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La vérité sur moi et mon histoire

InvitéInvité
MessageSujet: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeSam 26 Fév 2011 - 17:54

Présentation de [ Madara Uchiwa ] .

Pourquoi vis tu, Invité ?

Prénom et Nom : Madara Uchiwa
Âge : Inconnu
Village / organisation désirée : Akatsuki



MON PERSONNAGE



Description physique : Madara Uchiwa possède deux apparences bien distinctes et complètement différentes l’une de l’autre. Son apparence ordinaire, celle de membre du clan Uchiwa et celle mystérieuse qu’il a décidé de surnommer Tobi. Parlons d’abord des choses qui ne changent pas d’une façade, d’une personnalité à l’autre. La couleur de son iris lorsqu’il active ses sharingans éternel est rouge, comme celle de tout autre sharingan normal. Détaillons avec plus de précision sa pupille maintenant. Elle décrit un cercle concentrique noir dans lequel trois autres petits cercles « secondaires » se forment, laissant apparaître en leur centre la couleur rouge de son iris. Ils sont espacés les uns des autres d’une distance égale. De plus trois sortes de « blocs » noirs viennent relier le cercle central à l’extrémité se son œil. Ceux-ci sont à chaque fois positionnés entre deux cercles secondaires. Parlons maintenant de son apparence normale. Cet Uchiwa est un personnage sombre, terne. Il mesure approximativement un mètre nonante et ne doit pas peser très loin des nonante kilos. Son corps est tracé comme un véritable athlète sans pour autant n’être fait que de muscles. Certes il en possède, mais pas trop, il veut conserver sa dextérité et son agilité. Ses abdominaux sont clairement tracés ainsi que son dos. Ses bras sont eux aussi musclés mais restent dans la « norme » de tout autre ninja. Ses jambes, elles, sont fines mais puissantes et agiles, lui permettant de se déplacer assez rapidement. Lors de la première guerre shinobi il avait pour habitude de porter des habits entièrement noirs dont généralement une sorte de pull à très longues manches pendantes. Une grosse armure rouge foncée était toujours posée par-dessus ceux-ci, le protégeant des kunais, des katanas ou encore de toute sorte d’autres petits projectiles tels les shurikens. A cette époque il arborait aussi fièrement le blason des Uchiwas, cet éventail rouge et blanc, signe de la maîtrise du feu. C’était un emblème de pouvoir que tous étaient honoré d’afficher en public, montrant leur puissance et leurs pouvoirs. Il possédait une crinière noir en bataille, une mèche revenant sans cesse sur le coté droit de son visage et masquant donc généralement son œil droit. Ses cheveux tombaient un peu plus bas que ses épaules et finissaient en mèches fourchues. Il lui arrivait aussi de transporter dans son dos un énorme éventail orné par les armoiries de son clan.
Assez parlé du passé parlons maintenant du présent et de sa tenue actuelle. Tobi mesure approximativement un mètre septante-cinq et possède un physique élancé, pas trop musclé ni trop fin. Ce corps n’est donc pas fait pour déployer une force physique monstre mais plutôt pour pouvoir bouger facilement, pour pouvoir esquiver les attaques adverses. Comme tout membre de l’Akatsuki qui se respecte, Tobi ne fait pas l’exception à la règle et possède donc une large cape noir décorée aux motifs de nuages rouges brodée et entourée d’un tissu blanc. Cette cape s’arrête plus ou moins à la hauteur de ses genoux. Comme beaucoup d’autres ninjas l’ancien chef du clan Uchiwa chausse des sandales et porte par-dessus un morceau de tissu blanc qui doit sans aucun doute lui servir de jambière, comme tous les ninjas de l’organisation de la lune rouge d’ailleurs. Il cache également ses mains à l’aide de gants noirs. Un masque orange en forme de spirale dissimule son visage. Celui-ci est attaché au niveau du front de Tobi par un morceau de tissu noir, l’empêchant de se soulever lors de ses combats .Tout ce que l’on peut apercevoir est un petit trou circulaire, l’origine de la spirale, dans lequel nous pouvons « admirer » son sharingan droit. Celui-ci est en effet en permanence activé au mode trois virgules. A l’heure actuelle nous ignorons pourquoi il n’expose pas son autre œil. L’a-t-il perdu ? Est-ce son véritable corps ? Est-il incapable de l’utiliser ? Beaucoup d’autres questions nous viennent encore à l’esprit quand à ce personnage. Nous avons juste pu remarquer lors de son discours avec Sasuke que de profondes rides ornaient son visage. Au-dessus de son masque apparaissent de courts cheveux noir ébouriffés. Au final aucune partie de son corps n’est dont visible, tout a été minutieusement caché, escamoté des regards indiscrets. Dernier signe le caractérisant, il a récupéré la bague « Sphère » du défunt Sasori et la porte désormais au pouce, signe de pouvoir de vie et de mort.

Description morale : Que dire de ce personnage aux caractères multiples et complexes. Il passe sans cesse d’une personnalité à l’autre selon la situation afin d’en tirer avantage. Lorsqu'il revêtit l’apparence de Tobi, cet homme excentrique et un peu délirant, on pourrait dire de son comportement qu’il est enfantin et attachant. Toujours à rire, prenant tout à la légère et n’hésitant pas à charrier, à se moquer de ses semblables de l’Akatasuki ; il ne reste pas en place une seule seconde, un peu à la manière d’une puce surexcitée. Il parle comme un petit garçon de sept an, il est effrayé, apeuré pour un rien et la moindre victoire lui monte immédiatement à la tête. Il croit absolument tout ce qu’il voit, sans chercher à comprendre. Il ne cesse de s’attirer des ennuis, en particulier avec Deidara, son senpai de l’Akatsuki. On pourrait croire que tout cela n’est qu’un immense jeu à ses yeux et que rien de bien grave ne pourrait arriver. Il joue son rôle du petit jeune qui vient de débarquer et plein de fougue à la perfection. La preuve est que personne n’arrive à le reconnaître sous son masque orange aux dessins de spirales. Cette personne fictive, cet artifice, cet écran noir est en tout points parfait, rien n’est laissé au hasard et elle reflète à la perfection ce que les gens veulent voir de Tobi, un être un peu attardé, voir simplet.
Parlons maintenant de son véritable caractère, sa véritable facette. Qui se cache véritablement derrière ce masque orange et cette grande cape noire aux motifs de nuages rouges ? En réalité c’est un homme sérieux, narcissique, au sang froid et manipulateur. Il arrive en quelques minutes à retourner Sasuke et à se le mettre en « poche », il lui fait voir son point de vue et arrive même à le lui faire adopter, à le lui faire partager. Il parvient aussi à commander l’Akatsuki sans que personne ne se rende compte qu’il est derrière Pain, à le diriger comme une vulgaire marionnette humaine. C’est un leader né, il n’a aucun mal à diriger les hommes caché dans l’ombre, il observe pour mieux commander. C’est un homme d’une grande intelligence dont les capacités d’analyses illustrent son expérience, il cherche le point de rupture de chaque chose.
Personnage au sang froid ? C’est ce que ses compagnons pensent de lui. En effet il a aidé Itachi durant cette fatidique nuit, il a anéanti l’entièreté son clan, sans exceptions, absolument tous ses semblables qui ne représentaient plus rien à ses yeux. C’était une sorte de revanche contre ses anciens compagnons qui l’avaient traité de fou à force de refuser de signer une charte de paix avec le clan Senju. Il est de ce fait contre la démocratie ainsi que la paix factice, il considère que ce n’est finalement qu’un refuge instable pour des clans fatigués qui n’ont plus la force de combattre pour leurs intérêts. Il est expert dans l’art de regrouper des talents. C’est un chef qui se soucie de ses hommes et regrette ceux qui font le sacrifice ultime pour lui. C’est donc un homme de pouvoir, ambitieux et qui atteindra ses objectifs par n’importe quel moyen, peut importe l’avis des autres. Madara a grandi lors de conflits perpétuelle et donc la négociation en sa présence est futile. On peut dire qu’en quelque sorte il recherche le pouvoir absolu. Le pouvoir absolu, divin ? Non, cet homme de grande renommée et de grande classe ne le formule pas de la sorte, il préfère le terme « paix universelle ». Son vécu lui fait dire qu’il n’y a plus rien d’assez fascinant sur cette terre qui vaille la peine d’être préservé. C’est sans doute ce qui le perdra, ce cynisme et ce pessimisme qui l’ont conduit à développer un ego immense. A cause de ses ambitions on pourrait le traiter de déserteur le plus recherché dans le monde des shinobis. Un homme sans cœur ? Non, je ne pense pas. A cause de son talent il a juste toujours été traité différemment pas les autres membres du clan, plus tard des rumeurs ont même circulées comme quoi il avait arraché par la force les yeux de son petit frère. Quel homme serait capable d’une telle atrocité sans raison valable, à son propre frère. Cependant la réalité est bien tout autre. C’est son frère qui n’a pas hésité à offrir ses précieux sharingans à Madara pour la survie des siens. Dans sa jeunesse il pouvait tout faire pour aider son clan, les missions les plus infâmes, il n’a pas hésité à s’en charger pour le bien être des ces égoïstes d’Uchiwas. La seule personne pouvant le comprendre était justement son frère qui lui aussi avait éveillé ses mangekyous quelques secondes après lui. Ces pupilles légendaires que tous les membres du clan tentent d’approcher désespérément sans y parvenir. Je pense qu’il s’agit de la seule personne qu’il ait vraiment appréciée. Madara Uchiwa est un être débordant de talents et d’ingéniosité. Cependant il est un homme incompris et je pense qu’il le restera …

Son histoire :

