Bienvenue sur Naruto Ninja RPG !

Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
Alors n'hésites pas à nous rejoindre, plusieurs villages t'attendent afin de livrer bataille ! L'esprit de loyauté t'attire, et tu souhaites appartenir à un village caché ? Ou bien la voie de la débauche et du crime te séduit plus que tout ? Dans tous les cas, tu es le seul maître de tes actions ici, et tes actes, qu'ils soient bons ou mauvais, auront une influence sur le Monde tout entier !

Tu pourras ainsi rentrer dans la famille NNr' et découvrir la folie des membres sur le forum ! ^^

A bientôt.

L'équipe du Staff.
Bienvenue sur Naruto Ninja RPG !

Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
Alors n'hésites pas à nous rejoindre, plusieurs villages t'attendent afin de livrer bataille ! L'esprit de loyauté t'attire, et tu souhaites appartenir à un village caché ? Ou bien la voie de la débauche et du crime te séduit plus que tout ? Dans tous les cas, tu es le seul maître de tes actions ici, et tes actes, qu'ils soient bons ou mauvais, auront une influence sur le Monde tout entier !

Tu pourras ainsi rentrer dans la famille NNr' et découvrir la folie des membres sur le forum ! ^^

A bientôt.

L'équipe du Staff.




 
Le Deal du moment :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 ...
Voir le deal
29.99 €

Partagez

Nous venons te prendre la vie

InvitéInvité
MessageSujet: Nous venons te prendre la vie Nous venons te prendre la vie Icon_minitimeSam 28 Avr 2012 - 16:20




.:: Gargonith Manjome ::.


.:: I am com back ::.



C'était un jour banal comme un autre, enfin d'apparence il avait l'air tout à fait comme le commun des jours, mais parfois quelques petits événements font que des choses anodines prennent une ampleur carrément titanesque, ainsi allait la vie, chaque vie est éphémère, c'est à dire que chaque espèces de vies connaitra une fin, l'on pourrait lui ôter la vie autant que elle pourrait s'éteindre toute seul. Ce jour là une vie devait-être prise, la faucheuse de sa grande cape noir et de son corps squelettique réclamait une âme, cette âme cela allait-être Satoshi Hateru, le nouveau grand chef de l'Akatsuki qui allait signer sa mise à mort, d'une manière très simple, sans rien n'avoir à ce reprocher, il allait envoyer les membres de la nouvelle lune rouge sur le terrain, voilà comment est-ce que l'on pouvait ne pas ce salir les mains, surement que ce grand combattant ne voulait pas perdre sa couverture, il allait devoir envoyer des personnes déjà connu pour leurs meurtres et leurs actes criminels pour s'occuper de la mission, des personnes qui en plus auraient des raisons plus que valable pour faire cela, des personnes qui prendraient leurs pieds à assassiner l'homme à abattre, car en effet il s'agissait d'un homme, pas des moindres d'ailleurs, une personne connu et admiré, une personne dont personne ne connaissait l'esprit fourbe, mais qu'un shinobi en avait déjà payé les frais, l'ennemi à abattre ce nommais Haine, et oui, le Raikage en personne allait être assassiné, Satoshi avait appelé celui qui en avait le plus envie parmi tous les membres de la puissante organisation, le désormais bien connu, éclaire aqueux, le traitre, Gargonith Manjome, après tous le meurtre de Raikage il connaissait ayant causé la mort de Kanna le prédécesseur de Setsuri Hazu un ancien membre de l'Akatsuki qui fut lui même Raikage par la suite d'ailleurs, il ne dura pas longtemps, depuis la mort de Killer bee les dirigeants de ce puissant village militaire qu'est Kumo n'avaient pas duré longtemps, Haine avait sans doute été le Raikage qui eut conservé cette place de leader le plus longtemps, mais le destin le rattrapait, comme il rattrapait toujours tous le monde d'ailleurs, traquant sa proie. Le plan pour le tuer était tellement simple, tellement facile à réaliser, peut-être était-ce un Raikage, un des ninjas les plus puissant de ce monde, mais il restait tous de même un être humain, une espèce tellement naïve, ces petits esprits faibles pouvaient être aussi sages que possible, ils en restaient faible, et c'est leurs faiblesse qui causait généralement leurs pertes, ainsi allait la vie, mais si jamais les membres de la lune rouge rataient cette opportunité, c'était la fin, car comme tous le monde le sait, ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, et ce proverbe à beau être plus ancien que le Rikudo Senin lui même, il n'en reste pas moins vrai et ce jusqu'à preuve du contraire il s'applique à tous le monde sans aucune exception, même un enfant qui évite de peut la mort deviendra plus puissant en grandissant. Si la lune rouge ne parvenait pas à aboutir à ses fins, cela risquerait d'être la mort de l'organisation car le Raikage préviendrait les autres grande puissance et donnerait l'identité des assaillants qui n'en seraient que plus traqué, peut enviable comme situation n'est-ce pas...

