Kuroi Hoshi | . Kuroi Hoshi . - Surnom :
Kuroi-chan, Shinigami - Parents :
Masshiro Hoshi - Père Adoptif - Kousei Hoshi - Mère Adoptive - Parents Biologique Inconnue
- Age : 19 ans
- Village : Kumo
~ - ~ « La douleur signifie que la faiblesse s'échape » - I/: Informations d'ordre général.
- Date de naissance :
- Pays/Lieu de naissance : Konoha
- Signe astrologique : Lion
- Qualités : Fidèle, Tenace, Intelligente
- Défauts : Coléreuse, Aventureuse, Sensible
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II/: Descriptions du ninja.
Description physique (visage, corps, vêtements...) = 10 lignes minimum :
Description psychologique (émotions, idéologie / nindô...) = Que je parle de moi ? Hum, ce n’est pas ce que je préfère. J’aime qu’on m’écoute, qu’on me regarde et éventuellement que d’autres parlent de moi, mais je ne crois pas vraiment savoir parler de moi. Non pas que j’ai des facultés dépassant la moyenne, je ne le crois pas du tout, bien au contraire, mais je me considère comme une nature pragmatique, sensée et qui prend son temps avant de juger. Chaque chose en son temps, chaque chose à sa place, cela pourrait être ma devise bien que je me fasse l’effet d’être bien réactionnaire en disant cela.
On me dit séduisante et, en tous les cas, je sais faire de l’effet et j’en suis heureuse même si je ne considère pas abuser de mes charmes (enfin, pas trop !). Le gros avantage de plaire est que les gens sont aimables avec vous et cela me convient. Je dirais... Que je suis vraiment tolérante, que j’ai beaucoup de patience avec les gens que j’aime (et un peu moins avec les autres, mais quand même !), je sais écouter et être impartiale. Je suis aussi très romantique et sentimentale (et je pense que ce sont des qualités qui embelliraient le monde si davantage de personnes les possédaient !). Je crois également posséder une faculté d’empathie, mais peut-être est-ce simplement que je sais écouter… En tous les cas, je me projette facilement dans la peau de l’autre, ce qui me permet de comprendre rapidement sa logique et ses pensées. Toutefois, cela ne m’empêche pas de garder l’intégralité de ma personnalité propre, car mon type d’empathie n’a rien de fusionnel : je comprends avec recul, avec détachement, mais je ne m’implique pas émotionnellement. On m’attribue parfois à cause de cela une certaine froideur, toutefois, j’aimerais finir en précisant que ce détachement émotionnel est une sorte de sécurité pour moi : je sais compatir sans m’effondrer. Bon, OK, je le concède, je suis bizarre, mais je ne suis pas la seule !
Je préfère quant à moi penser que je suis surtout décidée et il est naturel que ma volonté finisse par rencontrer celles des autres et s’y confronter. Mais, je me moque en fait de commander du moment que je peux décider de mes faits et gestes (et accessoirement de ceux d’autrui afin qu’ils n’entravent pas les miens). Enfin, il est vrai que le pouvoir a quelque chose de fascinant, surtout quand on le perd. On me dit autoritaire, mais n’est-ce pas la meilleure façon de pouvoir faire ce que l’on veut ? En tous les cas, si ça pose un problème à quelqu’un, on peut toujours aller en discuter dehors… Mon arme principale, j’en ai conscience, est mon intuition ou plutôt ma clairvoyance : je sais, car je sens. Et j’ai même parfois l’impression de savoir sur les autres ce qu’ils ne savent pas eux-mêmes. D’ailleurs, je me crois faite pour chercher, découvrir, comprendre, aller au-delà des apparences. Donnez-moi une énigme, un mystère, un problème insoluble et mon esprit entre en ébullition. J’adore qu’on me contredise, car on ne peut guère lutter contre les gens qui cherchent toujours la conciliation et la lutte m’exalte, sous toutes ses formes. Je me sens souvent comme un chevalier en quête d’aventure, prêt à défendre la veuve et l’orphelin, gros cœur et grosse colère ! C’est que je réfléchis « avec mon cœur » et si je suis encore suffisamment conventionnelle pour ne pas devenir un vulgaire assassin, j’essaie quand même d’améliorer les choses de l’intérieur et je profite en général de ma position sociale pour ce faire. Il est vrai que je n’arrive pas toujours à réaliser ce que je souhaite, car j’ai le sens de la démesure, mais je suis presque toujours présente là où on défend les malheureux. Au fond, je sais que plus on me met la pression et plus j’ai d’énergie.
