Ce n'est point la béduve des azurés bailles qui s'étendent sur une partie définie de notre biotope si l'être humain aspire à la coutûme d'y noyer leurs utopiques visions crédules et sans oncque de réalisme. Bleuté de cime les flots se teintent d'une gribouille plus amplement laide qui proximite le verdâtre d'avantage que leur teinte initial. C'est une facheuse exactitude qui se présente de front aux yeux contemplatifs des âmes pures, des quelques artistes de ce monde ou des viellards nostalgiques du passé. Les flots furent placides sans agitation dantesque ou quelques autres pertubations quelconque le Mizukage arrive sic et en tout découlement logique sur les terres de Kumo. Cette journée n'est point la plus infime, on ne peut pas s'en dispenser puisqu'il s'agit d'assumer ses responsabilité pour le Kage en question. Le grand homme, maître de la brume, seigneur de Kiri fut engagé dans une relation épistolaire des plus administratives avec pour interlocuteur le monarque de la foudre, un nouveau Kage à Kumo. Aiji ce vieil homme eut connaissance de ce passement de rôle pour le décrire birèvement, l'ample Setsuri Hazu a passé la main quoi de plus burlesque. Un esprit tortueux, destructeurs et anarchique, fidèle au pouvoir et au sang passe dans ses heures de gloire le pouvoir à un jeune homme auparavant Juunin de Kumo dit-on. Qaund bien même cette crédulité serait véritable, Setsuri Hazu aurait-il totalement disparut ? Le vieillard refuse catégoriquement de boire ce flot d'inepties. Les méandres de cette affaire énigmatique doient être fort camoufler dans des plissures de jésuitisme. Les affaires politiques, l'allégorie possiblement complexe de la fourberie ! L'homme d'un certain age déjà lorgne du regard les imposantes portes d'entrée du village de la foudre. L'éclat dorée de la foudre s'oppose à la brume posée sans moins sereine, l'éclair allégorie de la force, de la puissance face à la brume qui est plus dans les esprits comme la prudence. Tout oppose les deux nations alors qu'elles sont alliées depuis bien longtemps. Qaund tout met de front deux choses quelconque elles s'attiront toujours, cela est naturel autant que risible et burlesque. Les gardiens jaugent l'homme à l'épieu et ses accompagnateurs. Aiji daigne levé le visage pour les sévir de prunelles autoritaires, l'un des hommes lui fit signe d'attendre ce que l'homme fit contraint à le faire. En quelques secondes une silhouette athypique fit son apparition, un homme de carrure massive mais de taille "nainiste" s'avance salut cet ample homme puis dit d'une voix malgré tout respectueuse.« Raikage-sama nous a prévenu de votre arrivée, veuillez me suivre. » Le Mizukage fait un signe approbateur avant de suivre le petit être à travers le village de Kumo. Les têtes se tournent sur son passage alors que de son épieu il marque le rythme ternaire de son existence. C'est la prime fois qu'il pose ne serait-ce qu'un pied à Kumo, l'homme avait été à Konoha et même Suna mais Kumo ce fut la première fois. Il découvre une valse de piètres détails innaccoutumé et drôle mais vite face au batîment principale on lui adresse d'un signe du bras gauche la direction à poursuivre. De face à la porte de l'entrée du refuge du Raikage le vieillard pousse de son épieu celle-ci puis d'y engouffre d'un pas lent pour découvrir un univers somptueux qui respire le raffinement mais nullement d'art ici bas à son profond désépoire. Quelques regards lui indiquent une série de marche qu'il prends songeur de cet intérieur. Sans d'idée que trop vague il arrive à l'apogée des marches qui aboutissent de front une porte qui impose le luxe. Il y tocait puis immédiatemment y pénétrait. Pas de temps d'attente il n'est pas l'inférieure dans l'histoire.

