtée sans aucunes notion du mot respect de soit ! Continuât cette dernière en lâchant sa hanche pour prendre à la gauche de son oreille, dans le mur de chakra toujours actif la tenant cette fois-ci en joue une épée dont la crosse était dorée. L’épée en elle-même était noire et parsemée d’inscriptions formant des bandes de luisant d’un rouge éclatant. Moi au moins lorsque j’attaquerais, je tuerais directement mes victimes, je ne jouerais pas avec leurs sentiments… lançât-elle en balançant le rapport médical du portier sous ses yeux bleus. Pendant que toi tu te permet avec une audace sans nom de « boire » du sake à ton age et surtout avec la place que tu occupe dans un pareil taudis, tu ose embrasser le premier venu, agresseur d’un membre de ton village se retrouvant a l’hôpital par la faute de ce dernier… comment vat-il réagir a ton avis ce garde en question ? en sachant que tu te serais adonnée a de tels divertissement avec son agresseur ? que pensera sa famille ? ses amis ? ses collègues et camarades d’armes ? De bouche a oreille, pour un baiser qui n’avait nullement sa place, qui plus ait dans un lieux parreil… ta réputation atteindra le fond… continuât d’acculée la junin sans même lui laisser le temps d’en placer une, dégageant de manière non contrôler son propre chakra qui semblait attisé par la colère et la déception, la déception dont on pouvait sentir la présence dans le discourt dans lequel elle s’était lancée. Je pensais que tu voulais me prouver que Kiri gakure méritait sa chance, et que tu ferais tout pour faire remonter ce village dont le blason a été terni par l’age… mais je vois que tu ne vas en faite que jeter ce même blason dans la boue et le piétiner sans tenir compte du nombre de vie comptant sur tes décisions sensées les menées dans le droit chemin, mais commence pense tu pouvoir gérer un village, et tenir entre tes mains la lourde responsabilité qu’est le poids de ces nombreuse vies humaines en buvant du sake ? boisson qui ne fera rien d’autre que te donner l’espace d’un instant des moment de clarté pour ensuite te tirer vers le fond tel un crocodile le ferait pour noyer sa proie… les trois silos composant l’étrange arme qu’elle avait en main s’étaient mis a tourné, chacun dans sa direction absorbant le chakra de la jeune fille pour petit a petit dégager de plus en plus de vent. Montrant qu’elle était prète a faire feu a tout moment. Il n’existe aucuns mots pour exprimer la profonde déception que je rensent a ton égard… Akari Sama fit-elle en appuyant sur cette marque de politesse jamais utilisée a son égard pour enfoncer d’avantage se parole dures et toujours aussi froides dans le crâne de notre Mizukage pour le moins inconsciente de l’impacte de la plus part de ses actes. Je n’ai malheureusement pas put la connaître, mais je suis sure que ta défunte mère a due se retourner dans sa tombe… dit moi si tu veux la rejoindre maintenant ou plus tard continuât cette dernière en dirigeant la « pointe » de son arme vers la kage, enfin pointe c’était beaucoup dire vue l’étrange forme de cet instrument qui tournait maintenant a une vitesse folle, faisant fuir les plus téméraires, resté pour voir la suite des évènements après qu'elle est attaquée avec la porte de babylone. Je pense que si tu continu sur cette voie, ta disparition sera pour le village de meilleur augure que de te laisser continuer de la sorte… Dire que je suis venue ici en m’inquiétant pour toi, qu’elle sotte j’ai pus être…
La laissant potassée tout ce qu’elle venait de lui jeter à la face sans faire preuve du tact dont elle était généralement emplie, Arthuria dirigeât le bout de son arme vers l’inconnu qui avait écouté jusqu’alors :
- Toi … qui es-tu ? et qu’elle est cette présence familière que je sens provenir de ton corps. Fit-elle en le fixant avec ses yeux tour mis-cols, il était assez étrange de parler avec une personne dont le crâne était sensé être fendu par une hache, mais plus rien n’étonnait la kunoishi du kirigakure. Je te préviens que de ta réponse s’exprimera ton espérance de vie…
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Sujet: Re: Un retour non attendu... (PV : Akari) Dim 1 Mai 2011 - 11:23
