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Akatsuki : Le pays des nuages, tintés de sang.Sujet: Akatsuki : Le pays des nuages, tintés de sang. Dim 20 Sep 2009 - 19:22 | |
| Le Pays des Nuages, tintés de sang.
Après la longue discussion avec Mayaku, mon avis sur le sujet fut fixé, j'allais rejoindre l'Akatsuki dans son combat. La première mission, que dis-je, ma première mission n'était pas d'une simplicité extrême, tout au contraire, la capture du Raikage n'allait pas être facile sachant que de plus, c'est un Jinchuuriki. Le plus troublant était le fait que c'était la première fois que quelqu'un m'accompagner pour une mission.
J'espère qu'il sera à la hauteur sinon je me devais de le tuer pour qu'il ne me gène pas, d'après Mayaku, c'était un homme d'une taille inférieure à la moyenne, des cheveux violets et des yeux marrons, il était accompagné par un clébard et il se battait avec, quel drôle d'idée, il ne pouvait pas vaincre des gens sans son chien. Mais il n'était plus temps de se poser des questions, je revêtis la cape de l'Akatsuki et posa le chapeau sur ma tête, il était temps de tinter les nuages du village de Kumo Gâkure d'un rouge sanglant...un petit problème, c'est par où ?
Je pris le temps de sortir une carte du monde connu et je regardai la direction à prendre pour pouvoir aller à Kumo, cela n'était vraiment pas loin, pour moi, même pas une journée de marche pour quelqu'un comme moi. Je pris donc mon épée que je mis à ma ceinture, sous la cape pour qu'elle ne soit pas visible et puis je pris la direction que m'indiquais la carte. Il était temps de montrer à Kumo quel est l'ampleur de la force des membres de l'Akatsuki et surtout de moi, le roi du Vide.
Les arbres défilés devant mes yeux, il n'y avait rien d'extraordinaire dans le fait qu'il n'y ai que de la forêt dans cette région, je venais juste de quitter le pays du feu mais ce qui m'inquiétait le plus, c'était le fait qu'à partir d'aujourd'hui, je n'étais plus simplement un nuke-nin mais aussi un shinobi faisant parti d'une des organisations les plus dangereuses dans le monde des ninjas.
L'Akatsuki est une organisation cherchant les bijuus partout dans le monde dans un but totalement économique, pour que la guerre se re-déclare dans le monde des shinobis, mais je suppose que ce n'est pas simplement ça et qu'il y a quelque chose de cacher derrière ce plan mais Mayaku, prétendant être le chef de l'Akatsuki, me dit qu'ils allaient m'aider à prendre ma vengeance sur mon ancien village et cela me suffisait pour rejoindre l'organisation, et c'est pour cela que je suis en direction de Kumo Gâkure no Satô.
L'atmosphère devint différente, on pouvait sentir plus d'humidité dans l'air, je compris donc que je m'approchais de ma destination, ce qui me ravis car comme ça, cela pourrait être fait très rapidement mais aussi car j'allais bientôt rencontrer mon coéquipier, Mayaku m'avait dit qu'on aller devoir se rencontrer à la porte Ouest du village de Kumo Gâkure no Satô, il n'était plus temps de rigoler, je devais mettre en place un plan d'attaque car attaquait un Kage d'une des cinq grandes nations n'allait pas être une chose des plus faciles que j'ai faîte dans ma vie et je pense que même à deux on aura du mal mais je n'ai jamais testé mes véritables capacités sur quelqu'un donc je ne connais pas vraiment mas force mais je sais que je suis suffisamment fort pour rentrer dans une organisation d'élite comme l'Akatsuki.
Si mon partenaire était bel et bien un possesseur d'un chien ninja, je me devais de m'en servir pour pouvoir pister le Raikage, car moi-même, je n'avais pas de jutsus pour traquer les gens, je ne pouvais que les détecter grâce au vent qui compose l'atmosphère, et justement, je sentis un trouble dans la surface du vent, un groupe de 3 ninjas, une équipe de genin et un chef chuunin je suppose, c'est la composition normale d'une équipe d'entraînement, se dirigeait dans ma direction, cela faisait longtemps que je n'avais pas tuer et je voyais déjà le bout de la forêt qui me laissait penser que j'arrivais bientôt au village, les portes devaient être à même pas 100 mètres.
