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Konoha était en guerre. Une fois de plus, comme elle en avait connus tant d’autre. Et à chaque fois, elle avait remporté la bataille. Mais cette fois ne serais pas similaire aux autre fois.

Car l’attaquant d’aujourd’hui était le terrible village d’Oto. Leur armée était très puissante et on disait qu’ils possédaient les meilleurs ninjas au monde. L’issus des combats allaient soient prouver cette théorie, soient augmenter la gloire du village caché de la feuille. Personne ne savait d’avance qui allait gagner.

Le village était vide. Vide en l’absence des habitants. Vide des cris des enfants. Vide des discussions des parents. Des entrainements des ninjas. Vide de sa vie. Seul la mort était présent. Encore plus forte qu’auparavant. Écœurante à faire vomir les plus faibles. On pouvait percevoir son chant, sentir son odeur. La mort encore et encore, partout. Elle planait au dessus de la ville, comme une sombre menace, un présage de mauvais augure.

Agor était prêt. Durant toute son enfance, il c’était entrainé dur, apprenant encore et encore pour devenir puissant. Et assez fort pour survivre. Car aujourd’hui, tel était la mission des forces de Konoha. Survivre assez longtemps et envoyé de plus d’ennemies en enfer, là d’où ils venaient.

Son bandeau de konoha sur le coup pour éviter de le gêner, il était vêtu d’une armure d’Anbu qu’il avait « emprunté » à l’armurie et qui le protégeait efficacement des coups tout en lui laissant plus de souplesse à ses mouvements. Dans son dos pendant un katana, issus de son père qui le lui avait offert lors da réussite à l’examen de juunin. Il avait également sur lui un véritable petit hôpital ambulant, qui lui permettrait de soigner les ninjas blessés directement sur le champ de combat, pour qu’ils puissent rapidement reprendre le combat.

Car il était un juunin spécial de Konoha, emplit de la connaissance de la médecine et de tout les jutsus médicale, qui lui permettait de sauver le plus de vie possible durant la bataille. Il était donc un élément important du village et ne devrait pas tomber sous peine de mort à des dizaines de ses camarades.

Pour l’instant, il sautait de toit en toit dans un des nombreux quartiers d’habitation de konoha. L’endroit était désert, mis à part les ninjas qui se battaient. Tout les civils étaient en sécurité dans un endroit sur, comme l’indiquait le plan que l’hokage avait fait en cas d’attaque. Les forces alliés devaient harceler l’ennemis dans les ruelles de la ville lançant des embuscades afin de l’affaiblir et enfin, de remporter la victoire. Du moins, c’était le plan original mais aucun de survivait sur le plan de bataille et c’est pourquoi les Junins et Chuunins devraient faire preuve d’initiative, sans attendre les ordres de supérieur.

Il regardait de tous côtés, pour voir ou étaient les combats et si on avait besoin de lui. Il ne devait provoquer de combat et s’y engager que pour aider un des siens. Sur sa droite, des cris de femmes résonnèrent à ses oreilles, signe que des civiles étaient encore là. Aussitôt, il fit route vers les bruits.

Il s’arrêta sur un toit et s’accroupit dans l’ombre pour ne pas se faire voir. Des femmes, des enfants et des vieillards courraient en direction du quartier général. Sa devait être les derniers habitants à se réfugier. Un chuunin les guidait, les exhortant à se dépêcher. Bien lui en prit car un premier ennemi arriva. Et pas un des moindres. Agor sentit son puissant aura, avant même de tourner la tête pour le voir. Et se qu’il vit ne lui plut pas du tout.

C’était un des fameux chevaliers d’Or du village d’Oto, élite parmi les élites, qui détenait tous une puissante armure couleur Or, et qui leur conféraient, en plus d’une solide protection, des pouvoirs supplémentaire.
Le pauvre chuunin sortit un kunaï et se rua sur le nouvel arrivant mais ne réussit même pas à l’effleurer. Un coup sur la nuque réduisit sa vie à néant. Le chevalier avait à peine bougé. Alors il dit gentiment au cadavre tombé à terre quelques mots, qu’Agor put à peine entendre.

-Merci de m’avoir offert ta vie.

Ainsi, ce ninja aimait tuer. Pourquoi ? Qu’es ce que cela procurait-il ? Agor ne voulait même pas y répondre. Lui-même vivait pour sauver les gens. Pas pour les tuer. Il était l’entière opposée de cette homme là en bas. Il ne pourrait pas aller le combattre sans se laisser aller à la haine. Et s’il succombait à ce sentiment, alors il n’aurait aucune chance. Voila pourquoi il ne se lancera pas dans se combat là. Pour le chuunin, il n’y avait plus rien à faire. Pourquoi mourir bêtement dans un combat qui ne lui apporterais rien du tout, si ce n’es une place au ciel.

