Prénom et Nom : Kureha Touka
Âge : 22 ans
Village / organisation désirée : Déserteuse

Description physique : (en 5 lignes)

Commençons donc par le visage si vous le voulez bien. Kureha a tout d'abord des yeux d'un marron sombre, un marron ressemblant à un chocolat noir sans l'être vraiment, à un café au lait en plus sombre. Ce marron est assez difficile à trouver à cause de son teint sombre, mais trop clair pour être assimilé au noir cependant. Ensuite, il y a son tout petit nez, un nez qui est souvent le défaut du visage bien que l'on ne puisse s'en passer pour avoir un visage humain, sauf que Kureha a été bénie des dieux pour son physique, son nez allant à la perfection avec son visage de timide jeune femme. Sa bouche va de paire avec son nez par sa petite taille, une taille qui se retrouve en faite dans la taille de son visage entier. Seuls ses yeux ressortent de son visage par sa taille, pas qu'ils soient gros, mais ils contrastent avec les petites parties de son visage. Enfin, ses oreilles qu'on ne remarque quasiment jamais car elles ne sont pas grosses, mais ni petites pour autant, elles ont une taille moyenne on peut dire. De plus, elles sont souvent cachés par ses cheveux, bien que ce soit plus l'oreille droite qui est cachée vu la longue mèche qui descend jusqu'à son épaule. Pour finir, ses cheveux si clairs qu'on pourrait y voir des cheveux blonds ou bien des cheveux d'une couleur aussi excentrique pour des cheveux que du belge. Comme dit précédemment, une longue mèche à sa droite descend jusqu'à son épaule en remontant vers l'avant sur la fin. Il y a aussi une autre mèche à sa gauche sauf qu'elle, elle ne descend que juste en bas du nez. Parlons coiffure d'ailleurs, une coiffure qui dépends des occasions, la plupart des temps, elle laisse ses cheveux tomber dans son dos jusqu'au bassin, mais lorsqu'elle se prépare à combattre, elle ajoute un ruban blanc en haut de sa tête, déposant sa mèche par dessus pour en cacher une partie tandis que quand elle fait l'archère, elle l'attache derrière le haut de son dos changeant complètement de coiffure pour se faire une queue de cheval s'éparpillant un peu dans son dos.

Magnifique transition qu'en parlant de son dos, nous allons passer à la description de son corps. En commençant par son torse, un torse mince n'ayant subi aucun dégâts de la nourriture absorbée qui semble petit à cause des vêtements que portent Kureha qui nécessitent la plupart du temps une ceinture juste en bas de ses seins. Parlons d'ailleurs de sa poitrine, une poitrine qui ressort lorsqu'elle met une ceinture juste en dessous, une poitrine qui montre un décolleté sexy quand elle ne le couvre pas, une poitrine aux dimensions parfaites ; ni trop grosse, ni trop petite. Revenons un peu en arrière en parlant de sa minceur que les personnes, les femmes en particulier, trouvent souvent qu'elle est dû aux ceintures qu'elle porte souvent, on prétendrait qu'elle les sert au maximum pour s'en servir de corset, mais au contraire, l'archère se débrouille toujours pour que la ceinture ne la sert pas du tout et qu'elle tienne pourtant en place. Passons cette fois-ci sans transition aux bras, ses bras qui ont l'air faible comme tout son corps vu qu'ils ne présentent aucun muscle, mais qui malgré tout, sont très puissants, s'étant endurcis grâce au tir à l'arc que pratiquait la jeune demoiselle de 22 ans. Une chance pour elle qu'ils ne soient pas musclés car les muscles, ça ne va vraiment pas aux femmes et elle ne déroge pas à la règle bien qu'elle semble plus parfaite que la plupart des autres femmes car ce n'est pas une femme parmi tant d'autres, c'est la femme au corps parfait, à la psychologie dérangée. Finissons cette description détaillée et en même temps vague de son corps, n'ayant dépeint que les plus importantes parties de son corps sans aller jusqu'au grivois -malgré l'histoire pleine de luxure- avec une précision de chirurgien, et c'est le cas de le dire vu que l'on parle du corps. Bref, donc ses jambes, ses jambes. Des jambes parfaitement rasées comme elle prend soin de son corps malgré sa personnalité dérangée, des cuisses ressemblant bien à des cuisses et non à des boudins ou dans le cas contraire, à ses chevilles. De par leur taille qui définissait la taille des cuisses d'une 10, les siennes n'avaient aucun mal à séduire les hommes, tout comme le reste de ses jambes d'ailleurs.

Description morale : (en 5 lignes)

