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Rencontre précipitée [Pv Akari Hasegawa]

InvitéInvité
MessageSujet: Rencontre précipitée [Pv Akari Hasegawa] Rencontre précipitée [Pv Akari Hasegawa] Icon_minitimeDim 3 Juil 2011 - 18:02

Le monde est étrange, il est si fascinant de voir comment il décide de changer, d’évoluer, de grandir et de se transformer en quelque chose de plus beau, de plus pur et délicat, ou au contraire de devenir plus laid et sombre qu’auparavant, tendant à rendre la vie encore plus difficile qu’elle ne l’était auparavant. Peut être est-ce simplement les fluctuations du temps qui agissent ainsi de façon plus ou moins périodique, ou les aléas des caprices de ces faux dieux qui rêvent de tout en noir et blanc, cristallisant leur miséricordieuse vie d’ennui sur ce monde afin d’en profiter et de se repaître de ses aventures, déchéances et gloires, ou tout simplement la résultante des mœurs et actions de nous autres humains qui tendons ainsi à modifier tout dans sa globalité, notre vie empiétant sur celles de choses plus petites ou plus grande que nous. Ainsi le monde évolue, mais ne semble tendre qu’à créer de nouvelles formes de ténèbres qui sont les reflets des maux qui gangrènent notre monde dans sa grande totalité, une ère d’ombres et de mal qui est le résultat d’une folie humaine et divine qui n’a de limites que celles de l’infini. Les hommes sont probablement dans toute la folie de leur espèce les créatures les plus sombres et folles qui ternissent la beauté de cette planète, j’en suis certes un, mais je me savais sublimé et capable de chasser le mal qui ternit le nom de mon espèce de mon propre être de façon à ne plus être le pantin crédule de créatures stupides et égoïstes qui ne trouvent de raisons d’être que dans les chimères de notre inconscient et de nos légendes les plus primitives. Dans sa tentative de résoudre les problèmes les plus sombres de son espèce, l’homme a tenté de vivre en communauté, mais nulle communauté n’est hélas capable de vivre d’une seule voie, ce qui obligent celle-ci à mener l’un des leurs au sommet d’une hiérarchie crée afin de servir seulement les intérêts d’une masse stupide et faible, un chef devant alors se dresser en supérieur face aux autres communautés, ce qui n’a pour conséquence que de tisser les liens de la guerre et de la destruction, mais ce sont des choses inévitables car la nature humain ainsi est faite, et rien ne pourra vraiment la changer, sauf l’union d’un seul étendard au dessus de toutes formes de vie. Lorsqu’une communauté y trouve un intérêt, elle reste toutefois capable de placer son égoïsme et son instinct de bataille derrière lui pour laisser ressurgir l’instinct d’intérêt et d’ainsi s’allier à d’autres groupes, formant des alliances visant à devenir des assemblées plus écrasantes que celles des autres, c’est ainsi que sont nées les pays, les continents, le monde.