Il y a-t il qu'une once de possibilité d'inégalité dans la situation acquise ici bas ? Les irrégularité de la race humaine en trouble obligatoirement la constance mais parler d'ingélité entre deux hommes de statut identique n'est-il point poussé ? La vieil homme a son avis réfléchit et médité sur la questoin puisque pour lui ceci est une affirmation ferme. Dans la pluralité d'organisation existante dans les biotopes politiques des nombreuses contrée, la hiérarchie est un pillié fondamentale de chacunes. Par définition ce systhème se qualifit par une organisation minutieuse de l'ordre établit des puissances, genin, chuunin, juunin, Bras-droit, et Kage. L'homme en a déduit à l'instaure de son entrée dans ce bureau oisif et luxueux qu'étant donné que le village de Kumo est rallié au même schéma que Kiri il n'en n'est pas moins inférieur à autrui en conséquence il décide alors d'adopter une attitude plus éllistste. Elle lui sied à merveille mais le dénature lorsqu'on le connait plus amplement. Un vieux humble d'originel devient à sa guise élitiste cela est toujours un peu abrupte à entrevoir mais si là est la nécéssité il n'y a d'autre alternative. Ma foi ce n'est qu'un usage non point une révolte à sa nature fort heureusement puisque ce type de comportement devient généralement vite épuisant. De front le regard huilé du vieil homme, se dresse la carrure d'un novateur Kage. Contrairement à Aiji, il a des traits esquis et peu marqués, son faciés s'éllumine d'une flamme de charme, il est avantageux de son physique.. cela est-il de même pour son intérieur ? « C'est un grand honneur de vous voir ici bas chère Mizukage » Aiji le lorgne d'un franc regard pour appercevoir une main se tendre face à lui et un sourir chaleureux. Que de réjouissance pour peu de chose, cet homme est un fin stratège puisqu'il joue de son image c'est un adversaire dangereux qu'il faut mieux avoir dans sa poche pense le vieux.« Prenez place je vous en prie » Il prit la main du Raikage en la sienne puis la serre avec abondance insoupçonnée, une poignée de main est très utile la majeure partie du temps elle indique le type d'individu. Le Mizukage joue l'avertissement ici. Il esquisse un léger rictus complice puis se pose sur la chaise face à cet homme avant de poser son épieu en long sur ses genoux. Le vieillard n'aime point ce fixement qu'il juge insupportable sic indigné il supporte les prunelles du Raikage. On peut y lire une certaine fougue mais des alambications de mystère y sont omniprésente. Le vieux l'observe poser ses coudes sur le bureau de noble matière. Aiji de ses prunelles profondes dévit de cible pour mieux contempler le bureau en question, si cet individu Haine Mizuraki est énigmatique une chose reste sûr il a bon goût.« Bien commençons sans perdre de temps j'imagine que vous aussi avez grand nombre de chose à traiter alors hatons vite cela. » Aiji Inokuma grand homme le fixe interloqué par un comportement si frivole. Le Raikage qui jonche face à lui n'a rien à voir avec le réputé Setsuri Hazu qui dans son règne fut puissant et craint, lui il attire les regards de son physique mais arborre une image plus énigmatique, chef sans l'être pour le dire d'une traîte. Bien que cela puisse être qu'une illusion .. ? Les prunelles azurées du grand-père observent la feuille que glisse son interlocuteur. Quelques parraphes y figurent et le vieux savaient lesquelles. Chaque gribouillis il les connaissaient, les feu Kage d'outre tombe et l'alliance.« Alors il me semble si nous faisons l'historique de tout ça que l'alliance a toujours été fructrueuse non ? Kumo a aidé durant votre guerre ayant permit l'annexion de Konoha. C'est un beau palmarès ? Pour être honnête si vous acceptez je renouvellerais cet exploit militaire sans broncher. J'ai foi en Kiri et confiance en vous. Par contre à la moindre trahison ... vous le regretterez au possible.» Aiji lorgne d'un regard tendre Osamu, le caresse puis relève le visage en se tapinant la barbe. Il s'éclaiçit la voix pour débuter une réponse réfléchit et anticipée. « Palmarès sanglant, je n'approuve guère ce type de singeries, le sang n'a que trop coulé chère Raikage. Mais sous tout le respect que je vous dois je me dois de vous annoncer que j'oeuvre d'avantage pour la paix et aspire à un biotope équilibré et juste contrairement à mon prédécésseur. Idéaliste ? Factivement j'ai foi en l'Humanité. Sur ce je salus votre engagement à mon égard et vous confère l'équivalence en mon identité. » Le Mizukage prend une plume posé aux cotés du papier, il enduit la plume d'argent dans le liquide noir qui repose au creux d'une petite fiole ronde. Il relève les yeux puis reprend la praole. « Je constate que nous gardons les mêmes termes que nos prédécésseurs, c'est une bonne chose. Pour la trahison je n'ose pas même l'envisagée, dans ce cas extrême les accords seraient rompus bien entendu. » L'homme d'âge mûre appose sa signature apprès l'approbation du raikage vis à vis de ses mots. « Vous pouvez. » ajoute le vieux qui retourne la feuille.