Les 7 pêchés capitaux. 7 pêchés qui ont en faite marqué sa vie, non pas tout le long puisqu'elle a marqué un moment de sa vie qui fut lui même marquant pour tout le reste de sa vie. Ainsi, elle les connaît bien et pourtant, elle ne fait rien pour s'en débarrasser. Après tout, ces pêchés lui vont comme un gant, à ravir. Commençons par l'envie, elle a toujours eu envie de sensations fortes, raison pour laquelle elle a laissé tombé toute son enfance pour passer tout le reste de sa vie à céder à ses envies, à ses petits plaisirs de la vie pas si petits que ça en faite. Et vient bien sûr par cette continuité la gourmandise, elle n'en a effectivement jamais assez, toujours à en vouloir plus. On a parlé d'avarice ? Non, plus tard, nous n'en avons pas fini avec la gourmandise qui est plutôt utilisée pour le concept de la nourriture qu'elle n'aime pas tant que ça au final, un simple coupe-faim lui suffit pour être de nouveau en pleine forme. Et de toute façon, si elle abuse de la nourriture, son désir de luxure n'aboutira jamais sauf en cas de viol, enfin on parlera de la luxure après la cupidité ou plus tard. En effet, on ne peut pas dire qu'elle n'est pas avare surtout avec les gens à qui elles volent continuellement de l'argent pour vivre, ayant la paresse de travailler. Une paresse que l'on va vite étudier entre temps vu qu'elle n'est flemmarde que quand il s'agit de gagner sa vie sans qu'elle n'y prenne plaisir, en d'autres mots, gagner sa vie légalement comme les gens dits « normaux ». Bref, continuons sur la cupidité en citant lorsqu'elle n'en fait pas preuve car elle n'est en effet pas possessive. En tout cas en matière d'homme. Bien que ce soit un peu vague, disons plutôt en matière d'amants ou d'amantes étant attirée par les deux genres, elle est très libertine qui plus est. Finalement, tout nous mène à la luxure, parlons juste de son envie d'être belle pour s'aimer comme elle n'aime que ce qui est beau ainsi que son addiction pour le sexe qui ne pourrait être comblée si elle n'était pas identifiée d'une telle beauté. En bref, elle aime coucher, pas coucher pour gagner, coucher pour coucher, tout simplement. En combat, elle sera toujours arrogante n'ayant jamais subi aucune défaite, surtout vu qu'elle est à chaque fois sûre de gagner étant donné qu'elles ne se risquent pas à s'attaquer à des gens plus forts qu'elle. Quant au sentiment de colère, elle ne le connaît pas, prenant tout simplement la vie avec légèreté considérant par exemple la mort d'une personne, proche ou pas, comme normale, comme amusant même quelques fois...

Son unique amour a toujours été celui pour le sexe... non plus sérieusement, l'unique amant pour lequel elle a éprouvé un vrai amour bien qu'elle n'ait pas été triste quand ils se sont séparés, sachant pertinemment que cela allait arrivé comme son compagnon. Cet amour est celui qui a changé son monde, ou qui l'a plus précisément fait « naître au monde » au sens figuré du terme bien entendu, sans quoi ce serait l'amour de ses parents entre eux, un amour sans doute contre nature vu le résultat. Maintenant, elle vit bien sûr l'amour, mais dans l'autre sens du terme, bien qu'elle éprouve de l'amour pour ses compagnons de route, bien qu'elle couche avec eux, ce n'est que pour le sexe et l'amitié, ce sont « juste » des sexfriends en somme. Quant à la haine, et bien comme elle prend tout avec légèreté, elle ne ressent pratiquement jamais ce sentiment. Même avec les gens qualifiés d'énervants qu'elle ne fait que tout le temps ignoré. Cependant, elle éprouve du ressentiments avec les personnes riches bien qu'elle vienne elle-même d'un milieu aisée. Est-ce donc pour leur caractère dû à tout l'argent qu'il possède ? C'est à l'origine pour ça, enfin c'est en tout cas pour cela que son amant les détestait tant quitte à tuer les futurs riches et cet unique amour a bien sûr transmit sa haine envers les gens de cette espèce avec sa petite amie. Les seuls sentiments qui viennent après ne sont que deux, étant les seuls se démarquant vraiment des autres : Plaisir & amitié, sentiments qui vont de paire d'après Kureha. En effet, elle prend plaisir à passer du temps avec ses amis et même à coucher avec eux auquel cas ils deviennent, comme je vous l'ai dit précédemment, des sexfriends. Finissons avec une ligne ou deux sa vision du monde, ses rêves, ses prévisions pour le futur, ce qu'elle voudra faire ou continuer de faire dans le futur. Après tout, elle s'amuse déjà assez depuis qu'elle a rencontré son « âme sœur » bien qu'elle l'ait quitté d'un comme-un-accord. Comment elle s'amuse ? En voyant le monde avec légèreté, prenant plaisir à vivre, ne faisant rien qu'elle n'aime pas, vivant au jour le jour. Mais elle ne voit pas que le monde différemment des autres, elle voit aussi la guerre, les massacres, le combat en faite, comme une notion destinée uniquement au plaisir, tout comme le sexe pour elle.

Son histoire : (en 5 lignes)

Tout commença grâce à un homme...

Kureha est née dans une famille bourgeoise. De ce fait, elle n'a jamais été prédestinée à devenir ninja. Qui plus est, ses parents lui ont toujours refusé son rêve de devenir une kunoichi. A cause de ça, elle s'est rebellée et dès qu'elle a pu, elle a quitté la maison familiale à l'aide d'un certain homme... Mais avant toute chose, avant de commencer ce récit pour être précis, il sera nécessaire de vous donner la raison pour laquelle elle voulait devenir ninja et même approfondir un peu plus le sujet de sa vie avant sa rencontre avec cet homme. Kureha a toujours été excitée par le combat, depuis qu'elle est toute petite à vrai dire, son amour pour le combat est à vrai dire aussi passionnée que celui pour le sexe. De plus, elle avait les compétences requises pour en devenir une, surtout avec son talent pour l'arc, elle a même rejoint un club d'archer et remporter plusieurs coupes. Malgré tout ça, ses parents ont toujours refusé qu'elle devienne ninja et elle est donc devenue une écolière comme les autres jusqu'à ses 18 ans... Il faut les comprendre après tout, ils veulent protéger leur fille bien que maintenant, ce soit un peu trop tard et qu'elle ait fini sur la voie de la perversion dit le trottoir et la goutte qui fait déborder le vase : elle est devenue ninja et ce, par elle-même, en apprenant toute seule ses techniques. Et elle ne manque pas d'expérience qui plus est vu le nombre de personnes à qui elle a mit une raclée. Kureha est donc ce qu'on appelle plus communément une génie parmi les génies. Mais tout ça ne se serait pas fait si un homme n'avait pas appuyé sur le bouton on afin qu'elle se rebelle et cet homme, elle l'a rencontré alors qu'elle faisait quelques tirs à l'arc...