Si toutes les cartes étaient retournés suite à ce coup d'état, il était fort possible que l'organisation soit en péril, car sans aucun doute l'un des espions de l'Akatsuki ce ferait liquider, et cela priverait l'organisation d'un de ses meilleurs éléments, l'espionne qui patrouillait dans Kumo ce nommait Kaleis Maboroshi, oui, l'ancienne allié de Pein, une shinobi que le jeune Gargonith Manjome, qui était à l'époque le protégé de Pein, avait déjà été amener à rencontrer, parmi tous les membres de l'ancienne Akatsuki, elle était d'ailleurs la seul qui ne l'eut pas prit de haut, car en effet quand le à l'époque Chunin de Kumo c'était rendu à la base avec Pein, tous les anciens membre lui jetaient des regards hautin, ce qui ne fit que motiver d'avantage le désormais Nukenin à la solde de l'Akatsuki dans sa soif de pouvoir, il avait décidé de gagner leurs respects et ceux, quoi qu'il en coutait, et il savait ce dont il allait avoir besoin pour ce faire respecter, il allait avoir besoin de puissances, car comme toujours dans la société d'aujourd'hui on ne juge plus sur le moral mais sur ce qui nous intéresse, et ce qui intéressait tous les membres d'une si puissante organisation était avant tous le pouvoir, à part quelques exceptions motivé par l'argent bien entendu. Bref revenons en à notre plan, oui, très simple à exécuter, mais il fallait tous de même que le Raikage morde à l’hameçon et comme jamais rien n'est acquis, et bien le doute régnait encore, car Kaleis devait en effet ce servir de son influence en tant que Junin au seins du village pour attirer le grand Haine dans les filets des assassins, elle allait devoir lui faire croire qu'elle allait lui dévoiler quelque chose, ou bien lui montrer quelque chose dans les montagnes et une fois assez éloigné du village le nukenin Gargonith Manjome et son partenaire le dit "Dieu" allaient s'occuper du Raikage. Cela était un rêve qui devenait réalité, le Nukenin de Kiri et de Kumo, le trop trahis allait pouvoir ce venger d'un des Kage qui mit sa vie en péril, il n'avait pas oublié le plan que Haine avait mis en place pour le faire passer pour un traitre et un assassin, cette rancoeur n'avait cessé d'être animé chez lui, et aujourd'hui était venu le jour de la vengeance. Le puissant ninja allait réduire ses principes à l'état de simples mots pour sa vengeance, jamais il n'aurait combattu aussi lâchement et déloyalement si il n'en avait pas reçus l'ordre et n'en avait pas fait une affaire personnel, cela lui faisait d'ailleurs l'effet d'être une autre personne, ça le rendait malade, ce rabaisser à un tel niveau, mais son taux de rage envers Haine (jolie jeux de mots) était tel qu'il allait piétiner sa fierté pour assouvir sa soif de vengeance, ainsi réagissait un être humain qui n'eut que trop de couteaux planté dans le dos, ainsi réagissait un Gargonith Manjome poussé à bout, il avait toute les raisons du monde de vouloir le tuer, et il allait faire ça de la pire des manières, mais bon au moins d'après lui cela ferait un salopard de plus de rayé de la liste des êtres vivants.

Le redoutable Nukenin bien informé de sa mission partit d'une détermination sans précédente, jamais il n'avait ressentit une telle envie de meurtre émaner de tous son être, sans doute car il n'avait jamais évité la mort de si peut, à part lorsque les espions tentèrent de mettre fin à sa vie quand il était encore un rejeton pleurnichard, ses yeux rouges imbibés de sang allaient pouvoir s'inspirer de la couleur du sang d'une de ses nouvelles victime, la plus puissant qu'il n'aurait jamais eu à abattre... Pour le moment bien entendu, car on trouve toujours plus puissant que soit, la puissance est un cercle sans fin, personne ne peut dominer tous le monde, non, ce qui permet à quelqu'un d’accéder au pouvoir n'est pas uniquement la puissance, mais d'avantage la peur que les autres ressentent à l'égard de celui qui souhaite les dominer, cette peur qui paralyse tout être l'empêchant de ce rebeller et le forçant à rentrer dans le système, l'homme le plus puissant du monde sera celui qui saura dominer sa peur, et pour le moment c'est une chose qui reste, jusqu'à preuve du contraire, impossible, tout être humain prend peur un jour ou l'autre. Cette pensée positive ne faisait que plus motiver le Nukenin, ce dire que malgré ce meurtre basé sur un plan de lache il pourra un jour remontrer sa vrai valeur sur un être vivant encore plus puissant que Haine pour prouver ce qu'il vaut, mais pas ne le prouver qu'aux autres, mais aussi ce le prouver à lui même... Il avançait donc vers le village dans lequel il avait passé aux alentours de deux années en tant que Chunin, il y avait rencontré des êtres exceptionnels, Killer-bee l'un unique Kage qui n'eut jamais eu confiance en lui, mais sa mort était nécessaire aux projets de l'organisation criminel. Une autre Chunin qu'il rencontra lors d'une mission, il la surnommait Sei, sans doute était-ce une des rares amis qu'il eut au seins de ce village. Il c'était aussi noué d'amitié avec Ketsueki Hawake, un archer avec qui il effectua deux missions de rang A, d'ailleurs ils en effectuèrent une au même lieu où la vie de Haine s’apprêtait à être retirer de son corps. Oui, que des souvenirs, que de nostalgie lorsqu'il s'avançait dans les montagnes lieu de tant de souvenirs... Mais ce moment de nostalgie était un petit peut dérangé par un homme à la corpulence encombrante, oui car le partenaire de Gargonith pour cette mission était "l'empereur de feu" une nouvelle recrue de l'Akatsuki, un homme dont le Shinobi avait deviné au nom qu'il maîtrisait le Katon mais qui à part cela ne connaissait rien de lui, mis à part que sa musculature importante et son regard de feu lui donnaient une sensation de puissance sans précédent, sans doute était-il aussi puissant que l'éclaire aqueux, peut-être même plus, voilà ce qui rendait cette journée d'autant plus belle, l'apparition d'une nouvelle puissance, rien de mieux pour exciter le Manjome. Les deux démons initimidant s'enfoncèrent dans les sombres montagnes jusqu'à arriver au lieu où la gorge d'un Raikage serait tranché voici la manière à laquelle les membres de l'Akatsuki allaient procéder pour rendre justice aujourd'hui.

PS: Désolé pour la qualité de ce rp mais j'ai un week-end très chargé :/ .




