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Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang A ; Level 23 | Points Naruto Ninja RPG | : (1377/2000) | Âge du personnage | : Inconnu.
Sujet: La libération du changement. [Mission de rang SS] |Privée| Lun 25 Juil 2011 - 17:09
Citation :
Il est impossible qu'une personne connaissant Hunk le reconnaisse. Le sujet est privée, j'aimerais donc nullement l'intervention d'une tierce personne ou d'un PNJ. Si un post est fait, je n'en prendrais pas compte. La seule personne pouvant posté est Kan'Yu.
Spoiler:
Ordre de mission : Rang SS.
Libéré Kan'uy.
Bonne chance.
. : Magnifiquement, cela commence. : .
Changement : Fait de changer. [Passer d’un état à un autre.] Tout cela est, une certitude totalement absurde pour une certaine personne qui, apparemment ne connait que la liberté par une petite fenêtre graisseuse. Et bien entendu, par conséquent, il faut que l’emprisonnement devienne une magnifique liberté. Pourquoi tant de haine envers l’espèce humaine, mettre les siens dans des cages, des cages d’or assez monotone. Pourtant, et – malheureusement ou heureusement venez choisir votre camp. – tout cela n’est rien d’autre qu’une somptueuse et simple machinerie d’argent étant d’une huilerie monstrueusement parfait. Et pourtant, cela s’inscrit encore une fois dans le changement assez las du temps. Le sablier laissa mollement ses innombrables grains de sables venir contre le sol froid et ténébreux de la pièce. Le changement pour une personne. Simplement. Du moins, cela n’est rien que pour l’instant. Après, la source du changement grandira avec une lenteur et une monotonie assez inquisitrice, devenant une immense créature aux crocs parfaitement blanchâtre. Le pouvoir comme le changement est une chose que toute personne aimerait pouvoir posséder dans sa vie, que cette dernière soit totalement sans intérêt ou alors résultant d’un contraire sans équivoque. Pourtant, le pouvoir ainsi que le changement ne s’obtienne nullement de la même façon, comme les cieux des anges ainsi que les ténèbres, habitat naturel des démons, ils sont complémentaires mais totalement différent. Comme la vie d’une fille morte naviguant dans les limbes d’un enfer infini, le changement n’est pas vivant et donc, il faut donc le provoquer avec la seule volonté de le voir apparaitre comme un génie. La modification sera présente, mais une qu’une fois que tous cela sera fini. Magnifiquement la créature maussade qu’est le commandement de ce village disparait avec une certaine lenteur inquisitrice. Gagnant en puissance chaque seconde, le changement se rejoint finalement au pouvoir.
Monstre augmentant au grès du vent, le démon du village navigue dans un flot continuel de terreur, d’horreur et de massacre tout simplement absurde. La guerre est une œuvre magnifique quand l’homme sait comment l’utilisé à son avantage et par conséquent il lui est tout simplement impossible de connaitre chaque particule qui se passera dans cette douce et magnifique mélodie sanglante qu’est la simple guerre. Pourtant, une seule et unique personne est capable de connaitre chaque mouvement qui se passera dans cette chose assez conséquente seulement crée par les hommes, pour les hommes, en détruisant mollement mais surement les hommes. Une logique certes assez dérisoire mais totalement véridique. Et pourtant, elle est en marche depuis des siècles depuis la création même de la première et véridique arme militaire. La guerre emporte dans le cœur ténébreux des hommes de nombreux sentiments aussi différents soit-il que mouvementés. Instaurant la peur, la colère, la pitié. Ce champ lexical des sentiments envers la guerre ne résulte finalement de rien d’autre que d’une fine et unique liste. Pourtant, comme déjà dit, une seule et unique personne n’est nullement affectée par tout cela. Le simple soldat connaissant sa mission. Il place cette dernière avant toute chose dans son cœur. La mission est une priorité avant tout. Qu’importe les obstacles, les morts sur le chemin, ou encore bien-même les monstres se retrouvant définitivement contre l’objectif même de la mission. Tout cela s’intègre dans la mission. La Mort ne meurt pas. Et comme la Mort, le soldat ne connait nullement la peur. Ce démon navigue dans l’immense agglomération évitant chaque chose, tout doit être réussi pour le changement et la puissance des autres. Bien que simple mouton réalisant son devoir envers le preux berger, son mission sera surement une réussite à son apothéose la plus puissante. Heureusement, surement.