Chapitre 1 : Une Enfance Difficile

De la lumière, trop de lumière. On me parle mais je ne comprends rien, beaucoup de gens sont attroupés autour de moi à me regarder, à me fixer avec leurs petits yeux tendres. Je ne saisis pas ce qui se passe. Et puis tous ces cris insupportables, mes cris… Je venais de naître et une grande destinée m’attendait déjà au tournant, sans que je ne me doute de rien. Où étais-je ? Sans doute à l’époque le savais-je mais je l’ai oublié depuis tout ce temps, et puis, ce n’est pas bien important. L’année exacte aussi je l’ai oubliée mais je me souviens que la guerre faisait rage à l’extérieur. Le monde, déchiré en petites parties par les armes, les conflits, les assassinats. Les terres étaient couvertes de sang, de trahisons et de meurtres… Les premiers mots que l’on me dit furent que j’étais l’un des premiers enfants de la branche principale de ma famille et, qu’une grande histoire m’était déjà prédestinée, à moi et à moi seul. A cet âge je ne comprenais pas encore les sens de ces mots et donc je n’y fis jamais attention. En ces temps instables les quelques clans Shinobis se faisaient la guerre. Non pas car ils se détestaient, comme à l’heure actuelle, mais car ils servaient différents seigneurs féodaux, qui, eux se battaient pour la conquête du pouvoir. De nombreux petits groupes travaillaient pour de pitoyables nobles, ignorant que plus tard ils deviendraient de puissants clans, craints et respectés par la haute société. Nous étions assez peu nombreux et donc nous ne nous tenions pas rigueur des morts faits dans nos rangs par les autres ninjas. C’était la dure loi de la guerre. En cette ère les enfants devenaient plus vite adultes, apprenaient plus vite afin d’aller aider leurs semblables sur le terrain de bataille. Quatre ans, l’âge idéal selon mes aînés pour commencer à me former. Il m’assura que celle-ci serait de la plus haute qualité mais aussi très stricte. Il me prévint que je serais sûrement blessé à de maintes reprises mais me dit que cela forgerait mon caractère. Dans notre grand temple je passais mon temps avec mon père à m’entraîner. Un homme grand, sur de lui et possédant une impressionnante carrure. Des yeux noirs profond. On avait l’impression qu’ils étaient sans fond et que lorsqu’on les regardait on se faisait engloutir. Quand il partait en mission, il m’envoyais un de ses subordonnés afin que je continues à m’entraîner, progresser. Je considérais comme des héros tous les membres de ma famille. Ils veillaient tous sur moi, sans arrêt. Je les adulais à chaque fois qu’ils partaient en mission, malgré les rudes entraînements qu’ils me faisaient subir. Je tombais sans cesse, j’en arrivai même à un point où je ne voulais plus m’exercer. Ils me répétaient tous que c’était pour mon bien, pour me faire devenir un homme mais rien n’y faisait. Je me lamentais à voir à quel point la différence était énorme entre moi et mon père. Et un soir, m’écrasant sur le sol comme toujours, mon père me dit quelque chose. Quelque chose qui me marqua et que je n’oublierais jamais… « Madara, pourquoi tombons-nous ? C’est pour mieux apprendre à nous relever ». Cette phrase fut une révélation pour moi, je m’entraînai deux fois plus que d’habitude, je ne vivais que pour cela, mon but était de tous les dépasser, sans exceptions. Tous les soirs ma mère me soignait, me bandant une jambe ou un bras qui avait été blessé la veille. C’était une femme magnifique, un physique élancé, de grands yeux noirs et un sourire chaleureux. Etrangement son ventre grossissait et finalement on m’apprit que j’allais être grand frère. Je veillais sur mon petit frère ou ma petite sœur, alors qu’il, elle n’était même pas encore né,e. Ma mère semblait ignorer tout de ce qui se passait à l’extérieur de notre demeure et je trouvais cela très bien ainsi. Elle était préservée de tous ces massacres, se contentant d’aimer son mari adoré lorsque celui-ci en avait besoin. Je pense que mon père aussi essayait de me préserver le plus possible des horreurs du monde. Il était vrai que je ne sortais que très rarement de notre propriété. Nous étions tous si naïfs avant d’avoir été au moins une fois sur le champ de guerre. Ce fut en fin de compte un garçon, mon frère, qui naquit de la même manière que moi. Des lumières vives braquées sur lui et toute la famille réunie, chuchotant dans leurs coins. Il devait y avoir quatre années et des poussières entre nous deux. Ils le nommèrent Izuna, Izuna Uchiwa. Ce petit être sachant à peine ramper, je voulais le protéger, le préserver comme ma mère et lui épargner la vue du monde sanglant qui nous entourait. Pour ce faire je m’entraînai encore plus ardûment que d’habitude, je voulais devenir plus puissant, toujours plus puissant. Vous me demanderez sûrement comment cela était possible ? Et bien je partais tout simplement tout les soirs m’entraîner seul dans le dojo familial. Mes journées entières elles aussi se déroulaient en ce lieu. C’était l’endroit dans lequel je me sentais le plus à mon aise. Les sages du clan me qualifiaient de génie, de prodige, des mots dont je ne comprenais pas la signification. Cependant je compris assez vite que chez les Uchiwas, déjà tous considérés comme des génies, surdoués à la base, être appelé de la sorte était très rare et honorifique pour moi. Ils disaient que mon chakra était incroyable, noir et puissant, même pour un membre de notre famille. Par la suite ils dirent la même chose de celui de mon frère. Je voulais devenir fort, fort au point de pouvoir protéger tout le monde, stopper cette guerre dévastant villages, familles et bien d’autres choses encore. Apparemment ça ne suffit pas et à l’âge de quatre ans mon frère débuta lui aussi son entraînement, dirigé comme pour moi par notre père. Quand à moi je ne m’entraînais plus qu’essentiellement avec les vétérans, mon père concentrant toute son attention sur son nouveau fils. Ces hommes âgés n’étaient pas à prendre à la légère, ils connaissaient absolument tout sur les stratégies, les techniques et essentiellement le Sharingan. Ce Dojutsu légendaire lié dans notre sang, notre patrimoine génétique qui nous avait fait connaître sur tout le globe. Tous devaient apprendre à le maîtriser à la perfection mais avant cela il fallait l’éveiller. L’âge normal pour débuter cet entraînement était de douze à quatorze an mais on me dit que vu mon talent, je pouvais déjà le commencer. Je n’avais que neuf ans ! On m’expliqua qu’il y avait deux méthodes connues pour éveiller ce magnifique héritage. La première était d’être dans une situation extrême, voir un ami mourir sous nos yeux ou encore penser que l’on va nous même mourir. La deuxième était de méditer, essayer d’éveiller cet attribut par l’exercice, imagination. Evidemment mon entraînement allait être le second. Chose peu commune, j’allais apprendre en même temps la maîtrise du Katon, l’élément de feu que tous les Uchiwas possèdent. Notre blason représente par ailleurs un éventail, objet permettant de contrôler ces flammes ardentes. Chaque matin je me levais pour me rendre au dojo et m’asseoir, à écouter les paroles des doyens me guidant dans mon apprentissage. Ils me disaient de méditer, de laisser mon chakra envahir mes yeux, l’entièreté de mon corps, de laisser mes gênes s’éveiller toutes seules. Les premiers jours rien ne se passait mais c’était normal, on ne pouvait pas y arriver à la première tentative. Deux jours passèrent. Les doyens me fixaient tous, les yeux ébahis, leur gorge muette. Ma vue était changée, je pouvais voir leurs chakra ainsi que sa couleur, je prévoyais sans le vouloir certains de leurs mouvements et je pouvais les recopier sans aucunes difficultés, instinctivement. Toutes ces données s’encraient à vie dans mon cerveau, ma mémoire. Ils applaudirent mes prouesses, éveiller si vite la pupille du clan était du jamais vu. Je me sentais gêné au milieu de ces félicitations, moi tout ce que je voulais c’était devenir encore plus fort. La suite de mon entraînement consista à maintenir le Sharingan activé le plus longtemps possible afin de m’y habituer, d’en réduire le cou en énergie. En même temps on m’initia aussi aux arts Katon. Ca ne fut par trop difficile. Comme chaque enfant la première technique que l’on me demanda d’effectuer fut la technique de la boule de feu. Une technique basique mais essentielle dans notre formation. Aussi je diminuai rapidement la quantité de chakra nécessaire à mes pupilles et arrivai à les activer lorsque bon me semblait. On m’exigea aussi que je garde mes Sharingans activés lors de mes autres entraînements, faisant de cette vue une vue habituelle, quotidienne. Mes maîtres avaient de plus en plus de mal à me tenir tête, ils gagnaient de peu nos affrontements et sentaient qu’ils seraient déjà bientôt dépassés.