~ Ninja de Jiyu ~
Honoo no Rubicant~ Ninja de Jiyu ~
▌Sanction : Aucune
▌Messages : 108
▌Inscription : 14/04/2012

Feuille de Ninja
| Rang / Niveau | : | A / 23 |
| Points Naruto Ninja RPG | :
Nous venons te prendre la vie Left_bar_bleue102/2000Nous venons te prendre la vie Empty_bar_bleue  (102/2000)
| Âge du personnage | : 27 ans
MessageSujet: Re: Nous venons te prendre la vie Nous venons te prendre la vie Icon_minitimeMar 1 Mai 2012 - 15:59

Les plus hautes montagnes de ce monde sont celles que l’ont dit être les plus aptes à gouverner un horizon sans fin, sans limite, où seul l’or éclatant d’un soleil enflammé parvenait encore à se dresser en être supérieur au dessus de toute chose, cercle scintillant de vie mais aussi de mort. Piliers de ce monde, ces monts abrupts dont la roche ancienne n’était parcourue que de maigres lézardes et de parasites autant animales que végétales, portant sur ce puissant et rocailleux corps toute la vie et la mort de ceux qui désiraient s’abriter contre son flanc redoutable, cherchant la protection de son corps et de sa grandeur, mais aussi de la puissance et de la terreur que, sacrée et fascinante, elle inspirait en tout prédateur et chassé. C’était ces hautes statures, soutenant de leurs fondements et de leurs sentiments le monde, qui recevaient ainsi le droit et le devoir même, de diriger et de gouverner tout ce qui se plaçait sous leurs intriguant et colossales ombres. Ces symboles de pouvoirs et de grandeurs étaient le plus souvent les sources les plus profondes et sombres de convoitises, de respect inhumain, mais aussi de haine et de jalousies, toute ombre ou lame désirant facilement et simplement venir se ficher dans la pierre et la déloger de sa place, l’éroder, la fissurer, mordre à pleine dent dans la chair calcaire de cet individu souverain, afin de graver son nom et sa folie dans le corps et la légende même de cette royal figure de prestance. Nombreuses étaient aussi les créatures qui tels que moi ne vivaient que pour devenir aussi imposants et immenses que ces rocs, ces falaises qui surplombaient tout de leurs regards ternes et absents, morts et pourtant si vivace. Je n’aspirais réellement qu’à une chose, me battre encore et encore, afin de me hisser au niveau de ces créatures et pouvoir prétendre à mon tour devenir une montagne, qui elle pourrait se hisser jusqu’e dans les étoiles, mais nullement pourtant je n’aspirais à la dominance et à gouverner les fourmis qui pullulaient aux flancs de notre espèce. Si l’on pouvait donner un nom à ces montagnes que je rêvais de combattre et de renverser pour mon simple plaisir et honneur guerrier, ce serait tout simplement celui des plus grandes et puissantes figures de ce monde, celles contre lesquels je rêvais de me battre et de prouver ma supériorité enflammée et écrasante. Certaines d’entre elles, dominant et dirigeant les autres, pouvaient tout simplement être qualifiés de seigneurs, ou plus concrètement, les kages qui s’évertuaient à recueillir et protéger dans l’ombre de leurs légendes ceux qui s’étaient placées sous leurs protections, désireux d’apprendre et de grandir pour l’assister et former une véritable chaîne montagneuse, ou de tout simplement petit caillou, pouvoir se ficher dans une crevasse et à jamais y rester, survivre et vivre dans une paix parasitaire.

Aussi comique et étrange que cela puisse paraître, le destin m’amenait en ce jour en une mission que j’avais ardemment désiré, mais que je n’aurais su souhaiter oralement et demander, peut être par peur de faire preuve d’une vanité et d’un entrain bien trop excessif. Je me voyais enfin offrir le droit d’effectuer une tâche à laquelle j’allais pouvoir prendre part avec un plaisir et une dévotion redoutable, moi qui de façon globale ne cherchait pas vraiment à trouver un sens à mon combat dans cette organisation, n’avait pour seul et unique but de pouvoir enfin avoir droit à une existence, un nom, et voulais me faire une place parmi les montagnes à la force de mes muscles et de mes flammes. J’accueillais toujours des défis de ce genre avec un plaisir et un délice parfois à limite du vulgaire et de la folie, je voulais défier ceux qui se trouvaient au sommet, les défier oui, mais pas me suicider contre eux, car aussi arrogant et batailleur que j’étais, je voyais où se trouvaient mes limites et savais attendre le moment venu, une des raisons qui faisait que je n’avais guère encore demandé une telle tâche. Je n’aimais toutefois point que des êtres incapables de soutenir un duel avec moi viennent me défier, et c’était ce que je craignais dans cette mission, car il se pouvait très bien que l’on finisse par être interrompue, attaqués par des insectes dont les mandibules n’auraient point la force de rompre la pierre. Toutefois, une ombre venait ternir encore plus ce tableau idillyque, cette mission dans laquelle j’aurais pu affronter enfin un véritable adversaire, le raikage en personne, car l’ordre de mission différait au final légèrement de ce à quoi je m’étais attendu, j’allais devoir accompagner un gringalet dans cette mission, et la mort de cette cible ne se ferait probablement pas dans un combat à la loyal, mais dans une action traître et lâche. Je n’aimais guère ce genre d’ordres là, mais je n’avais hélas point le droit de le contester, et c’était aussi sombre et muet que les ombres dansantes de la cachette du groupe, que j’avais daigné accepter la mission d’un léger hochement de tête, avant de partir, laissant ma cape flamboyante danser dans mon sillage en relief proche de celui des vagues.

