Un Monde Merveilleux se Cache par Ici
Cette journée qui allait changer ma vie, avait débuté tout à fait normalement. En cette belle après-midi, le ciel dégagé, un soleil radieux, le bruit des oiseaux gasouillant joyeusement, les petits lapins gambadant dans les vertes prairies. Et oui je sais une journée pas vraiment originale, mais des fois, les journées se passent réellement comme dans les livres. En tout cas, c’était vraiment une belle journée. Il y avait peu de vent, le soleil brillé et était à son zenith. On entendait le bruit des feuilles ruisseller à chaques petites bises. Je m’étais levé assez tôt ce matin afin d’effectuer quelques missions de routine dans les environs des bois de Kiri, puis à midi, j’avais manger avec Tsuki en ville histoire de sortir un petit peu. Et comme d’habitude, tous les deux jours, j’allais m’entraîner dans les bois ou les prairies. Bref, j’avais pris ce qu’il me fallait pour m’entraîner et j’avais créer plusieurs cibles en bois pour le lancer de kunaï et de shurikens. J’avais créer plusieurs clones de bois pour mon entraînement au katana pour ensuite repartir des prairies. A ce moment, j’avais emprunté un chemin différent de d’habitude parceque je commençais à cuire en plein soleil. Je passais par des bois que je ne connaissais pas par cœur alors je découvrais peu à peu les environs. C’est vrai que depuis que j’avais quitté l’Akatsuki, j’avais vraiment le temps de m’occuper de moi et de profiter de la vie, même si j’allais surement le coûter de ma vie à cause de ma désertion. Je me trouvais dans une forêt plutôt humide. Les arbres assez haut et une végétation au sol assez présente. Il devait surement y avoir une quelconque source d’eau dans les environs. Comme je ne connaissais pas cette endroit, je m’étais posé au sol pour me balader en marchant tranquillement. Entre les conifères, les fougères, l’humus et les petits mammifères, tout semblait parfaitement normal sans la moindre présence plus ou moins extraordinaire. Enfin c’est ce que je croyais.Ryoku, tournant la tête subitement – Qu’est-ce que ?!! A peine le temps de me baisser, un liquide de couleur citron passant au dessus de ma tête. Heureusement que j’ai de bons réflexes. Je ne sais pas du tout ce que c’était mais ça avait tout de même traverser un sapin par le centre. Ni une, ni deux, je sautais dans la direction du jet. Un spectacle tout à fait surprenant, un Serpent qui devait tailler dans les onze mêtres de long et un batracien, à prioris une grenouille qui devait faire dans les trois mètres cinquante de haut. Pour ainsi dire la pauvre grenouille n’avait aucune chance de survie face à ce monstrueux reptile.Ryoku, parlant à la grenouille comme sil elle pouvait le comprendre, puis s’adressant au serpent– Un p’tit coup d’main ? Toi je vais te réduire en bouillis, tu as faillis tâcher ma veste ! Daijurin no Jutsu – Technique de la grande forêt . De longues poutres au bout plat sortant de mes deux bras, oui, je n’avais pas décider de le tuer, je ne massacre pas impunément de pauvres pseudos prédateurs sans défense. Il n’eut pas vraiment le temps de comprendre que mes poutre l’étreintaient déjà, puis je l’envoyais valser de l’autre côté de la forêt. Oui bon, la réception, c’était à lui de se démerder faut pas exagérer tout de même.Ryoku, l’air tout content, en se tapant les mains – Et hop là, voilà comment on s’occupe de ses sales reptiles ! ??? – J’aurais pu m’en occuper tout seul si tu n’étais pas intervenu. Ryoku, cherchant autour de lui une quelconque personne – Qui a dit ça ?! La grenouille – J’suis devant toi. Toi t’as jamais rencontré de grenouille parlant j’me trompe ? Ryoku, assez surpris et pourtant pas vraiment apeuré – Ouah ça fait un choc. A vrai dire c’est la première fois que je parle à un animal dans une forêt. La grenouille m’expliqua vaguement qui elle était, elle s’appelait Otasuraido. Elle était de couleur bleu métallique, quelques taches particulières à pois noirs sur le dos et les yeux noirs. Et elle se baladait par hasard dans les environs. Le courant passait assez bien entre nous et la journée à papoter était passée à une allure, tellement vite que je n’avais pas vu que le soleil se couchait.Ryoku – Il se fait tard, je suis content de t’avoir connu, je vais rentrer. Peut-être nous reverrons nous ?! Otasuraido – Et bien m’a foi, de