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Suzaku Nasato Suzaku Nasato~ Ninja de Jiyu ~▌Sanction : Aucune ▌Messages : 201 ▌Inscription : 30/03/2011 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang A ; Level 21 | Points Naruto Ninja RPG | : (111/1000) | Âge du personnage | : 18 ans Sujet: Suzaku Nasato Lun 2 Jan 2012 - 19:53 | |
| Match de Toriko | . Nasato Suzaku . - Surnom : Actuellement, personne n’est assez proche de lui pour le surnommer.
- Parents : Il ne connait pas son père, et sa mère s’est suicidée après son arrestation.
- Age : 18 ans.
- Village : Konoha no kuni.
~ - ~ « Citation. » - I/: Informations d'ordre général.
- Date de naissance : 14/08
- Pays/Lieu de naissance : Konoha
- Signe astrologique : Lion
- Qualités : DIGNE DE CONFIANCE, AMBITIEUX, VOLONTAIRE, JUSTE, OBEISSANT, RESPECTUEUX.
- Défauts : TRES PEU SOCIABLE, INSENSIBLE, TRES (TROP) IRONIQUE.
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II/: Descriptions du ninja.
Rapport sur le physique de Suzaku : Comme convenu, je vous livre ce rapport concernant mes attributs physiques qu’ils soient temporels comme les vêtements que j’ai l’habitude de porter ou définitifs comme mes éléments corporels. Je commence d’abord par vous expliquer les différentes parties de mon visage. En premier, un des points les plus importants de mon corps, mes yeux. Leur grande taille me donne un air majestueux lorsque je les ouvre entièrement. A l’origine, mes yeux étaient bleus mais les tortures que j’ai subies [cf. rapport n° 6 concernant mon histoire] ont complètement modifiées mon corps et mes yeux avec, ce qui fait que maintenant ils sont gris clairs, si bien que la plupart des gens que je croise me prend pour une personne non-voyante. Mes yeux sont la plupart du temps à moitié fermés, sauf lorsque je parle à quelqu’un hiérarchiquement inférieur à moi, tout simplement que je trouve cela plus respectueux que de regarder droit dans les yeux un supérieur. Je vais maintenant décrire mes cheveux. Je prends grand soin de mes cheveux car ils font partis des rares éléments qui n’ont pas changé depuis que je suis née et surtout que cela ne fait pas si longtemps que je peux avoir des cheveux, car il n’y avait pas de peigne en prison. Ils ont toujours été de couleur argentée, une couleur héréditaire dans ma famille. Mais leur particularité ne s’arrête pas à la couleur, car mes cheveux, j’ignore pourquoi, brille lorsqu’il neige. C’est et cela un mystère pour moi et ma famille. Je coiffe mes cheveux pour avoir un minimum de classe. Mi-longs, ils sont coiffés en arrière mises à part quelques mèches rebelles. De manière générale, mon visage est très pale comme le reste de mon corps, il porte aussi des cicatrices qui en disent long sur les traitements de faveur auxquels j’ai eu droit lors de mon passage en prison. Le reste de mon visage n’a rien de particulier, ma bouche est fine et longue. Mon nez est court, il est parcouru d’une cicatrice qui se termine sur ma joue. La même joue qui est recouverte de cicatrice, et rugueuse au contact, c’est l’endroit de mon corps qui a subi le plus mauvais traitement, la personne chargé des interrogatoires essayait peut-être de me faire passer un message.
