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Un nouveau félin trouvant une raison de vivre. (PV : Kogan)Sujet: Un nouveau félin trouvant une raison de vivre. (PV : Kogan) Jeu 15 Avr 2010 - 22:12 | |
| Il y a quelque temps déjà que Pein ne se sentait plus très bien; il perdait de l'énergie et semblait réellement fatigué, garder constamment sur lui le Dojutsu qui semblait le plus puissant n'était pas une mince affaire, aussi décida-il de se reposer dans le hangar de ses corps, Konan décida d'accompagner Pein dans sa "migration" elle allait pouvoir l'aider comme toujours; elle avait toujours été la pour Pein; de nos jours, le seule vrai détenteur du Rinnegan il se considère comme un dieu, ou plutôt comme son représentant mais il est vrai que personne n'a eut l'audace de le contester, et les seules personnes qui avaient osée remettre en doute sa supériorité était maintenant tous mort; et de nos jours je ne connais personne qui ait envie de le contester. Pein s'était endormie; les autres corps était adossé sur un énorme rocher quand à Nagato, il était couché sur de la paille. Konan, quand à elle s'occupait des corps et ne sortait que très rarement pour amener des vivres et de certains produits pour entretenir les corps; elle était si discrète que quasiment personne ne l'avait vu depuis que Pein avait commencé à dormir, finalement elle était fatiguée et le corps de Nagato semblait anormalement calme; ces yeux étaient fermés et les affreuses courbes qui caractérisaient son Dojutsu n’étaient plus sur son visage. La fatigue se faisait ressentir...
Puis, quelques instant plus tard l'ange de Dieu, s'était assoupi prêt de son seul et unique chef, il y avait en effet pendant que Pein dormait, de nombreux changements de chef l'actuel chef était maintenant à ce que l'on sache, c'était l'homme au Sharigan Sasuke Uchiha accompagné de Madara Uchiha ainsi bien sur du Dieu, Konan s'était endormi sur le coté droit de Pein, quelque mèche de ces cheveux violets était juste sous le nez de Pein, en ce moment Nagato se relevait, il mit un peu de temps avant de réactiver son Rinnegan maintenant son chakra commençait à se répandre sur tout son corps; Konan faillit se réveiller à plusieurs reprise, elle entendit des bruits de pas, et un léger courant d'air sur son épaule gauche. Elle ouvrit les yeux, elle reconnut l'un des corps de Pein; dormait-elle depuis longtemps? Elle descendit tout de même réajusta sa cape, retira la fleur de papier qui était juste sur ces cheveux; elle la fit grandir, découpa une partie puis en créa une autre qu'elle mit sur ces cheveux; elle jeta l'autre morceau de papier, Nagato était déjà accroupi et semblait concentré. Nagato tourna la tête quelques peux avec son Dojutsu au fond de ses yeux, il avait un petit sourire sur son fin visage en manque d’énergie vitale. Konan ouvrit de grands yeux devant son air si réjouit, il allait enfin pouvoir passer à l’attaque et mettre en place la doctrine qui avait emmené l’Akatsuki jusqu’ici. Konan et Pain et relevèrent quelques peu avant que le Dieu ne lui dise :
-Je vais aller voir nos cher dirigeant du monde, reste içi pour le moment et surveille le repère pendant quelques temps.
Konan resta froide comme la glace, elle aurait voulus re-combattre au coté de son veille ami d’enfance, elle n’avait pas combattus depuis quelques temps et avait une certaine envie de faire tomber quelques têtes de ces ninjas. Quelques heures plus tard tous les convoqués été partit avec Pein, elle se retrouva toute seul dans une piece avec quelques autres personnes dans le repère, elle décida d’aller voir hors du repère de piere. C'était l'aube d'un matin d'été. Le soleil se faisait encore tout petit, caché derrière les montagnes d'Iwa qui signaient la frontière entre deux pays. Seul ses longs bras rayonnant se montraient, éclairant de toute leur clarté matinale les grandes étendues d'herbe, de longues pairies, coupées par une petite et claire rivière. Celle-ci était surmontée d'un petit pont de bois, mais pas un sale et vieux pont rongé par les thermites, non. Un joli petit pont de bois clair presque verni comme on en trouvait que rarement aujourd'hui, on pourrait même croire que celui-ci était faux comme ci c'était une pièce dans un jouet d'enfant. Accoudé à la petite barrière de ce pont, une femme. On ne distinguait pas son visage. Sa tête était baissée, et un chapeau de paille lui coupait la vue sur les prairies. Accroché à ce chapeau, deux grelots qui scintillaient de temps en temps bercé par le vent doux et chaud d'un matin d'été rayonnant et d'une journée qui s'annonce chaude. Elle ne portait pour vêtements qu'une très longue veste noire où étaient répartis plusieurs nuages rouges comme le sang. Ses mains pendaient dans le vide au-dessus de l'eau bruyante de la rivière. Ses coudes fortement appuyés contre la barrière l'empêchaient de tomber de tout son poids dans l'eau glaciale. Elle jouait avec sa bague, la faisant tourner dans un sens puis dans l'autre, imitant un mouvement pour l'enlever puis la remettant vivement à sa place comme fière de la portée. Elle soupire. Pas de fatigue n'y ennui mais plutôt d'attente trop longue. Comme une femme qui attend son homme depuis des années sans jamais bouger tout en sachant que celui-ci est mort à la guerre sûrement tué par les ennemis ou part une mauvaise manœuvre de son supérieur. La femme semble se lacer de cette attente. Et finalement oubli pourquoi elle est là...Elle arrête de titillé sa bague et croise ses doigts, les emmêlant tel un méli-mélo de pattes coincé par cet entremêlement. Elle finit par murmurer doucement une phrase que seules les petites fleurs se trouvant tout au bord du pont et les petits poissons dansant joyeusement dans l'eau pouvaient entendre.
-C'est une belle journée qui s'annonce…
Elle arrête de bouger, stoppant presque le vent soufflant doucement pour faire voguer les grelots. Elle attend une réponse. De qui ? Personne ne le sait... Mais elle fini par relever sa tête d'un coup sec, comme si quelqu'un lui frappait le visage pour le monter au ciel. Elle dévoile alors son beau visage pâle au monde. Ce visage semble vouloir sourire, mais il n'y parvient pas. Il ne s'énerve pas, non, il est triste mais ne change pas d'expression. Elle ferme les yeux. Laissant ainsi le vent caresser son visage infiniment. Ce moment aurait pus durer une éternité mais un clapotis provoquer par un petit poisson jaillissant de l'eau la réveille. Elle rabaisse la tête mais pas autant qu'avant ? Cette fois si on voit son doux visage, ses yeux bleu océan fixe le courant de l'eau sans vraiment le regarder. Elle rêve. De quoi ? C'est son secret. Elle est de nouveau déranger par un animal, ça l'agasse. Cette fois c'est une jument sauvage accompagnée de son poulain. Le petit la fixe alors que sa mère mange tranquillement l'herbe fraîche des pairies. Ils sont loin mais elle les voit bien quand même. L'enfant semble tout intéresser par la femme aux cheveux bleus mais n'ose pas s'approcher par peur et pour ne pas s'éloigner de sa mère. Il se met alors à faire des cabrioles tout en faisant attention à ne pas s'éloigner de trop de sa maman. Il fait des pirouettes, il s'amuse, il la gêne avec tous ces mouvements...Ca l'énervent. Il s'arrête et la fixe de nouveau ne tenant pas cette fois à la lâcher des yeux.