Un assemblage de particule, d'atome, qui donne le bois puis par découlement ce que l'espère humaine en à fait, la feuille. Une bénine étendue blanche qui représente le vide totale, le néan & avec plus ample imagination la pureté mais sans doute céan la paix. C'était paradoxale tout de même une vision réunissant la sainteté et d'autre part le rien en d'autre termes moultement aigris l'inexistant. Méandre incongrue de l'incompréhension humaine de front ce qu'il l'entoure, Aiji reste stoïque dans ce domaine -ci. La métaphysique c'est bien une activité fascinante, c'est bien l'atrait de l'inconnu. L'homme puéril novice dans son existantce, la race humaine l'espèce dénué de sens et qui s'autodétruit telle la bactérie. Et les membres la constituant s'osent à se croire le centre de la vie. Le nombrilisme de l'homme lui fait omettre un détail facheux .. Oui la nature nature de l'homme est esclave de milles façon [s'en référer à Aristote] Sans appuyer sur la faille garguantuesque de la plaie ouverte de l'humain, au de là de ses maux physique il y a les douleures morales, plus handicapante, plus virulante ! Et c'est malgré cet amas de cacaillerie que l'être humain dans so négocentrisme probant instaure sa loi, son echos, son unique vérité qui est sa perte et sa fausseté, son erreur, sa balourdise, son trépas. C'est ce pain sanglinolant qu'il octroit autour de lui, voilà la cause de bien des disparitions d'espèce ou de créature aussi mythique est fascinante les unes que les autres. L'ancien lorgne le freluquet face à lui, ce jeunnot possède un sourire aux lèvres on a l'impression qu'il détient la clé recherché d'un coffre oublié. Comme l'enfant espiègle ou le prédateur satisfait il appose sa parraphe. Ce novateur chef de Kumo a des travers quelque peu fascinant à son actuel qui passionne le vieux. « Je vous remercie de votre visite cher Mizukage, comprenez ma hâte j'ai quelques maux à soigner je ne suis pas en très bonne santée. Cela dit je reste à votre disposition bien sur ! » Il se lève et Aiji le lorgne faire, une main tendue un rictus ambigue aux lipes le vieux contemple un chef accomplit. Même si sagesse n'est guère au rendez-vous il apparait comme complet cet homme. Un hochement de tête sans précipitation pour aquiescer, une poignée de main énergique puis onque un sourire. Il juge l'austérité plus amplement adjugé à ce temps-ci. Sous les yeux du Raikahe le Mizukage se retourne pour mieux s'éloigner dans une suite de claquement rythmique au profit d'Osamu. « Je fus ravît de faire votre connaissance, mais je crois bien que nous ayons les mêmes centres d'interêt chère Raikage. Sur ce je vous remercie de votre hospitalité. » Aiji poursuit son chemin pose sa main osseuse sur la poignée, la tourne et sort. C'est fait Kumo et Kiri étaient de nouveaux liés.