Maintenant que j’en ai fini avec mon visage, je vais pouvoir vous parler du reste de mon corps. J’ai un aspect corporel assez fin, et cette finesse est avant tout due à ma très grande taille. En effet, malgré ma descendance de personne d’assez petite taille, je culmine à pas moins de deux bons mètres de haut. Et ce n’est pas pratique tous les jours, surtout dans une cellule d’un mètre soixante-dix de hauteur. Mais dans un combat ou même lors d’une rencontre, on est plus impressionnant lorsque la personne ne face de nous doit lever la tête pour voir la notre. Mais cette finesse et cette grandeur ne m’empêche pas d’avoir un développement musculaire correct. Quand je dis correct cela ne veut pas dire que je peux casser un mur à main nue, mais pas non plus que je ne suis pas capable de faire mal avec un coup de poing. De toute façon mon style de combat ne requiert en rien des capacités musculaires particulières. Mon corps est plutôt beau, euh était… Avant j’avais un corps quasiment parfait, mais ce que l’on a fait de moi durant ma période de détention l’a détruit. Mon corps ne provoque plus de l’envie à qui que ce soit, mais plutôt du dégout à toutes les personnages qui attachent trop d’importance au physique. Si je le devais décrire en un adjectif, ce serait tailladé. Mon corps a connu de nombreuse forme de torture, le fouet, le raïton, le feu… et ça se ne voit que trop bien. La seule partie de mon corps qui a était épargnée est mes jambes et mes avant-bras. Pour mes longs bras, ils se sont arrêtés aux épaules et aux biceps, deux parties qui ont violement morflées, surtout mon épaule droite qui ne ressemble plus qu’à un tas de chair zébré. Quant à mes avant-bras, ils ont su garder leur beauté d’antan, grands et fins, mais toujours avec cette pâleur affreuse. Mes mains sont elles aussi très grandes, et avoir de grandes mains ça ne sert à rien, à part peut-être pour saisir la tête de quelqu’un et la fracasser mais bon… Mes jambes sont plus musclées que le reste de mon corps, et cette musculation est due à ma passion pour la course, activité dans laquelle je suis très fort. Et mes pieds, bah voilà quoi ce sont des pieds normaux, rien de plus. Non ils ne sont pas plus doux par cause de torture à la plume…
Bien maintenant que vous en savez un peu plus sur mon physique, je vais pouvoir vous parler de mon style vestimentaire. Il faut d’abords que vous sachiez que je change régulièrement de style vestimentaire, en fonction de la météo, du la saison, de mes activités et surtout de mes envies. Mais je porte souvent des vêtements simples comme un kimono. Je suis assez frileux donc en hiver, je n’hésite pas à mettre plusieurs couches de vêtements chauds.
En espérant qu’avec ce rapport, vous en sachiez un peu plus sur mon apparence et qu’au moins, la prochaine fois que vous me voyez vous pourrez me reconnaître.
Rapport sur la psychologie de Suzaku : Le contenu de ce rapport est censé être confidentiel, alors je vous en pris, si vous souhaitez partager ces informations, ne le faites pas avec n’importe qui. Vous avez toute ma confiance.
Il faut que vous sachiez que parler de moi n’est pas une chose facile, car cela me demande de chercher dans ma tête mes défauts qui font de moi ce que je suis actuellement. Je vais d’abords parler de ce que l’on remarque en premier lorsque l’on me croise, il s’agit de mon manque de sociabilité et pour les gens qui me connaissent depuis que je suis enfant, c’est un grand choc, car ce n’est que depuis mon enfermement que je suis comme cela. Je n’étais déjà pas très sociable avant, mais depuis, c’est encore pire, je ne vois même plus l’intérêt d’avoir des amis. J’ai rompus presque tous les liens que j’avais avec les personnes que je trouve désormais inutiles, de plus, toutes les personnes qui ont essayé de faire ma connaissance ce sont rendues compte qu’en plus d’avoir des difficultés sociales, je ne faisais aucun effort pour améliorer mes relations. Le seul moment où je fais attention à être un minimum supportable, c’est lorsque la coopération est nécessaire comme lors d’une mission. On me reproche aussi souvent mon manque de compassion. Je m’étais d’abords expliqué ce manque, par un problème d’empathie, mais je me suis très vite rendu compte que je comprends et ressent parfaitement les sentiments et les émotions des autres, et que le problème est juste que cela ne m’intéresse absolument pas. Et sur ce point, je ne pense pas que faire semblant de compatir, ou même de m’intéresser soit une question de respect, mais plus de l’hypocrisie. Et il se trouve qu’au moins, c’est un défaut que je n’ai pas. Je suis donc quelqu’un de froid, ce qui au passage va particulièrement bien à mon physique. J’ai aussi un autre défaut, qui à mon sens n’en n’est pas un d’ailleurs, j’ai tendance à utiliser souvent l’ironie quand je parle. Certains trouvent cela irrespectueux, moi pas du tout. J’essaie donc lorsque je suis avec un supérieur de me retenir, mais par oublie, il m’arrive de l’utiliser en votre présence et que cela vous déplait, sachez que ce n’est nullement un manque de respect volontaire de ma part.
Mais n’ayez pas peur, il se trouve que je n’ai pas que des défauts, mes qualités quoique contestées comme telle par moment, font de moi une personne pas si mauvaise. Ma première qualité, que l’on remarque assez vite lorsque l’on prend le temps de connaître mon histoire est l’ambition. J’ai presque toujours fais mes choix par ambition, mais il faut que je l’avoue malgré cela, je suis toujours genin à cause de mauvais choix ou d’un manque de chance je ne sais pas. Et bien évidement, vient avec ça une autre qualité, je suis toujours volontaire pour faire des missions si elles me permettent de progresser ou même de monter dans l’estime d’un supérieur. Ensuite, s’il y a bien une qualité que mes défauts améliorent, c’est mon impartialité, je suis quelqu’un de juste. Mon désintérêt total d’autrui et mon manque de compassion ont fait de moi quelqu’un qui sait prendre des décisions efficaces, pas forcement bonnes, mais sans préférence ou obstruction de jugement à cause de sentiments quelconques. Une autre qualité que je possède et que j’attends particulièrement chez les autres, c’est le respect. Que ce soit face à un supérieur ou à un subordonné, je ne supporte pas que l’on me manque de respect, et par conséquent, je fais tout mon possible pour paraître le plus respectueux possible. Et avec cela, vient l’obéissance, une autre qualité que je possède, pour moi un ordre c’est fait pour être exécuté, c’est tout. Dit comme cela ça fait un peu mouton, mais tant pis, si respecter un ordre donnée par un supérieur, et donc pour la même occasion le supérieur en question fait de moi un mouton et bien j’assume en être un.
