Quand un homme rentre dans l'histoire.

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Sujet: Quand un homme rentre dans l'histoire.

Sam 22 Oct 2011 - 17:31

Flannerie

Propre à l'espèce humaine est le besoin de saluer d'une appellation son maître hierachiquement parlant, ce n'est qu'une futilité il me semble bien. Quoique qu'en soit cela appaisé les besoins dereconnaissances des hommes les plus fous lorsqu'ils arrivaient au somome de leurs idéaux. Cela étaut-il bien et surtout judicieux de flatter l'égo plus qu'il ne l'est déjà des êtres humains ? Il y aurait-il une personne sur terre capable d'impartialité pour répondre en toute franchise à cette question ? Infotrtunément je ne pense pas. Mettre de coté sa subjectivité, l'homme en sa généralité en est incapable, ses idéaux, ses opinions sont trop amplement marqué pour cela. C'est certes dommageable mais tellement humain, nous le repprocher reviendrais à dénoncer notre nature même. Ma foi je m'y perds moi même comme bien souvent. J'aime à me voir philosopher mais cela est si sot et présomptueux de mar part qu'en cela je me riddiculise.

Philosopher, c'est un mot archaïque remontant de loin à nos lointaines racines. C'est peut-être pour cela que je l'affectionne. Tous ce qui est viellit signifie pour moi un objet d'admiration dont s'émane cette aura magnétique à laquelle je ne saurait résister. Ce mot s'était l'objet et comme souvent je m'hasarder à le froller du bout des doigts sans jamais le saisir. Il suscitait en moi la curiosité de le maitriser, savoir comment le dicipliné pour mieux m'en lasser mais cette activité si ainsi nous pouvons la qualifié m'avait toujours échappé. Je ne saurais dire si cela résulté de mon manque de connaissance réel sur le sujet ou si cela était simplement que je baissais les bras trop vite mais j'avais la ferme impression qu'il fallait que je la laisse à d'autre plus doué. Mais ce n'était pas pour autant que j'abandonnais cete science humaine.

Je laissais mon dos s'appuyer contre la cime d'un arbre, une fois encore l'orage grondé, l'atmosphère était lourde et l'air quasiment irrespirable mais cela ne m'empêchait pas de sortir et de rester sous un arbre. Devant mes perles émeraudes des éclairs jaillissaient des cieux orageux, un constraste de teintes aussi beau que furtif. Mais là est toute la question, l'art réside dans la beauté de 'lisntant ou dans le temps ? Une fois de plus cela sonner philosophique à mes oreilles. Interrogation qui allai tdemeurer sans réponse comme il en est souvent. On disait qu'il était mauvais de regarder les éclairs, que certains étaient atteint de céssité par la suite mais si la beauté est à ce prix alors ainsi soit-il. La vie est trop courte pour ne pas la contempler quitte à perdre la vue autanten profiter jusqu'au bout. Un léger sourir aux lèvres je fermias les paupières ne laissant ma tête buter contre l'arbre. Un grondemment retentit, plus fort, plus dévastateur peut-être aussi ? Probablement pas en Kumo même.

J'inspirais l'air dans une impression d'éttoufemment, je ne voulais pas regagner mes appartements je ne m'y sentais point à mon aise. Trop de chose avaient changées si soudainement et si vélocement. J'avais comme perdu mes repères. Simple Juunin j'étais maintenant Kage, Kage ! Un poste qui 'mavait toujours fait rêver et maintenant que je l'étais je ne me sentais qu'à moitié satisfait. Cela faisait dix ans que je servais Kumo, j'avais vécu deux guerres et des centaines de missions au moins. Je n'aurais jamais crut que cela serait un jour récompensé. "Il y a une justice"lâchais-je. J'observais les éclairs, les grondemments devinrent une mélodie que j'aimais. A qui parlais-je ? A elles. Ces éclats éphémères de lumière dans le ciel. Je le sait elle ne m'entendaient pas mais j'avais toujours crut qu'elles étaient quelque part mes seuls vértitable confidentes. Je les voyaient comme des amies étrangement je n'y voyais aucune bizzarerie. Juste une once de plaisance à vivre ici.

Dans un mouvmeent vers l'avant je posais ma main au sol, l'herbe se faisait caline et j"y prit appuit pour mieux me lever. L'heure n'est pas au badinage futil ni même aux pensées létargiques. Non, l'heure est à l'attelage de ma tâche. Je m'époustais soucieux de mon apparence quand dans un dernier regard aux cieux je délaissais cette verte étendue où jonchias fièrement un temple que je connaissais bien. D'un geste lasse je semblais abbattut, il n'en n'était rien. Hâte dans avoir hâte j'étais Kage il fallait me l'avouer. Choisit parmis les autre, Kage malgré moi ? Non pas vraiment. Un rêve venait de ce réaliser, je me devais d'assumer mes nouvelles fonctions. Kumo ton nouveau maître arrive.

Quand un homme rentre dans l'histoire.

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