Le voyage en lui-même avait été des plus silencieux et monotone, car ce n’était guère dans mes habitudes de porter attention à ceux qui m’accompagnaient, ne les jugeant guère intéressant, préférant porter mon regard au loin pour détailler de mes yeux d’or, le paysage et les éléments qui dessinaient devant nous, chose immémorial et ancienne qui offraient bien plus le loisir de la contemplation et de la réflexion que de simples et inintéressants gamins et humains. Contrairement à ce que je m’étais attendu, le voyage sous un soleil de plomb qui semait une chaleur parfois extrême, mais vite entrecoupée d’élans de fraîcheurs, une vent discret murmurant des paroles inaudibles dans un climat et une nature qui semblait peu à peu s’éveiller. Des nuages légers mais parfois grisonnants venaient souvent perturber l’ode dorée qui émanait du soleil pour ne laisser place qu’à une atmosphère lourde et sombre, bien plus encore lorsqu’il nous arrivait de passer sous le couvert des arbres et des forêts le long de notre chemin, vers notre destination, le pays de la foudre. Peu importe les moments et les évènements, je restais imperturbable, me murant dans un silence pesant, et je me demandais parfois comment ce gamin revanchard qui m’accompagnait interprétais ces longs silences que je lui imposais. Finalement, après une longue marche, un long mais court voyage, la finalité de notre destination semblait peu à peu se dessiner, les flancs de montagnes et falaises apparaissant de plus en plus en grandes et intimidantes, un lieu à l’ambiance et l’atmosphère sereine qui serait bientôt dérangé par la cacophonie d’une sourde bataille, note étrange et éphémère dérangeant ce qui pour cette nature était probablement un chant coutumier. Finalement, les nuages devinrent plus épais encore, et cachèrent complètement le saint soleil, laissant une amertume et une froideur qui allait s’avérer être de circonstance pour un tel évènement. Lentement mais sûrement, nous nous enfoncions dans les sentiers de cette montagne, jusqu’à finalement enfin arriver, vers le but de notre destination, et la fin d’une vie, celle d’une falaise qui allait s’écrouler dans un crachotement rocailleux sinistre et malfaisant.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Nous venons te prendre la vie Nous venons te prendre la vie Icon_minitimeMer 2 Mai 2012 - 17:14



.:I La fin d'un éclair de foudre... I:.

"O Satan, prends pitié de ma longue misère!

Toi qui, même aux lépreux, aux parias maudits,
Enseignes par l'amour le goût du Paradis.

O toi qui de la mort, ta vieille et forte amante,
Engendras l'Espérance, - une folle charmante!

Toi qui fais au proscrit ce regard calme et haut
Qui damne tout un peuple autour d'un échafaud,

O Satan, prends pitié de ma longue misère!"


Nous venons te prendre la vie 430919mSanstitre


Le soleil venait tout juste de se lever lorsque j’ouvris les yeux. Allongée sur mon lit, ma chambre bercé d’une lueur étouffée, j’entends les lourds nuages de Kumo gronder sans qu’il ne pleuve pour autant. C’était ainsi à la nation de la foudre, les éclairs illuminaient parfois le ciel mais il était rare que l’eau en tombe. A vrai dire, depuis les deux ans que je vivais ici, je n’avais du voir la pluie pas plus de cinq ou six fois… Et cela ne me manquait pas même si j’avais rapporté ici de bons souvenirs de Kiri. Néanmoins, lorsque je me levai pour aller faire mon nettoyage du matin, je savais que ce jour n’était pas un jour comme les autres. Non, désormais quelque chose allait changer pour Kumo et si je ne reculerai devant rien pour empêcher ce qui allait arriver, je n’y prendrai aucun plaisir pour autant.
Quand je mis un premier pas dehors, les commerces étaient tous fermés et seuls quelques shinobis arpentaient les rues, m’adressant parfois quelques regards affables qui démontraient leur ennui et leur manque d’activité. Esquissant quelques légers sourires lorsque leurs regards s’attardaient trop sur moi, ma réputation peu claire me permit une nouvelle fois de m’éviter les attentions trop soutenues et je me dirigeai vers la tour du Raikage où l’administration avait du ouvrir malgré l’heure matinale.
Lorsque j’entrai dans le hall des missions, je vis quelques discussions joyeuses ralentir tandis que d’autres, plus feutrées, s’éveillaient à ma vue. Personne ne me voyait comme une traitresse ou comme quelqu’un de dangereux pour le village mais on m’accordait l’image d’une femme peu intégrée qui aimait se marginaliser des autres. Ce qui n’était pas faux maintenant que j’y pensais…

« Ca, c’est parce que tu n’es pas nette dans ta propre tête !
Merci, Vila’, merci… »

Ramenant doucement ma chevelure de jais en arrière, j’allai en direction des personnes chargées des missions de rangs plus élevées et hésitai entre S et A. En tant que membre de l’akatsuki et ancienne criminelle de rang S lavée de ses charges sous la domination de Setsuri Hazu, le niveau d’une quête ne m’importait plus vraiment puisque ma vie elle-même était un monceau de dangers. Prônant la prudence, ou la paresse, je choisis finalement les rangs A qui me permettrait de terminer plus rapidement et surtout de ne pas attirer l’attention en choisissant un niveau plus faible que le mien. Après tout, ce n’était qu’un simple alibi, si je devais quitter le village pour me farcir l’un de leurs problèmes c’était bien pour me laver des fautes que je n’allais pas tarder à commettre…
L’homme qui était chargé de cette section posa un œil où la méfiance et le mépris misogyne s’y mêlaient avant de tirer d’un geste théâtrale un rouleau de papier. Le dépliant d’un geste sec comme s’il jetait une ordure dans la rue, il m’en montra le contenu, peinant à retenir le sourire narquois qui tentait de forcer le barrage de sa bouche répugnante.

Une affaire de proxénète et de prostitution… Dit-il alors, hautain au possible. Vous devriez vous en sortir à merveille.