Et concernant mes objectifs actuels, et bien on peut dire que survivre et profiter de ma liberté sont déjà deux choses importantes que je me dois d’accomplir.
III/: Histoire du Ninja.
• Dossier concernant l’histoire de Suzaku : La description des événements qui me sont arrivés dans ma vie que je vous ai fait et qui va suivre est fondée uniquement sur mon point de vue, en ne prenant en compte que ce que je sais et ce que l’on m’a raconté. Il y a donc de très fortes chances pour que cette histoire ne soit pas exacte du début à la fin.
• Rapport n°1 sur la naissance de Suzaku
Mon histoire commença le premier jour de l’année. Je naquis le premier janvier, vingt-trois ans auparavant à Konoha no Kuni évidement. À l’époque, mes parents étaient encore ensemble même si leur relation commençait déjà à se dégrader. Je n’ai aucune information concernant mon père, mais je sais qu’il ne travaillait que trop peu. Ma mère avait hérité d’une somme d’argent à la mort de ses parents qui lui permettait de vivre très correctement sans avoir à travailler. Donc toute ma famille vivait à l’époque uniquement grâce cet héritage. Je n’ai jamais eu l’idée de me renseigner sur les occupations de mes parents à ce moment-là avant que ce ne soit trop tard, donc je suppose qu’ils passaient leurs journées à s’occuper de moi, je le mérite bien ! D’après ma mère, à cette époque mes parents étaient heureux, mais je ne pense pas que cette version soit correcte, car je n’avais pas un an quand mon père partit. Ce départ fut très particulier, car il ne s’était pas contenté de partir sans dire un mot, pour une raison qui m’ait encore inconnue, il avait effacé toutes les traces de son existence. Chaque photo, document officiel, lettre avait disparu. Il ne restait plus aucune trace écrite de sa vie, officiellement il n’avait jamais existé. Après son départ, ma mère fit une légère dépression accentuée par les venues trop nombreuses des autorités du village qui remarquèrent vite son départ. Mais cet événement ne fut pas catastrophique pour moi, ma mère ayant eu le temps de se remettre, elle m’éleva normalement. Et lors de mes premières années d’existence, même si je savais pourquoi je n’avais pas de père à la maison, j’étais trop jeune pour vraiment comprendre la raison de cette absence et je ressentais un manque.
• Rapport n°2 sur la jeunesse de Suzaku
Durant les dix premières années de ma vie, je jouis d’une enfance heureuse, j’avais réussi à surmonter l’absence de père et ma mère aussi. Ma mère continuait à ne s’occuper que de mon éducation. J’avais des amis et je passais la majeure partie de mon temps à jouer. J’avais dix ans, j’étais naïf et insouciant, mais c’était la belle vie. Mais à cet âge, j’avais déjà vu nombre de mes amis partir à l’académie ninja et comme ma mère ne voyait pas d’objection pour que je devienne ninja, elle m’y inscrit. Je n’étais pas un très bon élève, non pas à cause d’un manque de concentration, mais parce que j’avais des difficultés à faire ce que l’on me demandait. Cela m’énervait à l’époque, car mes camarades qui ne travaillaient pas contrairement à moi, avaient de bien meilleurs résultats. Et puis la plupart de leurs parents étaient ninja, alors que ma mère ne savait même pas tenir un kunaï. Mais cela ne fut pas mauvais pour moi, car même si j’avais plus de difficultés que les autres, j’étais déterminé à être ninja. À l’époque, cette détermination venait du fait que j’espérais qu’en étant ninja, j’aurais une chance de retrouver mon père, bien que cet espoir disparut en quelques mois ainsi que l’envie de le retrouver, ma détermination était restée, mon objectif était de devenir un bon ninja pour pouvoir protéger ma mère en cas de guerre car à cette époque, elle était tout ce que j’avais. J’avais naturellement des amis, mais ma différence de niveau fit que je dus passer plus de temps à l’académie, et je voyais mes camarades obtenir le fameux bandeau symbolisant le passage au grade de genin les uns après les autres. Contrairement à eux qui au bout de deux ans réussirent leurs examens finaux et malgré tous mes efforts, je ne maitrisai les techniques nécessaires à l’obtention du rang de genin qu’au bout de quatre ans.
