| La lune se lève, prête à être tâchée de sang ...! Sujet: La lune se lève, prête à être tâchée de sang ...!  Ven 26 Fév 2010 - 5:29 | |
| Cela faisait un an, jour pour jour, que l'Inuzuka avait rejoint les rangs de l'Akatsuki. Un an qu'il avait pris contact avec l'ancien chef... Un an qu'il avait juré de détruire Konoha... Et enfin, sa longue patience avait été récompensée. Enfin, après douze mois de dur labeurs, Saruwatari était... Le Bras Droit.
Yoshikuni s'arrêta. Face aux deux compagnons, une montagne, siège de la rencontre entre cinq puissances, entre cinq géants qui s'étaient répartis la direction du Monde. Sasuke, petite frappe ayant trahi l'Akatsuki, Kakashi, stupide Hokage, Killerbee, le jinchurikii sans force, Saga, le Dieu de ce monde... Et un autre, un inconnu, un de Suna.
Piercing-Man avait décider d'attaquer ces rois du monde. Il avait décidé de les étriper, de les éliminer. Un lourd coup pour chacun des villages, qui perdraient leurs dirigeants... Un lourd coup pour le Monde Ninja, qui serait alors plongé dans l'anarchie, terrorisé par le retour de l'organisation de la Lune Rouge !
Mais les plans de Saruwatari était autre. Son but n'était pas de simplement arracher le coeur de chacun de ses adversaires... Non, c'était d'humilier l'Hokage ! De lui montrer la colère d'un jeune enfant, trahi dans ses rêves, trahi par ceux qu'il croyait être les sauveurs de l'humanité, les porteurs du flambeau de l'espoir !
Et après avoir décapité Kakashi Hatake, l'Inuzuka les détruirait TOUS ! Une fois le monde plongé dans un chaos interminablel'Akatsuki n'aurait alors qu'à faire un simple pas pour... Dominer la planète entière. Et tout le monde serait alors obligé de vivre dans une solidarité, dans une fraternité constante, oubliant toute possibilité de sacrifice, de trahison, ne se rappelant que vaguement de la définition de la souffrance... Tout objet appartiendrait à tout le monde, au peuple, et la loi d'or serait l'entraide et le partage !
Mais pour arriver à ses fins, le bras droit de l'Akatsuki devait éliminer les gêneurs, les nombrilistes. Pour l'instant, il ne s'agissait que des Kages. Mais cela allait ensuite s'étendre au clan Inuzuka, à la population de Konoha, à celle du Pays du Feu tout entier ! Le Monde avait besoin d'être réformé, et il fallait éliminer les sombres vers qui le rongeait de l'intérieur, dévorant ses fondations avec une machiavélique lenteur, séparant doucement les hommes les uns des autres, créant des créatures ne vivant que pour elle-même, prête à détruire un comparse pour se nourrir.
Vu l'état ou l'Homme était, la confiance était quelque chose d'obsolète, un mot vide de sens comme d'esprit, servant simplement à entretenir d'innombrables sermons provenant de personnes plus monstrueuse que les autres. L'amour, l'amitié... Des sentiments encore plus inutiles.
Et pourtant, l'Inuzuka devait placer ses espoirs dans des shinobis sans ambitions, obéissant passivement aux ordres. Ils étaient la clé de son plan, et tenter un quelconque assaut sans eux serait chose vaine. Ces ninjas, membres de la terrible organisation terroriste tombée dans l'oubli, devait bientôt arriver. Car leur Bras Droit leur avait dit de venir. Car un titanesque combat allait avoir lieu..
Saruwatari leva les yeux. Il faisait nuit. Les étoiles dansaient dans le ciel, anges symbolisant le peu d'espoir qu'il restait au monde avant d'être sauvé. Quand elles seraient totalement cachées par les nuages, le déserteur de Konoha le savait, l'Humanité serait condamnée. Il devait agir vite. Il devait tuer rapidement... Une paix pour un meurtre...