Parmi les qualités qu’on me reconnaît en général vient en premier lieu la fidélité. Fidélité dans mes sentiments, dans mes engagements, dans mes objectifs. Je suis un être de constance et je sais tenir les promesses que je fais même si je promets rarement (ce qui est encore le meilleur moyen de ne point décevoir). Un mot au sujet de l’orgueil, de la vanité dont on m’affuble si facilement… Certains tombent peut-être dans cet excès, mais quant à moi, je ne pense avoir que de la fierté et, jusqu’à preuve du contraire, ce n’est pas un défaut. Cela peut en amener d’autres, c’est vrai et je sais par exemple être assez chatouilleuse, susceptible et ne guère aimer qu’on me relègue au second plan ou que l’on me donne des ordres. Par-dessus tout, je déteste être contredite en public ou plus encore être humiliée (cela, je ne le pardonne jamais). Mais c’est là la marque d’un caractère fort, n’en déplaise à autrui ! Et puis, cela permet de toujours rester digne et un peu plus de dignité dans ce monde serait sans doute profitable. Les autres me disent insondable et je veux bien le croire, car le plus grand des mystères, c’est encore moi. Si je suis assez secrète pour les autres, croyez bien que c’est parce que je suis un secret pour moi-même et que je n’ai de cesse de m’interroger sur le sens de tout ça, de la vie, de la mort, du sexe, de l’argent. Bref, de tout ce qui fait bouger le monde.
Même si je fais tout pour paraître sûre de moi, et, je pense, assez bien y arriver, je crois que je suis trop sensible pour vraiment être une battante. J’aime le calme, la douceur, les animaux, les enfants. Bref, je n’ai pas vraiment le profil du loup aux dents longues ou du requin, mais je compense par d’autres qualités qui me permettent de faire mon petit bout chemin : résistance, imagination et une bonne dose d’intuition me permettent de me faufiler en douceur là où d’autres déploient tout un arsenal. On dit que je suis influençable. Je ne suis pas sûre que ce soit entièrement vrai, car je suis très fidèle dans mes sentiments comme dans mes idées. Disons que je suis influençable par mes proches, cela je ne peux le nier, mais je pense sincèrement que si mon frère, ma mère ou mon meilleur ami essaie de me convaincre de ça ou ça, c’est probablement pour mon bien… Alors, je me laisse faire. Mon principal défaut, je le connais : j’ai du mal à approfondir les choses et les rapports humains. Mais cela demande tant de temps et de persévérance que c’est au-dessus de mes forces. Et puis quand la magie de la nouveauté et de la découverte s’estompe que reste-t-il pour moi ? C’est pour cette raison qu’on me dit séductrice : toute l’excitation est dans les préliminaires et le flirt !
On parle souvent d’éléphant dans un magasin de porcelaine… Mais imaginez-moi furibonde, au milieu d’assiettes et de jolies tasses. Croyez-moi, je vaux bien un pachyderme question dégâts, ouais pour sûr ! On me reproche souvent d’être un peu lourdaude d’ailleurs. C’est que c’est difficile de tourner 7 fois sa langue dans sa bouche : c’est un truc pour les penseurs ça ! Mais bon, parfois, je dois bien reconnaître que je vexe les gens contre mon gré et sans m’en rendre compte en plus ! Ben oui, on me dit candide aussi… Et puis, pfff, ce n’est pas si grave un coup de gueule ! Je retombe aussi vite que je suis montée. Oui, je sais, pas toujours facile à gérer et cela me pose quelques problèmes de discipline ! D’ailleurs, je ferais tout pour devenir ma propre chef… J’ai un principe en la matière : un ordre est bon s’il vient de soi, et j’aime accomplir une volonté si c’est la mienne ! Égoïste ? Bah, parfois peut-être (nul n’est parfait !). Mais je préfère quant à moi parler d’indépendance, d’autonomie et de soif de liberté.
III/: Histoire du Ninja.
Passé du ninja (Chapitres.) = 25 lignes minimum :
Une étoile se perd.
Il fait froid, c'est très sombre et humide. Une petite fille cours entre les maisons sont visage est terrifié et couvert de sang. Elle semble fatiguée et affamée, elle court ainsi depuis combien de temps? Les bâtiments autour de moi sont froids, on dirait presque qu'ils ont la consistance des nuages, certains d'entre eux sont même à demi effacés. Je suis seul avec la gamine, personne ne semble la poursuivre, alors que fuit-elle. D'un pas craintif, tous mes sens en alertent, je m'approche de l'enfant. À bout de force la fillette s'effondre sur le sol dans un bruit sourd, levant la saleté sous elle, lors de son impact. Inquiète j'accélère le pas, je cours encore et encore, mais étrangement je ne peux la rejoindre. C'est alors qu'elle lève la tête et fixe ses petits yeux bleus dans les miens.