• Rapport n°3 sur le début de carrière de Suzaku
J’avais donc réussi à devenir ninja à l’âge de quatorze ans, ce qui n’était pas vraiment un exploit. Je fus très vite placé dans une équipe composait de deux autres genins qui avaient un an de moins que moi ainsi que d’un chuunin comme senseï. Quand j’appris cette affectation, je fus quelque peu déçu de ne pas avoir de junnin dans mon équipe mais je me doutais qu’avec le niveau que j’avais je ne pouvais pas espérer plus. Je compris très vite que le chuunin qui m’était donné d’avoir comme professeur n’était pas fait pour enseigner, il ne nous fit faire aucun entrainement et les seuls moments où je pouvais m’améliorer étaient lorsque que je faisais des missions. Cela n’aurait pas posé beaucoup de problèmes si les missions que l’on nous donnait étaient intéressantes, mais malheureusement, vu notre faible niveau, nous ne faisions que des missions de rang D. Je pense qu’à cette époque nous étions la pire équipe du village, je n’étais pas très doué, le senseï était un fainéant et les deux autres genins avaient un potentiel aussi grand que celui d’une poule. Bref, nous étions parfaits pour faire les corvées, que certains osent appeler ‘’mission’’, mais rien d’autre. Je restai dans cette équipe pendant une année complète, un an sans aucune mission de rang C, sûrement un record… Puis quand tout espoir de devenir un ninja puissant devint parti, il se passa un événement incroyable, mon senseï déserta. Il voulait arrêter d’être ninja et il quitta le village malgré l’interdiction du Hokage. Les forces spéciales du village ne mirent pas longtemps à le retrouver et à le neutraliser. Je devais être la seule personne à être heureuse de perdre son chef d’équipe. Je m’étais immédiatement dis que j’allais enfin être affecté à une vraie équipe. Et effectivement je reçus moins d’une semaine après une nouvelle affectation d’équipe.
• Rapport n°4 sur les événements qui conduisirent Suzaku à détester le gouvernement de Konoha
Je fus donc affecté à une nouvelle équipe. Cette équipe était constituée de quatre membres comme d’habitude, un junnin, un chuunin, un genin et moi. Le junnin se nommait Jack, un inconnu pour la plupart des Konohajins, ex-membre de l’anbu, sa réputation n’était connu que dans les forces spéciales, et il était très discret sur son passé. Le chuunin s’appelait Hiraku Michi, il avait le même âge que moi, et même s’il était mon supérieur hiérarchique et qu’il était bien meilleur que moi, il me respecté et j’appréciais ça, il devint très vite un grand ami. Le genin, quant à lui se nommait Kenshin Itsuki, c’était un petit génie, âgé de seulement onze ans, il était capable de me battre lors d’un duel sans que j’arrive à le toucher rien qu’une seule fois. Dès le début, notre équipe devint très soudée, nos compétences étaient complémentaires. Enfin plutôt les leurs, car les seules armes que j’avais à l’époque étaient les techniques basiques apprises à l’académie. Grâce à eux, je compris enfin ce que le mot progresser signifie, j’appris lors de l’un des nombreux entraînements effectués en équipe que j’avais des capacités dans le genjutsu. Le genjutsu étant une capacité que peu de personne arrivait à maitriser, je décidai d’en faire ma spécialité. Et plus les jours défilaient plus je devenais utile à mon équipe, même si mon niveau était toujours très en retrait par rapport à celui des autres.
Les missions que l’on faisait étaient relativement simples, mises à part quelques missions de rang B de temps en temps, nous faisions essentiellement des missions de rang C. Mais là où il y avait une réelle difficulté, était quand Jack nous préparé un programme d’entraînement. Adaptés à nos compétences respectives, le seul moyen d’y survivre était de se donner au maximum. Notre niveau d’équipe augmentait très vite si bien que le Kage décida de nous confier une mission de rang A. Une mission périlleuse dans laquelle on devait faire une petite visite amicale à un groupe de mercenaire menaçant le village. Toute l’équipe était heureuse et je dois dire que j’étais relativement stressé par mon faible niveau lors d’une mission telle que celle-ci, mais mes compagnons étaient là pour me protéger donc je partis en mission serein. La mission se passa d’abord sans problème jusqu’à ce que nous tombions dans une embuscade, un piège qui n’aurait jamais due être là puisque les mercenaires n’auraient jamais due être au courant de notre venue. Les indications que le Kage nous avaient données étaient incorrectes et Kenshin mourra lors d’une gigantesque explosion. Malgré la tristesse de cette perte, nous étions des ninjas, nous savions quoi faire, nous profitâmes de l’explosion pour nous enfuir. Malheureusement, nous étions encerclés par des mercenaires, nous ne pouvions pas rentrer au village demander de l’aide. Jack eu l’idée d’envoyer un message d’aide au village grâce à un volatile.
