Il faisait beau ce jours là lorsqu'il se leva, le regard encore flou il n'avait comme tout les matins aucune envie de se lever, surtout dans la fraicheur matinal du village, il regarda à travers la fenêtre au nord de son palais le village dormait encore lui aussi excepté quelques marchands qui commençait déjà à ouvrir leurs commerces. Il se leva finalement et ralluma la lumière de sa chambre, la pièce avait été décoré avec un certains gout mais néanmoins l'or qui ornait les murs de l'ancien Mizukage avaient été vendus pour les caisses de l'état. Après sa douche, il termina de se préparer prenant sur son bureau son magnifique couvre-chef, qu'il attacha à sa ceinture derrière sa cape il sortit finalement de la chambre et descendit un étage plus pour entrer cette fois dans son bureau officiel, il prit un livre quelque dossier et sortit. Dès le moment où il sortit de l'immense batisse il fut entourée de deux ANBU du village. Arrivé au porte, il monta dans la calèche et se mit à lire durant le long trajet qui le mènerait à Konoha.
L'ignorance se manifeste, dans l'esprit, sous divers aspects.Le voile est ce qui masque la réalité de l'unité transcendant le corps et l'esprit. L'esprit, identifié au corps et à ses possessions, oublie que ce corps contemplé est contenu dans une conscience d'arrière-plan, qui est regard et lui donne vie et forme. L'attention étant attirée par l'avant-plan, telle la limaille de fer attirée par l'aimant, la peur de la perte et de la mort en sont ses conséquences. L'ignorance dit "je suis le corps" au lieu de "je suis conscience".La projection est le pouvoir qu'a le mental de créer des formes qui paraissent aussi réelles que celles émergeant dans l'esprit du rêveur endormi. Les émotions qui s'ensuivent ont alors la même réalité que celles vécues dans l'état de veille, qui n'est lui-même rien de plus qu'un rêve pris pour la réalité. L'ignorance dit "tout cela est réel", au lieu de "rien de cela n'est la réalité".La surimposition est le fait que la forme masque le sans-forme qu'elle contient. Lorsque la chaise est regardée, le bois est oublié. Lorsque le bois est regardé, la chaise est oubliée. Lorsque le moi est regardé, le Soi est oublié. Lorsque le Soi est regardé, le moi est oublié. L'ignorance dit "je suis cela" en pointant le doigt au loin, au lieu de dire "je suis Cela", en retournant le doigt vers soi. Le doigt retourné pointe vers le Soi, et non vers le moi.L'immensité, le silence, la joie et la paix, qui appartiennent au sans-forme, sont attribués aux formes. La confusion règne. Les formes sont investies d'un pouvoir qui ne leur appartient pas. Le moi tente de s'en saisir, et est invariablement ramené au manque qu'il cherche à fuir. L'ignorance dit "cela est ce que je cherche", au lieu de "je suis ce que je cherche".En explorant l'ignorance dans notre propre esprit, une clarification se fait ainsi, permettant de ne plus confondre la réalité avec ce qu'elle n'est pas. a réalité, substratum immuable de l'irréalité, peut alors dévoiler sa nature, sujet pur libre de l'objet. Il ferma bientôt le livre, c'était un des ouvrages qu'il fallait connaitre pour être plus sage; mais il ne trouvait pas cela très intéréssant il regarda le paysage, ils avaient déjà bien avancé et en un soupir, il s'endormit. |