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Mission [Eryu] : Un lance-pierresSujet: Mission [Eryu] : Un lance-pierres Dim 13 Nov 2011 - 21:45 | |
| Mission 3: Un lance-pierres. - Citation :
- Objectif(s): Un petit garnement du Village caché du Sable s'est fait offrir il y a peu de temps un superbe lance-pierres pour son anniversaire... et devinez quoi ? Il s'amuse à l'utiliser sur toutes les vitres des bâtiments du Village ! Arrêtez-le avant qu'il ne détruise toutes les fenêtres des habitations !
Lieu(x): Village caché du Sable Durée: Une journée Rang(s) autorisé(s): Genins ou supérieurs Nombre de personne(s) autorisé(s): Mission à faire en solo ou en équipe ! Apparition de monstres possible: Non ~Un passe-temps mal choisis pour ces temps-ci~ Avec l'attaque qu'avait connu Suna il y a quelques jours, le moral de la population était au plus bas. Peu de rires, les seules discussions qui animaient encore les rues de la ville étaient tout bonnement des plaintes. Les bâtiments avaient subi de lourds dommages pour quelques-uns, rares étaient ceux qui avaient étaient détruits. Mais c'était justement ça le problème, la majorité des habitations nécessitaient de légères réparations, mais c'était un phénomène global. Les économistes du village prédisaient par cet évènement comme un essor, une reconstruction fulgurante et une croissance économique considérable. Il est vrai que c'était un procédé de relance, mais on ne pouvait tout de même pas se réjouir de cela. Il y avait eu des victimes à l'assaut des marionnettes, quelques morts, mais beaucoup de blessés. Et pourtant, les escouades de ninjas tous niveaux confondus s'étaient mobilisés.
Quoiqu'il en soit, aujourd'hui, ma mission n'était pas très palpitante mais demeurait pleinement nécessaire. Il s'était arrivé que depuis hier, un petit garnement s'était amusé toute la journée avec son lance pierre. Quoi de plus banal ? Mes parents à moi ne m'en avait pas offert, je l'avais construis avec mon Papa tout simplement, quand j'étais moi même gosse, à Konoha. Je comprenais donc la situation. Ce qui devenait bien plus embêtant était en réalité l'usage qu'il en faisait. En effet, il jouissait de la capacité à briser les vitres et carreaux des fenêtres des habitations, positionné sur des toits ou même un peu plus loin dans la rue. C'était bien entendu une chose qui ne se faisait absolument pas, et le village avait besoin de régler ce trouble mineur rapidement avant qu'il n'explose les vitres de la ville entière. Cela aurait pu mieux passer, mais il fallait que je fasse la morale à ce jeune garnement d'autant plus que la situation de Suna ne permettait pas trop de casser les vitres des maisons comme ça, selon nos envies matinales. Ainsi, je ne mettais tout simplement pas préparer pour la mission. Je m'étais levé, comme chaque matin où je n'avais rien à faire. J'avais pris ma douche, enfilé ma tenue quotidienne et non celle de combat. Puis, j'emboîtais le pas en direction des quartiers renfermés de Suna, les quartiers que l'on surnommés "pauvres". En réalité, ils n'étaient pas si pauvres que ça mais disons qu'ils n'avaient aucun attrait. Les ruelles étaient plus étroites que dans le centre, les bâtiments se collaient les uns les autres. L'atmosphère y était bien moins agréable aussi, mais ça restait tout de même très vivable bien entendu. Puisqu'ils se trouvaient en périphérie par rapport au centre et à la place principale, ces grands quartiers avaient été plus touchés que le reste. En effet, les marionnettes avaient débarqué depuis les remparts et s'étaient occupé de détruire un peu tout ce qui se trouvait sur leur passage. Dans le quartier où j'effectuais ma mission, il y avait une maison qui s'était effondrée intégralement. Ainsi, la population locale estimait et évaluait leur chance par rapport à la famille qui n'avait plus de maison. Ainsi, finalement, ils s'estimaient heureux. Mais attention, les blagues foireuses n'étaient pas au goût du jour. Les esprits pouvaient très vite s'échauffer très rapidement. Par conséquent, il ne fallait pas que le petit garnement duquel il était sujet durant ma mission ne se fasse attraper par les habitants du village. Leur esprit était troublé par l'attaque, et dieu sait ce qu'ils pouvaient bien lui trouver comme châtiment si jamais ils venaient à le trouver. Il faut tout de même dire que pour déposer cette mission au quartier général, ils étaient venus à une trentaine de personnes, les unes toutes aussi agacées que les autres, et dont les têtes frivoles s'agitaient frénétiquement en signe de fureur. Ils avait fait un de ces brouhaha dans le hall, nous avions d'abord cru à une manifestation ! Mais non, "c'est juste pour déposer une mission" avait dit ce qui semblait être le chef de la cohue.