Chapitre 0 : Prologue
Kureha était à son club d'arc pour sa dernière année en tant qu'écolière et elle allait sûrement rentrer dans une académie pour faire des études supérieures : en bref elle allait continuer sa vie ennuyante. Pour l'occasion, elle était habillée de sa tenue spécialement faite pour le tir à l'arc qui consistait en une sorte d'habit de prêtresse : un haut de kimono blanc et une robe rouge. Elle s'était même attachée les cheveux en queue de cheval, ce qui rendait assez bien il faut dire. Alors qu'elle était prête à décocher sa troisième flèche, son index au dessus de sa flèche et deux doigts en dessous, tenant sa corde par la même occasion et son autre main sur la courbure, un adolescent s'aida de la cible pour se relever. Ce jeune homme était sale, ce qui faisait contraste avec ses cheveux d'un blanc immaculé, presque pur, il avait l'air épuisé. En le voyant apparaître, Kureha baissa son arc et remit la corde à sa place , elle n'allait quand même pas le tuer avec son arc. Même si elle aimait les combats, elle n'aimait pas forcément tuer des gens, surtout sans défense comme lui. S'il n'y avait pas de combat, ce n'était pas amusant après tout. En plus, ce garçon était plutôt bel homme, ça aurait été un gâchis de la tuer. Elle pourrait coucher avec lui après tout. Alors qu'elle pensait à ça sans le montrer dans son visage, arborant une expression dénuée de sentiments, l'homme sale aux cheveux blancs leva sa tête tant bien que mal, étant épuisé et sûrement affamé & assoiffé vu son état, et quand il vit l'arc baissé de Kureha, il eut un petit sourire au coin de la bouche et commença à parler, faiblement certes, mais pas inaudible, elle pouvait l'entendre en tendant seulement l'oreille vers lui :

« Eh bien, on ne me tire pas dessus hein ? Tu sais quoi, je t'aime bien toi... Ça te dirait de boire un petit coup avec moi ? Parce que je suis affamé si tu savais... Je suis au bord de l'évanouissement, ha ha.
- Vouloir boire alors que tu es affamé ? Répondit Kureha avec un petit sourire au coin elle aussi. Tu ne trouves pas que c'est étrange ?
- Mais non, c'est une expression pour dire qu'on va aller dans un bar, mais t'inquiète pas, ce bar que je connais sert aussi de la nourriture. Ah, ça va me rassasier! Et comme tu as eu pitié de moi, tu sais quoi ? Bien je vais t'offrir quelque chose... un monde de pêchés qui te pervertira jusqu'à la moelle, tu vas changer du tout au tout, c'est moi qui te le dit. Plus jamais, lorsque tu verras un homme devant toi alors que tu es armée d'un arc, tu n'auras pitié de lui. Oh ça je t'assure, hé hé!
- N'est-ce pas un peu illogique de ta part de vouloir ça, toi qui aurait pu mourir si j'étais comme ça ? Dit-elle tout sourire. Enfin, ça a l'air amusant et comme tu as tout aussi l'air drôle, je vais t'accompagner, mais t'es sûr de tenir le coup pendant tout le chemin ? T'as pas l'air en forme après tout.
- Qu'est-ce que tu racontes ? Je pète la forme voyons! Eh bien, si mademoiselle veut bien venir, je vais te montrer l'enfer des sept pêchés capitaux, et crois-moi, tu n'en sortiras pas indemne.  »

En disant ça, le jeune homme mystérieux tendit la main à Kureha. C'était de source sûre la main du diable, il l'avait confirmé d'après ses dires qui plus est. Et la jeune archère n'hésita pas, elle la prit.

Chapitre 1 : Gourmandise & Envie ainsi qu'une pointe d'avarice...
Ce garçon pleins de mystères & de ressources avait dit s'appeler « Allen Walker », un nom assez peu commun dans le pays, il venait sûrement de loin... D'un village ninja en tout cas comme il se vantait d'avoir été un chuunin, mais qu'il avait déserté à cause d'un village trop pourri jusqu'à la moelle. Bref, alors qu'ils s'apprêtaient à partir, celui-ci insista pour que Kureha change de vêtements. Il n'avait pas tort sur ce point-là, une tenue d'archère n'était après tout pas très pratique pour bouger et dans les lieux où il l'emmènerait, il valait mieux ne pas être habillée comme une sainte-ni-touche de prêtresse. Elle accepta donc et enfila une sorte de kimono en short version sur lequel elle avait flashé récemment et qui lui allait donc comme un gant, anecdote amusante, son père lui avait fait remarqué que ça la dénudait bien et qu'elle ressemblait à une salope, remarque qu'elle avait pris comme un compliment. Finalement, c'était dans un bar assez bruyant et animé que cet Allen emmena Kureha. Un endroit qu'elle n'avait pas l'habitude de fréquenter vu le milieu d'où elle venait, mais ce n'était pas déplaisant d'y être avec l'ambiance festive qu'il y avait, qui plus est, elle rêvait d'aller dans un bar un jour et de finir comme une habituée.