La Mort sera son sauveur. Arrivant sur le champ de bataille avec une fureur tout simplement inquisitrice. Son doux et magnifique ricanement résultant de la merveilleuse et somptueuse mélodie de la guerre s’intégrant dans les cœurs les plus purs des soldats combattant pour les principes du village dont il font partie depuis leur plus tendre enfance. Son masque crème, semblable à le plus fine des morts le crâne de son fondateur s’intégrant dans son visage apportera la peur dans le cœur des gardiens gardant par définition la fine et souple enveloppe corporelle humain prisonnière depuis un laps de temps assez large. Son corbeau d’une beauté tout simplement olympienne hurla sa rage envers les nombreux cadavres et d’un geste rapide, il se dirigea envers ces derniers, se régalant d’un organe de la vision d’un des nombreux morts, tombés bien entendu par définition sur le champ de bataille dont le sang coule magnifiquement à flot. Le monstre, bien que divin s’intègre dans l’ombre et est nullement visible pour le commun des mortels tout simplement lambda. Comme cette faucheuse assez particulière, personne ne la voit, personne ne connait son véritable visage. Et pourtant, elle opère depuis le fin fond de la pièce du théâtre antique. La guerre ne s’arrêta nullement avant que son œuvre fusse enfin et totalement fini dans les prémisses d’un enfer premier. Alors que les âmes d’un corps meurtrie s’intègre finalement dans une dance extrêmement mélodieuse, simpliste mais parfaite. Sa faux s’abattant contre la porte en métal, elle seule sait comment faire pour que la délivrance d’un être aussi bas de gamme qu’est le prisonnier tout simplement contenu dans le village de la feuille morte en perdition. Magnifiquement, le corbeau revient sur son épaule assez puissante, tâché de se sang impur, il tapote contre la porte, cela n’est pas l’heure…
Le campement de ses mercenaires, des militaires de la nation de la brume était maintenant derrière lui depuis à peut-être une minute et quelques secondes. Son ordre de mission était extrêmement clair, rapide, sans équivoque. Bien qu’il fût une unité déplacé dans les forces de Mizu No Kuni il avait pourtant bien reçu les ordres venant de la commandante de ce village dont il ne savait finalement pas grand-chose hormis une seule et unique personne en particulier. Mais cela n’était pas l’heure au romantisme, ainsi qu’au sentiment général de l’amour. Pourtant, le jeune militaire à la tenue assez magnifiquement original avait encore cette pensée envers tout cela. Le faux démon ainsi que le traite secoua avec une certaine rapidité, son esprit retrouvant bien entendu par conséquent toute ses facultés. Que ces dernières soit auditives ou alors orales. Finalement, maintenant que le jeune homme avait les idées aux clairs, ses mains gantées replacèrent doucement son masque d’A.N.B.U. C’était véritablement inconfortable car par conséquent il ne tenait pas véritablement bien en place. Certes, cela était une tenue totalement obligatoire mais horriblement chiante. Sortant un simple couteau de combat, il le regarda pendant une fraction de secondes, finalement il rangea tout cela avec une certaine nonchalance. Marchant alors tranquillement contre le sentier battu s’étalant vers l’entrée du village, un fin sourire parcourra définitivement ses lèvres rosâtres. Il devait aller à la prison de Konoha et cela allait être une routine assez maussade mais pourtant plutôt amusante. Continuant tranquillement son chemin, il aperçut directement la haute prison de tout cela. Son objectif n’est nullement loin et tout cela était définitivement marrant. Le jeune homme à la chevelure flamboyante sauta rapidement sur une branche de l’un des nombreux arbres de la forêt. Regardant au loin son objectif. Un fin sourire perça son visage, le changement…
Il regarda tout cela. Son village qu’il trahissait en ce moment-même. Pourtant, originalement, cela n’était nullement dérangeant pour lui. S’asseyant par conséquent contre la branche, le jeune homme aux yeux émeraude regarda tout cela avec une légère nonchalance mêlé à une certaine peine conséquente. Pour être totalement direct, le militaire haut gradé dans la hiérarchie des armées ne bougea nullement et avait encore le temps avant de devoir libérer l’humain du village caché de la brume. Il soupira mollement alors que son enveloppe corporelle tomba de l’arbre de son propre et significatif plein gré. Passant sa main dans ses magnifiques et somptueux cheveux rougeâtres. Le repos ne sera pas de mise avant la nouvelle aube rougeâtre et orange. Regardant une dernière fois le magnifique et somptueux soleil placé magnifiquement dans les cieux, il songea. Effectivement, le monstre de terre ainsi que d’électricité ne regarda plus ce dernier avant un temps assez conséquent. Alors qu’il accéléra le pas avec une certaine rapidité, le fiancé d’une certaine personne devait parcourir le plus discrètement et le plus rapidement le village de Konoha No Kuni. Le jeune homme connaissait par cœur le village et par conséquent il lui était extrêmement facile de faire tous cela et de parcourir l’immense agglomération du Pays qu’est la Nation du Feu. Evitant avec une facilité assez lassante toute forme d’armées militaires ou encore bien de civils, il arriva rapidement devant la rue principale qui menait définitivement à la prison de son propre village qui, dans quelques minutes, ou peut-être heures connaitra une frappe extrêmement chirurgicale amenant une marée sanglante sur les ninjas du village meurtri. Se retrouvant sur un des nombreux toits, le ninja sauta mollement, arrivant alors devant son objectif. Enfin, tout cela n’était rien d’autre que le commencement de la mission. Finalement, il ouvrit les portes de la prison…
. : Suite à venir. : .
Dernière édition par Moroshi Hunk le Jeu 28 Juil 2011 - 0:03, édité 1 fois
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Sujet: Re: La libération du changement. [Mission de rang SS] |Privée| Mar 26 Juil 2011 - 18:09
. : Cela arrive, comme un jeu de carte. : .
