Aquilon bizuth et courtois au possible tu es flagorné de mes deux singulières pupilles azurées. Je déplois l'hostilité indu à ton égard mais l'état éphémère d'une ère n'est oncque jaugé à sa puritaine valeur par les humanoïdes dans leur somme. L'esquisse jobarde de l'altération ne fut jamais au statut de bonté séraphique mais mainte fois lui attribut-on la cerne délétère de l'enfer en sa singularité. La métamorphose de la plus infimité de ce biotope n'engraine qu'un climat chambard où au grès d'un dédale l'on apperçoit d'un oeil vif la bruine intempestive de l'averse cabalistique de la mère ignorance. Elle absoud les fautes et prêche la bonne parole mais dupe l'humain dans des geôles de cessité. Puisque l'homme est candide il est le centre de sa déchéance. L'humanoïde présentemment fondé sur un banc de pierre altéré par les années à l'égal image de ce penseur. Une chevelure oblongue et crayeuse en cascade de front à son portrait prend fin en haut de son dos et son coude fondé sur sa cuisse aux traits abstraits puisque recouverte d'une robe brune. Nuitée innacoutumé pour cet ample sieur, un maux irrévocable le tourmente. En sa cime idéologie, désireux de justice, férut de patriotisme ce heurtent ostensiblement dans des rictus méditatifs, aucunement en pluralité le vieillard d'ample âge estime la solitude. La singularité d'une âme abscente et asymétrique, inégal qui se projette sans cessement dans un monde novateur. Le déclenchement d'une considération d'une ampleur pharamineuse est l'engrenage mesquin d'une décision des hautes instances. Un vieillard se questionne sur son jadis et pousse à la remise en question de ces exploits et fautes commises. Facétie crieront les quelques ignorants de la situation. Puisqu'il est considéré comme absolue vérité qu'un humain de soixante dix huit ans revive ses mémoires en conséquence j'écoute vos argumentations que j'imagine claudicantes. Le corp inactif jusqu'à cette seconde infime où il corrige sa posture et avec lui son portrait se dévoile à nos prunelles investigatrices. Un teint blafard blanc comme un linge, deux pupilles graves et azurées et des rides en conséquences de son expérience. Âge mûre rime familier avec sagesse et de nos jours cela est devenut qualité de choix. Le vieux pose une prime main sur le banc, le contact de sa paume et de la pierre lui tire une plainte douloureuse. Puisque sa main est posée dans un mutisme religieux il y prend appuit pour mieux se dresser.Dans une réplique obsessionelle la pince décharnue et vieillit de l'homme vint lutiner sa barbe crayeuse alors que de sa seconde battante il prends son épieu lover en son apogée. Il y destine des prunelles tendancieuses desquelles s'échappe un brun de nostalgie. Un coup d'oeil aux étoilles ou les plus amples cantatrices de ce biotope et fait un pas premier sur un chemin de graillon. Des bruits de crissements qui ne cesseront qu'à l'achévement de cette ample marche silencieuse qu'il vient juste de mettre au monde. Un rythme tertiaire entre le claquement de ses chausses contre les gravats et ceux de son épieu d'un mètre quatre-vingt six que sa main de personne en âge de sagesse soulève avec monotonie. Un zéphyr annonciateur de bruine souffle en la cime de sa cheveulure de neige qui se laisse aller à une valse macabre avec l'univers sans qu'il ne mette fin à sa marche, de front aux problations il y met fin prématurément afin de lever le visage aux cieux que l'on ne distingue même pas conséquence directe d'une brume épaisse. Adagio il lève sa main vers le deviné empyré olympien, sa paume ouverte il recueille les premières gouttes de l'averse qui s'annonce. « Messieurs une averse se prépare. » avance-t-il d'une tonalité de voix serreine et ascère. Un étranger incongrus à la scène puisse le penser éprit de folie ou de sénilité mais ce vieillard est shinobis depuis ample années. Sic il a prescience de c'est shinobis absents et présent à la fois. Des humains sans visage, sans voix et aucunement d'identité. Des coups de vent intempestif qui au grès d'une journée emploi quelques secondes de notre temps.« Mizukage-sama vos primes responsabilités vous attendent. » Un corp agenouillé quelques secondes qui dans un éclat fuit aussitôt. Le vieil homme agrée singulier puisque d'un hochement de tête il fit un épuré sourire. La silhouette brune surplombée de blanc quitte ce jardin relié à une résidence oisive certainement la sienne puis de ses pas flâneurs empreinte une éffilé rue bien éclairée. Sous la pluie le vieux porte sa main gauche à sa capuche et la rabat dans un simulacre de bruissement. Il marche sans pressement qu'il perçoit innacoutumé à son ample âge et ses manières. Il lui importe peu d'être imbiber de ce liquide transparent puisque cela lui fait revenir à son humanité.