La chope à la main, Allen rit aux éclats, comme la plupart des hommes ici -vu qu'il n'y avait que des hommes sans compter Kureha-. Il avait déjà l'air plus en forme que précédemment avec toutes les cacahuètes qu'il avait mangés en guise de repas complets pour toute la journée & toutes les chopes d'alcool déjà innombrables qu'il avait pris. Pourtant, il n'était toujours pas saoul, à croire qu'il résistait bien à l'alcool. C'était à parier qu'il gagnerait certainement s'il faisait un concours pour voir celui qui tiendrait le plus longtemps à l'alcool. Il n'empêche que -étant un alcoolique notoire à première vue- ça lui servait bien de tenir à l'alcool comme ça.

« Hé Kureha-chan, dit Allen en approchant son visage puant l'alcool de Kureha, tu vois ça, et bha c'est le pêché de gourmandise. Bien qu'il ressemble à celui de l'envie, ce n'est pas le même... bizarrement. Dis-moi toi voir, tu veux pas boire un coup ? C'est ma tournée! Tu peux te servir tu sais, personne n'en saura rien ma belle!
- J'accepte avec plaisir dans ce cas! J'attendais justement que tu le proposes au cas où tu ne voudrais pas que je sois saoule pour te raccompagner.
- Hu hu. Eh bien, si tu veux de l'alcool... murmura-t-il à l'oreille de Kureha pour ensuiter crier. Messieurs les barmans, une chope pour mademoiselle s'il vous plaît! »

La chope arriva alors très rapidement, à croire que le personnel faisait ça en cinq secondes. C'est ce qu'il faisait en faite, mais tant que l'alcool était bon, c'était toujours à prendre. Kureha suivit donc son compère dans sa beuverie. Mine de rien, elle aussi résistait bien à l'alcool, mais maintenant, elle feinte de ne pas y résister afin de pouvoir coucher. En buvant, ils riaient aux éclats et s'amusaient comme des fous, quelques fois pour des blagues épiques, quelques fois pour rien du tout, mais l'important, c'était le résultat. Donc pendant toute la journées, ils s'éclatèrent au bar, jusqu'à ce que... Allen prit un air sérieux. Il n'avait pas l'air d'avoir bu du tout visuellement, mais à l'odeur, on le sentait clairement. C'est avec un ton solennel qu'il commença à parler qui rendu toute calme la Kureha excitée il y avait quelques secondes à peine :

« Kureha... j'ai quelque chose à t'avouer. Mais avant, je dois dire que je ne t'imaginais pas comme ça. C'est surprenant. Tu vas me réserver bien des surprises je pense. Hé hé. Enfin bref, ce n'est pas le sujet, restons sérieux, ok ? En réponse, l'archère prit le même visage sérieux qu'Allen. Nice! Donc ce que je dois t'avouer, c'est que... j'ai pas du tout de fric sur moi, donc tu veux bien payer pour moi ?
- Absolument pas. Va faire la plongée tant qu'il en est encore temps!
- Rha, t'es vraiment égoïste toi! On dirait que tu connais déjà parfaitement le pêché d'avarice. D'ailleurs tiens, j'te montrerais ça après qu'on ait réglé ce petit problème d'argent... Oui, voilà comment on va procéder... 1,2,3,4! »

Sa compère et maintenant sa complice avait compris son plan quand il avait commencé à compter et elle réussit donc à fuir avec lui loin du bar. Le personnel les avait effectivement poursuivis, mais ils avaient déjà trop d'avance et fuyaient assez rapidement, il faut dire. Le soleil se couchait déjà à l'ouest tandis qu'ils avaient semés l'ennemi. Bien que les méchants dans l'histoire, ce soient ces deux petits voleurs opportunistes. Il n'empêche que grâce au garçon aux cheveux blancs, elle avait passé une agréable journée remplie de folie, mais c'était maintenant le temps des adieux, elle devait rentrer chez elle si elle ne voulait pas que ses parents pensent qu'elle avait fugué. Cependant, Allen la retint.

« Attends! Comme on a passé une superbe journée... ça te dirait pas de rester pendant toute la nuit ? Pour faire un dernier vol à l'arraché par exemple! En plus, je n'ai clairement pas fini de te faire découvrir tous les sept pêchés, je ne t'ai même pas encore plongé dans les ténèbres comme je l'avais promis! Enfin certes tu t'es avérée assez vile ici, mais cette méchanceté était déjà là cachée sous cette fille modèle et gentille que tu joues...
- Hm. C'est vrai que je ne suis pas cette fille que tout le monde croit et je te l'ai montré. On dirait que je n'ai pas le choix. Il va falloir que je te suive jusqu'à la mort. Par contre, juste une requête. Je n'aime pas vraiment ce genre de situations où tu fais semblant de m'inviter alors que tu n'as rien. Même si j'apprécie que tu essaye de m'attirer avec ça. Donc je resterais à la condition que tu arrêtes ce genre de manipulation.
- Ah ça va être dur pour un arnaqueur comme moi, mais pour toi, je le ferais! De toute façon, nous allons bientôt avoir une grosse rentrée d'argent grâce au monde de l'avarice. On va volé une famille de riche et plus si affinités. »