Alors que je venais d’embrasser la Mizukage celle-ci eut un air des plus surpris lorsqu’elle sentit mes lèvres sur les siennes. Un baiser, qu’est-ce-que ça voulait dire en réalité ? Pour moi rien d’intéressant mais apparemment pour elle cela signifiait tout autre chose. Pour ma part un baiser était un indice qui allait donner le départ à de plus amples activités, voila comment je voyais les choses. En plus je n’avais pas fais un petit baiser ordinaire, j’avais prit soin de laisser un message derrière moi qu’Akari déchiffrerai surement plus tard. J’avais collé mes lèvres aux siennes et j’avais aspiré un peu de son souffle. C’est un baiser qui avait été oublié par les générations. Ce baiser était plus symbolique que confortable, c’était un baiser qui coupe le souffle. Akari m’avait donné un peu de son souffle et moi je lui avais donné un peu du miens. C’est une sensation étrange et menaçante car Akari avait le souffle coupé et nous partagions l’élément le plus essentiel de la vie : l’air. La charge symbolique de ce baiser était forte, laissant perplexes certains, ou pouvant provoquer un fort sentiment d’attachement ou de peur : partage, manque d’air, souffle coupé, être dépendant de l’autre, le peur de s’étouffer, la peur de mourir, faire confiance à l’autre, voila toutes les choses qui défilent dans notre tête. Cela m’amuser de laisser ce message sur les lèvres douces d’Akari, cependant cette réjouissance ne serait que de courte durée car je sentais un chakra des plus agressif rentrer dans la taverne.
C’est alors qu’Akari juste quand je retirais mes lèvres des siennes m’assena un bon coup de poing qui ne me fit rien, son poing venait de ma traverser la tête tous simplement. Je fis mine ensuite de prendre véritablement son coup de poing et je retombai sur le canapé. J’affichais un sourire amusé, Akari elle se leva et bu un autre verre, décidemment elle ne s’arrêtait pas mais bon ce n’était pas grave. Elle se frotta ensuite les mains pour avoir l’air d’enlever la poussière qu’il y avait sur celle-là. Elle se secoua alors la tête, alors elle n’était toujours dans son corps, vous me direz après un baiser comme celui-ci c’est difficile de revenir dans le monde réel. Elle me fera décidemment toujours rire cette jeune femme. Malheureusement c’était terminé pour elle, je sentais à nous un énorme chakra, familier qui plus est, s’approchait de nous. J’entendis ensuite les dernières paroles d’Akari :
« - Va raconter tes bobards ailleurs... »
Je voyais dans ces yeux qu’Akari n’était pas contente et ce visage en colère me faisait encore plus rire, décidemment j’adorais rendre folle cette jeune femme elle me faisait toujours rire dans n’importe laquelle des situations son comportement m’amusait surtout qu’elle n’avait pas le même caractère que sa défunte mère, elle pouvait se permettre quelques dérapages par ci par la. C’est alors que je sentis une présence juste devant mais derrière Akari, cette présence dégageait du chakra, malheureusement pour moi je ne l’avais remarqué que trop tard, une vingtaine de lames vinrent se loger dans mon corps en explosant le canapé, un nuage de poussière s’éleva alors et me cacha totalement des deux autres personnages. La personne qui venait de me lancer l’attaque était puissante mais dans son chakra il y avait quelque chose que je connaissais. C’est alors qu’une discussion au fond de moi commença, à la fin de celle-ci je savais pourquoi je trouvais ce chakra familier. J’entendis ensuite le long monologue de la jeune femme de Kiri qui venait d’arriver, quand à moi je faisais toujours le mec blessé qui allait mourir. J’écoutais attentivement les paroles de la jeune femme en armure. Celle-ci parlait toujours et encore, elle passait un savon à Akari sans laisser la Mizukage parler une seule fois pour sa défense, en gros elle était coupable et ne pouvait en aucun cas plaider sa cause. Voila comment fonctionnait le village de Kiri, une dictature, tous ces ninjas avaient été habitué à ce fonctionnement alors je pouvais affirmer que ce n’était pas des petits moutons tous doux ou des enfants de cœur, c’étaient plutôt des goules ces corps assoiffés de sang qui n’ont aucune pitié. Une fois qu’elle eut finis ce monologue la jeune femme qui venait d’arriver m’adressa enfin la parole en me pointant une autre « lame » en ma direction, elle me dit :
