Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
Alors n'hésites pas à nous rejoindre, plusieurs villages t'attendent afin de livrer bataille ! L'esprit de loyauté t'attire, et tu souhaites appartenir à un village caché ? Ou bien la voie de la débauche et du crime te séduit plus que tout ? Dans tous les cas, tu es le seul maître de tes actions ici, et tes actes, qu'ils soient bons ou mauvais, auront une influence sur le Monde tout entier !
Tu pourras ainsi rentrer dans la famille NNr' et découvrir la folie des membres sur le forum ! ^^
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Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : | A / 23 | | Points Naruto Ninja RPG | : (102/2000) | Âge du personnage | : 27 ans
Sujet: Re: Nous venons te prendre la vie Mar 1 Mai 2012 - 15:59
Les plus hautes montagnes de ce monde sont celles que l’ont dit être les plus aptes à gouverner un horizon sans fin, sans limite, où seul l’or éclatant d’un soleil enflammé parvenait encore à se dresser en être supérieur au dessus de toute chose, cercle scintillant de vie mais aussi de mort. Piliers de ce monde, ces monts abrupts dont la roche ancienne n’était parcourue que de maigres lézardes et de parasites autant animales que végétales, portant sur ce puissant et rocailleux corps toute la vie et la mort de ceux qui désiraient s’abriter contre son flanc redoutable, cherchant la protection de son corps et de sa grandeur, mais aussi de la puissance et de la terreur que, sacrée et fascinante, elle inspirait en tout prédateur et chassé. C’était ces hautes statures, soutenant de leurs fondements et de leurs sentiments le monde, qui recevaient ainsi le droit et le devoir même, de diriger et de gouverner tout ce qui se plaçait sous leurs intriguant et colossales ombres. Ces symboles de pouvoirs et de grandeurs étaient le plus souvent les sources les plus profondes et sombres de convoitises, de respect inhumain, mais aussi de haine et de jalousies, toute ombre ou lame désirant facilement et simplement venir se ficher dans la pierre et la déloger de sa place, l’éroder, la fissurer, mordre à pleine dent dans la chair calcaire de cet individu souverain, afin de graver son nom et sa folie dans le corps et la légende même de cette royal figure de prestance. Nombreuses étaient aussi les créatures qui tels que moi ne vivaient que pour devenir aussi imposants et immenses que ces rocs, ces falaises qui surplombaient tout de leurs regards ternes et absents, morts et pourtant si vivace. Je n’aspirais réellement qu’à une chose, me battre encore et encore, afin de me hisser au niveau de ces créatures et pouvoir prétendre à mon tour devenir une montagne, qui elle pourrait se hisser jusqu’e dans les étoiles, mais nullement pourtant je n’aspirais à la dominance et à gouverner les fourmis qui pullulaient aux flancs de notre espèce. Si l’on pouvait donner un nom à ces montagnes que je rêvais de combattre et de renverser pour mon simple plaisir et honneur guerrier, ce serait tout simplement celui des plus grandes et puissantes figures de ce monde, celles contre lesquels je rêvais de me battre et de prouver ma supériorité enflammée et écrasante. Certaines d’entre elles, dominant et dirigeant les autres, pouvaient tout simplement être qualifiés de seigneurs, ou plus concrètement, les kages qui s’évertuaient à recueillir et protéger dans l’ombre de leurs légendes ceux qui s’étaient placées sous leurs protections, désireux d’apprendre et de grandir pour l’assister et former une véritable chaîne montagneuse, ou de tout simplement petit caillou, pouvoir se ficher dans une crevasse et à jamais y rester, survivre et vivre dans une paix parasitaire.