Chapitre 2 : Avarice & Colère
Plus tard, les deux protagonistes de ce récit se cachèrent dans les buissons du jardin luxueux d'une résidence où vivait une famille de riche enrichit au détriment des pauvres. Allen étant lui-même un de ces pauvres n'aimaient forcément pas les gens de cette espèce. Mais alors pourquoi s'était-il attardé sur Kureha ? Eh bien en faite, lorsqu'elle avait été prête à tirer sur la cible alors qu'il venait d'apparaître devant, elle avait baisser son arc tandis qu'une archère relativement bourgeoise aurait prit peur et aurait tirer, la peur la rendant aveugle. En effet, le pauvre aux cheveux blancs avait déjà vécu un événement presque identique, mais on l'avait bien attaqué cette fois-ci. C'est pour ça qu'il aimait l'héritière de la famille Touka au point de vouloir coucher avec elle, et ce, sans se sentir souillé par la suite comme s'il avait été violé, ou plutôt, comme si son amour propre avait été entaché par le sexe de la demoiselle.

La famille bourgeoise était en plein dîner de famille, comme à chaque repas en faite. Après tout, ils avaient tellement de temps libre qu'à chaque fois, ils pouvaient bien se retrouver tous ensemble pour les repas. Kureha avait aussi eu cette chance, mais bien entendu, comme je viens de vous le dire, Allen se fichait de la vie de l'archère qui deviendrait bientôt son passé après qu'il lui ait montré tous les pêchés de la vie. Le pauvre trouva alors une pierre et une idée germa alors dans sa tête. Cette pensée en tête, il ricana machiavéliquement, aucun doute, cette idée n'allait pas être une bonne idée. Enfin, ils étaient là pour faire des conneries, c'était donc parfaitement normal d'avoir des idées normales. Allen prit alors la pierre et la fit rebondir dans sa main histoire de préparer un lancer. Il allait vraiment faire « ça »...

« Tu sais... j'ai une idée. Et si on leur éclatait la gueule à ses bourges histoire de leur apprendre la réalité de la vie. Tu sais, mon enseignement est pour tous. Même pour ces pourritures. » « Mais... » avant qu'elle n'ait le temps de dire un mot, son compagnon de route plaça un doigt sur sa bouche pour qu'elle se taise. « Non, tais-toi. Je sais qu'on va avoir des ennuis à cause de ça, mais juste, il faut s'amuser dans la vie et ça, ce moment-là ça sera sûrement une chance de faire une belle connerie. Notre plus belle, qui sait ? Alors ne nous retenons pas, allons-y. Massacrons-les & apprenons leur une bonne leçon si tu le veux bien, d'accord ?  » Finit-il en laissant son doigt quitter ses lèvres sensuelles & gourmandes qu'il rêvait d'embrasser. « Non, ce n'était pas pour ça que je voulais t'interrompre... j'ai bien conscience que ton idée est mauvaise, et pourtant, je veux la faire et rien ne m'en empêchera, même pas ma conscience... si j'en ai une en fin de compte. Mais bref, ce que je voulais te demander, c'est pourquoi tu prendrais pas un shuriken au lieu d'une pierre étant donné que tu es un ninja ? » « Pss... je vais t'apprendre une chose au passage, les shurikens, les mini-étoiles là, c'est pour les pigeons. Regarde, tu t'en sers une fois et tu le retrouves plus! Encore un géant, tu peux le récupérer, mais c'est trop lourd. Les meilleurs, c'est définitivement les fûma, sauf question prix bien évidemment. Ils abusent d'ailleurs à pas faire ça en manufacture. Bref, c'est l'heure du... SHOW TIME! »

Conclut-il le dialogue d'un cri puissant tout en jetant sa pierre. En l'entendant, le patriarche qui était dos à la fenêtre se retourna et... HEADSHOT! La pierre dans le crâne, il en était même ONE SHOT le gros lard! Allen rit en le voyant s'effondrer sur son assiette de gourmand et la folie l'envahit alors, il semblait assoiffé de sang, de massacre. D'ailleurs, un massacre allait bientôt se produire vu qu'il fonçait sur la demeure en sautant devant la fenêtre pour l'exploser en utilisant comme unique masse son corps. Il souriait, c'était un sourire de démon, en le voyant, Kureha succomba à son charme, rouge et souriant elle aussi comme une démone, disons une succube, c'est plus sexy dans le style exotique. En sortant un kunaï qu'il avait à priori garder sur lui pendant un bail vu la rouille qui commença à déteindre l'arme de son noir, il atterrit sur la table, juste devant le crâne du vieux. A sa gauche, la matriarche qui en un coup de kunaï sur la gorge n'était plus de ce monde. Les deux fils les plus âgés foncèrent alors de rage vers Allen, mais qui était le plus enragé ici ? Bien sûr, c'était le pauvre et sa colère les tua tous les deux, un éventré et l'autre le crâne percé.

Plus que la plus jeune fille et son frère, peureux comme ces deux gosses étaient, ils n'allaient pas survivre une seconde dans ce monde sauvage sans famille. La mort allait être délivrance pour eux. Le prolétaire s'approcha alors lentement d'eux, toujours le sourire aux lèvres. Il avait plein de sang sur lui, celui de quasiment toute la famille, il ne lui manquait plus que celui des plus jeunes. Ce sang qui coulait, faisant du sol plus un tapis géant, mais une marre de sang et déteignant sur la nappe, autrefois blanche, mais maintenant rouge du sang de ses propriétaires. Ou plutôt devrais-je dire, de ses anciens propriétaires. La nourriture était plongée dans une sauce rouge, non pas du ketchup ou de l'arisa, mais bien le sang de ceux qui allaient manger. Maintenant, il fallait tuer les deux derniers. C'est alors que dans un élan de courage -non ça serait trop beau- dans un élan de folie causé par la peur, le gosse s'empara d'une épée de collection qui était entre les mains d'une armure vide là pour faire beau et alors qu'il allait attaquer Allen, sa jeune sœur l'en empêcha. Sans satisfaction car par erreur du gamin, elle fut tuée d'un coup de l'épée qu'il tenait entre les mains. Il devint alors vraiment fou...

