Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
Alors n'hésites pas à nous rejoindre, plusieurs villages t'attendent afin de livrer bataille ! L'esprit de loyauté t'attire, et tu souhaites appartenir à un village caché ? Ou bien la voie de la débauche et du crime te séduit plus que tout ? Dans tous les cas, tu es le seul maître de tes actions ici, et tes actes, qu'ils soient bons ou mauvais, auront une influence sur le Monde tout entier !
Tu pourras ainsi rentrer dans la famille NNr' et découvrir la folie des membres sur le forum ! ^^
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Sujet: La mort aux portes de la brume. Mar 21 Déc 2010 - 20:05
>>> Akatsuki est là.
La guerre… Un conflit armé opposant au moins deux groupes militaires organisés réguliers. Elle se traduit ainsi par des combats armés, plus ou moins dévastateurs et implique directement ou indirectement des tiers. Elle qualifie donc tous les conflits, qui ont pour principales caractéristiques, la force physique, les armes, la tactique, la stratégie ou la mort de certains de ses participants ou de tiers. Le sens commun veut que la guerre soit aussi vieille que l'humanité, alors que les peintures anciennes ne figurent que des scènes de chasse. Des confrontations entre armées ont eu lieu dès le début du monde pour les terres. Certains estiment que chez l'Homme, la guerre est une forme extrême de communication, un commerce dans sa signification profonde ou exacte de mise en commun, de partage et d'échange, la guerre économique pouvant alors, sous une apparence plus socialement et éthiquement acceptable, satisfaire d'autres appétits de pouvoirs que ceux qui animaient les auteurs des guerres. Les armes des nouveaux conflits seraient alors la capacité à trouver et manipuler l'argent, l'influence et l'information.
Toutes les guerres laissent des séquelles, socio-psychologiques, économiques et environnementales qui souvent constituent le germe ou le ferment d'une prochaine guerre, produisant un cercle vicieux entretenu par la haine, le non-respect, la peur de l'autre ou de l'avenir, et la difficulté à négocier. Je marchais donc devant mes troupes, nous allions être plusieurs à participer à cette guerre, moi et mes troupes, Akatsuki et les troupes de Sasuke Uchiha qu’il avait mis en place pour cette guerre. Celle-ci allait faire des ravages, je pensais plus dans le camp adverse d’après les sources d’informations que j’avais à ma dispositions. Ce que le village de Kiri ne savait pas c’est que plusieurs de ces ninjas étaient des n’autres, ils étaient avec Akatsuki mais ce village était tellement naïf qu’il n’avait rien vue venir. Il y avait avec moi les trois binômes que j’avais mis en place, le binôme Kaimetsu, le binôme Niramu et le binôme où je me trouvais, qui portait le nom de Korosu qui signifiait la mort. Cette notion allait être réalité pour ce village, j’allais faire de celui-ci une base d’information, les ordres partiraient de là pour qu’ils ne soient pas filtrés. Mes différentes actions futures seront vues par les autres villages comme étant du village de Kiri et non d’Akatsuki. Mes six corps regardaient les portes du village de Kiri. Moi-même me trouvait à plusieurs kilomètres du village sur la terre ferme. je sentais quiconque qui s'approchait de moi.
Nous arrivâmes juste devant les portes su village caché de la brume, celle-ci étaient bien gardées mais je pris soin de les mettre hors d’état de nuire, je fis alors un signe de tête au binôme Kaimetsu pour commencer une petit destruction du village, ils allaient créer une petite ouverture dans le village pour que nous puissions entrer. Les espions présents dans ce village arriveraient plus tard. J’allais passer à l’attaque une fois le premier binôme entré, cette guerre allait être un véritable carnage, mes hommes allaient se donner à fond même si j’en connaissais quelques uns qui allaient faire de leurs combat un véritable jeu.
Hrp : Désolé c'est court mais je me rattraperai plus tard. Que la fête commence.
