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Sujet: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Lun 11 Juil 2011 - 20:48
InvitéInvité
Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Mar 12 Juil 2011 - 23:43
Les jambes croisées, l’air las, comme si la vie avait quitté se corps depuis déjà des lunes. Combien de temps avait-il passé ainsi appuyer sur ses jambes à attendre que la vie revienne en lui, surement très longtemps puisqu’il s’était assis ainsi lorsque la lune était bien haute et maintenant c’était le rayon chaud du soleil venant frapper son visage qui fit dévier celui-ci de quelques centimètres. Ses paupières s’ouvrirent en concert avec le mouvement de tête laissant ses iris noirs comme la nuit balayer la pièce. L’ennui, n’était-elle pas la première émotion à faire son apparition dans ce pantin qui était pourtant parfait… L’humain parfait n’est-il pas celui qui ne ressent aucune émotion? Celui qu’on ne peut jamais réprimander puisqu’il fait toujours ce qu’il doit faire puisqu’après tout… Sans sentiment de protection, de joie, de jalousie, de colère, de tristesse ou encore même d’avarice comment un humain peut-il faire une erreur? Alors cet homme parfait était surement sur le point de devenir qu’un simple et dégoutant humain. Quelqu’un vint cogner à la porte de sa chambre, la voix mélodieuse qui se fit entendre de suite fut nul autre que celle de sa mère. Physiquement il lui ressemblait beaucoup, pas grand, pas trop musclé avait même une magnifique stature beaucoup plus féminine que masculine, une voix angélique, mais qui de toute évidence n’utilisait jamais. Par contre dans sa tête il était unique, son père avait voulu se rendre à l’apogée de l’art de ne pas avoir d’émotion, visiblement il avait échoué en mariant la mère d’Hajime et il s’était donc penché sur son fils le transformant lui… En la meilleure chose qui peut exister en ce monde, l’homme parfait. La voix lui avait donné un ordre, ce doux nectar qui lui permettait d’agir et de penser. Elle lui avait ordonné d’aller faire un tour dans le sous-sol du manoir voir l’escouade d’interrogation de Suna, le EIS.
Il se leva d’un mouvement trop neutre, ne signifiant aucune joie et ne signifiant aucune ennui comme si Hajime avait réussit à trouver le parfait timing pour se lever sans rien vouloir avec son corps. Il descendit les marches du manoir laissant doucement sa main trainer sur le côté de ceux-ci flattant doucement la rampe de cette ci gracieuse main. Ses doigts longs et fins valsé lentement sur celle-ci semblant danser. Il cessa de marcher rendu au bas des marches pour laisser sa main quelques secondes sur la tête de mort au bas de celle-ci, quoi de plus normal pour un clan de tortionnaire de posséder des marches aussi lugubres. Une fois ce court moment semblant réellement plus à un « bug informatique » qu’autre chose, le ninja poussa la porte en métal pour se rendre à la salle de torture laissant celle-ci se fermer avec un fracas sonore digne d’un orchestre échappant tous à la fois leurs instruments. Les lumières s’allumèrent doucement suivant les pas du ninja du vent laissant le malin plaisir à l’homme attaché de pouvoir contempler l’ange qui allait lui faire délier la langue.
Une croix, des clous, des filaments de sang coulant des extrémités de ses membres, cela semblait faire des heures qu’il avait cessé de crier, après tout l’EIS s’était fait un malin plaisir à abimer le corps de la cible et ceci était un sacrilège pour l’expert tortionnaire qui s’était spécialiser dans l’art de rien abimer autre que l’esprit de l’homme. L’homme en question étant emplit d’ecchymose, quelques fissures parsemaient sa peau légère brunâtre laissant cette couleur semblable à la boue du désert se mélanger avec cette magnifique couleur qu’était le rouge foncés. Sa tête se releva avec lenteur hochant de gauche à droite comme si celle-ci était prise dans les remous de l’océan, il fit un faible sourire provocateur et le destin vint lui rappeler la vérité et le reste de ce qu’il possédait dans son estomac vint joncher sur le sol. Par contre cette homme coriace (après tout il avait gardé le silence depuis le début) refit un sourire à pleine dent laissant le plaisir à Hajime de contempler les morceaux de vomit pris dans ses dents, l’homme fit quelques pas vers sa cible et le fixa dans les yeux… Étrangement le ninja du pays de la terre déglutit et cessa de sourire, est-ce que cela aurait un quelconque rapport avec ses propres iris, l’homme venait déjà d’assumer sa défaite… Les yeux noirs et sans vie d’Hajime, cette ressemblance incroyable avec les ténèbres venaient de le figer durant quelques secondes et le pire était toujours à venir. Le sunajin tira avec douceur un levier ce qui fit lever la croix et tourner le plancher sous lui affichant maintenant le symbole du clan Inaoumie. Ce symbole était représenté par de multiples roses s’entrelaçant comme s’ils essayaient de se faire l’amour laissant leurs multiples pétales noires se mélanger en son centre, le torturé était lui en plein centre du symbole et en harmonie avec cette tournure des évènements toutes les lumières de la salle s’ouvrirent en même temps laissant place au plus beau des spectacles…
Des centaines d’outils de toute sorte était placé un peu partout, après tout prenez les instruments précis d’un marionnettiste de talent et transformez-les juste un peu pour en créer des armes de tortures et l’objet inoffensif devient subitement la dernière chose que vous vouliez voir dans votre vie. Hajime pencha lentement sa tête vers la droite laissant un craquement grave et sonore rebondir sur les murs de la pièce insonorisé. Le pantin s’approcha doucement du ninja de la terre et passa doucement ses doigts sur la gorge de l’homme et commença à l’étrangler, il resta ainsi durant une dizaine de minutes ne laissant jamais le loisir à l’homme de mourir, mais seulement de ressentir la brulure de ses poumons, les battements de son cœurs s’accélérer, sa vie quitter lentement son corps mais sans jamais s’en aller complètement. Après ne vous à t’on pas dit que mourir par manque d’air est une des morts les plus douloureuse pour l’être humain. Hajime recula de quelques pas, l’homme haletait, il respirait à plein poumon, surement que l’air n’avait jamais été aussi précieuse pour ce montre d’être humain jamais capable d’apprécier les bonnes choses de la vie, maintenant il respiration de grande goulée d’air par peur dans manqué une nouvelle fois dans sa vie. Une fois son rythme cardiaque sur le point d’être rétablit il plongea son regard dans celui de son bourreau et on pouvait lire sur son visage une des plus significatives émotions, la peur. Celui enfourcha sa langue plusieurs fois ce qui laissa sortir de sa bouche un discours quelques peux décousues.
-MmmmMonstre, tututu est un… Monstre…
Hajime hocha doucement la tête de gauche à droite avant de laisser sortir de sa bouche la pure et unique vérité…
-Faux, je ne suis que ce qu’on m’a dit d’être!
Le torturé commença à crier, que cela soit des sons grave, aigu passant de la peur à la colère, Hajime en avait rien à foutre puisqu’après tout… Son ordre était de le faire parler coute que coute. C’est alors qu’il partit prendre la torche sur le mur et mit le feu au cloué… Celui-ci voulant tant se débattre, cela se voyait dans se visage ou les flammes dansait, il voulait bouger ses bras ou ses jambes mais après tout, ils étaient cloués et très bien où ils étaient. Hajime alla tout simplement se chercher un banc et s’assit laissant ses yeux planter devant lui fixant intensément le spectacle qui s’offrait à lui. Beaucoup aurait ressentit de l’horreur, du dégout, d’autre aurait été envahit par la joie, quelques-uns par la colère, surement ses proches et Hajime lui… Rien, aucune de ses émotions, il n’était que pantin accomplissant son travail.
Combien de temps s’était écoulé depuis, aucune idée, l’homme aurait dut avoir le temps de brûler durant quelques heures, perdre la vie des milliers de foi, mais non. Ce sceau était le chef d’œuvre des Inaoumies, faire souffrir quelqu’un à l’infinie sans jamais que celui-ci ait le loisir, je dis bien le loisir de mourir puisque quiconque se disant apte à subir n’importe quel douleur sans parler c’est qu’il ne comprend pas à quel point l’immortalité dans la souffrance est le plus grand cauchemar de l’homme. Hajime finit par éteindre le feu, l’homme devant lui pleurait à grande larme, il le suppliait à voix forte de le tuer maintenant, mais la froideur du désert n’avait pas terminé son travail. Le sunajin s’approcha lentement de l’homme et lui dit assez près du visage.
- Parles… Et tu cesseras de souffrir.
L’homme déglutit, il savait que ce qu’il allait faire était la pire action au monde, que son nom ne serrait jamais dans les livres, que son nom serait oublier ou encore connu mais sous le symbole de la haine et de la trahison, mais ces hommes qui le jugeront auront tous un point en commun jamais ils n’auront subit cette torture, jamais ils n’auront eu la chance de subir la salle des tortures des Inaoumies qui elle au moins te fait réaliser à quel point la vie est importante. L’iwajin finit par dévoiler ce qui allait se passer, quelques espions ninjas s’étaient infiltrés avec lui dans le village et celui-ci donna tout leurs noms ainsi que leurs noms d’emprunt pour la mission. Il avait donc finit son travail et maintenant il allait respecter sa parole. Hajime sortit rapidement un kunai et l’enfonça d’un coup dans le cœur de l’homme ne lui laissant pas le temps de souffrir du coup, s’était sa promesse après tout.
Hajime quitta la salle de torture et monta les marches avertir son père des découvertes, c’était lui le lien avec le Kazekage pas lui. Il passa dans sa chambre prendre son trench-coat blanc/beige et passa autour de son cou son magnifique foulard de soie blanche, pour le style et pour l’utilité incroyable qu’il avait de pouvoir lui camoufler la bouche et les yeux en cas de tempête de sable. De toute évidence sous ses habits de sortit, il portait son ensemble noir après tout c’était ci mignon que ceux-ci s’agence avec ses iris. Lorsque la porte de son manoir s’ouvrit pour le laisser aller à l’extérieur le soleil était déjà sur le point de se coucher, la température étouffante habituelle du désert avait descendu avec le soleil, un doux vent venait caresser son visage pour terminer en s’amusant avec ses cheveux. L’homme commença à marcher dans les rues de Suna à la recherche de Kai, la seul personne au monde avait qui il semblait « s’amuser » autant qu’un pantin le peu du moins.
Les gens commençaient à rentrer chez eux, les rues se vidait un peu, mais Hajime le regard plonger devant lui réussit quand même à accrocher légèrement une demoiselle qui marchait dans la rue, qu’une simple collision d’épaule, les deux se retournèrent rapidement, par contre ils n’eurent pas le même réflexe. Celle-ci s’excusa poliment d’une voix très belle à entendre, similaire à sa mère bien sur ce n’est pas le sentiment de bonheur dut à une si belle voix qui lui fit faire la comparaison, mais bien la tonalité et la variation de la voix après tout c’était la façon de penser d’un être complètement rationnelle. Lui au contraire lui aurait sauté au cou si ce n’était pas du bandeau de Konoha accroché à sa jambe. Lui portait au contraire son bandeau à son bras et outre ceci ses deux êtres étaient relativement semblable. Un très beau teint, une apparence à en faire baver plusieurs, et ce physique à en mélanger plus d’un… pour Hajime c’était évident que la personne qu’il avait accroché était une fille, après tout elle n’avait pas de pomme d’adam , mais physiquement même possédant de trait beau trait celle-ci ne possédait pas d’énorme seins surtout étant cacher sous de multiple bandages et lui avait la beau aussi belle et douce qu’une femme sans oublier ses cheveux soyeux et ses lèvres à en charmer plus qu’unes.
Par contre le sunajin tourna le regard bien rapidement laissant la jeune demoiselle rentrer dans le restaurant par contre quelques pas plus loin celui-ci se tourna de bord pour regarder la foule autour de lui, ceux qui était sur le point de rentrer ses yeux avaient tous tourner le regard vers Juka, ils étaient tous en train de marcher lentement vers le restaurant pour la contempler… Pour Hajime ceci semblait être un signe de danger et un des ordres qu’il avait reçu dans sa vie était de protéger Suna de n’importe quel tord et cette fille qu’elle le sache ou non était sur le point de dépasser la limite permisse de chaos provoqué dans le village. L’homme aux cheveux d’argent entra dans le restaurant et pris place proche de Juka, les femmes toujours chuchotant à leurs voisines la jalousie, les hommes la regardant comme si elle était une pièce de viande et ce bizarre de sentiment qui prenait naissance au fin fond de son âme, mais de toute façon se micro sentiment lier à l’incompréhension totale de celui-ci laissa Hajime de marbre. Il posa sa main sur l’épaule de la femme pour lui faire tourner la tête et au même moment un homme vint le frapper par derrière surement jaloux qu’un autre homme que lui touche cette descendante de Narcisse. Sans être un adepte et même efficace en taijutsu, Hajime était tout de même beaucoup plus puissant qu’un être humain normal, il tourna la tête attrapa le bras et le fit valser dans les airs le laissant s’écraser sur une table d’homme maintenant envahit de la même envi de lui casser la gueule. Et voila, il était l’élément déclencheur d’une guerre dont les prémices avait été fait par une femme. Il ne fit que la regarder une derrière fois dans les yeux avant de dires d’une voix un peu trop belle à son gout (ressemblant un peu trop à la voix de sa mère) lui qui habituellement réussissait à la garder monotones.
-Suis moi ou tout iras mal pour nous deux.
Hajime esquiva quelques coups d’homme à moitié bourré ou encore envahit par la colère et donc prévisible et réussit à quitter le restaurant. Le sunajin courut jusqu’à une grosse caisse et s’en servit pour sauter sur un toit et commença à courir en direction de son manoir ou la au moins ils auraient la paix puisque personnes ne voulaient approcher se manoir qu’on avait appelé le manoir au mille et un cri. Une fois arriver à la porte de fer du manoir celui-ci se tourna et s’assit rapidement sur les marches joignant doucement les mains l’unes dans l’autre pour les poser délicatement sur ses jambes, de toute évidence cette fille était des plus étranges et c’était son devoir de découvrir ce qu’elle faisait pour faire tourner autant de tête, pas pour son plaisir personnel, mais bien pour la sécurité du village.
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Mer 13 Juil 2011 - 10:11
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Jeu 14 Juil 2011 - 2:46
Ces dans cette position de calme et de réflexion que ses paupières se fermèrent avec lenteur pour le laisser plonger dans un de ses souvenirs, essayait-il de comprendre quelques choses qu’il n’avait eu la chance de comprendre. Essayait-il de prendre vie, non après tout comment un pantin pourrait prendre vie si personne ne lui en donne l’ordre, un ventriloque rend bien sa marionnette vivante lorsqu’il place sa main à l’intérieur pour le faire bouger et parler. Alors pourquoi retombait-il dans ses pensées l’ordre, du Kazekage était de protéger le village pas de se remémorer des choses non ? Commençait-il à devenir… immonde ? Cette bande de souvenir était ancré en lui comme toutes les autres informations utiles qu’il avait emmagasinées, du moins c’était Kai qui lui avait supplié de garder cela en mémoire pour plus tard, est-ce que tard signifiait maintenant dans le présent ou encore bientôt dans le futur ?