-Petit et déjà si gênant…
La femme soupire une nouvelle fois, elle passe sa main droite dans sa veste et en sort trois feuilles de papier. Elle en pose deux sur la barrière les empêchant de tomber par on ne sait quel miracle et prend le dernier dans la main. Rapidement, pliant et repliant la feuille à nombreuse reprise, elle en fait un petit cheval. Le laissant ensuite tomber sur l'eau, celui-ci est porté par la rivière. Et peut-être que plus loin cette rivière traverse un village et un enfant trouvera le petit cheval qui flotte alors qu'il n'est fait que de papier et en prendra soin…La jeune femme prend les deux autres feuilles de papier. Elle est agacer. Son regard est pesant, il est trop curieux et ça le perdra… Il ne peut suivre les mouvements de son bras, ils sont bien trop rapide. Il ne se rend pas compte de ce qui lui arrive, il n'en à pas le temps. Le sang gicle, le corps tombe prit de secousses violentes. Sa mère à côté de lui s'affole. Il est mort. La femme regarde le cadavre allongé dans l'herbe verte, arrosé de rouge avec indifférence et replonge son regard dans l'eau glacé.
-Un de plus un de moins… Quelle différence ? Ce n'est qu'une vie après tout. Et cette mère aussi doit souffrir. Sa vie ne doit pas être tout rose… Il faut du rouge pour changer un peu…Le contraste n'est pourtant pas si grand…
Plus loin, elle entend la jument hennir comme pour crier son malheur de la mort de son enfant, tué par deux bouts de papiers planté fixement au centre de son front où la tache blanche de son étoile est maintenant écarlate. La femme se redresse, elle part dans la direction opposée de son œuvre. Elle marche doucement, ses yeux bleus cachés derrière son chapeau de paille. Un vent froid traverse la vallée alors qu'elle accueille maintenant l'astre brûlant et brillant, l'éclairant de tout son être. Le ciel est bleu, aucun nuage, seul un reflet rouge reste encore gravé sous le soleil coincé au-dessus de la montagne et juste en dessous ce n'est plus un reflet mais une flaque rougeoyante qui s'impose. A côté d'elle, un corps encore en vie s'allonge, le reniflant, le poussant du bout du nez mais rien y fait. Il est bien mort. La femme s'éloigne doucement et devient vite une ombre dans le paysage ensoleillé. Et après tout, c'est son métier, tuer ce qui dérange pour faire souffrir les autres. Elle sourit. Son travail ici est terminé. Elle arrive à la bordure de la prairie. Reprenant son visage glacial, dépourvu d'expression, elle jète un dernier coup d'œil au poulain sans vie et laisse son corps se diviser peu à peu en morceau de papier, s'effeuillant doucement, et devenir des petits papillons pour s'envoler dans la forêt alors qu'au loin les hennissements de l'ancienne mère se font de nouveau entendre, la chance veut que la kunoichi soit déjà loin et ne l'entende pas... Elle avait décidé de revenir au repère, quand soudain elle sentit une présence, elle s’arrêta net et reste froide telle la partie caché d’un iceberg dans l’océan glacial. Elle dit en observant son environnement :
-Montres toi, je sais que tu es là, cela ne sert à rien de se caché, je pourrai te tuer dans la minute si je le voulais mais cela ne servirait à rien n’est-ce-pas ? Aller sors de là !
Konan reste froide comme le miroir qui refléter un bous de glaçon, elle continuait de regarder tout autour d’elle à l’affut de n’importe qui, qui surgirait d’un de ses point mort. Elle attendit alors ensuite que la personne se montre pour engager la discussion. |
Sujet: Re: Un nouveau félin trouvant une raison de vivre. (PV : Kogan) Ven 16 Avr 2010 - 20:46 | |
| [ Gomen‘ pour le post merdique ça fait un bail que j‘ai pas effleuré un clavier . ]
« Le corbeau vole moins haut que l‘aigle , bien que sa vue sur le monde soit imprenable, tout autant que celle de son congénère. Si tôt dis qu‘il suffit seulement de s‘élever. Peu importe jusqu‘où. Alors déploie tes ailes Kogan, et prend ton envol, jusqu’à t’approcher de Dieu, jusqu’à qu’elles brûlent, jusque tu sentes cette chaleur. Et enfin tu atteindras ce que tout homme désire. La plus grande des libertés ; celle de respirer un air que personne n’a jamais corrompu, connaître un environnement encore jamais foulé par quelqu’un d’autre que soi même. Découvrir tout simplement, en sachant que c’est peux être la dernière chose qu’on va faire, mais le faire quand même, parce que c’est son choix. Parce qu’après tout, le plus simple est souvent ce que les gens comprennent le moins. »
Une journée qui commençait pour le mieux en apparence pour le déserteur. Kogan avait eu le plaisir d’être sorti de son joli rêve par une douce brise de printempsvenant chatouiller ses petites narines. Peu à peu, il immergea de son lourd sommeil, causé par la fatigue de sa perpétuel fuite. Cela faisait déjà quelques années qu’il avait quitté le village de la pluie mais il avait l’impression que plus le temps passé, plus les hommes qui le cherchait été déterminés. Et bizarrement, il n’éprouvait aucune peur. Il n’était pas homme à avoir la frousse devant quelques Ninjas dépêchés par ces idiots de dirigeants de Kiri. Mais il n’avait pas la tête à réfléchir à cela aujourd’hui, et en cette belle journée, il prit la décision de se promener un peu, histoire de supprimer toutes barrières auxquels il avait à faire face. Il se l’était promis, rien ne ternirait sa liberté qui était si chère à ses yeux. Rien ni personne à vrai dire, et si quelque un osait le contestait ou se mettre en travers de sa route, alors il mériterait châtiment. Et c’est sur cette idée qu’il immergea de ses quelques pensées nébuleuse pour se mettre encore une fois en route, sans savoir vraiment où il allait. Un homme errant parmi tant d’autres me direz vous. Mais pas n’importe lequel, Kogan Kimitsu. N’étant pas bête, il avait établit son camp près d’une petite rivière qu’il comptait suivre, et aussitôt levé, il se dirigea vers le point d’eau d’un pas calme. Il trimballait depuis le début de sa cavale des vêtements qu‘il s‘arrangeait à laver quand il en avait le temps, des armes et de la nourriture volée préalablement dans les villages qu’il traversait dans un sac qu’il traînait partout sur son chemin,.et machinalement il en sorti sa tenue blanche et noire si typique qu’il portait souvent. Il posa le petit tas près de la rive, puis commença à ôter ses propres vêtements, jusqu’à se retrouver nu. Il n’avait jamais compris les personnes qui avait en horreur de se mettre de cette façon. Kogan n’était pas naturiste, mais il aimait ceci, être libre et non pas enfermé dans toutes ces couches de tissu. D’un pas sûr , il sauta dans l’étendu d’eau en souriant, et quelques secondes à peine après son contact avec l’eau et le bruit de la pénétration de son corps dans l’eau, sa tête garnie de cheveux bruns sortie de l’eau telle une fleur, remuant d’un geste souple la tête pour enlever ses cheveux mouillés de devant ses deux yeux. Le climat était assez favorable a cette baignade improvisée, le vent s’affalant comme une caresse sur la peau du jeune Nuke - Nin. Prenant de temps en temps sa respiration, il se plaisait à plonger dans cette eau si claire, et à écarquiller ses yeux, simplement car le fait d’être seul dans une si grande masse de liquide lui donnait encore et toujours cette sensation de bien être et de liberté. Après avoir passé une petite demi heure dans la rivière, il en sortit en nageant doucement sur le dos jusqu’à la rive, attrapa dans son sac une serviette qu’il passa sur son corps encore humide, puis enfila ses vêtements, en soupirant. Puis il attrapa dans son sac l’étui en fer qui lui servait de conteneur pour ses cigarettes, en attrapa une avec ses lèvres, qui glissa dans le coin de sa bouche, puis de son autre main , il vint déposer la flamme du petit mécanisme qui lui servait pour allumer ce qui aurait un jour sa peau., certainement. Tout en fumant, il se mit sur une main, et enchaîna quelques pompes, histoire de voir si tout fonctionnait bien, puis enchaîna sur quelques étirements ou autre entraînement devenus habituels qu’il pratiquait matin et soir pour garder la forme.