Je m'arrêtais pour attendre l'équipe de ninjas qui arriva plutôt lentement, quand ils arrivèrent, ils virent mon manteau et ne prirent même pas le temps de se regarder, ils s'enfuirent vers le village et cela me permit d connaître le chemin, quand ils arrivèrent aux portes, moi derrière, une troupe de 3 gardes se mirent devant moi pour me bloquer le chemin et l'équipe d'avant s'arrêtèrent pour prendre les armes. Un des gardes dit.
« L'Akatsuki n'est pas la bienvenue en ce lieu, vous êtes en état d'arrestation, veuillez vous rendre sans commettre d'imprudence ou nous vous tuons. »
Je n'étais là que pour attendre mon partenaire de mission mais sa menace me donna une envie meurtrière, je sortis mon sabre de sous ma robe traditionnelle et avec une vitesse impressionnante, je décapitais chaque ninja présent sur la scène et d'une voix faible mais suffisamment forte pour l'entendre, je dis.
« Let's walk together on the bleeding road. Welcome to my Nightmare. »
Il était bientôt temps de plonger ce village dans le cauchemar mais il manquait un protagoniste quand soudain...
Dernière édition par Ryuusei Byakudan le Mar 29 Sep 2009 - 19:20, édité 3 fois |
Sujet: Re: Akatsuki : Le pays des nuages, tintés de sang. Dim 27 Sep 2009 - 22:22 | |
| Alors comme ça... Saruwatari était approuvé par le Grand Patron... Bah, son idée de coup d'état était tout simplement génial, le Chef n'avait pas trop d'autre choix que d'encourager son autre membre. Quand l'Inuzuka fut fixé sur sa mission, il bondit sur le dos de Yoshikuni, qui déguerpit du repaire de l'Akatsuki à toutes vitesses, éclair ténébreux fendant l'air d'une aura de malheur. Saruwatari, bercé par le rythme des pas de son compagnon galopant, se laissa aller à ses pensées... Un jinchuriki à capturer... Et pas n'importe lequel en plus ! Le fameux bras droit aux huit katans, l'abeille tueuse, le seul qui avait réussit à maîtriser son bijuu... Un challenge sympathique qui, s'il était réussit, donnerait la possession de Kumo-no-Kuni à l'Akatsuki. Mais ce que le déserteur de Konoha trouvait étrange, c'est qu'il avait était assigné à un équipier qui, lors de la réunion, n'était pas présent... Le ténébreux Mayaku accordait-il assez de confiance à un shinobi pour le laisser hors de ses menaces ? Dans ce cas, ce devait être un puissant ninja... Mais quelle importance après tout ? Il était totalement impossible qu'il soit aussi démoniaque que le Diable lui-même, et Saruwatari n'aurait donc rien à craindre... De plus, il profita du voyage pour mettre au point sa fameuse technique. Au bout de quelques heures, il réussit à braquer sa conscience sur celle de son chien pendant une ou deux secondes. Rien de bien suffisant, mais l'idée y était. Il ne restait plus que l'entraînement, et d'ici à ce que Mayaku décide de punir l'Inuzuka, il avait le temps d'en faire beaucoup...
Après plusieurs jours de courses et plusieurs nuits à la belle étoile, l'atmosphère commença peu à peu à s'alourdir. L'orage couvait. Au loin, de gros nuages noirs, souffle de quelques dangereuses créatures, roulaient, abritant un tonnerre apocalyptique que seul Dieu pouvait maîtriser. Les heureux souvenirs emplissait peu à peu la cervelle de Saruwatari. Une forêt. Des monts et des vallées... Oui, au loin, un pic de montagne dévasté... Dévasté par un terrible dragon électrique qui frappa violemment le sol, une tornade chaotique incontrôlable, la colère de Zeus... L'Inuzuka sourit et descendit du dos de Yoshikuni. Il avait enfin pénétré dans le pays de la Foudre. Autant montrer aux végétaux ce qu'il avait appris ici quelques semaines plutôt. Le vent... le vent frais fouetta son visage, faisant tournoyer ses cheveux... D'abord doucement, puis de plus en plus vite. L'électricité, intense, emplit son corps... Puis l'air alentour, sous la forme d'un petit dragon rugissant qui, bon gré mal gré, alla s'écraser doucement contre un arbre. Le déserteur de Konoha se craqua les doigts. Il arrivait désormais à contrôler quasi parfaitement son jutsu, vu qu'il pouvait influencer sa taille, sa force... Et cela lui serait utile pour tinter le sang de Kumo d'un peu d'ironie. Eliminer