Un nouvel arrivant fit place dans la ruelle et engagea le combat. Du moins, il jaillit d’un des bâtiments et se rua sur le ninja d’Oto en lui décrochant des coups de pieds et de mains de tous les côtés. On dirait qu’il volait dans les airs. Il se servait d’impulsion d’air, sortant de la paume de ses mains, de ses pieds, des coudes et des genoux. Des impulsions d’air ? Agor ne connaissait qu’une seule personne qui combattait ainsi : Callayume, son compagnon de mission.

Voila longtemps qu’il ne l’avait pas vu. Le chuunin n’avait pas d’arme, ni d’armure. Il portait sa traditionnelle lunette noire, qui lui bouchait complètement la vue. Nul ne savait comment il faisait pour se déplacer aussi facilement alors qu’il ne pouvait rien voir.

Aussi rapide soit ses attaques, elles ne représentaient rien aux yeux du juunin d’Oto qui les paraient simplement avec ses mains ou ses jambes.
La distance avait augmentaient entre eux. Chacun se tenait face à l’autre et ils se regardaient. Le ninja d’Oto parla. Cette fois-ci, Agor entendit distinctement ses paroles.

« Bonjour, jeune ninja de Konoha… Mon nom est Toshiro Kodo, chevalier d’or du lion et juunin d’Oto ; je ne voudrais pas combattre quelqu’un dont j’ignore le nom donc je vais te laisser 10 secondes pour te présenter… Passé ce délais que tu ai répondu ou non tu succombera à ma volonté ».

Ces paroles n’étaient pas à prendre à la légère. Agor savait que seul, Callayume n’avait aucune chance. Néanmoins, il pourrait tenir quelques minutes face à son adversaire. Il devait mettre à profit se temps là. Il commença par réunir son chakra dans les paumes de ses mains et dans son ventre afin de pourvoir l’utiliser rapidement. Puis il contourna la place et vint se mettre juste au dessus de Callayume. Il sauta en avant et se retrouva sur un petit store de boit qui donnait sur la rue, au niveau de la tête de son camarade. Dans sa main, son sabre attendait, lame baissé vers le sol. Son visage était neutre. Une petite voie dans sa tête lui disait qu’il allait mourir ici, sur cette place avec son compagnon et qu’il ferait mieux de s’enfuir mais il ne l’écouta pas. C’était trop tard.

Toute haine l’avait abandonné et il combattra sereinement pour la gloire de Konoha. Il regarda leur énnemi et un sourire naquit sur ces lèvres :

-Callayume ? Tu croyais sérieusement que j’allais te laisser t’amuser tout seul avec cet homme là bas. J’ai droit moi aussi à une part de gloire. Et quel idée d’avoir oublié ton équipement. Tient, comme je suis grand prince, je vais te filer une arme.

Il sortit de sa poche un petit couteau suisse et le lança à son compagnon toujours en souriant.

-Je ne pense pas que tu auras besoin d’une meilleure arme pour gagner contre ce zozo là bas.

Malgré ses paroles sur le ton de la plaisanterie, ses yeux trahissaient une profonde concentration. Il savait qu’ils n’auraient pas le droit à l’erreur sur se coup là et qu’ils devaient vaincre ou mourir… Glorieuse perspective en cas d’échec. Il se tourna vers Toshiro et embrassa son épée puis pointa la lame de son sabre dans sa direction en guise de salut.

-Salut à toi, chevelier D’or. Je m’appelle Agor Hiushagamo et je suis un juunin. Mon compagnon s’appelle Callayume et c’est un Chuunin. Nous sommes tout deux des ninjas de Konoha et vouons notre vie et notre âme pour sauver ses habitants. Toi, ninja d’Oto, sache que nous ferons tous notre possible pour t’éliminer toi et tes semblables. Ne prends pas ça comme une histoire personnelle. Aujourd’hui, il faudra vivre ou mourir. Et personnellement, je préfère vivre.

Pendants un instant, une lueur de défis sortis de ses yeux puis son visage redevint inexpressif. Il était prêt à combattre.

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Spoiler:

Les deux ninjas que j’avais devant moi n’étaient pas du tout à prendre à la légère et de toute façon ce n’était pas mon genre, d’un autre côté moi et Suigetsu contre eux deux, ça ne me plaisais pas trop alors d’un coup d’œil rapide et tranchant je le fis comprendre à mon comparse qui choisit d’affronter Agor et cela me convenait parfaitement… Effectivement, ce chuunin que j’avais devant moi était plutôt téméraire, sur de lui mais surtout calme et réfléchit ce qui présageait un combat virevoltant et attrayant. Evidement notre pacte ne leur était pas encore connu mais Suigetsu fit en sorte de le leur montrer clairement.