même. Je sillonne cette forêt tous les deux jours à peu près donc on se reverra certainement si tu passes me dire bonjours après tes entrainements. Ryoku, reprenant la route en lui faisant un signe de main accompagné d’un grand sourrir – Certainement. Les semaines passées et on se voyait régulièrement, à parler de tout et de rien, de l'humanité, de la paix, des guerres, de l'équilibre entre la nature et la vie, de pleins de choses philosophiques et presque tout ce qui nous passait dans la tête. Au bout de quelques semaines, elle me donna même rendez-vous en un autre lieu. Une supposé lac où elle vivait. Il n’était pas connu des cartes de Kiri, pour cause, seul ceux étant nés dans ce lac était capable d’y aller. Enfin moi-même je n’avais pas compris le sens de ses mots. Cette journée on ne peut plus banale, je m’étais attelé à notre lieu habituel. Elle était là mais cette fois, elle était vêtue. Bizarre pourquoi était-elle vêtue ? Elle portait des gants noirs, une sorte de veste marron ouverte à la fourrure blanche sur le col. Elle portait aussi une masse noire de guerre ovale ornée d’écaille et d’un œil en son centre dans le dos. Ryoku, vraiment surpris – Euh… Tu es un ninja ? Otasuraido – Ca fait assez longtemps que l’on se parle, je crois avoir assez confiance en toi pour te dévoiler le monde où je vis. Ryoku – Mais, comment ça ? Otasuraido, me faisant signe de grimper sur sa tête – Montre, je vais te montrer, et accroche toi bien ! Je m’exécutais et il bondit subitement hors de la forêt. Un bon magistrale où je dû m’accrocher à sa veste pour ne pas tomber. On traversa le quart de la forêt à chaque bons, jusqu’à arriver devant un lac entouré d’arbres tous plus haut les uns que les autres.Ryoku, en descendant de son dos – Où sommes-nous ? Otasuraido – Le lac Mizuumi, c’est là où j’habite. Ryoku , en regardant tout autour de lui – En tout je trouve ça très secret comme endroit. Otasuraido – Tu n’as encore rien vu ! Otasuraido effectua quelques murdras de ses pattes batraciennes, et une lumière brilla au creux de ses paumes. Le lac se mit à scintiller en son centre et de petits éclats de lumière en sortirent. C’était assez joli. Il s’avança, me faisant signe de suivre, vers la lumière. Là en bas, ça ressemblait à un portail noir en spiral, au reflets des couleurs de l’arc-en-ciel. Et dire que je découvrais ça que maintenant. Otasuraido – Saute en même temps que moi et fait moi confiance, comme moi je le fais.Ryoku – C’est compris Ryoku & Otasuraido – Un, deux, TROIS ! Nous sautâmes ensemble dans ce puit, et la tête me tourna horriblement. A mon arrivait, c’était vraiment très étrange. L’air ambiant avait changé, il faisait vraiment doux, et je me retrouvais dans un endroit qu’il me faut vous décrire absolument. Imaginez un arbre immense gigantesque de plus de trois mille mètres de haut pour plus de trois cent mètres de large, l’intérieur parfaitement vide. Le bas de l’arbre où se trouve un petit lac tranquille entouré d’une prairie où l’air brille comme pourrais le faire un vers luisant mais d’un couleur bleu-verte. Les parois de l’arbre entourée d’habitation assez bizarres de part leurs formes rondes et une route taillée à même le bois montant en spirale jusqu’au sommet. Voilà devant quoi j’étais. Otasuraido me leva car j’étais couché sur le sol. Ma chute n’avais pas été violente, mais ma réception très mauvaise de part ma désorientation. Lorsque je fus debout, je me retrouvais devant une foule de plus d’une cinquantaine de grenouilles toutes de tailles et de couleurs différentes. Là, je me sentais un peu gêné et la plupart d’entre-eux essayèrent de me toucher pendant qu’Otasuraido me dirigeait vers un autre endroit.Otasuraido – Laissez-le respirer, vous aurez bien assez le temps de le connaître. Ryoku – Mais où sommes-nous ?! Otasuraido – Au lac Misuumi, ou plutôt en dessous du lac, dans sa face cachée. Je t’amène voir le Seigneur. Ryoku – Le Seigneur ? Mais c’est qui Le Seigneur ?! Otasuraido – Chaque chose en son temps. Nous montions tout en haut de cette immense route de bois. Heureusement que j’étais en pleine forme, un génin serait mort de fatigue à ma place vu le temps qu’il nous fallut pour arriver à sa cime. En haut de cette route, un immense palais aux formes arrondies, assez difficile à vous décrire. Mais ce n’est pas vraiment