Il est temps pour moi de changé. L’époque n’est plus à la récolte de légumes, ou encore au rammassage des feuilles mortes, dans les rues du village de la Brume. Une mission d’un genre réellement particulier, qui ne sera clairement pas une facile, m’est confié par les hautes sphéres de Kiri. Aucune autres personnes qu’eux et moi-meme, ne dois en découvrir les détails. Je suis d’ailleurs tout autant content que l’on me confie une mission de cette envergure, car pour moi c’est un signe de confiance dans mon talent. D’un autre coté, je ne peut nié le fait d’avoir une legera appréhension, les dangers étant multiples au cours de ce qui m’attend. Bah, en tant que ninja médecin, je pense que je vais avoir un coup de main grace à mon irou-ninjutsu. Je me prépare en silence, alors qu’au loin, résonne le bruit de combat. Je suis au niveau des portes de la ville, caché cela va de soi, alors que les nukenins ne vont plus tardez à arriver. De courtes minutes et les voilà, poursuivit par un tout petit groupe de ninjas chuunin d’ici.
Il est temps pour moi d’entré en jeu. Je sors de ma cachette, recouvert d’une longue tunique noir, dissimulant ainsi mon visage à quiconque le cherche. Les trois nukenins me regardent d’ailleurs, se demandant sans doute dans quel camp je suis. Chose compréhensible non ? Je cours dans leur direction et tend alors un bras, mais sans les menacés. Je remarque au passage que l’un d’eux, semble avoir une legere blessure au bras gauche. J’atterris entre les renégats et les kirijins et je frappe le sol avec mon poing, après y avoir concentré mon chakra, brisant ainsi la zone devant moi et stoppant le mouvements de mes réels camarades. Puis je balance une bombe fumigène, bien que la poussière élevé du à mon attaque suffise. Je me retourne vers les trois brigand, d’un simple signe de tete je leur indique la direction de la sortie et les suis, lorsqu’ils prennent la poudre d’escampette. Nous quittons les murs et nous éloignons à grande vitesse, bien que je sais au fond, qu’aucun garde ne va intervenir maintenant... A l’instant présent, je me retrouve tout seul, au milieu d’un trio d’ennemis.
Du moins, seul shinobi fidèle à Kiri. Oh bien sur Sanbi est là, mais il ne faut en aucun cas, qu’un des trois, ne découvre mon secret, sinon ça n’en sera que plus compliqué. Pour l’heure, nous laissons le célèbre village sanglant derrière nous, direction une destination qui m’est encore inconnu. D’ailleurs je trouve étrange, que pas un mot ne soit prononçai. Je m’attend à ce qu’on prenne une pause quelque pars, au moins pour que les nukenins me posent diverse question, car cela est une réaction normal de mon point de vue, l’infiltration n’est jamais une chose facile. Comme s’ils ont lu dans mes pensées, on me fait signe, une fois dans une clairière, de ne plus avancer. Celui qui est blessé, s’assois contre le tronc d’un arbre et me regarde. Il est temps, je vais sans doute avoir le droit à une tonne de question, pour me tester, bien qu’en même temps, ils ne devraient pas avoir trop de soupçons, rien ne peut dire que je suis contre eux et pas avec. L’un de mes buts premiers, est donc de ne pas être découvert.
- Toi, je ne sais pas qui tu est, mais pour le moment... Reste avec nous, si tu fuit le village comme nous trois. Je te préviens, je te surveille, tu ne pourra rien faire sans mon consentement c’est clair ? Maintenant, nous avons besoin d’herbe médicinales pour soigner ma jambe, donc tu va nous faire le plaisir d’en trouver n’est-ce pas ?
- Cela me va, je compte obéir s’il le faut senpai. Pour ce qui est de votre requête d’ordre médical. Nul besoin d’une pauvre fleur pour soigner un dommage aussi peu insignifiant. Je suis un ninja médecin après tout. Je vais vous prouver ma bonne foi, en utilisant mon irou, pour vous guérir monsieur. Puis-je le faire ?
Pour toute réponse, j’entends une sorte de grognement que je traduit par un oui. Je m’approche donc de lui. Puis pose genoux à terre, histoire d’être bien positionné au dessus de la plaie. Mon chakra concentré, fait deviens visible, via une forme de sphère verte qui entoure mes mains, mais aussi la partit touchée de la jambe. Quelques instants sont suffisant, n’étant pas gravement atteint. Une fois finis, nous reprenons chemin.