La liberté est une chose que chaque personne devrait avoir en droit quel que soit les actes qu’il a pussent malheureusement commettre dans le passé. C’est cela que, bien entendu et par conséquent il existe dans ce monde, vers les innombrables et somptueux cieux une personne pouvant émettre son propre jugement sur les actes sanglants de la personne accusé. Mollement mais surement sa cavité vocale émettra le plus pure et le plus simple des jugements envers tout cela, cassant toute les barrières réelles et irréels s’intégrant dans le fin grain de sable qu’est la magnifique et tendre Planète Terre. Le jugement arrive doucement. Ses divines ailes blanchâtres se posèrent avec un sublime attention sur le parterre froid et métallique du centre de pénitence. Car oui, comme habitant noble du paradis tous cela n’est rien de plus pour lui qu’un chemin menant définitivement vers les prémisses d’un pandémonium infernal. Certes, l’archange extraordinaire et sublime se fiche finalement de tous cela bien qu’il se doit d’effectué le maitre mot dans les nombreuses affaires assez monotone arrivant définitivement sur la Planète Terre. Alors que son épée aux reflets magnifiquement topaze se dépose définitivement contre la balance de la justice, la faisant émettre d’un côté. Le mal, ou alors au contraire, le bien ? Sur le plan théorique et normal, cela devrait être tout simplement le merveilleux et simple côté que nous appellerons le bien. Une once de bien fait ainsi que de chose tout simplement parfaite. Exportant une vague de plaisir tout simplement et uniquement gargantuesque. Alors que cette arme finement blanchâtre atteignait alors le prisonnier, un fin sourire perça définitivement la façade blafarde. Le jugement était proche dans cette douce et simpliste thèse de la liberté envers cette personne. Pourtant, il reste deux choses à connaitre avant d’émettre tout cela. Elles arrivent.
Pourtant, cette liberté à bien entendu un prix à émettre sur un merveilleux tableau de bois aux teintes somptueusement bleuâtres. Et pourtant, quand une main mise comme cette dernière se doit d’être effectué par deux personnes, cela implique bien entendu de faire appel à une chose extrêmement particulière. Les ténèbres sont une chose assez magnifique quand les personnes connaissant tous cela savent bien entendu utilisé sa forme à mauvais ou alors à bon sien. Mais, comme le prisonnier ne connait tous cela, il est bien entendu quasiment impossible de faire appel à tous cela. Car, l’ignorance s’intègre doucement mais surement dans l’esprit assez maussade de l’homme. Et le rituel de ce démon aux cordes blanchâtres n’est nullement crée par cette douce et simple invocation. Pourtant, quand l’hérétique naissant effectue tout cela, la créature directement méphistophélique grandit doucement et s’expose définitivement dans le jugement de cette affaire extrêmement particulière. Posant alors son énorme et crasseuse main rougeâtre contre l’épaule du griffon blanchâtre, ses longs ongles finement tranchant se plantèrent dans une douce mélodie dans la peau sainte de l’archange. Le fin et unique ricanement de l’ancienne hydre satanique perça ses propres lèvres rosâtres. Oui, tout cela n’était rien d’autre que le magnifique commencement d’une nouvelle ère. Une ère de méprise, dans le sang. Alors que l’épée, le somptueux sabre éclatant se posa définitivement contre le froid et métallique de l’endroit de la prison de la pénitence, oui. L’ange et le démon effectueront une dance des plus puissantes. Un combat qui ne s’arrêta qu’après que la balance de la justice se repose définitivement dans un prix égal. Alors que, certainement le prisonnier ne peut rien faire. Cela n’expose finalement qu’une chose. Ce dernier se retrouve à la merci de tout et de rien. Arrogant comme un chien cherchant un os, cela commence.
Pourtant. Dans tout cela. Il y a une simple mais extrêmement importante sphère d’antimatière qui s’impose dans ce combat qui résultera définitivement du changement. Cette fine boule s’intégrant entre les deux créatures divines. Elle contient quelque chose de tout simplement parfait. Pourtant, elle ne dévoile pas encore son contenue envers les deux monstres de puissance pure. Elle brille avec une certaine nonchalance alors que définitivement, la légère bille noirâtre se déposa contre le sol froid et métallique de la prison, formant par la même occasion un léger cratère suite à l’atterrissage de cette dernière envers le centre de pénitence. Puis avec une certaine lenteur, la douce mais pourtant vive, cette lumière disparait définitivement, laissant les deux êtres gargantuesque puissant dans une obscurité la plus totale. Son contenu n’est pas encore et finalement pas de mise envers cette synthèse tout simplement obscur. Grandissant comme le ferait définitivement le pauvre ver de mouche gémissant de son existence sur la coalition de Terre résultant finalement de la Planète Terre. Pourtant, alors que les épées antipodes déversèrent leurs fureurs respectives avec une colère sans pareille, tout cela n’avait qu’un seul et unique but. Connaitre la suite des évènements pour le changement, cet oiseau aux ailes rougeâtres ainsi qu’azur. Finalement, la douce et magnifique sphère libéra sa puissance tout simplement gargantuesque envers tout cela. Car, effectivement. La seule solution de tout cela s’intègre dans un sens unique. Cela ne résulte certes que d’un pâle et insignifiant insecte mais pourtant, cela instaure une puissance tout simplement gargantuesque. La synthèse s’intègre dans tout cela et par conséquent, le changement ne résulte nullement de la faction du bien. Ou alors bien de la faction du mal. Le changement est seulement guidé par une chose simple et délictueuse. Les créateurs mêmes du changement. Cela est simple. Cela arrive, doucement.