important. Là une sorte de garde devant les portes du palais se bouscula à notre passage. Curieux, il semblait montrer une profonde forme de respect à cette grenouille. Nous allions toujours tout droit dans les salles et les portes s’ouvraient devant nous pour nous laisser passer. La dernière salle s’ouvrit, ici, quatre trônes se présentaient devant nous. Trois étaient comblés, il y avait au centre deux grenouilles assez âgées, un mâle et une femelle, puis une femelle plus jeune sur le troisième trône.Otasuraido, en baissant la tête en signe de salut respectueux – Père, voici le jeune humain dont je vous ai parlé. Père ? Ca explique tout ! Ce signe de respect des gardes, les foules s’écartant sur son passage. Je le regardais comme impressionné. C’était bizarre de se rendre compte qu’il était d’une famille royale. Ryoku, m’inclinant devant Le Seigneur – Mes sincères salutations. Otasuraido, me regardant – Non, ce n’est pas la peine de t’incliner, tu es notre inviter d’honneur. Le Seigneur – Ainsi c’est donc toi le jeune Ryoku ? Intéressant, Otasuraido nous à beaucoup parlé de toi, il a vraiment confiance en toi, et s’il a confiance en toi, nous l’avons tous. Ryoku – C’est vraiment gentil de votre part. Le Seigneur – Nous avons décidé de te faire découvrir notre monde, Où peut d’entre vous on eut l’honneur de venir. Otasuraido – Oui je ne te l’ai pas dit, je suis le prince de cette contrée, voici mon père, ma mère et ma sœur. Ryoku – Enchanté, je me vois confus, c’est la première fois que je rencontre une haute lignée. La mère d’Otasuraido – Ne le soit pas, tu fais pour ainsi dire parti de la famille. Tu es le seul ami d’Otasuraido. Otasuraido – M’man ! S’il te plait. Ryo’ vient je vais te faire découvrir notre monde. Je le suivais, assez curieux de toutes ces choses nouvelles. Il m’expliqua que cela faisait déjà plus de quatre cent ans que ce monde existait. J’étais le dixième humain à venir dans la contrée Mizuumi. Ce royaume était l’équivalent de notre monde ninja, il y avait une hiérarchie médiévale et il était l’héritier de ce royaume. Comme tous ses humains qui étaient venu avant moi, on leur avait fait signer un pacte. Leur confiance les autorisait à invoquer les puissants guerriers de ce monde, en échange ils avaient toujours entretenue les relations humaines du peuple des grenouilles et celles des humains. Nous étions au sommet du palais, dans sa chambre qui disons le, est IMMENSE. Nous contemplions à la balustrade de sa fenêtre le vas monde de Misuumi, de grandes contrées où tout est différent de notre monde. Le ciel orangé, de la végétation immense, de grandes montagnes, des plaines désertique suivis de quelques plaines de fleurs. Comme si il y faisait tous les climat en même temps.Ryoku – Alors comme ça je suis le dixième ? … Otasuraido – Ouais … Ryoku – En fait tu es comme moi au fond … Otasuraido – Comment ça ? Ryoku – Et bien, je suis l’héritier du clan Senju, moi aussi je suis de sang « Royal ». Il y a longtemps je me suis dis que je n’avais pas envie de gouverner ce peuple. J’avais envie de découvrir le monde qui m’entourait. Otasuraido – Oui, au fond on est pareil, il viendra surement un jour où je devrais gouverner ce Royaume. Heureusement que nous pouvons vivre aussi longtemps que les humains. Puis il se tourna vers moi, il fit quelques signes d’invocation et un parchemin apparu. Il le déplia au sol, puis il me regarda. Je le regardais à mon tour. Je me mordais le pouce puis étala le sang sur mes quatre autres doigts. A la suite des neuf autres noms présent sur ce parchemin, j’y inscrivis mon nom et signant de mes cinq doigts la suite.Ryoku – Notre amitié est scellée maintenant ? Otasuraido – Jusqu’à notre mort nous resterons lié. Il me montre quelques fois les signes de main du Kuchiyose no Kaeru , cela me permettra d'invoquer une grenouille en fonction du chakra dépensé dans la technique. Maintenant, mes combats devraient prendre des tournure bien différentes.Ryoku – Il commence à être tard, je vais y aller Tsuki va s'inquiéter. Otasuraido – Oui, n'oublie pas cette techique, et si par hasard tu veux rentrer dans notre monde, inverse les mudras à effectuer. Et Pouf ! Je disparu dans un élan de fumée. A mon arrivée, j'étais devant le lac Misuumi. Et ça avait été une véritable aventure, j'en parlerais à Tsuki elle sera impressionné.