« Toi... salopard... tu l'as tué comme tous les autres!! CREVES FILS DE PUTE! » cria le gosse, ne retenant pas un filet de bave de sortir. Quant à son interlocuteur, c'était pareil, il bavait après avoir tué autant de gens et à avoir son dessert chez ce gosse qui était au contraire de ses deux tarés de frère, armé. « Humpf! A qui veux-tu faire croire ça sale gosse ? Tu es le seul à avoir tué ta sœur voyons... regarde ta lame, elle est ensanglantée. Et je ne crois que c'est ni mon sang, ni le tien, à ton avis, c'est celui de qui ? Tu veux faire des tests ADN pour vérifier que ce n'est pas ta sœur ou bien tu es prêt à assumer ta position de fratricide petit héritier ? » En entendant ses arguments-là, le gosse se mit à penser... non, il ne pouvait plus, la folie l'avait déjà totalement envahi. Il fonça alors sur Allen, sans penser à rien, ce n'était pas l'épée son arme, il était lui-même devenu son arme. Peut être était-il devenu ninja au final ? Alors il asséna une première attaque sur le pauvre qui la para avec son kunaï, celui-ci fit glisser son couteau sur l'épée et se prit volontairement l'épée dans le bras qui tenait le couteau et il enfonça ceci dans la gorge du gamin. Le génocide familial était terminé, le show time avec et les rideaux se fermèrent devant cette scène macabre. Le public applaudit : Kureha aplaudit.

« Hé bien! Je n'aurais jamais pensé que tu apprécierais ce spectacle sanglant ma chère salope. » Dit l'acteur en tournant la tête vers elle qui était devant les fenêtres qu'il avait brisées. « Tu sais quoi ? Tu me surprendra et m'amusera toujours. A jamais peut être ? Non, bien sûr que non, nous ne serons jamais immortels... alors disons jusqu'à la mort ? » Il éclata de rire sur cette conclusion et une fois son sérieux instable reprit, il observa Kureha, non pas dans les yeux, mais dans les seins pour qu'elle reprenne. « Oui, je sais, je suis dégoûtante à aimer les massacres de ce genre n'est-ce pas ? Mais que veux-tu, j'aime le combat comme j'aime le sexe comme je t'aime pour les mêmes qualités que tu apprécies chez moi, c'est Tout. Mais maintenant, comment vas-tu me surprendre et me divertir ? Parce que sinon, je risquerais de te punir mon cher Allen. » Dit-elle en le voyant mater sa poitrine pour qu'elle parle, tout en se penchant montrant un décolleté assez profond ; comme son père lui avait dit, dans cette tenue, elle avait vraiment l'air d'une catin. « Bha... disons qu'on va explorer le monde de la luxure... ça te dit? » Sans attendre sa réponse, l'homme partit explorer la maison récupérer le fric de cette chère famille histoire de financer les billets pour les prochains mondes à voir...

Chapitre 3 : Luxure & pointe de Gourmandise
Finalement, ils avaient trouvés assez d'argent pour prendre une retraite anticipé dès maintenant et même pour fuir dans un autre pays où Allen ne serait plus chassé comme déserteur. Cependant, ce serait céder à la facilité que de choisir cette voie-là, pour les deux personnes, c'était inacceptable. Ils prirent donc juste une bourse qui contenait assez pour s'acheter une maison, mais ce n'était clairement pas ce qu'ils allaient faire... Enfin si, un peu quand même, ils allaient louer une maison en tout cas. Une demeure aux charmes féminins exclusivement, mais nombreux. Vous dîtes que Kureha s’ennuierait ? Sans doute, mais elle n'avait pas le choix de la destination, c'était bien entendu Allen qui avait choisi ce chemin vers la luxure, option qu'il assumait clairement. Mais avant de rejoindre leur destination, histoire de ne pas gâcher la nourriture, le déserteur mangea ce qu'il y avait sur la table, un véritable buffet pour lui. Comme l'archère avait elle aussi faim, elle s'était décidée à manger la nourriture, le sang ne la dérangeait pas du tout en faite. Le repas de la nuit terminé, ils passaient aux toilettes histoire d'effacer toutes traces de sang sur eux vu que deux personnages avec du sang sur eux, c'était vraiment suspect, très suspect.