C’est ainsi qu’afin de former ce qu’on appelle l’espoir de survit, la lumière ombrageuse qui permet de s’unifier et de combattre de façon plus directe et plus puissante l’adversité, l’homme a été conduit à devoir s’allier aux autres, et ce qui est applicable au cas humain l’est tout autant au cas des sociétés, et des villages ninjas qui tissent alliance et les défont aussi rapidement que le vent balayant le désert de Suna. Comme tout dirigeant de village, je savais que ces incessants mouvements politiques qui peuvent aussi bien mener à une paix durable ou à des guerres sans fin étaient nécessaires car permettaient la création, la naissance de liens qui seraient peut être apte à devenir la toile d’argent indestructible du lendemain qui pourrait créer et lier entre eux les destins du monde pour ne plus les précipiter dans les abimes des tragédies humaines. Comme tout les kage, mon prédécesseur avait du trouver intéressant de nouer des liens entre nations, la sienne, celle de Kumo le village caché de la foudre, avec l’ancien mizukage du village caché de la brume, un certain Vijay qui d’après les rumeurs que j’avais pu récolter sur lui n’avait été qu’un dirigeant sans éclat, plus attiré par l’amour de la beauté féminine que le respect de son poste et du travail qui allait avec, en somme un incapable. Le pacte qui avait été fait entre Kumo et Kiri ainsi n’avait été officialisé qu’entre les anciens dirigeants des deux nations, les deux déchets en quelque somme, l’un étant mort, l’autre ayant étrangement disparu. Il existait bien des hommes différents en ce monde, et il était écœurant de voir que des irresponsables finissaient par arriver au sommet avant de lâchement abandonner leurs obligations après les avoir négligés. Face à cette situation qui pour certains pourrait s’avérer amusante, il se jouait là la notion de sécurité et d’avenir du village dont j’étais à présent responsable, une nouvelle mizukage avait été nommé à la place du vermisseau qui avait détalé, et j’étais moi-même un nouveau kage qui avait purgé dans le sang et le chaos la décadence de l’ancien régime. Nous étions ainsi deux nouveaux dirigeants, et ce n’était pas forcément chose simple de savoir si le pacte qui avait été signé entre les deux imbéciles du passé serait obligatoirement reconduit, car nous étions deux personnes différentes, avec des projets et visions du monde peut être trop éloignées l’une de l’autre pour qu’une véritable entente puisse se créer entre nos deux nations. Je ne connaissais rien des mœurs de Kiri, et je me savais peut être même comme étant probablement classé comme ennemi de la nation de la brume sanglante, ayant autrefois participé à une bataille dans ce village durant laquelle j’avais éliminé le second, la deuxième tête de groupe de l’administration de Kiri, un homme qui avait déserté l’akatsuki pour rejoindre les rangs de Kiri, et que j’avais été payé pour l’éliminer lors de la bataille, m’entraînant probablement au passage les foudres de la nation elle-même, et de cette petite demoiselle que j’avais rencontré et qui s’était avérée être la fiancée de ce rebus. Toutefois je ne pouvais à présent critiquer sa conduite, étant moi-même en dehors de l’organisation à présent, gardant officieusement une place de membre dans leur groupe, mais je me rendais compte qu’au final, pour le bien de ce village il faudrait tôt ou tard couper définitivement les liens avec eux, pour le bien de la nation, et de moi-même.

Mais à l’heure actuelle, il n’était guère temps de se préoccuper de ma position actuelle entre mes nouveaux de devoirs de dirigeants de Kumo dont je prenais petit à petit conscience de l’ampleur et de ma position vis-à-vis de l’akatsuki, mais plutôt des devoirs qui justement m’attendaient. En tant que kage, je devais me rendre à Kiri afin de ratifier et faire perdurer cette entente entre nos deux nations que les deux idiots du passé avaient signées entre eux autrefois, et qui pourrait cette fois déboucher sur une relation plus sérieuse et véritable, du moins je l’espérais. Cela faisait plusieurs heures que je patientais dans mon bureau, prêt à partir pour rejoindre par la voie des océans le village caché de la brume, mais avant de partir il me fallait recevoir l’aval du conseil du village afin qu’ils puissent être sur que ma sécurité soit assuré le long du voyage en bateau qui devait attendre dans les quais à quelques dizaines de minutes de voyage rapide, et surtout que le village ne risquait rien en mon absence. Ils étaient pénible de jouer la surprotection avec moi, par crainte sûrement de voir les renégats tenter de m’attaquer durant mon voyage, ou essayer de faire eux aussi un coup d’état durant mon absence. Je les avais déjà assez mis en garde sur ce sujet, je ne craignais rien de la part de ces faiblards qui avaient fuit comme des lâches plutôt que de défendre leurs idéaux jusqu’à la mort, quitte à devoir y perdre la vie face à moi-même… Ils avaient certes défendus leur village, ce qui était honorable, mais avaient abandonnés ce qui était juste à leurs yeux en évitant de me défier, une belle bande de lâches que j’aurais tôt fait d’humilier et massacrer si ils essayaient de venir à moi, et pour la sécurité du village, mon ami et seigneur d’invocation, Kuroshi roi des bêtes démoniaques était une défense assez imposante à lui tout seul, et appuyé par les ninjas d’élites de la nation de Kumo, ces nukenins idiots auraient tôt fait de trouver leur tombeau en ce village. Je continuais toutefois à sentir une pointe de culpabilité en moi vis-à-vis d’eux, d’avoir détruit leur utopie, même si c’était pour créer une nouvelle utopie plus grande encore que la leur, je n’aimais guère être le créateur des tragédies qui parcourent ce monde, préférant les éviter, ou n’y participer que si cela est purement nécessaire… Toutefois ce sentiment s’amenuisait peu à peu face à la sécurité militaire que j’avais instaurée dans le village, et le fait que le peuple semblait avoir retrouvé un train de vie paisible et chaleureux, une vie qui leur plaisait en somme. C’était une bonne chose de faite.