Je reconnais là l’âme d’un connaisseur en la matière… Répliquais-je d’une voix polie avant de prendre ladite mission et de tourner les talons sans attendre de réponse.

Les hommes et leur fierté… Celui-là ne vivrait pas assez longtemps pour s’en repentir. Mais ma préoccupation journalière n’était pas pour cet individu exécrable… J’avais quelqu’un à aller voir rapidement avant que tout le village ne soit éveillé.
Grimpant les marches de la tour quatre à quatre, il régnait dans les couloirs un silence endormi et toutes les portes étaient fermées. M’arrêtant devant le bureau du raikage, j’y frappai trois coups et entrai, voyant alors Haine Mizaruki, l’air fatigué à moitié endormi sur son bureau. Se redressant à mon approche, il haussa un sourcil étonné, peu habitué à me voir. Il fallait dire que même au temps où j’assumai la fonction de bras-droit, si on peut appeler cela assumer, nous nous étions que très peu vu. M’approchant de lui, je me penchai en avant et attrapant un stylet, je griffonnai quelques mots sur une feuille vierge qui trainait sur le bureau.

‘’Il y a quelque chose que vous devez absolument voir. Vous et vous seul. Rejoignez-moi dans deux heures au mont X (pas d’idée de nom ! ‘’

Quand je vis son regard étinceler de surprise, j’esquissai un fin sourire et portai le coin de la feuille à la chandelle qui éclairait la pièce avant de quitter le bureau après avoir vérifié qu’il n’en restait rien. Mon passé avait fait que je me montrais prudente désormais… Il ne doit rester aucune trace.

Je me trouvais au point de rendez-vous. J’avais usé de ma technique de senseur afin de vérifier que je n’étais pas suivie et je comptais aussi l’utiliser lorsqu’il viendrait. Un raikage avait le pouvoir de sortir sans se faire voir mais nous n’étions jamais trop prudent…
Il arriva enfin et je pu constater avec soulagement qu’il était seul. Nous étions dans un endroit isolé, là où personne ne venait sans en avoir la réelle intention. Aucune mission ne portait sur ce secteur, j’avais vérifié et je ne voyais pas qui viendrait faire une ballade à un endroit aussi inintéressant… Un lieu parfait.

Merci de m’avoir écouté, Haine-sama. Dis-je d’un ton courtois. Ou du moins de m’avoir lu et d’avoir accepté ma requête. Ce que j’ai à vous montrer concerne l’avenir de Kumo mais je ne tiens pas à ce que le village soit au courant que j’en ai pris connaissance… Suivez-moi, s’il vous plait.

« J’aime ta façon de ne pas mentir… Mais de juste omettre quelques détails.
C’est un principe que toute femme qui se respecte possède… »

Je me mis alors à marcher, lui sur mes pas, sans doute la tête pleine de questions. Quand j’arrivai dans un vaste espace entre deux pans de roche déchiquetée, une falaise s’ouvrait sur le droite, plongeant dans les pics mortels de la montagne et à part le mince chemin entre les flancs du mont, cette clairière de pierres naturelles étaient encerclée par ces murs naturels. Près d’un rocher se trouvaient deux individus que je connaissais très bien. A vrai dire, je les appréciai malgré leur caractère diamétralement opposé et leur caractère antipathique naturel à l’akatsuki. Gargonith avait été mon protégé il y avait cela des années puis nous nous étions retrouvés à Kumo et j’avais appris à l’accepter dans mon entourage malgré la barrière de solitude que je possédais… Quant à Honoo, je savais peu de choses sur lui hormis une froideur incommensurable et une puissance réputée. Mais je l’appréciais bien car il ne parlait jamais pour rien dire et j’aimais la discrétion ce qui était rare à la lune rouge…

Haine-sama, dis-je doucement une fois qu’il m’eut dépassé lorsque je m’arrêtai brutalement, je vous présente deux…

« Amis ? Camarades ? Collègues ? Individus ?
Ha ouais, dur de mettre un mot… »

… personnes qui fréquentent la même organisation que moi.

Leur manteau disait tout, il était inutile que j’explique d’où ils venaient et encore moins pourquoi ils étaient là. Nous formions à nous trois, membres de l’akatsuki, un triangle d’hostilité aux saveurs diverses. Brutale pour Gargonith, glaciale pour Honoo et étrangement paisible pour moi-même. Il n’y a pas à dire, à l’akatsuki on croise de tout… C’est cette diversité là qui fait notre force mais aussi notre faiblesse à certains moments.
Haine Mizaruki, Raikage du village de la foudre et éminent chef d’état, personnage respecté, aimé et redouté de beaucoup était désormais le centre de notre composition, son visage changeant d’expression maintenant qu’il comprenait ma trahison. En lui confiant mon ancienne, et d’ailleurs actuelle, appartenance à la lune rouge, il m’avait accordé une part infime de sa confiance et devait certainement le regretter. Ce combat était inégal, c’était un fait… Nous étions tous des criminels de rang A et S et il était seul. Il se savait perdu mais je le connaissais suffisamment pour savoir qu’il allait se battre jusqu’au bout… Ce que nous comptions faire, de toute façon.