Aussi comique et étrange que cela puisse paraître, le destin m’amenait en ce jour en une mission que j’avais ardemment désiré, mais que je n’aurais su souhaiter oralement et demander, peut être par peur de faire preuve d’une vanité et d’un entrain bien trop excessif. Je me voyais enfin offrir le droit d’effectuer une tâche à laquelle j’allais pouvoir prendre part avec un plaisir et une dévotion redoutable, moi qui de façon globale ne cherchait pas vraiment à trouver un sens à mon combat dans cette organisation, n’avait pour seul et unique but de pouvoir enfin avoir droit à une existence, un nom, et voulais me faire une place parmi les montagnes à la force de mes muscles et de mes flammes. J’accueillais toujours des défis de ce genre avec un plaisir et un délice parfois à limite du vulgaire et de la folie, je voulais défier ceux qui se trouvaient au sommet, les défier oui, mais pas me suicider contre eux, car aussi arrogant et batailleur que j’étais, je voyais où se trouvaient mes limites et savais attendre le moment venu, une des raisons qui faisait que je n’avais guère encore demandé une telle tâche. Je n’aimais toutefois point que des êtres incapables de soutenir un duel avec moi viennent me défier, et c’était ce que je craignais dans cette mission, car il se pouvait très bien que l’on finisse par être interrompue, attaqués par des insectes dont les mandibules n’auraient point la force de rompre la pierre. Toutefois, une ombre venait ternir encore plus ce tableau idillyque, cette mission dans laquelle j’aurais pu affronter enfin un véritable adversaire, le raikage en personne, car l’ordre de mission différait au final légèrement de ce à quoi je m’étais attendu, j’allais devoir accompagner un gringalet dans cette mission, et la mort de cette cible ne se ferait probablement pas dans un combat à la loyal, mais dans une action traître et lâche. Je n’aimais guère ce genre d’ordres là, mais je n’avais hélas point le droit de le contester, et c’était aussi sombre et muet que les ombres dansantes de la cachette du groupe, que j’avais daigné accepter la mission d’un léger hochement de tête, avant de partir, laissant ma cape flamboyante danser dans mon sillage en relief proche de celui des vagues.
Le voyage en lui-même avait été des plus silencieux et monotone, car ce n’était guère dans mes habitudes de porter attention à ceux qui m’accompagnaient, ne les jugeant guère intéressant, préférant porter mon regard au loin pour détailler de mes yeux d’or, le paysage et les éléments qui dessinaient devant nous, chose immémorial et ancienne qui offraient bien plus le loisir de la contemplation et de la réflexion que de simples et inintéressants gamins et humains. Contrairement à ce que je m’étais attendu, le voyage sous un soleil de plomb qui semait une chaleur parfois extrême, mais vite entrecoupée d’élans de fraîcheurs, une vent discret murmurant des paroles inaudibles dans un climat et une nature qui semblait peu à peu s’éveiller. Des nuages légers mais parfois grisonnants venaient souvent perturber l’ode dorée qui émanait du soleil pour ne laisser place qu’à une atmosphère lourde et sombre, bien plus encore lorsqu’il nous arrivait de passer sous le couvert des arbres et des forêts le long de notre chemin, vers notre destination, le pays de la foudre. Peu importe les moments et les évènements, je restais imperturbable, me murant dans un silence pesant, et je me demandais parfois comment ce gamin revanchard qui m’accompagnait interprétais ces longs silences que je lui imposais. Finalement, après une longue marche, un long mais court voyage, la finalité de notre destination semblait peu à peu se dessiner, les flancs de montagnes et falaises apparaissant de plus en plus en grandes et intimidantes, un lieu à l’ambiance et l’atmosphère sereine qui serait bientôt dérangé par la cacophonie d’une sourde bataille, note étrange et éphémère dérangeant ce qui pour cette nature était probablement un chant coutumier. Finalement, les nuages devinrent plus épais encore, et cachèrent complètement le saint soleil, laissant une amertume et une froideur qui allait s’avérer être de circonstance pour un tel évènement. Lentement mais sûrement, nous nous enfoncions dans les sentiers de cette montagne, jusqu’à finalement enfin arriver, vers le but de notre destination, et la fin d’une vie, celle d’une falaise qui allait s’écrouler dans un crachotement rocailleux sinistre et malfaisant.