Dernière édition par Pein Rikudô le Mar 21 Déc 2010 - 21:06, édité 1 fois
InvitéInvité
Sujet: Re: La mort aux portes de la brume. Mar 21 Déc 2010 - 21:09
Fumer tue ♫
Peut être que fumer tuait, mais ce n'était sûrement pas ce qui allait me tuer vu que j'allais rendre visite aux gardes surveillant l'entrée du village afin de les emmerder un peu, m'amusant de leur réponse. Certes, je m'ennuyai, mais ma vie était devenue si dérisoire, c'était la décadence totale. Je m'amusai maintenant, en plus de boire, à fumer que ce soit des clopes ou des joints, alors bon, autant aller jusqu'au bout et emmerder le monde, fuck the world ou FTW comme on dit. Bref, j'allai voir mes gardiens préférés, c'était malheureusement pour moi un chemin tortueux qui m'attendait avec sa neige plate qui glissait autant que le verglas : une horreur ! Alors que la veille, la neige s'était bien déposée et était devenue compact, elle était maintenant devenu noirâtre, souillée par tous les passants et avait fondu pour laisser sa première couche qui glissait terriblement bien. Et moi qui essayait de fumer tranquillement en marchant, je me pris le feu de la clope une dizaine de fois au moins tout en tombant et me cassant peut être quelque chose au passage, j'allais finir par ramper si ça continuait comme ça. Heureusement, il y avait ces petits coins tranquilles où la neige avait totalement fondue et où je pouvais donc marcher sans me soucier de rien.
Ma clope s'éteignit plusieurs fois en s'enfonçant dans ma peau et me laissant sûrement des marques, par chance, j'avais ramené avec moi un fidèle compatriote qui ne me lâcha pas une seule fois lorsque ma flamme s'éteignit : mon briquet plus rechargé que jamais et dont la flamme illuminait mes soirées ! Mais une clope n'étant pas infini, je dus vite en changer et lorsqu'elle tomba dans la neige et qu'elle se perdit dans la sol, c'était du pareil au même. J'étais devenu accro à la clope après l'alcool, je n'avais malgré tout pas abandonner la bière pour autant, mon frigo en étant rempli, mais disons que la clope occupait plus mon temps. Bref, le voyage dura un temps à cause de cette foutue saison qui m'émerveilla un jour avec la tonne de neige abattue sur le village, et m'horripilait un autre, mais j'arrive finalement après quelques gamelles, j'étais frigorifié, l'eau glacé de la neige ayant passée mes vêtements et chaussures, mais le pire de tout était la saleté qui était sur mon corps à cause de la saleté de la neige provoquée par les pas des passants, je haïssais ce jour du plus profond de mon être, et ce jour était loin de paraître plus bon car je découvris bientôt les corps de mes deux camarades gardant la porte étendus à même le sol, inconscients...
Je couru alors vers eux en dégageant la clope d'entre mes lèvres, erreur, je glissa aussi vite que j'avais posé un pied à terre, m'apprêtant à courir foncer vers eux. Obsédé par le sauvetage de mes camarades, je me mis à rampé tel une larve aussi rapidement que je pu pour ne pas affronter ce verglas qui, dans mon impatience, m'aurait sûrement fait tomber maintes et maintes fois, c'était sérieux à partir de maintenant, je ne pouvais plus jouer la comédie que je surjouai, je me devais d'agir cette fois-ci. J'atteignis mes camarades sans vie pour vérifier leur état, je sentis leur poux au doigt pour en être au courant et pour mon plus grand bonheur, ils respiraient encore, ils étaient juste assommés. J'appelai donc de l'aide pour les soigner car vu leur état, ils avaient sûrement été attaqué, mais c'était en levant la tête que j'aperçus six hommes, tous vêtus de la même tenue : un long manteau descendant jusqu'au chevilles d'un noir d'ébène et cousu de nuages rouges par dessus. Mais ils avaient plus que l'habit en commun : ils avaient tous des piercings noirs, les mêmes pupilles sûrement spéciales vu qu'elles étaient formées de cercles concentriques, et la même couleur rousse de cheveux ainsi que le même bandeau avec le symbole de la pluie gravée dessus, mais barré, ce qui signifiait qu'ils étaient tous des déserteurs du village de la pluie. Même moi qui n'était pas très malin, je compris qu'ils étaient spécialement liés par quelque chose et qu'en tant que déserteurs, ils avaient quelque chose à voir avec l'état de mes compagnons que j'appréciai tant malgré le fait que je le montrai mal en les emmerdant. Je levis donc la tête, un visage rongé par la colère et cria aux six individus :
« Est-ce... vous qui avez fait ça ? Selon votre réponse... votre tête pourrait bien sauter...Répondez et avec le plus grand soin, je vous le conseille! »
InvitéInvité
Sujet: Re: La mort aux portes de la brume. Mar 21 Déc 2010 - 23:22
• Je vous emmerde et je rentre à ma maison !
