Ce matin là, je me suis levé dès la première heure. Les yeux encore refermés par la fatigue, je suis sortis de mon lit et je me suis rendus dans la salle de bain. La brosse à dent dans la bouche je frotter intensivement mes gencives et mes dents blanches comme des touches de pianos. Mon corps tout endoloris par la nuit, j'ai remué mes joues pour enfin recraché l'eau qui était mêlée à mon dentifrice. Le regard toujours aussi vide et froid, j'ai hôte mes vêtements pour passer le seuil de ma cabine de douche. Je me lavais correctement les cheveux, les bras, les jambes. Et tous sa à l'eau froide pour couronner le tout. Sans trop faire de bruit, j'ais pris mon petit déjeuner. Des brioches, du beurre, de la confiture. Je mangeais tranquillement, écoutant les ronflement de mes parents encore endormis. Une fois mon premier repas de la journée terminé, je me suis rendu dans ma chambre. Mon tee-shirt dans une main, ma veste dans l'autre, j'enchaînais mes actions tranquillement, sans me presser. Mes vêtements enfin enfilaient je pouvais sortir tranquillement de ma maison. Je sais qu'il n'est pas commun de voir qu'un enfant de quatorze ans se promènent dans la rue si tôt mais c'était le cas aujourd'hui. Mon corps s'était enfin remis de sa nuit difficile. Les mains dans les poches, je descendait les escaliers qui menait vers mon jardin avant de passer le portail de la ferme de mes parents. Le regard profond et habiter d'une lueur de détermination intense, j'étais prêt à m’entraîner. Les rues était inanimées et lugubre. On ne voyait que mon ombre parcourant un chemin étroit et quelque lampadaires qui traînaient. On n'entendait uniquement les bruits de mes pas rythmé par quelque cailloux qui voltigeaient au contact de mes pieds.
Je me rendais au terrain d'entraînement de Kumo No Kuni. Une fois arrivé à ma destination, j'ais eus une soudaine envie de sourire. J'avais tellement hâte de maîtriser mes nouvelles techniques. Je n'ais pas attendu une seconde pour commencer. J'ais courus en directions des épouvantails de bois. Le vent froid de la nuit se faisait ressentir lorsque que je courais. la lune éclairait la scène. Je courais vers le mannequin d'entraînement pour lui planté un de mes shurikens dans son torse de paille. Je me suis reculés avec hâte en feintant d'esquiver une attaque. Je n'ais pas tardé pour utiliser mes techniques. J'ai tout d'abord créer un clone avec la technique du bunshin no jutsus. Je lui ais ensuite ordonné de me charger avec toute sa vitesse. Puis, tel un pigeon esquivant la balle du chasseur, j'ai sauter en arrière avant de placer ma main droite en forme de cercle et plaquée à ma bouche j'ai criés Doro Houshi ! Sans plus tarder je me suis mis à cracher de tous mes poumons une boue adhesive. Mon adversaire en a était recouvert partiellement. Mais le plus intéressant encore, c'est que la boue collante a recouvert la plante de ses pieds pour l’empêcher de bouger. Ma techniques était entièrement réussi et le clone se dissipa. La tête haute et le regard fier, je continuais à m'entraîner. La deuxième étape de mon entraînement était une de mes peu nombreuses techniques offensives. Mon jutsus était capable, si il était bien maîtrisé, de détruire ou de traverser du bois ou de la terre. Sa tombait bien, les épouvantails était de la bonne matière. Sans plus tarder j'ai joint mes mains et j'ai composé des mudras. Le sourire aux lèvres, j'ai rapproché comme précédemment ma main de ma bouche pour cracher une quinzaine de boules de boues. Celles-ci traversèrent aisément la matière pour atteindre la cible qui était caché de l'autre coter. Cette technique n'était plus un secret pour moi. Je pouvais passer à l'étape suivante. Mon jutsu protection par excellence.
Je me demandais vraiment comment j'allais m’entraînais sur cette technique. J'ai encore une fois créer un clone. Une fois mon double fabriquer je lui ais ordonné de m'attaquer avec la technique des sphères de boues. J'ai donc joint mes mains, je l'ais ais posée sur le sol pour soulever un mur de terre. Les sphères se cassèrent à son contact. Fière de moi, je ne voyais pas l'heure passer. Sa faisait déjà deux heures que je m’entraîner ici, mes parents devaient êtres levés et devaient se demandaient où j'étais. Je devais rentrés. C'est pour quoi, au premier rayon de soleil, je suis rentré chez moi avec une sensation de fierté. J'avais le sentiment d'avoir réussi mon entraînement, et une nouvelles journée pouvait commencée !