les rois de la foudre par leur propre élément. Une émission amusant et cocasse, présenté par Saruwatari Inuzuka, en direct du village dévasté, radié, réduit à l'esclavage, de Kumo-no-Kuni. Héhé, quel programme tentant et prenant. Saruwatari avait déjà hâte d'y être. D'ailleurs, que voyait-il tinter, au loin ? Oui, c'était la Ô combien douce et sympathique porte du village caché de la foudre. Une porte qui était sensé protéger de stupides ninjas ne sachant pas se défendre... Héhé, le sort que l'Inuzuka lui réservait était à... Tomber par terre. Oui, c'était le bon jeux de mots. Décidément, il était en pleine forme aujourd'hui. Mais il s'agissait de faire une entrée remarqué. Pas un stupide truc consistant à arriver, à tuer les gardes, puis à attendre son collègue. Non, il fallait choisir des gestes spéciales, une pose qui serait vraiment du "tonnerre" (encore le bon jeux de mots), qui éblourait tout le m... Une personne attira l'attention de Saruwatari. Un jeune shinobi, tout seul, adossé à l'immense muraille qui entourait Kumo-no-Kuni. Ce visage lui rappellait quelqu'un... Oui, c'était sans aucun doute un des élèves du juunin que l'Inuzuka avait utilisé pour apprendre sa technique ! Il croyait l'avoir tué... Enfin, ce n'était pas bien grave, une erreur c'est vite réparé...
Aeki se baladait, seul, en dehors de son village. Des larmes coulaient sur ses joues, comme c'était souvent le cas depuis quelques semaines. Il les essuya avec rage. C'était à cause de ce... salaud de membre de l'Akatsuki qu'il était dans tout ses états ! A cause de cet ignoble assassin, il avait perdu son frère jumeau, son maître... Et surtout sa petite amie... D'ailleurs, Aeki devait normalement être mort, lui aussi. Mais il devait son salut à une kunoichi médecine qui passait par hasard par là et qui, malheureusement, n'avait réussit qu'à sauver le jeune ninja, qui avait décidé de désormais vouer sa vie à la vengeance... Mais avant de prendre sa revanche, il devait s'entraîner et, depuis quelques jours, il avait trouvé un coin idéal pour ça. C'est le cerveau empli d'une sourde colère qu'il se dirigea vers son arène "secrète", jurant d'éliminer plus tard ce co... Il bondit en arrière en hurlant. Là, face à lui, sur un chien, le dangereux terroriste qui était venu achever sa sale besogne. Mais Aeki n'était pas prêt ! Il ne pouvait pas encore le vaincre ! Il ne pouvait pas... Blessé au ventre, il s'écroula sur le sol. Sa veste troué par un effroyable shuriken. Du sang. Son sang. Et il coulait à flot. Il allait rejoindre son maître, son frère, sa Ki... Une violente baffe le ramena à la raison. Ce n'était qu'une illusion. Il n'était pas mort. Du moins... pas encore...
Saruwatari sourit d'un rictus cruel. Il empoigna les cheveux de sa victime et les tira avec violence, puis fracassa la tête sur le sol. Par une oreille, il amena le visage désormais ensanglanté de son nouvel ami, et lui sussura d'une voix cruel :
"Dis-moi mon petit, c'est bien dangereux de sortir dehors, comme ça, là, tout seul... Tu pourrais te faire tuer par un dangereux brigand... Heureusement que j'étais là pour te tirer d'affaire, hein..."
En partant dans un rire sardonique, l'Inuzuka flanqua un coup de genoux bien placé dans les dents du shinobi, puis le termina en écrasant ses parties... sensibles. Il balança le corps agonisant sur le mur avec une violence telle que le pauvre petit ninja en eut le souffle coupé... A tout jamais.
Saruwatari se frotta les mains. Bon, ça, c'était fait, il ne restait plus qu'à attendre son collègue. Il grimpa avec habileté sur le mur d'enceinte et pénétra discrètement sur le chemin de ronde, suivit de Yoshikuni. Enfin, il se plaça au dessus de la porte, et patienta quelques instants avant de voir surgir celui qu'il attendait. Une fois que son nouveau compagnon se fut défoulé, il envoya un shuriken se planter devant les pieds de celui-ci, lui intimant de lever la tête. Ce que l'autre membre de l'Akatsuki fit, découvrant un homme svelte au cheveux bleus-violets, aux joues flanqués de deux crocs rouges sang, souriant, et accompagné d'un chien à l'air tout aussi sympathique que son maître.