La lune était belle, ce soir. Pleine, elle illuminait la place de ses tendres bras. Soudain, par un phénomène inexpliqué, elle se teinta de rouge... La Lune Rouge... Cette nuit était la bonne nuit... La bonne nuit pour triompher....[color=darkred][Edit de moi : J'ai supprimé tous les posts HRP... À toi l'honneur de poster, à moins que Konan décide de nous rejoindre, malgré les quelques différends qui vous éloignent en ce moment...  ]
Dernière édition par Saruwatari Inuzuka le Dim 14 Mar 2010 - 20:43, édité 1 fois |
| Sujet: Re: La lune se lève, prête à être tâchée de sang ...! Lun 15 Mar 2010 - 16:46 | |
| Il y a quelque temps déjà que Pein ne se sentait plus très bien; il perdait de l'énergie et semblait réellement fatigué, garder constamment sur lui le Dojutsu qui semblait le plus puissant n'était pas une mince affaire, aussi décida-il de se reposer dans le hangar de ses corps, Konan décida d'accompagner Pein dans sa "migration" elle allait pouvoir l'aider comme toujours; elle avait toujours été la pour Pein; de nos jours, le seule vrai détenteur du Rinnegan il se considère comme un dieu, ou plutôt comme son représentant mais il est vrai que personne n'a eut l'audace de le contester, et les seules personnes qui avaient osée remettre en doute sa supériorité était maintenant tous mort; et de nos jours je ne connais personne qui ait envie de le contester. Pein s'était endormie; les autres corps était adossé sur un énorme rocher quand à Nagato, il était couché sur de la paille. Konan, quand à elle s'occupait des corps et ne sortait que très rarement pour amener des vivres et de certains produits pour entretenir les corps; elle était si discrète que quasiment personne ne l'avait vu depuis que Pein avait commencé à dormir, finalement elle était fatiguée et le corps de Nagato semblait anormalement calme; ces yeux étaient fermés et les affreuses courbes qui caractérisaient son Dojutsu n’étaient plus sur son visage. La fatigue se faisait ressentir...
Puis, quelques instant plus tard l'ange de Dieu, s'était assoupi prêt de son seul et unique chef, il y avait en effet pendant que Pein dormait, de nombreux changements de chef l'actuel chef était maintenant à ce que l'on sache, c'était l'homme au Sharigan Sasuke Uchiha accompagné de Madara Uchiha ainsi bien sur du Dieu, Konan s'était endormi sur le coté droit de Pein, quelque mèche de ces cheveux violets était juste sous le nez de Pein, en ce moment Nagato se relevait, il mit un peu de temps avant de réactiver son Rinnegan maintenant son chakra commençait à se répandre sur tout son corps; Konan faillit se réveiller à plusieurs reprise, elle entendit des bruits de pas, et un léger courant d'air sur son épaule gauche. Elle ouvrit les yeux, elle reconnut l'un des corps de Pein; dormait-elle depuis longtemps? Elle descendit tout de même réajusta sa cape, retira la fleur de papier qui était juste sur ces cheveux; elle la fit grandir, découpa une partie puis en créa une autre qu'elle mit sur ces cheveux; elle jeta l'autre morceau de papier, Nagato était déjà accroupi et semblait concentré. Nagato tourna la tête quelques peux avec son Dojutsu au fond de ses yeux, il avait un petit sourire sur son fin visage en manque d’énergie vitale. Konan ouvrit de grands yeux devant son air si réjouit, il allait enfin pouvoir passer à l’attaque et mettre en place la doctrine qui avait emmené l’Akatsuki jusqu’ici. Konan et Pain et relevèrent quelques peu avant que le Dieu ne lui dise :
-Je vais aller voir nos cher dirigeant du monde, reste içi pour le moment et surveille le repère pendant quelques temps.
Konan resta froide comme la glace, elle aurait voulus re-combattre au coté de son veille ami d’enfance, elle n’avait pas combattus depuis quelques temps et avait une certaine envie de faire tomber quelques têtes de ces ninjas. Quelques heures plus tard tous les convoqués été partit avec Pein, elle se retrouva toute seul dans une piece avec quelques autres personnes dans le repère, elle décida d’aller voir hors du repère de piere. C'était l'aube d'un matin d'été. Le soleil se faisait encore tout petit, caché derrière les montagnes d'Iwa qui signaient la frontière entre deux pays. Seul ses longs bras rayonnant se montraient, éclairant de toute leur clarté matinale les grandes étendues d'herbe, de longues pairies, coupées par une petite et claire rivière. Celle-ci était surmontée d'un petit pont de bois, mais pas un sale et vieux pont rongé par les thermites, non. Un joli petit pont de bois clair presque verni comme on en trouvait que rarement aujourd'hui, on pourrait même croire que celui-ci était faux comme ci c'était une pièce dans un jouet d'enfant. Accoudé à la petite barrière de ce pont, une femme. On ne distinguait pas son visage. Sa tête était baissée, et un chapeau de paille lui coupait la vue sur les prairies. Accroché à ce chapeau, deux grelots qui scintillaient de temps en temps bercé par le vent doux et chaud d'un matin d'été rayonnant et d'une journée qui s'annonce chaude. Elle ne portait pour vêtements qu'une très longue veste noire où étaient répartis plusieurs nuages rouges comme le sang.