« - Toi … qui es-tu ? Et qu’elle est cette présence familière que je sens provenir de ton corps. Je te préviens que de ta réponse s’exprimera ton espérance de vie… »
J’avais toujours la tête baissée en je faisais encore le mort, cette femme en armure était correcte, un petit peu impératrice sur les bords mais correcte quand même. C’est alors que d’un seul coup j’éclatai de rire, au début ce fut un petit rire mais plus je pensais à ce que je venais d’entendre et plus mon rire fut audible. C’est alors que je levai un peu la tête, les armes tombèrent une à une sur le sol, aucune blessures n’étaient présentes sur mon corps, les armes blanches n’avaient aucun effets sur moi et cette jeune femme l’apprendra à ses dépends. Mes yeux vert émeraude regardèrent donc la jeune femme qui venait de me parler, mes sourcils froncés et un petit sourire en coin je répondis à sa question :
« Lorsqu’on demande l’identité de quelqu’un on se présente d’abord mais bon je suppose que les marques de politesses ne sont pas connues à Kiri donc je vais te répondre. Je suis Kyoshu Hikari. J’espère pour toi qu’elle se porte bien car le mien ne le supporterai pas. »
Je continuais de sourire à cette jeune femme en le fixant dans les yeux, décidemment le village de kiri s’était renforcé en ninja puissant, voila que j’apprends quelque chose de très intéressant, j’aurais eut plus de temps j’aurais échangé quelques coups avec cette jeune femme très intéressante mais je devais partirent je sentais un peu d’agitation dehors. Je me levai donc du canapé et me propulsai vers la jeune femme en armure c’est alors que juste au moment ou j’allais la toucher je me dématérialisa en lumière, cependant j’avais glissé un petit message dans la poche d’Akari, mon action précédente n’était faite que pour que la femme en armure me regarde et que je puisse glisser ce mot. Sur ce mot il y avait écrit :
Citation :
Nous nous rêverons, très bientôt ma cher et nous pourrions reprendre où l’en s’étaient arrêtés.
Je me trouvais encore juste à côté de la femme en armure, j'allais enfin pouvoir sortir du village quand je sentis quelque chose.
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Sujet: Re: Un retour non attendu... (PV : Akari) Mer 4 Mai 2011 - 14:42
Je devais me calmer moi. De quoi j'ai l'air comme ça ? Non, mais sérieusement. Cependant, j'avais envie d'en savoir bien plus sur lui. Il devait savoir à quoi s'en tenir... Déserteur, il se vante de m'avoir battue. C'est un fait que j'admets. Oui, j'ai perdu contre lui mais cela va sans dire que beaucoup de choses ont changées... même lui en est peut-être conscient. Ce n'est peut-être pas pour rien... Mais bon, j'étais aussi très curieuse... Je voulais savoir ce qu'il savait sur le village... Il faut bien se douter que je ne jouais pas avec le village. Un de mes hommes est à terre et depuis que j'ai repris en main ce village, tout semblait se dérouler comme je le voulais. Pour être honnête, je devais de mettre en avant le village plutôt que ma propre personne... C'était une chose que je savais faire. Mais j'en étais pas au point de me donner en spectacle. Ce n'est pas non plus la mort. Et puis si vraiment, mon cher ami aurait voulu me tuer, il l'aurait fait de suite. Mais je m'en serais rendu compte. Bien qu'elle mette sa crédibilité à défaut, elle tient à en savoir plus et elle a toujours quelque chose derrière la tête. J'avais réagis lorsque celui-ci m'avait embrassé. Mais mon coup rate. Cependant, mon regard avisé s'aperçut de quelque chose et je décolle de mon siège pour m'éloigner de lui. J'avais un peu bu mais je ne suis pas encore au point où je ne me rends compte de rien. Et puis dans ce genre de vie, il faut savoir se poser. Après m'être redressé, je lève la tête avec ma chevelure aussi flamboyante que le feu qui m'anime lorsqu'il s'agit de mon village. Plus loin, je remarque un des ninjas de mon village qui avait lancé une attaque envers celui qui avait bafoué le village en s'occupant d'un garde. Autant dire que Saber l'avait prise avant et m'a coupé l'herbe sous le pied. Peu de temps, la Junnin se retrouve près de moi et commence le sermon...Génial... Soupirante, je la regarde simplement en mettant mes mains sur les hanches.