Nous savions que les secours allaient mettre du temps à venir d’autant plus que notre cachette était peu fiable et que nous voyions tout le temps des patrouilles de ninja ennemis nous chercher. Ils savaient que nous n’avions pas pu partir, et ils ne pouvaient pas se permettre de nous laisser nous en aller. Nous nous situions à deux heures du village, les secours devaient donc mettre quatre ou cinq heures au maximum pour nous aider. Nous pouvions tenir ce temps-là, mais les secours mettaient beaucoup trop de temps à arriver alors, au bout de vingt heures sans bouger quand nous savions qu’ils ne viendraient jamais, Jack décida qu’il valait mieux s’enfuir tant qu’ils nous restaient un peu de force, malgré la difficulté. Mais évidement, dès lors que nous quittâmes notre cachette, un groupe de déserteur nous repéra. Hiraku, d’instinct, neutralisa le groupe avec une attaque de ninjutsu très puissante avant qu’il ne puisse déclencher l’alarme, mais l’attaque fut si violente que d’autre groupe virent dans notre direction. Nous fûmes vite encerclés, et ils étaient trop nombreux pour tenter une attaque. Hiraku et moi fîmes une action parfaitement coordonnée, je saisis un fumigène de ma poche que je lançai sur le sol, tandis que Hiraku fit une brèche dans le cercle grâce à son ninjutsu. Nous en profitâmes pour courir, mais la riposte fut immédiate, les mercenaires nous foncèrent tous dessus. Dès lors qu’il s’en aperçu, Jack se retourna et fit face aux ennemis qui chargeaient. Il sortit ses deux sabres, et nous fit un signe de la main pour nous ordonner de fuir. Je comprenais parfaitement qu’il avait l’intention de se sacrifier pour nous laisser le temps de fuir, et je ne comptais pas le laisser faire jusqu’à ce qu’il se retourna et me regarda droit dans les yeux. Je vis une détermination si forte que je ne pus pas protester, je courus rejoindre Hiraku qui ne s’était même pas aperçu du sacrifice de notre senseï. Il me sourit lorsque j’arrivai à sa hauteur, il aimait les difficultés, et il était servi, puis il vit en me voyant que quelque chose n’allait pas. Il se retourna pour vérifier que Jack nous suivait et il se rendit compte de la réalité. Il me regarda avec une profonde tristesse dans le regard, et il continua sa course avec moi. Jack était le meilleur ninja que j’eus l’honneur de voir au combat, et il ne faillit pas au prestige de son rang. Grâce à lui, nous pûmes rentrer au village sans rencontrer le moindre ennemi.
Arrivé à Konoha, je partis immédiatement rencontrer l’Hokage pour l’informer des événements et aussi pour savoir pourquoi personne n’était venu pour nous venir en aide. Il ne voulut même pas me rencontrer, un membre de l’ANBU qui gardait la porte me fit comprendre que si nous avions échoué dans notre mission ce n’était pas la faute du village. J’étais consterné, nous étions partis en mission suicide sans le savoir et le village en plus de n’avoir pas voulu nous aider, ne voulait même pas envoyer des hommes pour vérifier si Jack et Kenshin n’était pas encore en vie.
Ma vie et celle d’Hiraku changèrent ce jour-là, nous ne comprenions pas pourquoi les autorités n’accordaient aucune importance aux disparus de cette mission et nous comptions bien tout faire pour connaître la vérité. Je ne connaissais pas grand monde d’influent à l’époque, mais Hiraku venait d’une famille assez influente dans le pays, il avait donc des relations bien placées. Au bout de nombreuses semaines d’investigations, nous n’eûmes rien de très précis mais nous avions trouvé quelques documents secrets comme des notes, des dossiers ou même des ordres de missions. Tous ces documents indiquaient que l’échec de la mission avait été organisé depuis longtemps et tous ces document nous ramenaient vers le sommet de la pyramide hiérarchique soit le Kage et au dessus. Nous finîmes par apprendre la vérité concernant cette sombre histoire, Jack notre ancien senseï n’avait pas quitté l’ANBU dans la joie, il avait été soupçonné de trahison. Lorsque les doutes ont commençaient à arriver, le village n’eut d’autres choix que de le rétrograder, rien de très extraordinaire. Mais durant l’année où il dirigeait notre équipe, une enquête très poussée sur lui fut menée et lors de cette enquête des choses pas très légales fut entreprises et Jack l’appris. Bien qu’il fût innocenté, il avait découvert des informations compromettantes sur le village et le seigneur du pays, et ceux-ci décidèrent d’envoyer son équipe dans un piège pour effacer toutes les preuves. Lorsque l’on découvrit cela, la première chose à laquelle on pensait était la vengeance. Ne voulant pas commettre de crimes graves, je décidai de tout simplement découvrir les informations qui avaient conduit Jack à sa perte. Malheureusement, notre investigation fit plus de remous que nous le pensions, et fut très vite mal pris par les autorités qui arrêtèrent Hiraku avec un motif inventé. Il fut mis en prison sans préavis ni procès. Je partis immédiatement voir ses parents, dans l’objectif de le faire libérer grâce aux relations qu’ils possédaient. Il aura fallu attendre trois mois pour qu’il revoie l’air libre. Et pendant ces trois mois, lui et moi ne pensions qu’à un moyen beaucoup plus radical de nous venger.