Ses mains pendaient dans le vide au-dessus de l'eau bruyante de la rivière. Ses coudes fortement appuyés contre la barrière l'empêchaient de tomber de tout son poids dans l'eau glaciale. Elle jouait avec sa bague, la faisant tourner dans un sens puis dans l'autre, imitant un mouvement pour l'enlever puis la remettant vivement à sa place comme fière de la portée. Elle soupire. Pas de fatigue n'y ennui mais plutôt d'attente trop longue. Comme une femme qui attend son homme depuis des années sans jamais bouger tout en sachant que celui-ci est mort à la guerre sûrement tué par les ennemis ou part une mauvaise manœuvre de son supérieur. La femme semble se lacer de cette attente. Et finalement oubli pourquoi elle est là...Elle arrête de titillé sa bague et croise ses doigts, les emmêlant tel un méli-mélo de pattes coincé par cet entremêlement. Elle finit par murmurer doucement une phrase que seules les petites fleurs se trouvant tout au bord du pont et les petits poissons dansant joyeusement dans l'eau pouvaient entendre.
-C'est une belle journée qui s'annonce…
Elle arrête de bouger, stoppant presque le vent soufflant doucement pour faire voguer les grelots. Elle attend une réponse. De qui ? Personne ne le sait... Mais elle fini par relever sa tête d'un coup sec, comme si quelqu'un lui frappait le visage pour le monter au ciel. Elle dévoile alors son beau visage pâle au monde. Ce visage semble vouloir sourire, mais il n'y parvient pas. Il ne s'énerve pas, non, il est triste mais ne change pas d'expression. Elle ferme les yeux. Laissant ainsi le vent caresser son visage infiniment. Ce moment aurait pus durer une éternité mais un clapotis provoquer par un petit poisson jaillissant de l'eau la réveille. Elle rabaisse la tête mais pas autant qu'avant ? Cette fois si on voit son doux visage, ses yeux bleu océan fixe le courant de l'eau sans vraiment le regarder. Elle rêve. De quoi ? C'est son secret. Elle est de nouveau déranger par un animal, ça l'agasse. Cette fois c'est une jument sauvage accompagnée de son poulain. Le petit la fixe alors que sa mère mange tranquillement l'herbe fraîche des pairies. Ils sont loin mais elle les voit bien quand même. L'enfant semble tout intéresser par la femme aux cheveux bleus mais n'ose pas s'approcher par peur et pour ne pas s'éloigner de sa mère. Il se met alors à faire des cabrioles tout en faisant attention à ne pas s'éloigner de trop de sa maman. Il fait des pirouettes, il s'amuse, il la gêne avec tous ces mouvements...Ca l'énervent. Il s'arrête et la fixe de nouveau ne tenant pas cette fois à la lâcher des yeux.
-Petit et déjà si gênant…
La femme soupire une nouvelle fois, elle passe sa main droite dans sa veste et en sort trois feuilles de papier. Elle en pose deux sur la barrière les empêchant de tomber par on ne sait quel miracle et prend le dernier dans la main. Rapidement, pliant et repliant la feuille à nombreuse reprise, elle en fait un petit cheval. Le laissant ensuite tomber sur l'eau, celui-ci est porté par la rivière. Et peut-être que plus loin cette rivière traverse un village et un enfant trouvera le petit cheval qui flotte alors qu'il n'est fait que de papier et en prendra soin…La jeune femme prend les deux autres feuilles de papier. Elle est agacer. Son regard est pesant, il est trop curieux et ça le perdra… Il ne peut suivre les mouvements de son bras, ils sont bien trop rapide. Il ne se rend pas compte de ce qui lui arrive, il n'en à pas le temps. Le sang gicle, le corps tombe prit de secousses violentes. Sa mère à côté de lui s'affole. Il est mort. La femme regarde le cadavre allongé dans l'herbe verte, arrosé de rouge avec indifférence et replonge son regard dans l'eau glacé.