Il était finalement et définitivement dans la prison. Et originalement, aucune personne ne se retrouvait devant l’accueil. Effectivement, un minimum de personnel était présent de par l’heure qu’il était. Cela était assez marrant. Se mouvant tout de fois directement dans l’ombre, il se positionna directement derrière l’une des nombreuses beines à vêtements pour les prisonniers. La texture crasseuse et graisseuse de cette dernière s’instaura contre les nombreux habillements du jeune homme à la crinière purement sanglante. Pour l’instant, tout cela était parfait bien que la mission n’était active que depuis un laps de temps assez court. Que faire et que dire maintenant ? Derrière son masque creusé dans un drôle de texture, ses deux yeux émeraude regardèrent mollement le sol froid et métallique de la pièce principale. Une chose était bien entendu claire dans son esprit maussade. Il devait bien entendu faire extrêmement vite et nullement mettre trop de temps de peur de voir l’alarme se déclenchée et par conséquent de voir une flopée de militaire venir contre son enveloppe corporelle. Trois étages. La prison de Konoha No Kuni était composée de trois étages. Sérieusement, le haut gradé militaire allait avoir un certain mal de retrouvé cette chose tout simplement ignoble qui se trouvait simplement derrière les barreaux. De l’une de ses poches principales, sa main gantée disparut dans la pièce de vêtement blanchâtre. Les secondes défilèrent doucement alors que ses cinq doigts s’activés rapidement dans la poche, recherchant l’objet de sa convoitise. Finalement et définitivement, sa main obtenu tout cela, et, son regard olive se porta vers la photo. Cette chose qu’il ne devait jamais perde car sinon, la conséquence serait surement d’une apothéose ignoble. Cette impression d’un personnage contenait une photo du prisonnier par conséquent il lui était beaucoup plus simple de reconnaitre le personnage. Heureusement pour lui.
La photo se retrouva dans la poche de son pantalon en toile. Se concentrant sur les bruits alentour, ces derniers furent simplement composés des cris des prisonniers ainsi que les ronflements de certains. Une esquisse de sourire se forma doucement mais surement sur sa façade blanchâtre, il releva lentement son visage et observa une immense baie-vitrée plongeante vers la pièce principale où se trouvait le jeune homme, traite de son propre village qu’était Konoha No Kuni. Recherchant une quelconque forme d’enveloppe corporelle dans la pièce en hauteur, son visage se décomposa lentement alors qu’une goutte de sueur se développa au coin de sa tempe. Nullement d’enveloppe physique était présente en haut, heureusement pour lui, mais, malheureusement pour lui une fine pointe en métal se posa contre sa nuque dénudé, arrachant par la même occasion quelques longs et divins cheveux rougeâtre du jeune homme. Une dague finement aiguisé était contre son cou. Un seul et unique mouvement de trop et tout cela était directement fini. Hunk n’était pourtant nullement un débutant et se faire piéger comme cela résulté d’une manière d’un simple soldat de base. Il effectua avec une certaine lenteur de nombreux signes alors que définitivement, il posa ses mains contre le sol, en signe de soumission. Une fine esquisse apparue alors que sur une envergure de trois mètres un champ électrostatique apparue, effectuant une forme de violence assez conséquente envers le ninja de son village. Bien entendu, cela n’était rien puisque le but premier de la technique n’était nullement de descendre son adversaire directement. Le monstre de violence se releva rapidement, attrapant avec la même rapidité l’arme de son concurrent. Alors que la lame se déposa contre l’œil de ce dernier, une gerbe de sang se déposa contre la tenue du traite. Tout cela n’était rien d’autre que le commencement de sa mission. Rien d’autre.
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Sujet: Re: La libération du changement. [Mission de rang SS] |Privée| Mer 27 Juil 2011 - 18:31
. : La fin d’un être, pour l’avenir d’un être. : .
Quand la mort frappe définitivement une personne, cela est une chose assez maussade qui s’intègre définitivement dans l’organe noirâtre qui résulte d’un magnifique cœur ténébreux. Comme l’éclair frappant avec une fureur totalement fanatique, ce doux et magnifique nuage de brume s’intégra au-dessus des boites crâniennes appartenant définitivement aux enveloppes corporelles humaines. Ils ne sont rien d’autre que des pantins en bois mollement contrôlés par la douce et magnifique Faucheuse elle-même. Tranquillement, mais surement, eux ils savent ce qui attend leur vie après une longue et lente agonie. Ils existent, dans ce monde, trois royaumes bien connus existant avec une certaine lenteur. Le premier s’appelle le paradis, il offrit un refuge aux anges, archanges ainsi qu’aux saints. Le second se nomme définitivement le royaume des Ténèbres : Les Enfers. Offrant alors un habitat pour les démons, les créatures méphistophéliques ainsi que les pâles hérétiques. Puis, définitivement le dernier royaume fut offrit aux hommes. Un monde entier. Ce monde se meurt doucement et lentement, et, avec une certaine tendresse tout cela s’intègre dans un cycle tout simplement las voire monotone. La faucheuse regarde ces trois mondes avec un certain amusement, son ricanement perçant alors l’atmosphère de chacun des globes terrestres ou nullement. Finalement et définitivement, le seul et unique Dieu envers ces trois orbes n’étant rien d’autre qu’une chose qu’on appelle la Mort. Cet être regardant ses trois royaumes, un sourire démoniaque envers sa douce façade blanchâtre. Définitivement, son enveloppe corporelle se posa contre le dernier des mondes. Apportant avec lui une fine brume épaisse recouvrant son être magnifiquement squelettique. Alors qu’encore une fois, sa faux se déposa contre l’immense et gargantuesque changement. Cette chimérique faneuse se retrouva finalement dans les mains du géniteur somptueux de tout cela. Le Dieu change définitivement de place et par conséquent tout cela expose le changement.
