* Père - fils

Aah la journée avait mal commencé pour moi, je dois bien l'avouer. Hier au soir j'avais finis extrêmement tard, quelques affaires à régler de toute urgence, sans oublié ce rappel sans cesse du destin qui m'avais oté ma compagne il y avait de cela quelques semaines à peine. Dans le fond je me disais que personne n'y échapper, que si cela devait être sa destinée alors que moi même du haut de mon rang de Kage je ne pouvais que subir les faits. Bien entendu ce n'était pas sans un tiraillement profondément enfouit dans les bas fond de mon âme que je repensais à cela mais je revenais toujours à la conclusion qu'un homme de ma trampe ne pouvait pas ce permettre d'être indigent. Rien que pour ma fonction c'était honteux d'envisager me permettre une pause ou quoique ce soit d'autre qui puisse nier au village et au bon déroulement de son fonctionnement. Enfin bon ...je laissais cela derrière moi mais je n'avais pas pour autant trouver le sommeil. C'était des pensées qui sans arrêt me hantais dernièrement.

J'en oubliais presque Kaburagi. Lui il me rattachait à la vie. Dans un soupirement profond je m'éttirais en repensant que l'examen chuunin allait bientôt arriver également et que cela faisait bien longtemps que je n'avais pas fait une constatation de ses acquis comme ninja. Ce n'était pas une mauvaise idée, un petit entraînement entre père et fils allait, je n'en doutais guère, me remonter le moral. Ce matin à six heure tapante j'étais donc prêt et je lui écrivais un mot vélocement. Je lui indiquais que je voulais le voire aux terrains d'entraînements pour huit heures tapantes. Je me passais la main dans mon épaisse cheveulure en regardant mon mot que je plaçais en évidence prêt de la corbeille à fruit, ou devrais-je dire plutôt à pomme... Je préparais par la suite un nécéssaire d'entraînement de façon rapide et empoigné la majorité des pommes pour les déversaient dans mon sac. Une fois cela fait, j'étais prêt à partir . Pour l'entraînement ? Non pas tout de suite mais pour passer en coup de vent à l'échoppe de Raiki-san. Un vieil ami de longue date qui avait de loin les meilleurs pommes en ses étales.

Je quittais le domicile fammilial en sifflotant comme bien souvent. Je cherchais à m'occuper l'esprit de n'importe qu'elle manière le souvenir d'Isako était trop lourd à porter. Je voulais fuire toutes ces questions, tous ces maudissement envers moi même. Chassant d'un geste de tête tout cela, je tournais au coin de la rue, direction la rue principale du village. Quelques minutes s'écoulaient et j'appercevais l'échoppe close malheureusement. Je ne comprenais d'ailleurs pas... d'habitude Raiki-san se lever à l'aube. Laissant cela de coté j'allais donc au coin de rendez-vous et même si j'étais en avance de plusieurs heures cela me donnait le privilège d'assister à une averse naissante et d'occuper la meilleur place au camp d'entraînement.