L'homme mit un quart d'heure c'est plus qu'il n'en faut pour arriver à l'apogée de sa chevauchée. Le tissu qui le recouvre arbore un aspect prime humide et sous l'averse qui s'affirme il ote son encapuchement. Il met sa battoire sur la porte dans un frissonement et pousse l'antre du palais du maître du village. Aucunement de présomption, nul trace d'arrogance factice qu'il nomme de leurre. C'est homme est sage. Son bras monte à la hauteur de ventre pour effleurer une rampe qu'il en daigne toucher plus amplement alors qu'il fait son ascension au sommet du palais. Les marches ne sont pas un obstacle à sa condition physique puisque ce vieillard bien familier est le novateur Mizukage. Seigneur de la brume il balaye son ascension d'un soupirement détrompé. Il va s'adonner à son devoir de ample grade et c'est la simplicité d'un être de front à un pharamineux travail. Il ouvre une porte et lorgne du regard la clanche qui sonne mal huilée pour que devant lui s'étale montagne de dossier et papier en tout genre. Il songe à ses responsabilités quand ses prunelles se heurtent à une présence qu'il reconnut. « Voyons cela ensemble. » dit-il sans conviction profonde. Un hochement de tête en retour de son interlocuteur le vieil prit place dans ce fauteuil où avant lui s'est assis le fessier d'Akari Hasegawa. Pensée qui le fit esquisser un rictus léger.« Les documents disposés à votre gauche est le rapport économique de Kiri au court de c'est cinq dernières années, à votre droite sont placés les rapports de mission que feu la Mizukage n'a put voire. Devant vous un dossier sur le traité de paix, un dossier sur l'annexion de Konoha et les moultes rapports dipplomatiques, Mizukage-sama » L'homme adresse des prunelles monotones à l'homme dont le visage n'est pas perceptible.« Dans les plus bref délai j'exige une équipe pour le voyage occasionné à Kumo. Les relations internationals sont primordial avec les réçents conflits il faut préserver le peu de paix qu'il nous reste. Les rapports de missions seront consultés suite à votre départ quand enfin je serai au calme. Pour l'annexion, elle démontre la puissance de notre patire cependant je m'entretiendrai avec Moroshi dans les semaines qui viendront. Relation épistolaire ou discours la situation doit être mise au clair. » Une vocalité ferme et qui ne laisse placeà la contradiction il reprend aussi sec « L'économie est bonne Kiri est sur de bonne voie en ce sujet je m'en occuperai à mon retour de Kumo. ». Le vieux porte sa main à la barbe soucieux. Le travail est en ample quantité & faire bonne figure devant cette quantité d'énergie à déployer est de mise. Il sait déjà comment gérer et organiser. Il va présomptueusement suivre ses ideéaux, prévilégier la paix en prime abord puisque homme de loi il se perçoit. Il étend ses bras sur le bureau puis ses prunelles se heurtent à ce masque. « Qu'en est-il de Suna ? Cette indigence ne me plaît guère. » Dit d'un ton perplexe il fusillé du regard son interlocuteur. « Suna reste énigmatique avec ses positions. Son indigence peut être justifiée par son absence d'alliance Mizukage-sama. » dit la voix de cet énigmatique homme. Le Mizukage laisse une grimace spontanée prendre le dessus. « Vous pouvez disposé. » s'eclame-t il comme courroucé.Le masqué hésite un instant avant de s'exécuter suite à un abaissement. La porte se referme l'homme nommé Aiji se dresse et joue un rythme tertiaire avec trois de ses doigts qui frénétiquement heurtent le bureau. « Un ravalement de façade ne ferait pas de mal à ce bon vieux palais. » rit-il. Il a perdu cette accumulation de sérieux et d'autorité, il dépose son épieu contre le bureau et sort d'un petit sac une pipe des plus esthétique & riche. Le bras de l'homme s'élève sic du tabac tombe dans la tabatière. Il pose l'objet dans un bruit de confonrtation et ses battoires vont à la rencontre des dossiers et documents moultes. Les équipe sous l'oeil, l'économie, les traité, l'annexion , des plaintes, des demandes de missions, des missions à discerner. Dans l'ordre l'homme prit la plume et la trempe dans l'encrier. Il griffone quelques mots au coin d'une feuille. Les étapes des semaines à venir. Le mizukage Aiji Inokuma fleurte avec son devoir d'ample homme.