"Salut ! Quand j'vois ta veste, j'ai aucun doute... Alors à moins que je sois con mais... T'es mon nouveau partenaire, nan ? Dans ce cas, moi c'est Saruwatari Inuzuka ! Et si j'te disais que j'suis ravi d'te rencontrer, c'est que je me fouterais bien de ta gueule, donc ravi de te rencontrer !"
[HRP : Vilà !]
Dernière édition par Saruwatari Inuzuka le Dim 4 Oct 2009 - 20:33, édité 2 fois |
Sujet: Re: Akatsuki : Le pays des nuages, tintés de sang. Mer 7 Oct 2009 - 14:10 | |
| - Au fond, qu’est-ce que l’envie ? Un sentiment de réel besoin ou de simple désire ? L’envie est-elle souvent positif ? Bien sûr qu’elle l’est ! A dire vrai, jamais une personne n’aurait envie de devenir faible ou voir même laid ! Peu importe la définition de ce mot, le principal est de savoir que certains d’entres-nous en ont ; au moins une seule envie, un seul désir ou un seul besoin. Eh pour dire, même certains des objets, certes peu, ont une envie. Pendant que d’autre veules ne pas cohabiter, d’autre ont le fabuleux désire qu’est l’assemblement ou voir l’entre-aide. Pour exemple merveilleux, le soleil et le ciel cohabite pour donner un même rêve à ce monde : la gaité. Qu’est-ce que quelqu’un ne ferait pas pour qu’un petit rayon de soleil s’offre à lui ? Malheureusement, ceux qui ne veulent pas cohabiter ou ne sont pas fait pour, ce font une certaine guerre. Pendant que d’autre essaye de rependre un peu de gaieté dans cette vie monotone, d’autre assombrisse la malheureuse vie trop courte. La lune est le parfait exemple pour ceci… Seulement, comme peu souvent un village restait à part des autres. Très peu de guerre, peu de combat, peu d’ennuie et une tonne de gaieté y séjourne. Kumo no Kuni… Malheureusement, aujourd’hui était un jour pluvieux. Tandis que le soleil était caché par beaucoup de nuage gris et un léger, très léger, brouillard, les gens du matin se réfugiaient chez eux. Le ciel grondait, comme si la vie s’accélérait tout à coup. Tout le monde se précipitait pour échapper à cette pluie et à cet orage mais cependant la musique macabre du vent résonna et la peur se réfugia plus profondément dans le cœur des villageois. Ce n’était vraiment pas une bonne journée ! Puis tout d’un coup et assez brusquement, la pluie se mit à baisser d’intensité, l’orage se déchaina ailleurs et le brouillard se dissipa. Malheureusement, le ciel resta grisâtre et le beau soleil n’avait vraiment pas l’air de vouloir pointer le bout de son nez… Tant pis, cela n’allait pas empêcher aux villageois de retourner faire ce qu’ils devaient faire. Trempé jusqu’aux pieds, tout le monde se remettaient au travail, sans même ronchonner. A prêt tout, pour une fois qu’il pleut ici…
- L’on entendait le bruit d’un léger ronflement au bureau Kage. Ce petit son très léger, n’allait vraiment pas avec la carrure du colosse de Kumo, KillerBee ; en tout cas, ce son très léger disparaissait quand il parle car sa voix devient très grave et bruyante. […] Mais qu’attendait-il pour enfin se réveiller et se détacher littéralement du canapé noir et en or sur lequel il dort. Alors que la lumière et la chaleur pénétrait la pièce, les bruits aigüe des escaliers en bois qui grince résonnait dans le bureau. Seulement, ce bruit fit par un garde était bel et bien pour une bonne cause. En autre pour le réveiller pour qu’il se mette au travail, mais c’était bien plus important et dramatique que cette simple chose ! Alors que le garde arriva au pallier juste devant la porte, il put déjà apercevoir et lire le message collé sur la porte : « pas avant 11 heures ! ». Il était dans les environs de 10 heures, donc ça allait dans ses horaires, à peu près. Le garde frappa donc, d’un geste délicat, contre la porte en bois. Il attendit 1 ou 2 minutes, puis un bruit de renversement se fit entendre dans le bureau ainsi qu’un cri très grave. La Raikage était énervé et avait renversé sa table basse en verre contre le sol ; malgré la puissance du bruit et donc du choc, rien ne fut cassé bien heureusement. Tandis que le Jinchuuriki énervé se dirigea vers la porte, le garde compris qu’il valait mieux partir et lui laisser le rapport avant qu’il ne lui arrive quelque chose… Il posa la lettre, partit en direction des escaliers et pressa le pas sans non plus courir car cela était impossible avec un