Ils étaient les trois réunit dans ce souvenir qui les plongeait directement à l’époque ou ils avaient encore la chance de pouvoir discuter tous les trois, l’époque ou ils étaient encore Chuunin mais tellement heureux, du moins autant qu’un libertin, un fanfaron et un pantin peu l’être. Le trio le plus étrange au monde de toute évidence. Au départ de cette vision il n’y avait que Kai et Hajime les deux assit paisiblement sur une roche dans le désert à entendre que Vinzo arrive… Le silence régnait, les deux Sunajins étaient visiblement amis, mais n’avait rien à ce dire, pauvre Kai… être pris à être amis avec un homme sans vie, quel ennui mortel cela doit être. Le ciel était dégagée et le vent était frais, le soleil commençait lentement à se lever ce qui tendait de faire devenir orange les ténébreux vêtements que le duo de ninja portait fièrement. Un courant d’air plus puissant que cette habituelle caresse rugueuse de se vent désertique vint frapper leur visage faisant par la même occasion détourner leur tête pour poser leurs iris devant eux pour apercevoir le nouvel arrivant, Vinzo… Un immense sourire aux lèvres. Un magnifique sourire, du moins c’est ce que les femmes du village disait de ce jeune homme prétentieux, enjouée et joueur surtout… Celui-ci s’approcha rapidement du maitre de l’invisible pour se figer devant lui avec un regard emplit de questionnement et une bouche pleine d’envie de parler… Avant que quiconque n’ait eu le temps de prendre parole Vinzo se mit à déblatérer une horde de mot venant frappé de plein fouet Kai qui recula quelques peu sur le rocher pour finalement ouvrir grand ses yeux l’air surprit de ce qu’il venait de se passer.
-QUOI QUOI QUOI QUOI QUOI ! VOIR ! TU L’AS FAIT ET TU M’EN A PAS PARLER ! DIT MOI QUE C’EST DES RUMEURS FOUTUS COUREUR DE JUPON !
Kai toujours aussi sur le choc se tourna rapidement vers Hajime pour plonger son regard dans le siens, il voulait surement avoir de l’aide ou un support quelqu’un, mais c’est toujours dangereux de s’accrocher à un morceau de bois mort, de un il ne comprendra pas vos expression et de deux il risque de briser à tout moment vous laissant avec votre air stupide tomber sur le sol. Celui-ci finit par plonger de nouveau ce regard d’améthyste dans son nouveau bourreau mais incapable de supporter ce regard finit par dire l’air innocent…
-Non non… haha… quand même pas…
Vinzo hocha la tête de gauche à droite, Kai mentait si mal quand il était gêner, un peu plus et il serait devenu rouge de gêne le pauvre. Vinzo sauta à côté de lui et commença à lui frotter frénétiquement la tête comme s’ils étaient des frères, ils riaient, ils étaient heureux… Est-ce que cela était la joie ou un autre sentiment ? Il devra le demander à Kai lorsqu’il le reverrait pour s’assurer d’avoir penser au bon sentiment. Après avoir dit plusieurs fois qu’il devait tout lui conter sous quoi il allait devenir fou, celui-ci finit par avouer que oui il avait bien fait l’acte avec la femme du boulanger et que celle-ci se débrouillait vachement bien. Hajime lui les regardait sans réellement comprendre ce qu’il se passait, il pencha doucement la tête vers la droite et resta ainsi à les regarder ce demandant seulement quand Vinzo allait prendre le temps de leur dire la mission, ils n’étaient pas réunit justement pour cela ? Accomplir une mission. Vinzo et Kai soupirèrent devant le visage sans vie de leur coéquipier et ceux-ci finirent par bouger pour se placer de chaque côté du pantin, venait-il de placer leurs mains dans son dos pour le permettre de s’activer comme-ci celui s’éveillait comme une marionnette heureuse de voir son marionnettiste, mais d’une façon peu commune Hajime crut se sentir bien, peut-être même ressentit-il de la joie, mais sans savoir ce que sait comment peut-on l’analyser correctement…
Kai et Vinzo finirent par lui expliquer en détail ce qu’est le désir envers quelqu’un, mais de toute évidence ceux-ci ne firent pas mention des détails concernant l’acte lui-même, après tout auriez-vous le courage d’expliquer l’acte au complet avec détails à un nouveau-né ayant tout juste l’âge de vous comprendre ou garderiez-vous quelques détails secrets dans l’optique de bien l’éduquer le moment venu. Par contre Hajime finit par comprendre le concept logique à la chose, on ressentait un désir lorsque notre corps nous criait de toucher, de s’approcher, de caresser, d’embrasser la personne devant nous, est-ce que son corps avait essayé de crier tout à l’heure ? Est-ce que cela n’était rien d’autre que le crie d’un muet après tout… Le désir, c’était cela qu’il avait apprit se jour la, mais pourquoi ceci lui revenait-il en mémoire maintenant… Le désir, une attirance dut à des phéromones… Des phéromones… Des phéromones…
Ses paupières se levèrent avec lenteur donnant presque l’impression que le Sunajin avait dormit des lunes et des lunes. Ses iris aussi sombre que le néant lui-même se fixèrent sur la femme qui venait de s’accroupir près de lui. Probablement que quelqu’un de saint aurait tout fait pour lui plaire, surement que quelqu’un de normal se serait fait enivrer par la présence de la demoiselle, surement… Mais bon ceci n’avait peut d’importance en face d’un pantin. Même en étant complètement, du moins très vide l’homme ne plus faire autre chose que de remarquer la beauté de la femme près de lui, mais la beauté du point de vue rationnel ne vous faites pas d’illusion. Cette douce voix mélodieuse semblable à celle de sa mère refit surface, le Sunajin hausse même un sourcil ayant presque envi de tourner la tête pour voir si ce n’était pas sa mère qui lui parlait dans son dos.
’ ça va aller, pour ta tête ... ? J’ai vu que tu as reçu un coup, mais ça a l’air d’aller ... ’’
Cette phrase le laissa de marbre, non il n’avait pas mal, un simple coup de poing après tout… Surement pouvait-il ressentir la douleur, mais lorsqu’on subit jour après jour la salle des tortures des Inaoumies pendant des années… On commence à connaitre la douleur et même l’adopter en nous et nous nous sentons presque mieux lorsqu’elle est la, mais ce qui tiqua le plus l’homme du désert fut le sourire qu’elle lui accorda… Kai lui avait dit qu’un sourire était significatif d’une preuve d’attention, de joie, de crainte, d’attirance envers une personne et plusieurs autres, mais il ne trouvait pas lequel cela pouvait bien être. De toute évidence il ne plus faire à son habitude et questionner la personne devant lui avec ses questions stoïque sans réel sens pour les personnes ne connaissant pas son… Handicap.
‘’ Tu voulais me dire quelque chose ... ? Tu m’as demandé de te suivre, et j’ai senti ta main sur mon épaule. ‘’
Hajime qui semblait sur le point de tomber dans une lourde réflexion sur l’action qu’est le sourire releva la tête et l’hocha doucement de haut en bas. Devait-il parler ? Il n’était tellement pas habituer de répondre aux gens par des mots, Kai et Vinzo le comprenait même s’il parlait avec le silence… Le cri d’un muet… La voix mélodieuse du Sunajin refit surface, pourquoi cette voix… Pourquoi ce ton qui pourtant n’utilisait jamais même s’il était le siens… Pourquoi… Le désir ?
-Oui, Kai aurait dit phéromones, le rationnel de désir… Suis-moi.
Ceci était de toute évidence une longue phrase pour le Sunajin, un peu plus et il aurait repris son souffle. Il fit un demi tour suivit d’un moment de pause pour s’assurer que la lady le suivrait, lorsqu’il fut sur que celle-ci suivait ses pas il continua sa marche vers le haut de l’escalier menant à la porte. Une fois celle-ci ouverte on pouvait apercevoir la mère d’Hajime les yeux grands ouverts visiblement incapable de comprendre comment son fils avait plus ramené une femme à la maison, pas qu’elle trouvait cela gênant ou encore dégoutant… Mais… Hajime… Avec une fille ? Celle-ci partit de toute évidence aller raconter tout cela à son père sur de venir d’apercevoir la plus grosse histoire de l’année tout entière. Le couloir dans lequel ils marchèrent était emplit de peinture de toute sorte, pour des adeptes de la torture ceux-ci était magnifique, le pendu. Une peinture représentant clairement un homme nue pendu, la tête se ballotant sur le côté avec quelques peux d’écumes… Et d’autre dans la même gamme. Une fois le corridor dépassé ils firent leur apparition dans la salle la moins visité de la maison et donc la plus calme, la cuisine.
En Gentleman de pantin qu’il est, Hajime ne fit que pointer la table lui faisant signe de s’assoir et ouvrit une armoire ou il y avait plusieurs épices, il prit un poisson frais encore sur de la glace (matière rare en Suna) et commença à le faire cuire. Il gardait le silence et ne regardait qu’à de faible moment son « invité ». Surement qu’une question vous tourne dans la tête, comment cette homme du désert à t’il fait pour comprendre que la belle Juka avait faim… Tout à fait simple, elle était dans un restaurant lorsqu’il l’avait trouvé et avait remarqué que celle-ci n’avait rien devant elle lorsqu’il était arrivé… Il avait donc décidé de faire à manger, un sentiment qui ne lui procurait… Rien, c’était qu’une action comme les autres. Une fois le poisson cuit à la perfection et couper de façon artistique, après tout ne soyez pas étonné qu’un tortionnaire sache manier le couteau, celui-ci le parsema de quelques bonnes épices de Suna et apporta l’assiette à l’odeur alléchante devant la Konohajin avant de s’asseoir à son tour devant celle-ci de l’autre côté de la table. Son regard était poser sur elle, surement que cela faisait partit de la norme de ne pas regarder voir fixer quelqu’un qui mange lorsqu’on ne le connait pas, mais comment lui aurait-il fait pour savoir cette information… Il aurait dut connaitre la gêne et le respect, deux sentiments encore loin d’être découvert.
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Jeu 14 Juil 2011 - 23:52
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Ven 15 Juil 2011 - 20:46
Lorsqu’il fut assit sur la table et que son regard croisa une nouvelle fois celui de la Konohajin, il ressentit encore le même sentiment que lorsque leurs bras s’étaient que légèrement touché dans la rue. Ce minuscule crie sortant des ténèbres, se faible chuchotement devrais-je dire… Le crie des morts… C’est ce que son père s’était tant forcé à lui faire comprendre, il avait passé des mois et des années à se faire torturer par son père avec plusieurs sceaux différent visant plusieurs choses distinctes. Quelques-unes des séances visaient à endurcir le corps faible et féminin d’Hajime, surement que pour son père ceci était une marque de faiblesse de naissance et il fallait la combler avec un entrainement intensif à la méthode des Inaoumies ce qui veux dire beaucoup et beaucoup de douleur physique. Le reste de l’entrainement visait plus à « guérir » le ninja de tout émotion, puisque les émotions ne sont au final rien d’autre que des actes irréfléchies, peut de monde semble réaliser que sans eux tout irait mieux puisque oui l’être humain devrait se dévêtir de tout sentiment positif tel la joie, mais sans amour… Il n’y a pas de joie, ni de colère, de ni jalousie, ne de tristesse, ni de haine et ni d’angoisse et sans ces futiles émotions comment peut-il y avoir de guerre ? Ainsi l’être humain souffre de vivre, comment un pantin peux souffrir de vivre s’il n’as pas conscience lui-même qu’il existe ? C’est pourquoi il avait subit cette enfance qui pour lui était maintenant considérer comme nécessaire après tout son père lui avait dit. Celui-ci avait finit son entrainement avec cette phrase, une émotion n’est rien d’autre que le crie des mots, puisque c’est définitivement la dernière chose que tu veux ressentir avant de mourir, la présence d’une émotion.
Les iris du Sunajin firent un petit soubresaut, un petit mouvement oculaire rapide question de replacer ses esprits surement. Il ne pouvait pas sentir le crie des morts, c’était impossible pour lui alors c’était autre chose. De toute évidence Kai pourra lui répondre ! Le ninja cessa tout simplement de ce concentrer sur ce petit crie à l’intérieur de lui et revint à la « réalité ». La jeune demoiselle tout aussi intrigante que lui le fixait avec cette même intensité, les deux n’avaient pas dut recevoir l’éducation nécessaire rappelant que les normes sociales interdisent à tous de se regarder avec cette intensité et pourtant cela ne semblait pas déranger les deux protagonistes. La jeune descendante de Narcisse pencha doucement la tête sur le côté un peu comme lui le faisait si souvent lorsqu’il regardait les autres ce qui déclencha visiblement le même réflexe pencha à son tour la tête vers le côté comme s’il voulait garder le contact visuel. Un faible sourire s’immisça sur le magnifique visage de la Kiyomizu ce qui sembla rendre le jeune pantin perplexe, pourquoi souriait-elle ? Mais bon cela ne servait à rien de retomber dans ce cycle sans fin de questionnement sur les sourires, après tout sans Kai il n’était tout simplement pas capable de comprendre ce mécanisme humain.
Le Sunajin suivit le mouvement des mains de la jeune demoiselle, celle-ci posa son sac sur le sol, mais les deux semblèrent remonter leurs regards avant qu’un des deux n’est eux la chance d’apercevoir la photo qui avait décidé de s’enfuir de sa prison. Le pantin laissait ses doigts pianoter sur la table un doux rythme agréable à entendre, une douce mélodie agréable à entendre pour ceux aimant les percussions, le rythme était celui d’une berceuse que sa mère chantait lorsqu’il était jeune… Après tout c’était logique pour lui de ne pas savoir écrire de chanson, sans émotion c’est tout simplement impossible d’avoir tout imagination créative puisque les plus belles mélodies ne sont pas celle écrit avec le cœur ? Mais pourquoi bougeait-il ses doigts, pourquoi ceux-ci bougeait sans ordre… L’ennui, la seul émotion que le pantin avait commençait à sentir et ce depuis son enfance… mais sans savoir que l’ennui elle-même était une émotion et la pire qui soit. Pour Kai s’était la marche vers le progrès pour Hajime ceci n’était rien d’autre qu’une façon qu’il avait trouvée pour que les ordres arrivent plus vite donc en traduction que le temps s’écoule plus rapidement. Juka finit par casser les baguettes et pris un morceau de poisson entre ceux-ci, surement qu’un homme éprit d’amour pour celle douce créature aurait jubilé à l’idée que celle-ci apprécie sa nourriture, pour le Sunajin ceci n’était qu’un ordre réussit après tout c’était son travail de toujours réussir ce qu’on lui ordonnait.
Lorsque le morceau eut enfin atteint destination celle-ci ne se gêna pas pour replonger son regard dans le pantin. Celle-ci finit par sourire de nouveau, mais pas le même sourire qu’à l’habituelle, ce n’était pas le même qu’elle avait fait les dernières fois ou elle avait sourit. L’homme du désert n’avait beau rien comprendre à ce monde et ses émotions, il était par cœur très perspicaces dans les détails, faut croire que lorsqu’on découpe des êtres vivants et qu’on veut lui faire le plus mal en touchant les nerfs ont devient habituer à remarquer les petites choses… C’est d’ailleurs dans cette réflexion que la voix angélique fit son apparition de nouveau.