• Rapport n°5 sur les événements qui conduisirent Suzaku en prison.
Hiraku avait décidé d’éliminer le kage, il mit au point un plan assez ingénieux pour se débarrasser de lui. Je n’étais pas vraiment d’accord avec son idée, car tuer le kage pouvait être considéré comme un régicide et la peine occasionnée pouvait parfaitement être la mort sans même parler de la condition où nous échouions. Mais durant son séjour en prison, il s’était endurci, et ce fut son assurance qui me convint. Le plan était assez compliqué, nous voulions l’empoisonner. Pour arriver à cela, nous avons réussi à convaincre une troisième personne qui travaillait pour l’entretien de la résidence du Hokage de nous aider. Cette personne haïssait grandement le kage pour des motifs qu’il n’a jamais voulu nous dire, mais pas au point de le tuer de ses propres mains. D’après le plan, il devait nous aider à entrer la nuit du meurtre. Avant de commencer le plan, il fallait vérifier que personne ne nous gênerait lors de notre opération notamment les gardes qui devaient être absents ou peu nombreux, et ces préparatifs étaient compliqués.
Une fois que tout c’était mis en place, nous passâmes à l’action. Arrivé devant l’entrée arrière de la résidence, Hiraku et moi attendîmes l’aide de la troisième personne. Le plan commençait déjà mal, la seule personne qui pouvait nous permettre d’atteindre le kage était en retard et comme l’occasion risquait de ne plus jamais se représenter on ne pouvait pas faire marche arrière. Après dix minutes d’angoisses, notre contact arriva enfin. Il était encore plus nerveux que nous et pourtant ce n’était pas lui qui devait tuer le kage. Il nous conduisit d’abord dans les sous-sols comme le plan l’indiquait car il n’y avait personne pour surveiller l’endroit la nuit. Il ne restait plus qu’à remonter discrètement les escaliers, rentrer dans la chambre du kage et une fois à l’intérieur, il ne restait plus qu’à l’empoisonner avec le gaz que Hiraku s’était procuré. Comme convenu le troisième homme nous laissa à l’entrée des escaliers.
Après avoir monté les escaliers le plus silencieusement possibles, nous arrivâmes enfin devant sa porte. La tâche nous parut d’abord facile, personne n’était là, aucun garde à neutraliser. Ce ne fut qu’en entrant dans la chambre du kage que nous comprîmes pourquoi, le kage n’était pas là. Et au moment où nous trouvâmes le lit vide, je compris que cela allait mal se terminer. Nous étions déjà tombés dans des pièges auparavant, et nous savions en reconnaître un, nous primes la fuite immédiatement. Nous ne fûmes malheureusement pas assez rapides, à peine arrivés au seuil de la porte, une escouade des forces spéciales apparut. Jouant le tout pour le tout, je décidai de ne pas me laisser faire, mais je fus neutralisé avant d’avoir eu le temps de faire quoi que ce soit. Ils m’emmenèrent inconscient en prison. Je me réveillai le lendemain dans une cellule.
• Rapport n°6 sur le séjour en prison de Suzaku
J’étais seul dans ma cellule et elle était trop petite pour qu’il en soit autrement. Il me fallut du temps pour me rendre compte que je m’étais fait prendre et que par conséquent je devrai passer le reste de ma vie en prison. Durant ma première semaine de détention, je ne vis personne. Ma porte de cellule ne s’ouvrit jamais et mes repas étaient déposés dans ma cellule lorsque je dormais. Puis à la fin de la semaine, tôt le matin, trois hommes qui avaient l’air d’être des gardes vinrent me chercher. Ils m’attachèrent mes mains et me bâillonnèrent. Ils m’emmenèrent dans une salle et m’attachèrent à une chaise et sortirent. J’entendis un homme entrer dans la salle, il s’approcha de moi et me posa des questions auxquelles je n’avais pas les réponses. Il était persuadé que j’étais membre d’un groupe extrémiste. J’avais beau nier autant que je le voulais, il ne me croyait pas. Au début, lorsque mes réponses n’étaient pas satisfaisantes, il se contenter de crier, puis il devint violent. Il me tabassa toute la journée pour me soutirer des informations. Puis lorsqu’il arrêta, il partit et fut vite remplacé par des hommes qui me conduisirent dans ma cellule.