tel escalier. Dommage pour lui, le Kage de Kumo ouvrit la porte et eu le temps de l’attraper par le col et de le traiter jusqu’à la prote de son bureau. Le garde n’eu d’autre choix que de sourire bêtement. Ce garde devait être nouveau et ne devait pas encore savoir que KillerBee détestait que l’on se foute littéralement de sa gueule… Enervé par le réveille, il le fut encore plus par ce fouttage de gueule ! Il le fit assoir très rapidement sur la dernière marche de l’escalier, puis lui frappa avec son pied le dos pour qu’il dégringole à tout vitesse toutes les marches, sans exception – sous peine, s’il se relève, de refaire la parcoure jusqu’à ce qu’il ne se relève pas des escaliers -. Il fit donc ça qu’une seule fois puisque le garde ne s’était pas relever – quelle cruel punition… - des marches. Le Colosse de Kumo se retourna donc vers son bureau, les yeux tout fatigué, puis aperçu la lettre. Il la défit du papier qui le protégeait, puis lu :
- Spoiler:
Rapport de la Matiné : | Tout est stable, ou presque. L’orage, la pluie et le brouillard n’a pas fait de victime et aucune maison n’a été touché. Cependant, deux gardes ont manqué à l’appelle de 9 heures 30. Même après une demi-heure, ils n’étaient pas là. Une troupe de deux personne seulement a été envoyé au cas où des troupes ennemies se seraient infiltrés dans le village.
Cordialement, M.Akiyoshi ; chef de la troupe 1. |
- Non affolé, il se posta tout de même à sa fenêtre et regarda la porte du village… Elle ne semblait pas avoir été forcée et il n’y avait rien d’anormal… Cependant, alors qu’il allait se mettre au travail, il aperçut une espèce de vêtement. Puis en regardant bien, il aperçut un corps, qui portait ce vêtement, et un chien à ses côtés. Il était posté sur le rempart et semblait parler à quelqu’un… Le vêtement, en regardant d’encore plus près grâce à des petites jumelles, était noir sur lequel était dessiné différents nuages rouges. Cela ne pouvait être que l’Akatsuki… KillerBee, se douta que cela allait être pour son Jinchuuriki mais il se mit à sourire. Apparemment, il était content qu’ils viennent enfin le chercher. Il se plaça alors sur son siège de bureau, posa ses pieds sur son bureau serti d’or à quelque endroit et patienta qu’ils viennent le chercher...
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Sujet: Re: Akatsuki : Le pays des nuages, tintés de sang. Lun 12 Oct 2009 - 17:26 | |
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*Teresa... *
~ La pluie tombait à flot en Kumo no kuni. L'orage se déchainait, remonté contre un monde salie... Il balayait de sa puissant les souillures d'un univers imparfait. Elle se tenait là, droite comme une montagne et fine comme un rayon de soleil. Portant son armure d'acier qui renvoyait les gouttes d'eau aussi large qu'une pâquerette. Le tonnerre, sommant à la jeune femme de plier devant lui, mais elle ne fit rien. Que pouvait elle bien faire là, sous une pluie battante, le regard plongé dans les méandres d'un souvenir. Son épée, accrochée en son dos luisait tout comme l'armure, reflétant la force du monde sans pour autant l'atteindre. Elle était là, seule à écouter son coeur. Ils étaient pleine conversation, elle jurant de toujours l'écouter et lui de toujours la guider. C'était ainsi que fonctionnait l'esprit d'un être qui savait entendre et voir les signes. Envoyés par l'univers, pas le cosmos, par une Main divine. Une quête commence toujours avec la chance du débutant, et s'achève toujours avec l'épreuve du conquérant, avait-il dit. Il fallait comprendre, par ce proverbe : l'âme débute avec la bénédiction de la vie, au fil du temps, l'âme est capable de se débrouiller sans cette bénédiction, en lisant les signes et en écoutant son coeur. Et agissant ainsi, l'âme d'un être peut accomplir sa quête et posséder toutes les cartes en main pour affronter l'épreuve finale, qui consiste à réaliser son rêve, à survivre à ce rêve, le comprendre et le vivre, et ainsi le dominer pour le conduire au summum de l'existence. Accomplir cette quête lui permet d'évoluer et de devenir ce qu'il est vraiment. Car la vie ne s'arrête pas à un instant passé ou futur, vivre le moment présent réside en la compréhension de ce moment, qui restera gravé dans la mémoire, pour ensuite être tiré à profit.