Ceci terminé, il passa comme à son habitude sa main dans ses cheveux, jetant ce qui restait de sa clope dans l’eau, le filtre flottant un moment, puis s’enfonça dans l’eau, tellement claire qu’on voyait clairement le mégot s’enfoncer dans l’abysse bleuâtre. Sifflotant, il attrapa son sac de voyage, puis d’un pas calme et régulier, il s’enfonça dans la forêt, suivant le cour de la rivière dans laquelle il venait de passer un petit moment assez sympathique à son goût. Le jeune homme marchait à présent vers un endroit encore inconnu , épiant le décor qui était assez burlesque. A son idée, le rêve, ceci, ça en faisait partie. Marcher calmement dans une belle forêt, bercé par le sifflement des oiseaux, et le bruit de l’eau ruisselante où quelques poissons rutilaient tranquillement. Son habituel sourire au lèvres, il continua son petit bout de chemin, comme à son habitude, seul. Au début, être un solitaire lui faisait peur mais à force, il en avait pris l’habitude, et ce n’était pas pour lui déplaire qu’il arpentait nombres de contrées, seul face à l’immensité qu’était la nature. Dans l’endroit où il était elle n’avait pas perdu ses droits et s’était développé d’une façon assez séduisante à son goût. Mais sa petite balade fut interrompue par un craquement. Peux être que c’était bête, mais ce bruit n’inspirait rien de bon à Kogan. Il orienta son regard vers l’endroit où il avait entendu la source de son arrêt si soudain. Mais son engouement fut brisé par l’apparition d’un enfant, qui ne devait pas dépasser la dizaine d’année. Le Nuke - nin déposa rapidement son regard sur lui, puis reprit sa marche. Mais il entendit encore une fois un bruit, et quand il se retourna, il vu le gamin qui n’avait pas trouvé plus amusant que de tomber à l’eau. Le jeune homme soupira, puis d’une seule poussée, laissant tomber son sac par terre, il concentra son chakra sous la plante de ses pieds, et se mit à courir sur l’eau. Arrivé à l’endroit où le jeune homme se débattait dans le liquide tel un petit chien qu’on aurait enfermé dans un sac plastique dans le but de l’éclater contre un mur, il attrapa le petit être par le col, et le jeta sur la rive, avec un sourire moqueur. Puis délicatement, il marcha jusqu’à l’autre rive, s’accroupit face au garçon, le fixa droit dans les yeux, voyant qu’il était à la fois plein de remerciement & en même temps, de crainte pour son sauveur sorti de nulle part, et d’un ton presque amical, laissa sortir quelques mots de sa bouche ;
« Alors gamin ? On a voulu aller plus vite que la musique? Tu sais même pas encore nager et tu te jettes à l’eau ? T’es vraiment un spécimen toi. Allez file, et si on te demande tu m’as pas vu. Si tu dis un seul mot sur moi, je te retrouve, j’attend que tu pionces, et je t’égorge, compris? »
L’enfant, terrifié par les derniers mots prononcés, prit ses jambes à son cou, en laissant échapper un merci hasardeux. Content de lui, Kogan alluma encore une fois une cigarette, et repris son chemin, en direction d’on ne sait où. Plus il marchait et plus le décor changeait, la forêt se transformant peu à peu en clairière, les arbres laissant leur place à l’herbe, humide et drue que les sandales du jeune homme foulait avec rapidité. Respirant une grand bouffée d’air frais, en fermant les yeux, il s’arrêta pour profiter de ce climat si clément, qui était assez rare depuis quelque temps. Eos devait être absent, car le vent n’était pas là. Un silence pesant régnait sur la plaine verdâtre, au grand plaisir de Kogan, qui adorait cela. Quoi de plus savoureux que le silence? Ce qu’il aimait dans ce vide sonore, c’était que parfois, un oiseau, un crépitement, un coup de vent dans des feuilles, ou même un cri venait le déranger. Il aimait cet effet de surprise anodin qui bousculait les autres idées en place dans sa tête. Bercé par ce même silence, il avança, en direction du nord lui semblait t-il, quand il aperçu un spectacle extraordinairement étrange. Une jolie jeune femme à première vue, était accoudée à un petit pont de bois. Elle ne pouvait pas voir le jeune homme, caché par un rocher pile poil entre eux, ni vraiment le ressentir, puisqu’il masquait toujours son chakra, par prudence, mais lui, si , laissant dépasser son visage pour l’observer. A première vue, elle était accoutrée d’une robe noire à nuage rouge, qui lui rappelait vaguement quelque chose, qu’il avait entendu dans un bar, une organisation, ou quelque chose dans le genre. Et oui, le jeune garçon ignorait tout de l’Akatsuki, n’étant pas à la pointe de l’information récente en ce qui concernait les villages et leurs dangers. Si il avait déserté, ce n’était pas pour se préoccupé des soucis des autres ninjas. Ses yeux rivés sur elle, la femme paraissait occupée à pratiquer l’Origami, sport que Kogan trouvait totalement inutile. Quel attrait pouvait trouver les gens à plier une feuille de papier ? Enfin .. L’observation fut soudain dérangée par l’apparition d’une jument et son petit. Qu’est-ce qu’il pouvait détester les chevaux. Il trouvait ça vraiment moche. Je vous laisse imaginer la surprise qu’il eut quand il vut la jeune femme sortir du papier encore une fois, et le poser sur la barrière pour qu’il aille se figer dans le front du pauvre poulin qui n’avait rien demandé. Mais Kogan n’eut aucune pitié pour l’animal, continuant de fixer la scène avec étonnement. Comment une femme pouvait être capable de cela ? Pour lui un être humain féminin se résumait à la douceur, la maternité, et l’amour. Une exception peux être ? Concentré sur la tâche de sang qu’avait provoqué l’animal blessé, il posa ensuite son regard sur la jument affolée. Puis il vu la responsable de la mort du petit cheval se mouvoir, pour se diriger en sens inverse de son crime. S’en vraiment savoir pourquoi, il jeta rapidement un regard sur le cadavre sans vie de l’animal, qui se transforma en petit papillon de papier, ce qui l’étonna. La femme devant lui était-elle capable de telle chose ? Il sentait qu’il venait de faire une rencontre assez intéressante. Puis la fille se retourna, elle laissa quelques mots sortir de sa bouche.Comme quoi elle pouvait le tuer comme elle le voulait ? Il émit un petit rire après que sa phrase soit fini, accrocha à son bec une cigarette, l’enflamma, sortit de sa petite cachette, étant maintenant à une dizaine de mètres de la demoiselle, s’approcha un peu , recrachant la fumée en levant la tête vers le ciel, puis d’une voix amicale, il répondu à la demoiselle l’air de rien ;