Qu’avait-il finalement fait ? Le premier mort était entre ses mains depuis maintenant un temps assez long. Bien entendu, l’espèce de faux militaire du village du Pays de l’eau : Mizu No Kuni avait disposé son enveloppe corporelle ainsi que le cadavre dans une petite pièce à l’écart. Par conséquent, le monstre d’électricité ainsi que de roche avait bien entendu émis quelques pas avec ce fameux cadavre. Macchabé d’ailleurs qu’il ne connaissait nullement d’ailleurs. Après tout, la chance que pendant cette guerre ses armes se plantent envers l’enveloppe corporelle de ses frères d’armes serait extrêmement nombreuse. Pensant à tout cela, l’assemblage d’os du doux nom de : « Colonne vertébrale » subit avec une rapidité conséquente un frisson parcourant toute sa surface. Oui, effectivement cette pensée n’était véritablement pas réjouissante. Mais pour le changement, des morts ainsi que des dommages collatéraux allaient devoir être de mise dans la magnifique et tendre danse de la mort s’intégrant dans la boucherie sanglante qu’était cette guerre entre deux villages cachés d’une puissance militaire extrêmement conséquente. Secouant rapidement la tête, le corps du défunt s’étala définitivement au sol avec une nonchalance toute particulière. Regardant par la suite la pièce pendant une fraction de seconde, ses deux sphères olive remarquèrent alors un immense casier pouvant facilement contenir un corps humain d’une forte corpulence. Le vivant au masque sourit. L’ouvrant rapidement, le casier émit un léger bruit assez strident, métallique. Mais cela n’arrêta nullement le jeune homme à la crinière magnifiquement rougeâtre. Lourdement, l’enveloppe de la dépouille humaine s’imposa alors dans le meuble en métal. Théoriquement, personne ne devrait venir voir cette pièce avant un certain laps de temps plutôt conséquent. Pourtant, le preux envers son propre village brisa la poignée de la gargantuesque case. Il espéra que tous cela marchent, maintenant, il devait faire vite.
Le corps était enfin caché. Se retournant par la suite, l’enveloppe corporelle posa sa fine main gantée contre la poignée de la porte, l’ouvrant très légèrement. La discrétion se devait bien entendu d’être encore de mise avant de pouvoir émettre un immense lupanar envers la prison de Konohagakure No Satô. Alors qu’un fin et unique soupir perça définitivement les fines lèvres rosâtres du jeune homme à la crinière magnifiquement rougeâtre. Regardant à droite puis à gauche discrètement, la porte s’ouvrit en plein. Le dragon d’électricité se trouvait définitivement au sous-sol. Et bien entendu, cela était l’endroit où la plus forte concentration de personnes étant des employés étant finalement présents. Le guerrier devait partir. Vite. Extrêmement vite. Le compagnon d’arme ainsi que le chef des mercenaires observa finalement et définitivement la pièce l’entourant. La crasse était une chose extrêmement présente dans tout cela, ainsi que le sang séché d’ailleurs. Une figure de dégoût figea la façade de l’anthropoïde. Encore une fois. Finalement et heureusement pour lui, son regard magnifiquement émeraude se posa contre l’escalier annexe réservé aux prisonniers. Par conséquent, il était libre d’accès et donc permettra de venir contre le premier étage. Le deuxième étage ainsi que le troisième étage. Puis, descendre rapidement. Bien que, pour cela, le militaire avait déjà une idée pour descendre avec une rapidité à toute épreuve. Esquissant d’ailleurs un léger sourire, l’homme se dirigea vers les marches de l’escalier. Posant un premier pied contre ces derniers, un petit grincement s’installa contre ses deux cavités auditives. Grimaçant une nouvelle fois, l’hominien continua tranquillement mais avec tout de fois une discrétion assez conséquente. Après quelques longues et monotones secondes, le combattant étant un magnifique vétéran se retrouva définitivement contre le sol froid et métallique du premier étage. La mission était maintenant dans sa pleine apogée. En avant…
Laissant sa main gantée parcourir l’une des barrières métalliques du centre de la pénitence. Regardant nonchalamment les nombreuses et innombrables cages dorées des prisonniers. Originalement, ces derniers n’avaient pas l’air d’être des personnes assez méchantes, pour l’instant. Bien que, apparemment, certains avaient l’air d’avoir une musculature assez conséquente. Regardant tout cela, sa main se détacha définitivement de la rambarde en fer rouillé de la prison. Que faire maintenant et par où devait-il effectué le commencement de tous cela. Les lieux étaient extrêmement imposant et vérifié chaque cellule avec la photo de l’espèce d’imbécile grotesque dans ses mains seraient une perte de temps largement bien trop conséquente pour lui autant que pour les forces du village de brume. Cela n’était peut-être qu’une seule et unique personne mais pour que cet être humain à l’enveloppe corporelle fade se doit d’être libéré en pleine guerre, ce monstre devait bien entendu émettre une puissance plutôt conséquente ou alors d’une importante plutôt immense envers le village allié aux traites ainsi que pour les mercenaires. Ne préférant nullement avoir des songes envers tout cela, le jeune militaire au masque des forces spéciales se posta définitivement devant la première cage contenant un prisonnier. Il devait avoir des informations sur la position sur l’énergumène devant être libéré en ce jour de guerre. L’heure de l’amusement n’était peut-être pas encore de mise mais il n’avait directement pas le choix dans tout cela. Soupirant encore et encore, son bras imposa sa présence dans la cellule de ce faux démon au sourire plutôt carnassier. Surement un clown, voleur de la pègre croyant drôle d’instauré l’anarchie. Attrapant directement le col de ce pauvre animal, son enveloppe corporelle s’instaura avec une certaine violence contre les barreaux de la cellule. Les questions arrivèrent. Avec une fureur tout simplement fanatique. Il devait connaitre, vite, rapidement.