« Se redresser après un échec et marcher fièrement vers sont objectif. C'est ça la véritable force... »
Le temps était venu. Bien trop longtemps déjà j'avais attendu, le chemin parcourue ne fut pas de tout repos, parsemer d'embûches mais au bout du compte j'y étais arrivé... Il était temps car la bête commençait déjà à se réveiller, cette bête immonde contenue en moi qui exprimait sa faim par un grognement sourd. "Groooooar" faisait le monstre, il n'y avait qu'un seul moyen de l'arrêter, un seul et unique mais qui pouvait mettre en péril notre mission du jour et vous parlez d'une mission. Toute l'équipe était là, pourquoi donc ? Parce que nous nous apprêtions à attaquer un village, mais si je ne stoppais pas la chose qui sommeillait en moi il était bien possible que je ne puisse pas participer et ceci était inadmissible. Ce fut donc à contre-cœur que je dû... Ah non rien que d'y penser sa me met dans tout mes états, j'allais faire une chose que je ne voulais absolument pas... Mon régime était foutu ! Je pris alors dans mon sac la ration de survie qui comme son nom l'indiquait était à utilisée en cas d'extrême nécessitée en tout cas, maintenant que j'avais tué mon régime qui durait déjà depuis 1 mois valait-il mieux que je continue ; je ne savais pas pourquoi d'un coup j'avais eu envie de manger, c'était peut-être le trac ou bien même l'excitation qui sait, l'impatience de cette mission qui allait bientôt débuter, qui plus est j'allais être envoyé en première ligne puisque j'appartenais au trinôme "Kaimetsu", le groupe de trois qui devait faire les gros-œuvres avant que les autres entrent vous voyez le genre ? En tout cas se me rendait dingue rien que d'y penser. Nous avions déjà bien marcher depuis deux jours, Kiri était un village très proche de notre repère il était donc normal que ce soit la première cible dans les dessins de Pein et des autres ! En parlant d'eux d'ailleurs, où était-il ?
~ Niaaaaaaaaaahahah ! Où qu'y sont passés ?
Quel mouise ! Il avait fallu que je m'arrête 30 secondes pour manger un petit morceau et ils étaient déjà partis ! Vive le collectif moi j'dis ! Quoi qu'il en soit maintenant j'étais seul, seul dans la forêt qui plus est, et pour vous dire franchement, je ne possédais pas vraiment un bon sens de l'orientation. Bon, le plus sûr moyen d'y arriver était de marcher tout droit non ? Encore fallait-il savoir par quel chemin j'étais arrivé... Mouais, valait mieux que je me laisse guider par ma bonne étoile :
~ .... Am-Stram-Gram !
Je remis donc mon sac sur mes épaules et partis vers de nouvelles aventures ! Sautant à travers les fouillis je ne savais pas où j'allais mais j'y allais, c'était peut-être ça l'instinct animal après tout. Au bout de 20 minutes sans arriver à destination je me rendis compte que j'étais vraiment perdu, il ne me restait plus qu'à me morfondre sur mon sort pendant que mes amis allaient s'amuser à tuer du Kiriens pendant que moi j'allai rester seul avec cette patrouille de même Kirien qui repartait faire leur rapport de mission au village...
~ Niaaahah ! Hé oh ! Dites moi braves gens vous pourriez me conduire à votre village ? Nan parce que si sa vous dérange pas je voudrai bien le détruire avec mes potes !