- Otousan
Ce n’est pas moi qu’elle fixe comme ça, mais une personne derrière moi. Comment n’ai-je pas senti sa présence? Il est là depuis combien de temps? Sans prendre le temps de réfléchir, je fais volte-face et le frappe avec mon pied. Je glisse à travers lui comme s’il était de la vapeur, une simple illusion et il continue son chemin. Il passe à travers moi, sans même dénier me regarder, comme si je n’existais pas. Horrifier par les dernières secondes je me retourne pour voir l’inconnue prendre la fillette dans ses bras.
- Kaname, chut! Calme-toi. C’est terminer ils sont partis.
Un homme sors alors de nul pars, et enfonce brutalement un katana au travers du dos de l’homme, le tuant ainsi sur le coup. La gamine aux yeux bleue pose alors le regard sur moi, elle peut me voir, je le sais, mais je suis paralysé par la peur. La peur de quoi, je ne comprends même pas ce qu’il se passe, je ne reconnais pas les maisons ni les gens qui sont devant moi. La fillette elle par contre je crois bien l’avoir connue autre fois elle me rappelle une personne que je connais bien. Elle se met à hurler.
C’est alors que je me réveille le visage couvert de sueur le souffle court. Je reste allonger un moment perdu entre fictions et réalité. Le plafond de ma chambre me procure un certain réconfort ou est-ce mon lit. La possibilité de m’enfouir la tête sous les oreillers si ça tourne mal. Sur le dos je sers un coin de couverture entre mes doigts encore engourdis par le sommeil et la porte à mon nez, j’en hume le parfum un moment avant de m’assoir. Ce rêve, le même rêve presque chaque nuit. Mais qui est donc cet homme sorti de nul pars je n’arrive jamais à voir son vissage. Respirer m’est difficile ce matin bien plus que d’ordinaire, je crois, bien que je devrais aller m’entrainer question de reprendre contacte avec la réalité. Je m’extirpe de mon lit avec un long soupir. Je repousse avec habitude les quelques mèches de cheveux coller à mon visage. Il ne m’en faut pas moins pour comprendre que mes cheveux sont plaqués sur ma tête, tremper par ma peur. Je sors en douceur de ma chambre, refermant la porte silencieusement derrière moi.
Après ma toilette habituelle, je prends la direction de bois non loin du village, tout en faisant une petite halte chez les commerçants question de faire quelques provisions pour la journée. Je n’ai pas l’intention de rentrer avant le coucher du soleil. J’attrape quelques breuvages et quelques miches de pain encore chaud les jettent sans plus faire attention dans un petit fourre-tout que je glisse sur mon épaule droite. Après quelques minutes de course entre les bâtiments et sur les toits je saute au milieu de mon terrain d’entrainement favori.
Une étoile montante
Assise depuis un bon moment au centre du terrain vaste où j’ai pris, depuis ma tendre enfance, l’habitude de venir m’entrainer. J’écoute le chant des oiseaux qui voltigent entre les arbres sur ma droite. Le ciel est dégagé, ce qui m’est peut familier a cette période de l’année habituellement le village est habituer a de la pluie et des éclaires violentes.
-Je ferais mieux de m’y mettre avant que le temps change.
Mes jambes sont engourdies, ce qui me fait croire que je suis là a profité du vent et des petits plaisirs de la nature bien plus longtemps que je ne le crois. Question de bien me dégourdir j’opte pour effectuer quelques mouvements de Taijutsu, avant de passer aux choses plus sérieuses. Coup de pied, coup de poing le vent siffle le long des mes membres je saute à gauche et à droite, je me plie roule sur le sable. La sueur commence à couler sur mon front et ruisselle sur mes joues roses et termine sa course aux coins de ma bouche en petit rictus. Lorsque les muscles de mes bras commencent à refuser plus d’exercice je m’accorde un petit moment pour boire un peu d’eau et lézarder. Depuis que je suis petite, je me prépare activement aux jours où j’aurai accès aux techniques de ma famille. Les membres de mon clan n’ont pas de technique héréditaire a proprement parlé n’importe qui pourrait lui aussi utiliser nos techniques, mais son secret en est trop bien gardé. Ma famille utilise une série d’invocation d’armes bien spéciale créée par mon clan il y a plusieurs siècles déjà. Les Keyblades. Je m’étais assoupie depuis quelques minutes, lorsqu’une voix familière me réveilla.
- Onēsan, Onēsan …
J’ouvris un œil à la fois, puis je me redressai brusquement lorsque je pris conscience que le soleil avait laissé place à la lune. La voix alarmante de mon frère me poussa à me jeter sur mes jambes pour me précipiter vers lui. Son visage à la fois soulager et anxieux ne me disait rien qui vaille. Combien de temps ai-je passé coucher ici au beau milieu de nulle part? Beaucoup trop apurements. Si Otōtosan avais eu des canons a la place des yeux je serais morte au moment même ou ses yeux se son poser sur moi. *Ne me regarde pas comme ça, je n’ai rien fait pour une fois.*
-Tu vas être en retard à ton passage idiote.