Lorsque j'avais pris connaissance de la mission après que celle-ci m'ait été attribué, je savais où habitait le jeune garçon. En effet, ce n'était pas très difficile à savoir puisque une enquête avait été menée la veille même pour régler ce problème aussi vite que possible. Grâce au ciel, on peut dire que c'était donc donné implicitement avec la mission. Cependant, je n'allais pas le voir chez lui pour lui dire que ce n'était pas bien. Il fallait que je le prenne sur le fait accompli, et que je lui explique en quoi son acte était irresponsable en ces temps un peu durs. Il n'était nullement question de punition, je en fonctionnais pas de la sorte. J'allais devoir le raisonner, le mettre mal à l'aise en d'en tirer au profit un peu de maturité. Je me positionnais donc sur les toits de façon à avoir une vue des plus panoramiques possibles de la zone. J’espérais même le croiser non loin, mais bien sûr j'avais de l'espoir. Quel ennuie d'attendre ainsi ! Les minutes passaient lentement, par petits paquets de dix. Mais je n'étais pas venu me languir et dorer au soleil sans rien faire, en fait j'avais prévu le coup en apportant un de mes livres du moment sur les bases de la physique quantique. Il traitait de larges phénomènes naturels différents et notamment le sujet sur la thermodynamique qui allait me renseigner un peu plus sur mon art. Je feuilletais les pages lentement, en essayant de bien comprendre les mécanismes de températures et leurs effets pour pouvoir étudier tout cela et l'adapter au combat. Mais, toutefois, je gardais un oeil dans la zone pour voir si mon sujet n'était pas arrivé. De temps à autre, je lâchais un soupir exaspéré.
Vous allez me dire, pourquoi envoyer un Chuunin pour une telle mission alors qu'une escouade de petits Genin pourraient très vite le faire à ma place. Et bien il y avait deux réponses à cette interrogation. Tout d'abord, comme je l'eu dis précédement, Suna était en crise de reconstruction prompte depuis l'attaque des marionnettistes. Qui plus est, les missions avaient éclaté un peu partout dans la ville. Des missions très basiques, comparables à la mienne, qui étaient arrivées au quartier général par dizaines et dizaines. L'effectif de Genin dans la ville n'était pas suffisant pour toutes les accomplir, et comme les missions un peu plus complexes se faisaient rares ces temps-ci, je m'étais porté volontaire pour la tâche. Moi et d'autres Chuunins, assignés à d'autres missions basiques comme celle-ci. D'autre part, je doute qu'un Genin puisse réellement bien lui faire la morale. Vous savez, si c'est un jeune Genin qui lui inflige une correction, le délinquant le prendra à la légère et l'oubliera bien assez tôt. Mais si c'est une vieux croulant au contraire, il en résultera le même problème. Il fallait donc que ce soit une personne de mon âge qui le remette en place, et d'autant plus que j'étais doté d'une assez bonne qualité charismatique et d’éloquence. Je sortais alors mes yeux de mon bouquin si intéressant pour scruter les parages.
Dernière édition par Eryu Tsukyo le Lun 14 Nov 2011 - 8:42, édité 2 fois |
Sujet: Re: Mission [Eryu] : Un lance-pierres Lun 14 Nov 2011 - 8:39 | |
| ~Pris la main dans le sac~ Justement, je vis un groupe de jeunes garnements arriver dans la ruelle en bas qui me paraissaient un peu trop suspect à mon goût. Je me levais un peu, de toutes façons ils ne me verraient pas. Peu de personnes regardaient ce qui se passent au dessus de leur tête à vrai dire. Je gardais mon bouquin ouvert au cas où je me trompais, et les suivis du regard. Ils s’arrêtèrent de manière à former un cercle entre eux, et semblaient discuter entre eux sans pouvoir se mettre d'accord. Malheureusement pour moi, ils ne braillaient pas comme le font la plupart des gamins de leur age. Chose pour le moins, encore plus suspicieuse. Alors, le groupe se scinda. Trois garçons allèrent sur la droite, se cacher derrière des tonneaux dans la même rue, tandis qu'un autre grimpa à l'aide d'une petite échelle à un toit un peu inférieur à celui sur lequel je me trouvais. Il s'installa, allongé, sur la toiture juste en dessous de moi. Je l'observais un peu plus quand j'aperçu qu'il sortit de son sac à dos le fameux lance-pierres. Derechef, deux expressions s'accumulèrent sur mon visage. La première fut un large sourire d'enfant, et l'autre paradoxalement, un air exaspéré. Il bandait la corde, pour calculer un peu son tir. Il passa alors la main dans la gouttière, en cherchant à taton. Il trouva ce qu'il cherchait : un cailloux qu'il plaça sur la petite poche au beau milieu de la corde. Bon, à moins qu'il y ait une grosse erreur de ma part, c'était bien le garçon que je cherchais. Il banda une dernière fois la corde élastique, avant de viser le bâtiment