Comme simple réponse j'eus des cris et des kunaïs qui m'arrivèrent dessus, quelle impolitesse, j'avais fait l'effort de parler poliment et c'était comme ça qu'ils me remerciaient ? Nan mais comment faut-il faire pour se faire comprendre de nos jours ? Eh bien par la force on dirait. Prenant appui sur la branche sur laquelle j'étais appuyé, esquivant les kunaïs j'arrivai sur l'endroit du tir où se trouvait deux ninjas hommes, des Chunins apparemment, l'un avait un tonneau sur le dos ce qui me semblait bien étrange mais bon, les gens sont tous étranges de nos jours mais j'admets l'être aussi un peu parfois. L'homme le plus proche de moi, celui qui n'avait pas de tonneau sur le dos tenta alors de m'envoyer un coup de pied latéral que j'arrêtai de la force de mon tibia les bras croisé j'attendis une autre attaque qui vînt sous la forme d'un coup de poing que j'esquivai tout aussi facilement :
~ Bon, à moi ? Karyuu No Tekken !
Mon poing se recouvrit alors de flammes et alla se planter dans le ventre de mon adversaire qui partit tellement vite et loin que celui-ci qui était derrière lui fut prit dans la trajectoire et ils s'envolèrent tout les deux à 10 bons mètres de là où j'étais. Descendant à l'endroit où ils avaient atterris je remarquai que le tonneau avait été explosé et que le sol était humidifié du liquide qu'il contenait, cela sentait étrangement l'alcool à brûler, mais en plus doux et avant que je n'ais pu me rendre compte de quoi que se soit l'homme qui avait précédemment le tonneau sur son dos me dit :
~ Héhé... De l'ozone liquide, au contact de l'air ce gaz liquide fait...Boom.
~ NIAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!! I BELIEVE I CAN FLYYYY ♪ !!!
Une explosion retentissante je l'admets, mais seul souci c'est que le feu n'avait aucun effet sur moi et les seules choses que je ressentis furent la nausée du vol et le mal d'avoir atterris dans quelque chose de froid et dur après avoir entendu :
« Est-ce... vous qui avez fait ça ? Selon votre réponse... votre tête pourrait bien sauter...Répondez et avec le plus grand soin, je vous le conseille! »
Sortant ma tête de la glace je vis une silhouette devant moi, mais ma vue était encore un peu embrumée par l'atterrissage, regardant autours de moi je vis alors un paysage de neige et de glace, enfin c'est ce que je croyais car enfaite ce n'était pas vraiment ma vue qui allait mal, mais bien la brume qui était autours de moi qui me faisait mal voir. Quelle coïncidence, j'étais à Kiri ! Et la personne en face de moi était sûrement un Kirien, quel pied !
~ Hééééééé ! Je sais pas ce que j'ai fait, mais si on doit se battre parce que je l'ai fait, je suis d'accord ! Je plaide coupable ! J'ENFLAMME !
Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (203/1000) | Âge du personnage | : 26 ans
Sujet: Re: La mort aux portes de la brume. Mer 22 Déc 2010 - 13:10
• I'm here !
« ... »
Dure dure les réveilles en hiver. Aujourd'hui je m'étais réveillé très tard comparé à d'habitude, en effet, d'après mon horloge il était quatorze heure et quarante six minute alors que d'habitude je me réveillais minimum à midi. C'était le froid hivernal qui avait atteint ma chambre jusqu'à dérégler mon sommeil profond. Même après avoir dormi autant de temps, j'avais eu quelque peu du mal à sortir de mon lit. Mon première essai fut un échec total car en mettant un pied au sol, je compris à quel point mon appartement était gelé et sans chauffage et donc j'eus comme réflexe de me remettre dans mon lit et de m'entourer de ma chaude couverture. Je refis un second essai, dix minutes plus tard, il aurait pu marcher mais non et ce fut donc le même scénario que mon première essai. Finalement mon troisième essai fut le bon, je le fis quinze minutes après le second et au bout d'un moment je compris qu'il fallait que je sortes de mon amour de lit.
Le sol de ma chambre était frigorifié et je ne perdis guère de temps pour enfiler mes chaussons qui eux aussi étaient assez gelé. Marchant lentement vers la fenêtre se trouvant en face de moi, je pris la peine tout de même de prendre ma douce couverture et de l'enfiler autour de moi. J'ouvris lentement la fenêtre et soudain une terrible brise glaciale me frappa de pleine de face. Je compris ainsi que la saison de l'hiver s'était bel et bien installé dans le beau village de Kiri, en voyant toute la neige qui recouvrait les lieux que je pouvais voir à partir de ma fenêtre. Plutôt rude les hivers à Kiri, si il peut faire très chaud en été à Kiri, il peut très bien faire très froid en hiver.