Un bruit se fit entendre à la porte, un jeune ninja portant le masque de l’anbu pénétra en s’inclinant légèrement avant de me tendre un rouleau de parchemin jaunit sur lequel le sceau du conseil était présent, fermant et créant la clause de confidentialité de ce message. Décrochant le sceau avec un petit kunai posé sur mon bureau, je lisais ensuite le message qui contenait l’aval du conseil pour ce voyage, celui-ci jugeant enfin que toutes les conditions de sécurité pour ma personne et celle du village étaient réunies. Il était enfin temps de partir, nul besoin de s’attarder plus que nécessaire, mon invocation était déjà en train d’accomplir le devoir que je lui avais demandé, surveiller Kumo tout le temps de mon absence, et la seconde créature invoquée bien que peu puissante allait me servir d’escorte, ce qui était à mes yeux suffisant. Je sortis dès lors de mon bureau, sans un mot, sans un souffle pour personne, me réfugiant dans le confort de mon éternelle solitude, la prison de glace qui me servait de protection contre les futilités du cœur humain que je jugeais des plus stupides et entravant pour la mission que je m’étais fixé, le but de tout une vie, le but de mon existence. Il était normal qu’un être comme moi finisse par évoluer dans un chemin qui n’était que celui de la solitude, affrontant seul son destin, celui d’abattre les faux dieux de ce monde, gardant un masque de fausse humanité sur mon visage afin de ne pas détruire le lien que je dois garder avec le peuple bassement mortel et ignare de ma condition. Ignorant complètement les ninjas qui me dévisageaient sur mon passage dans la tour, je rejoignis les quartiers de la ville où mon invocation, Chalis me rejoignit sans un mot. Pressé d’en terminer avec cette saugrenue mission, je pressais le pas sans m’attarder face aux salutations des villageois, ou leur répondant vaguement, je n’avais guère de temps à perdre en futilités pareils, cette mission devait rapidement être menée à terme, sous peine de voir peut être surgir des conséquences bien trop pénible à supporter qui n’entraineraient qu’une dispute profonde entre Kiri et Kumo, c’est ainsi que je voyais les choses… Une fois arrivé aux portes, une délégation de ninjas qui m’avaient été assignés comme escorte jusqu’au navire attendait de pied ferme ma venue, et j’eu grand mal à me retenir d’exploser de rire devant leur tenue, ils étaient plus armés encore que des ninjas de l’akatsuki ou les samouraïs, l’un d’eux semblait même peiner à tenir debout sous le poids de l’attirail qu’il portait sur son dos, à savoir plusieurs énormes sac à dos et des épées attachées ensemble à sa taille. Ils semblaient être prêts à partir pour une rude bataille, voir la guerre elle même, alors qu’ils ne faisaient que m’escorter sur quelques kilomètres pour rejoindre les quais les plus proches, ce qui était somme toute franchement ridicule… Je commençais à en avoir assez de la surprotection que faisait le conseil sur ma personne, par crainte de revoir surgir les déserteurs de notre village pour venger leur larve d’ancien kage. Je soupirais bruyamment en les voyants tous assis par terre à attendre mon arrivée à côté le poste de garde, les deux ninjas chargés de la surveillance dévisageant le groupe qui attendait patiemment avec curiosité et un brin de moquerie. Il était presque normal de les voir refreiner un fou rire devant le ridicule de loa situation, et si je n’avais pas été moi-même dans une sourde colère pour cette exagération honteuse et inutile de la part de ce foutu conseil, j’aurais surement rit à vive voix en voyant des hommes qui semblaient s’être transformé en armes vivantes, et qui allaient de part cet état de fait être plus encombrants qu’autre chose en cas d’embuscades ou de combats. Me voyant, celui qui semblait être le chef de la troupe, un petit gros dont le visage était dissimulé derrière un masque qui lui sied à merveille, celui d’un cochon, me demanda de le suivre et de rester dans le cercle confiné qui formerait l’escorte provisoire qui m’avait été dépêché. Après quelques minutes de discussions durant lesquels je cherchais à réduire un minimum la surprotection dont je faisais l’objet, ce qui fut hélas vain, nous pûmes enfin partir, coupant à travers bois vers le village retiré de Kern où se trouvait le navire de guerre qui devait me mener vers un quai secret de Kiri où d’après la réponse que j’avais reçu de la Mizukage, une escorte m’attendrait, encore. Après une longue heure de course, je pus enfin me séparer de ces clowns de guerre et embarquer.