Teresa n'avait pas encore accomplie cette quête. Non, elle était en cours et en bonne voix de réussite, car elle savait écouter son coeur et lire les signes. Aujourd'hui, son coeur lui dictait qu'une épreuve l'attendait, et l'orage signifiait qu'elle allait être dure.
- Spoiler:
homme en noir :
C'est alors qu'un homme habillé de noir vint à elle. Il était son tuteur. Bien qu'âgée de 24 ans, elle n'était autorisé à aller où elle voulait, et cet homme en noir était celui qui la guidait, seul juge de ses actes. Étrangement, il l'accompagnait dans ses missions, la plupart du temps, sans que Teresa ne sache d'où il venait et comme il l'avait trouvé. A chaque fois, l'homme en noir questionnait la kunoichi sur sa mission, sa vision des choses. Et la plupart du temps, il la renvoyait pour une autre mission. La jeune femme à l'armure restait cependant le plus souvent au village. En effet, elle était devenu l'oeil du village, de par son dojutsu et son éducation, les gradés lui avait assignés la surveillance de Kumo, avec d'autres bien entendu, et parfois, des missions de reconnaissances et d'espionnages. Il fallait l'avouer, Teresa n'était doué qu'à ça. Ce contentant d'agir ainsi, car après tout, elle n'avait pas son mot à dire. Elle était là pour faire ses preuves et intégrer entièrement le village de la foudre. Elle avait déjà un respect de la population militaire, une crainte aussi. N'étant pas toujours agréable, les hommes évitaient de lui parler tout en l'écoutant attentivement quand celle-ci ouvrait la bouche. Elle n'avait donc pas d'amis. Une seule connaissance, l'homme en noir.
L'homme en noir resta derrière elle à la contempler, la pluie avait cessé :
« Que fais tu seule sous la pluie, Teresa-chan ? Dit-il. -Je contemple la beauté du paysage... Quand il pleut, j'aime sortir car les odeurs chaudes s'évaporent et mon coeur est plus joyeux, fit elle calmement. -Hum... Ainsi, tu écoutes ton coeur si attentivement, prends garde à ne pas trop de perdre, tu pourrais le regretter ».
Teresa renifla une odeur qu'elle s'empressa d'enfermer dans un flacon. Ainsi elle la garderait indéfiniment.
« Quelque chose de suspect ? Demanda l'homme en noir. -Une odeur de chien, répondit la jeune femme. -Kumo n'affectionne pas les chiens comme Konoha, je doute que l'odeur d'un chien errant puisse te parvenir s'il ne se trouve pas dans le village, dit-il ironiquement. -Mon odorat ne se trompe jamais... Des nouvelles, reprit-elle. -Rien qui ne te concerne, des gardes n'ont pas pointés ce matin, mais Killerbee sama a été prévenu. -Vraiment ? Demanda t-elle interpelé. -Comme je te l'ai dis, cela ne te concerne pas ».
Teresa activa son byakugan et sonda les portes de Kumo, là elle repéra deux chakra très puissants, des gardes sans vie et quelques chakra plus petits. Fixant les assaillants, elle remarqua leurs accoutrements étranges, d'après la description qu'on lui avait faite, ces deux là étaient d'Akatsuki. Le coeur de Teresa s'accelera. Akatsuki était aux portes pour le Jinchuuriki, Killerbee.
« Il semble que Killerbee sama ne s'inquiète pas de cette affront, il doit attendre patiemment la venue de ces individus dans son bureau, comme à son habitude, ne pas trop en faire pour si peu, remarqua l'homme avec de grands airs. -Mais il y a déjà plusieurs morts... -Teresa, ce n'est pas de ton ressort, ne crois pas que le Kage te verra d'un meilleur oeil si tu protèges son village, coupa t-il. -Mais son village, c'est aussi mon village, et je me dois de protéger ce qui y réside... Finit-elle par dire ». Ne laissant pas de le temps à l'homme en noir de répondre, elle disparu derrière une maison.