« Hé ben .. C’est pas très gentil de parler comme ça à un quelqu'un sans le connaître. Mais comme tu l’as dis ça ne sert à rien de se battre alors qu’on ignore tout l’un de l’autre hein. Et je me permettrais pas de frapper un si beau visage. Kogan Kimitsu, enchanté. A qui ai-je affaire ? »
Puis il tira une barre sur sa clope, l’air de rien, passant sa main dans ses cheveux ébènes. En fixant droit dans les yeux la jeune femme au si beau regard. Il la dévisagea un instant puis passa ses deux yeux noirs sur le reste de son corps qui possédait des formes, en toute franchise, assez plaisante. Il attendait avec impatience la réaction de son interlocutrice, se demandant bien ce qu'elle allait répondre. |
Sujet: Re: Un nouveau félin trouvant une raison de vivre. (PV : Kogan) Sam 17 Avr 2010 - 12:10 | |
| Hrp : Désolé du post court mais pas vraiment d’idée pour la suite .
-Montres toi, je sais que tu es là, cela ne sert à rien de se caché, je pourrai te tuer dans la minute si je le voulais mais cela ne servirait à rien n’est-ce-pas ? Aller sors de là !
Konan reste froide comme le miroir qui refléter un bous de glaçon, elle continuait de regarder tout autour d’elle à l’affut de n’importe qui, qui surgirait d’un de ses point mort. Elle attendit alors ensuite que la personne se montre pour engager la discussion. Soudain un homme des plus charmeur sortit de derrière un rocher, ce rocher était une roche volcanique qui avait atterrie ici lorsque d’une des éruptions volcaniques du mon Fuji. Le mont Fuji était une montagne du centre du Japon qui se trouvait sur la côte Sud de l'île de Honshū, au sud-ouest du territoire de Tokyo. Cette montagne que l’on appelait la montagne des quatre éléments possédait 3 776 mètres d'altitude, elle était le point culminant du Japon1. Située dans une région où se rejoignaient les plaques tectoniques pacifique, eurasienne et philippine, la montagne était un stratovolcan toujours considéré comme actif, sa dernière éruption s'étant produite fin 1707, bien que le risque éruptif soit actuellement considéré comme faible. À son sommet avait été construit un observatoire météorologique et malgré les conditions climatiques rigoureuses, la montagne était une destination extrêmement populaire en particulier pour les Japonais, qu'ils soient shintoïstes ou bouddhistes, en raison de sa forme caractéristique et du symbolisme religieux traditionnel qu'il représentait. Il avait ainsi été le sujet principal ou le cadre de nombreuses œuvres artistiques, notamment picturales au cours des siècles. Cette montagne avait une ascension couverte de verdure, pendant toutes ces années les cendre du mon Fuji avait imprégné la terre de ces cendre et avait donc favorisé le développement de cette flore montagneuse. Ce massif forestier était une étendue boisée, relativement dense, constituée d'un ou plusieurs peuplements d'arbres et d'espèces associées. L’on pouvait distinguer plusieurs facette dans cette foret, un boisement de faible étendue était dit bois, boqueteau ou bosquet selon son importance. Une large typologie de forêts existait en bas du mont Fuji ; des forêts dites primaires, aux forêts dites urbaines, en passant par de nombreux types de sylvicultures et d'agrosylvicultures. La forêt était aussi un milieu de vie et une source de revenus pour l'homme : au début du XXe siècle, plus de 500 millions de personnes, dont 150 millions d’autochtones vivent encore en forêt ou à ses abords car ces bien faire guérissaient les malades et sauver leurs femmes de la mort quand celle-ci donnaient la vie. Konan après ce moment historique revint dans son propre corps et se rappelle du pourquoi elle était la, une fois qu’elle eut dite sa phrase elle entendit un petit émit rire, cet homme accrocha à son bec une cigarette, l’enflamma et attendit quelques secondes, étant maintenant à une dizaine de mètres d’elle, il s’approcha un peu , recrachant la fumée en levant la tête vers le ciel, puis d’une voix amicale, il répondit à Konan l’air de rien :
« Hé ben .. Ce n’est pas très gentil de parler comme ça à un quelqu'un sans le connaître. Mais comme tu l’as dis ça ne sert à rien de se battre alors qu’on ignore tout l’un de l’autre hein. Et je ne me permettrais pas de frapper un si beau visage. Kogan Kimitsu, enchanté. A qui ai-je affaire ? »
Après cette jolie parole il recommença et aspira de la fumée sur sa clope, l’air de rien, passant sa main dans ses cheveux ébènes. Cet homme la fixait, elle continuait de le fixer avec ses yeux glaciel comme à son habitude. Il la dévisagea un instant puis passa ses deux yeux noirs vers le bas de son corps, il semblait l’analyser. Il resta donc sur place attendant quelque chose, surement une réplique. Konan elle commença son analyse complète de cet homme qui lui faisait face.
Cet homme se démarquait facilement du lot des autres jeunes hommes que Konan avait croisé par le fait des traits de son visage, qui sont net et précis, comme si son faciès avait été fait de telle sorte qu'il donnait toujours un air sûr de lui. On pouvait remarquer des courbes fines et sculptées, qui donnaient à son visage un air intelligent sans forcément apporter une touche de féminité. Il portait aux deux oreilles des piercings noirs, en forme de petites boules, effet de style que la jeune femme apprécie assez. Son nez était court, un tantinet pointu, sans aucune trace ou cicatrice du genre, ce qui était relativement étrange puisque un ninja passait le plus clair de son temps à se battre, et pourtant, aucune trace de lute n'ornait son visage angélique. Une petite bouche se dessinait juste au dessous de son nez, toujours fine, dévoilant de temps en temps des dents droites, blanches et intactes malgré le fait qu'il fumait comme un pompier, et on pouvait même dire qu’il possédait envie de se la jouer 'bad boy' et qu’il voulait se tuer volontairement.