« Hé toi le couteaux suisse !!! Met toi du sel, je viens te dévorer » dit il d’un ton sadique et comique à la fois.

Ce jouvenceau étaient vraiment étonnant, tout en lui m’intéressait mais pour l’instant il me fallait me concentrer sur mon combat, et mon adversaire lui l’était ; il venait de me lancer plusieurs projectiles d’une façon admirablement adroite mais c’était sans compter sur mon agilité qui me permit de les éviter sauf une qui tout de même ne fit que frôler mon armure. Il s’en suivit une série incroyable de coups que j’encaissais étonnamment bien mais après un certain temps la vitesse que lui procurait sa technique peu commune donna assez de force à un de ces coups pour me faire bouger un petit mais je réussis à camoufler cela en enchainant avec un retourner qui l’éloigna de moi mais à peine assez loin il enchaina avec un technique de vent et des projectiles, mais d’une façon nettement moins efficace ; l’épuisement aussi paraissait évident sur lui. Evidement ce n’est qu’un chuunin mais…

Une fois encore, l’être illuminé que j’étais allait connaitre son bonheur… éclairé de sa lumière miroitante les gens égarés dans les sombres ruelles de la vie. La peur, ce sentiment destructeur, provient de l’impitoyable douleur, qui suit macabrement chaque malheur. Mais moi ! Je n’ai pas peur. J’ai connu tant de douleur, tant de malheur… que je n’ai maintenant peur Que de la peur elle-même. Cependant il est rare de trouver quelqu’un comme moi, c’est pour cela que tôt ou tard la peur t’envahira, et comme dénouement final… Elle te conduira à une mort sombre et abyssale. Oui ! La plupart des hommes ont peur, que ce soit d’un humain, d’un jugement, d’un dieu ou d’une douleur ; certain ont même peur de ce moi intérieur ; qui habite éternellement leur cœur.

La plus vicieuse des peurs reste celle de mourir, celle qui vous pousse inlassablement à vous enfuir, et à soi même se mentir, et quand elle viendra avec son rire sadique vous allez sans doute vous dire… Pourquoi j’ai si lâchement Fuis ? Pourquoi je n’ai su profiter de la vie ? Pourquoi j’ai tout fait pour l’éviter ? Sachant qu’elle allait -tôt ou tard- venir me consumer. C’est indubitablement les questions qui tourmenteront celui qui a peur de la mort ailée, quand il sera sur le point de la rencontrer, et verra qu’à cause de cette peur qui l’a hanté, de la vie il n’a pas su profiter. Alors prenant connaissance de cela, j’ai été envahi par la plus noble des peurs, celle qui m’offrira à la fois puissance et ardeur, sans oublier la joie dont on ne se lasse pas.

Si pour les autres la peur est une faiblesse, pour moi c’est une force sans lesse, qui obéît tout de même à son maitre, et lui procure un infini bien être. Maintenant je vais affronter ce guerrier, que la peur guette avec un air affamé… Elle veut impitoyablement le dévoré, et avec son rire diabolique l’effacer. Je ne tuerais que ceux qui le méritent, et pas forcément ceux qui m’irritent, Non ! J’exterminerai ceux qui ont fait de la peur un jeu, et ont rendu ce monde si lugubre et malheureux. Ok, je vais maintenant y aller, il faut bien commencer, pour espérer un jour finir, et pouvoir être satisfait de soi-même à l’avenir. Après ces maintes réflexions intérieures, je me décidais enfin à continuer le combat, mais à cette heure, il me fallait clore un certain débat :

« Je sais que t’éliminer serait à ma portée, mais je n’aime pas tué les être doté, d’une si belle et chatoyante pureté, qui me donne un sentiment de calme velouté. Je vais donc faire une exception, je t’offre le choix entre deux sort différents : soit tu persiste et la douleur deviendra un mot trop doux pour ce que tu sentiras, soit tu te rends et à la prison d’Oto tu résideras. De toute façon la prison t’accueillera tôt ou tard, car j’ai décidé de t’épargner petit veinard, donne moi donc ta réponse, qui décidera du destin qui pour toi s’annonce »

Un bruit sourd interrompit ma conversation… Quelle deferlation !!! Une aura sourde et un chakra lourd, une fournaise qui ferait pâlir n’importe quel four !! Etait-ce la vraie puissance de Suigetsu ?? C’était effectivement un démon fou, un être démoniaque, au sourire maniaque… Son combat était donc fini avant d’avoir commencer.
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Aprés le combat
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Spoiler:

« Tchao Toshiro… délecte toi de ta proie !! ».