Le voyage en lui-même fut plutôt rapide, et particulièrement apaisant, car il n’y avait rien de plus stimulant pour l’esprit que le remoud inconsolable des vagues d’un océan d’apparence calme mais dont les profondeurs étaient plus tourmentés encore que l’âme d’un dieu déchu, car elles offraient le son et la musique qui permettait à la conscience de vagabonder dans un univers qui semblait inconnu et pourtant si beau et poétique. L’océan est la scène qui regroupe tout les fantasmes de notre espèce, ainsi que toutes nos peurs les plus primaires, car un monde aussi incroyable inconnu que celui-ci, offrant la chaleur et la délicatesse d’une eau azurée le jour, mais d’une étendue noire et effrayante au crépuscule, ne pouvait être que la porte vers un univers où se trouvaient tous les mythes de notre conscience. Ainsi j’avais passé le plus clair de mon temps lors de cette traversée sans accroches particulières, à scruter l’horizon, admirant ce monde maritime qui s’offrait à mes yeux, et me faisant voir encore à quel point je devais grandir et évoluer pour pouvoir me dresser en égal face à des choses aussi simple mais incroyable qui nous étaient offertes par la reine monde elle-même. Ainsi après plusieurs jours de voyage, nous arrivions finalement au pays de la brume où après une longue traversée seulement troublée par mes pensées se perdant dans l’infinité bleue, dans les remouds d’un monde inconnu et poétique où l’inconnu rime avec la beauté de la nature dans sa forme la plus délicate, le berceau de la vie, je fus accueillit par une troupe d’une dizaine d’anbu lourdement armées eux aussi… Toutefois ils semblaient eux bien moins ridicule que l’escorte que j’avais eue à Kumo et ressemblaient plus à des humains qu’à des montagnes d’armements inutiles. Bizarrement le chef du groupe me proposa de le suivre dans une formation identique à celle que l’escorte de Kumo m’avait fait prendre, et je dus réprimer un rire profond. Une fois les présentations faites, Chalis et moi fûmes encerclés par les anbus de Kiri qui nous amenèrent aussi rapidement que possible vers le village. Une telle hâte était étrange, aussi je fus étonné lorsque je reçus comme réponse après avoir demandé la raison d’une telle hâte, que le village était en crise et qu’ils devaient retourner vite au village pour en assurer la sécurité. Il semblait s’être passé quelque chose qui d’après les apparences devait être d’une rare gravité, mais j’en saurais sûrement plus une fois sur place. De part la cadence de déplacement, nous arrivâmes aux portes du village plus vite que je ne l’avais initialement prévu, et ce fut avec une légère surprise que je vis derrières les épais rideaux de brume des troupes de ninjas s’affairer bruyamment et avec précipitation à diverses tâches qui ne semblaient guères bonnes… La curiosité de savoir le pourquoi du comment d’un tel remue ménage m’intéressais, mais je préférais attendre la venue de la Mizukage avant de m’y intéresser. Le chef du groupe me demande de patienter aux portes en attendant l’arrivée de la dirigeante qu’il allait s’empresser d’aller prévenir de mon arrivée. Epuisée d’une telle course, je m’asseyais sur un rocher, observant attentivement les alentours en attendant le moment de la rencontre, passant une main sur ma tête pour remettre en place la toque étrange qui était le symbole de mon rang, celui de Raikage.
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MessageSujet: Re: Rencontre précipitée [Pv Akari Hasegawa] Rencontre précipitée [Pv Akari Hasegawa] Icon_minitimeLun 11 Juil 2011 - 21:06