Chapitre 2 : Une Adolescence, une Guerre

Les trois années qui suivirent s’écoulèrent en tous points identiques comme celle que je viens juste de vous décrire. Tous mes entraînements étaient principalement concentrés sur le maniement de mon Sharingan et du Katon. Comme vous vous en doutez j’atteins vite le stade dit « final » à cette époque, le Sharingan doté de trois virgules ou branches. Déjà à cet âge je sentais que quelque chose d’autre ce cachait sous ces fabuleuses pupilles mais je ne m’y attardai pas trop, me concentrant sur le grand évènement qui m’attendait et qui requérait l’entièreté de mon attention et de ma concentration. J’étais maintenant âgé de douze ans. On me voyais déjà comme un jeune homme aux yeux de certains et il était temps que j’apprenne à connaitre le champ de bataille, que j’y aille, que je l’affronte et que j’en revienne victorieux. Je passais des nuits blanches rien qu’à y penser, mes membres tremblaient de toutes parts, je ne savais plus ou me mettre, ou étais ma place parmi tous ces grands combattants. Mon père m’encourageait, me répétant que le meilleur entraînement était la pratique dans les conditions réelles, sans que rien ne soit préparé à l’avance. Il me disait sans cesse que je m’en sortirais sans problèmes, qu’on ne m’enverrait pas directement dans les premières lignes mais sur les plus sécurisées, surveillées. J’étais d’accord avec son point de vue mais malgré tous ces mots la guerre m’effrayait, je n’y avais encore jamais participé. Les seules choses que je connaissais sur elle étaient des récits tous aussi sanglants les uns que les autres où de nombreuses victimes étaient toujours à déplorer, peut importe le camp. De plus il m’était interdit de mourir, je devais veiller sur mon frère et quelle aurait été la réaction de ma mère si elle apprenait que j’avais été tué durant ma première mission… Le matin du premier jour, ma tâche était toute simple, apporter une lettre à celui qui nous employait, contournant le front et ses dangers cachés et mortels. Nous étions un petit groupe de quatre Shinobis plus ou moins expérimentés mais aucun n’avait plus de quatorze ans, tous les adolescents confirmés et adultes étant mobilisé à l’avant de champ de bataille. Mon endurance était mise à rude épreuve lors de ces missions en tant que coursier. Courir, courir sans nous arrêter sauf pour manger. Il fallait aussi sauter à travers les arbres, évitant les obstacles. De plus la pression était énorme par moment. Un bruit, nous devions tous nous cacher et être sûr que personne ne soit là avant de nous montrer et de reprendre la route. Je détestais ces moments de panique où personne ne savait vraiment quoi faire si quelqu’un nous tombait dessus. Mes premières missions furent toutes semblables à celle-ci, parfois passant plus près des lignes de mires mais jamais rien de grave ne se produisit. Lors de ces voyages jamais nous n’eûmes à affronter d’autres ninjas, tout se déroula sans accrochages. Plus tard mon père m’appris quelques stratégies de base à connaître absolument sur le champ de combat. Par exemple le repli stratégique. Cette manœuvre consistait à rejoindre un allier le plus vite possible tandis que les Shinobis adverses nous attaquent avec leurs Jutsus et/ou projectiles ninjas. Nous faisions de nombreuses simulations de batailles et, comme à mon habitude, je m’en sortis toujours avec brio et réussite. Parfois j’étais même le dernier survivant de la simulation et tous me félicitaient. Je ne peux même plus compter le nombre de fois lors desquelles j’ai été blessé. Jamais grièvement mais toujours un peu de sang sur mes vêtements. Je voyais bien à la tête de ma mère que ces exercices que l’on me faisait subir la stressaient énormément, elle avait un poids invisible qui pesait sur elle. Voir son petit fils rentrer chaque jour blessé, même superficiellement. Petit à petit je retins toutes les stratégies par cœur, tout commençait à devenir plus clair dans ma tête et mon esprit. Ces tactiques de base devenaient des réflexes pour lesquels je ne devais plus réfléchir, comme s’ils étaient innés. Quand à mon frère il venait de débuter son initiation à l’éveil de notre merveilleux Dojutsu. Il allait bientôt comprendre ce qui faisait notre force, notre renommée. Ces yeux avec lesquels tout était plus net, précis, plus complet. Pour ma part j’avais quatorze ans et il était temps que j’aille sur le front, tous me jugeaient apte, même plus qu’apte à rejoindre mes confrères. Aussi je maîtrisais sur à la perfection mes Sharingans à trois virgules. Même si j’étais très jeune mes pupilles étaient déjà considérées comme extrêmement puissantes, elles étaient répertoriées dans les plus puissantes du clan à l’heure actuelle, avec celles de mon frère qui seront inscrite aussi un peu plus tard. J’étais donc convié à rejoindre l’un des points tendu du territoire que nous devions protéger. En tout il y en avait trois et j’étais appelé en renfort sur le second. Je mis deux jours avant d’atteindre la base rapprochée. L’enfer, le chaos c’était les mots parfaits pour décrire la situation à cet endroit précis. Des corps de deux camps jonchant le sol anarchique. A chaque pas il fallait faire attention pour éviter de vieilles armes couvrant le sol ou encore des pièges. Je n’avais même pas encore combattu que déjà je me sentais mal. Il ne s’agissait plus de batailles mais de massacres, de vengeances entre ces stupides hommes riches, ces nobles. Je me rendis compte que nous n’étions que de vulgaires armes à leurs yeux. Qui, une fois trop utilisées, étaient bonnes à abandonner, à jeter. Je recevais des messages de la maison, de mes amis tous angoissé à l’idée de me savoir là. Moi aussi je voulais rentrer mais je ne le pouvais pas, il était de mon devoir d’aider notre famille. Dans notre camp absolument tout était contrôlé, identité, matériel, rien n’était laissé au hasard. Nous devions rester en groupe de deux minimums. Mes insomnies dues au stress revenaient, j’en avais la nausée. Voir chaque soir les survivants revenir péniblement et lassé jusqu’à la base. La nuit, lorsque le sommeil me parvenait enfin, je rêvais de choses atroces, du meurtre des êtres qui m’étaient cher, de mon frère, ma mère. Je mis trois ou quatre jours à m’habituer à cette atmosphère. Pour la première de ma vie fois j’allais me battre pour tuer, ce n’était plus de simple exercices où tout était sous contrôle, il y avait tant d’inconnues, tant de possibilités. Je me disais que je devais juste garder la tête froide, ne pas laisser apparaître mes émotions, tout garder sous contrôle. J’essayai aussi de me persuader que j’étais bien assez fort que pour avoir peur. Mais tout est bien différent lorsque vous vous trouvez en face à face avec un inconnu qui à deux fois votre âge, qui est déjà marqué de la rudesse de la guerre. Un petit bonhomme du haut de ses quatorze ans devant faire face à des adultes, il y a de quoi paniquer ! C’était la première fois que je me rendais sur le terrain de la guerre avec un groupe de quatre autres Shinobis ce jour là. Je voyais les trois autres donner tout ce qu’ils avaient et moi, je restais planté là, à les regarder, paralysé. Finalement je réussis à trouver la force en moi pour réagir lorsqu’un de mes compagnons était en difficulté. Sharingan activé je tuai l’ennemi par l’arrière, d’un coup de kunai droit au cœur. Le sang coulait comme un ruisseau sur mes mains et mes bras. J’étais comme un paraplégique à la vue de ce liquide visqueux rouge. Nous nous en sommes sorti de justesse ce jour-là. Malgré tous mes « don » j’étais inutile, dès que la pression se faisait trop grande je battais en retraite. Les jours s’écoulèrent puis bientôt une année … et puis deux … Durant tout ce temps mon frère continua tranquillement son entraînement supervisé à son tour par les doyens. Il avait déjà douze ans, il maîtrisait lui aussi le Sharingan mais en étais toujours au stade à deux branche. Il était temps pour lui aussi de commencer les missions anodines. De mon coté je m’étais encore bien amélioré, j’étais devenu un excellent soldat qui menait lui-même sa troupe. Seul j’arrivais à tenir tête à deux, voir trois hommes adverses, j’étais respecté dans notre campement, certains me voyaient même comme le leader de cet endroit. Dehors, chaque jour, chaque heure, l’intensité de la guerre s’amplifiait, faisant encore plus de tués. Des clans commençaient à se dévoiler à la lumière du jour, se montrant supérieurs aux autres grâce à leurs pouvoirs. Bien évidemment, nous en faisions partie. Il y en avait notamment deux en faite, nous, la famille des Uchiwas et ceux qui l’on nomme les Senjus de la Forêt. Pour ma part j’avais seize ans, j’avais accompli ma mission et il était temps que je rentre à notre demeure, me reposer, me ressourcer.