'' Tu cuisines vraiment très bien. '' Complimenta Juka, toujours souriante. '' Je te remercie de m'avoir invité pour manger, bien que je suis un peu gênée. Mais c'est très aimable de ta part. ''
Hajime pencha doucement la tête vers le côté regardant toujours la douce Kiyomizu dans les yeux… Gêne et aimable ? Devait-il lui demander ce que ces mots signifiaient ? L’homme plissa légèrement les yeux tentant visiblement de se souvenir de quelques choses… Sa mère lui avait toujours dit de dire merci lorsqu’elle le complimentait, surement que pour elle c’était la preuve ultime que son fils était toujours en vie. Elle avait beau adorer de tout son corps son mari, celui-ci était quand même rien d’autre qu’un bloc de glace qu’elle avait réussi à faire fondre un peu pour lui donner quelques émotions de base. Peut-être que cette ange de mère voulait faire pareil avec son fils aux cheveux argentés, peut-être qu’elle voulait qu’avec cette faible acte faire croire aux autres qu’il vivait, mais après tout il n’y avait qu’elle que cette acte bernait…
-Merci…
Un faible merci, toujours de sa voix mélodieuse, mais qui tout simplement s’éteint comme il était apparu. Aucune emphase, aucun sentiment avait envahit se mot pourtant significatif, mais au moins il avait été dit et avait donc respecté l’ordre de sa mère. Le reste du repas par contre se passa dans le silence absolu, aucun son autre que celui de leurs respiration et à quelques reprises celui des lèvres de la descendante de Narcisse qui s’ouvrait et se refermait pour capturer les morceaux tendres du poisson. Lorsqu’elle eut finit son assiette celle-ci se leva et alla essuyer la vaisselle, il l’aurait bien fait si elle en avait donné l’ordre, mais puisqu’elle fit le tout seule, l’homme du désert resta silencieux à faire bouger ses pupilles de gauche à droite pour suivre les mouvements gracieux de Juka laissant toujours se lourds silence entre eux deux.
Une fois qu’elle fut assit à ses côtés celle-ci plongea de nouveau son regard dans le siens un sourire accroché à ses lèvres, le même sourire que le précédent et donc pas le même qu’au début, avait-elle changé entre temps, était-elle devenu quelques choses d’autre entre temps ? La jeune demoiselle finit par se lever et prendre son sac posant par la même occasion la photo sur la table, pour la première fois depuis qu’il était assit à la table celui-ci détourna le regard pour regarder cette photo… Cet homme… Il l’avait… Déjà vu…
Flash back
Hajime est à genou sur le sol, la tête basse, les cheveux coller sur son vissage par la sueur, ses cheveux argentés teintés de sang les rendant rougeâtre. Sur son visage on pouvait voir plusieurs lanière de sang qui venait rendre ce magnifique pantin en macabre peinture sortit tout droit de l’imaginaire d’un immonde peintre. Le sang mélangé à la sueur coulait sur son visage et venait tomber sur le sol ou s’y ramassait doucement une flaque de sang… Sur tout visage normal on aurait plus lire la colère, le désespoir et encore la tristesse après tout un enfant ne peux pas survivre à une telle douleur, mais lui, mais lui comment pouvait-il survivre… Un nouveau claquement dans l’air et la tête d’Hajime recula violement le faisant tomber sur le dos, celui-ci cracha un peu de sang et se releva, la lanière du fouet était venu lui fendre le côté de la lèvre… Ses si belles lèvres, ses douces lèvres fines venaient d’être détruite par une lanière de cuire qui était étrangement rouge surement vieilli avec les années… L’enfant à peine âgée de quelques années se releva comme si le coup n’était de rien, on voyait la haine dans ses yeux, visiblement il avait perdu se sentiment avec le temps. Son père hocha la tête de gauche à droite et lança le fouet vers l’arrière et juste avant que celui-ci revienne s’abattre dans le visage de son fils quelqu’un cogna à la porte de la salle des tortures et son père laissa échapper son soupire habituelle avant de replacer son fouet à l’endroit initiale laissant les lumières de la salle s’éteindre.
Son père marchait d’une démarche si banale, ni vite, ni lent… Après tout c’était surement de lui qu’Hajime avait prit cette démarche sans émotion. Son père finit par ouvrir la porte laissant apparaitre une personne dans le cadre de porte, un homme avec des magnifiques traits de visage. Des traits de visage que maintenant il reconnaissait… Ceux-ci parlèrent durant plusieurs minutes laissant le jeune enfant un peu plus loin, toujours à genou, se voulant fier, les genoux dans son propre sang… Hajime plongeait ses yeux de néant sur le visage de l’homme, il ne voulait manquer aucun détail de ceux qui avait la chance de parler à son père… Il lui tendit un rouleau et finit par partir rapidement, ce que peux savait c’est que les Inaoumies sont les gardiens ultimes de plusieurs clans de ninja dont ils ne peuvent utiliser leurs pouvoirs puisque de toute façon un clan qui ne peut ressentir les émotions complexes et quelques-unes de base ne ressentent pas l’avarice nécessaire aux plan nécessitant de vendre les rouleaux pour s’enrichir eux-mêmes de toute façon, l’argent, ils l’avaient déjà. Le père finit par se tourner tout bonnement laissant échapper ces petits mots… « Entrainement terminé ». C’était tout ce qu’il avait besoin pour fermer les yeux et tomber endormit le visage dans son propre sang. La voix de Juka vint le sortir brutalement de ses pensées le faisant revenir à la réalité. Celui-ci ouvrit grandement les yeux pendant quelque instant et finit par redevenir normal, son visage toujours impassible se pencha lentement sur la droite.
" Je ne me suis même pas présentée, excuses-moi. Je m'appelle Juka. Et toi, quel est ton nom ? "
Hajime hocha doucement la tête de haut en bas, juka… Il n’avait jamais entendu ce nom et ceci ne semblait pas réellement le déranger. Son nom à lui… Rare était ceux qui le demandait, faut dire que ceux qu’il croisait finissait souvent sur un lit de mort, après tout rare était ceux qui osait lui parler, mais il ne faut pas leur en vouloir puisque de toute façon qui aurait envie de parler à un mort marchant. Les cordes vocales du Sunajin commencèrent à vibrer laissant enfin l’air quitter sa bouche de façon mélodieuse.
-Hajime… Inaoumie… Je connais l’homme de la photo…
Finalement l’image l’avait frappé probablement plus qu’il avait pensé, ses rêves, ses idées, ce moment du passé l’avait plus troublé que l’incompréhension des mots qu’elle avait dit plus tôt, une chose avant l’autre après tout. Maintenant la photo et après l’explication, s’il avait cru au destin il aurait surement dit que leur rencontre n’était pas dut au hasard, des parents qui se connaissent, des enfants qui se rencontrent pour une raison que seuls leurs parents connaissent une rencontre… Prévu d’avance par leur… Ancêtre.
(En espérant que tu l’aimes ^^)
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Sam 16 Juil 2011 - 3:26
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Sam 16 Juil 2011 - 18:01
Hajime restait toujours aussi silencieux, après tout il n’était pas pour dire plus de mots puisque pour lui c’était bien assez. Est-ce qu’il avait dit la phrase dans l’optique de partir une discussion surement pas, il l’avait plutôt dit tout simplement parce qu’il l’avait vu dans sa tête et Kai lui avait toujours dit de dire ce qu’il pensait lorsque sa mémoire le renvoyait vivre des choses dans le passé, le Sunajin pensait que cette exercice aiderait au pantin à peut-être ressentir un jour quelques émotions et qu’avec le temps celui-ci deviendrait humain… Même rêve que la mère d’Hajime après tout. Juka elle devenait lentement plus blanche qu’à l’habitude, était-elle perturber ? Surement, de toute façon autre qu’un changement de couleur de peau qui pour Hajime n’était rien de spécifique autre que quelques choses qui est semblable au caméléon le Sunajin lui porta peu attention. Par contre lorsque celle-ci s’étira pour ramasser la feuille et que leur corps se touchèrent le crie dans sa tête devint un peu plus puissant… Il était maintenant passé du faible murmure à peine existant au chuchotement, la voix devenait plus fort… Devait-il fuir ? Après tout son père lui avait toujours dit de tout faire pour ne pas atteindre le crie, le crie était la fin de tout ce qu’il connaissait… Il ne pourrait plus réaliser ses missions aussi bien qu’avant c’est ce que lui avait dit son père, il allait devenir inutile comme un arme brisée… Inutile….. Ennuie.
Lorsque la jeune Juka fut replacé sur sa chaise le chuchotement redevint se minime son à peine audible et ceci permit à Hajime de recentrer son attention sur les choses réels, après tout pour un maitre du Genjutsu il n’y aurait rien de plus ridicule que de se perdre dans les illusions, on ne peut pas se perdre dans ce que l’on connait du moins cela serait ironique et de mauvais gout. Lorsque la descendante de Narcisse se mit à fixer la photo son sourire si habituelle disparut aussi tôt ce qui provoqua un simple abaissement de la tête sur le côté pour le Sunajin qui se demandait bien pourquoi maintenant elle ne souriait plus… Kai lui avait dit que c’était parce qu’une personne est triste, mais il n’avait pas encore prit le temps de lui expliquer ce qu’était la tristesse… Donc que pouvait-il faire, la questionner ? Surement que cela serait une bonne idée, mais pour cela il faudrait qu’il formule une question complète et ceci serait compliquer surtout qu’il devrait chercher les bons mots pour faire comprendre à la demoiselle qu’il ne comprenait pas ce qu’était un émotion et après spécifier qu’il ne comprenait pas pourquoi elle ne souriait pas et que ceci était …. Hajime secoua doucement la tête de gauche à droite, après tout fainéant dans l’âme cette réflexion devenait tout simplement trop longue pour lui.
La descendante de Narcisse finit par se pencher vers l’avant rapprochant étrangement sa tête de la siennes, surement que ceci en aurait gêné plus qu’un ou encore exciter tout homme étant affecter par les phéromones des Kiyomizu, après tout ils devaient en avoir beaucoup dans le village de Konoha qui aurait rêvé de cette scène plus d’une fois, mais pour Kanrei sabaku, le froid du désert, ceci n’était rien de spécifique, après tout quand on ne voit que le rationnel des choses comment peu t’on se faire d’illusion sur une simple approche… sans émotions, l’humain serait beaucoup moins tordu et pervers. Elle finit par lui montrer une photo de très proche, Hajime plissa les yeux et faillit demander pourquoi la plaçait-elle aussi proche de lui ? Après tout il possédait une bonne vu ? Mais il se fit dépasser par Juka qui décida de prendre parole avant lui.
'' Sono Kiyomizu ? Tu le connais ? '' Demanda Juka à Hajime. '' Enfin, il était populaire, mais ... Personnellement ? ''
Sono Kiyomizu… Non il ne connaissait pas ce nom, après tout jamais il n’avait osé demander à son père qui était l’homme qu’il avait aperçue avant de tomber brutalement dans son propre sang ? Ceci est des questions qu’on ne pose pas à son paternel après tout, mais ces traits, ce nez, ses lèvres, ce regard surtout oui cela il le connaissait bien. Par contre il ne le connaissait pas particulièrement, mais le connaissait, mais quel question compliquer à répondre sans ce tromper… Le sunajin finit par tout simplement hocher la tête de haut en bas avant de dire à voix de sa voix mielleuse complètement inhabituelle dans son genre et dont Juka était la seule à avoir entendu si souvent.
-Oui, non, je l’ai déjà vu parler à mon père, mais il ne m’as jamais parlé à moi… seulement à mon père…
Hajime tourna rapidement la tête pour apercevoir son paternel, les bras croisés dans le cadre de porte. Le message de sa mère avait surement passé et celui-ci était surement venu voir si son fils avait faillit à son entrainement et visiblement il avait été inquiété par le mouvement de tête à Juka. Peut-être avait-il eu peur que son fils ait son premier baisé, ait ressentit l’amour, ceci le dégoutait un peu probablement… Pauvre père qui s’inquiète que son fils devienne immonde, quel bon père était-il ! Celui-ci ce rapprocha lentement par contre surement attiré par le nom qu’il avait entendu, l’homme du désert était de grande taille, beaucoup plus musclé qu’Hajime et avec des traits moins majestueux, quelques cicatrices par-ci par-là, plusieurs traits physiques lui donnant l’air d’une brute et quelques mèches blanches naturel commençait à trahir son âge. Il s’arrêta près de Juka et toussota légèrement pour la faire tourner de sens et eut un sourire en coin en voyant la photo et en la comparant au visage de Juka. Son sourire n’était pas le plus expressif jamais vu et il ne semblait pas tellement affecté par Juka non plus, de un il ne ressentait pas tellement d’émotion lui non plus et de deux surement en connaissait-il plus sur la famille Kiyomizu que beaucoup de gens de Konoha. Il finit tout simplement par dire d’une voix rauque et tout de même monotone…
-Sono Kiyomizu… Vu ton âge c’était ton père non ?
(Désoler, poste vraiment court j’espère que tu vas me le pardonner )
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Dim 17 Juil 2011 - 0:46
Je te pardonne, mon enfant. Amen xD Non plus sérieusement désolée pour ce post médiocre ^^' Sinon j'ai aimé le tien !
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Lun 18 Juil 2011 - 2:42
L’imposant homme du désert maintenant proche de la retraite regardait la jeune demoiselle comme si elle n’était qu’une mouche dans l’apprentissage de son fils, pouvait-il réellement croire qu’Hajime avait changé au point de pouvoir aimer quelqu’un, surement pas. Ceci était complètement stupide et cette idée était même ridicule, mais après tout quel bon père il était… Il ne semblait pas affecté par le charme irrésistible de Juka, surement que lui aussi entendait quelques choses dans lui, peut-être le chuchotement qu’Hajime avait entendu plutôt mais certainement pas plus… À dire vrai, il n’avait jamais vraiment compris comment il avait fait pour épouser sa mère ou encore l’aimer si tel était le cas, mais surement que cela se pouvait puisqu’une personne aussi pure que sa mère ne pourrait pas aimer quelqu’un qui ne ressente pas au moins une infime partie de ce qu’elle ressentait pour lui… Juka resta par contre ainsi, proche d’Hajime comme si l’action anodin qui de toute façon ne représentait rien pour la narcissique Juka et pour le néant de pantin qu’était Hajime, ne dérangeait que Mazai et déranger encore un grand mot puisque de toute façon pour les Inaoumies, la définition même du mot émotion devenait ambigu. La Konohajins finit par s’appuyer sur la cuisse d’Hajime pour se lever rapidement, comme si elle avait enfin jugé que le moment de silence était devenu trop long.
Surement que le fils aurait rit de voir à quel point Juka regardait son père, avec se regards fier, sans crainte et emplit d’ambition. Quel femme fabuleuse après tout, dommage que pour le pantin ceci ne représentait que deux êtres vivants tout à fait normaux se regardant tout deux dans les yeux. Dire que si son père n’était pas aussi amorphe sentimentalement que notre jeune protagoniste surement que Juka serait partit faire une visite au fin fond de ces propres cauchemars, mais non, celui-ci ne fit qu’un faible sourire en coin surement qu’il appréciait que celle-ci ne parte pas en courant, réflexe de tortionnaire… Voir déjà la peur dans le visage de notre victime avant de lui faire mal ce n’est pas quelques choses d’amusant c’est comme si la moitié du travail était déjà fait, par contre quand elle était fier la tâche devient dur et plus excitante, mais hors parenthèse. La descendante de Narcisse finit tout simplement par prendre parole, la voix sembla un peu surprendre le paternel, surement que lui aussi trouvait une fine ressemblance avec la voix de sa femme.