Chaque semaine ce fut la même chose, la seule chose qui changeait était la violence des interrogatoires. Au bout de deux mois, la personne qui m’interrogeait, passa à une méthode radicale, la torture. Ce fut d’abord des coups de fouet, puis la noyade, les brûlures, et enfin la pire de toute, la torture mentale. Cette dernière était principalement constituée de technique de genjutsu mais pas seulement, on m’apprit par exemple le suicide de ma mère qui selon eux, avait été provoqué par ma trahison. Et à ces peines s’ajoutaient deux choses. La première était que je ne voyais personne, lorsque j’étais enfermé, j’étais seul, et lors des interrogatoires, j’avais les yeux bandés. La deuxième était que je ne connaissais pas les réponses aux questions qu’il me posait et l’idée qu’il me torturait dans l’objectif d’avoir quelque chose que j’aurais déjà donné depuis longtemps si je le pouvais m’insupportait. Mon esprit et mon corps étaient détruits, les semaines s’enchainaient et au fil du temps, je ne fis plus attention aux jours qui passaient. L’absence de fenêtre dans ma cellule m’empêchait de savoir l’heure qu’il était. Je savais que si je ne faisais rien de mes journées, j’allais devenir fou. Alors à chaque interrogatoire, j’essayai de passer outre la douleur et d’apprendre les techniques de torture du mieux que je le pouvais. Je savais déjà que j’avais un talent particulier pour le genjutsu alors j’essayai de retenir les techniques qu’il utiliser. Cela n’était pas très efficace mais au moins en me donnant des objectifs, j’évitai de penser au suicide.
Je pense que mon grand changement de personnalité s’est produit vers le quatrième mois de détention, lorsque je compris qu’à leur yeux ma vie n’avait aucune importance, je savais que s’ils découvraient que je ne savais vraiment rien plus rien ne les empêcheraient de me tuer. De temps à autres, je pensais à Hiraku, j’espérais qu’il eut plus de chance que moi.
• Rapport n°7 sur la libération de Suzaku
Les semaines s’enchainaient, je n’arrivais même plus à compter le nombre d’interrogatoire que je subis. Je pensais que je n’en sortirais jamais jusqu’au jour où un interrogatoire n’eut pas lieu. Je n’appris évidemment pas pourquoi. Les repas étaient encore servis, mais les interrogatoires s’étaient arrêtés. J’avais d’abord pensé qu’ils avaient fini par abandonner, mais je ne comprenais pas pourquoi ils me laissaient en isolement. Mes doutes furent dissipés lorsque des gardes ouvrirent ma porte et me firent signe de sortir. Ce fut la première fois que je sortis de ma cellule avec les mains et les yeux libres, je m’aperçus d’ailleurs que ma cellule se trouvait dans un couloir, les autres cellules semblaient être comme la mienne, pas de barreau ou de fenêtres, le seul contact avec l’extérieur est une porte blindée. Les gardes me conduisirent à l’extérieur de la prison, je ne savais pas encore pourquoi mais je me doutais qu’il y avait eu du changement dans la direction de la prison voire dans la direction du village. Une fois à l’extérieur, deux personnes que je n’avais jamais vues auparavant vinrent se présenter à moi, elles m’annoncèrent qu’un nouveau Kage était apparu et qu’un ordre de libération concernant tous les ennemis du précédent avait été fait, moi inclus.
J’étais libre, je n’en revenais pas. J’avais malheureusement des choses biens tristes à faire avant de profiter de ma liberté. Je devais confirmer la mort de ma mère et savoir où été Hiraku. Après une discussion avec un garde de la prison et une visite chez moi, je découvris que les deux s’étaient suicidés. Ce ne fut pas de la tristesse que je ressentis ni de la haine mais un sentiment de soulagement, tous mes liens passés étaient rompus, après un an et demi de prison, j’allais commencer une nouvelle vie.
