Mes paupières me semblaient bien lourdes et la lumière qui me réveilla brillait fortement. Quel était donc cette étrange sensation d’impuissance complète qui restait en moi alors que je n’avais pas encore daigné ouvrir les yeux de peur d’y découvrir ma plus grande crainte. La chaleur de lumière du soleil illuminait mes paupière de tant de clarté que je me forçai de les ouvrir pour admiré ce monde rempli de beauté. Les rideaux était d’un blanc éclatant et ne couvrait pas totalement la fenêtré cause du filet de lumière qui m’avait éblouie. Je n’avais pas encore compris ou j’étais, mes souvenir était flou et ma mémoire ne semblait pas apte a coopéré pour le moment. Pour mieux comprendre la situation je tentai de me redressé en m’aidant de mes membres inférieur et supérieur mais seul mes bras réagirent convenablement. Mes jambes me firent sentir une forte douleur et m’abstint donc de les bougé. Mes ados et mes bras était mes seul secours. Petit à petit je retrouvais mes esprit, ma mémoire commencé enfin à faire son travail et par bride intermittente me rappelais de quelques détail troublant. Je me souvenais enfin que je devais être de garde et qu’un individu était arrivé puis, plus rien le trou noir. Alors dans quel état étais-je au final, le seul moyen de le savoir était de s’en rendre compte par mes propres yeux. Je soulevai la couverture qui recouvrait la parti inférieur de mes membres. Ce que j’y découvris me fit ressurgir tous les souvenirs de la veille, comment j’avais été écrasé en une fraction de seconde par un renégat de Konoha. La différence de niveau était tel qu’il avait même daigné mépargner peu être pour me faire comprendre ma faiblesse. Mon arrogance avait été mis de rude épreuve se jour la. Je ne me souvins qu’après mettre pris une déferlante pluie de senbons sur l’ensemble de mes jambes, la douleur avait été telle que je me suis évanouie telle une jeune fille. Ma faiblesse me répugnait et ce jour la je me fis donc une promesse à moi-même. Plus jamais je ne serais un poids pour mon village, je me ferais violence au travers d’un très long entrainement qui me permettrait d’élevé mon endurance physique au summum de mes capacité et d’’accroitre ma puissance physique et ma maitrise du ninjutsu. A ce moment la je ne m’imaginais pas a quelle point honorer cette promesse a mon être allait être difficile. Je me trouvais actuellement dans une chambre d’hôpital immaculé de blanc, cette douce lumière provoquer par le soleil qui faisais poussé toute chose était les témoins de la mort de mon ancienne personnalité, faible et arrogante, désormais je ne ferais plus honte à mes proches que ce soit mon ancien village que j’ai juré de sauvé de l’envahisseur sectaire ou de mes collègue ninja de Konoha qui m’avait trainé a l’hôpital du village. Kiri autrefois village de la brume sanglante était désormais ma maison et je ne saurais toléré que l’on ne la dégrade que ce soit Konoha ou des ninjas mercenaires.

Sur le bout de mon lit se trouvais des habits propres. Mes hauts été les mêmes que la veille mais avait été lavé quant au bas, il ne devait pas en resté grand-chose vu le nombre d’aiguille qui l’avait transpercé et les multitudes goutte de sang qui était sorti de ma peau blanchâtre recouvrant le tissu abimé de globule rouge composé en grande parti de fer. Le pantalon qui avait été entreposé là pourtant il m’appartenait bien, j’en déduisis donc qu’un collègue était passé chez moi en prenant les clefs de mon logement que j’avais laissé au poste de garde le jour de l’attaque. Peu être s’agissait t’il de Tatsuya si lui s’en était sortis indemne ou alors un jeune genin chargé de cette requête par un ninja plus haut gradé. Je fus soulagé lorsque je m’habillai avec des vêtements propres, toute odeur de transpiration avait disparu. J’eu quelque difficulté a enfilé le pantalon que l’on m’avait apporté pour l’occasion je dois bien l’avoué mais après quelques trois essaie et les larmes de douleurs bordant mes yeux fatigué je réussi à l’enfilé. Je n’avais pas une minute a perdre à me reposé, la promesse que je me suis faites ne se ferais pas toutes seul. Il fallait que je quitte l’hôpital au plus vite, Néanmoins la douleur dans les jambes était bien présente. Je me m’assis quelques minute en respirant profondément pour contrôlé la douleur pis alors que j’allais me dirigé en rampant sur le sol ,vers la chaise roulant mis a mon attention au fond de la pièce, la porte de ma chambre s’entrouvrit légèrement et une jeune infirmière des plus charmante qui semblait âgées du même âge que moi fit apparaitre sa tête dans l’entrebâillement de la porte.