Cette journée était une journée gaché à cause de mon sommeil, à 15h de l'après midi qu'est ce que je pouvais donc bien faire ? Surtout avec ce froid titanesque et cette neige glissante. Je marchais vers mon lit et me recoucha à nouveau dans celui-ci. Pendant quelque minute, je me demandais si je ne devais pas me rendormir et profiter de cette journée pour avoir du repos bien merité. C'est au bout de cinq minutes que je me suis enfin décidé à me lever et à sortir pour au moins dégourdir mes jambes. Une fois lavé et habillé chaudement, je pris la route. Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais une grosse envie de faire un tour vers les portes de Kiri.
Je marchais lentement car j'avais très peur de glissé, en effet, la neige était devenu du verglas hyper glissant. De plus, même si je connaissais par cœur la route vers les portes de Kiri, j'avais très peur de me tromper de chemin avec le brouillard intense qui s'était installé au village. A mi-chemin des portes, je vis au loin un groupe d'ANBU qui sautait rapidement de toit en toit en direction du palais du Mizukage.
Mon instinct me fit comprendre que c'était assez important donc je pris la peine d'atteindre un toit en faisait plusieurs bond afin d'y arriver. Lorsque les ANBU vinrent à mon toit, j'attrapai violemment un ninja par l'épaule avant qu'il ne parte avec son groupe et sans perdre une seconde je lui demanda si il y avait un problème.
Il me répondit sèchement :
~ Il nous faut des renforts ! Les portes de Kiri sont attaqués par un groupe de personne ..
Il se détacha de ma main et partit sans finir sa phrase. Mais elle était suffisante pour que je comprenne qu'il fallait que j'y ailles de toute urgence. Regardant avec un air dégouté la neige et le verglas, je ne pouvais atteindre le lieu de combat sans perdre de temps avec la neige. Soudain une idée me vint, pourquoi ne pas utiliser ma technique de vol ? Sans perdre une miette de temps, je mis mes deux bras en direction du ciel, mon regard se positionna aussi vers le ciel et tout à coup une aura blanchâtre fit son apparition autour de moi. Je pris mon envol et partit en direction des portes de Kiri avec une vitesse incroyable.
Voyant à quelque mètre d'ici, un homme qui semblait s'amuser, je compris que c'était l'un deux. J'annulai ma technique, mon aura blanche disparu et donc je ne volais plus. Pendant ma chute libre, je confectionna une boule de chakra dans ma main droite et l'envoya d'un revers vers l'homme souriant à la cape noir.
Mes deux pieds touchèrent le sol, le choc fut si fort que le sol se brisa légèrement. Je vins dans les lieux tel un sauveur. La mise en scène était quelqu'un chose d'innée en moi. L'attaque semblait avoir touché mon ennemi, en effet, elle avait crée une énorme vague de fumée gris vers lui. Me trouvant derrière un homme accroupi à terre, je savais que ce n'était pas l'ennemi mais un homme à protéger. Je le pris par l'épaule et le dégagea d'ici en le poussant violemment derrière moi. Il semblait pleurer, le pauvre. Je lui adressa quelque mot d'un ton chaleureux :
~ Dégage d'ici bouffon, ce n'est pas pour les pleurnichards.
Regardant avec un regard sérieux la vague de fumée qui commençait à se dissiper, je pris la parole :
~ Ton adversaire, c'est moi !!