Idiote étais le mot juste j’attendais ce moment depuis si longtemps et la j’allais être en retard si je ne me dépêchais pas. Sens même prendre le temps de m’assurer qu’il me suit, je bondis sur le toit le plus proche pour foncer a toute vitesse chez moi ou avais lieu tous les passages de ma famille. Je n’ai pas beaucoup d’histoire de vie, je suis une gamine, future femme, bien normale. Sans talents extraordinaires pour le combat, c’est à peine si j’avais eu le droit de participer à des missions. J’ai toujours été celle qui se tapait la sale besogne, retrouver les chats perdus, faire les courses pour les gens trop vieux. Pourtant j’ai été entrainé pour chasser, trouver et prendre en filature mes moments de gloire viendrons c’est sur. La course fut si brève que je n’eus même pas le temps de me perdre dans mes pensées, ce qui est plus tôt rare. Je pousse la porte priant je ne sais quels Dieux pour que les membres de mon clan ne soient pas tous déjà arrivés. Même pas le temps de saluer la foule, tout le monde était déjà là qu’on me pousse devant tous les gens sur un palier à peine plus haut que le sol.
Je connais par coeur la cérémonie, elle est si monotone, et je l’ai vue tellement de fois qu’elle n’a plus de secret pour moi. On me fait réciter quelques vers bien tourner, quelques courbettes et enfin on déroule délicatement un parchemin devant moi. C’est là pour moi le moment tant attendu : le choix de mes keyblades. Neuf aux totales soigneusement choisit, je me mords le pouce pour en faire couler quelques goute de sang et signe mes keyblades. Sourire aux lèvres je me redresse et fais une courbette a la foule qui applaudis sans plus. Ils attendent, tous mon petit discourt. Que j’aurais dû préparer, mais je ne l’ai pas fais. Je dus donc improviser.
-Merci! Merci à tous pour cette marque de confiance. Je ne connais pas l’art de la guerre comme mon père ou mon frère, mais je suis une Hoshi. Je vous fais donc la promesse de toujours être à la hauteur de mes ancêtres. Je défendrai avec courage, je donnerai, mais vie s’il le faut pour protéger c’est armes et leurs secrets. J’espère atteindre un niveau de m’animent ne jamais égaler, de surpasser les plus forts d’entre nous et d’utiliser la force de tous les Hoshi qui on vécue avant moi pour le bien de mon village.
La cérémonie ne se termina pas une grande fête comme à chaque fois qu’un membre du clan reçoit ses armes. Je pris la poudre d’escampette pour aller me coucher aussitôt que la foule commença à se faire de plus en plus petite. Les choses ne s’arrêtent pas la pour moi oh non. Signer le rouleau, et réussir a invoqué les keyblades sont deux choses bien distinctes et signer le rouleau est surement l’étape la plus facile d’entre tous.
Connaissez-vous l'actualité politique du village que vous souhaitez intégrer ? (Faites un petit résumé de cela.) = 15 lignes minimum : Politique. Je ne suis pas faite pour diriger ou penser, j’obéis, je me contente de faire ce que l’on attend de moi : être la plus forte. Ne vous y méprenez pas je ne suis pas inculte je connais très bien l’histoire de mon village, ses nombreux kage tout aussi puissant les un que les autres. Je ne me souviens pas des guerres ou des choses abominables qui ont fait de Kumo ce qu’il est aujourd’hui. Je ne me rappelle même pas les avoir vues ou entendues, les gens se gardent bien d’en parler de toute façon. Peut importe la raison, j’évite ces histoires je n’aime pas en parler. C’est comme si ces comptes me rappelaient une autre vie. Comme si la réincarnation existait.
Je ne nie pas aimer Haine Mizuraki oh non pas d’amour propre, mais bien parce qu’il apporte le bien au village. Du moins c’est ce que l’on voit et crois. Je ne suis pas incrédule et facile a berné je reste tout de même méfiante vis-à-vis mon propre village. Nous nous sommes rebellé les uns contre les autre trop souvent pour dormir en paix.
IV/: Qui suis-je ? (IRL.) [Facultatif.]
Prénom :
Nom :
Ce que vous aimez, ce que nous n'aimez pas :
Comment avez-vous connu ce forum :
Codes qui prouvent que vous avez lu les règlements :
Questionnaire :
- Que sont les points NNr', et à quoi servent-ils ?
- Comment acquérir une technique ?
- Que sont les Carnets de Bord et les Fiches techniques ?
Remarque :