-Un de plus un de moins… Quelle différence ? Ce n'est qu'une vie après tout. Et cette mère aussi doit souffrir. Sa vie ne doit pas être tout rose… Il faut du rouge pour changer un peu…Le contraste n'est pourtant pas si grand…
Plus loin, elle entend la jument hennir comme pour crier son malheur de la mort de son enfant, tué par deux bouts de papiers planté fixement au centre de son front où la tache blanche de son étoile est maintenant écarlate. La femme se redresse, elle part dans la direction opposée de son œuvre. Elle marche doucement, ses yeux bleus cachés derrière son chapeau de paille. Un vent froid traverse la vallée alors qu'elle accueille maintenant l'astre brûlant et brillant, l'éclairant de tout son être. Le ciel est bleu, aucun nuage, seul un reflet rouge reste encore gravé sous le soleil coincé au-dessus de la montagne et juste en dessous ce n'est plus un reflet mais une flaque rougeoyante qui s'impose. A côté d'elle, un corps encore en vie s'allonge, le reniflant, le poussant du bout du nez mais rien y fait. Il est bien mort. La femme s'éloigne doucement et devient vite une ombre dans le paysage ensoleillé. Et après tout, c'est son métier, tuer ce qui dérange pour faire souffrir les autres. Elle sourit. Son travail ici est terminé. Elle arrive à la bordure de la prairie. Reprenant son visage glacial, dépourvu d'expression, elle jète un dernier coup d'œil au poulain sans vie et laisse son corps se diviser peu à peu en morceau de papier, s'effeuillant doucement, et devenir des petits papillons pour s'envoler dans la forêt alors qu'au loin les hennissements de l'ancienne mère se font de nouveau entendre, la chance veut que la kunoichi soit déjà loin et ne l'entende pas... Elle avait décidé de revenir au repère, quand elle sentit quelqu’un arrivé, elle ne connaissait pas encore très bien les différentes énergies de tous les membres de l’organisation de la Lune Rouge, elle s’arrêta alors et attendit que quelqu’un se présente. Quand elle revient au repère Saruwatari l’attendait à l’entrée, elle comprit alors ce qu’elle avait à faire, elle suivit cet homme, elle enfin pouvoir passer à l’action avec les autres membres de l’Akatsuki. Ils allaient tous ensemble devoir affronter quelqu’un de surpuissant d’après les rumeurs qui se propagaient depuis le sommet des Kages. |
| Sujet: Re: La lune se lève, prête à être tâchée de sang ...! Jeu 18 Mar 2010 - 13:50 | |
| Le temps de la bataille était finalement de nouveau arrivé, moment où j’allais de nouveau abattre le jugement des enfers sur ces mortels impies… Debout au sommet d’une colline, j’humais fièrement l’air frais de la nuit tombante, le voile de ténèbres de Nix se dressant en une parure scintillante alors que les flammes du grand soleil laissaient dans le sillage de l’horizon une teinte orangée, virant parfois au rouge, un rouge aussi éclatant que les rubis, aussi éclatant le sang s’écoulant en une marée incestueuse du corps d’un innocent ravagé par les effrois de la guerre. Oui, cette lueur qui transcendait de milles feux les ténèbres implacables que répandait ma bien aimée déesse de la nuit sur son passage, me bénissant de son pouvoir moi qui comme elle vit pour toujours sur le seuil des mondes, errant tel un banni parmi les mortels, moi le seul dieu qui se doivent de rester sur terre afin d’y instaurer l’ordre suprême.
Je trépignais d’impatience à l’idée de voir ces vallons encore d’apparence calme et ignorante se teinter d’une flamboyante parure de flammes, les hurlements désespérés des mes ennemis transcendant le silence de la paix nocturne que la nuit imposait d’elle-même sur ce monde, comme si elle se faisait se réincarner le royaume des morts lui-même. Mais en ce jour, ce ne serait pas elle qui ferait régner ce silence de mort, mais moi-même, dieu régnant sur la mort et les trépassés qui allaient être condamnés de mon implacable main cette bande d’idiots et y apposer le sceau de la désolation.