Si Killerbee ne souhaitait pas agir en conséquent, elle le ferait, car d'après les forces évalués de Kumo, il n'existait pas assez de puissants chakra pour tenir tête face aux membres d'Akatsuki. Ainsi, elle irait tout droit se confronter face à son destin, qui le menait aujourd'hui vers l'organisation de la lune rouge.
Dans un cliquetis métallique sonore, ses pas libérant des bruits de sussions à cause de la boue, elle marchait vers les portes. Là, elle aperçut un ninja sur les remparts de Kumo, il était accompagnée d'un chien. D'après ses études du monde ninja, il existait un clan de Konoha qui utilisait un art capable de lier un homme à un chien, c'était le clan Inuzuka. Cependant, elle ignorait que l'un de ces membres avait rejoint les rangs d'Akatsuki. Ainsi, elle faisait face à un autre expert de la traque à l'individu grâce à l'odorat, d'autre part, il devait être doué pour les attaques de taijutsu spéciales à son clan. Son byakugan serait une bonne carte face à lui. Quant à l'autre, il dégagait un chakra plus noir que son acolyte, lui était une menace qu'elle devait prendre au sérieux. Les deux hommes ne semblaient pas l'avoir repéré, le vent était dans le sens contraire et donc l'Inuzuka ne pouvait pas renifler son odeur, une aide du destin, que Teresa ne prendrait pas en compte. En effet, elle sauta sur le toit d'une tour qui surplombait les portes, ainsi elle était visible aux membres de la lune rouge. Maintenant qu'elle était face à eux, son visage se modifia, passant d'un air calme à un style enjoué. Là, elle s'adressa à eux :
« C'est quoi cette odeur ? C'est ton chien qui pu comme ça ? Penses à le faire laver de temps en temps, fit-elle – provocatrice. Je dois admettre que c'est petit de s'attaquer à de pauvres gardes comme cela, mais il est dit que l'Akatsuki est petite, de par son nombre de membres, mais aussi d'actions au sein du monde shinobi. Mais il faut croire que l'organisation la plus criminelle qui soit ne se tourne pas constamment les pouces, ajouta t-elle. Sortant son épée et la plaça devant elle, elle déclara sur un ton de défiance : Vous n'irez pas plus loin ! » ~
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Sujet: Re: Akatsuki : Le pays des nuages, tintés de sang. Dim 25 Oct 2009 - 14:50 | |
| L'autre membre ne réagissait pas. Il restait là, pantelant, un shuriken entre les pieds. C'était finalement un idiot comme les autres, avec certainement quelques compétences, mais un idiot quand même. Bah ! Qu'à cela ne tienne, Saruwatari se ferait Kumo à lui tout seul ! Il laminerait le Kage, prendrait son Bijuu... Et deviendrait le dictateur incontesté du village caché de la Foudre ! Et ensuite, il aurait une armée suffisante pour... Détruire Konoha... Soudain, l'Inuzuka perçut un faible bruit. Il essaya tant bien que mal de voir s'il sentait une odeur étrange mais le vent, frappant vers le sud, bloquait son odorat. Boarf, ce n'était pas si grave car, à moins qu'un shinobi possède un jutsu spécial, le déserteur de Konoha pourrait percevoir son odeur s'il s'approchait près de lui... Une voix attira l'attention du membre de l'akatsuki, qui se retourna. Une silhouette, quelque mètres plus loin, l'interpellait, et cela ne manquait pas d'arracher un sourire au cruel terroriste... Car ses intuitions étaient, encore une fois, bonne : il s'agissait bel et bien d'un shinobi. Ou plutôt d'une kunoichi... Perchée sur une tour, telle une assassine repérant la zone, enfermé dans une sorte d'armure qu'ornaient deux énormes épaulières, elle fixait, de ses yeux ternes, son futur adversaire. D'un ton provocateur, elle osa insinuer que Yoshikuni puait ! Saruwatari ne pouvait tolérer une telle insulte. Enervé, il se plaça en position de combat, tandis que son ennemie sortait une longue épée dont la lame brillait de milles feux, malgré les gros nuages noirs qui cachaient le soleil. L'Inuzuka bondit. En une fraction de seconde, il avait disparut. Seule resté son chien, qui grognait d'un ton peu aimable, sortant ses crocs. Ni en haut, ni à droite, ni derrière, ni à gauche, ni en bas ni... Le déserteur de Konoha se tenait là, souriant, face à la seule défense de Kumo, à la place même où se trouvait, quelques instants plus tôt, son compagnon canin qui s'était désormais apparemment volatilisé dans les airs. Une technique de permutation ? Non... Car, désormais, soufflant doucereusement sur le visage de la kunoichi, se trouvait un deuxième Saruwatari... Puis, plus rien. Retour à la case départ. Le membre de l'akatsuki en position de combat, énervé. Son chien à ses côtés. L'Inuzuka sourit. Il ferma sa main droite, laissant seulement son index et son majeur pointé vers le haut, puis murmura quelque chose d'incompréhensible... Puis, tout d'un coup, il apparut devant son adversaire et, avec un rictus sadique, lui sussura :
"Bouh."
