Prénom et Nom : スティーブンミシェル(Sutïbun Misheru)
Âge : 17 ans
Village / organisation désirée : 木ノ葉隠れの里 (Konoha, le village caché des Feuilles)

Description physique :

Ses yeux sont tells qu’en comparaison l’écharpe d’Iris pourrait paraître terne, ils ne sont pas les plus magnifiques et ne charment pas toutes les femmes mais ils sont si peinturlurés que personne ne peut les décrire de façon scientifique mais seulement en parler de manière métaphorique ; donnant plus de profondeur à ses yeux et confirmant leur forme envoutante ils sont superposés de sourcils fins et suivant la courbe qui trace le milieu du visage entamée par le nez.

Bien centré sur son visage, son nez n’est pas trop long mais pas trop petit pour autant, ses narines sont bien proportionnées par rapport à ce nez, qui est quand on regarde bien de face, un poil plus large qu’il ne devrait l’être par rapport au reste du visage.

Sa bouche souvent ouverte, on ne sait pourquoi, ne lui donne pas un air simplet mais le rend plus sérieux, bordée par des lèvres très clairs, sa bouche n’est qu’un trou dans son visage qui lui permet d’exprimer par des mots des choses que l’on pourrait comprendre de tout autre façon.

Son visage de forme banale, ni rond ni ovale mais plutôt elliptique, avec les extrémités du bas du visage se rejoignant plutôt que le haut donnant une forme en pointe vers le bas, avec deux oreilles proportionnées de la même façon que son nez qui sont décollées juste comme il faut.

Ce visage définit aussi par un crane de forme basique superposé d’une chevelure châtaigne d’une longueur raisonnable mais qui se rapproche d’une taille de cheveu qui n’est presque plus formable de façon épineuse et qui est d’ailleurs formé d’une élévation des premières mèches orientées vers la droite de son visage mais d’une telle façon qu’on croirait que ses cheveux ne sont pas coiffés.
Ces cheveux pouvant lui donner soit un air sérieux, soit un air chaleureux et amusant, ces impressions naissant bien sur avec l’association de l’expression de son visage.

Cet aura multiple pouvant changer du tout au tout est aussi visible à travers la carrure de Sutïbun, il n’est pas très grand, du haut de ses 166cm il n’est pas fin comme la plupart des personnes de sa taille mais il n’est pas grassouillé pour autant. Bien structuré musculairement sans pour autant que sa masse musculaire soit imposante et sans graisse en trop il est surtout très résistant et endurant de part sa force mental, force mental qui chez lui devient une vrai force physique puisqu’il atteint des performances physiques de personnes plus âgées et ayant un gabarit plus imposant et de ce fait il étonne tous ceux qui le voie pour la première fois.
Vif et possédant une grande nervosité mais qu’il garde sous contrôle ayant des bras et des jambes de taille proportionnelle à la taille de son corps il peut tout de même faire souffrir des gros bras au bras de fer et passer comme une flèche devant des géants avec des échasses en guise de jambes.
Tout comme son expression du visage sa posture n’est jamais la même il peut être les bras croisés et être très sérieux ou les mains dans les poches et être nonchalant ou encore bouger son corps n’importe comment et faire le pitre.

Ce personnage est donc indescriptible aux premiers abords et même quand on croit le connaitre ce n’est pas possible de pouvoir le définir précisément et c’est sa carrure et son physique qui va fatalement définir sa psychologie.




Description morale :

Gentil, sensible, fort, nerveux, énervé tous ces caractères et biens d’autres font partis de la personnalité de Sutïbun, en effet il possède au niveau mental tous les défauts et avantages en même temps qui puissent exister mais ils les contrôles tous et peut les utiliser à sa guise, il maitrise sa colère, il maitrise sa haine, ainsi que sa gourmandise ou que sa naïveté, c’est ainsi qu’il est indéfinissable mais il n’est pas mystérieux pour autant, il analyse le comportement de ceux qui l’entoure et utilise une de ses nombreuses facettes pour rentrer en contact avec la personne ou voir même la manipuler.
Sa seule crainte est de tomber sur une personne comme lui et donc de ne pas s’apercevoir, l’un comme l’autre, que la personne en face est hypocrite car selon lui l’hypocrisie n’est pas un défaut mais une chose neutre devant savoir être utilisée avec sagesse, pour lui tout le monde est hypocrite (que se soit l’hypocrite disant être sincère ou le sincère disant être hypocrite) et cela n’est pas un mal.