En remontant un peu plus haut, on tombait sur un attirant, mais néanmoins étrange regard, d'un marron noisette, exceptionnellement expressif, qui semblait dégager une certaine force. La forme de ces yeux pouvait rappeler sans se tromper celui d'un félin, partant un peu en amande sans forcement lui donner l'air bridé comme un petit chinois. Ce jeune homme avait un certain don qui surprit Konan, celle-ci qui restait de marbre devant n(‘importe qui avait esquisser un sourire devant cette homme. Konan réfléchit alors à toute vitesse afin d’arriver à une conclusion, cela n'avait rien à voir avec un Dojutsu ou autre Kekkai Genkai peu ordinaire qu'on retrouvait chez certaines personnes, mais seulement du fait que l'instance qu'il portait à travers ses pupilles vous faisaient ressentir certains sentiments, selon la personne, la situation... Bien sûr, au dessus de ses deux yeux logeaient deux sourcils de couleur chocolat, et à s'y méprendre on pourrait croire qu'il s'épilait, ou autre délire féminin que les autres hommes inventaient pour se rassurer et se donner une raison, pour éviter de s'avouer à eux même qu'il n’étaient pas si beaux, finalement. Ce jeune homme était coiffé tel le Bijuu à neuf queux et son hôte, même si la couleur blonde n'était pas au rendez-vous. Coiffé de façon étrange, ses cheveux faisaient une mèche qui partait vers la droite en prenant bien soin de laisser son front à la vision du monde. Et oui cet homme n'était pas un Deidara ou un Emo !
Tout les ninjas qui se respectaient, auront, avait ou on eut un bandeau à l'effigie du symbole de leurs nations. Une feuille pour Konoha, une pierre pour Iwa, sa tenue vestimentaire il avait opté pour une tenue blanche en matière, assez souple pour qu'il puisse pratiquer tranquillement son Taijutsu. Elle était coupée très simplement, et comportait une veste à col droit & montant qui cache un T-shirt juste au corps moulant et un pantalon lui arrivant aux chevilles. On pouvait se demander où est son étui à Kunai ? Et bien Konan l’avait repéré, il était dans son dos, surement car le mouvement arrière avant et rapide et lui permettait de prendre de la vitesse dans son lancé, vu que sa veste était assez large dans son dos. De carrure, cet homme n'était pas bien gros et devait peser dans les 63kg, guère plus, pour son mètre 76 qu'il arborait fièrement, mais cet homme dégageait une force extraordinaire. Konan continua de le regarder pendant quelques minutes avant de fermer les yeux et de sourire, il fera un très bon membre pour la Lune Rouge. Elle répondit alors enfin à cet homme :
« Merci du compliment, je me nomme Konan, princesse du papier. Connais-tu les symboles que j’arbore ? Si oui accepterais-tu de me suivre ? »
Konan détacha sa cape et la lança à cet homme, ses formes furent resplendissantes, ses habits étaient des plus moulant ce qui faisait ressortir sa poitrine ainsi que ces fèces, elle continua de le fixé, celui-ci rattrapa la capte. La femme de papier attendit donc une réponse de cet homme, elle espérait que sa réponse serait positive car elle ne voulait pas tuer un jeune homme de cette beauté car personne ne connaissait le secret d’Akatsuki et personne ne devait le connaitre à part ceux qui y faisaient partis. |
Sujet: Re: Un nouveau félin trouvant une raison de vivre. (PV : Kogan) Sam 17 Avr 2010 - 15:05 | |
| « Tout homme poursuit un rêve. Pour arriver à destination, le chemin est long et semé d’embuche. Mais à vouloir vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Tel est l’adage. Déduisez s-en donc que plus le chemin est long, plus la victoire est belle. Mais la patience est quelque chose que trop peu de gens possède. »
Il en était sûr maintenant, il venait de faire une rencontre qui allait changer sa vie. Pourquoi, comment ? Il n’en savait rien. Mais il sentait les choses, et il pouvait dire sans se tromper que sa futur réponse à cette femme changerait définitivement sa façon de vivre. Pourquoi pas d’ailleurs? Car il fallait avouer qu’être tout seul, tout le temps, c’était assez pesant. Et puis si il avait la chance de passer du temps avec une si jolie fille, ça ne le dérangerais en aucun cas, bien au contraire. Il faut avouer que depuis son évasion de Kiri, il avait multiplié les aventures avec nombres de femmes, autant qu’il ne les comptaient plus. Comment se douter qu’une telle personne se cachait derrière cette petite bouille d’ange ? Rien. Ne jamais juger quelqu’un à son apparence, une leçon que beaucoup aurait dû apprendre il y a déjà un bon moment. Mais la philosophie était un art qui échappait à beaucoup, voir même trop de gens, et c’était tant mieux pour lui me dirait vous. Sourire au lèvre, comme à son habitude, il s’approcha encore de la femme, assez près pour sentir son parfum. Il était fruité, une touche boisée, et il en huma une bonne respiration, en laissant apparaître un sourire blanc comme les quelques nuages qui flottait dans le ciel. Le parfum d’une femme était ce qu’il préférait sentir. Quoi de plus beau, quand on le couplait à l’apparence de la demoiselle ?
Il laisse ses quelques pensées galantes de côtés, pour revenir plongeait son regard dans celui de la demoiselle qui restait muette tout en le dévisageant. Cela ne le dérangeait absolument pas, Kogan étant une personne qui adorait par-dessus tout qu’on l’observe, car il trouvait son apparence, sans être narcissique ni vantard, assez plaisante. Penchant la tête sur le côté histoire de faire craquer son cou, ce qui arriva dans un mouvement sonore assez agréable pour le garçon, il continua d’attendre la réponse que la jeune femme planté devant lui, à une distance approximative d’à peu près 6 voir 7 mètres. Puis , il détourna les yeux de la jolie demoiselle pour aller attraper une cigarette dans la poche arrière de son pantalon, qu’il mit tout d’abord à sa bouche avant de l’allumer rapidement d’un geste vif, sa deuxième main étant aller chercher dans sa poche la belle flamme. Tirant une barre, il passa sa main dans sa nuque en attendant la réponse de la femme. Vint enfin le moment où il put l’entendre. Encore une fois, il prit écoute de chaque mot. Alors elle s’appelait Konan. Kogan, Konan, pas beaucoup de différence, seulement une petite lettre. Ressemblance étrange me direz vous. Le hasard est souvent étrange, il faut l’avouer. Elle le remercia aussi de son compliment, qui n’était que vérité après tout. Ensuite, elle lui parla des symboles qu’elle arborait, et ceci fit le fit revenir sur ce à quoi il avait pensé quelque instant avant.. Un soir, s’étant arrêté dans un bar un Ninja, haut gradé semblait t-il, autant que soul, avait tenu à peu près un discours semblable, quand les gens avaient abordés le sujet de la Lune Rouge. Il n’aurait jamais tenu ce discours si il n’était pas autant imbibé d’alcool.