InvitéInvité
Sujet: Re: La mort aux portes de la brume. Mer 22 Déc 2010 - 17:05
InvitéInvité
Sujet: Re: La mort aux portes de la brume. Mer 22 Déc 2010 - 20:31
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Sujet: Re: La mort aux portes de la brume. Jeu 23 Déc 2010 - 15:32
Guerre, guerre et encore la guerre… S’il y avait bien une chose que je devais reconnaître, c’était l’ironie du destin, de cette vie si sombre et dénaturée de tout semblant de réalité. Tout juste sortis d’une sombre bataille qui avais vu ma puissance s’étaler sur le village caché de la foudre, endroit que j’avais eu pour sombre besogne d’espionner moyennant bien évidemment rémunération… Mais tout juste sortis d’une bataille chaotique qui avait déchiré encore une fois le mur des lamentations d’une ode sarcastique de hurlements terrifiés de douleur et de désespoir, relançant sans cesse le chant miséricordieux des âmes interdites à jamais de salut face à l’infinie puissance des ténèbres divine. Guerre, ce mot résonne comme une implacable complainte dédiée aux âmes perdues sombrant dans les abysses de ténèbres sans fond, ode misérable à ceux déchus de leur rang et de leur propre vie afin de ne plus être que les ombres éternels symboles de la désillusion et de la déchéance. Que ce soit hommes ou dieux, il semblait que tout être doté d’un semblant de conscience en ce monde semblait n’être que l’instrument de cette chose infecte qu’était la guerre elle-même, comme si le simple fait d’être capable de raisonner et de penser par sois même, ou du moins en apparence penser par sois même, ne faisait qu’amener au massacre et à une lutte incessante pour la survie et le pouvoir. Aberrante vérité, ce n’est que la tragédie perpétuelle du genre humain, passant de souffrance en souffrance, ne vivant que pour souffrir encore plus, ne sachant pourtant nullement à quel point le lendemain sera plus douloureux que le jour acquis. Caprice sur caprice, manipulation sur manipulation, l’homme ne fait qu’avancer sur un immense chemin de croix couvert des corps de ceux qu’il a laissé derrière lui, se servant d’eux comme d’un marche pied pour atteindre le sommet de son existence, risquant à tout moment de s’écrouler avec cette pile infernale de cadavres pour en devenir lui-même un qu’un autre empilera sur sa propre montagne, sur son orgueil et son dessin de gloire. Il semblait que la vie elle-même n’était que le présent symbole de cette grotesque peinture mortuaire, empilant chaque jour qui passe diverses choses, douleurs, colère, haine, désespoir et corps terrassés pour nous permettre d’espérer un jour atteindre l’illusoire sommet, le château dans le ciel où plénitude et repos tant mérité seraient enfin les récompenses d’une vie tragique. Parmi toutes ces tragédies, la plus terrible était probablement celle de la guerre, force malfaisante se répandant tel un miasme insipide, couleur d’encre inondant la lumière vitale d’une robe noire teintée de visages hurlant leurs désespoir et la souffrance de leur existence perdue. Tragédie royale, la guerre était l’arme la plus maléfique que ces sois disant dieux osaient utilisés pour tromper leur ennuis, sombre reflet de tragédie, la guerre était l’arme la plus maléfique que ces sois disant dieux osaient utilisés pour tromper leur ennuis, sombre reflet d’un égoïsme sans borne, aussi grand et puissant que l’orgueil dont ces monstres semblent se revêtirent en guise de toges et de bouclier.
C’était, oui, vers une nouvelle guerre que nous avancions, comme si la tragédie de Kumo n’était pas suffisante, le souffle putride de ce dragon morbide qu’est la guerre allait de nouveau se répandre, cette fois sur le village caché de la brume, Kiri… La main glaciale et blanchâtre de la mort, serrant entre ses doigts d’ivoire osseuse son éternelle et bien aimée faux allait de nouveau trancher le fil de nombreuses vies pour les mener soit en Elysée dans les champs verdoyants du paradis, soit dans les enfers où étaient bannis ceux qui osaient se rebeller contre le régime divin ou dont le destin crées par ces faux dieux les avaient conduits à ne vivre que dans le pêché d’une existence malsaine. C’était la ma vision de la guerre et de cette hideuse tragédie qu’elle représentait, mais pourtant, même libéré des entraves divines, je ne pouvais m’empêcher d’être encore et toujours une arme de guerre, un soldat payé par la connaissance et la puissance qu’on lui offre en échange de ses services… Malgré le fait que mon orgueil à la limite du divin me commandait de me