-'' Oui, vous avez vu juste, c'est bel et bien mon paternel. Je m'appelle Juka. '' Répondit-t-elle tout simplement, d'une voix agréable. '' Vous avez l'air de le connaître, je me trompe ? ''
Mazai hocha doucement la tête de haut en bas avec la même lenteur que son fils aurait eu, d’ailleurs ce dit fils était resté en plan regardant la scène de ses yeux enfantins attendant un ordre quelconque pour agir. Ses bras se décroisèrent avec lenteur, ses iris noirs comme ceux de son fils commencèrent à scruter Juka sans réel gêne après tout ceci semblait devenir une habitude dans cette maison. Lorsqu’il eut finit son analyse il finit par dire de sa voix rauque et presque désagréable à entendre.
-Effectivement Juka Kiyomizu, ton père est venu me voir deux fois dans sa vie et après cela plus rien comme s’il avait disparue le pauvre.
Il hausse avec lenteur les épaules, après tout ce n’était pas le travail d’un bibliothécaire de vérifier si les auteurs étant venu porter des livres étaient mort ou non… Et de toute façon qui cela aurait-il intéressé dans la famille de savoir qu’un konohajins était mort depuis des lustres déjà et qu’il ne restait dans cette famille que la petite Kiyomizu dans leur cuisine. C’est par contre à la suite de cette phrase que Mazai tomba un peu dans ses pensées…
La première fois que Sono était venu les rencontrer c’était pour tester la famille, il avait rencontré Mazai seul dans la cours du manoir et avait testé l’aptitude qu’il avait à influencer le comportement, lui qui avait déjà une réputation à tout épreuve. Par contre Mazai n’avait pas broncher d’un seul centimètre et inclina doucement la tête vers la gauche osant même demander au fier descendant de Narcisse ce qu’il avait à juste le regarder dans les yeux sans réel raison lui aussi tout aussi avare de comprendre les choses de la vie par l’intermédiaire de quelqu’un d’autre. À la suite de cette aventure, Sono expliqua à Mazai que c’était avec de multiples recherche qu’il avait trouvé le clan et qu’il en avait appris d’avantage sur la puissance que résidait en ce clan, celui de ne rien ressentir du tout… Bien sur, l’Inaoumie ne compris pas le moindre mot du discours probablement et même de toute évidence passionnant et remplit d’émotion qui portait sur sa résistance aux émotions ou encore à la faculté des Kiyomizu de jouer dessus. Par la suite il finit par lui demander une faveur, la faveur de garder en sa possession le rouleau secret des Kiyomizu, puisque selon lui tout autre être humain serait tenter de l’ouvrir, de le vendre et autre parce qu’il serait attiré par les phéromones laisser sur le rouleau et étrangement puisque les Inaoumies était définitivement les êtres vivants les moins humain parmi la race ils étaient ainsi les plus aptes à garder ce rouleau. Tout aussi accablé par l’ennui, sentiment le plus connus des pantins, Mazai décider d’accepter l’offre et de garder le rouleau pour lui. La deuxième fois qu’il fit la rencontre de Sono il était en train d’éduquer son fils, celui-ci n’était venu que lui porter le rouleau… Jamais il ne lui en avait dit plus, il ne lui avait remis que ce qu’il devait lui remettre et il était partit ainsi comme une flèche pour retourner dans son village natale, surement que ceci lui brisait le cœur de ne pas avoir près de lui sa petite fille qui de toute façon était probablement le plus beau bébé de tout Konoha… C’est fou ce que peuvent faire les phéromones…
Mazai finit par ajouter à sa phrase, ne laissant pas le temps à la descendante de narcisse de répliquer quoi que ce soit.
-D’ailleurs qu’est-ce que la fille de Sono fait chez nous ?
Hajime se leva doucement de sa chaise et pris lentement un verre en terre cuite qu’il emplit d’eau, il ne pouvait dévier ses yeux du liquide translucide qui coulait tranquillement et qui emplissait avec une toute infinie lenteur son verre, une fois plein il retourna s’asseoir sur sa chaise sans encore dire le moindre mot posant avec délicatesse son verre sur la table sans jamais en avoir but la moindre goute… Il finit par reposer tout simplement ses pupilles sur Juka.
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Lun 18 Juil 2011 - 7:59
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Mar 19 Juil 2011 - 15:43
Hajime, le verre d’eau posé devant lui, le regard telle un enfant qui regarde une scène entre son père et un invité, tournant délicatement une de ses mèches de cheveux comme si jamais il n’avait atteint l’âge adulte. Par contre, contrairement à un enfant mignon qu’on a envie de prendre dans ses bras et de le cajolée, lui il était plus du genre à vous effrayer avec ce visage vide… Un magnifique visage figé dans le marbre comme un simple masque qu’il ne pourrait plus jamais retirer… Mais qui sait un jour peut-être vas t’il tomber pour laisser place à un autre masque, mais ce masque seras t’il pire que l’ancien ou de ce nouveau née naitra la pureté même, c’est le tour à la société de jouer je crois. Un drôle de silence s’installa tranquillement dans la pièce à la suite de la question de son père, la jeune juka promenait son regard d’un bord et l’autre plongeant de temps à autre son regard dans celui de l’homme du désert, qui comme un enfant pencha délicatement la tête ne comprenant visiblement pas la question silencieuse posé par la descendante de Narcisse… De toute façon son père lui avait toujours dit de ne pas l’interrompe lorsqu’il était en discussion sinon il passerait une heure sur la chaise… Dit comme cela la chaise n’est pas une chose qui vous effraie ou qui vous procure un quelconque malaise, mais n’oubliez pas que le clan Inaoumie est réputé pour ses méthodes de torture les plus efficaces de Suna et que la chaise est en réalité, une multitude de piques placé de façon à former une étrange chaise dans laquelle on s’assoit pour jouir du plaisir qu’on ressent lorsque des milliers de piques plus pointu les uns que les autres s’enfoncer dans votre chair.
La jeune femme tourna rapidement la tête pour replonger son regard fier digne de sa famille dans le regard si nébuleux et ténébreux de ce monstre d’homme qu’était le père d’Hajime. C’était drôle de voir sa nouvelle « amie » pencher la tête exactement comme lui comme s’ils n’étaient en fait qu’une translation dans l’espace, elle esquissa un sourire et pris parole une nouvelle fois… Pauvre elle, devoir parler à deux pantins l’uns après l’autre, qu’elle expérience…. Ennuyante.
'' Tant d'événements se sont produits en onze ans ... Eh bien, je suis venue à Suna pour enquêter à propos de mon clan ... '' Commença Juka. '' Je suis à la recherche de la vérité, voulant vérifier si une certaine légende serait vraie ... Il y a eu un différend dans un restaurant, d'ailleurs je n'ai toujours pas compris pourquoi mais bon, et Hajime est intervenu. C'est ainsi que je me suis retrouvée ici ... ''
Mazai haussa lentement le sourcil l’air perplexe, le temps de comprendre et d’analyser ce que la petite venait de dire. Un problème dans le restaurant, Hajime qui était intervenu… Le père semblait de toute évidence rien comprendre à cette explication, comportait-elle trop ou pas assez de mot ? Il décroisa avec lenteur les bras les laissant pendre doucement sur le côté de son corps pendant qu’Hajime lui poussa un peu le verre vers l’avant sur la table replaçant doucement sa tête ayant entendu quelqu’un prononcer son nom. Par contre elle avait parlé de vérité, termes que les deux Sunajins connaissaient très bien puisque de toute façon c’était leur métier de faire sortir la vérité de la bouche des enfants… Pendant que le père était étourdie par le long discours de la descendante de Narcisse celle-ci reprit marche et s’assit tout bonnement près d’Hajime qui à son tour poussa encore un peu le verre d’eau en direction de la jeune dame, surement avait-il pensé qu’elle aurait soif après un tel repas suivit d’une telle marche dans le désert, mais bon l’intention était la non ? Mazai haussa les épaules et quitta la pièce ne laissant échapper que ces faibles mots « Tu sais sont où ». Les pas résonnèrent dans le manoir durant quelques instants jusqu’à ce qu’on ne les entendent plus. Hajime regarda un instant son père partir la pièce avant de tourner lentement son visage vers la jeune Juka, repenchant encore un peu vers la gauche, pourquoi semblait-elle si pensive, et ce regards… Pourquoi Kai n’était jamais la lorsqu’il avait besoin de quelqu’un pour comprendre les émotions humaines.
'' Rouleau des Kiyomizu. J'ai entendu dire que je le trouverais à Suna. ''
Pourquoi la voix de Juka avait été aussi faible, aussi pensive, est-ce qu’elle lui parlait ou non. Est-ce que cela n’était rien d’autre que le simple son d’une voix perdu dans les abîmes du silence. Était-il convié à cette discussion outre monde entre une fille et son père, pourquoi les humains étaient-ils si compliqués, n’était-il pas plus simple d’être un arme, sans réel émotion sans avoir la tâche de penser, seulement celle de marcher et d’obéir. La phrase… Oui, lorsqu’on la jumelait à celle de son père tout prenait son sens, le Sunajins hocha doucement la tête de haut en bas comme pour se répondre à lui-même et pris la main de Juka dans la siennes ce qui provoqua en lui le même petit chuchotement dans son corps qui le dérangeait un peu, mais sans rien de plus. Il se leva de la table te laissa échapper de ton de voix faible, mais toujours des plus agréables à entendre…
- Suis-moi…
C’est sur ses mots qu’il partit en direction du hall d’entrée, ils repassèrent ce couleur aux multiples tableaux tous plus glauque les uns que les autres avant d’arrêter leurs marchent devant une énorme porte en métal blindée. Hajime regarda la porte et tourna le regard vers Juka, surement qu’un être humain normal n’aurait jamais fait entrer quelqu’un dans une telle pièce imaginant facilement l’émotion que celle-ci ressentirait une fois à l’intérieur, surement qu’un être humain normal n’aurait tout simplement pas accepté que quelqu’un rentre dans cette pièce, mais pour les Inaoumies… Rien n’avait de réel sens après tout non ? Il regarda une derrière fois son invité avant de dire tout bonnement…
-Les rouleaux sont là…
La porte de métal s’ouvrit avec lenteur, on ne pouvait voir que les ténèbres de cette pièce, cette aura malsaine qui s’y dégageait, mais que du néant comme si on entrait dans les iris du petit pantin. Lorsque le maitre des lieux entra dans la pièce toutes les torches s’allumèrent rapidement… Ceci serait-il la pire chose que Juka aurait jamais vu, ceci dépassait-il l’entendement humain, est-ce qu’un empathique serait mort sur le coup face à cette scène… On pouvait voir dans la pièce toute l’arsenal de torture que le clan possédait, que cela soit la chaise de pique, les multiples outils, les chaines, le sang séchés sur le sol et le clou du spectacle… L’homme qu’Hajime avait tué… Il était toujours la, un Kunai dans le cœur, les bras étirés et cloués à une croix de fer qui visiblement pouvait tourner et servir à plusieurs autres choses, les jambes étirées eux aussi et clouées de la même façon que les bras laissant l’homme de telle sorte qu’il pouvait même servir de cible quelconque, des traces de brulures étaient visibles autour de lui, mais aucune brulures n’était visible sur le corps de l’homme même, une bidon d’essence et un feu était posé à côté et visiblement ils avaient servit il y avait peu. Hajime lui ne porta aucun regard à ces choses, comme s’ils étaient normal, après tout est-ce que vous êtes étonnés quand vous voyez que le meuble de votre chambre est à la place qui est sensé être ou vous le regarder l’air perplexe en vous demandant pourquoi vous avez acheter se meuble encore et encore à chaque fois que vous le voyez.
Le Sunajins continua donc sa marche dans la pièce, par chance le sang avait séché et ne salirait pas leurs vêtements, la pièce était énorme, probablement la plus grande de toute la maison. Ils arrivèrent enfin au fond de la pièce ou il y avait encore une porte qu’Hajime ouvrit sans problème comme si le clan considérait que cette porte n’avait besoin d’aucun verrou puisqu’après tout personne ne voudrait aller si loin dans cette pièce juste pour voir ce qu’il y a au bout. La pièce était simple et petite, les quatre murs, excepté la porte bien sur était emplit d’étagère emplit de rouleaux presqu’à en débordé de partout. Les Inaoumies possédaient tellement de rouleaux et aucun de ceux-ci ne leurs appartenaient, que cela soit des rouleaux amassés par pure hasard lors de mission, de truc confier par des propriétaires morts ou encore servant de planques à des rouleaux puissants secrets et tout ce que vous pouvez imaginer. Après tout, un clan sans émotion est un clan sans le pêché de l’avarice et sans l’avarice ses rouleaux vous serviraient à quoi…. Rien… Hajime tourna doucement son corps pour regarder Juka, mais gardant toute fois le silence, après tout à quoi cela servait-il de mentionner que le rouleau se trouverait ici c’était… Évident non ?