« Oui l’Akatsuki. C’est une organisation criminelle comportant plusieurs criminels déserteurs. On les reconnaît facilement, hein. Y se ballade en robe noir à nuage rouge, et y porte des bagues. Vous savez ces bagues avec un Kanjii dessus! On dit qu’ils sont tous aussi effrayant les uns que les autres, et que leur puissance n’a aucune limite. Et aussi qui veulent gouverner le monde ou un truc dans l’genre. J’sais même pas pourquoi j’vous en parle hein, faut pas le répéter ! Enfin, voilà quoi. Faites gaffes parce que ces gens, bah y sont pas normaux m’voyez ? »
Le hasard l’avait fait tombé sur ce discours pour le moins étrange, et même si il s’était éloigné pour ne pas sentir l’haleine pleine de saké de l’interlocuteur, il en avait capté chaque miette. Et oui, il possédait une bonne mémoire, même si ce n’était que maintenant que ceci lui revenait à l’esprit. Mais le plus intéressant était quand même la fin de la phrase de la jeune femme. Elle voulait que Kogan la suive. Cela voulait sûrement dire qu’il rejoigne l’organisation. Mais en y réfléchissant que savait t-elle de lui ? Comment pouvait t-elle vouloir de lui alors qu’elle ne connaissait même pas son niveau de ninja ? Peux être à son chakra, ou quelque chose du genre ? Ou peux être qu’elle s’était renseigné sur lui et que le destin les avaient fait se croiser tout les deux. Enfin bref, elle attendait une réponse et il ne tarda pas à la lui donner, mais alors qu’il allait parler, la jeune femme se découvrit, laissant apparaître des formes pour le moins.. Attrayante. Quand elle portait sa robe, il ne pouvait pas apercevoir ses courbes, mais maintenant qu’elle l’avait ôté elle laissait ce spectacle à Kogan, qui attrapa le morceau de tissu par le col de son majeur, longeant les formes de Konan pendant une petite minute. Puis prit la cape à deux mains, la longea elle aussi du regard, la trouvant assez sympathique, puis , de l’air le plus naturel du monde il fit encore un pas vers sa partenaire. Les deux personnes étaient seuls, dans une immensité verdâtre. Il entama alors sa réponse, capitale selon lui ;
« Pour tout te dire c’est assez flou, ce que je sais de ton organisation, Akatsuki, c’est bien ça ? Et tu voudrais que je te suive alors que tu ne connais pas mon potentiel. Enfin, perso ça me dérangerait pas, si tu me dis ce que j’ai a y gagner. Et mise à part cela, tu as un corps des plus charmeurs. »
Sur ces quelques mots, il jeta ce qui restait de sa clope dans l’herbe, et en ralluma une autre, en observant toujours la femme dressée devant lui. Il se demandait bien ce qui lui passait par la tête à ce moment précis. |
Sujet: Re: Un nouveau félin trouvant une raison de vivre. (PV : Kogan) Sam 17 Avr 2010 - 15:55 | |
| Hrp : Rp à chier j’en suis désolé je me rattraperai.
« Merci du compliment, je me nomme Konan, princesse du papier. Connais-tu les symboles que j’arbore ? Si oui accepterais-tu de me suivre ? »
Konan détacha sa cape et la lança à cet homme, ses formes furent resplendissantes, ses habits étaient des plus moulant ce qui faisait ressortir sa poitrine ainsi que ces fèces, elle continua de le fixé, celui-ci rattrapa la capte. La femme de papier attendit donc une réponse de cet homme, elle espérait que sa réponse serait positive car elle ne voulait pas tuer un jeune homme de cette beauté car personne ne connaissait le secret d’Akatsuki et personne ne devait le connaitre à part ceux qui y faisaient partis. Konan fixait encore et toujours cet homme qui lui faisait face, la verdure qui les entourait été telle un paradis pour les insectes et pour les différentes races d’animaux. Konan se rappelait de son enfance, elle avait vécus dans une famille unis et aimante, avec des parents qui travaillaient en tant que civiles, car ils étaient de fervents pacifistes et ne voulaient servir la cause de la violence pour rien au monde. Sa jeune mère, qui avait accouchés d'elle à seulement l'âge de 18 ans, était d'une tendresse extrême, ses manies l'a faisait passer pour une fillette de 10 ans et lorsqu'elle penchée sa tête sur le côté son visage reflétait la mélancolie des jours passées lorsqu'elle était enfants. Konan le savait, sa mère lui avait souvent raconter qu'elle petite fille espiègle elle avait était et qu'elle voulait rester même si le monde adulte ne permette pas de tel extravagances, mais cela elle s'en ficher car elle était anticonformiste, une outsider, qui aimer vivre tout simplement. Son père lui était plus mature peut être était est ce dût à son âge plus ancien qui l'y obliger? Oui car son père bien aimer était âgé de 35 ans lorsque Konan montra le bout de son nez. D'ailleurs la relation qu'il avait eu avec la mère de sa fille avait fait scandales au village, mais ne dit on pas que l'amour triomphe toujours? Cet homme merveilleux avait mainte fois protégé sa fille si fragile, lorsqu'elle se faisait maltraiter à l'académie et mainte fois il avait eu envie de sortir de ce système sa princesse. Malgré tout il savait que Konan était faite pour cette vie, elle avait en elle une force de caractère qui lui permettrait de se battre pour la seul vérité en ce monde "la justice". Il avait seulement espérait que cette force ne se réveille très tard avec l'espoir qu'elle en face bon usage et non pas l'apanage de la haine. C'est dans cette ambiance de joie qu'à vécus Konan et difficile de croire qu'une petite fille ayant fait sa vie dans une si parfaite famille soi devenue une tueuse sans coeur. Mais c'est la triste vérité car toutes belle histoire à une fin et la sienne prie fin un jour où la lame aiguiser d'un katana eu raison de la pacification de ses parents qui n'avaient rien tentés pour se défendre. A ce moment, elle en voulut à ceux qui lui avaient martelé que rien ne justifier la violence, elle leur en vouler d'avoir fait passer leurs idéaux avant leur propre fille, qui avait assisté impuissante à ce massacre. La haine s'était emparée d'elle et celle si devait être expiée. Elle avait courus pendant des heures fuyant les ninjas qui tuaient tous ceux qui étaient sur leurs passages. A la nuit tombée elle avait trébuché sur une racine et le noir l'avait assaillit.