Arrivés au cabaret, l'homme demanda à être entouré de deux femmes, la femme, elle, se devait d'être avec une femme au moins pour rester ici. Au final, 4 femmes & un homme était dans une seule salle, ce serait sûrement trop pour le pauvre donc il allait se contenter d'avoir deux femmes sous ses bras, & bien entendu, pour accompagner le tout, une chope remplie de bière à chaque main. On voyait explicitement qu'il était heureux comme il riait aux éclats, comme quand il était au bar. C'était normal après tout, il avait non seulement l'alcool, mais en plus les femmes. Enfin normal... c'est sûr que ce n'était pas non plus normal d'être aussi heureux après avoir massacré une famille entière, mais comme c'était une famille de bourges, Allen ne regrettait pas du tout son acte, quant à Kureha... elle, même si ça n'avait pas été des bourgeois, elle n'aurait aucun cas de conscience. Une vraie sadique en puissance dans son petit esprit dérangé. Heureusement, elle savait faire mine d'être une autre personne, elle avait réussi grâce à ça à berner toutes ses connaissances, même son entourage proche. En fin de compte, seul cet homme qui l'accompagnait connaissait son vrai visage, il la connaissait vraiment et c'était son seul ami proche, son seul ami tout court en fin de compte. Peut être même plus au fond de son cœur ou même du sien. Après tout, il y avait un lien entre eux, un lien indéfectible comme deux âmes sœurs. Cependant, tous les deux savaient qu'ils se sépareraient un jour car ils n'avaient pas lieu d'exister dans ce monde où l'espoir existe, et encore moins de coexister ensemble...

Enfin bref, au lieu de passer du temps à philosopher sur ces deux existences désagréables et folles, mieux vaut se concentrer sur ce moment précis que je vous conte. Car en effet, ce n'était pas comme dans le bar où la bourgeoise avait attendu la permission pour boire un coup. Cette fois-ci, elle avait pris l'initiative et était en train d'embrasser la femme qu'on lui avait refilé, qu'elle avait demandé pour qu'elle s'occupe d'elle afin qu'elle reste avec son compagnon dans le cabaret. C'était bien sûr sans lui demander la permission que l'archère avait déposé ses lèvres sur celles de la femme du cabaret, elle était même allée jusqu'à entrer sa langue dans sa bouche sans qu'elle n'ait demandé quoi que ce soit. Tandis que la patronne s'affola en voyant une cliente abuser d'une femme de son personnel, elle tenta de chasser la cliente, sans résultat. Kureha éclata la bouteille qu'elle avait commandée au préalable sur le crâne de la vieille patronne sans hésitation, ni scrupules ni faiblesse. Elle se tourna alors vers Allen...

« Voilà, je ne suis plus que complice, je suis criminelle, comme toi! » dit-elle avec le plus beau sourire du monde. Elle ressemblait bien à la fille modèle qu'elle avait prit comme rôle pour masquer au monde entier la folle-furieuse qu'elle était. « Tu sais que même si t'étais restée une complice, j'aurai pas hésité une seconde à coucher avec toi vu le sang froid dont tu as fait preuve tout à l'heure. Enfin, maintenant je vais pouvoir me faire ses femmes sans cette grognasse de patronne! » Répondit son équipier en jetant les femmes qu'il avait dans les bras, affolées en voyant leur patronne morte, vers sa camarade pour qu'elle ne les laisse pas partir. Il bloqua alors les portes. Ce qui était bien avec ce cabaret, c'est que pour ne pas déranger le voisinage, les murs ne laissaient pas le son passer donc elles auraient beau crier, personne ne les entendrait. « Par ailleurs, ma chère, je ne savais pas que tu avais ses penchants lesbiens. J'ose espérer que tu es bisexuelle en fin de compte et non juste lesbienne ? Parce que ça serait bien cool d'être lesbienne, mais bisexuelle, c'est bien plus cool! » En guise de réponse, elle lui dit qu'elle aimait tout le monde, le plus simplement du monde. Elle était libertine à vrai dire. Elle ajouta qu'elle avait autant envie de le baiser que lui avait envie de faire d'elle son esclave sexuelle. En gros, elle avait encore plus envie de coucher qu'il en avait envie lui.

Ensuite, pour finir avec la luxure, la nuit se passa sous les gémissements, les larmes & les souffrances des jeunes femmes du cabaret. Souffrances ? Oui, Allen était un étrange possessif très sadique sur les bords s'il n'avait pas ce qu'il voulait. En faite, il était -dans l'ordre- gourmand, envieux, avare, colérique, luxueux, arrogant & paresseux. En faite, on ne peut pas se fouler à le décrire psychologiquement, il suffisait de citer tous les pêchés capitaux et le tour était joué. En faite, il n'était pas vraiment dotés de qualité à par pour faire le mal. Mais bref, on parlait de souffrance car en effet, cet homme avait pour rituel de marquer au feu « A.W » sur chaque femmes avec lesquels il couchait pour leur plus grande satisfaction, bien évidemment voyons... ~Douce ironie quand tu nous tiens. Finalement, les deux compagnons passèrent une nuit pleine de sexe & de débauche, mais aussi de superficialité, tuant directement les 8 et moins. Le camarade de Kureha avait finalement bien exploré avec elle le monde de la luxure en seulement une nuit. Était-ce un record parmi les records ? Sûrement. Le lendemain midi, ils sortirent du cabaret, en voyant l'intérieur, on y vit une scène des plus dégoûtantes avec du sang partout, des organes sortis du corps se retrouvant quelques fois horriblement collés au plafond. La mort régnait dans ce bâtiment. Aucune femme n'avait échappé à la sentence de la mort made in Allen & Kureha. Bien sûr, avant de sortir, ils avaient tout deux effacer les preuves sur eux en essuyant le sang avec l'argent qu'ils avaient piqués à la famille bourgeoise. En faite, ils avaient payés pour le service de toutes les femmes avec tous les billets qu'ils avaient laissés dans la propriété. Il ne restait plus qu'exploser la baraque pour effacer toutes les preuves...? Non, ça ferait encore plus suspect et de toute façon, ce n'était pas dans leurs manières de tout exploser, il fallait être plus subtil dans la vie, plus précis. Mais bon, ils avaient aussi laissé la maison des riches avec les six cadavres des personnes qu'ils avaient tuées, ça ne changeait rien qu'une autre demeure soit dans cet état-là à par pour les proprio' enfin c'était pas de chance pour eux, qu'est-ce que vous voulez ?