Un allié de poids...
...


Rien n'était plus très calme depuis la déclaration de guerre officielle faite devant tous les membres de ce village. Mais ce n'était pas encore l'heure de la bataille. Entourés par mes meilleurs stratèges, j'étais en train de chercher de monter quelque chose d'efficace contre le village caché de la feuille dont l'hokage avait fait un peu ce qu'il voulait. Cela ne doit pas rester impuni... Bien loin de là. Et c'est pour cette raison que j'avais mis l'ensemble du village en alerte maximale. Comment cela avait pu finir de la sorte ? Même pour moi, cela est aller beaucoup trop vite et la dernière lettre qu'il m'a fait parvenir m'avait laisser perplexe. Cependant, je ne devais pas me laisser perturber par ça et m'en tenir. Je n'ai qu'une seule parole. Réunis dans mon bureau, nous étions tous assis autour de ce bureau si petit mais si grand en même temps... La pièce était assez éclairée par la lumière du jour et l'extérieur manifestait sa menace grandissante qu'elle risque de libérer bien assez tôt. Mais nous étions tous à l'abri de la colère divine de la déesse du ciel et de la pluie. Après tout, celle-ci ne nous fait plus du tout peur car nous sommes habituée à vivre dans la pluie et le brouillard et jamais, nous nous en sommes plaints. Au contraire, nous sommes toujours fiers de recevoir les larmes divines des dieux qui ne cessent jamais de nous transmettre leur volonté en nous accordant l'eau pour survivre. Nous débattions de vive voix mais de manière joyeuse et pour la première fois, je voyais la détente et la gaieté dans cette salle sans crainte d'une attaque vis à vis de moi. Bien que cela me soulage de voir ça, je n'avais pas le cœur à rire. Celui-ci était meurtri par une décision que j'ai peut-être prise trop vite... Mais je savais que je ne pouvais pas retourner en arrière...

Les laissant discuter entre eux, je lève les yeux vers la fenêtre et je me laisse vagabonder vers mes souvenirs aussi bien éloignés que proche... J'avais grandi parmi le village caché de la feuille et je devais beaucoup à ce village. Pourquoi ai-je voulu cette guerre ? Pour la fierté d'un village que je connais à peine ? Je devais être manipuler, je ne vois pas d'autres solutions... Tous ses souvenirs me rende mélancolique et je soupire tout en fermant les yeux. Bien que je suis attachée à ce village, je vais devoir prendre les dispositions qui en découlent. J'ai pris une décision alors autant m'y tenir... Je ne peux plus faire marche arrière maintenant. C'est alors qu'un décrochement se fait entendre et tout le monde cesse de parler. Mais comme j'étais dans la lune, je n'avais rien entendu. Tous les regards se tournants vers moi, je mis pas moins de plusieurs dizaines de secondes pour réaliser que plus aucune parole ne sortaient de la bouche de mes collègues ninja. Arquant un sourcil, je les regarde les uns après les autres avant d'entendre une nouvelle fois quelqu'un frapper. Me levant de mon siège, j'autorise la personne à entrer d'une voix suffisamment forte afin qu'on m'entende. Posant mes yeux sur la porte, je vis la poignet tourner et un ninja entrer. Celui-ci fait usage de la courbette habituelle et je fais rapidement le signe de se lever. Il était un ninja et ce n'était pas vraiment le moment. Posant mes yeux bleus océans sur lui, il m'annonce l'arrivée du Raikage... Ahhhhhhhhhh ? Et bien, il était temps... Cela fait un moment que je l'attendais. Malheureusement, il arrive au très mauvais moment. Enfin, ce n'est pas grave. Je ne vais pas le faire attendre trop longtemps. Faisant signe à mes collègues de s'éclipser, je laisse le chapeau de Mizukage sur le bureau avant de disparaître à mon tour.