Au petit matin, elle avait sentis les rayons du soleil lui chatouillaient le visage. Elle avait ouvert les yeux difficilement à cause de la lumière qui l'avait agressé et avait pus voir une tête masculine penchées au-dessus d'elle ornée d'un léger sourire. Cette figure masculine avait les cheveux noir et les yeux tout aussi noir, il avait vraisemblablement le même âge que Konan, mais la question qu'elle s'était poser était: "qu'est ce qu'un garçon pouvait bien faire ici?" Ce qui bien sur elle s'empressa de demander? Ce fut alors que le jeune garçon s'était présenté comme étant Nagato et qui lui avait expliqué qu'il l'avait soignée après sa chute. Puis avec la forces des choses ils étaient devenus amis et comme tout deux ils étaient orphelins, ils restèrent ensemble pour se soutenir. Peu de temps après un autre petit garçon du nom de Yahiko avait fait sa venue. Ils s'étaient évertuer à s'entraînait du mieux qu'ils le pouvaient mais s'était sans compter sur l'absence d'un maître qui pouvait leurs enseigner les rudiments du ninja. Sans qu'ils s'y attendent, ils n'avaient pas eux à chercher un sensei, qu'un d'eux était venu à eux. Ce fameux sensei portait le nom de Jiraiya et avait eu un cout de cœur pour ses trois chérubins. Ils leur apprirent donc l'art des ninjas et tout cela pendant trois ans, avant que celui si ne reparte pour son village natal. Nos trois orphelins s'étaient retrouvés seul après ce départ assez précipité. Il devait donc se forger à partir de cela une identité au près des différents villages caché et pour cela il devait chasser n'importe quelle ninja en faisait le bien. Ils firent alors le plus de mission possible et enfin il créer une organisation de ninja exceptionnelle pour défendre le village caché de la pluie contre les autres envahisseurs, quelques années plus tard, alors qu'il était en guerre, Danzo le chef des forces spéciales de Konoha s'allia avec la Salamandre du village caché de la pluie, à ce moment la les trois ami apprirent qu'il avait fait un pacte pour qu'il arrive à tuer cette organisation qu'il avait eut du mal à créer, Konan fus prie en otage et alors qu'elle avait réussis à se détacher de son ravisseur, ils tuèrent Yahiko.
Au même moment elle revient dans son propre corps, cet homme la regardait toujours avec ses yeux tel un félin voulant vous sautez dessus pour vous prendre dans sa gueule, cet homme avait des yeux de conquérant, surement un coureur de jupon, Konan eut alors un tous petit sourire qu’elle fit disparaitre de son visage aussitôt, elle avait eut une idée, l’homme se rapprochait de plus en plus lorsqu’elle lui envoya sa cape, cet homme lui répondit alors d’une vois simple et mélodieuse :
« Pour tout te dire c’est assez flou, ce que je sais de ton organisation, Akatsuki, c’est bien ça ? Et tu voudrais que je te suive alors que tu ne connais pas mon potentiel. Enfin, perso ça me dérangerait pas, si tu me dis ce que j’ai à y gagner. Et mise à part cela, tu as un corps des plus charmeurs. »
Konan continua de la regarder avec ses yeux d’un bleu marin tel le requin fixant son compagnon, ils continuaient tous deux à se fixer en se parlant toujours avec quelques minutes d’accord, ils semblaient vouloir chacun d’entre eux analyser le plus profond de l’âme de l’autre. Sur ces quelques mots, cet homme jeta ce qui restait de sa clope dans l’herbe, et en ralluma une autre, ils semblaient toujours et encore s’observer. Il semblait se demander ce qui passer par la tête de la déesse du papier. Konan eut alors un autre sourire, décidément cet homme provoquait en elle quelque chose d’étrange, elle le fit à nouveau disparaitre, elle eut alors une idée, elle commença alors sa réplique :
« Ton potentiel je le connais déjà ne t'inquiètes pas et je sais que tu pourras apporter quelques chose à la Lune Rouge. Ce que tu as à y gagner ? Tu gagneras la puissance nécessaire pour rendre tes rêves réalité, tu pourras aussi apprécier le gout du combat, le bous d’avoir des compagnons et surtout… »
Konan ne termina pas sa phrase son torse disparut en feuille de papier, toutes ces feuilles de papier s’envolèrent jusqu’à être juste devant le visage du dénommé Kogan, la tête de la déesse de papier se reforma juste devant celle du jeune homme, celle-ci regarda alors la cigarette de cet homme avant de cligné de l’œil, la feuille qui entourait na papier se détacha alors et s’envola, l’homme fit alors tombé le filtre et Konan pu déposer un petit baiser sur le bous du fin nez de ce garçon. La tête de Konan re-disparut alors et revint se clouer sur le reste du corps de la déesse. Elle sourit ensuite sans se priver, elle commença à marcher vers lui jusqu’à être à environ quatre-cinq mètres de lui, elle lui dit alors :
« Me suis-tu alors Kogan, Nuke-Nin du village de la Brume et Membre de la Lune Rouge ? »
Konan continuait de sourire en attendant la réponse final de ce jeune homme, elle voulait absolument faire de lui un membre de l’organisation criminel de la Lune Rouge, elle avait le pressentiment qu’il serait un bon atout pour son organisation, elle resta donc avec le sourire aux lèvres, la cape redevint alors papier et vint de remettre sur le corps de la jeune femme au cheveux bleus, elle continua d’attendre la réponse de Kogan, le déserteur du village de Kiri. |
Sujet: Re: Un nouveau félin trouvant une raison de vivre. (PV : Kogan) Dim 18 Avr 2010 - 0:23 | |
| « La vie est une peinture sur fond de musique triste, et tu en es le peintre. Selon tes émotions, tu décides de ce qui apparaît sur ce morceau de toile représentant ton existence. Et comme tout tableau, le temps, la situation, mais surtout le reste du monde, améliores ou tarisses ton œuvre. Alors n’oublies jamais que rien ni personne ne peux t’obliger à changer de pinceau. Et que beaucoup de travail amène à une belle récompense, et quand tu regarderas cette même peinture un peu plus tard tu pourras être fier de toi. Ou le contraire, éventuellement. »