Chapitre 4 : Arrogance & Paresse...
Il ne restait plus beaucoup de fric chez nos deux protagonistes, ils se devaient de récupérer de l'argent, mais Allen émit l'idée d'explorer deux mondes nouveaux pour le moment en voyant un combattant de rue proposant de le battre pour remporter le pactole, il fallait bien sûr payer la participation et peut être que nos deux « héros » avaient été un peu dépensier vu qu'il ne leur restait qu'assez de tune pour payer la participation. Bref, en combattant ce parieur, le camarade de Kureha allait lui montrer l'arrogance dont il faisait preuve en étant trop sûr de soi, mais aussi le fait qu'il était trop paresseux pour se trouver un travail et gagner de l'argent... ou le contraire d'ailleurs parce que l'archère ne savait pas comment son compagnon se débrouillait en combat à mains nues, elle l'avait juste vu se débrouiller avec un couteau comme tout bon ninja, ou ancien ninja plutôt dans ce cas-là.

« Hé le frimeur. Viens, c'est moi qui vais te combattre. Tiens, attrapes petite frappe! » Dit-il -et en rime- au combattant de rue en lui balançant la bourse avec ce qu'il restait d'argent à l'intérieur. « Tu cherches déjà ? Avant de combattre ? Je te trouve bien téméraire gamin, allez viens, j'te laisse le premier coup. » Dit-il en mettant ses poings devant lui tout en sautillant comme un boxeur. Ni une ni deux, sans dire un mot, Allen accepta tacitement son invitation, et pour le lui faire comprendre un peu plus -disons- directement, il lui mit un crochet du droit en plein dans le poumon. La respiration coupée, il se baissa un instant. Le compagnon de Kureha croyait alors le combat déjà fini et tout en souriant, il baissa sa garder et se prit quant à lui un direct dans la tronche. Heureusement, aucune dent ne fut cassée, mais il se retrouva par terre, un peu sonné. Il se remit donc progressivement debout en nettoyant le sang qui sortait de sa mâchoire d'un revers de sa main.

Cette fois-ci, l'initiative revint au combattant de rue qui s'avança rapidement vers le déserteur pour lui donner un coup de poing en plein dans l'estomac réduisant son geste pour nettoyer le sang de sa bouche vu que le sang ressortit de plus belle de sa bouche, il vomissait sans doute le repas de gourmet d'hier soir avant le cabaret. Mais lui, contrairement à son adversaire, ne lui laissa pas reprendre son souffle et l'enchaîna directement avec un uppercut en retirant son poing de son ventre. Cet uppercut fit tomber Allen et sonna le glas de la fin... Assommé, Kureha vint le chercher et l'emporta avec elle dans un parc pour qu'il se pose sur un banc et se repose un peu histoire de reprendre la forme après les quelques attaques du combattant de rue qui s'avérait en fin de compte assez puissantes, trop puissantes pour le compagnon de l'archère sans doute.

« Et bha, t'as pas mal morfler sur le coup. On dirait que le plus arrogant et le plus paresseux pou gagner de l'argent entre vous deux, c'était toi. » Dit sa camarade au déserteur ayant la tête sur ses cuisses tout en se penchant sur lui, un visage attentionné pour lui et les longs cheveux tombant à côté du visage du pauvre. « Alors... tu préfères lui à moi ? » Lui répondit son compagnon tout en mettant sa main sur sa joue. « Non, je préfère les paresseux arrogants dans ton genre apparemment! Ou bien c'est juste toi que j'aime... qui sait après tout. » Et votre attention s'il vous plaît, voici la scène la plus cliché qui soit du récit : après avoir dit ça, l'homme afficha un visage heureux tout comme sa compagne et le vent commença à souffler, ses cheveux virevoltant au gré du vent.

Maintenant qu'ils avaient fini d'observer les 7 pêchés capitaux et qu'ils étaient réunis ensemble -certes pour pas très longtemps- mais sans argent, qu'allaient-ils advenir d'eux ? Peut être allaient-ils boire un coup histoire d'oublier qu'ils aient perdu autant de fric en une seule nuit et ce, en s'enfuyant sans payer. Ou bien, allaient-ils revenir à la demeure de la riche famille histoire de voler un peu plus d'argent. Ou bien encore allaient-ils revenir au cabaret histoire de vider la caisse. Mais ils pouvaient tout aussi bien attaquer le combattant de rue par derrière histoire de récupérer leur argent, qui sait ? Cependant, maintenant que les 7 pêchés avaient été explorer, Allen avait-il encore une raison de rester ? Sa compagne peut être, mais resterait-il vraiment pour elle, même s'il l'aimait ? La réponse était : Non. Il dût s'en aller aussi vite qu'il était arrivé, mais au moins, il avait fait devenir Kureha une criminelle. Chose qu'elle n'aurait pas pu faire seule, manquant de conviction, mais maintenant, elle veut réitérer le plaisir de cette unique journée qu'elle avait passée avec cet homme. Et pour cela, elle fut prête à faire toutes les conneries imaginables. Quitte à rejoindre un homme pour devenir son esclave sexuelle avec une femme qu'elle rencontra au cours de ses péripéties dans le monde ninja...