Aujourd'hui, un jour comme les autres. Comme tous il semblait monotome et assomant. Une fois de plus la mélodie adagio de l'uniformité allait s'élevée. Comme chaque matin j'étai debout dès l'aube, comme chaque matin je déjeunais me contentant d'une simple pomme aux teintes rougeoyantes. Je la mordais à pleine dents, assit à ma table. Tous les bruit du début de journée venait m'assomais de si bon matin. Pour moi cette période courte et brève devait être silencieuse, plastide et agréable dans la mesure du possible. Cela me m'étais de bonne humeur - dans la mesure du possible bien entendu- et à cela s'ajoutait le fait qu'ainsi dans le silence le plus total je me plaisais à poursuivre ma nuit éveillé. J'entends par là que de cette manière je me laissai aller à des rêveries crédule mais necessaire. Le rêve, le fantasme d'un idéalisme de vie était necessaire à tous être humain. N'importe qui demande un minimum de fantasme. Pourquoi? Parce que cela est humain, si l'humain n'avait pas de désir et de chimère à quoi penserait-il concrétement? A rien franchement. Pour ma part mes songeries se résumées toytes ou bien pour la plupart à la satisfaction que j'aurais si mes idéalisme de puissance se produisaient d'une façon ou bien d'une autre. La vie m'avait apprit à ne pas rêver et plutôt à agir si bien qu'étant bon élève j'appliquais ce qu'elle m'avait enseignée. Ecraser pour réussir. Peu réjouissant comme enseignement mais tellement vrai. Dans notre monde et notre société actuelle comment pouvait-on s'affimer sans avoir recours à la supériorité exercée de n'importe qu'elle manière. Bonne question n'est-ce pas, méditez y si votre coeur y est mais moi, j'ai d'autre chat à fouetter. Rapidement et en observant le rideau face à moi j'accelérais ses machements. Une fois la chaire de ce fruit dégusté j'en jettais la carcace dans la poubelle puis retournai d'un pas décidé vers les rideaux. D'un geste bruque j'ouvrais alors ses derniers. Ouverture sur le monde extérieur, un ciel gris menançant de lacher une averse... Charmante matinée qui s'annonçait là. Mon regard parcourait furtivement les alentours, rien mise à part ce ciel gris et les batîments qui se dressaient comme depuis des années. Cette vue commençait à me lasser, les seules variantes de cette dernière était le temps. Affreusement pitoyable comme ma vie pouvait être si prosaïque. Cela était comme un enfant apprenant la musique et jouant sans cesse le seul air qu'il maitrisait. Au début on l'appréciait et peu à peu le dégout parvenait à nos oreilles ne supportant plus ce son. C'était un peu apreil pour moi et cette vie. AUjourd'hui je n'avais rien de prévut. Enfin si, m'entrainer mais sans plus. Peut-être s'aurais-je contacter pour une mission ce que j'espérai secrétement ? Oui car les missions apportaient quelques nouvelles notes à ma vie. Les missions bien que souvent d'un ennuit mortel parvenait quelques rares fois à me distraire. Ennuyeuse, pourquoi... Simple soit trop simple, soit trop stupide, soit trop dénuée d'intêret. Je sortais donc de mon habitation d'un pas préssé. Avec moi j'avais ma sacoche renfermant mes quelques armes de shinobis juste au cas où. Uen fois dans les ruelles de Suna mon regard voguant au rythme des imperfections du ciel, je n'eu le cruel loisir de rencontrer quelqu'un qui pourriat venir troubler cette monotonie. Mais en soi cela était bien mieux car je n'étais pas d'humeur à parler. Je laissai donc mon corp me conduire, mes pas avançaient ou ? Je n'en savais rien j'allais ou ils me conduisaient. C'était bête à dire et pourtant c'était vrai. Mon regard plat ,mon corps moue j'allais au palais du Kazekage, hier au soir l'on m'avais prévenu que je devais m'y rendre. Je n'avais pas vraiment d'idée de la raison de cette convocation bien que cela soit surement pour une mission. Enfin je ne voyait pas d'autres raison. Une fois arrivé devant l'immense et magnifique batîment qui en imposait de apr sa taille que de par sa splendeur, j'empruntais un large et grand escaliers. Je fixai les amrches que je gravissais une à une réfléchissant à la raison de cette convocation. Devant la porte renfermant tous les secrets du village de Suna je frappais donc souplement à la porte. On ne me fit pas attendre longtemps avant de me permettre d'entrer.