Oui, j’imaginais déjà ces faiblards se proclamant maître du chaos errant tel des pantins désarticulés au milieu des pans de montagnes délabrés et autres cratères obscurs envahit par les flammes voraces de la guerre et de la destruction, des flammes plus corrosives encore que celles d’Ares ou d’Amaterasu, des flammes capables d’engloutir le monde entier dans le trépas le plus total. Oui, des flammes qu’aucun mortel ne pourrait combattre, à part pour encore attiser sa puissance et sa colère, un feu qui engloutirait le monde sous les piliers de sa destruction. Je voyais déjà ces créatures arrogantes, celles que l’on surnommait les ninjas de la lune rouge, se voir plongés dans la détresse sans fin des abîmes de la terreur après que j’eusse tendus ma main sur leur être, les écrasant entre mes doigts vengeur. J’imaginais très clairement dans mon esprit, au détail près la scène de leur propre déchéance, leurs visages tuméfié par la crainte de la voracité des flammes abyssales, me tenant derrière eux alors qu’ils tombent à genoux, la lame de mon épée s’abattant dans un sifflement strident sur leurs nuques décharné qui dans un roulement déchirant, dans un succion abominable, se détacherait alors du reste du corps, répandant une vraie fontaine de sang qui allait alors alimenter le cœur même de la spirale infernale de la haine et de la destruction, un tourbillon de malignité qui venait du plus profond des entrailles des enfers, quémandant toujours plus d’âmes et de sang. Un hurlement déchirant résonnerait alors, tandis que les âmes de tous les habitants de ce village déchus se verraient avalés par le gouffre sans fin que représentait la gueule béante du Styx en personne.
Oui, moi le grand roi des enfers j’allais en ce lieu répandre encore la volonté des 12 dieux de l’olympe, celle d’implanter les germes du respect et de la terreur dans le cœur des mortels afin de nouveau mes unifier.
Debout sur le sommet de cette colline, je me tenais tel la lame du jugement qui s’apprêtait à s’abattre, les reflets obscurs de mon armures semblant produire une danse d’ombres et de lumières palpitant au cœur d’une cérémonie malfaisante en plein milieu des flammes de la folie.
Mes longs cheveux d’un noir profond dansaient au rythme du vent, un vent chargé de mauvaises intentions. Se tenait derrière moi, Minos le juge du Griffon de l’étoile célèste de la noblesse, ou plutôt seulement son armure complètement vide contrôlée par un de mes pouvoirs divins, un monstre de vide et de convoitise qui semblait attendre telle la bête des profondeurs tapie dans les obscurité de la terre, que la lumière vienne s’y engouffrer avant de la saisir au vol et de croquer à pleine dent la chair onctueuse de la proie que cette raie d’espoir aurait guidé dans les abysses des ténèbres. Telle le prédateur, il attendait sans un seul mouvement le moment où ses fils de chakra viendraient transformer sa proie en une marionnette humaine qui dès lors se mettrait à danser et chanter sur un orchestre de craquement sourd et de douleur sans fin.
Je m’assis alors sur un rocher, faisant tourner entre mes mains mon épée d’un noir aussi profond que l’ébène, faisait briller la folie qui y était emprisonnée, celle des âmes du Styx qui semblaient quémander plus de sang, plus de souffrances dans un éclat de fureur flamboyant lorsque leur énergie était libérée.
Depuis combien j’attendais planté ici ? Je ne savais point, mais qu’importait l’attente tant que je puisse de nouveauté faire pousser dans le cœur des hommes la terreur et le respect des dieux, des vraies, pas de ces pâles imitations humaines qui semblaient se prendre pour des dieux, je parlais bien évidemment de ce pseudo chef de cette bande de macaque dégénéré, ces idiots dansant leur stupidité sur le rythme de la stupidité et de l’ignorance la plus totale, se croyant garant d’une cause juste, mais n’étant qu’un ramassis de monstres stupides et faibles tout juste bons à bouillir vivant dans le lac de sang, le Pyriphlégéton.