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Jeu 21 Juil 2011 - 8:36
Dernière édition par Juka Kiyomizu le Mar 26 Juil 2011 - 10:45, édité 1 fois
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Lun 25 Juil 2011 - 20:29
La jeune Juka n’avait toujours pas lâché sa main, elle la tenait comme si elle en avait besoin pour survivre à l’enfer que procurait la vision qu’elle avait eue dans l’autre pièce. Il se serait de toute évidence fait un plaisir de la rassurer, de lui dire que jamais elle ne serait torturée dans cette pièce, que ses instruments ne servaient qu’à obéir au ordre, que cette salle était un métier et pas une occupation, qu’il était désolé ou n’importe quel autre mot qu’il aurait plus dire pour la consoler, pour la rassuré, pour qu’elle se sente mieux, mais non, rien… Comment aurait-il plus comprendre que cette douce main, cette attention qu’elle lui portait signifiait quelques choses, comment pouvait-il comprendre quoi que ce soit si elle ne lui disait pas de vive voix, il en avait besoin après tout, des explications puisqu’il n’était rien d’autre qu’un pauvre enfant perdu dans ce monde d’adulte ou les émotions sont courantes. Elle commença avec douceur à caresser sa main, une caresse, comme sa mère lui avait souvent fait durant son enfance… Cette caresse, oui… Hajime avait souvent eu se type d’attention dans sa vie, mais toujours après une scène, qu’elle scène…
Hajime était en sang couché sur le sol de la salle des tortures, son père venait tout juste de quitter, après avoir préalablement rangé ses instruments d’entrainement. Ses yeux voulant à tout prix se fermer, mais il savait que si ceux-ci se fermait jamais il ne pourrait les ouvrirent de nouveau, il avait si mal, sa peau lacéré à plusieurs endroits, il avait perdu tellement de sang qu’il était proche du coma… Son père avait, en bon père qu’il était, fait cicatrisé les blessures avec une torches se qui laissait sur la peau de soie du Sunajins des marques noirs de brulures autours des lacérations, des ecchymoses emplissaient son corps comme s’il n’était rien d’autre qu’un objet dans lequel on peut frapper pour faire passer nos nerfs. Ses membres tremblaient comme pour s’accrocher à la vie, probablement que des larmes auraient coulés sur ses joues s’il en avait été capable, mais il ne lui restait qu’un an avant de rentrer à l’académie des ninjas et donc, son entrainement était presque finit, bientôt il serait un arme réparer, c’est ce que son père se tuait à lui rappeler. Dans un dernier souffle d’espoir, le jeune ninja commença à ramper dans la pièce peut-être voulait-il tout simplement se rendre à la porte, peut-être qu’à cette époque il possédait toujours l’espoir puisque l’espoir est probablement la dernière émotion qu’on perd puisqu’elle est la plus puissante et celle qui fait vivre les hommes non, mais l’espoir de vivre n’est pas ce qui fait que l’homme fait tant d’erreur, lorsqu’on vous torture et qu’on veut des informations c’est pas la peur de mourir qui vous fait parler, c’est pas lorsque vous êtes sur le point de mourir que vos pensés s’obscurcissent et que vous avez soudainement l’idée de faire un pacte avec n’importe qu’elle monstre pour rester en vie… Après tout, l’espoir n’existe que pour décevoir l’homme, comme si s’était possible espérer et réussir… Mais contre toute attente, le gamin arriva finalement à la porte et la poussa avec lenteur avant de s’évanouir de l’autre côté de celle-ci… Lorsque ses paupières s’ouvrirent, il avait sa mère proche de lui, surement l’avait-elle guérit, elle était tellement différente de son père… Elle lui caressait doucement la main, le gardant près de lui, un faible sourire sur ses lèvres, se faux sourire d’inquiétude, après tout elle n’avait jamais appréciés les pratiques de son mari, mais elle l’aimait… L’amour, l’inquiétude… L’inquiétude…
Juka continuait de caresser sa main avec douceur, surement que tout homme aurait été en extase à ce moment, une déesse de la beauté tout seule dans une petite pièce ou personne ne pourrait les voir, mais après tout lorsqu’un des deux n’est rien d’autre qu’un pantin et que la deuxième personne était une descendante de Narcisse, probablement que rien allait se passer après tout. Hajime ne plus s’empêcher de plonger de nouveau son regard dans le siens, la rencontre de deux univers qui habituellement était si différent, mais maintenant à ce moment même, leurs regards étaient complètement similaire, comme si elle n’était plus apte à rien ressentir, comme si son cerveau était en train de tranquillement oublier ce qu’elle avait vu… La murmure dans son cœur s’intensifia au point de devenir une voix claire, un son qu’il entendait comme si quelqu’un parlait dans sa tête, son corps lui disait de ce coller d’avantage, mais ce n’était toujours pas le crie, il n’avait pas encore atteint la limite que son père lui permettait… Il ne voulait pas lâcher la main pourquoi, il était rendu à destination, il devait bouger, c’était quoi cette envie de la prendre dans ces bras comme sa mère avait fait si souvent avec lui, c’était quoi… l’envie… Avant de succomber à l’envie d’apposer ses lèvres sur ceux de Juka dans un acte que lui-même n’aurait pas compris celle-ci lâcha sa main pour entrer un peu plus dans la pièce ce qui calma du coup cette voix dans sa tête pour redevenir ce faible chuchotement ce qui calma rapidement Hajime qui perdit son regard dans le vide durant un long moment… Il devait comprendre, il devait comprendre pourquoi, son corps avait bougé et eu une conscience propre commençait-il à devenir défectueux, devrait-il se donner la mort avant de commettre une erreur, c’était les règles de son clan non… Des règles que son père n’avait visiblement pas respecté, son père était-il défectueux… Non impossible, pas lui…
Il était tellement pris dans ses propres pensées qu’il ne se rendit pas compte qu’un rouleau avait rouleau jusqu’à Juka, par contre que des rouleaux commencent à trembler dans les étagères ceci lui fit reprendre conscience et il laissa ses iris noirs comme la nuit balayer la pièce de gauche à droite à la recherche d’une raison logique, mais la descendante de Narcisse réagit avant lui et alla prendre doucement les autres rouleaux, c’était donc les siens et comme il l’avait remarqué tous semblait réagir à la présence de la Konohajins même les objets… Il se rapprocha d’elle, comme par réflexe, surement un mélange de l’attirance qu’il avait a cause des phéromones et la peur qu’elle lui arrive quelques choses, mais qui pour un pantin ne restait qu’un mouvement de réflexe. Les rouleaux tant qu’à eux cessèrent finalement de trembler, comme s’ils étaient rassurés d’avoir trouvé un membre de la famille Kiyomizu, après tout qui ne pourrait pas se calmer lorsqu’il est dans les bras d’une si jolie femme. Elle se retourna donc pour regarder Hajime quelques instants avant de prendre parole, la voix si magnifique de l’androgyne, celle-ci n’avait pas encore d’effet quelconque sur lui, mais le temps avait prouvée que s’il passait trop de temps près de la jeune femme celle-ci commençait à lui faire effet, après tout s’était impossible d’être immunisé aux choses naturel, comme le désir, mais par contre on ne pouvait nier qu’il avait une résistance hors norme aux phéromones... Mais une chose était maintenant claire, s’il la touchait, les murmures devenait une voix.
‘’ Je suppose bien que ce sont bel et bien ceux-ci … ‘’ Murmura la jeune femme. Elle baissa le rouleau, ainsi que ses yeux, avant de rajouter. ‘’ Merci … Je n’aurais jamais cru les pouvoir trouver aussi vite, et c’est grâce à toi. Je n’étais même pas sûre que leur existence serait vraie … ‘’
Grâce à lui ? Qu’avait-il fait de si spéciale pour l’aider, après tout leurs rencontre n’était lier qu’au hasard et il était venu dans cette pièce uniquement parce que son père lui avait dit, c’était son père qu’il fallait remercier pas lui, est-ce que vous remercier votre arme de vous avoir servit à quelques choses ou alors ne feriez-vous pas que la ranger tout bonnement comme tout le monde le ferait. Elle plongea son regard dans le siens, le visage de la Kiyomizu ne reflétait rien, il avait perdu se petit très distinctif qui plaisait à Hajime, après tout, un mort ne peux pas apprécier ce voir dans le miroir, mais avant qu’Hajime ne puisse poser la moindre question un magnifique sourire apparut sur les lèvres de la Konohajins, elle ne le quittait pas des yeux, avait-elle peur de regarder ailleurs, voulait-elle se perdre dans les ténèbres de ses yeux… Son regard n’était-il pas à lui seule plus effrayant que la pièce elle-même, n’était-il pas un monstre dans un décor des plus effrayants. Avant qu’un résonnement logique ne vienne jusqu’à lui, Juka s’approcha avec lenteur, voulait-elle encore l’analyser comme lorsqu’ils étaient à la table, non son mouvement s’approchait de plus en plus, n’allait-elle pas arrêter avant que leurs visage se rencontre, mais non. Ses lèvres finirent par tout simplement s’apposer sur la joue du Sunajins, un contact mélangeant la joie et la froideur, les lèvres légèrement humide de Juka qui se mélangeait doucement à la froideur de la peau du juunin, le chaud contre le froid, l’émotion contre le vide… Ce mouvement, comme celui de sa mère… Le murmure… Devint rapidement un crie, sa vision se troubla avec rapidité et il tomba sur le sol… Après tout, comment pouvait-il rester ainsi aussi longtemps sans devenir fou, son corps avait trouvé la solution, tout remettre… à zéro.
(Désolé, c’est vraiment court comparé à ta réponse, j’espère que tu ne m’en voudras pas ! Mais rpment mon persos à reçu trop d’émotion inconnu et il est tombé dans les pommes ^^ donc je ne peux pas vraiment continuer le poste !)
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Ven 29 Juil 2011 - 1:43
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Mer 3 Aoû 2011 - 20:43
Le vide, c’était tout ce qu’il y avait aux alentours, tout ce qu’il pouvait ressentir et cela sans détours. Qu’il soit pris dans le néant ou dans sa tête, ceci revenait au même après tout, un espace noir, sans fond dans lequel on peut se perdre sans jamais le réaliser puisque sans l’anxiété et la peur, comment peut-on trouver la force d’avancer, sans la volonté de vivre comment peut-on respirer… Hajime lui était assis dans le noir à regarder devant lui, aucun ordre n’émanait du vide, personne ne lui disait d’avancer, personne ne prenait soin de lui indiquer la route à suivre, il n’était que pantin sans maitre, humain sans vie. Une lumière, que faisait-elle là, ne suivant pas l’ordre des choses celle-ci s’était immiscer dans un monde qui pour elle serait néfaste, voir destructrice. Elle volait, elle danser, virevoltante de gauche à droite, comme si elle voulait faire une valse avec le jeune Inaoumie, celle-ci tournait maintenant autour de lui, étrangement l’homme ne pouvait rien faire d’autre que de la suivre des yeux… Qu’était-ce cette lumière, que faisait-elle dans sa tête, le néant c’était cela son monde non ? Un faible murmure vint s’attacher à ses oreilles, la lumières tentait-elle de lui parler, de le rassurer, qu’était-ce cette lumière était-elle condamné ? Le jeune Hajime leva doucement la main pour pouvoir la toucher, étrangement celle-ci ne sembla pas fuir et même s’accrocha à sa main, une douce chaleur, semblable à celle que les humains dégagent, la chaleur humain cela il connaissait… Grâce à sa mère.
Il était coucher dans son lit, le regard rivé vers le plafond, après tout n’est-il pas normal pour un enfant de regarder le ciel lorsqu’on sait que sur son corps est gravé l’enfer, que sur celui-ci se trouves les marques du mal, une par émotion ressentit… Parait-il que ses blessures disparaitront en même temps que ses émotions, parait-il que ses les émotions qui lui ont fait mal et pas son père, parce que père est bon… Après tout un pantin ne peut pas être mauvais… Son corps mutilé toujours allonger, comme cela sans vie, le regard tentant de se perdre, mais sans succès, l’imagination était probablement la première chose qu’il avait perdu… Après tout imaginer signifie ne prendre pas conscience du réel et donc de faire des erreurs et un arme sa n’imagine pas, sa coupe. Des pas entrèrent dans sa chambre faisant bouger la petite tête du future ninja vers le côté, un faible sourire s’afficha sur ses lèvres, évidemment celui-ci était camouflé efficacement par les multiples hématomes et ecchymose présentes sur son visage de soie, sans oublier les cicatrices qui faisait de ce visage radieux un monde de tristesse, qui s’enchanterait de voir un enfant battu… C’est alors que la mère d’Hajime vint doucement se placer à ses côtés plaçant délicatement la tête de celui-ci sur sa cuisse, voulait-elle l’aider à surmonter cette épreuve… Pauvre mère, placez-vous à sa place, tenter de regarder votre enfant, celui qui fait battre votre cœur, votre raison de vivre, le résultat de neuf mois de souffrance et d’épuisement, le fruit de la passion de votre amour dans un état à en faire pleurer un stoïque, comment pouvait-elle supporter ses actes, réponses simples… à épouser un Inaoumie on le prend pour le meilleur et pour le pire ! Elle commença doucement à lui caresser les cheveux, la tête toujours étendu confortablement sur ses cuisses, elle fredonnait tranquillement une douce mélodie qu’il appréciait au plus haut point, sa mère, il l’adorait… Probablement quand sans elle il aurait été... Parfait… Hajime fermait doucement les yeux, toujours un sourire sur les lèvres, oubliant même que se sourire allait lui causer malheur demain, que ce sourire était la cause de sa douleur, que sans cette acte banale entre un fils et une mère, il serait enfin terminé. Elle ne venait voir Hajime que lorsque Mazai était loin de la maison, en mission, puisque celui-ci aurait probablement tôt fait de la punir elle aussi s’il apprenait qu’elle détruisait tout son dure labeur. Mais, peut-on vraiment lui en vouloir, il était un bon père de famille…
Sa mère, la seule source de chaleur qu’il n’est jamais connu, cette lumière lui ra pellait cela, le passé… Il se voyait avec sa mère, il se voyait sourire, mais ne comprenait plus pourquoi il avait sourit, que signifiait cette acte, que signifiait l’acte de sa mère. La seule source… Non, cette chaleur était différente que celle de sa mère et sa mère n’était pas la seule personne à l’avoir touché… La jeune Kiyomizu, il avait tenu si longtemps sa main, il avait passé tellement de temps proche d’elle, mais pourquoi la reconnaissait-il dans cette lumière. La lumière pris de l’ampleur, elle grossissait lentement, elle avait maintenant la taille d’un ballon et non d’une simple balle. La sphère vint se coller sur son torse, comme si elle tentait de lui faire un câlin ce qui provoqua un petit haussement de sourcil de la part du protagoniste, qu’est-ce que cette sphère lui voulait, si au moins elle pouvait lui donner un ordre… Le murmure qu’il entendait était maintenant un son clair, la chose ne prononçait point de mot, mais le son qu’elle dégageait était clair et nette comme si quelqu’un lui parlait en face à face… Cette force de son, il l’avait entendu non ? Se son, il savait d’où il venait… C’était lorsqu’il marchait avec Juka, lorsqu’il lui avait tenu la main, lorsqu’elle s’était coller à lui pour prendre un objet, c’est lorsque leur peau se touchait qu’il entendait ces voix non ? Kai…
Les deux hommes marchaient tranquillement dans le désert comme à leurs habitudes, depuis la mort de Vinzo ils n’étaient que deux, les deux seuls amis. Kai de nature libertin, envahit par un sentiment de liberté avait une difficulté incroyable de s’attacher aux gens, comme si ceux-ci n’était que chaine à sa liberté, Hajime lui… Kai n’était que la seule personne dans ce monde apte à lui parler comme s’il n’était pas une arme, comme s’il pouvait comprendre, il était le grand frère qui le suivait en lui faisant apprendre des choses… Après tout, Vinzo lui avait demandé. Kai était partit dans une grande explication complexe sur ce qu’est le désir et l’amour, évidemment tenter d’expliquer à quelqu’un ce qu’est une émotion sans prendre référence sur d’autre émotion, c’est pratiquement impossible. Rationnaliser une émotion seras probablement une des plus dures expériences de votre vie, surtout pour Kai qui avait un mal fou à rationnalisé et vulgariser les choses. Celui-ci finit par tout simplement se retourner rapidement pour faire face à Hajime et le pris par les épaules le secouant un peu, accompagner d’un sourire à ses lèvres bien sur.
-Hajime ! Le désir et l’amour sont lorsqu’on entend crier en nous, lorsqu’on entend tout notre corps pleurer d’être loin d’une personne… Lorsqu’on sent une personne en nous, lorsqu’on pense toujours à une personne… Lorsque… J’ai plus d’exemple moi, pfff, tu le verras un jour.
Un crie, lorsque dans notre corps quelques choses crient… Ce crie, ceci lui disait de quoi… Pourquoi était-il dans ce monde de néant déjà. La lumière grandit encore prenant presque forme humaine, comme si la lumière était devenue un bipède apte à marcher, il n’y avait aucuns traits humains, bouche, nez ou autre… Mais des bras et des jambes étaient dessinés et selon les courbes qu’elle avait c’était probablement une femme, après tout la forme n’était qu’un peu plus féminine qu’Hajime et rare était les hommes plus féminin que le pantin du désert. La forme était blottit contre lui, comme s’ils ne pouvaient pas se détacher l’un de l’autre, étrange sensation, lui qui ne vit que de la solitude maintenant lier à la lumière. Celle-ci commençait maintenant à chantonner une douce chanson, une chanson magnifique qui lui rappelait son enfance, un fin sourire naquit sur son visage l’espace d’une micro seconde avant de mourir instantanément, quelques choses de magnifique, mais incroyablement éphémères. La forme bipède et lui était maintenant coller l’un à l’autre et jamais rien ne pourrait les séparer, après tout comment un homme ayant vécu dans les ténèbres toutes sa vie ne pourrait pas devenir accro à la lumière, la lumière était maintenant sa drogue, mais tout le monde sait que lorsque ses yeux allaient s’ouvrir tout allait redevenir normal.