Une monumentale baffe fit rougir la joue de la Kunoichi. Saruwatari, bondissant en arrière, prit place sur le dos de son chien et, riant à gorge déploya, expliqua d'un ton malicieux :
"Haha, joli, nan ? C'est un p'tit tour qu'j'ai inventé y'a quelques jours... J'le trouve plutôt sympa, pas toi ? Enfin bref... Assez rigolé, on passe au chose sérieuses... Mais... J'aime pas trop cette endroit pourri... On change, ok ? Allez, j'espère que t'arriveras à suivre..."
Yoshikuni bondit dans les airs. Il atterit sur le sol avec souplesse, tandis que son maître se retournait et, d'un tonitruant "Yaiba !", brisait la tour où se trouvait son ennemi et, par la même occasion, faisait apparaître un énorme trou dans la muraille de Kumo. Ceci fait, il s'empara d'un kunai et, riant comme un dément possédé par des centaines démons, trancha dans le tas ; à chaque fois que son compagnon canin passait à côté d'un civil ou d'un ninja, hop ! Saruwatari faisait un bref mouvement du poignet et voyait, dans sa folle euphorie, voler bras, tête, ventre et autres membres déchiquetés. Rapidement, les deux amis se firent poursuivre pas une armada de shinobis. Yoshikuni tourna dans quelques ruelles puis, soudain, s'arrêta, montrant son dos aux guerriers. Mais le membre de l'akatsuki avait disparut... Les pauvres soldats n'attendirent pas longtemps avant de le voir tomber du ciel, un katana qu'il venait de trouver à la main, et atterir au milieu de la troupe... Saruwatari, toujours dans son fou rire, s'amusa à tenter de tuer ses pitoyables adversaires en plusieurs coups, ce qui était chose difficile. Enfin, après avoir découpé douze jambes, sept têtes, une vingtaine de bras et avoir arraché environ cinq coeur, il commença à s'ennuyer, et décida d'en finir en brûlant ses ennemis d'un jutsu bien placé. Puis, toujours dans sa folie, remonta sur son chien et poursuivit sa recherche d'une bonne zone de combat, traçant une piste dans le sang et les cadavres... Et, après s'être attiré la haine, la peur puis la terreur des gardes, il s'arrêta dans une immense place où, en son centre, de gigantesques flots jaillissait d'une fontaine. L'Inuzuka, s'arrêtant de rire mais gardant toujours un petit rictus, se plaça en haut de ce mobilier urbain et, croisant les bras, attendit sa future distraction...
[HRP : Bon, je préviens tout de suite pour éviter les malentendus... Je considère que, dans les combats, certains coups sont obligatoirement portés, à savoir les faibles coups qui ne gênent en aucun cas mon adversaire... Comme ma baffe en début de post, en gros. J'utilise souvent ce genre de coups pour élaborer mes tactiques, et cela m'évite donce de me retrouver face à un adversaire qui esquive tout et qui, logiquement, réduit tout mes efforts intellectuels (et physiques :p) à néant. Bien sûr, j'autorise les autres à faire de même avec moi. Dans le même ordre d'idée, j'autorise les autres joueurs à me "faire jouer" pour des choses mineures (me faire regarder en haut, par exemple, ou me faire esquiver des coups). J'aimerai donc savoir si, de mon côté, je peux faire la même chose avec vos personnages... Voilà... (Et si je vouvoie, c'est parce que j'espère qu'il n'y aura pas que Teresa et moi dans cette attaque ><'')] |
Sujet: Re: Akatsuki : Le pays des nuages, tintés de sang. Lun 2 Nov 2009 - 17:29 | |
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