Quittant le palais impérial ,qui est le bâtiment le plus grand, je prends la route vers les portes. Le voyage est de courte durée. Il doit y avoir sept cent voir huit cent mètres maximum entre le lieu où je passe les trois quart de mon temps et les portes... Cela va être vite fait. Mais le comble, c'est que les Dieux ont choisi pile ce moment pour déverser sur nous toute leur tristesse et leur honte de la race humaine. Mais pour moi, cela n'a jamais été et ne sera jamais un probléme. Mais ce temps ne peut pas plaire à tout le monde. Habillée à l'habituel, je marche le long de la route en saluant les personnes que je croise en route. Et ils sont assez nombreux vu que j'ai renforcée les tours de gardes. Et pour cause... L'alerte du village est à son maximum. Une fois aux portes, on n'indique de loin où se trouve le Raikage et je fais signe d'ouvrir les portes. Ce n'est pas parce que le village est en alerte que l'on doit fermer nos portes à un Kage... Rapidement, je sors du village et les ninjas qui escortaient le Raikage mettent le genou à terre afin de manifester leur respect à mon égard. Je les regarde tous et je leur fais signe de se disperser. Maintenant que le Raikage était avec moi, il n'avait plus rien à craindre de l'extérieur. Après qu'ils aient disparu, je m'avance vers le raikage avec un demi-sourire.

« - Soyez le bienvenue à Kiri, Raikage- Sama. Veuillez m'excuser pour ce remus-ménage. Je suis Akari Hasegawa, l'actuel Mizukage. »

Je lui fais signe de me suivre tandis que les portes sont encore ouvertes. Bien entendu, il y a des gardes qui surveillent. Je jette un oeil à ce qui accompagnait le Raikage mais bien que cela me paru assez suspect, je n'en dis pas un mot. Il était assez grand pour se débrouiller. Il était ici en allié et non en ennemi. Je baisse un peu ma tête avant de lui tourner le dos. Je commence à marcher en direction de l'intérieur du village. Nous allions tout de même pas discuter sous la pluie ? Après c'est son choix mais je connais un endroit où nous serons plus à l'aise pour discuter sans prendre toute la sauce. Une fois les portes passées, je n'eus pas besoin de dire quoique se soit car mes ninjas savent ce qu'il devait faire. Heureusement d'ailleurs, sinon ce serait la grosse galère. Tout en marchant à ses côtés, je prends la parole en demandant.

« - Qu'est-ce donc ? »

Demande-je en montrant une des « choses » qui l'accompagnaient. J'étais plus dans le style surprise mais avec ce que j'avais vu, plus rien ne m'étonnait. Cela ressemblait plus à des créatures qu'à des gardes du corps mais bon, après c'est son soucis à lui. Pour une fois, je suis assez curieuse.

Hijikata Toshizo
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Rencontre précipitée [Pv Akari Hasegawa] Left_bar_bleue294/1000Rencontre précipitée [Pv Akari Hasegawa] Empty_bar_bleue  (294/1000)
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MessageSujet: Re: Rencontre précipitée [Pv Akari Hasegawa] Rencontre précipitée [Pv Akari Hasegawa] Icon_minitimeJeu 21 Juin 2012 - 19:26

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Cordialement Hijikata Toshizo
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Rencontre précipitée [Pv Akari Hasegawa]

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