Dans le monde réel il était maintenant coller à Juka, sur le sol du désert, la tête levé vers les cieux la tête dirigé vers la magnifique lune. Dans une scène douce et magnifique, s’ils auraient été amant, mariée ou autre cette scène aurait été des plus touchantes et probablement dignes d’un film d’amour, mais après tout ils n’étaient qu’une descendante de Narcisse et un pantin sans émotion. La voix de Juka finit par rompre la barrière menant à son esprit, son chant entra dans sa tête prenant la place de la lumière bipède pour venir doucement le caresser dans ce monde vide. La créature commença à se dessiner lentement, les traits de Juka prenaient place, la lumière était maintenant remplacer par une forme humaine, celle de la Kiyomizu et tout le décor changea soudainement. Ce n’était plus l’ancienne lumière qui était collé à lui, mais bien lui qui avait la tête sur les genoux de Juka… Dans sa tête il entendait crier maintenant, ce cri, Kai lui avait dit déjà… Le désir ou l’amour, ceci était beaucoup trop complexe pour Hajime, jamais il n’allait comprendre ce qu’il se passait, de toute façon comment un homme puceau sans avenir sexuel dut à son manque d’émotion peut comprendre le désir et comment un homme qui n’a jamais aimé peut ressentir l’amour. Ce crie, c’est cela qui l’avait fait plongé, son cerveau n’avait pas été apte à comprendre le baiser de Juka, maintenant qu’il avait compris il pourrait lui résister… Juka et lui, ils étaient fait pour se rencontrer après tout, la seule femme apte à faire ressentir un brin d’émotion à ce pantin et il était le seul homme avec lequel elle pouvait relâcher ses hormones sans avoir peur des conséquences, qu’allaient-ils leur arrivée en ce monde… Espérons juste que le destin n’en fasse pas disparaitre un, puisqu’ils étaient… Complémentaire.
Ses paupières battirent lentement, laissant ses iris noirs et vide se plonger sur le visage de Juka. Un faible mot sortit de sa bouche, sans bruit, qu’un simple mouvement des lèvres semblant dire maman. Sa vision revint doucement à sa normal, il n’était pas capable de quitter du regard la jeune Kiyomizu. Autour d’eux il faisait maintenant noir, la lune était haute dans le ciel et il voyait ses rayons venir frapper le sol pour les éclairer, deux jeunes ninja envahit par la lumière de la lune, ses deux magnifiques anges à en faire rêver plus d’un réunit l’un près de l’autre sous ce décor de rêve. La tête d’Hajime se tourna lentement sur le côté comme un enfant ayant la tête sur les genoux de sa mère. Il ne savait qu’une chose, il n’avait pas envie de quitter cette position… Sa main toujours dans celle de Juka à se faire caresser avec lenteur, cette présence près de lui, son regard incapable de quitter celui de Juka… Devait-il dire quelques choses, combien de temps avait-elle passé à ces côtés, pourquoi avait-elle passé tout ce temps près de lui, n’aurait-elle pas dut le laisser tomber dans la pièce et le laisser seul comme son père faisait… Pourquoi voulait-elle rester près de lui et lui près d’elle, venait-il…. De ce faire… Une nouvelle amie ?
(J’espère que tu aimes, je ne fait pas beaucoup avancer les choses désoler, je ne voulais pas jouer ton personnage puisque le réveil du miens est un évènement important et je déteste jouer le monde dans un moment important ^^, aussi désoler du temps que cela m’as prit te répondre ^^)
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Lun 8 Aoû 2011 - 1:31
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Lun 8 Aoû 2011 - 21:06
Ses yeux étaient enfin ouvert, son regard lui était perdu, il ne voulait pas le dévier et pourquoi donc… Il n’avait pas reçu l’ordre de la regarder ainsi, durant un instant ont plus même lire dans ses yeux quelques choses s’apparentant à la joie, une esquisse, un brouillon de joie… Un début… La jeune Konohajins serra délicatement sa main, cette présence, cette chaleur, pourrait-il un jour la désirer plus que tout au monde. Qu’elle homme chanceux il était, coucher t’elle un enfant perdu sur les cuisses d’un ange. Comment un être aussi vide que lui pouvait-il posséder une si douce et magnifique ange gardiens, une jeune demoiselle aux traits magnifiques qui d’une simple caresse peut vous faire tourner la tête… Lui par contre il n’était que pantin sur les jambes d’un maitre, n’importe qu’elle ordre et il aurait obéit… Par contre cette douce étincelles qui ne vit le jour qu’une simple fraction de seconde finit par disparaitre comme le souvenir de son songe ou il avait crut comprendre le sens du bonheur et du désir, après tout, trop en même c’était mauvais pour lui et son cerveau, il n’était pas encore près, pas encore apte à comprendre les choses de la vie, par contre grâce à Juka tout commençait à ce placer lentement dans son esprit et peut être qu’un jour la marionnette prendras vie… Du moins ce n’est pas le premier comte ou on verrait se phénomène… Combien de temps leurs regards resta ainsi, à ce regarder l’uns l’autre comme s’ils étaient deux anges, fait l’uns pour l’autre, mais que le destin en avait voulu autrement, qu’un soit éprit d’amour que pour lui-même et que l’autre l’amour il ne pourrait jamais le ressentir, ils étaient magnifique, une vraie sculpture ou encore un vrai chef d’œuvre dessiné par le meilleur artiste, cette scène, une toile, la fortune assurée. Éclairés par la lune, ils étaient tout les deux calmes assit sur le sable froid du désert de nuit, étaient-ils apte à ce comprendre, est-ce qu’un jour Juka allait être capable de s’immiscer dans la tête d’Hajime pour le comprendre entièrement, avec l’aide de Kai allait-elle réussir l’impossible… Probablement, après tout, ils avaient besoins d’être trois pour faire un trio non? C’est alors que la jeune descendante de Narcisse finit par prendre parole, que sa voix douce et légèrement atteint par l’inquiète se fit entendre, pour une raison qui échappa encore à Hajime, ce ton de voix lui fit un pincement au cœur, comme s’il souffrait d’entendre cette inquiétude, il ne faut pas s’inquiéter pour une arme, jamais, puisque comme tous armes, s’il venait à briser on aurait qu’à le changer.
‘’ Je ne sais pas ce qui s’est passé, tu t’es effondré d’un coup … ‘’
C’est alors que la jeune Kiyomizu passa avec une délicatesse incroyable sa main sur la joue du pantin, laissant ses doigts fins glissa avec tendresse sur la joie douce telle de la soie d’Hajime. Ce mouvement, typique d’une personne inquiète pour un être apprécier, serait-il la clé de la compréhension… Peut-être que c’était la façon de faire comprendre à Hajime ce qu’était la vie, les émotions, en lui apprenants par vécu, en vivant avec les autres… Cette caresse, il ne plus s’empêcher de fermer tranquillement les yeux quelques secondes comme si son corps lui criait d’apprécier ce moment. Le crie, son corps criait oui, mais contrairement à tout à l’heure il n’y portait pas attention, il n’avait pas peur de mourir comme son père le disait si souvent… Ainsi, coucher près de Juka, caresser doucement par une main d’ange, impossible qu’il lui arrive quelques choses… En cette nuit, il était invincible et rien ne pourrait l’atteindre… Même, le crie des émotions. Lorsque le mouvement de la main se termina, celle-ci prit parole de nouveau, toujours ce même sentiments d’inquiétude, voir légèrement teinté de tristesse. Le Sunajins ouvrit doucement ses paupières pour pouvoir plonger une nouvelle fois son regard dans celui de sa protectrice.
‘’ J’ai eu peur pour toi, Hajime. Comme je ne savais pas la raison de cette réaction, je ne savais pas vraiment quoi faire, excuses-moi … ‘’
À la suite de sa phrase, la jeune femme détourna le regard ce qui fit un poids dans l’estomac d’Hajime, pourquoi, il n’en savait rien, mais de perdre ce contact visuel qu’il avait avec l’ange du pays du feu, cela l’avait visiblement fait souffrir. Comme pour la rassurer, l’homme du désert serra avec une douceur incroyable la main de Juka dans la siennes comme pour lui faire comprendre que ce n’était pas sa faute à elle, qu’elle n’avait pas à s’en faire. Il ne connaissait pas exactement ce que signifiait son acte, mais il se souvenait que sa mère lui faisait souvent lorsqu’il était jeune pour le calmer, il espérait que cela allait marcher sur la Konohajins… Après tout personne en ce monde ne voulait que la première émotion que l’enfant ressente pleinement soit la tristesse de voir un ange pleurer devant lui, qui sait les conséquences désastreuses que cela aurait produites. Elle laissa finalement quitter la main qui était nicher sur sa joue pour aller chercher quelques choses derrières elle, les rouleaux de son clan, mais toute fois elle ne plus s’empêcher de garder la main d’Hajime dans la siennes et jamais lui trouver la volonté de quitter cette position confortable dans laquelle il était placer. Après tout, tout homme ayant vécu cette situation ou vous êtes couché sur les jambes d’une femme ayant la beauté d’une déesse comprendrons qu’un lit devient complètement futile et inconfortable à la suite de ce moment. La jeune descendante de Narcisse commença à regarder son rouleau à l’analyser, à regarder chaque recoins comme si sa vie en dépendait, après tout lorsqu’on peut tomber en amour avec nous-mêmes c’est tout à fait normal de tomber en amour avec les objets de notre création non? Leurs symboles, une fleur magnifique, ceci lui faisait penser au symbole de son clan, deux roses entrelacés l’unes dans l’autre donnant presque l’impression qu’ils étaient amantes et que jamais rien ne pourrais les séparer, étonnant pour un clan sans émotion non? Par contre ce symbole avait été créé pour plusieurs raison, un la rose est magnifique et dangereuse comme leur art, deuxièmement l’enlacement signifiant la vérité accroché au mensonge, même s’ils sont enlacés et que rien ne semble pouvoir les déloger, eux en était capable, tel était leurs métiers. Mais avant qu’il n’ait fait le tour de tout les sceaux familiales comportant des fleurs, la Kiyomizu posa son rouleau sur le sol avant de laisser échapper de sa bouche que deux simples mots.
‘’ Dis-moi … ‘’
Ces simples mots vinrent briser le silence du moment, dis-moi, comme s’il allait refuser de répondre à une question. Miroir, miroir, dis-moi qui est la plus belle… Après tout comme ce miroir il n’était bon qu’à répondre la vérité, et définitivement la plus belle femme de ce monde était Juka et le miroir n’aurait plus dire autrement, quel narcisse, avoir crée une lignée de monstre de la beauté. La Konohajins baissa la voix, comme si elle avait peur de se faire entendre, ceci fit doucement pencher la tête sur le côté comme un enfant en plein questionnement, n’était-il pas mignon lui avec sa petite moue angélique et ses mimiques d’enfants, dommage que ses yeux si vide venaient gâcher se magnifique tableau. Il n’avait qu’un désir, lui servir, après tout ce n’est pas le désir d’un arme d’être efficace pour ces maitres, après tout cela ne faisait qu’une autre personne dans ce monde qui venait de détenir le pouvoir absolue de contrôler le pantin, surement un pouvoir à en rendre jaloux deux qui se spécialise dans cette art qui rêverait d’avoir un pantin comme Hajime à ses cordes…
. ‘’ Pourquoi as-tu posé la main sur mon épaule, dans le restaurant ? Je ne l’ai toujours pas compris au final, car la bagarre s’est bizarrement éclatée … Tu voulais me dire quelque chose ? ‘’
Il se souvenait cette scène, leur rencontre, il marchait tranquillement dans la rue à la recherche de Kai ou encore de quelques choses qui pourrait légèrement l’occuper, parce qu’il ne faut pas oublier que l’ennui est la première émotion que le protagoniste à été capable de ressentir dans sa vie. Juka l’avait qu’accroché, effleuré, leurs bras ne s’était que caresser comme deux agaces en soif d’attention. À ce moment la, il avait eu une impression étrange et après tous les villageois c’étaient rapidement tourner vers elle comme si elle était le centre de l’attention, les gens avaient arrêter de vivre comme si la regarder était suffisant, c’était un trouble pour le village, il voulait l’avertir que ce qu’elle faisait était mal… Mais… Le savait-elle, une arme le sait-elle qu’elle cause du mal? Avant qu’il n’ait le temps de prendre parole, la douce Juka finit par dire de ce ton si enjoué.
‘’ Hahah j’en pose de ces questions moi, aussi … ‘’
Il hocha doucement la tête de haut en bas, du moins de gauche à droite puisque sa tête était couché sur le côté, sur les jambes de Juka ainsi le haut et le bas… Et et puis peut importe non? Son regard toujours plonger dans le siens il finit par prendre parole, sa voix toujours aussi douce, magnifique comme un chant de sirène, une douce caresse auditive qui vient éveiller vos sens, une voix à en faire danser des morts et pourtant sans réel émotion instauré dans ses paroles. Imaginez ce que cela donnerait s’il pouvait y insuffler plusieurs émotions, sa voix deviendrait probablement un orgasme auditif.
-Les questions servent à apprendre non, ils sont donc nécessaire… Je t’ai touché dans le restaurant parce que lorsque nous nous sommes accroché dans la rue, j’ai remarqué que tout le monde te regardait d’une façon hors normes cessant de faire ce qu’ils faisaient et dans le restaurant c’était pire, le monde cessait de manger pour te regarder je devais t’avertir que tu causais du désordre dans le village… Kai dit dirait désir… Provient des phéromones, le désir est souvent crée par les phéromones… Je comprends mal ces concepts…
Hajime avait tellement parlé, plus que d’habitude, mais après tout rien était normal depuis qu’il l’avait rencontré, depuis qu’il l’avait touché, qu’ils avaient été proche, plus rien n’allait normalement dans sa tête… Le crie, était-il ce crie qui le faisait parler ainsi, habituellement, il ne disait que quelques mots, quelques expressions, un simple oui, non… Ou encore ce lançait-il dans de longues explications monotone et sans intérêts sur des sujets sans importances ou encore pour spécifier un terme et un mot… Mais elle, lui faisait vraiment tourner la tête… Elle… Elle, allait peut-être finir par réellement le sauver, du moins elle venait de faire partir l’engrenage qui allait lui permettre peut-être un jour de prendre vie.