Puis enfin, alors que je commençais à m’impatienter, je vis enfin les soubresauts de ces tenues ridicules dans la pénombre.
Me dressant sur toute ma prestance divine, je tendis mon épée en avant pour finalement lâcher dans une voie pleine de menace et de malfaisance :
- Vous voila enfin mortels… Sachez que vous n’êtes pas les bienvenues en ces lieux espèce de guignols… Tout les kages sont déjà partie, je les aient moi-même renvoyés chez eux, et à présent, je serai votre adversaire, moi Hadès dieu des enfers, en gardes mortels !
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| Sujet: Re: La lune se lève, prête à être tâchée de sang ...! Jeu 18 Mar 2010 - 18:48 | |
| Elle sourit. Son travail ici est terminé. Elle arrive à la bordure de la prairie. Reprenant son visage glacial, dépourvu d'expression, elle jète un dernier coup d'œil au poulain sans vie et laisse son corps se diviser peu à peu en morceau de papier, s'effeuillant doucement, et devenir des petits papillons pour s'envoler dans la forêt alors qu'au loin les hennissements de l'ancienne mère se font de nouveau entendre, la chance veut que la kunoichi soit déjà loin et ne l'entende pas... Elle avait décidé de revenir au repère, quand elle sentit quelqu’un arrivé, elle ne connaissait pas encore très bien les différentes énergies de tous les membres de l’organisation de la Lune Rouge, elle s’arrêta alors et attendit que quelqu’un se présente. Quand elle revient au repère Saruwatari l’attendait à l’entrée, elle comprit alors ce qu’elle avait à faire, elle suivit cet homme, elle enfin pouvoir passer à l’action avec les autres membres de l’Akatsuki. Ils allaient tous ensemble devoir affronter quelqu’un de surpuissant d’après les rumeurs qui se propageaient depuis le sommet des Kages. Alors que le soleil allait être à son apogée, le vent commençait déjà à se lever, deux organisations du monde shinobi allaient devoir s’affronter, l’un des deux était le digne représentant du village caché d’Oto, le village ninja le plus puissant de ce monde, cet homme, ce dénommé Hades avait créé de nombreuse armes, parmi toutes ces armes, les plus puissantes étaient sans aucun doutes les armures. Celle-ci étaient faites d’un métal qui avait été forgé grâce à son propre chakra, elle avait entendu cela lorsqu’elle était encore élève du Sanin de Konoha Jiraya. L’homme qu’elle allait devoir affronter avec le bras droit du chef de l’Akatsuki portait lui aussi une des armures du Dieu Hades, le Dieu des enfers, cela allait être intéressant, elle allait enfin pouvoir montré à ces ignorants toute la puissance du Dieu de l’Origamie.
Elle marchait côté à côté avec le bras droit du leader de l’organisation de la Lune Rouge Saruwatari, sa taille était un peu en dessous de la moyenne, il était svelte et, comme la plupart des shinobis, assez musclé. Ses cheveux violets semblaient s'éclaircir lorsqu'il était en colère, et prendre une teinte noire lorsqu'il était heureux. Ses yeux marrons semblaient n'être jamais en mouvements mais malgré tous, Konan dirait qu’ils faisaient office de sonde car ses pupilles marron vous transpercer jusqu’au fond. Autant dire que c'était dur pour un faible shinobi de garder son calme lorsqu'il regardait quelqu’un avec son regard, la plupart du temps il jouer le rôle d’assassin pour l’organisation de la Lune Rouge. Il portait aussi des gants protecteurs, une veste noire, un pantalon de la même couleur, des sandales de ninja et un bandeau frontal avec le signe de Konoha barré font office d'habits. Malgré tous ces habits, il ne quittait que rarement sa tunique d’Akatsuki. Les gens qu'il croisait le voyaient plus souvent avec sa fameuse tunique aux nuages rouges... Konan continua sa route à ces côtés, ils n’allaient pas tarder à arrivé devant la grotte des cinq nations, malgré qu’ils se trouvaient encore à quelques kilomètres Konan pouvait sentir un énorme chakra juste devant eux, ils marchèrent alors pendant encore pendant quelques minutes avant de se poster devant l’homme qui se trouvait en face du soleil, celui-ci allait bientôt disparaitre sous les nuages qui étaient entrain de se rassembler juste au dessus de la zone où se trouvait les trois shinobis aux grands pouvoirs, le zone était écrasé par les auras qui se dégager de ces trois shinobis, le vent commençait aussi à soufflait et la température commençait à monter ce qui allait attirer la pluie voir de la foudre, cela allait dépendre de ce qui se passerait sur cette zone qui allait devenir un vrai champ de bataille, une fois quelques minutes à se regardait dans le blanc des yeux, le soit disant Dieu prononça quelques mots :