Chapitre 3 : Début d’une Rivalité et Découverte de la Vérité

J’étais donc resté en tout deux longues années au front. Deux années faites de massacres, de victimes et de chaos… Lorsque je revins on me dit que j’avais changé, que les traits de mon visage s’étaient durcis, forgés. Mon frère, lui, allait normalement revenir d’ici quelques jours. Il devait livrer des lettres, comme moi à son âge. Je passai ces quelques jours à me reposer. Je parvenais à garder mes Sharingans activés presque en permanence. On me disait que mon teint était pâle mais je m’en fichais éperdument, tant que je pouvais le supporter, je continuais. Lorsque mon frère revint je demandai à mon père pour diriger son entraînement. On me disait que mon frère était déjà très puissant malgré son Sharingan à deux virgules et qu’on ne savait pas si j’étais apte à mener ses exercices. Au début j’étais surveillé par des Anciens afin de vérifier que je faisais bien tout dans le bon ordre. Ils purent constater que j’étais parfaitement capable de cela. Je pense que c’est de là qu’est partie notre rivalité, une rivalité avenante. Sans cesse il me testait dans tous les domaines possibles et imaginables, me provoquant en duel où tout autres exercices. Il se référenciait à moi, voyant s’il avait enfin réussi à me surpasser. Malgré son talent aussi grand que le mien, j’avais une chose en plus que lui ne possédait pas ; l’expérience du front. C’est lors d’un de ces innombrables affrontements contre moi qu’il éveilla la troisième virgule de ses pupilles. Il n’en revenait pas comme le changement était grand entre ces deux stades. La troisième virgule rendait les choses encore plus parfaites qu’elles ne l’étaient déjà. Alors il me fit une confession, une confession qui me choqua. Tout comme moi plus jeune, il avait aussi senti que quelque chose de bien plus puissant se tapissait encore sous cette simple évolution. Je gagnai inéluctablement tous nos duels, le poussant à s’entraîner d’avantage. Tout comme moi à son âge, lui aussi commençait à se lasser de voir cette différence qu’il ne parvenait pas à combler. Alors, j’imitai mon père et je lui dis cette phrase qui me sorti de ma consternation, cette phrase qui me ramena à l’espoir, l’envie, la rage de m’améliorer. « Izuna, pourquoi tombons-nous ? C’est pour mieux apprendre à nous relever ». A lui aussi cette phrase lui redonna toute ses envies et il se releva, une lueur brillant dans ses yeux. A chaque fois qu’il s’écroulait il se relevait immédiatement, revenant à la charge. Le seul moyen de l’arrêter était qu’il s’écroule de fatigue. J’étais fier de lui et du faite qu’il devienne si fort en dépit de son jeune âge. C’était justement ces quatre années qui marquaient la différence de niveau entre lui et moi, un fossé extrêmement difficile à comblé. Lui aussi l’avait compris et c’est pourquoi je pense qu’il ne m’en voulait pas de toutes les « humiliations » que je lui faisait subir. En plus de m’entraîner avec lui, je continuais mes exercices nocturne afin de ne pas être rattrapé et de rester le plus fort. Je me sentais en danger par son talent grandissant mais moi aussi j’étais un génie et il était de mon devoir de progresser afin de montrer que j’étais le plus fort des deux. Plus le temps passait plus nous étions intimes, notre complicité se renforçait, nous confessant tous nos secrets. En deux ans il avait énormément progressé et la différence d’âge se faisait de moins en moins sentir. Je pouvais cependant encore garder la tête haute et afficher ma supériorité qui était néanmoins de moins en moins perceptible. Malgré cela, il y avait une contradiction dans mon cœur, même si je reconnaissais le premier sa valeur au combat, je ne voulais pas qu’il parte au front, qu’il voie le sang, qu’il sente la boue froide sur son corps, qu’il respire la peur de la mort… Evidemment je ne pus pas changer l’avis de mon père et des doyens mais je parvins à obtenir la permission de l’accompagner et d’être son paire. Comme cela arrivait de plus en plus souvent nous faisions face aux Senjus. Lorsqu’un seigneur faisait appel à eux, l’autre faisait appel à nous. Nos deux clans monopolisaient le marché des mercenaires. Les terres que nous devions protéger étaient mises à rude épreuve. J’avais dix-huit ans et Izani quatorze. Nous formions un groupe de dix shinobis et nous devions rester une année sur le champ de bataille. Nous devions garder un des murs du territoire. Personne ne devait entrer. Nous nous séparions en groupes de deux, alternant la nuit et le jour. Mon frère s’est beaucoup plus vite habitué que moi à la guerre. Il faisait preuve d’un sang froid hors du commun. Pas un instant il ne trembla, il tua dès la première attaque ennemie. Je le couvrais toujours, même en plein combat je gardait un œil posé sur lui et sa sécurité. Plus le temps passait plus notre groupe diminuait, des choses affreuses se passaient sous nos yeux. Les rats, vautours et vers de terre finissaient notre travail inachevé. Nous n’étions plus que quatre et il nous restait trois semaines à tenir. Nous devions à tout prix nous échapper. Nos deux autres compagnons s’étaient sacrifiés afin de nous ouvrir le voie. Nous rampions, à bout de force. Mon frère se sentait de moins en moins bien et moi je ne possédais presque plus de chakra. Pris d’une rage immense en voyant qu’ils avaient osés toucher mon frère je les tuai tous à l’aide de mes pupilles. Nous étions exténués et nous parvînmes de justesse à rejoindre un des autres campements. Nous fûmes soignés et renvoyés à notre demeure. C’est là, lorsque je me retrouvai en possession de toutes mes capacités que je compris que me soif de puissance était encore loin d’être étanchée. J’en voulais plus, toujours plus. Mes pupilles me par aissent faibles, inutiles et limitées. Mon frère avait aussi survécu et j’en étais ému. Ce fut l’année la plus sombre de ma vie, durant laquelle j’ai le plus ressenti la peur de perdre un être cher… Durant cette année que nous passâmes au front mon père contracta une maladie inconnue et mortelle. Mon sang me prédestinait donc à devenir le nouveau leader du clan.
Cela faisait maintenant deux ans que nous cherchions un moyen de faire évoluer nos pupilles noirs et rouges. Nous voulions la faire évoluer en quelque chose d’autre, de nouveau que personne n’avait jamais atteint ou même vu. Nous étions attiré par cette idée de puissance et nous la voulions maintenant. Malheureusement chacune de nos tentatives se terminèrent par de cuisants échecs. Nous explorions toutes les possibilités et finalement nous arrivâmes aux Anciens. Lorsque nous nous sommes présentés à eux ils se moquèrent de nous, nous traitant de fou et disant que nous divaguions. Malgré tous leurs dires je sentais en eux une certaine frustration, une inquiétude à notre sujet. Ils savaient quelque chose et nous le cachaient. Les voir, se taire devant nous, me mettait fou de rage. Au clan la plupart des responsabilités m’étaient revenues, à moi et à mon frère, mon père ne pouvant plus s’en charger. Nous les sommions de parler, allant même parfois jusqu’à la menace mais rien n’y faisait, ils refusaient de parler. La seule personne au sein de notre famille capable de les faire parler était le Chef, mon père actuellement. Je devais au plus vite réaliser mon ascension afin d’obtenir ces secrets. Quelques mois plus tard mon père décéda et je fus, comme je l’avais prévu, désigné nouveau leader de notre groupe. Je désignai comme second Izani, mon frère et la seule personne en qui j’avais une entière confiance. Mon père dévoilait toujours ses plans aux siens mais moi j’étais différent, plus sombre et je masquais mes réelles intentions. Seul Izani était au courant de l’entièreté de mes ambitions. C’est à cet instant précis, juste après avoir été nommé nouveau leader que les Anciens me convoquèrent. Je me tenais face à eux et ils commencèrent à me raconter tout, absolument toute l’histoire sur nos pupilles légendaires. A l’époque on n’appelait pas notre pupille le Sharingan mais le Mangekyou Sharingan, une forme démoniaque aux pouvoirs immenses. Ils me parlèrent aussi des conditions afin d’éveiller cet aspect depuis longtemps oublié. Le prix à payer était immense, c’était sans doute la raison pour laquelle son secret était si bien protégé des yeux des petits fouineurs. En plus n’importe qui ne pouvait pas parvenir à éveiller cette forme ancestrale. Il fallait tuer son meilleur ami … C’était un énorme sacrifice que nous devions accepter, que nous étions obliger d’accepter... Après tout qu’était-ce que deux morts en comparaisons d’une centaine de personnes sauvées. Les temps avaient changés et il fallait mettre un terme à tout cela. Je divulguai bien évidemment toute cette histoire à Izuna. Après une discussion nous décidâmes de faire ce sacrifice ultime, pour notre patrie et pour notre but, la quête de pouvoir. Nous mirent absolument tout en scène, dans les moindres détails.