Je ne vous ai pas menti, repris-je poliment, ce que je vous montre concerne l’avenir de Kumo…

Les pièces de cet échiquier miniature étaient enfin en place. Nous étions seuls, coincés entre ses grandes parois de roche avec pour seul arme notre destin. L’un d’eux était voué à la tragédie mais peut-être… Peut-être que d’autres le suivraient ? Malheureusement, je n’arrivais toujours pas à lire le futur même si je pouvais toujours en émettre quelques suppositions. Et quelque chose me disait que cet affrontement allait être passionnant…



InvitéInvité
MessageSujet: Re: Nous venons te prendre la vie Nous venons te prendre la vie Icon_minitimeDim 6 Mai 2012 - 12:01




* Le temps passe, la vie change

Le travail, qu'elle invention tyrannique ! On ne pourra m'oter de la tête que si ce dernier existe c'est pour faire souffrir l'homme mais en un sens je suppose aussi que la vie sans souffrance ne pourrait pas se nommer la vie... Oh, à quoi bon philosopher je ne suis plus bon à grand chose à cette heure-ci. L'examen chuunin arrivait à grand pas et je vous laisse imaginer la montagne de travail que je me devais d'assouvrir avant la date butoire. Je jonglais depuis hier soir entre les rapports de missions, les dossiers des genins présentaient et autre habituelle béduve commises à rattrapper ou problème à régler. Cela n'en n'avait peut-être pas l'air mais c'était une fonction érrintante qu'être Kage et surtout qu'être un bon Kage. Cet adjectif faisait toute la différence en faite. Je soufflais sans retenue, refermant un dossier de ma main droite, relevant le regard à la pendule qui dans un "tic-tac" avait l'habitude de rythmé ma vie. J'avais passé ma soirée, ma nuit et surement allais-je passer ma matinée au bureau. J'en négligeais mon rôle de père mais je savais qu'il comprennait cela dit je m'étais jurer de passer sur le coup de midi ce qui me paraissait une éternité. Et si l'on prenait en compte qu'à cela j'étais simplement dans un état avancé de fatigue ...je vous laisse imaginer mon état d'esprit à l'égard de ma pause. Trois coup à ma porte me firent sursauter alors que fermant les paupières qui était le signe de mon désabusement face à sursaut. Que pouvait-il bien m'arriver dans un lieu pareil ? La porte s'ouvrait logiquement, laissant apparaître la dernière des personnes à laquelle je 'mattendais. Kaleïs Maboroshi ? Elle était d'origine extrêmement discrète. Je ne pouvais pas réprimer un faciès étonné de la voir ici, s'approchant de mon bureau et la suivant du regard, je la voyait prendre de quoi écrire pour .. pourquoi ? Ne pouvait-elle point discourir ? Cette femme avait le don de se rendre fascinante. Je lisais non sans surprise les quelques lignes. La curiosité grondant en moi, je savais et elle le savait également.. que je n'arriverais pas à la réprimée. Je pensais d'ailleurs que c'était la signification de son sourire. Suivant ses moindres gestes qui consistaient à brûler le papier et repartir comme elle était venue, je me sentais particulièrement... particulièrement mal, troublé. Deux sentiments contraire se battaient en moi. La méfiance d'un coté et le feu brûlant de la curiosité de l'autre. Le fait que cette femme ait un passé si .. si sombre me poussais à y aller même si je savais cela particulièrement fou.

Comme prévut j'étais venu. Je savais que quelque chose allait se produire aujourd'hui, cette sensation d'avoir un pré-sentiment sans savoir l'issu de cela... En tout cas une chose était certaine j'allais avoir le droit à de magnifiques coup de théâtre je le sentais. Après avoir repéré la demoiselle je surgissais comme cela m'amusais de le faire, une mine plus énigmatique, plus malicieuse qu'il y avait deux heures. Dans un constat de mauvaise augure je constatais comme je m'y attendais que le lieu était littéralement paumé. "Merci de m’avoir écouté, Haine-sama. Ou du moins de m’avoir lu et d’avoir accepté ma requête. Ce que j’ai à vous montrer concerne l’avenir de Kumo mais je ne tiens pas à ce que le village soit au courant que j’en ai pris connaissance… Suivez-moi, s’il vous plait." Mon visage se murre dans une expression sereinne, déstabilisante vue que la situation devient de plus en plus douteuse. Haine Mizuraki, Raikage, j'avais un rang à honorer et c'était pour moi l'occasion de me montrer digne. Quoiqu'il advienne je resterai cet homme aux milles facettes fidèle à moi même. Je suivais la jeune femme pensif, rêveur plus .. "Haine-sama, je vous présente deux…" Elle s'était arrêté brutalement me ramenant à la réalité. Je m'étonnais moi même, j'avais si peu de question quant à ce qui concernait "Kumo", peut-être était-ce la cause de ce pré-sentiment. "… personnes qui fréquentent la même organisation que moi. " Ces vestes .. l'Akatsuki ?! N'était-elle pas morte cette fichue organisation ! Comment, qui pouvait bien avoir voulut remettre debout cette bande de barges ? Je ne laissais rien parraître de mon étonnement et m'avançant encore un peu. J'inspirais profondément en plantant mon regard sur eux. Un sourire large sur mes lèvres, c'était comme un salut. Bon la suite s'annonce houleuse pour moi pensais-je. L'akatsuki n'était pas des enfants de coeur, souvent de haut rangs, même si le combat était perdu d'avance je savais que j'allais me battre jusqu'au bout. "Je ne vous ai pas menti, ce que je vous montre concerne l’avenir de Kumo…" Dans un mouvement de tête et un rire bonhommique, serein j'acquiessais dans une fausse gaieté les dires de Kaleïs. " Vous ne m'avez jamais menti " lui répondais-je calemement. " Je suis émut que vous soyez venut si nombreux pour moi, j'espère vous offrir un combat inoubliable qui restera dans vos mémoires à jamais, ma nouvelle demeure sera l'horizon .. personnellement j'en garderai un souvenir impérissable." clamais-je théâtralement.




InvitéInvité
MessageSujet: Re: Nous venons te prendre la vie Nous venons te prendre la vie Icon_minitimeDim 6 Mai 2012 - 20:08




.:: Gargonith Manjome ::.


.:: I am com back ::.