« Vous voila enfin mortels… Sachez que vous n’êtes pas les bienvenues en ces lieux espèce de guignols… Tout les kages sont déjà partie, je les aie moi-même renvoyés chez eux, et à présent, je serai votre adversaire, moi Hadès dieu des enfers, en gardes mortels ! »
Merde !! Alors il avait lui-même renvoyé les autres Kages, le chef ne sera pas content d’apprendre que les autres dirigeants du monde shinobi étaient rentrés chez eux comme de bon petit chien. Konan garda quand même son visage froid comme la glace, une fois le soleil caché par ses nombreux nuages elle fit très attention aux physique de cet homme se prenant pour un Dieu. Cet homme portait une armure d’un noir intense, chaque écaille de cette armure reflétait la lumière du soleil qui était filtré par les nuages denses qui se trouvaient juste au dessus de la zone qui allait être dévasté par le combat qui se préparait. Des ailes égaient fixées dans son dos. Cette armure était d’une grande complexité car elle était des plus complètes. Tous le corps de cet homme en étaient recouverts. Cela partait des pieds et cela remontait sur ses tibias, sur ses genoux et ses cuisses. Une sorte de robe en métal cachait sa taille et le début de ses cuisses. Ces bras étaient aussi protégés mais ce qui marqua la jeune femme, c’était que l’intérieur du coude n’était pas protégé, elle allait devoir exploiter le point faible de cette armure qui dégageait une grande énorme puissance. Ces épaulières étaient rembourrées avec une double couche de métal, la tête elle ne porté pas de casque ce qui était dangereux pour le porteur qui pouvait se faire décapité. Konan de demandait alors que cette armures devait pesait lourd et donc l’utilisateur devait être assez entravé et perdait beaucoup de vitesse. Konan malgré son air froid et impassible trouvait que cette armure était d’une beauté glaciale. Toutes les plumes de métal qui étaient fixées sur le reste de l’armure donnaient un autre signe de sa beauté. Soudain Konan ressentit quelque chose qu'elle n'avait pas ressentit depuis fort longtemps, la peur... Le charisme de cet homme était tellement écrasant que de se retrouver devant lui, de le regarder provoquait une peur indicible proche de celle de n’importe quelle animal face à son prédateur. Konan malgré la peur qu'elle ressentait continua de la regarder, elle sentait du poid sur ses épaules mais elle ne flanchait pas, c'était un autre signe de sa puissance. Konan continua alors à regarder cet homme pendant quelques minutes, c’est alors que des oiseaux survolèrent l’endroit où se trouvait l’homme qui se prenait pour Dieu, soudain les oiseaux se changèrent en feuille de papier tranchante et fondirent sur cet homme à une vitesse folle, Konan ne bougea pas d’un pouce, elle attendit à sa place la réaction de l’homme à l'armure d'un foncé sans commun.
Hrp : Désolé pour ce post court et pour les fautes, j’ai pas le temps, contrôle de physique demain. ^^ |
| Sujet: Re: La lune se lève, prête à être tâchée de sang ...! Sam 3 Avr 2010 - 15:31 | |
| Post en cours, je répond sous peu. |
 
Vijay Jagdish~ Fondateur & Ninja de Jiyuu ~▌Sanction : Aucune ▌Messages : 5547 ▌Age : 30 ▌Inscription : 09/03/2008 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | :     (203/1000) | Âge du personnage | : 26 ans  | Sujet: Re: La lune se lève, prête à être tâchée de sang ...! Dim 9 Mai 2010 - 17:32 | |
| 15 point pour les participants du topic. |
| Sujet: Re: La lune se lève, prête à être tâchée de sang ...! | |
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| | La lune se lève, prête à être tâchée de sang ...! |  |
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