Chapitre 4 : Le Retour de la Lumière suivi de la l’Abandon

J’étais très exactement âgé de vingt ans et mon frère de seize et quelques mois. Cette nuit était celle tant redoutée par chacun de nous deux, nous devions tuer nos meilleurs amis respectifs. Ceci ne fut pas si dur que ce à quoi je m’attendais. A l’inverse, ranimer le Mangekyou Sharingan me fit le même effet monstre. J’eus la même sensation que lorsque je m’éveillai au simple Sharingan à virgules. En faite la comparaison entre les deux Dojutsus était impossible, le Sharingan fondamental paraissait si banal par rapport cette nouvelle évolution, transformation. Sous cette vision le monde paraissait plus parfait qu’il ne l’était déjà, s’en était presque malsain, terrifiant. Notre chakra avait lui aussi changé, il était plus noir, plus sombre, plus obscur … Grâce à ces fabuleuses pupilles nous parvînmes à rallier tout le monde sous nos convictions, nos idéaux. Tous nous respectaient désormais, plus aucun n’osaient contredire nos ordres. Nous partions toujours sur le front, moi et mon frère, en première ligne, nos Mangekyous Sharingans activés en permanence. A nous deux nous faisions face à une dizaine de ninjas adverses, les exterminant sans exceptions, sans discernement. Les jours et les mois passèrent. Plus personne n’osait se mettre sur notre chemin, nos noms étaient connus par le monde entier. Pour je ne sais quelle raison je perdais petit à petit la vue, tout se noircissait autour de moi. Toutes les choses de couleurs vives paraissaient ternes, comme si mes yeux ne captaient plus la lumière et s’enfonçaient dans l’obscurité des ténèbres. Je partis du clan et fis tout ce qui était en mon pouvoir afin recouvrir la vue mais en vain. Entre temps mon frère fut touché par la même maladie que celle de mon père. Mes rêves étaient réduits à néant, je ne savais plus que faire, mon état ainsi que celui de mon frère s’aggravaient jours après jours. J’essayais tous les traitements inimaginables et remèdes possibles pour moi et Izuna mais rien ne fonctionna. Mon frère cadet était méconnaissable, je savais qu’il allait bientôt mourir… J’avais lamentablement échoué dans tous mes Nindos, protéger mon frère, arrêter cette effroyable guerre, j’avais tout raté… Alors là, contrairement à ce que beaucoup dirent, aux portes de la mort, mon frère me dit, un sourire forcé aux lèvres : « Prends les, prends mes yeux ». J’hésitai un instant, me disant qu’il n’était plus apte à penser mais il me redit cette phrase qui avait bouleversé ma vie « Madara, pourquoi tombons-nous ? C’est pour mieux nous relever… » Je me greffai ses yeux, à sa demande… Je renouai avec la lumière, ma vision me revint, comme à ses débuts. Mon frère, lui, succomba dans son lit les heures qui suivirent. Durant tout ce temps je restai à ses cotés, lui parlant, ne sachant que faire d’autre. J’exécutais le moindre de ses ordres, sans réfléchir. Sa tête se pencha sur le coté, sa main tomba sur son torse et il partit, la mine heureuse d’avoir sans doute pu aider son frère. Je me relevai, une nouvelle vie s’ouvrant à moi, j’étais enfin libéré de mes chaînes. La vie d’Izuna perdurerait à travers mes nouvelles pupilles. J’étais plus fort que jamais et bien décidé à mettre un terme à cette guerre maudite. Je revins au sein de notre organisation, mes nouveaux Sharingan acquis. Tous me dévisageaient mais aucun n’osaient poser la question interdite, tabou ; où était passé mon frère. Très vite des rumeurs se mirent à circuler mais je fis semblant de ne pas être au courant, les ignorants. Je repris la tête du clan. Les différentes batailles nous opposant aux Senjus de la Forêt commençaient à lasser nos guerriers et une trêve fut proposée entre nos deux castes. L’intégralité de notre famille voulait signer cet acte de paix. L’intégralité ? Non, j’étais le seul réticent à cette idée, nous allier à ces hommes ?! Jamais cela ne pourrait marcher. Un Shinobi était fait pour se battre, sans batailles sa vie n’avait plus de sens. Je fus cependant contraint de signer ce pacte sous la pression de tous nos Anciens. Je devais répondre aux attentes de nos Ninjas, affamés et fatigués. C’est ainsi que prit fin l’une des plus grandes guerres Ninjas. L’alliance de nos deux clans donna naissance à un nouveau village, une nouvelle entité que l’on nomma Konoha, le village caché de la feuille. Un endroit où il ferait bon vivre et où tout le monde vivrait en paix et harmonie. Partout dans le monde des Shinobis la guerre cessa pour procéder au même système qu’au pays du feu, les villages Shinobis furent ainsi crée. Les différents groupes s’unissaient afin d’assurer une stabilité et une paix durable pour tous leurs hommes, femmes et enfants. Une ère prospère semblait à portée de mains mais même dans une paix provisoire, chaque village réclama quelque chose qui assurerait leur crédibilité aux yeux de tous. Un Bijuu, c’était le tribu demandé, un démon de chakra tant convoité durant la guerre. On prétendait qu’ils ils étaient neuf. On disait aussi qu’ils étaient impossibles à contrôler à l’air libre. La seule solution était de les enfermer dans des humains que l’on nommait Jinchuriki. Il me fallait en capturer un pour notre village, à la hauteur de notre réputation. Celui que l’on situait le plus proche de notre territoire se baptisait Kyuubi, le Démon Renard à neuf Queues. On le surnommait aussi le « Roi » des Bijuus pour le fait qu’aucun autre de ces démons n’ait jamais réussi à le vaincre. C’était l’arme idéale pour notre association. Lorsque nous arrivâmes nous apprîmes que le Démon avait déjà été capturé il y a de cela bien longtemps et que désormais il appartenait au clan Uzumaki. Il ne restait plus beaucoup de membres dans cette famille et nous réussîmes à les convaincre de nous rejoindre. Durant les premières semaines tout se passa sans trop de problème mais un élément vint me mettre hors de moi. Les habitants de notre village voulurent élire un chef, un dirigeant pour maîtriser les tensions aux frontières entre les différents villages. Ce fut Hashimara Senju qui fut élu à l’unanimité par les deux camps. Il avait toujours fait de sages réflexions, prenant en compte l’avis de chacun, chose contraire à mes méthodes. Deux années passèrent et notre nom commença à sombrer dans l’oubli, le rangeant dans la catégorie des familles banales. J’étais le seul à m’opposer fermement contre Hashimara et à cause de cela tous me traitèrent de fou, que j’étais le seul qui voulait ranimer les braises éteintes de la guerre. Mes raisons étaient toutes autres ! Je rageais à l’idée de voir notre si puissante famille disparaître dans une simple organisation appelée vulgairement « police ». J’avais vingt deux ans, j’étais encore jeune et on me traitait de personne immature. Les rumeurs sur mon passées ressurgirent alors, me faisait paraître comme un monstre ne pensant qu’à sa petite personne. J’essayai d’organiser une révolte mais bien évidemment tous me tournèrent le dos lâchement. Je décidai donc de défier et d’affronter seul notre tout nouvel Hokage, Hashimara Senju. La Vallée de la Fin, l’endroit idéal pour cet affrontement. Nous nous tenions tous deux, l’un en face de l’autre, sur un des deux rochers qui délimitaient la cascade d’eau clair. Une lueur rouge sang brillait au fond de mes pupilles. J’allais affronter l’homme qui à lui seul faisait trembler des peuples entiers. Nous nous fixions, les yeux dans les yeux. Un sourire se dessina sur mon visage pâle. Nous nous lançâmes l’un sur l’autre ; le combat le plus terrifiant qui n’avait jamais eut lieu venait de commencer. Cette bataille fut sans merci, nous donnions tout ce que nous pouvions dans l’affrontement. Les minutes s’écoulaient sans que personne ne prenne l’avantage, personne n’aurait pu dire qui allait gagner. Finalement je perdis ce combat et nos statues furent érigées sur les cotés de la cascade, en souvenir de cette bataille mémorable. Je fus déclaré comme mort mais … êtes-vous vraiment sur de cette affirmation ? Je disparus de la circulation, me cachant, reprenant mes forces et élaborant une stratégie afin de me venger de Konoha. Je voyageais à travers le monde dans le but de parfaire mes connaissances, d’apprendre de nouvelles techniques plus meurtrière les unes que les autres. Je voyageais seul, comme à mon habitude, lorsqu’un homme vint se dresser devant moi. Je ne le connaissais pas mais ses iris étaient teintés de rouge, trois virgules formant un cercle concentriques. Il se tenait à quelques centimètres de moi et la je pus voir quelque chose d’étonnant. Ses yeux changeaient, ses pupilles se rapprochaient de la forme des miennes sans pour autant être identiques. Il possédait lui aussi les Mangekyous Sharingans. Il prit enfin la parole et me dit d’une voix dépourvue de vie :
« J’ai une requêté à te demander … »