Finalement, les réponses arrivèrent avec une certaine lenteur. Mais pourtant, elle s’intègre pourtant bien dans son esprit assez maussade. Il souriait intérieurement, sadiquement. La mission était finalement et définitivement trop simple. Pour l’instant du moins, et par conséquent, tout cela allait devoir avoir lieu envers le troisième et unique étage. Gagnant doucement mais surement en assurance dans cette mission de rang nommée : « S.S » sa main finement noirâtre – Bien entendu gantée. – lâcha définitivement le pauvre être enfermé dans une mélodie s’appelant définitivement la nonchalance de la vie. Ne le saluant nullement, ne le remerciant nullement. Il hocha positivement sa boite crânienne. Simplement. Puis, doucement, se retourna sans rien dire de plus. Il devait émettre sa présence envers le deuxième étage de la prison au plus vite ainsi que au troisième. Le monstre de discrétions n’avait pour l’instant fait nullement trop de dégât envers tout cela, et bien entendu, par conséquent, le jeune homme à la crinière finement rougeâtre aller continuer dans ce chemin. Du moins, il espérait fortement tout cela. Levant lentement sa tête envers les deux étages suivants, l’enveloppe corporelle déglutina tranquillement, malheureusement, la mission n’était pas encore finie. Se dirigeant alors vers l’escalier engendrant le deuxième étage, il soupira encore. Pour la troisième fois dans ce laps de temps assez court. Mission plutôt simple pour l’instant mais émettant les nerfs à vifs. S’arrêtant en plein milieu des escaliers, l’homme étant dans les forces armées du village de Konoha No Kuni vérifia ses armes qu’il portait en sa propre possession. Son regard parcourra les innombrables poches, tous était présent apparemment et heureusement. Le souffle chaud tapant contre son masque fut la seule mélodie que l’être humain entendit quand il franchit définitivement et monotonement les innombrables marches de l’escalier. Il était maintenant à la moitié de tout cela…
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Sujet: Re: La libération du changement. [Mission de rang SS] |Privée| Mer 27 Juil 2011 - 23:44
. : End Of Me. : .
Un héros. Un anti-héros. Que cela signifie-t-il finalement, après tout, des termes extrêmement vagues ne peuvent définir véritablement tous cela qui plus est, en temps de guerre. Comme la fin d’un être s’intégrant dans la poussière d’un sol nullement fertile, cette notion est extrêmement vague. Il est impossible de comprendre le véritable sens de cette phrase après une seule et unique lecture nonchalante. Pourtant, quand nous recherchons la définition de tous cela, nous y arrivons finalement. Certes, avec une certaine difficulté assez lasse, dure et extrêmement éprouvante. Mais la réussite est cependant bien présente. Pourtant, nous y arrivons finalement et définitivement. Et par conséquent, nous sommes heureux et une joie emplie définitivement leur cœur noirâtre. Et de là, pouvons-nous dire que tout cela est définitivement un héros ? Ou alors, totalement au contraire un anti-héros ? Impossible de connaitre tous cela et par conséquent, tout cela résulte d’une hypothèse assez hypothétique. Certes, cela est une vérité vraie. Mais pourtant, elle s’inscrit dans cette thèse assez maussade et artificielle. Le héros, une fois que son grade est enfin officiel envers son camp, se doit de tenir rôle envers son grade de guerrier extrêmement conséquent. Il se doit d’être gentil, une personne attentionnée envers les autres, que cela soit de son propre camp ou alors au contraire celui du camp adversaire. Le respect sera une notion extrêmement importante pour lui, alors que, au contraire, nullement pour l’anti-héros aux nulles règles. Pour cet être assez maussade se recueillant seulement dans les plus grandes montagnes d’un monde encore inconnu, il se doit de cultiver une toute autre personnalité. Une personnalité aux antipodes de celle de ce magnifique héros que toute personne aux alentour prient comme le ferait un saint envers un archange posa nonchalamment sa main sur l’épaule du religieux. Totalement différent, unis pourtant.
Et originalement, dans tout cela, le pâle ectoplasme, qu’était-il finalement ? Un héros ? Un anti-héros ? Ou alors tout le contraire, une espèce de super-vilain totalement et complètement grotesque. Impossible de le savoir véritablement mais après tout, le jeune homme à la chevelure rougeâtre se fichait bien de tout cela, comme la mort arrivant dans le cœur des hommes, seulement la réussite de sa mission était importante à ses yeux émeraude. Le temps n’était nullement à la réflexion idiote sur le sens de la vie ou encore d’autre chose assez maussade s’inscrivant définitivement dans tout cela. Doucement mais surement, son enveloppe corporelle arriva définitivement contre le deuxième étage, alors que seulement sa boite crânienne recouverte d’un masque s’établissait dans ce fameux deuxième étage, il esquissa un faible sourire envers tous cela. Originalement et véritablement grotesquement aucun ninja de la garde n’était présent. Ou alors, ils se retrouvaient tous dans un autre endroit annexe à ce dernier. Posant alors ses mains contre le sol froid et métallique de l’étage assez particulier, le militaire à la crinière magnifiquement flamboyante prit appuie sur ses dernier et arriva donc sur tout cela. Soupirant pour la quatrième fois de la mission de rang « S.S » son regard se perdit pendant quelques longues et douces secondes envers la coalition de pièce qu’était la deuxième plateforme du centre de pénitence. Apparemment, les personnes se retrouvant ici étaient largement plus costauds que les dernières se trouvant finalement et définitivement au premier étage. Penchant d’ailleurs la tête envers l’un des innombrables prisonniers, un sourcil se leva monotonement envers tout cela. Comment une personne de l’envergure et d’une masse corporelle aussi importante avait pu franchir les escaliers et ne pas être coincé… ? Esquissa un faible sourire face à tous cela, l’homme reprit tranquillement son sérieux olympien. Surement.