C'étais l'heure... Le moment décisif approchait à grand pas, et cela entrainait un suspens à un tel point instable que chaque minutes semblaient durer des heures, d’innombrables heures plus ennuyeuse les unes que les autres, cette attente au suspens insoutenable était une des choses les plus contraignante de la vie d'un Shinobi, et ceux qu'il soit d'un village ou non, la première qualité d'un ninja digne de ce nom était sensé être la patience, une qualité qui faisait désormais défauts à plus des trois quarts de l'effectif de la nouvelle génération de Shinobi, une vertus qui s'enseigne mais que l'on acquiert aussi avec l’expérience et parfois à la naissance, un ninja ayant le sang chaud comme Gargonith Manjome avait beau être patient cela ne lui convenait pas, c'était une chose qui lui faisait horreur que de rester assis à ne rien faire, mais comme on dit, il fallait prendre son mal en patience, et bien qu'il ne soit pas patient il était très fort pour prendre sur lui et ce dans n'importe laquelle des situations, il aimait ce montrer dure et impartiale, tel un mur qu'aucuns mots ne peut faire ébouler, mais en vérité tous cela n'était qu'un tissus de mensonge que le Shinobi à la solde de la lune rouge espérait entrainer dans sa tombe, ainsi sa légende conterais les histoires de Gargonith Manjome le Shinobi sans faiblesses. De plus camoufler ses faiblesses était un bon atout pour les combats et les missions, et même lorsque l'on a des ennuis, ainsi personne n'aurait l'idée de kidnapper un proche de le menacer ou de fouiller dans son passé en essayant de trouver des éléments troublant qui auraient une chance de le perturber durant un combat donnant une chance de victoire à l'assaillant. D'ailleurs aujourd'hui l'assaillant était Haine le Raikage, et celui-ci en tant que tel connaissait énormément d'informations sur le Shinobi, mais celui-ci n'avait pour le moment aucun soucis à ce faire, aucune de ses faiblesses n'avaient été dévoilés au monde, mais pourtant une inquiétude exerçait une pression sur le coeur de l'éclaire aqueux, cette inquiétude c'était Kaleis qui au cours du temps avaient leurs relations ce transformer en amitié, et si Haine avait été mis au courant... Et si il s'en prenait à elle ou si il lui avait tendu un piège, voilà les inquiétudes qui mettaient le membre de l'organisation si mal à l'aise... Mais ce problème de confiance le ninja ce devait de le camoufler, car il avait un partenaire avec lui, il devait ce faire respecter par celui-ci et faire bonne impression, Gargonith restait donc impartiale tel une plaque de béton que l'on ne peut érafler, mais pour tous de même faire évacuer son stress il tapotait de ses doigts sur le manche de son sabre comme un tic nerveux, mais ce tic était aussi du à l’excitation de sa future vengeance, il allait pouvoir tuer celui qui avait essayer d'en faire de même sur lui autre fois, la vengeance était une sombre ambition mais qui elle seul peut apaiser une âme et celle de l'éclaire aqueux ne demandait pas mieux, mais il allait aussi un jour devoir faire un tour à Kiri no Kuni afin d'apaiser la bête qui grognait en lui qui elle n'avait que soif de vengeance.

La vengeance était la chose la plus horrible que le monde puisse connaitre, cette soif que seul la mort peut apaiser entrainait un plongeon immédiat dans la haine, on ne pouvait éviter d'embrasser le ténèbres lorsque l'on réclamait vengeance, les personnes en soif de celles-ci sont ceux qui n'eurent rongés leurs freins depuis que trop longtemps, en essayant de penser à autre chose d'oublier cette rage envers la personne qui nous a trahis, mais c'était une chose impossible, la soif de vengeance nous rattrape toujours et fera toujours partit intégrante de nous, jusqu'au jour où cette vengeance sera abreuvé, qu'elle aura été accomplis, que le sang de l'ennemi coulera, ce jour-ci la personne ayant eu cet appétit incurable pourra prendre un nouveau départ, mais ce nouveau départ ce fera dans les enfers aux côtés des démons qui hantent tout être humain, ce venger équivaut à vendre son âme au diable, faire un pacte avec lui permettant d’apaiser toutes les souffrances qui ronge l'être du persécuté jusqu'à faire de lui un zombie en quête de son remède, d'une nouvelle vie, qui ne fera ses choix uniquement pour un jour pouvoir ce venger, qui tournera même le dos aux personnes qu'il aime pour accomplir sa vengeance. Mais embrasser cette haine ne faisait pas peur à tous le monde, encore moins aux personnes qui jadis l'embrassèrent et réussirent à s'en réchapper, c'était le cas de Gargonith Manjome l'éclaire aqueux qui était sans doute le plus jeune membre de la plus grande organisation criminel que le monde n'eut jamais connu, il avait déjà embrassé la haine, depuis fort longtemps la haine faisait partit intégrante de sa vie, trahis par deux Kage qui avaient un égaux un peut trop sur dimensionné, ils avaient rejetés le Shinobi car ils le craignaient, un héritier d'un clan si puissant qu'il fut caché aux yeux de tous, quelle lâcheté de la part de ces hommes que tous le monde vénère, si seulement le monde n'étais pu fait de pourritures, la vengeance, tout compte fait il existe quelque chose de bien pire et qui entraine une haine et un plongeon dans les ténèbres bien plus profond et dangereux, ce sentiment humain était LA PEUR! Chose que Gargonith Manjome ne ressentit uniquement lors d'un seul combat, celui contre Kaitaro Nagi, le premier vrai adversaire et vrai ami du Shinobi, si il voulait changer ce monde c'était dans l’espoir que tous le monde devienne comme Kaitaro son plus grand rival, ainsi ce devait être le monde parfait. L'utopie de Pein Rikudo continuait à exister à travers le jeune Nukenin à la solde de l'Akatsuki, mais le Shinobi n'allait pas tous faire comme Pein, Pein voulait tous les tuer afin de refaire le monde à son image, trop de sang aurait coulé et c'était le défaut de son plan, l'objectif de Gargonith Manjome était de tuer tous les grand dirigeant n'étant pas digne de ce titre et de le remplacer par un être bien, ainsi le peuple comme les moutons qu'ils sont suivraient ce chef et reproduirait son image en guise de caractère. Aujourd'hui l'un d'entre eux, un de ces êtres indigne allait perdre la vie !