Chapitre 5 : Vengeance sur un Clan et sur une Nation

« J’ai une requête à te demander ». C’est ainsi que le mystérieux homme aux yeux rouges se présenta à moi. Immédiatement je voulus lui demander son nom mais il me répondit sans même qu’un son ne sorte de ma bouche, sans même qu’elles ne bougent. Itachi Uchiwa, je m’appelle, Itachi Uchiwa. Durant les minutes qui suivirent il m’expliqua la raison de sa venue, le plan des nôtres afin de retourner le gouvernement du village caché de la feuille, de prendre le pouvoir mais aussi le contre que les dirigeants du village avaient élaboré, le rôle essentiel que jouait ce jeune Shinobi. Quel lourd fardeau il devait endosser seul, trahir les siens, rapporter leurs moindres agissements, se moquer de sa famille de la sorte et finalement tous les tuer. Enrôler un propre membre des Uchiwas pour anéantir les Uchiwas, quel spectacle affligeant, dégoutant. C’était là en réalité leur seule chance, qui d’autre aurait été à la hauteur pour affronter autant de Shinobis de cette trempe mis à part eux-mêmes. Un rire s’échappa de ma gorge lorsqu’il eut fini de tout m’expliquer. Ils étaient enfin puni de ne pas m’avoir écouté, de m’avoir traité de fou ! Qui pouvait désormais les regarder de haut sans que ces derniers ne se doutent de rien. Le jeune homme, Itachi, me laissa rire seul quelques instants puis reprit la parole. Il me dit qu’il avait besoin de moi pour accomplir cette tâche. Bien évidemment je refusai en premier lieu mais il me fit une offre plus qu’attirante, excitante même. Après le massacre je pourrais m’emparer de tous les Sharingans de notre clan ! Il ne m’opposa que deux uniques condition à cela, premièrement que je ne touche pas à son petit frère, Sasuke Uchiwa et deuxièmement que je ne divulgue cette affaire à absolument personne, elle devait rester secrète. Je ne mis pas très longtemps avant d’accepter. Il m’expliqua en quelques phrases sa tactique. Au final il n’y avait pas vraiment de stratégie mise au point, un par devant, un par derrière et notre seul et unique but était de tous les tuer, les anéantir sans laisser aucun survivant mis à part nous trois. La nuit fatidique pour le clan Uchiwa était fixée le jour juste avant leur rébellion, ils seraient pris à revers. Pour cette occasion je décidai aussi de revêtir une toute nouvelle apparence qui marquerait ma « renaissance ». Un masque orange en forme de spirale ne laissant apparaître qu’un de mes yeux, une longue cape noir et des protections de la même couleur. Nous nous retrouvâmes à la tombée de la nuit devant les portes de notre propre demeure. Je me glissai à l’arrière de la grande bâtisse tandis qu’Itachi attendait mon signal devant l’entrée. Tous deux en place je lançai un shuriken muni d’un parchemin explosif vers les cieux, répandant une épaisse fumée rouge foncée. Notre assaut final était lancé. A chaque homme ou femme que je croisais, toujours cette même et stupide question sortant de leur gorge « Qui es-tu ? », avant qu’ils ne meurent comme de vulgaires bêtes, animaux. Cette paix avait rouillé l’entièreté de nos valeureux et robustes combattants, pas un n’arrivait à ma cheville, j’en trouvais cela écœurant. Comment un si puissant et redouté don héréditaire avait-il pu autant s’affaiblir, tomber si bas ? … Ma méthode était simple, je disparaissais pour apparaitre devant un autre membre de notre famille et le tuer. Aucuns n’avaient le temps de réagir ou même comprendre ce qui leur arrivait. Je les tuais tous, dans le paisible sommeil de certains, durant l’entrainement acharné d’autres ou encore lors de leurs stupides jeux de groupe. Je dépossédais chaque cadavre de ses précieux yeux et les enfermais dans des bouteilles de verres blancs avant de les envoyer elles-mêmes dans ma dimension. Une heure, c’est le temps approximatif que nous à pris l’hécatombe avant d’avoir rasé le nom des Uchiwas de la carte et de la vie des habitants de Konoha. Comme convenu, lorsque la sale besogne fut terminée, je m’en allai, laissant en vie le petit Sasuke Uchiwa tel qu’il me l’avait demandé. Cependant cet Itachi m’intriguait, il me rappelait un peu moi plus jeune avec mon frère. Je pouvais le lire dans ses yeux, il aurait tout fait pour son frère cadet, jusqu’à donner sa vie ou pire encore, son honneur pour le protéger. Je sentais en eux deux un énorme potentiel se cacher et je devais m’en méfier, les surveiller. A compté de cette date il ne restait plus que trois membres de la famille maudite et qui, j’en suis sur, feraient trembler la terre entière.
Mais j’ai oublié un élément plus qu’essentiel, un évènement qui a eut lieu bien avant ce massacre, un de mes chefs d’œuvres dont je ne vous ai pas encore parlé. Cela s’est passé quelques années auparavant le massacre des miens, de mon clan, des Uchiwas… Cela faisait une cinquantaine d’années que j’avais soit disant perdu mon affrontement face au Shodaime Hokage. J’étais encore assoiffé de vengeance, je ne vivais que pour la destruction de cette entité nommée Konoha et je ne cherchais qu’à augmenter mes pouvoirs. Dans mes rêves ou même éveille j’étais obnubilé par la vision d’un pays du feu brulant de toutes parts. J’avais aussi élaboré un plan, magnifique, mais pour démarrer celui-ci je devais attendre un évènement bien précis, unique et qui n’arriverait surement pas plus d’une fois. Un accouchement ! L’accouchement de Kushina plus précisément, la femme du Yondaime kage de Konoha. C’était dans celle-ci que Kyuubi était enfermé et j’avais appris par diverses sources que lors d’un accouchement, le sceau qui retenait le démon était fragilisé, il était à son niveau le plus faible. C’était donc l’instant idéal pour frapper et pour m’emparer de la bête. De plus je sentais que je pouvais contrôler cette mythique créature, je percevais que mes pupilles me permettraient de manipuler le dit démon aux neuf queues. Les jours passaient, j’attendais dissimulé parmi les habitants du village. Enfin l’accouchement allait avoir lieu. Je m’étais tapis dans l’ombre non loin de l’endroit où ce dernier devait avoir lieu. J’apparu au moment, à la seconde propice et m’emparai non sans mal du Roi des Bijus, le plongeant dans une illusion que je contrôlais de toutes pièces. Je le lâchai sur Konoha, lui et toute sa puissance, sa rage dévastatrice. L’invocation me demanda pas mal de chakra mais je pouvais admirer le carnage, personne ne pouvait rivaliser avec Kyuubi. Les morts jonchaient déjà le sol mais d’autres Shinobis arrivaient en masse, dans l’espoir de terrasser le monstre. Je sentis alors une aura interférer dans mon Gengutsu, je ne maîtrisais plus la créature. Tandis que j’essayais de comprendre ce qu’il se passait Minato Namikaze se matérialisa devant moi, ce fabuleux ninja avec sa technique de téléportassions. Il me dit qu’il avait réussi à sortir le Renard de mon illusion et nous nous engageâmes dans une lutte sans merci. Ce jeune homme était incroyablement fort, il avait un excellent sens de l’analyse mais je parvenais à prévoir tous ses mouvements. Cependant invoquer l’animal m’avait pas mal affaibli et je m’en retrouvais plus lent, plus lourd que d’habitude. Au cause de ces gênes je fus finalement battu sur mon propre terrain, la vitesse. Il parvint à me mettre KO à l’aide d’une technique qu’il avait crée et qui est bien connue de tous désormais, le Rasengan. Blessé je dus me retirer et regarder de loin ce qui allait se produire. Mon sang bouillonnait, je voulais tous les tuer mais j’en étais incapable. Kyuubi disparu alors pour réapparaitre plus loin, protégeant ainsi le village Ninja. Je m’approchai de l’endroit pour comprendre ce qu’il se passait. Les surprises s’enchainaient, le démon diminua soudainement de taille, comme si on avait absorbé la moitié de son énergie. Le Fuinjutsu et ce maudit Minato, il avait scellé la moitié du chakra de l’animal dans son corps ! Pour mon plus grand désarroi il recommença alors l’incantation qui m’était inconnue et scella l’autre moitié dans un nourrisson, son fils. Je rageais mais je ne pouvais intervenir, c’était à peine si je parvenais à recourir à mon Sharingan. Je m’en allai, à la fois content et insatisfait. J’avais eu une revanche contre Konoha mais pas celle à laquelle je m’attendais. Les années passèrent et, comme je vous l’ai dit un peu avant, je détruis ma famille. Certes cela m’apaisait en partie mais j’étais loin d’être satisfait. Je m’étais désormais fixé un objectif plus grand, plus ambitieux. Le plan « L’oeil de la Lune », c’est ainsi que je l’ai baptisé. Il consiste à rassembler les neuf bijus pour recréer un monstre ancestral appelé Juubi. En devenant l'hôte de ce monstre, je pourrai projeter mon sharingan sur la Lune afin de créer une illusion d'une puissance incommensurable appelée « Tsukuyomi infini ». Ce Genjutsu me permettra de tenir tous les êtres humains sous ma tutelle et de contrôler ainsi un monde d'illusions sans guerres ni haine.

Chapitre 6 : L’Akatsuki

Mon plan était parfait en tout point, il me fallait juste quelques puissants Shinobis afin de le réaliser, de l’amener à son terme. Pour cela je ne pouvais en aucun cas me montrer sous ma véritable identité, je devais me trouver un nouveau nom et une nouvelle histoire. Tous me croyaient mort et je devais continuer de les faire croire cela, je devais me cacher. Le premier pseudonyme qui me vint à l’esprit fut Tobi. Il représentait assez bien la personnalité que j’allais lui faire jouer. Un jeune homme excentrique, délirant et un peu attardé, voir simplet. D’autre part j’avais entendu des rumeurs sur un groupe de Shinobis qui était en train de se lever et dont le but était d’apporter la « paix » sur le monde Shinobi. Cela m’intriguait, je devais rencontrer, parler à leur chef, un certain Pain. Lors de mon voyage j’appris que leur groupuscule se faisait appeler sous le patronyme d’Akatsuki, l’organisation de la Lune Rouge. Akatsuki … cette appellation me plaisait bien et je devais la faire mienne. Selon les histoires elle était composée de sept puissants guerriers sans pitié. Entre temps je mis aussi la main sur un Artefact légendaire qui pouvait accueillir en lui tous les Bijuus, le Gedo Mazo. Cette statue de pierre aux neufs yeux avait la capacité de sceller tous les Bijuus en elle, stockant leurs immenses pouvoirs et me permettant de les utiliser quand bon me semblerait. Les jours passaient et je me rapprochais de plus en plus de ma cible, je pouvais le sentir en moi. Ame, j’y étais, j’allais enfin parler avec cet homme et essayer de le rattacher à ma cause. Mon chemin rencontre celui d’une femme aux cheveux bleus et de six hommes, tous dotés d’horribles piercings noirs. Ils étaient six mais prétendaient ne former qu’un, un Dieu. Je compris assez vite la supercherie à l’aide de mes Sharingans. Je pouvais voir les liens de chakra qui les manipulaient, ces six hommes n’étaient que des marionnettes dirigées à distance par un et un seul homme. Je demandai à lui parler en face à face, en personne et il accepta. La femme se faisait appeler Konan, elle avait le pouvoir de se changer en feuilles de papier. L’homme, lui, se faisait appelé Nagato ou Pain, comme je l’avais appris un peu auparavant. En face du vrai corps je n’eus aucun mal à le manipuler, à lui faire faire ce que je voulais. On pouvait voir dans son regard qu’il aurait cru n’importe qui prétendant pouvoir soigner ce monde. Sur un « commun » accord nous décidâmes de nous allier. Je lui laissai aussi le post de chef de l’organisation. Chef ? Non pas vraiment, en réalité, dans l’ombre, je pouvais lui faire faire absolument tout ce que je voulais, il buvait la moindre de mes paroles et je pouvais deviner bien à l’avance ce qu’il pensait ou même comptait faire. Je lui confiai la tâche de recruter de puissants Ninjas pendant que je déchiffrais l’utilisation du Gedo Mazo. Lors de mes travaux dessus je fis une surprenante découverte, créer un homme à partir du chakra des Bijuus, un homme plante appelé dans l’antiquité Zetsu. C’était une arme non négligeable, à l’aide de ce pouvoir je pourrais lever une armée de pantins que je contrôlerais à distance, d’un simple geste de la main. J’appris aussi que nous devions aussi être dix afin d’extraire les démons de leur hôte le plus rapidement possible. Notre groupe gagnait peu à peu en renommée et s’agrandissait aussi. Notre première recrue fut Kakuzu, un Ninja qui ne vit que pour l’argent, les têtes mises à prix. Il dit avoir déserté le village de Taki no Kuni, le village de la cascade. Ses pouvoirs sont surprenants. Il a la capacité d’absolument tout pouvoir recoudre ensemble. Grâce à cette technique il possède cinq cœurs distincts ! Nous lui confiâmes le travail de récolter des fonds. Il fut ravi de cette occupation et ne perdit pas de temps dans sa besogne. Le deuxième membre se présenta de lui-même à nous. Il disait que c’était son Dieu, Jashin qui l’avait poussé à nous rejoindre. Il se nommait Hidan et son pouvoir était plus qu’intéressant, l’immortalité, la vie éternelle. Bien évidemment nous l’acceptâmes sans hésitations au sein de notre groupe. Il rejoignit Kakuzu et l’aida à amasser l’argent. L’organisation stagna un petit moment avant d’arriver au village de Kiri. Un coup d’état venait juste d’avoir lieu. Sept épéistes Ninjas avaient, selon les dires, déserter leur village après avoir tenté d’assassiner leur dirigeant, le Mizukage. C’est là que survint le membre suivant de l’organisation jusqu’alors secrète. Un spécimen étrange, mi-homme, mi-requin. Il faisait partie des sept légendaires épéistes de la brume. Kisame Hoshikagi était en effet un puissant Shinobi à la force dévastatrice et qui possédait une immense réserve de chakra. Le plus impressionnant chez lui était son épée Samehada, Peau de Requin. Elle avait le pouvoir d’absorber le chakra de son adversaire et ensuite de le donner à son utilisateur, lui faisant regagner sa force. Grâce à cela Kisame se forgea le surnom du démon sans queues. Il accepta de nous rejoindre, n’ayant nulle part où aller. Notre prochain arrêt fut Konoha, ce village maudit dont je prévois la destruction future. Nous y rencontrâmes Itachi, un des derniers survivants de ma famille. Errant sans but précis il vint lui aussi se joindre à nous. Je pouvais voir que cela ne lui déplaisait pas. Ainsi il pourrait montrer aux dirigeants de Konoha qu’il était toujours là et qu’il les surveillait, protégeant ainsi son petit frère. Notre dernière escale arrivait enfin, Suna, le pays du vent. Les ambitions d’Akatsuki plaîrent à un homme, un marionnettiste. Il avait à lui seul conquis un pays et pouvait contrôler jusqu’à cent pantins simultanément. Sasori du sable rouge, le créateur de nombreux pantins plus élaborrés les uns que les autres. Bien évidemment il fut admis au sein de la troupe sans aucunes objections. La dernière personne sur la liste fut plus réticente à l’idée de venir avec nous. Deidara, un homme qui ne voit les Jutsus que par l’art. Après un combat contre Itachi, qui ne dura pas plus de quelques secondes, il changea d’avis. Je ne compris et n’ai toujours pas compris la raison de ce brusque changement d’opinion mais nous le prîmes avec nous. Akatsuki était presque au complet. Nous étions huit, moi exclu, continuant mes recherches. Pendant un certain temps nous restâmes discrets, tapis dans l’ombre afin ne pas éveiller les soupçons sur nous. Mais ce temps était révolu, il était temps de nous faire connaître après ces longues années de préparation minutieuse. Des guerres réapparaissaient à travers le monde, des nobles se battaient à nouveau pour des raisons quelconques, stupides et c’est à ce moment précis que la Lune Rouge commença à devenir célèbre, à se faire une place parmi les grands. D’abord des petits pays nous sollicitèrent dans le but de mettre fin à des batailles interminables et ensuite se furent de pays bien plus imposants. Lors d’une de ces batailles un Shinobi renégat de Konoha vint soudainement se présenter pour faire partie du groupe. Nous l’acceptâmes mais je décidai de garder un œil sur lui. Je venais tout juste de créer le premier Zetsu et décidai de le mettra aux cotés de cet infâme Orochimaru, célèbre Ninja du trio légendaire. Le temps passa, notre nom gagnait en réputation et Orochimaru, comme je m’en doutais, essaya de mettre la main sur les yeux d’Itachi. Ce dernier n’eut aucun mal à balayer le serpent qui déserta l’association. Nous étions neuf, il était temps de nous lancer dans mon véritable objectif, la capture des Bijuus !

