~ Une enfant du pays
Il y a de cela encore un maneton d'une équivalence de quelques concises secondes, le monde, votre accomplit monde n'était qu'une vaste étendue shpérique et terreuse sous le règne de ce que vous baptiser la nuit. Il y a peu, cette maîtresse sourcilleuse était encore l'exclusive dominante des cieux, pour l'accompagnée dans son règne d'infortune à ces cotés atrabilaires on percevait de prunelles indiscrètes une énigmatique silhouette, ces travers lumineux mais blême et cireux élevaient d'une suprémacie incontestable l'atmosphère pesante et léthargique. Et enfin si de fins observateurs vous êtes vous discernerez de légère pointes luisantes parcemé ici et là dans ce camaieu d'uniformité ténébreuse. C'est une unité céleste qui vous écrase chaque instant s'écoulant, son souffle polaire fouettant de lamelle de cuire vos visages rosés et frissonants tout aussi coupable que l'humanité elle-même, vous la composez après tout. Sa lumière cadavérique porte l'esprit à philosopher sur vos travers vaudevillesque et peut-être enfin vos yeux clos d'un voile d'illusion se réouvriront sur votre petitesse grostesque. Vous l'avez en horreur cette divinité nocturne, pourquoi ? Reniez l'agrément de la nature n'a rien de prestigieux, cela n'apporte même point le goût factice de la satisfaction qui ce fait si éphémère que vous y êtes pour la plupart devenues dépendant. Elle vous octroie ce que vous ne possédez pas n'est-ce pas, vous vous sentez porté par une sensation de sécurité, de plaisir, d'arrogance vile autant que postiche. Vous faites peinne à voir car vous semblez chercher le bonheur là où il n'est oncques.
Voyez cette silhouette progressant présomptueusement à travers ce boqueteau, regardez comme son regard est froid et n'inspire que le respect ou bien la crainte, son pas rigide, son corps droit, cette femme fend la nature d'une allure conquérante dont on ne peut que louer l'élégance. Ses prunelles ne sont louées qu'à voir la miséricorde de cet univers, elles sont incapables de pitié et resteront assurément vide de vie. Daignez y plonger les votres, daigner ce que personne ne fait onc, osez bon sang. Si vous ne le faites point peut-être que vous vous sentirez soulagé, je ne saurais que dire de votre attitude miroitant si bien votre nature poltronne. Elle ? Inconnue lui semble ce therme. Un facièes aux traits durs comme il est donné d'en voire si rarement. Cette jeune femme n'est pas comme vous, elle ne cherche pas le bonheur là où oncques elle trouvera, elle se contente d'apprendre à vivre de la façon la plus prospère. Peut-être se satisfait-elle de peu, peut-être voit-elle la joie dans les plus burlesques diverticules du monde mais si l'on observe bien on s'en dément aisément.
Mais enfin, il est possible que vous vous interrogiez sur la destination de cette si aguicheuse créature qui de ces courbes sensuelles traverse les bois d'un pas rigide. C'est une possibilité mais après tout je ne suis pas envous, je ne peut savoir ce que je ne saurais savoir, je ne peut que déduire. Tiens, justement observez ce qui se dresse devant cette femme. Des portes, le seuil d'un village ravagé. Détruit par votre folie si hasardeuse et aléatoire, les portes son ten piteuse état, elles en perderaient même leurs appellation si nous ne savions pas à quoi elle s'apparentaient avant. Le passé possède toujours des travers plus plaisant que ceux du rpésent mais qu'en est-il du futur. Ho je comprends vous préférez ne pas vous en préoccupez comme vosu êtes prévisible. Elle, elle n'aurait pas hésité à s'y questionner. Elle s'avance d'un pas sec, elle lance un regard furtif aux alentours. Cette femme c'est Asa Hateru, elle est de retour à son pays d'origine après une semaine passé en mission. Cette dernière c'est soldé par une victoire mais qu'importe. Asa reprend sa marche funeste en passant le seuil sous les prunelles des gardes. Konohagakure tu as retrouvés une de tes filles.