Le moment était venu, j'étais assis sur un rocher la main sur le manche du sabre prête à dégainé, prêt à combattre, un pied passa le coin de la montagne, suivis d'une chevelure qui n'était pas inconnu aux yeux du Nukenin aux yeux de sang, et l'arrivée d'autres partis aux trais précis dans la zone de mire du membre de l'Akatsuki confirmèrent ses suppositions, le moment était venu, l'ancienne protectrice du Shinobi de Kumo venait de passer le seuil de la colline, et comme l'on pouvait s'y attendre elle avait mené à bien sa mission car derrière elle suivait le futur vaincu que le binôme de démons attendait, l'homme qui était sensé tenir d'une main de fer le village caché du pays de la foudre, l'homme aux pleins pouvoirs qui avait trahis le jeune Gargonith Manjome, Haine Mizuraki le Raikage sans peur était là, il était présent face au jeune Gargonith, qui lui mit quelques secondes avant de réagir, il ne voyait que lui, ses yeux ne reflétaient plus que son image, son regard de psychopathe laissait clairement deviner ses intentions, la vengeance, plus la colère l'envahissait plus il était pressé de ce lever, et ce fut d'un mouvement brusque qu'il procéda, les traits de son visage se serraient, le colère ce lisait dessus comme dans un livre pour enfant, ses muscles étaient contractés, et d'un mouvement tout aussi brusque et avec un cri de démance il dégaina son sabre, c'est un regard sadique qui marqua sa nouvelle personnalité, les images du moment ou il s'était fait consumer sous la glace par les hordes de Haine hantaient l'éclaire aqueux depuis trop longtemps, aujourd'hui il allait pouvoir ce débarrasser de cette hantise, mais pour cela il allait devoir ce calmer afin de ne pas commettre de faux pas. « Haine-sama je vous présente deux personnes qui fréquentent la même organisation que moi. » Voici les mots décisif que Kaleis fit parvenir au Raikage, tout devait désormais être claire dans son esprit, il allait mourir il devait s'en douter, mais ce n'était pas pour autant qu'il semblait apeurer, il semblait prêt à combattre.« Je ne vous ai pas menti, repris-je poliment, ce que je vous montre concerne l’avenir de Kumo. » Mais d'une voie admirablement calme il répondit aux quelques mots de Kaleis « Vous ne m'avez jamais menti. Je suis émut que vous soyez venut si nombreux pour moi, j'espère vous offrir un combat inoubliable qui restera dans vos mémoires à jamais, ma nouvelle demeure sera l'horizon .. personnellement j'en garderai un souvenir impérissable. » Quelle arrogance, mais quel moral, peux d'hommes pouvaient ce venter d'accueillir la mort aussi en étant aussi serein et prêt à ce faire faucher, un élan d'admiration traversa Gargonith envers la personne qu'il avait haïs comme jamais, mais aujourd'hui il était la pour ce venger et aucun remords n'étaient permis, aujourd'hui justice allait être rendu. « J'espère que vous vous rappellez de moi ! Gargonith Manjome le Chunin que vous aviez envoyé au suicide! Moi je ne vous ai jamais oublié et chaque moment de ma vie j'ai rêvé à ce moment ou je vous tuerais! Vous ne garderez pas un bon souvenir de ce combat, à vrai dire vous n'en garderez aucun, en essayant de me tuer vous avez annoncé votre arrêt de mord et aujourd'hui la sentence sera irrévocable ! » Et après avoir prononcé ces quelques mots, il enleva la veste symbole de l'organisation puis son chapeau avant de commencer un série de signe suivit d'un saut en arrière, « Shock wave - Explosive wave » Puis ces mots furent enchainé par une explosion au lieu précis où ce tenait Haine Mizuraki, la bête assoiffé de vengeance qui somnolait à l’intérieur du Ninja s'était réveillé en quête de pitance.




Vijay Jagdish
~ Fondateur & Ninja de Jiyuu ~
Vijay Jagdish~ Fondateur & Ninja de Jiyuu ~
▌Sanction : Aucune
▌Messages : 5547
▌Age : 31
▌Inscription : 09/03/2008

Feuille de Ninja
| Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25
| Points Naruto Ninja RPG | :
Nous venons te prendre la vie Left_bar_bleue203/1000Nous venons te prendre la vie Empty_bar_bleue  (203/1000)
| Âge du personnage | : 26 ans
http://www.naruto-ninja-rpg.com
MessageSujet: Re: Nous venons te prendre la vie Nous venons te prendre la vie Icon_minitimeSam 29 Sep 2012 - 14:24

Gargonith :
- 12 pts NNR.
- 11 pts NNR.
Total => 23 pts NNR.

Kaleis :
- 14 pts NNR.

Honoo :
- 16 pts NNR.
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Nous venons te prendre la vie Nous venons te prendre la vie Icon_minitime


Nous venons te prendre la vie

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Tous le monde veut prendre sa place.
» Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ]
» Montrez les nous !
» Nous attendons vos idées
» Un sujet qui nous touche Tous

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Pays de la Foudre ~ Kaminari no Kuni :: Pays de la Foudre :: Grandes montagnes :: Grottes fortifiées des montagnes-