Nindô :
Je veux apporter la paix éternelle sur le monde. Enfin ce n’est là qu’un bref résumé de mon nindô qui se trouve bien plus compliqué dans la réalité. Le plan « L’oeil de la Lune », c’est ainsi que je l’ai baptisé. Mon but est de rassembler les neuf bijus pour recréer un monstre ancestral appelé Jûbi. En devenant l'hôte de ce monstre, je pourrai projeter mon sharingan sur la Lune afin de créer une illusion d'une puissance incommensurable appelée « Tsukuyomi infini ». Ce genjutsu me permettra de tenir tous les êtres humains sous ma tutelle et de contrôler ainsi un monde d'illusions sans guerres ni haine.



MOI


Questions à répondre qui prouve que vous avez lu le règlement* :

- Quelle est la différence entre le grade et le rang en puissance d'un membre ?
Les grades ne constituent plus la puissance d'un joueur. Un Genin de Puissance B sera plus fort Chunin de Puissa


Dernière édition par Uchiwa Madara le Dim 27 Fév 2011 - 9:18, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeSam 26 Fév 2011 - 21:18

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La vérité sur moi et mon histoire Left_bar_bleue1133/2000La vérité sur moi et mon histoire Empty_bar_bleue  (1133/2000)
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MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeSam 26 Fév 2011 - 21:44

Bienvenue, Madara Uchiha ! Bonne chance dans la rédaction de ton histoire ! =)
InvitéInvité
MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeDim 27 Fév 2011 - 9:19

Voilà, présentation terminée.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeDim 27 Fév 2011 - 10:22

Tout d'abord Bienvenue sur Nnr Bravo

Quasiment pas de fautes, récit bien argumenté et vraiment long...

Tu sembles n'avoir aucun problèmes pour incarner ce personnage.

J'attends un autre avis pour la validation.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeDim 27 Fév 2011 - 10:38

Pour moi c'est bon.

Voici ton test : Racontes nous pourquoi et comment tu as donné le Rinnegan à Pein Rikudô, quels étaient tes objectifs ?
InvitéInvité
MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeDim 27 Fév 2011 - 17:51

~ La défaite et le renouveau ~

Mon propre clan m’avait trahi, ils avaient osé douter de moi et c’est ce qui allait leur couter leur perte. Sans moi, sans mon frère ils ne pouvaient rien, non rien ... Le clan Senju allait les exploiter, leur donner des rôles fictifs qui leur servirait seulement à mieux les manipuler. Les Uchiwas ne pouvaient êtres réduits à cela, ils étaient bien plus, ils faisaient partie de l’élite des Shinobis de parts le monde. Tout cela je le devais à une seule et unique personne, Hashimara Senju, le leader de cette famille. Je fis de la destruction de ce clan mon objectif prioritaire. Dans mon excès de rage, de frustration, j’allai défier Hashimara. Cependant ma solitude me fit perdre ce combat. Même les membres de ma famille ne me soutinrent pas lors de ce combat. Les seuls mots dont j’eus droits furent fous à lier ou encore monstre. Renier de tous, prétendant que je salissais leur nom je fus contraint de simuler ma mort, de me cacher et de me faire oublier. J’allai même jusqu’à changer d’identité afin de retrouver mes forces et ne pas être pourchassé. Cette période me fut en quelque sorte bénéfique, je fis atteindre de nouveaux horizons à mes pupilles déjà légendaires, je les faisais échoir à la puissance des yeux du Rikudo Sennin. Les légendes parlaient d’un autre iris qui constituait sa vue, le Rinnegan. Mais, ce n’était pas tout. Elles parlaient aussi d’un artefact, d’une stèle dissimulée de tous et capable de contenir la puissance de tous les Bijus réunis. Durant ces recherches j’appris de nouvelles techniques plus étonnantes les unes que les autres tout en gardant un œil sur Konoha, les Senjus et les Uchiwas … Je pouvais sentir le mécontentement de certains, les frictions qui débutaient à apparaitre sur la question du gouvernement. Certains commençaient même à marmonner mon nom en temps que héro de notre clan. Mais, … tout cela je le savais depuis déjà longtemps, je savais que cela ne pouvait finir que dans un bain de sang ou seule une famille survivrait. Un plan prenait forme dans mon esprit, visant à redonner leur chance aux déchus Uchiwas. La base de celui-ci était bien évidemment un Biju, Kyubi plus précisément. La femme de Minato Namikaze, Kushina était en ceinte et se serait lors de son accouchement que je devrais frapper, déverser toute ma haine sur ce pays et le faire bruler de toutes parts. En effet, à cette époque s’était une femme qui protégeait de tous Kyubi. Dans mes recherches sur le Roi des Bijus j’avais en effet appris que c’était lors d’un accouchement que le sceau était le plus faible, vulnérable. C’était à ce moment précis et à aucun autre que je devais lancer mon offensive et prendre le contrôle du mythique renard aux neuf queues. Mes Sharingans étaient prêt, je les avais entrainés dans le contrôle de ces créatures légendaires. Plus les jours avançaient plus je pouvais sentir le chakkra du démon filtrer de par le sceau. Il était temps, temps pour moi de réapparaître au grand jour et de me refaire une place dans le monde des vivants pour quitter celui des fantômes des temps passés. J’avais prit pour base une petite maison dans les dernières limites du village de Konoha, reclus de tous. Malgré le plus grand mystère laissé autour de la date de l’accouchement, mes sens et mes Sharingans pouvaient voir celle-ci s’approcher tant le sceau s’affaiblissait au cours des heures. Enfin je ressentis le signe révélateur de l’accouchement, ce mur de protection dressé autour de Kushina. Je laissai encore une minute ou deux et enfin il était temps que je fasse mon entrée. Tous furent déboussolé par mon appariation ce qui me permit non sans mal de m’emparer du démon et de plonger le roi de Bijus dans une illusion crée de toute pièce par mes pupilles. Au même moment où je le sentis sous mon emprise, je disparus comme j’étais apparu, laissant les occupants de l’endroit étourdis. Je ressorti de ma dimension parallèle en plein centre de Konoha et invoquai le monstre. Ce Kuchyose me demanda pas mal d’énergie mais je pouvais maintenant l’admirer. Lui et tout son chakkra chargé de haine ne mit pas longtemps avant de détruire les premières habitations puis rues et enfin quartiers du village. Nul au sein du village ne semblait pouvoir rivaliser avec la créature mythique. Tapis dans mon coin je pouvais admirer de loin le chaos régnant, mon chaos. Les Shinobis tombaient tels de vulgaires mouches balayées par une brise un peu trop forte pour leurs chétives ailes. Quel spectacle jubilatoire, plus il en était balayé plus il en arrivait, se faisant à leur tour souffler par un ouragan trop puissant pour elles. Alors que je me prélassais du spectacle, une aura étrangère vint interférer entre moi et le dit démon. Ensuit, plus rien, la connexion avait été rompue ainsi que mon emprise. Plongé dans mes pensées pour essayer de comprendre le comment du pourquoi à propos de ce qu’il se passait, Minato apparu devant moi, se téléportant à l’aide de sa célèbre technique ayant fait sa renommée. Il s’adressa à moi avec cet air de satisfaction, de supériorité que je déteste tant dans la famille des Senjus. Il prétendait avoir libéré le renard de mon Dojutsu, ce dont je ne doutai aucune seconde. Seul lui au sein de cette communauté appelée Konoha aurait été capable de réaliser un tel exploit. Une lutte incroyable débuta. Elle n’était pas basée sur la force, le répertoire de technique ou encore la quantité de chakkra mais bien sur la vitesse pure. Sur notre capacité à prévoir les attaques ennemies et à les éviter, les anticiper avant même qu’elles n’aient lieu. A ce petit jeu il m’impressionnait, sa capacité d’analyse, son don pour prédire les mouvements ennemis, tout cela faisait de lui un Ninja exceptionnel. Cependant, grâce à mes Sharingans, je n’avais moi non plus aucun mal à devancer ces faits et gestes. Le temps passait et petit à petit ce combat se changea en lutte d’endurance et là, … là j’étais clairement désavantagé. L’invocation de Kyubi avait drainé une bonne partie de mes forces et je m’en retrouvais plus qu’affaibli. Je m’en sentais ralenti, mes membres me paraissaient plus lourd qu’à leur habitude, plus incertains, moins précis. C’est à cause de l’accumulation tous ces troubles que je perdis l’affrontement. Blessé physiquement et mentalement par cet échec je fus contraint de me retirer et d’assister, impuissant, à la tournure des évènements. J’avais donné leur chance aux Uchiwas de se rebeller mais, à ma plus grande déception, aucun ne tenta quoique ce soit. Je ne tenais plus en place, je voulais les tuer, tous, sans exceptions. J’étais faible, trop faible, je devais progresser et quérir de nouveaux pouvoirs. Finalement rien ne se déroula comme je l’avais prévu. Kyubi fut repoussé aux frontières du village afin de préserver ce dernier. Mais mon cauchemar ne s’arrêta pas là. Il fut aussi scellé dans un nouveau corps. Pas exactement en réalité. Il fut enfermé dans deux corps, le premier n’était autre que Minato lui-même et l’autre celui d’un nourrisson, le fils de Namikaze ! Je m’en allai frustré, ma revanche arrachée de mes mains. Certes j’avais réduit une bonne partie du village en cendres mais les Uchiwas étaient restés dociles à cet appel lancé, ils étaient tels de vulgaires chiens dressés gardant un territoire et se faisant appeler « Police ». Je ne pouvais compter sur personne d’autre mis à part moi-même et mes compétences. Toutefois celles-ci étaient encore trop fragiles, je me devais de les faire encore évoluer afin d’atteindre un nouveau stade et de dépasser le Rikudo Sennin. Cette défaite ne me rendrait que plus fort, déterminé à vaincre et à progresser. Mon potentiel était, à mes yeux, infini, ne demandant qu’une chose, être éveillé ! Pour ce faire il me manquait deux choses essentielles ; les Rinnegans et le Gedo Mazo !