Je fais attention à ces moindres mots... Moindres gestes... J'en apprends beaucoup sur mes adversaires de cette manière. Mais elle n'est pas mon ennemie et bien que je saches qu'elle veut détruire le village, je sais que je peux avoir confiance en elles. Oui, elles avec un s. Car elles sont trois et elle se partage le même corps. Au vu de l'armure et du ton employé, je n'eus aucun mal à deviner qui se cachait sous son armure... Arthuria... La plus dangereuse des trois de mon avis. Et bien... Autant dire qu'il y a des choses qu'on regrette et bien croyez-moi ou non, mais je regrette qu'elle soit présente pour me sermonner. Déjà, ma première réaction fut d'abord un arquement de sourcil... Elle veut détruire Kiri ? Et bien qu'elle essaye pour voir... Bien qu'Arthuria / Saber / Lily soit un ninja de Kiri, je ne permettrais pas ceci... J'ai fait serment et je m'y tiendrais... Les ANBU se trouvant à l'extérieur avait eu plus de patience qu'elle en tout cas. La regardant, je n'étais nullement blessée de par son ton ou ses paroles... Disons qu'elle ne savait pas ce que je préparais... Malheureusement, la réalité me rattrape. Elle me rappelle que j'ai un rang et un devoir tout particulier auquel je venais d'échouer... Alors là, je ne suis pas d'accord... C'est son intervention qui a fait foirer ce qui me passait par la tête. Deuxième coup de surprise lorsque Saber annonce comme quoi je joue avec les sentiments... Heu... Il y a un gros désaccord là... Ce n'était aucunement mon intention ... C'est alors que je vis quelque chose en main. Qu'est-ce que c'est ? L'écoutant, je détourne le lieu qui était calme au début mais agité maintenant afin de ramasser le rapport. Le gardant en main, je tourne mon regard vers celle qui était en train de me sermonner. Puis elle parle du garde... Cela a peut-être un lien avec le dossier que j'ai en main. Je le regarderais plus tard car là, je me mets à réfléchir sur les paroles de la Juunnin. Cependant, j'ai aussi mon mot à dire. Le monologue fit terminé et Saber s'adresse à mon ami/ennemi avec un air vraiment menaçant.
Le mien ? Mais quel mien ? Oùla, je sembles presque complètement dépassé. Je crois que j'ai zappé un passage... Je vais probablement devoir relire mes livres d'histoire.
Puis je vis Kyoshu se levé puis se dématérialisé pour s'approcher à pleine vitesse de Saber. Je n'ai pas eu le temps de réagit qu'il reprend forme. Je place alors mes mains dans mes poches sans rien dire tandis que je ressens quelque chose. Soupirante, il ne faut peut-être mieux pas que je regarde ce que c'est mais une chose est sûre, cela n'était pas là avant. Pour le moment, je préfère me taire et je finis par les regarder tout les deux avant d'aller au bar et de payer ce qui a été casser. Je reconnais quand je suis en tord. Je donne la totalité de ma bourse au barman avant de m'avancer vers eux et de les regarde. Montrant un demi-sourire, je finis par quitter les lieux en disant simplement.
« - Puisque tu sembles vouloir tout casser, je te le laisse... »
Ça, c'était culotté. Néanmoins, je n'avais pas employé de ton désobligeant avec elle. Jamais de la vie, j'ai bien trop de respect pour les trois sœurs. Redressant ma tête, je les regarde une dernière fois avant de laisse ma chevelure flamboyante disparaître. Quittant le sol, je finis par rejoindre les ANBU à l'extérieur et je leur explique le topo. Je n'avais plus rien à cacher maintenant.... Mais je m demande ce qui va se passer maintenant... Je ne suis pas loin quoi qu'il arrive... Puis je les laisse se mettre en place tandis que je glisse ma main dans ma poche pour sortir la chose qui s'y trouve... Sortant le morceau de papier, je finis par lire le contenu et à soupirer... Si on se revoit un jour... Mais je vais devoir changer de comportement. C'est alors que je m'assois et que je me mets à lire le rapport qu'Arthuria avait amener avec elle...