qui se trouvait en face. Je sautais alors calmement sur le toit inférieur, pour me retrouver derrière son dos. J'essayais de ne pas faire de bruit pour pouvoir le surprendre. En tout cas, ma façon d'atterrir fonctionna parfaitement. Mes appuis naturellement légers pour ce genre de situation, avaient été en plus camouflés en partie par le bruit de la foule. Je m'accroupis donc juste derrière lui sans même qu'il ne s'aperçoive de rien. Au moment où je sentais qu'il allait lâcher la corde, je mis brusquement ma main devant pour arrêter le cailloux. Chose qui ne loupa pas. Le cailloux se jeta tout droit dans le creux de ma main. Le petit garnement se retourna brusquement, et me regarda dans les yeux. Ce n'était pas de l'étonnement que je pouvais lire sur son visage, c'était de la peur. Alors, je le rassurais tout de suite que je n'étais pas là pour le punir, ni quoi que ce soit. Sa mine retrouva ses couleurs rapidement. Je déposais alors le cailloux sur le toit, pour en pas assommer quelqu'un dans la ruelle. Je lui pris le lance-pierres des mains, avant de l'accrocher à ma ceinture. Le petit garnement enjamba alors le toit et se dépêchant de descendre à l’échelle pour regagner la ruelle. Quant à moi je levais les yeux au ciel, comme si il pourrait s'échapper. Je le laissais descendre à l'échelle pour ne pas le brusquer et qu'il se fasse mal en tombant. Puis, il se mit à courir le long de la ruelle. D'un seul appui, je me lançais à ses côtés. Il ne courait pas vite, et puis ce n'était rien comparé à la vitesse d'un ninja. Je ne voulais pas l'arrêter par la force, ce serait trop facile. Comme je devais lui faire la morale, ce devait être quelque chose qu'il accepte d'entendre. Ainsi, je préférais le raisonner pour qu'il s'arrête de lui même et que l'on discute. Je m'adressais alors à lui, toujours dans sa lente course, tandis que je le suivais à la trace, juste à sa droite.
- Tu peux courir longtemps comme ça, je pense pas que tu puisses me semer tu sais... J'veux juste qu'on discute, je veux pas te punir. J'suis pas ton père non plus...
Soudainement, son expression faciale de jeune garnement en fuite disparu. Il s'arrêta de courir, pour marcher. Puis, quelques secondes après, blême comme il était, il s'arrêta nettement de marcher tout simplement. Très surpris, moi qui pensais que ça allait durer un peu plus longtemps, je m'interrogeais sur cet air qu'il avait pris. Il me regarda de ses petits yeux enfantins, larmoyants, et décrocha quelques mots qui subsistaient.
- Mon père s'est fait attaqué par les marionnettes de l'autre soir... Il est encore à l'hôpital... dit-il tandis qu'il essuyait les larmes qui coulaient naturellement de ses yeux.
- Autant pour moi, j'aurais dû faire attention. Allez viens, monte sur mon dos on va faire un petit tour !
J'étais gêné, et en plus j'étais maladroit pour rattraper mes bêtises orales. Ainsi, je n'attendis pas qu'il se décide à monter. Je le soulevais d'un seul bras et le mis sur mon dos. Une fois bien accroché, je pris mes appuis promptement avant de me propulser sur le toit un peu plus haut. Alors, je commençais ma course. Je voulais qu'on se mette à un endroit où l'on pourrait voir al ville entière en reconstruction, pour lui faire comprendre dans quel état était la ville. Bien entendu, sa situation n'était pas plaisante. Son père était à l'hôpital à cause de l'attaque des marionnettistes, mais je ne pensais pas qu'il était entre de mauvaises mains. Les médecins de Suna étaient de bons médecins, bien que surchargés ces derniers jours. Il fallait que je lui montre. Je pris pas mal de vitesse, car je savais que ça plaisait aux gamins, la vitesse. J’espérais que ça lui sécherait ses larmes par la même occasion. M'élevant de toit en toit, toujours plus haut, je vins à mettre pied sur la grande tour sphérique centrale. D'ici, on pouvait voir Suna dans son intégralité, de fond en comble, et sous tous les angles. Je me baissais un peu pour permettre au gosse de descendre. Une fois qu'il mis pied à terre, je pu m'asseoir ici, et regarder la ville. Elle était bel et bien en reconstruction. On voyait des centaines de petites fourmis s'affairer ici et là, devant la plupart ses bâtiments, puis repartir voir ailleurs. De nombreux échafaudages se dressaient de toutes part, accompagnés par de lourds coups de marteaux, de cisailles... Pour ainsi contribuer à rendre à Suna non pas son image d’antan, non, une nouvelle image, celle d'un nouvel ère. Avec un doigt, je pointais l'hôtel où je vivais en attendant, tout en lui expliquant pourquoi j'y vivais. Je lui racontais un peu mon histoire dans les grandes lignes, mon arrivée dans la ville. Je marquais une pause, puis je repris. Il était temps de commencer la morale, et j'avais la tête ailleurs...