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Sam 13 Aoû 2011 - 21:16
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Lun 15 Aoû 2011 - 20:02
Silencieux, se laissant bercer par le bruit du vent, celui qui venait par la même occasion les caresser, les empêcher de penser qu’ils étaient seul, il les entourait, il les regardait, la nature même semblait intéresser par cette rencontre issu du destin. La lune qui elle éclairait le spectacle de sa lumière presque qu’agace qui vous fait croire que vous pouvez voir, mais ceci ne reste que lumière sur fond ténébreux, un peu comme le regardes des deux plonger l’uns dans l’autre. Un regard magnifique à en faire fondre quiconque plongeras son regard en lui, d’une clarté en vous en faire envier, d’une pureté pouvant vous enchanter, un regard que vous ne pourrai jamais éviter. L’autre tant qu’à lui envahit par le néant, ce vide qui vous fait sentir impuissant, ce vide qui vous fait réalisé à quelle point la solitude peut être éprouvant, ce néant qui à lui seul peut faire chavirer un homme, dans ses pires cauchemars dans ses pires vices puisqu’il n’y a rien de pire qu’un monde sans espoir, sans vie. Pourtant la fusion des deux êtres, le mélange des deux hémisphères, ne possédait-il quelques choses dans ce monde qui fut plus beau que ce spectacle? Cette scène finit par ce briser, après tout dans une pièce de théâtre nous finissons toujours par changer d’acte, une nouvelle histoire, un nouveau moment, tout aussi passionné et tout aussi enivrant, puisque chaque moment l’est en lui-même si on prend le temps de le regarder. La jeune descendante de Narcisse dévia le regard, le coup des émotions? Pour Hajime ceci ne restera qu’une question… Impossible d’y répondre, comment pouvait-il deviner les intentions d’une femme ou encore n’importe quoi ayant un certain rapport avec les émotions humaines, ce n’était pas son domaine et pourtant… Son visage, si délicat, ses traits si doux, ses lèvres fines ne souhaitant que sourire donnait l’impression que le monde pouvait finir par supprimer tout le mal en ce monde, mais une belle coquille vide, reste une coquille vide. Cela ne faisait seulement que quelques secondes que leur regard avait cessé de s’unir et la voix dans lui commença à s’affoler grandement, probablement que pour un être normal sont cœur se serrait accélérer et il en aurait presque eux le souffle coupé, par chance une exposition allongé aux phéromones ne l’affectait pas autant que le reste des humains, il faut bien des avantages à être un pantin. Cette voix criait à son corps de bouger, de s’approcher d’avantage, comme si le simple fait d’être coucher sur ses jambes, une main dans la siennes ne lui suffisait plus, mais peut importe ce que son corps voulait, un ordre incomprise ne peut être réalisé efficacement. La Kiyomizu comme ayant entendu le crie de son cœur et de son désespoir retourna la tête pour rétablir un contact visuel qui calma aussitôt la voix. Les phéromones ou le regard, qu’est-ce qui l’avait le plus déstabilisé, la soif de ce perdre dans ce paradis qu’était le visage de Juka ou les phéromones qui venait marteler son cerveau? Pour venir le sortir de ce cercle sans fin de question sans réponses, la voix mélodieuse de Juka refit son apparition… Qu’une simple phrase, que quelques mots, un doux aveux qui aurait surement émus plusieurs personnes, après tout comment peut-on en vouloir à une si belle demoiselle, ce visage légèrement enfantin et cette voix semblable à celle des sirènes, impossible de lui en vouloir.
‘’ Je … Je n’avais rien remarqué en fait. ‘’
De nouveau un silence s’installa, beaucoup trouverons les silences longs et pénibles, d’autre voudront les fuirent le plus rapidement possible par peur de laisser échapper des informations, mais le silence n’est-il pas en lui-même un des plus beaux moment que ce monde peut vous offrir, un moment ou nous avons pas besoin de parler, un moment ou on a besoin que de nous regarder, un moment ou la vie prend tout son sens puisque nous sommes avec quelqu’un que nous apprécions et que plus rien ne peut venir vous déranger, vous êtes bien et calme, reposer et intrigué, mais les réponses viennent d’elle-même comme une évidence. C’est alors que Juka passa avec une douceur incroyable sa main dans les cheveux argenté de l’homme du désert, son cœur fit un battement de trop, comme s’il venait de sursauté, par contre cette situation lui était désagréable que par son incompréhension puisque la sensation qu’il ressentait présentement lui plaisait, surement lui rappelait-il les moment passé avec cette mère, les instants où il avait ressentit de la joie et de l’amour avant de perdre ses émotions pour ce qui croyait être toujours. Il ne plus s’empêcher de lever délicatement sa main libre pour venir la passé qu’une simple seconde, du revers de ces doigts, d’un mouvement des plus attentionné et délicat comme s’il avait peur de brisé ce visage parfait caressé la joue de la femme près de lui. Une fois le mouvement finit il la reposa délicatement près de lui, sur les cuisses de la Kiyomizu. Une petite lumière dans ses yeux, un embryon d’émotion, cette lumière de joie qui s’incruste dans le fond de votre iris lorsque vous regarder quelqu’un avec un regard emplit de passion…
‘’ Excuses-moi. ‘’
Pourquoi ses mots, pourquoi ses excusent, il ne l’avait jamais accusé d’avoir fait cette acte de façon volontaire, après tout un semeur de trouble ne serait jamais resté avec lui si longtemps, jamais un ninja en mission pour détruire un village serait resté si près de lui pour prendre soin d’un homme ayant tombé inconscient sur le sol et jamais ils ne seraient regarder… de… cette… façon. Aurait-il été capable de la torturer, même s’il apprenait qu’elle était en mission d’espionnage, serait-il capable de faire son travail si un jour leur pays devenait ennemie… Pourquoi ce posait-il cette question, jamais il ne le s’était posé, après tout, son métier était sa raison de vivre, un kunai ne vit que pour tuer non?
. ‘’ Je ne voulais pas créer des problèmes dans ce village. ‘’
Hajime esquissa un sourire, un brouillon de sourire, qu’un petit haussement du coin de ses lèvres vers le haut, mouvement instinctif, venant de son cœur et non de sa tête, mais du moins cette phrase l’aurait probablement fait rire s’il n’avait pas été lui-même. Il le savait que ce n’était pas de sa faute, il le savait qu’elle n’avait pas fait du tord intentionnellement, elle était tellement douce, tellement magnifique… mais cette comparaison valait ce qu’elle valait puisqu’après tout, beaucoup lui avait dit qu’il avait le visage d’un ange et ceci ne l’empêche de faire un des métiers les plus sombre et glauque en ce monde. Il finit par une nouvelle fois hocher doucement en signe de négation, laissant par la même occasion sa joue caresser doucement les jambes de la descendante de Narcisse laissant par la même occasion laisser échapper de ses lèvres qu’un simple.
-Je le savais
D’une voix douce, ne voulant par la même occasion pas empêcher Juka de finir ce qu’elle disait, elle semblait si perturbé par ses paroles, comme si ce qui suivait était quelques choses qu’habituellement elle n’aimait pas parler. Alors si ses termes la choquait, si ses mots lui faisait ressentir des émotions négatives pourquoi se confiait-elle à lui, qu’était-il pour avoir cette… Honneur… Il n’était qu’un pantin et c’est ainsi qu’il allait mourir, du moins c’était le rêve de son père.
‘’ Le désir … Oui, c’est courant dans mon clan … Si ta famille a gardé mes rouleaux, tu en as peut-être entendu parler. Je n’aime pas vraiment aborder à propos de mon pouvoir héréditaire, vu la bonne image qu’après les personnes se forgent Enfin, ironiquement parlant, cela va de soi. Le désir peut faire changer une personne, je suis consciente à quel point c’est redoutable. ‘’
Jamais son père ne lui avait parlé de l’existence des rouleaux, après tout celui-ci n’avait fait que lui indiquer d’une façon détourné où qu’il se trouvait, après tout pourquoi son père lui aurait-il raconté sa rencontre avec Sono, il n’était qu’une arme, et avez-vous déjà vu un ninja parler à ses kunai. Par contre Hajime ne pourrait pas la jugé sur ces pouvoirs, il ne pouvait pas la voir d’un mauvais œil, il ne ressentait rien… Du moins avant il ne ressentait rien et les émotions ressentit à la présence de l’ange de Konoha n’était que positive, c’est bien une chance qui sait comment il aurait finit si ses premières émotions avait été la colère et la vengeance.
‘’ Tu n’as jamais ressenti … Du désir ? C’est un sentiment bien étrange, il faut dire … Je dois t’avouer que je ne suis pas certaine que moi-même je l’ai déjà ressenti en fait … Etrange, non ? Pourtant c’est ce que je suis censée représenter … C’est d’autant plus étrange de se dire qu’on n’est pas certains qu’on ressent en effet ce genre de choses … ‘’
Il hocha une nouvelle fois la tête de façon négative, jamais, était-ce mal? Elle était censée représenter le désir, mais elle ne l’avait jamais ressenti, ceci pourrait sembler bizarre, mais pourquoi cela le serait. Hajime est sensé représenté la peur, le désespoir et pourtant lui-même n’as jamais ressentit ses émotions et pourtant, beaucoup penseront que c’est impossible de faire ressentir à quelqu’un quelques choses qu’on ne peut ressentir et pourtant la vie nous réserve beaucoup plus de surprise qu’on peut s’y attendre. Le désir… Kai… Pourquoi n’était-il jamais la lorsqu’on lui posait une question sur des choses qui ne pouvait pas comprendre... C’est sur cette réflexion qui laissa sa voix aussi douce qu’une mélodie fait par un piano, une douce caresse sur un violon, ce ton de voix à vous en faire tourner la tête.
-Kai… M’as dit que le désir c’est lorsque quelques choses crie en vous… Ça crie en moi, mais je ne sais pas si c’est du désir, je ne sais pas c’est quoi le désir, je ne sais qu’est-ce que cela fait et à quoi cela sert. Si un jour… Tu comprends… Tu m’expliqueras, Kai m’as dit que je devais apprendre les… Émotions… Il ne m’a pas dit pourquoi… Je ne sais pas à quoi cela va me servir…
On pouvait ressentir l’incompréhension dans sa voix, il ne comprenait rien des sentiments de Kai qui visait à le faire devenir… Humain… Il ne comprenait rien des sentiments que Juka lui portait et ne comprenait encore rien de ce que lui-même pouvait ressentir, il n’était qu’un nouveau née jeté rapidement dans une fosse à lion avec comme seul arme que son corps nue. Il était nu face à la vie, à froid face à la douleur des émotions… Allait-il s’en sortir, personne n’avait réfléchie à cela, est-ce qu’il serait capable de vivre avec des émotions ou finirait-il par mettre fin à ses jours incapable de vivre avec cette tumulte de pensée, avec le désespoir, la tristesse… Est-ce qu’il allait survivre à la solitude… Ce monstre capable de détruire le monde.
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Mer 17 Aoû 2011 - 23:36
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Jeu 18 Aoû 2011 - 20:06
Les émotions, ne sont-ils pas rien d’autre qu’un flux incontrôlable qui martèle votre tête, votre cœur qui tambourine un hymne quelconque et qui vous prend toute votre énergie, vos pupilles qui s’agrandissent sous l’effet de l’excitation et qui pourtant ne vous permets pas de mieux voir et même au contraire vous fais focaliser sur qu’une seule chose… L’être aimée, les émotions ne sont-ils pas rien d’autre qu’une action visant à réduire les capacités d’autrui pour le rendre plus faible, la barrière qui empêche l’homme devenir Dieu… Si oui, pourquoi un être ayant atteint la perfection, un être qui avait annihilé cette barrière qui vous empêcher de penser calmement et de faire les bons choix rationnel un être si… pure… Se voyait-il constamment attaqué de personne voulant lui apprendre les émotions… sa mère, Vinzo, Kai et maintenant Juka, une armée, bientôt cela seras une armée, se trouvant face à lui avec le seul espoir de devenir moins parfait de devenir comme eux. Pourquoi ne pouvait-il pas déloger son regard du siens, pourquoi étaient-ils pris dans ce cercle sans fin ou leurs regards ne se quitte que quelques fractions de secondes pour revenir tout de suite l’uns dans l’autre comme par peur que des deux protagonistes tombent en poussière sur le sol ou qu’il parte en courant attaquer par ses propres pensées… Qui est l’homme qui n’a pas peur de se retrouver seul ou encore de perdre quelqu’un qui lui était chère… Juka était-il chère pour lui? Après tout, cela ne faisait que quelques heures qu’ils se connaissaient et ils étaient si proche, étaient-ils fait pour se rencontrer, après tout nous pouvions le nier… Cette rencontre était écrite dans leurs destinées. C’est perdu dans ses pensées qu’il réalisa quelques choses, que les joues de Juka avait changer de couleur passant d’un blanc pure à une teinte rosé semblable à une rose l’été qu’on envie de prendre pour sa beauté et cette teinte finit sur le rouge... Cet air gêné, cela faisait changement de la Juka fier et forte qu’il avait aperçue tout au long de la journée, elle paraissait si mignonne et fragile comme un enfant qu’on a envie de prendre dans ses bras et ne plus jamais le lâcher. Par contre pour Hajime ceci était une réaction physique qu’il n’avait jamais encore remarquée, c’est alors que ses yeux se sont soudainement agrandit comme si le néant lui-même tentait d’aller englober la pauvre Konohajins. Mais avant qu’il puisse prendre parole, la descendante de Narcisse secoua rapidement la tête de gauche à droite comme si elle tentait de replacer ses esprits à la bonne place, il avait souvent vu Kai faire cet acte au par avant et n’avait jamais tenté l’expérience lui-même, faut dire que pour le pantin de Suna c’était inévitable qu’un acte causé par trop d’émotion en même temps ne se soit jamais présenté ou encore n’ai jamais été utile. Le crie en lui diminua soudainement, il ne disparue pas pour autant, il était juste moins strident et perçant, il était plus comme une douce valse qu’on écoute pour relaxer, cette douce valse qui vous fait rêver, que la femme désiré vous prenne dans ses bras… Pourquoi restait-il ainsi encore, pourquoi voulait-il rester ainsi… il voulait… quelques choses, comment pouvait-il vouloir, il n’avait pas été créé pour cela, avait-il au par avant voulu quelques choses… Non, jamais… Mais la, il voulait que cette scène ce fige, il voulait qu’ils restent ainsi et pourtant ceci était… Tellement égoïste, qu’elle drôle de sentiment en lui. Il ne comprenait plus rien en ce moment, ses nouvelles émotions, ses nouvelles sensations, l’envie, le désir, ses émotions qui portent souvent l’humain à faire des actions irréfléchies. C’est alors que la jeune Kiyomizu avança un peu sa tête vers la sienne, surement que cela aurait été une des plus belles scènes de l’histoire de ce monde, deux anges, étendus l’un près de l’autre dans le sable froid de la nuit apportant chacun leur tour leurs lèvres vers ceux de l’autre pour s’unir paisiblement dans ce décors parfait, mais ce n’était pas ce que le destin voulait après tout… Juka arrêta soudainement son mouvement et recula la tête pour la replacer comme elle était et de toute façon Hajime n’aurait jamais plus avancé, il ne savait même pas ce qu’était un baiser, qu’elle sentiment le provoquait et comment on le faisait. Comme pour oublier son geste, passé à autre chose, celle-ci prit de nouveau parole, comment une sirène pouvait-elle parler ainsi sur le sable, ne sont-elles par des créatures aquatiques?
‘’ Je … Ne suis pas sûre en fait. Peut-être que je l’entends, sans m’en rendre compte … C’est bizarre ! Disons que, je ne l’aurais pas décrit ainsi … Je dirais que c’est surtout mon corps qui parle. Mon cœur … ‘’
La main vers le cœur, elle allait entendre les battements de son cœur qui criait, ne parlait-il pas de la même chose… après tout c’est souvent le problème qu’on a lorsqu’on parle avec des enfants, nous sommes pris à tenter de comprendre ce qu’eux veulent dire parce que de toute évidence jamais ils ne comprendront vos termes, seuls leurs termes sont compréhensible et ont une valeur, il ne comprenne rien d’autre que ce qu’ils sont apte à penser. Le crie dans son corps, n’était rien d’autre que ce que produit votre cœur quand il bat à la chamade et que le son se répercute jusque dans vos tempes, un crie, un crie strident, le sang qui bat dans vos veines comme s’ils allaient exploser… Si son cœur battait vite alors… Il criait.