~ Un tout nouveau pouvoir ~


Le Rinnegan, cette pupille dont la légende n’est plus à faire. Tout Shinobi qui se respecte la connait et la convoite. Selon cette dernière, six pouvoirs constitueraient cet œil en plus de sa capacité à voir à travers les yeux de ses autres possesseurs. Tout d’abord la gravité, suivie par le contrôle par le chakkra de corps, la lecture de pensée, l’invocation, l’absorption d’énergie et enfin le Roi des Enfers, capable de ramener les morts de son royaume. Ce sont tous ces pouvoirs dévastateurs réunis en une entité qui ont fait naître la renommée de cet œil fantastique qui sera bientôt mien. Mais ce n’était pas la seule chose sur ma liste, le Gedo Mazo en faisait aussi partie. Sans cette relique des temps anciens capable d’enfermer en un seul et unique endroit, corps toute la puissance des neuf Bijus, jamais mon plan ne pourrait arriver à son terme. Le seul coup de l’utilisation de la statue était la perte de la vie du Jinchuriki mais cela ne me dérangeait absolument pas, tout ce qui m’intéressait était le pouvoir des démons qu’ils enfermaient en eux. Tout ce que j’avais appris sur ces deux mythes du passé du monde Ninja tournait en rond dans ma tête, me hantaient chaque heure, minute, instant ... Avec ces nouvelles armes, capacités la question n’aurait plus été de ce que j’aurais pu faire mais plutôt ce que je n’aurais pas pu faire … J’avais appris que les deux biens avaient été enfuis ensemble, dans un endroit inaccessible de tous. Un lieu auquel aucun chemin, sentier ne menait, un lieu présent tout en étant invisible de tous. Tant de mystères restaient mais je ne disposais pas d’assez de temps, le temps est toujours la chose, le chainon manquant. Les jours passèrent, puis les semaines et enfin les mois. Cela devait faire approximativement une année entière que je fouillais la planète dans chaque recoint, de long en large pour récolter un maximum d’indices, de pistes. Et, tous ces efforts n’auront pas été vain … Enfin, enfin je me tenais devant une montagne, une montagne que tout indiquait comme être la source et la solution de mes problèmes. Ce que je cherchais devait se trouver là, quelque part enfui, il n’y avait pas d’erreur possible. La question qui persistait était où regarder, où chercher, où poser mes yeux ! Enfin je compris la solution. Un lieu invisible mais présent, qui est là sans que l’on ne le sache. Sous la montagne ! Bien évidemment tout le monde aurait songé à chercher dans la montagne mais jamais sous cette dernière. Je n’eus même pas à creuser, à l’aide de mes Sharingans j’envoyai un partie du sol dans une autre dimension m’ouvrait ainsi un chemin d’accès direct. Bien évidemment il me fallut plusieurs tentatives avant d’enfin tomber sur ce que je cherchais, une ancienne galerie creusée, s’enfonçant dans les ténèbres des entrailles de la terre. Plus je m’avançais plus la l’air se raréfiait, se refroidissant. Le noir épais envahissait les couloirs étroits qui eux-mêmes rétrécissaient. Et alors, tel un plongeons dans l’océan, tout s’éclaircit. Une salle immense s’ouvrit à moi dont j’arrivai à peine à distinguer le plafond. En son centre, les objets tant convoités, la relique aux neuf yeux bandés par un morceau de tissu et un bocal, un bocal renfermant deux yeux flottant dans une étrange substance. Des pupilles normales, non loin de là. Tout ce qui me manquait était maintenant à ma disposition, plus rien, absolument rien ne pouvait venir entraver ma victoire prochaine. Seulement, un choix se dressait devant moi. Je ne pouvais, seul, à la fois continuer d’entraîner mes Sharingans, éveiller les Rinnegans et apprendre la manipulation du Gedo Mazo. Je devais au moins confier une de ces tâches à quelqu’un d’autre, quelqu’un de talentueux. Mon choix se tourna vers les Rinnegans. J’étais déjà bien trop occupé par l’évolution de mes propres iris que pour en découvrir d’autres. Je devais les donner à quelqu’un, à son insu bien entendu pour lorsqu’ils seraient mûrs venir les rechercher, déjà éveillés et prêt à l’utilisation, à mon utilisation. Je passai donc les six mois suivants à observer différents jeunes Shinobis tout en continuant mes expérimentations sur la relique. Jusqu’à ce que, enfin, mon attention s’arrêta sur un tout jeune garçon. Il avait tout perdu, père, mère, famille, amis. La solitude, un de ces maux qui pousse les personnes à progresser, il ne pouvait que l’avoir trop bien connu. De plus une étrange aura se rependait autour de lui, berçant les personnes le croisant. Une aura montrant son potentiel caché, son envie de protéger toute vie existante. C’était décidé, ce serait lui qui porterait ma future vision. J’allais faire de lui un homme de renom, un homme craint et respecté de la société. C’est ainsi qu’un soir je le plongeai dans une de mes illusions et lui greffai ces fantastiques pupilles. Les dés étaient lancés, je lui avais offert sa chance, sa chance de se faire une place dans ce monde corrompu. Il était désormais seul maître de son destin, … tant que je le voudrai bien …
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MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeMer 2 Mar 2011 - 20:00

Voilà, test RP terminé. Peut-être un peu court mais je pense que la qualité y est Razz
Vijay Jagdish
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MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeMer 2 Mar 2011 - 21:50

Pour un tel test qui permettait de traiter plusieurs voies possible, ton test RP est plutôt .. superficiel ?
Je reste sceptique parce que ce n'est pas n'importe quel personnage hein .. Je me rangerai du même avis qui va être posté par un de mes collègue du staff.
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MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeJeu 3 Mar 2011 - 6:12

Si ce n'est que la longueur qui vous dérange je peux bien évidemment ajouter un chapitre ...
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MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeJeu 3 Mar 2011 - 10:42

Pour moi c'est bon mais je vais te donner une période d'essais avec le personnage qui va durée 15 jours. Nous verrons ensuite si tu es aptes à jouer ce personnage. Ne nous déçois pas.

J’hésite par contre pour le rang. On le met rang A pour sa présentation ou rang S pour le perso. Attend un dernier avis.
Kaitaro Nagi
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MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeJeu 3 Mar 2011 - 11:48

Je serais d'avis de le mettre S pour le personnage histoire d'être un peu plus réaliste et qu'il ait le plus de pouvoir du Madara du manga et si il ne convient pas pour ce rôle alors on avisera. Vous êtes d'accord ?
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MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeJeu 3 Mar 2011 - 13:08

Bien donc validé rang S pendant une période d'essais de 15 jours.
Hunk Moroshi
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MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitimeSam 24 Sep 2011 - 14:01

Bonjour/Bonsoir.

|- Direction corbeille.

Hunk.
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MessageSujet: Re: La vérité sur moi et mon histoire La vérité sur moi et mon histoire Icon_minitime


La vérité sur moi et mon histoire

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