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Sujet: Re: Un retour non attendu... (PV : Akari) Jeu 23 Juin 2011 - 12:49
Arthuria venait de finir son long sermon à notre Mizukage entêtée, mais cette dernière ne semblait pas plus affectée que ça, pas un sourire, pas une plainte pas même un changement de l’expression de son visage, à croire que notre junin c’était égoisiéllée pendant cinq bonne minutes comme une folle pour des pâquerettes. D’un coté c’était à prendre comme une leçon, cette jeune fille n’avait peut être pas besoin d’être chaperonnée, et elle même en avait certainement rien à faire dans le village de la brume ; depuis fort longtemps sa venue dans ce village était quelque chose de si ambigüe qu’elle avait du mal à comprendre ses propres agissements. Chacun était libre de ses choix, chacun faisait ce qui lui semblait juste selon sa propre loi et en payait les conséquences le moment venue. Car oui, même pour un déserteur les actions perpétrer par ce dernier sont certainement ce qu’il considère comme sa propre justice en ce monde pourris. Petit à petit, le manque de réaction de son présumé kage plongeait Milena dans le doute, ne devrait-elle pas vivre comme elle l’entendait ? Prendre ses propres décisions, assouvir ses désirs en frappant le monde de sa propre justice ? dans ce cas que faisait-elle ici ? Pourquoi essayait-elle de redresser un village qui est coupable des dix années de souffrance mentale de sa mère, conduisant ainsi à son suicide. Alors… que fichait-elle encore ici ? Une question devenant de plus en plus récurrente, si lorsqu’elle parlait cette dernière était ignorée, sa présence n’était-elle pas l’égale de son absence.
Alors que sa tête se remplissait de question quand a son étrange vie au sein du village de la brume, c’est le fou rire naissant de kyoshu qui la sortie de sa torpeur. Comme elle le pensait après que ses lames l’ai traversé, celui-ci avait la drôle de capacité de se rendre intangible, il était toute fois sure que ce n’était pas un fantôme. Et petit a petit, plus son rire devenait insistant, plus Arthuria en était irritée. Celui-ci assit, observant cette dernière confiant et tout sourire, sûre de sa capacité à perdre toute tangibilité face aux armes blanches dont il avait certainement début que c’était le point fort de son nouvel adversaire…
Lorsqu’on demande l’identité de quelqu’un on se présente d’abord mais… commençât ce dernier lorsqu’elle réagis au quart de tour.
- ceci est une certitude, tout fois ce n’est qu’a une personne que l’on considère que l’on décline son identité, ne va pas croire qu’un être de ton niveau puisse me prendre de suffisamment haut pour me parler comme ça…
Il disait s’appeler kyoshu hikari, et continuait de la narguer de ce sourire qui commençait sérieusement a agacée notre jeune amie qui en avait de Fourmies dans les doigts à force de les maintenir arqués pour ne pas dégainer excalibure de son fourreau. Toute fois, c’est lorsque la provocation dépassa l’extrémum que notre noble réagit. Kyoshu avait usé de sa capacité de téléportation pour arriver en un éclair devant la kirijin, la dépassant littéralement, toujours aussi souriant, il était sur le point de s’enfuir lorsque la kunoishi le saisi au cou lorsqu’il passa sur son coté gauche, fit un tour complet sur elle-même de la gauche vers la droite pour déstabiliser le jeune homme en le faisant de la sorte reculer avant de le plaquer au sol, la jambe armée de son protège tibia sur le dos de ce dernier. Il devait d’ailleurs être dans l’incompréhension la plus totale, comment avait elle réussi à l’attraper ? C’était simple, son gantelet et ses bottines étaient actuellement chargés de chakra de type fuuton, ce qui causait de très légères entailles a kyoshu, si légères qu’elles ne saignaient même pas. Presque dans le même instant, une lame sortie de son gate of babylone, immédiatement enrobée de chakra de type raiton grâce à un de ses jutsus de type fuuin se plantant dans le sol l’entaillant cette fois-ci légèrement à la joue.
- Comme je te le disais, ne me prend pas de haut, cela pourrait bien se retourner contre toi
Arthuria se redressa donc, libérant ainsi son prisonnier, le soulevant en le tirant par ses cols. Elle lui lançât un rapide regard de bas en haut puis réengageât la conversation.
- Bien reprenons depuis le début, Je me nome actuellement Saber Arthuria mais répond à mes questions qui es-tu ? que veux-tu ? Et surtout qu’est ce que tu es ?
Hijikata Toshizo ~ Chef des A.N.B.U de Kiri ~ /~ Kyudaime Mizukage ~ / ~ Admin ~