Alors que son enveloppe corporelle s’établissait sans rien dire, sans rien faire, de nombreux bruits de pas percèrent finalement les cavités vocales du jeune homme au masque d’A.N.B.U. N’aimant nullement cela, son estomac se nouant rapidement envers la situation. Effectivement, l’anthropoïde c’était un peu trop avancé envers tous cela. La mission n’était pas si calme que cela. Regardant rapidement derrière lui, ses oreilles totalement humaines comprirent rapidement que dans moins de quelques secondes, surement une trentaine la collision allez avoir lieu. Regardant rapidement autour de lui, il devait trouver par conséquent un moyen de paraitre totalement invisible envers le groupe de personne arrivant vers sa position. Finalement, il trouva. Une bouche d’aération située en hauteur, facile d’avoir accès et par conséquent fournira une très bonne cachette envers son enveloppe corporelle tout simplement magnifique. Sautant rapidement et avec une ardeur assez inquisitrice contre tout cela, le jeune homme se faufila dans tout cela. Posant son enveloppe corporelle en toute discrétion. De sa position, maintenant, le militaire de haut rang pouvait voir tous cela. Son souffle chaud se coupa pendant de lentes secondes. Sa tension augmentant progressivement, le jeune homme observa le petit groupe de ninja venir finalement envers sa position. Ils étaient trois. Equipements plutôt conséquent pour ces trois personnes mais rien de bien dangereux pour du combat au corps à corps. Les laissant tranquillement partir, le jeune homme à la crinière purement flamboyante, doucement mais surement, l’enveloppe corporelle se reposta définitivement contre le sol froid et métallique de tout cela. Sa mission, avait failli être un échec en moins d’une seule et unique seconde. Regardant tout cela avec une certaine nonchalance, il perça sa boite à armes, sortant finalement ses fameuses armes bien singulières des membres d’élites des forces du village de la brume. Les aiguilles empoisonnées. Simple, discret, puissant.
Finalement, ils disparurent tous envers la troisième et unique plateforme. Une grimace de dégout perça définitivement son visage. Apparemment, le combat allait devoir être de mise. Mais que cela ne tienne, du sang coulera encore et encore envers les nombreux ninjas de son propre village qu’est : « Konoha No Kuni. » Simplement mais surement, l’homme se dirigea vers le troisième étage, assez rapidement pour tout dire. Autant mettre fin à la mission de rang « S.S » au plus vite quitte à que tous cela se termine dans un flot de sang ainsi que de nombreux débris. Se stoppant doucement, ils postant trois aiguilles contre ses mains. Il s’était bien entendu entrainer avant à tout cela. Arrivant finalement dans les escaliers, le jeune homme se stoppa comme il l’avait déjà fait de par le passé envers l’escalier menant au deuxième étage. Le militaire devait visualiser cette petite troupe de militaire qu’il connaissait peut-être. La tâche n’étant nullement aisée de par les nombreux cris des prisonniers ainsi que les immenses et gargantuesques déflagrations sonores venant emplirent tous cela. Soupirant doucement, l’homme releva doucement sa tête envers le troisième étage. Tuer des personnes de son village était finalement quelque chose de beaucoup plus dur qu’il imaginait. Mais pourtant, le changement doit être de mise dans tout cela. Que cela ne tienne. Sortant définitivement de l’escalier, son regard remarqua directement le rassemblement de ninjas de Konoha. Tous dos à son enveloppe corporelle. Une erreur mais certes, ils ne pouvaient bien entendu pas savoir tous cela. Se concentrant rapidement, l’ectoplasme de plaisir lança avec rapidité et précision les trois aiguilles qui se plantèrent dans un très léger bruit sonore. Une esquisse de sourire perça définitivement sa façade blanchâtre mais pourtant, il mal-être s’imposa dans son cœur. Le militaire s’approcha d’eux, subtilisant les clés…
Ils étaient morts pour le changement et leurs corps seraient par conséquent oubliés dans tout cela. Un avenir dans les hauteurs paradisiaques assez maussades mais que cela ne tienne. Il le fallait. Ne s’attardant nullement sur les cadavres de ses compagnons, l’ectoplasme de malice ainsi que de discrétion ressortit tranquillement la photo de l’immense créature satanique n’étant rien d’autre que le prisonnier de tous cela. Son regard se posant sur la photo, le fantôme aux yeux émeraude resta comme cela pendant plusieurs secondes. Puis, définitivement, ce bout de papier retrouva alors sa position initiale, à savoir l’une des nombreuses poches de la tenue d’A.N.B.U de Kiri No Kuni. Maintenant, le jeune homme à la peau purement blanchâtre devait bien entendu faire assez vite, les corps allaient être facilement trouvable de plus, cela avait eu la très bonne idée de mettre dans une pseudo-joie les nombreux prisonniers se trouvant définitivement sur le troisième étage. Les regardant pendant un petit moment, une esquisse de sourire perça ses fines lèvres magnifiquement rosâtres. Leur existence changera du tout au tout une fois le changement effectué, ils pouvaient tous en être absolument sûr. Regardant alors plus attentivement les nombreuses cages, il s’arrêta devant l’une. Enfin. Tranquillement, il plaça la clé dans la serrure, ne portant nullement attention à l’énergumène assez las. Rentrant par la suite dans la cage assez dorée, l’homme s’approcha de lui, relevant tranquillement son menton pour bien observé son visage. Cela était lui, aucun doute pour cela. Esquissa de nouveau un petit sourire, ses mains détachèrent le prisonnier devenant alors un homme libre par la même occasion. Posant un sceau explosif contre l’un des murs de la prison, il se recula, important aussi le fameux monstre. Faisant exploser le mur, ce dernier donna sur le foret environnant. La liberté.