La scène qui arriva étonna, dans le bon sens, le jeune Nuke - nin. Depuis le début de cette pseudo-discution, il y avait à chaque fois un vide de quelques minutes, où les deux personnes se scrutaient, se déchiffrant, en essayant d’apprendre l’un de l’autre, tel deux animaux se tournant autour sans savoir ce que l’autre préparait. Et cela n’allait pas pour déplaire à Kogan. Cela lui arrivait aussi, comme Konan, même si il ne savait pas qu’au même moment elle repensait à son passé, de réfléchir en plein milieu d’un dialogue, à ses erreurs commises, et à son enfance. Même si il était connu dans le monde ninja comme un criminel, personne à part les dirigeants de Kiri ne connaissaient vraiment l’histoire pour la moins tragique du dernier héritier des Kimitsu, clan minable de l’enceinte ninja du pays de la brume. Il fallait avouer que personne n’aurait enviait de vivre ce qu’il avait vécu, même si il y avait bien pire, car il y a toujours pire. Lui ne pouvait pas se vanter d’avoir un père génie du Ninjutsu, ni se vanter d’avoir un père tout court.. C’était sans doute pour ça qu’il était ce jeune homme aujourd’hui. Une présence paternel l’aura peux être remit dans la bonne direction, et si il n’y avait pas eu ce drame.. Enfin le petit Kogan était bien jeune à l’époque de cela, et pendant longtemps il crut ce que lui dire les sages de son village à propos de ses parents. Ce n’est que quand il apprit la vérité qu’il prit la décision de quitter ce village d’hypocrites égoïstes et manipulateurs pour se diriger sur la voie de la solitude constante qu’il vivait maintenant et qui avait trouvé sa fin, selon les dires de la Kunoichi. Sorti de ses pensées, de ce silence, ressortit la réponse de la belle brune. Elle prétendait connaître son potentiel, ce qui l’intrigua fortement, sans pour autant qu’il l’a coupe. Il pouvait aussi, selon ses dires, gagner en puissance, pour réaliser ses rêves. Un rictus en coin apparut alors sur la bouche de Kogan. Même si ce n’était pas son cas, il ne fallait pas forcément être puissant pour réaliser son rêve, car il devait bien exister des gens dont le rêve était de fonder une famille, en s’occupant de la sienne, et mener une vie prospère. Mais pour tout vous dire ce n’était pas le but du jeune homme. Lui ce qu’il voulait.. Il ne le savait pas encore, mais il prévoyait quelque chose d’énorme, quelque chose que personne n’aurait envisagé tellement l’idée était forte. Mais du haut de ses 18 années, il se trouvait encore trop jeune pour se lancer dans la poursuite de quelque chose d’aussi gros. Sa petite vie tranquille lui suffisait très bien. Enfin tranquille était un grand mot, puisqu’elle se composait en grande partie de combat, vol, fuite & autres passe temps de ninja déserteur.Alors autant vivre une vie de criminel, autant en être un non? Ce qui ne voulait pas dire que le passé du jeune homme n’était pas taché de sang, et pas seulement du sien.. Bref; passons, et parlons du moment présent, celui qu’était en train de vivre le Ninja. Après les quelques phrases du membre de l’Akatsuki qu’elle était, il fut étonné qu’elle se transforme en lame de papier, pour venir se reformer nez à nez avec lui.
Et en un clignement de ces yeux bleus cristal il eut la surprise de voir sa cigarette se réduire en miettes. Il se serait sûrement énervé contre une autre personne, mais une femme.. Non, jamais. C’était un principe !Et puis comment s’énerver, même si il l’avait voulu, car la femme déposa sur son nez un baiser de ses jolies lèvres rosées, faisant pendant deux petites secondes fermer les yeux à notre aventurier solitaire, et quand il les rouvrit elle avait réapparut un petit peu plus loin, se reformant pour être à nouveau la femme qu’il venait de rencontrer. Il se demandait bien quel genre de Ninjutsu ça pouvait être. Se transformer d’une telle facilité en papier, cela était pour le moins étonnant, et ça devait être pour le moins pratique. Si il en était capable, il s’en servirait sûrement pour tout et n’importe quoi. De l’assassinat au déplacement. Mais bon chacun ses armes. Il ne pouvait pas se plaindre. Au moment de son ‘évasion’ de Kiri, il était Jônin, rang assez haut dans la hiérarchie ninja, et on peux dire qu’il le méritait. Car depuis la perte de sa famille il n’avait cessé de s’entraînait tout les jours, et jusqu’à maintenant il n’avait pas arrêté. Il trouvait un attrait assez spécial dans le physique, et le dépassement de soi. Mais son plus grand point fort était sans doute l’intelligence. Et oui, dans cette petite tête, sa bossait sec ! Un surdoué peux être ? Il n’avait jamais essayé de le savoir, et franchement il n’en avait rien à faire. Il était bien comme il était. D’un geste souple, il remit un de ces tubes de tabacs qu’il aimait tant et qui lui coûterait sûrement la peau un de ces jours à sa bouche, l’enflamma, puis recracha la fumée résultant de son tabagisme aigu, laissant le petit nuage grisâtre se disperser dans le ciel bleu azur dont il profitait aujourd’hui. Puis quand il eut assez profiter du spectacle la jeune femme lui reposa la même question. Si il voulait la suivre. Il soupira en laissant apparaître, comme d’habitude depuis le début de la conversation, un sourire angélique qui ne laissait rien paraître de sa réponse, attrapant sa cigarette entre ses deux doigts fins, puis entama enfin la réponse qu’attendait tant la jeune femme, balançant d’un ton tout ce qu’il y avait de plus naturel ; il avait pris sa décision .
« Ma chère Konan, j’ai le plaisir de vous dire que je fais partie des vôtres dès le moment présent puisque c’est demandé si gentiment , par une personne aussi sympathique & belle que vous. Comment refuser? »
Il laissa échapper un petit rire, en tirant sur sa clope. Il savait très bien que ce choix allait être un grand tournant dans sa vie. Qu’il allait vivre des choses que peu aurait la chance, ou à défaut le malheur de connaître. Enfin un peu d’excitation dans une vie qui commençait à devenir monotone. Il détestait la routine, et encore une fois il avait tout fait pour changer un peu de vie. Et ce qu’on peux assurer, c’est qu’il avait réussi. Encore plus de Oi-nin serait à ses trousses. Mais la question qu’il le démangeait, et qu’il ne tarderait pas à poser à sa nouvelle acolyte, c’était quel rôle allait t-il bien pouvoir jouer dans cette organisation. Que devrait t-il accomplir? Et aussi qui en était le chef? Car depuis sa plus tendre enfance, Kogan haïssait les ordres, surtout quand il ne savait pas d’où ils venaient. Peux être l’habitude d’avoir tant de libertés ? Il tira encore une fois, puis s’approcha d’un pas sur et leste vers sa nouvelle partenaire, jusqu’à arriver à son côté, puis il lui lança d’une voix enjouée ;
« Bon on va où maintenant ? Et au fait, à part porter votre robe et votre bague, j’aurais d’autres 'obligations' ?' »
Il plongea encore une fois son regard dans celui de Konan, attend sa réponse avec impatience, prêt à bouger dès qu’elle en donnerait un signe. Peux être allait t-il rencontrer ses nouveaux collègues de travails, ou quelque chose d’aussi divertissant ? Pleins d’interrogation, mais confiant, Kogan n’attendait maintenant qu’un signal pour fouler encore une fois cette herbe verte, mais cette fois, comme membre de la Lune Rouge . |
Vijay Jagdish~ Fondateur & Ninja de Jiyuu ~▌Sanction : Aucune ▌Messages : 5547 ▌Age : 31 ▌Inscription : 09/03/2008 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (203/1000) | Âge du personnage | : 26 ans Sujet: Re: Un nouveau félin trouvant une raison de vivre. (PV : Kogan) Dim 9 Mai 2010 - 17:32 | |
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Sujet: Re: Un nouveau félin trouvant une raison de vivre. (PV : Kogan) | |
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| Un nouveau félin trouvant une raison de vivre. (PV : Kogan) | |
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