Il admire les personnes au dessus de lui sur un aspect c'est-à-dire que quand il rencontre par exemple une personne analysant mieux que lui les intentions humaine et de plus manipulatrice il se laisse manipuler par cette personne sachant de toute manière qu’il ne pourrait pas contrer une personnalité au dessus de lui, ce n’est pas pour lui un signe d’abandon ou de soumission puisqu’il peut à tout moment changer de chemise si je puis dire puisqu’il sait qu’il est manipulé et ce ne peut donc pas être dangereux pour lui.

Il n’aime pas les personnes dites « intelligentes », ces personnes qui, de naissance, ont une bonne mémoire, une bonne analyse des situations, un esprit plus réactif, selon lui les personnes ne fournissant aucun effort et se basant sur leurs capacités qu’ils ont par défaut ne méritent pas d’être vantées ou d’être reconnu car même une personne très intelligente peut fournir beaucoup d’efforts afin d’être une meilleur personne encore et c’est pour cela que selon lui des personnes simples ayant soit un grand cœur, soit de l’ambition ou de la détermination ou tout autre chose honorable peuvent surpasser les personnes étant déjà destinées à une position fixe.

Ses méthodes de pensées étant complexes et n’appartenant qu’à lui son parcours vécu jusqu’ici dans sa vie est traduit de par son unique façon de penser malgré que pour les autres il paraitra être une personne banale et sans spécificité, apparence engendrée par lui-même même si parfois n’étant pas parfait loin de là, il ne sera pas comprit pas son entourage et lui ne les comprendra pas, mais il défendra toujours ses idéologies.



Son histoire :
Je naquis dans un petit village d’agriculteurs et de marchands se situant au bord de la mer au sud ouest du pays du Feu juste à coté de la frontière de pays des Rivières.
Le monde des Ninjas n’était pas inconnu pour nous puisque les marchands demandaient souvent la protection de plusieurs ninjas afin que leurs marchandises arrivent bien à destination et pour les rares voulant être ninja dans notre village partaient du village pour se rendre soit à Suna, soit à Konoha, quelques uns pouvaient parfois se rendre à Tani mais c’était plutôt rare. Sachant que Suna et Konoha sont alliés nous savions que se soit dans l’un ou l’autre des deux villages en cas de guerre ça seraient eux qui participeraient à la protection de pays du Feu et cela faisait notre fierté même si c’est un combat contre sa famille le jour ou une personne veut quitter le village pour devenir ninja.
Il y avait une école dans mon village, j’y étudié comme tous les enfants des environs, mes parents voulait que je devienne collaborateur afin de négocier les échanges de marchandises avec les autres villages ou pays, c’était un avenir très prometteur et de plus j’étais bien parti pour réussir puisque j’étais toujours en tête de classe mais jamais le premier et c’est d’ailleurs cette concurrence avec les autres qui me maintenait au top ; malgré ça étudier ne me plaisait pas, mes parents ne faisaient que me surestimer et croire que j’étais très intelligent tout en ventant aux autres des choses que leur esprit a amélioré.