Sa jeunesse étais la chose la plus fraiche qui m’avais été de voir aujourd’hui, ses cheveux mis-long s’accordais parfaitement a son visage qui était des plus beau qui m’avais été donné de voir à Kiri. Pour moi sa beauté rivalisé facilement avec notre Hokage qui jeune elle aussi, laissé apparaitre une beauté des plus meurtrière. Elle découvrit que j’étais réveillé et m’adressa un petit sourire des plus charmants en me regardant gentiment. Mon cœur battait la chamade, depuis quand cette jeune femme habitait Kiri voila près de sept année que j’ai débarqué à Kiri et bien que je n’avais jamais été admis à l’hôpital je n’avais encore jamais vu se visage dans tous le village. Elle me demanda si elle pouvait entrer et bêtement je ne puis bégayer qu’un « oui » mal prononcé. Était ce cela que l’on appelé le coup de foudre ? Je ne saurais dire car je n’avais encore jamais ressentie un sentiment tel que celui-ci. Elle s’approcha de moi accompagné de son corps svelte et des plus harmonieux, sa poitrine généreuse ballotté légèrement dans sa tenu d’infirmière et tout d’un coup des idées des plus douteuses me traversèrent l’esprit. Je les chassai et me ressaisi pour me concentré sur la venu de cette ange en tenu d’infirmière. Elle m’expliqua que elle était la pour me remettre une lettre de Hokage-sama a mon attention. Surpris par cette nouvelle mes pensée revinrent a ma défaites écrasantes que j’avais réussi a dissipé l’espace de quelques secondes. Je me saisit de la lettre en question le plus aimablement possible et avec une douceur qu’il était rare d’observé chez moi. Un cachet officiel était apposé a la cire rouge comme lors des missives importantes. J’en déduisit alors que cette écrit était des plus important. Je décacheta l’enveloppe et lis le papier a vois basse.

« Le conseil des sages a été convié à Kiri lors d’une mesure extra-ordinaire, tous les ninjas de niveau junin sont convié a se rendre à cette réunion, ainsi que les deux ninja agressé par le ninja de Konoha, Satoshi Hateru. Comme vous devez le savoir hier dans l’après midi alors que nous nous apprêtions à signé un traité de paix avec le village de la feuille un ninja de Konoha tenta de s'infiltré à Konoha brisant le traité et condamnant son Hokage à être mis au arrêt en attendant le verdict de se conseil. Cette mesure extra légale prend effet aujourd’hui donc tous ninja de niveau supérieur sont convié à l’évènement. »

Je regarda l’infirmière proche de moi dans la prunelle des yeux et lui demanda avec un beau sourire de bien vouloir m’apporté le fauteuil roulant pour que je puisse me rendre au plus vite au conseil ninja. Sans broncher elle me l’apporta et avec amabilité elle m’apporta également mon bandeau frontal posé sur la table de chevet du flanc gauche de mon lit. Je le saisit en la remerciant puis elle disposa en sortant de la pièce très calmement. Alors que je m’apprêtais a mettre mon bandeau frontale je aperçu qu’un petit bout de papier plié avait été infiltré entre les plis du tissu. Comprenant le nom et l’adresse de la jeune infirmière. Elle avait certainement glissé ce petit mot pendant que je lisais la lettre ce qui me rendit fou de joie. Ma détermination de ne plus décevoir ce village et encore plus cette jeune, « mina » comme écrit sur les mots, était des plus fortes. Je m’engageai alors sur le fauteuil roulant en issant mon corps affaibli sur la chaise. J’étais fin prêt il ne me restait plus qu’a me rendre au conseil en fauteuil ce qui restait une épreuve des plus difficile mais pas des moins insurmontable.

Sujet archivé.