« Sautez. »
. : Fin. : .
Dernière édition par Moroshi Hunk le Jeu 28 Juil 2011 - 0:18, édité 1 fois
InvitéInvité
Sujet: Re: La libération du changement. [Mission de rang SS] |Privée| Mer 27 Juil 2011 - 23:47
[Desoles du post de merde, j'ai vraiment pas la foi x)]
Les humains, je les observais, je scrutais chaque mouvement qu'ils pouvaient faire. Depuis un long moment j'étais coincé dans une cage d'orée, ils me faisaient parfois sortir dans un troue immense remplit de misérable détenu : je les regardais se battre comme de médiocre animaux et il arrivait parfois que les gardes se prête au jeu. Après quelques bonnes heures passés à s'amuser, les gardes me jetèrent dans ma cage, profitant de ma dît faiblesse pour me tabasser un petit peu, un regard suffisait grandement pour leur faire peur et pour ensuite les éloigner de moi. Qu'est-ce que je fichais ici ? J'aurais tant voulu être dans une mission d'infiltration, mais ce n'était malheureusement pas le cas puisqu'en effet j'avais fait la bourde de trop . M'introduisant dans le village de Konoha, détruisant l'une des grandes fenêtres du bureau de l'homme qui dirigeait le village : j'avais bafouillé le respect qu'on devait montrer à chaque pays . Mes yeux s'étaient figés au paysage qu'offrait la fenêtre de ma cellule, j'avais une vue sur toute la foret de Konoha, un sourire espiègle c'était affiché sur mon doux visage, je sentais la fumée de la guerre approchée . Alors que je vivais un autre jour comme un autre, j'entendis les hommes de la prison discuter entre eux : «Tu as entendu ça ? Il parait que les Kiri-jin sont au pied du village... Les prisonniers s'excitent ... tout ça à cause d'une seule et maudite personne !» l'homme se tourna vers moi, il avait une expression colérique, il ne voulait surement pas mourir aujourd'hui . Je rigolais bien ici, j'aimais bien les voir s'inquiéter comme des rats morts, je scrutais les deux gardes pour ensuite rire fortement . D'une voix sadique et particulièrement moqueuse je dis une chose comme :
«Hahaha, vous allez tous comprendre qu'est-ce que la brume sanglante... Vous ramperez devant nos pieds !»
Puis une grande agitation, des prisonniers qui gueulaient en entendant tous ces bruits, j'étais assit, les bras croisés, la tête baissée et le sourire au coin de la bouche. Quelques minutes plus tard, nous pouvions encore entendre les autres détraqués crier, ce n'était pas très distrayant et à la longue ça en devenait même ennuyant. Un homme vint à moi, il semblait prétentieux, supérieur ; il ouvrit subitement ma cage et me fis un sourire, sourire qui n'était pas amical, mais plutôt provocateur . L'homme ou plutôt le barbare explosa le mur pour ensuite me donner un pseudo ordre . J'eus un long temps d'adaptation, j'avais un peu rouillé dans ma vieille cage d'animaux . Avant de partir je fis quelques pas en arrière, je scrutais les autres bêtes, ils hurlaient, suppliaient de l'aide alors que moi j'étais libre ; un sourire se formait sur mon visage, j'avais des yeux exorbités par l'excitation et je pense que si j'aurais écouté la voix dans ma tête, je les aurais tués depuis un bon moment. Je me rapprochai de mon sauveur pour ensuite observer ce qui semblait être sa face , d'un ton tout à fait amical je lui répondis : «Vous, les humains, vous êtes assez spécial, vous trahissez vos frères d'armes rien que pour sauver un ennemi... Est-ce pour le pouvoir ? Oui je le vois dans votre âme... Vous êtes plus cupides les uns que les autres »
Ils étaient tellement corrompus, ça me faisait pitié de voir cette race s'entretuer pour avoir plus de pouvoir . Un saut suffit pour me retrouver au - dessus de la foret, c'était un sentiment agréable et je ressemblais fortement à un délicat oiseau. Les hommes me considéraient comme un monstre, mais je n'étais rien de tel ! Ok j'étais différent, mais j'avais quand même des similitudes avec eux . L'heure n'était pas à blablater, une guerre se préparait et je serais peut-être l'un des principaux acteurs.
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
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Lun 25 Juil 2011 - 17:09