-Ok ! à la prochaine Sui disai-je étonné de sa puissance, puis enfin je fixait mon adversaire attendant sa réponse.

Comme cela était excitant… Je pourrais même décrire cette guerre comme étant terriblement exaltante ; j’affrontai des dizaines d’ennemis en même temps savourant avec une extase rare les cris qui détonnaient sous l’effet de mes attaques, le nombre me permettait de varier les plaisirs. Tantôt je châtrai un ennemi et l’instant d’après, j’en décapitai un autre. Hhm… Mon sang bouillait quand leur sang -quand à lui- giclait partout créant une marre gigantesque et étonnamment exquise du liquide rouge acre. Ce sang qui se propageait de leurs corps bientôt inanimés créait en mon fort intérieur un bain de délice exquis. Effectivement, ça faisais longtemps que je n’avais ressentis un tel degré d’extase et d’amusement ; peut être même que c’était le plus fort depuis le massacre que j’avais provoqué lors de l’examen de l’académie à Kiri.

J’arborai aujourd’hui une humeur spécialement sadique et ne me préoccupai plus que de la manière avec laquelle je provoquerai le plus de souffrance et de douleur chez mes ennemis. Mon surnom de démon n’avait jamais eu autant de sens et à dire vrai, si je n’étais pas moi-même, il était indéniable que ce monstre inhumain me paralyserait de terreur… Une malédiction c’était abattu sur Konoha, tout ceux qui me croisaient étaient abominablement écrasés. Quand j’en eu fini de ce petit encas, je vit que Toshiro –cet homme à la force phénoménale- ne voulait pas tuer la fourmi au bandana qui se tenait devant lui ; pff… Que c’était pathétique, pourquoi laisser quelqu’un d’aussi minable en vie, mieux vaut qu’il serve au moins à nous divertir de part ces hurlement et sa souffrance. Soit… Je n’allais pas m’opposer à cette volonté, il avait quand même le droit de faire ce qu’il voulait de ces proies… Un instant, l’avorton au couteau suisse lui ne semblait pas l’intéresser et d’un petit regard furtif il me confirmait cela. C’était décidé… Le requin allait manger suisse aujourd’hui.

« Hé toi le couteaux suisse !!! Met toi du sel, je viens te dévorer » dis je avec un ton moqueur et sadique

Afin de joindre l’utile à l’agréable j’allais déployer ma force et en découdre avec le plus d’efficacité possible pour prendre du plaisir et montrer en même ma puissance à mon comparse. Ainsi soit il… Mon chakra fut libérer dans une explosion majestueuse et imposante puis en un clin d’œil j’emprisonnai mon adversaire dans un cercueil de glace après avoir exécuter quelques mudras imperceptibles... C'était la technique du Freezing Coffin. Pour maintenir le cercueil il me fallait garder la même position des mains, donc à peine relacher, j’accourait donc avec une vitesse supersonique en gardant la même position des mains et puis d’un saut majestueux je me retrouvai enfin devant mon ennemi. Le timing était essentiel dans ma manœuvre, à une distance assez proche de mon adversaire et la technique pas encore complétement rompue et dirigea ma main droite vers mon épée la retirant systématiquement de son fourreau puis je tranchai enfin mon adversaire avec –celui-ci ne pouvant toujours pas bouger à cause du froid-

L’attaque était d’une puissance telle qu’elle fendit le pauvre ninja littéralement en deux ; que cela était beau… Ce spectacle me donnait la chair de poule mais je ne stoppai pas ma démarche pour autant ; directement après l’avoir trancher je réunissait son visage à un arbre très solide puis l’attacha brillamment avant de lui enfoncé deux kunais dans chaque mains, même les cris n’avaient pas le temps de sortir tant j’étais rapide et imprévisible puis en le fixant avec un sourire narquois je dis :

« Déshydratation mortelle »

Ces quelques mots furent suivis d’un léger toucher que j’apposai sur lui… C’était la fin, le sang était intarissable, la victime était complètement paralysé et je lui avait assené le coup de grâce avec ma technique de déshydratation. En fait… Il était bel et bien mort. Parfois, je pouvait vraiment être démoniaque mais c’est ma nature et elle ne me déplait pas du tout. Ayant décider de m’en aller je pris alors le soin de saluer Toshiro avant de m’en aller.

« Tchao Toshiro… délecte toi de ta proie !! » dis je avec un sourire amicale puis je m’en allais au loin laissant derrière moi un vrai cimetière et un bain immonde de souffrance .