. ‘’ C’est comme s’il veut s’exprimer, et le reste de mon corps, c’est pareil … Peut-être … Peut-être que c’est après tout un cri en moi. Je n’en sais rien.‘’
Son corps voulait s’exprimer, pourquoi n’était-il pas apte à comprendre, est-ce que la ressemblance avec des Dieux qui les empêcher de comprendre les choses futiles et incompréhensible en ce monde. L’émotion, le monde des humains, si différent à ceux des anges. Pour lui le cœur n’était-il pas sensé être et rester qu’un organe qu’il faut transpercer pour causer une mort instantané.
. '’ A quoi cela sert … ? Dans mon clan, on se sert du désir des autres afin de les déstabiliser et les utiliser pour parvenir à nos fins … Après, je ne pense pas que ce sentiment existe uniquement pour ça … Mais là … Si c’est vraiment ce que je ressens … Cela me rend euphorique, me disant que je serais comblée si je m’approche de l’objet de mes désirs … Serait-ce comme un accomplissement ? Peut-être …
Alors les émotions ne sert qu’à contrôler les autres, de moins c’est la seul raison pourquoi elle s’en sert. Kai voulait-il lui insuffler les bases des émotions pour pouvoir s’en servir, complètement stupide et impossible, il était une arme, quelque chose qu’on se sert pour gagner une guerre, un pion, un soldat juste bon à mettre en première ligne en espérant qu’il mourra aux lieux des autres… Qu’une pièce brisée dans un échiquier en mouvement. Comblée? Que cela voulait-il dire, qu’elle était bien, était-elle bien présentement avec un ange près d’elle. Voulait-elle autre choses, si oui pourquoi elle ne lui donnait pas un ordre, l’ordre de partir, l’ordre d’aller chercher la personne qu’elle aimait ou appréciait plus que lui… un pion dans cette pyramide ou chacun veux écraser l’autre pour être au sommet, lui il était en bas, il tenait la pyramide, une arme… Avait-il réellement plus de valeur que le bout de métal de votre Kunai qui se brise durant un assaut et que vous jeter à bout de bras parce qu’il vous encombre, une fois mort… Hajime finiras comme le métal rouillé… Sur le sol, loin de tous parce qu’il est nuisance. Elle approcha une nouvelle fois sa tête vers la sienne, d’un mouvement moins passionné mais tout aussi significatif, n’ayant aucune arrière penser autre que celle de communiquer. Sa voix, une douce chaleur, qu’elle douce caresse, allait-il survivre à leur séparation, allait-il survivre à sa prochaine mission… Allait-il se revoir, pourquoi sa voix l’enivrait-il autant, il ferma doucement les yeux laissant les paroles valser dans sa tête tentant de garder se ton de voix dans sa tête le plus longtemps possible.
.‘’ Si, un jour, je trouverais la réponse à ces questions, je te promets que je t’en ferais part. ‘’
La proximité entre les deux fit sauter son cœur un bond de trop, un crie perçant qui lui fit fermer les yeux avec plus de force, l’odeur naturel de la Konohajins, probablement l’odeur parfaite créer par les phéromones, mais cette douce arome qui venait lui caresser le nez suffit à lui faire tourner la tête. Probablement qu’en ce moment son corps lui criait d’avoir encore plus de proximité avec elle, mais comment pouvait-il déchiffrer ce message incompréhensible que son corps lui envoyait. Elle n’avait toujours pas sa tête, lui coucher sur ses jambes et elle recroquevillé sur elle-même pour se rapprocher de Sunajins, leurs corps presque qu’ancré l’un dans l’autre. Un ange parfait penché sur l’ange déchu. Pouvait-elle entendre les battements de son cœur qui s’accélérait à une vitesse hors norme, allait-il refaire une chute… Non! Il ne voulait pas, il ne voulait plus perdre une seconde des moments avec elle que lui arrivait-il, ce moment, la présence de Juka le rendait plus humain. Surement que tout ceci allait redevenir comme avant lorsqu’elle serait partit… La clé des Inaoumie… Probablement qu’à être plus humain il aurait rit durant des heures à cette réalisation, son père était comme il était parce qu’il était comme lui… lorsque sa femme était la, lorsque la mère d’Hajime le touchait par son infinie bonté, le monstre tortionnaire devenait le parfait marie et une fois le contact visuel terminé les émotions partaient comme s’ils n’avaient jamais existé… Juka, une des clés, elle pouvait ouvrir une barrière habituellement fermé, par contre il le savait… Jamais il serait pris à vivre pleinement ses émotions au quotidiens, du moins, comment vous feriez vous pour torturer quelqu’un pendant des heures et des heures sans broncher, tuer des enfants et des femmes si la mission vous l’ordonne, côtoyer la mort et le sang à longueur de journée… Le cerveau à besoin de s’éteindre de temps à autre pour ne pas finir par exploser. La main libre d’Hajime se leva avec une infinie lenteur, comme si ses mouvements n’étaient qu’une suite ralentie de mouvement affecter par le mur des émotions, cette mains douce comme la soie arriva enfin dans les cheveux de la descendante de Narcisse laissant les mèches couler entre ses doigts tel une rivière, continue ainsi son mouvement pour glisser avec une grâce incroyable ses doigts sur la tempe de la Konohajins pour finalement poser sa petite mains fines sur la joue de celle-ci. Leur tête toujours si proche, leurs respirations s’entremêlant l’une dans l’autre, leurs regards incapable de ce quitter, leurs corps criant d’être près l’uns de l’autre… Un ange attiré par un ange, tout à fait logique non? Sa voix, était-elle devenu complètement humaine, elle avait atteint le paroxysme de la beauté, un ange descendu du ciel, sa voix telle une harpe laissant les mots sortir telle une note de cette instrument des plus mélodieux. Chaque variation de ton était bien placer laissant l’auditeur être bercer par ses paroles, les buvant comme s’il s’agissait de l’eau de la fontaine de jouvence.
-Juka, le crie et ton cœur qui bat à la chamade sont la même chose, entend tu pas cette mélodie dans tes tympans produites par ton cœur qui s’acharne. Tu n’auras jamais besoin du désir pour me contrôler, de toute façon je crois être presque immunisé à tes phéromones, nos clans ne sont pas le contraire absolu après tout? Nous utilisons la peur comme vous utilisez le désir et notre néant vous attire et ne vous effraie pas et votre désir nous laisse froid par contre sans désir je serais un arme que tu pourras utiliser à bon escient et tu me jetteras lorsque tu auras plus besoin de moi, j’ai été créé pour être un arme et rien d’autre après tout.
Qu’elle mouvement ironique suivit ses paroles, un sourire, un sourire si proche du visage de Juka. Celui qu’on appelait le pantin, la froideur du désert venait de faire ce qui devait être le premier sourire de toute sa vie. La main toujours placer délicatement sur la joue de Juka, sur ce visage si près du siens. Il avait envie de s’approcher, de faire les quelques centimètres à peine qui les séparaient, mais il en avait pas le droit, un arme ne peut rêver, ne peux espérer… Elle ne reste que la immobile à attendre d’être utiliser…
-Juka… Pourquoi tes joues sont devenus rouge tout à l’heure… J’aimerais comprendre?
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Mer 24 Aoû 2011 - 19:50
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Sujet: Re: Un secret des Kiyomizu, gardé à Suna ? [PV Hajime Inaoumie] Dim 4 Sep 2011 - 17:44
Un nouveau silence, le vent s’était doucement tût laissant les deux protagonistes seuls, après tout n’aurait-il pas été voyeur de sa part d’être resté ainsi trop longtemps à les contempler, à vouloir les toucher. N’aurait-il pas fait un fou de lui, de vouloir gâcher ce moment de tendresse, ce moment de complicité. La question d’Hajime, cette question quelques peux troublante, qui oserait demander une telle chose à une demoiselle… Pour lui ce rosissement des joues était magnifique, il était incompréhensible certes, mais comme les toiles de son manoir il n’avait pas plus détourné les yeux et passer outres. Lui, si habituer de ne voir que douleur et haine, apercevoir un sentiment aussi pure et beau était aussi attrayant et pervers que l’homme saint qui paralyser par l’envie regarde les toiles cadavériques du couloir menant à la cuisine. Un faible sentiment d’inquiétude vint envahir le jeune Hajime, l’avait-il choqué ? Pour une raison qu’il ne connaissait pas, il voulait le bien de cette femme, la voir sourire, chanter, danser, s’amuser sans jamais une seule émotion négatives s’éprenne d’elle… Les sentiments, Juka allait-il causé sa perte ou son illumination.
‘’ Beaucoup de pensées m’ont traversé l’esprit ... C’est ... Comment dire ... Enfin je suis un peu perdue face à mes propres émotions en fait. ‘’ ‘’ Ta voix est magnifique ... Elle m’a surpris, mais je crois que c’est ça qui m’a fait rougir. Ainsi que toi, tout simplement. ‘’
Hajime plissa délicatement les yeux, tel un enfant en plein questionnement. Perdu face à ses propres émotions, était-il réellement possible de ce perdre dans quelques choses qui n’est pas tangible, dans quelques choses dont seul l’humain peut réellement décortiquer, dans quelques choses de si abstraits ou chacun à sa propre et réel façon de voir les mots… Par contre quelques choses sembla le frapper de plein fouet, ce qui le fit balbutier ses quelques mots d’un doux soupire.
-Ma voix…
Sa voix magnifique… Comment une voix sans tonalité peut-il l’être… Sa voix, sa propre voix résonnait dans sa tête. Ce n’était pas sa voix, ce n’était pas celle qu’il avait dans sa tête lorsqu’il se parlait à lui-même. Ce n’était pas la voix qui était sensé entendre, celle qu’il utilisait habituellement. Ce ton, cette façon de parler, cette douce note n’était pas semblable à sa mère ? Cette voix, qui à l’oreille était semblable aux doux sons d’un violon, une voix semblable à une faible caresse emplit d’amour. Cette voix, n’était-il pas propre qu’au être sensible, qu’au charmeur, qu’au…Ange ? C’est sur ces pensées que la jeune descendante de Narcisse posa ses lèvres fines lèvres chaudes sur le front d’Hajime, d’un geste tout à fait naturel celui-ci caressa délicatement la joue de Juka avec la main qu’il avait garder à cette endroit tout en fermant délicatement les yeux pour laisser cette lumière envahir son corps, ce sentiment de plénitude, de bien incroyable, ses paupières s’ouvrirent en synchronisation avec le reculement de la tête de la Kiyomizu. Toujours leurs regards plonger l’un dans l’autre, incapable de le dévier.
’ Je ne connais absolument rien de ton clan, bien que après avoir visité une petite partie de ton manoir je peux plus ou moins me faire une petite idée là-dessus. Je ne sais également pas quelle éducation tu as pu avoir pour dire ce genre de choses, mais n’oublies pas ceci : pour moi, tu es Hajime, et non une arme. Tu es mon ami à mes yeux, une personne pour qui je serais là, que j’aiderais, que je protégerais, car je t’apprécie grandement. Tu es quelqu’un, et ce quelqu’un, j’y tiens beaucoup, et je ne veux pas le perdre. Je veux le connaître d’avantage et pouvoir faire quelque chose pour toi également, je veux être là pour toi, et non t’utiliser. ‘’
Hajime… Ce nom était semblable à une arme, on le nommait que par utilité et non pour lui donner une personnalité. Elle voulait être la pour lui, en quoi devait-elle agir ainsi, elle devait l’utiliser jusqu’à sa fin, le faire bouger pour détruire l’ennemi, l’envoyer en ligne de front et le regarder mourir apporter des familles entière avec lui… Il avait été créé ainsi et dans cet unique but, faire gagner Suna et ses alliés dans une guerre imminente. « Je ne veux pas le perdre ». Pourquoi avait-elle dit cela, qu’est-ce que se sentiment, celui qui force un être vivant à tout faire pour pas en perdre un autre. Qu’est-ce qui pousses un être humain à faire tout ce qui est en son pouvoir pour en protéger un autre. Ne le ferait-elle pas par orgueil ou tout simplement pour ce prouver qu’elle est apte à accomplir cette mission impossible, ou le faisait-elle parce que réellement elle pouvait s’attacher et voir aimer un arme, un pantin, une création de toute pièce. Mais… Si elle ne voulait pas l’utiliser, alors il allait servir à quoi ? Qu’allait-il devenir, qu’une simple arme attaché à un mur, les yeux clos, à attendre un nouveau maitre qui daigne bien le décrocher de là pour lui montrer une nouvelle fois le combat et la destruction. Qu’allait-elle faire de lui, surement ne voulait-elle pas l’utiliser comme un arme, mais on finit toujours pas utiliser les êtres humains pour une chose ou l’autre, ne fallait qu’attendre patiemment que la réponse vienne d’elle-même non ? Il continuait de caresser délicatement la joue de la femme près de lui, aucun mot ne lui venait en tête, il n’était pas apte à comprendre encore la totalité des mots ayant été dit au par avant et de plus réussir à former une phrase avec des sentiments était pour lui une première et en faire plusieurs aurait relevé du miracle ou du moins lui demanderait beaucoup de concentration. Pour venir le sauver de cette méandre d’idée qui tournoyer dans sa tête, Juka ouvrit de nouveau la bouche, un souffle chaud quitta la fine espace pour venir caresser son visage avec tendresse. Ce souffle accompagné de paroles dites d’un ton qui le fit frissonner, cette voix si magnifique, ne pouvait rien faire d’autre que l’enivrer.
‘’ Je crois ... Que je commence à comprendre de quoi tu parles lorsqu’il s’agit de ce cri qui tiraille les entrailles, faisant battre mon coeur différement que d’habitude. Bien que je ne suis pas sûre de me stabiliser avec. ‘’
Il tourna légèrement la tête sur le côté, tel un enfant en pleine phase de questionnement. Son regard sembla scruter le plus qu’il le pouvait chaque recoin du regard de la Konohajins, il voulait tout comprendre ce qu’il se passait en elle. Toujours caressant de son pouce, la joue de Juka, tenant de l’autre main celle de la jeune demoiselle, il lui fit un doux sourire laissant pendant quelques secondes ses yeux s’illuminer. Il était bien et heureux, combler dirais-je, voilà en quoi il allait servir. Il n’était pas une arme à ses yeux, mais il garder une utilité, il l’aidait à comprendre la vie elle-même. Quoi de mieux pour vous aider à comprendre des sentiments que l’homme ayant le plus de difficulté à en ressentir, puisqu’en tentant de lui expliquer les choses en comparse avec ses répliques rationnelles cela finit par nous plonger à la racine même des émotions et enfin on peut la vivre pleinement.
-Juka, pour toi je ne serais jamais une arme et je m’y ferais. Pour toi par contre je serais toujours présent, à tes côtés, comme une arme au fourreau prête à être dégainé. Je suis heureux, du moins je crois fortement que c’est ce que je ressens en moi, d’avoir réussit à te faire comprendre ce qu’est le cri… Nous allons apprendre ensemble à se stabiliser avec, je commence à naitre et tu commences à prendre conscience de tes propres émotions, ensemble nous allons y arriver… j’en suis sur.
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