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Sujet: Re: Mission [Eryu] : Un lance-pierres Mar 15 Nov 2011 - 8:20 | |
| ~La morale à l'image de mon père~
Le soleil était timide, mais ce n'était pas plus mal. Souvent ici i faisait chaud, un peu trop à mon goût et d'autant plus les jours sans vents. Heureusement, ces jours étaient rares. Le petit garnement et moi étions sur le plus haut toit de Suna, et je pouvais lui montrer la ville entière. Bien évidemment, il n'était jamais grimpé ici, il n'était même pas Genin. Nous avions beaucoup parlé, mais il s'était avéré être très bavard en plus. Il me racontait ces journées, ses projets d'avenir, puis il eut un peu plus de mal à me raconter son vécu de l'attaque de Suna par les marionnettistes. Son père était à l'hôpital et sous haute surveillance médicale. Je pouvais comprendre que cette situation d'attente était dure à supporter. J'essayais tant bien que mal de le rassurer. Puis, le temps était venu pour moi de lui faire la morale vis à vis de son lance-pierres. D'une voix maintenant confiante et assurée, je débutais.
- Je sais bien que c'est de ton âge de t'amuser toute la journée, surtout avec un lance-pierres. je suis pas si vieux que ça, je l'ai connu il y a à peine une dizaine d'année quand j'avais ton âge. Mais le contexte est différent, et tu es suffisamment intelligent pour le comprendre. regarde autour de toi, regarde bien Suna dans son ensemble, elle et fatiguée, abîmée... Et la population aussi, elle est sur les nerfs. Tu as eu de la chance que ce soit moi qui te trouve et pas l'une des personnes qui ait porté la mission jusqu'au bureau du Kazekage. Tu aurais dû les voir, comme s'ils allaient te châtier à mort ! Enfin bref. S'entraîner au lance-pierres est une bonne choses, mais sur les fenêtres de personnes désabusées par les évènements récents, c'est mal. Regarde bien chaque maison, là-bas, pas une seule est intacte. Tu crois qu'ils n'ont pas suffisamment de dégâts à réparer ? Ce n'est pas très judicieux de ta part de faire ça ces temps-ci. Tu m'as dit que tu voulais devenir un grand ninja, et bien pourquoi tu n'uses pas de ton temps pour t'entraîner jour après jour ? Avec un bon rythme, tu pourras être quelqu'un de puissant tu sais, et protéger les habitants d'une prochaine attaque. Mais pour ça, il faut se donner les moyens de réussir. Profite de ton temps et de ta jeunesse pour progresser, c'est un conseil. Et puis tes potes seront bien plus épatés par des techniques ninja que part un tir bien réussi au lance-pierres. J'espère que t'as compris la leçon en tout cas... Je en suis pas doué pour les morales tu sais, ces leçons là. Mon père était rarement à la maison, et souvent en mission en contrepartie. Mais quand on faisait des bêtises comme ce que tu as fait, il nous faisait relativiser au lieu de nous punir. Je pense que ça sert à rien que je t'inflige une punition, ce serait stupide. Alors j'essaie juste de te faire comprendre que ce que tu as fait n'est ni intelligente, ni acceptable en ces temps durs. Enfin bon. Il va falloir redescendre, ta mère va te chercher partout.
Je terminais là dessus, en me relevant lentement. Puis, je me baissais à nouveau pour qu'il monte sur mon dos une fois encore. Il s'accrocha bien à mon cou, puis je commençais ma descente qui était bien plus facile d'effort, bien plus rapide, donc bien plus sympa pour le petit. Une fois en bas, je le ramenais non loin de chez lui. Ca avait été une mission bien sympa en somme, différente des habituelles que j'effectuais depuis quelques temps. Ca m'avait plus, même si je n'étais pas tout à fait à l'aise avec les petiots. Ainsi, je lui dis au revoir tout en lui ébouriffant les cheveux. Il se retourna, me lâcha juste un mot, avant de partir dans sa maison. Merci. Pourquoi merci ? Sans vraiment comprendre, je regagnais la tour du kazekage pour rendre mon petit rapport. Ce n'était pas tr_ès long pour une mission de cette ampleur. Ainsi, dans une petite demi heure, je serais de retour chez moi pour manger avec Ayako. |
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