A l’école dès mes 7 ans j’étais toujours le plus petit en taille et le moins imposant, personne ne me prenait jamais au sérieux, étant toujours le premier à servir de cible aux enquiquineurs car étant petit les personnes préférées venir vers moi pensant que je n’allai rien faire et c’est comme ça que j’étais très vite qualifié d’un personne « violente » car je me battais souvent et était dans toutes les histoires et mes parents disaient que je me trouvais souvent « au mauvais en droit, au mauvais moment » alors que c’était juste à cause de ma faible carrure des gens lâches emplies de préjugés s’attaquant aux « faibles » et c’est malheureusement pour eux que je n’était pas faible et que je ne représentais pas le faiblesse et le comportement des petites personnes pas très costaudes.
C’est ainsi qu’au cours de ma vie je choisis un parcours très imprévu que peu de personne empreinte, je ne choisi pas de haïr toutes les personnes autour de moi, je ne choisis pas non plus de m’isoler et d’être indifférent aux autres.

A mes 10 ans j’étais encore dans les plus petits mais je ne battait plus, je prouvé aux autres pas des performances physiques et intellectuelles que je pouvais être meilleur que eux, j’étais d’ailleurs de 9 à 10 ans premier de mon école en tout ce qui touche au sport terrestre (course, sauts,…) égalité avec une personne très grande et imposante qui me reconnaissait et ne me m’avais pas jugé aux premiers abords, j’impressionnais beaucoup de monde et j’avais même finit par faire de ma taille une fierté, ma petite corpulence facile à muscler et à structurer et mes membres vifs et rapides étaient telles que je ne souhaitais même pas grandir, juste ce qu’il faut pour ne pas être trop petit.
Selon moi ma taille était parfaite pour les combats et c’est pour cela qu’à l’âge de 11 ans je m’inscris dans le seul cours qui touchait au ninja dans ce village, un cours d’apprentissage au style de combat Taijustsu qui est l’art au corps à corps des ninjas, ce professeur ne nous apprenez ni à malaxer le chakra ni tout autre technique, il nous apprenait simplement à nous défendre comme n’importe quelle personne. Seulement je voulais absolument apprendre l’art des ninja tel que le Ninjutsu, ayant trouvé un livre je connaissais par cœur les 12 signes incantatoires par cœur et je savais les exécuter avec habilité et rapidité, je m’entrainé dur pour devenir fort avec la musculation pour me forger une certaine robustesse et en étudiant les livres parlant des ninjas. Cependant malgré tous mes efforts quels qu’ils soient je ne arrivé à un certain point je ne pouvais plus progresser si personne ne m’initiais à l’art des ninjas, à la maitrise du Chakra.

Dans l’année de mes 12 ans un ninja de Suna né dans notre village venait saluer sa famille, à la minute ou j’avais appris ça je préparé un sac à dos avec quelques affaires et rations puis je parti à sa recherche, j’allai d’abord voir sa famille qui me dit qu’il venait de partir c’est ainsi que je me précipita à la sortie Ouest du village un espérant qu’il y soit, ne l’apercevant je continuais vers la route emmenant à Suna puis je vit devant moi une personne en robe noire qui s’arrêtée au ras du sol avec une multitude de clochettes accrochées aux manches et sur toutes les extrémités de l’habit ainsi que sur son chapeau de cuir de la même forme que ceux des Kage, alors je l’interloqua :

Hé monsieur!

Il se retourna sans dire un mot en me fixant comme si il m’analysé.

Vous… Vous êtes bien Sabakana ?

Qui es tu?

Qui je suis n’est pas très important, vous êtes bien un ninja ?

C’est possible…

Comment ça? Etes vous un ninja ou pas ?

Tu sais qui je suis mais tu ne sais pas ce que je suis, je ne sais pas qui tu es mais je sais qu’est ce que tu es. Nous sommes alors à égalité et nous n’avons plus rien à nous dire, d’ailleurs il vaudrait mieux pour toi que je ne sois pas un ninja vu comment tu oses me parler.

(En plus de paraître la quarantaine il parait très sérieux à travers sa façon de s’exprimer et il dit savoir qui je suis, c’est du bluff, il n’est pas sur et il me test, il ne reste qu’une chose à faire)

C’est après cette petite réflexion que je trouve la solution pour savoir s’il est ninja ou non, je commença alors à effectuer le signe incantatoire du cheval puis celui du tigre tout en disant :

Tu es vraiment sûr de savoir qui je suis ?!?!