Quelques minutes et déjà je sortais de cette pière ou seule quelques rares privilégiés pénétrer. Comme je l'avais prévut l'on m'avais assigné une mission. Cependant je 'métais attendu et imaginé pas mal de stratagème mais quacun n'était à la hauteur de ce dernier. Oui ma mission était celle de comment dire .. de promener un chien particulièrement dissipé d'un villageois. Une mission rester une mission après tout bienq eu cette dernière soit particulièrement ridicul. Les gens me faisaient pitiés parfois, incapable de garder en laisse un simple clébard. J'avais honte d'avoir était assigné à cette mission pour moi le message était clair ... Mes capacités avait visiblement baissée. Je ne trouvais pas d'autre explication pour que l'on m'est attribué un pareil fardeau. Descendant les esacliers et en me lamentant, l'on me dit que le lieu du rendez-vous était dahs le centre ville. C'était bien fait pour moi après tous, je voulais une mission j'en avais eut une. C'est d'un pas particulièrement nonchalant que j'avançai vers mon destin. De grand mots pour bien peu de chose me diriez-vous mais avouons tous de même que cela était honteux. Fixant les alentours et chaques détail c'est arrivé au centre dynamique de la ville que j'apperçut un énorme chien. Valsant entre les passants et désaprouvant la décision de notre Kage je fixais le chien. Noir, et particulièrement touffu c'était le moins que l'on puisse dire. De grandes et puissantes pattes et une longue queue toute aussi charnue et imposante. Une fois fasse à l'homme te son chien ce dernier m'acceuillait avec un étrange sourire de soulagemment qui semblait renfermer en lui toute la joie dont un homme est possible de donner. Je cachais bien évidemment mon étonnement comment pouvait-on être si heureux pour si peu de chose ? Dédidemment les gens étaient vraiment pitoyable. Il balbutat quelques aproles de remerciemment en me tendant la lèsse et en me serrant la main chaleureusement. C'était tous ? "Bon et bien en route mon gros!" Excès d'enthousiasme ? Caprice cannin ? Cette bête à poil ébène semblait ne pas vouloir bouger son postérieur. Une fine grimace vint teindre mes lèvres désapprouvant ce manque d'enthousiasme. Ne devrais-je pas plutôt moi qui devrait être abattut... Franchement c'était l'hospital qui se fouttait ouvertement de la charité. Je pris donc les devant puis d'un aps décidé fit quelques pas en tirant la lèsse. Le gros chien noir se leva et de sa démarche lourde et lente avançait. A cette vision je sentais un vent de désespoir souffler sur moi et emporter toute ma bonne volonté qui depuis le début était apsser de zéro à moins quinze. C'est donc très lentement que moi et le chien amrchions dans les grandes rues bondées de notre village. Nombreuses étaient les fois ou ce dernier urinait tant tôt à droite, tant tôt à gauche, ou il reniflait les recoins des ruelles... Qu'elle catastrophe ambulente. C'est fermement et d'une main d'acier que je fit se presser l'animal traversant avec une hâte non dissimulé les rues du village pour le plus rapidement possible rapporté le chien. A multiples reprises le chien tentait de fuir tirant d'un coup sec sur la lèsse puis aussitôt s'arrêter. J'avais honte d ele dire mais ce chien semblait être doté d'une certaine malice bien qu'elle en suffise pas contre moi !
Une fois la promenade finit je retournais donc avec un certain enthousiaste devant le petit commerce où était l'homme et le propriétaire de cette sale bête à poil.Je ne cache pas que j'eu une vague de crainte quand je ne vit le propriétaire de cette brave bête ? Mais tous frissons furent anétantis quand je vis l'homme marchait au loin en me faisant des signes de mains. Bien que répugné par ce genre d'attitude mais étant à la fois soulagé par l'arrivé du maitre de ce chien j'esquissai un petit sourire qui disait clairement: c'est bon le calvaire est finit !!!!. Une fois devant moi l'homme hésitant reprit la lèsse...Il n'avait pas l'air heureux de récupérer sa bête mais qu'importais. Le principal était qu'il m'en débarasse. Et puis après tous c'était son chien et pas le mien. Je lui cédais donc avec un sourire sadique la lèsse. De novueau il me remerciait bien que cette fois moins sympathiquement que par le passé. Je me retournais donc satisfait. Une mission bien que pitoyable d'accomplie.