Rapport concernant les connaissances sur le contexte du village de Suzaku : J’appris très vite le nouveau régime politique de Konoha, un régime tyrannique qui convient parfaitement à mes nouvelles ambitions. La nouvelle qui me réjouit le plus fut celle de la mort du précédent Kage, il n’était pas mort de ma main mais sa mort me suffisait. Je me rendis très vite compte de la propagande qui est effectuée à travers tout le village, les journaux et les affiches ne parlent plus que du grand Hokage et des punitions infligées à ceux qui ne respectent pas les lois établies ainsi que les nouvelles conditions pour pouvoir vivre librement dans ce magnifique village. Pour ma part toutes ces conditions sont respectées, et fort heureusement car les différentes polices veillent et arrêtes toutes les personnes fraudeuses. Je suis bien content de toutes les nouvelles normes qui rendront à Konoha la gloire qu’elle a eue dans le passé et qu’elle mérite largement, sa puissance militaire croit de jour en jour et ses habitants sont plus purs. Le règne de terreur qui existe dans le village n’est pas apprécié par la population mais à mon point de vue, il s’agit de la seule méthode existante pour faire régner l’ordre, le calme et la paix. Il y a aussi les disparitions, point important du nouveau régime. Il arrive de temps en temps que certaines personnes notamment des personnes présentant des handicaps ou tout simplement incapable de se battre. Ces personnes sont éliminées sans aucun doute même si cela n’est pas annoncé publiquement. Dans cette continuité de la terreur, les exécutions publiques effectuées par la section d’assaut réduite, sont aussi terrifiantes sur la population que la police elle-même, le SAR, unités d’élite chargées de la protection du village avec une armure impressionnante. Il y a aussi la P.P., la police politique, dont le nom seul suffit généralement à faire peur. Son existence me rend très heureux d’être sortis de prison, car personne ne voudrait se faire interroger par ces hommes.
IV/: Qui suis-je ? (IRL.) [Facultatif.]
Prénom : Nom : Ce que vous aimez, ce que nous n'aimez pas : Comment avez-vous connu ce forum : Codes qui prouvent que vous avez lu les règlements : Okay by Haine Questionnaire : - Que sont les points NNr', et à quoi servent-ils ? Les points Nnr’ sont la monnaie du forum, avec, on peut acheter des techniques, monter de niveaux, acheter des armes… - Comment acquérir une technique ? En payant des points, faut faire un rp d’apprentissage, faire valider la technique par le staff. - Que sont les Carnets de Bord et les Fiches techniques ? Les carnets de bord permettent de faire le résumé des changements du personnage, ainsi que les points nnr gagnés et utilisés. La fiche technique est l’endroit où l’on met nos techniques. Remarque :
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Sujet: Re: Suzaku Nasato Lun 2 Jan 2012 - 20:41 | |
| Pour moi ce sera Chuunin rang B level 14
Une bonne contenance et plutôt agréable à lire mais cetain points auraient put être accentué et tou développé
Attente d'un avis second |
Vijay Jagdish~ Fondateur & Ninja de Jiyuu ~▌Sanction : Aucune ▌Messages : 5547 ▌Age : 31 ▌Inscription : 09/03/2008 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (203/1000) | Âge du personnage | : 26 ans Sujet: Re: Suzaku Nasato Lun 2 Jan 2012 - 21:27 | |
| - Citation :
- Les Doubles Comptes (ou DC) sont autorisés sur le forum Naruto Ninja RPG. Afin de créer un DC, il vous faudra réunir quelques conditions... Vous devrez avoir posté au moins 500 messages sur le forum (qu'ils soient RP ou autre), et un an d'ancienneté sur le forum.
Pour valider ton double compte, il va falloir que tu atteignes 500 messages avec ton compte principal. Je verrouille le topic jusqu'à ce que tu obtiennes le nombre de message demandé ou j’envoie le topic dans la corbeille, tu posteras à nouveau ta présentation, une fois que tu seras en droit d'avoir un DC ? |
Suzaku Nasato~ Ninja de Jiyu ~▌Sanction : Aucune ▌Messages : 201 ▌Inscription : 30/03/2011 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang A ; Level 21 | Points Naruto Ninja RPG | : (111/1000) | Âge du personnage | : 18 ans Sujet: Re: Suzaku Nasato Lun 2 Jan 2012 - 21:32 | |
| J'ai un peu de mal à comprendre, cela fait 9 mois que j'ai un DC et là, tu me dis que je ne suis pas apte à en avoir un... |
Vijay Jagdish~ Fondateur & Ninja de Jiyuu ~▌Sanction : Aucune ▌Messages : 5547 ▌Age : 31 ▌Inscription : 09/03/2008 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (203/1000) | Âge du personnage | : 26 ans Sujet: Re: Suzaku Nasato Lun 2 Jan 2012 - 21:43 | |
| Ton DC devient ton compte principal vu que Ketsueki est mort. Je ne peux pas valider Suzaku au vu des nouvelles règles car il faut que tu possèdes 500 messages à ton actif. Meme en réunissant le nombre de messages de tes deux comptes, cela ne fait pas 500 .. Désolé. - Soit, tu tue Taiko et tu te fais un nouveau perso' qui est Suzaku. - Soit, tu attends d'avoir le nombre de message demandé avant de demander un DC.
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Sujet: Re: Suzaku Nasato | |
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