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Sujet: Re: Nous venons te prendre la vie Mer 2 Mai 2012 - 17:14
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Sujet: Re: Nous venons te prendre la vie Dim 6 Mai 2012 - 12:01
* Le temps passe, la vie change
Le travail, qu'elle invention tyrannique ! On ne pourra m'oter de la tête que si ce dernier existe c'est pour faire souffrir l'homme mais en un sens je suppose aussi que la vie sans souffrance ne pourrait pas se nommer la vie... Oh, à quoi bon philosopher je ne suis plus bon à grand chose à cette heure-ci. L'examen chuunin arrivait à grand pas et je vous laisse imaginer la montagne de travail que je me devais d'assouvrir avant la date butoire. Je jonglais depuis hier soir entre les rapports de missions, les dossiers des genins présentaient et autre habituelle béduve commises à rattrapper ou problème à régler. Cela n'en n'avait peut-être pas l'air mais c'était une fonction érrintante qu'être Kage et surtout qu'être un bon Kage. Cet adjectif faisait toute la différence en faite. Je soufflais sans retenue, refermant un dossier de ma main droite, relevant le regard à la pendule qui dans un "tic-tac" avait l'habitude de rythmé ma vie. J'avais passé ma soirée, ma nuit et surement allais-je passer ma matinée au bureau. J'en négligeais mon rôle de père mais je savais qu'il comprennait cela dit je m'étais jurer de passer sur le coup de midi ce qui me paraissait une éternité. Et si l'on prenait en compte qu'à cela j'étais simplement dans un état avancé de fatigue ...je vous laisse imaginer mon état d'esprit à l'égard de ma pause. Trois coup à ma porte me firent sursauter alors que fermant les paupières qui était le signe de mon désabusement face à sursaut. Que pouvait-il bien m'arriver dans un lieu pareil ? La porte s'ouvrait logiquement, laissant apparaître la dernière des personnes à laquelle je 'mattendais. Kaleïs Maboroshi ? Elle était d'origine extrêmement discrète. Je ne pouvais pas réprimer un faciès étonné de la voir ici, s'approchant de mon bureau et la suivant du regard, je la voyait prendre de quoi écrire pour .. pourquoi ? Ne pouvait-elle point discourir ? Cette femme avait le don de se rendre fascinante. Je lisais non sans surprise les quelques lignes. La curiosité grondant en moi, je savais et elle le savait également.. que je n'arriverais pas à la réprimée. Je pensais d'ailleurs que c'était la signification de son sourire. Suivant ses moindres gestes qui consistaient à brûler le papier et repartir comme elle était venue, je me sentais particulièrement... particulièrement mal, troublé. Deux sentiments contraire se battaient en moi. La méfiance d'un coté et le feu brûlant de la curiosité de l'autre. Le fait que cette femme ait un passé si .. si sombre me poussais à y aller même si je savais cela particulièrement fou.
Comme prévut j'étais venu. Je savais que quelque chose allait se produire aujourd'hui, cette sensation d'avoir un pré-sentiment sans savoir l'issu de cela... En tout cas une chose était certaine j'allais avoir le droit à de magnifiques coup de théâtre je le sentais. Après avoir repéré la demoiselle je surgissais comme cela m'amusais de le faire, une mine plus énigmatique, plus malicieuse qu'il y avait deux heures. Dans un constat de mauvaise augure je constatais comme je m'y attendais que le lieu était littéralement paumé. "Merci de m’avoir écouté, Haine-sama. Ou du moins de m’avoir lu et d’avoir accepté ma requête. Ce que j’ai à vous montrer concerne l’avenir de Kumo mais je ne tiens pas à ce que le village soit au courant que j’en ai pris connaissance… Suivez-moi, s’il vous plait." Mon visage se murre dans une expression sereinne, déstabilisante vue que la situation devient de plus en plus douteuse. Haine Mizuraki, Raikage, j'avais un rang à honorer et c'était pour moi l'occasion de me montrer digne. Quoiqu'il advienne je resterai cet homme aux milles facettes fidèle à moi même. Je suivais la jeune femme pensif, rêveur plus .. "Haine-sama, je vous présente deux…" Elle s'était arrêté brutalement me ramenant à la réalité. Je m'étonnais moi même, j'avais si peu de question quant à ce qui concernait "Kumo", peut-être était-ce la cause de ce pré-sentiment. "… personnes qui fréquentent la même organisation que moi. " Ces vestes .. l'Akatsuki ?! N'était-elle pas morte cette fichue organisation ! Comment, qui pouvait bien avoir voulut remettre debout cette bande de barges ? Je ne laissais rien parraître de mon étonnement et m'avançant encore un peu. J'inspirais profondément en plantant mon regard sur eux. Un sourire large sur mes lèvres, c'était comme un salut. Bon la suite s'annonce houleuse pour moi pensais-je. L'akatsuki n'était pas des enfants de coeur, souvent de haut rangs, même si le combat était perdu d'avance je savais que j'allais me battre jusqu'au bout. "Je ne vous ai pas menti, ce que je vous montre concerne l’avenir de Kumo…" Dans un mouvement de tête et un rire bonhommique, serein j'acquiessais dans une fausse gaieté les dires de Kaleïs. " Vous ne m'avez jamais menti " lui répondais-je calemement. " Je suis émut que vous soyez venut si nombreux pour moi, j'espère vous offrir un combat inoubliable qui restera dans vos mémoires à jamais, ma nouvelle demeure sera l'horizon .. personnellement j'en garderai un souvenir impérissable." clamais-je théâtralement.
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Sujet: Re: Nous venons te prendre la vie Dim 6 Mai 2012 - 20:08