détacher de ces ordures se prenant pour des soldats d’un faux dieu, certains priants même l’existence d’un être cruel et maléfique tel Jashin, ils m’étaient encore utiles dans la mesure où ils m’apportaient ce que je désirais et qu’ils m’étaient d’une aide précieuse pour atteindre mon but suprême, celui de détrôner ces dieux maléfiques dans leurs palais céleste. Bien que je fusse en ces lieux une aide de combat de ces monstres odieux, j’étais surtout là en tant que chasseur… En effet, ma propre mission n’était pas totalement d’aider à la conquête de ce village qui malgré tout ne m’intéressait guère, je me fichais même du sort des habitants, ceux-ci servant alors de monticules pour grimper plus encore dans le ciel et abattre les dieux avec la tragédie qu’ils tissèrent eux même, mais de chasser une cible bien définie en priorité, un renégat qui avait déserté l’organisation de la lune rouge, Ryoku Senju, spécialiste du Mokuton, un kekkai genkai rare. Moi-même possédant un de ces kekkai genkai si rare en ce monde, j’étais même probablement le dernier et unique être à en posséder la maîtrise, le Meiton, l’art de manipuler les ténèbres, ma curiosité d’affronter un autre de ces pouvoirs avait piqué ma curiosité, même si de part la nature perverse de mon élément, même le pouvoir de ce Senju allait être inférieur au mien. Mais au fond de moi, un orgueil plus puissant encore semblait me déchirer les entrailles, un orgueil si puissant qu’il semblait être celui d’un dieu même… Avais-je fais le bon choix d’accepter en moi une créature aussi terrifiante que cet esprit qu’est Pride, même si mon cœur et mon âme avaient réussis à en détruire et annihiler complètement l’esprit et l’âme, ne laissant en moi que son énergie que je ne pouvais encore réellement maîtriser pour combattre… Et ce de part le fait que cette chose était entrée en moi seulement quelques jours auparavant. Oui, je le sentais parfois, cette ombre de ce monstre qui se répandait autour de moi, prête à gonfler encore plus puissamment mon orgueil… Mais il était trop tard.
Un son puissant me tira alors de mes pensées, nous étions bien évidemment arrivés devant le village caché de la brume, et il n’avait fallu que quelques secondes de présence de notre part pour déclencher de façon directe les hostilités… Cette tenue si insultante et hideuse qu’arboraient ces monstres de l’Akatsuki était comme un signe, qui indiquait obligatoirement l’hostilité avançant telle une bête de l’ombre. Posant mes yeux sur le ciel, je souriais tristement, le temps lui aussi s’était prêté à la tristesse de cette odieuse tragédie qui allait se jouer sur cette scène improvisée. Ciel grisonnant, sol couvert d’une lueur diamantine et poudreuse, doux éclat de fraîcheur et d’innocence qui allait sous peu se teinter des rubis de la dépravation. Je posais une main dans la neige, sentant la morsure prenante du froid agresser la paume de ma main et la ressortais alors pour contempler le décor froid et plat de cette scène semblant sortir d’un imaginaire abstrait. A peine étions nous arrivés oui, que le sang avait déjà maculé la blancheur délicate de la neige… Inconscients, des corps gisaient près des portes du village, et un innocent idiot se tenait face à l’armée des 6 crée par l’odieux Pein, créature dégoutante qui semblait se croire divin autant que les monstres du ciel. Je détournais le regard pour voir un autre des ces démons éliminer un petit groupe de ninjas de Kiri via une puissante explosion… Je n’étais guère pressé de me jeter dans la mêlée, ainsi, resserrant autour de moi le col épais de la tunique de guerre que j’arborais, légère mais chaude à la fois, riche et simple, couverte sur le thorax d’un plastron d’acier léger que les nobles portent en combat, je réfléchissais à que faire… Un nouvel homme apparut alors, ridicule dans son maintient et ses paroles défiant le dénommé Natsu… Et il fut suivit quasiment immédiatement d’une troisième personne que je reconnus alors comme étant ma cible désignée. L’heure de la bataille avait sonné… Avançant lentement vers les 3 énergumènes, je souriais lentement avant de déclarer :
-Ryoku Senju, le traître…. Tu es ma cible et mon adversaire. Laissons ces deux là s’entre tuer, tu es à moi...
HRP : précision, pour le truc du Pride, c'est en rapport avec une tech que j'ai pas encore, mais je ne l'utiliserai pas hein ca va de sois x) Sinon Ryoku, je te laisse ouvrir un nouveau topic pour le combat.
InvitéInvité
Sujet: Re: La mort aux portes de la brume. Dim 16 Jan 2011 - 11:00