Sabakana fit un pas chassé très rapide sur son côté droit puis une accélération vers moi puis avec sa main sur son kunai il s’arrêta net puisqu’après le signe du tigre je n’avais plus rien fait et je restais debout immobile. C’est ainsi qu’il était face à moi et que j’aperçu sur son bras droit un brassard avec le symbole de Suna.

Hum…. Tu es donc un ninja…

C’était très judicieusement fait malgré que contre une autre personne tu aurais pu te faire blesser, de toute façon il était très clair que ta technique n’était pas une vrai puisque ton chakra n’était pas malaxé, ça se sentait très clairement que tu ne faisais ces signes seulement de manière physique mais je voulais voir ce que tu allais faire par le suite.

Entrainez moi !

Pardon ?

Je veux devenir ninja !

Très bien va dans un village et va dans une école.

J’ai 12 ans bientôt 13 je ne veux pas commencer une scolarité simple, je veux un vrai ninja en guise de maitre, je ne veux pas un professeur typique des académies de ninjas.

Très bien, seulement je n’ai pas les capacités requises pour t’entrainer, je n’ai jamais entrainé quiconque et j’ai des missions à accomplir pour mon village.

Peut importe, il faut que je devienne ninja ! Si vous êtes vous-même ninja il faudra juste m’enseigner ce que vous savez sur les ninjas et m’apprendre à faire ce que vous savez faire !

Je ne suis qu’un Chuunin de 33 ans.

Un Chuunin n’est pas censé savoir formé des équipe et par conséquent enseigner aux autres ?!

Bon petit avorton, tu vas déjà arrêter de me parler de cette façon, tu ne sais rien du monde des ninjas donc ce n’est pas avec un tel discours que tu me convaincra mais d’une autre façon j’admire ta persévérance alors regarde….

Sabakana courra et fonça sur un arbre qu’il grimpa aisément sans les mains mais juste en courant arrivé en haut il me dit :

Dans une année je reviendrais, il faudra que tu sache monter sans les mains sur un arbre et aussi que tu puisses marcher sur l’eau. A bientôt peut être.

Attendez….

Et il disparu dans un nuage de fumé.

Je fit mes recherches puis je découvris qu’il fallait savoir malaxer son chakra avant de pouvoir espérer pouvoir grimper à un arbre et marcher sur l’eau comme un ninja.
J’ai maintenant bientôt 14 ans et le ninja de Suna n’est pas encore revenu, je me disais que c’était finis et qu’il avait dit ça simplement pour que je le laisse tranquille ce qui parait louche puisqu’il aurait pu tout simplement disparaitre sans rien dire.

Un beau jour d’été ou je passé le temps en pêchant, une activité que je n’apprécie pas spécialement mais je n’avais plus rien à faire de ma vie, puis j’entendis une voie dans mon dos :

Que fais tu?

Vous?!

Tu n’essaie donc même pas jusqu’au bout de faire ce que je t’ai demandé, tu ne peux pas devenir ninja alors….

Attendez, qu’est ce qui vous dis que je ne maitrise pas déjà la marche sur l’eau et la technique pour grimper aux arbres.

C’est impossible à moins que tu n’ais bénéficié d’un professeur.

Non. Mais je vais vous montrer…

Très bien, marche sur l’eau pour commencer !

C’est ainsi que je longeai le bord de l’eau en cherchant une chose importante….

Ok !

C’est partit, je sautillai sur l’eau avec des pas réguliers arrivant à une certaine distance je m’arrêta puis retourna exactement sur mes pas.

Alors, cela vous convient il ?

Très bien maintenant monte sur l’arbre.

(Parfait il n’a rien remarqué, l’arbre sera encore plus simple)

Ok !

Je couru vers l’arbre à ma vitesse maximum puis couru ensuite sur l’arbre en laissant derrière moi des traces d’écorchures sur l’arbre.
Puis je descendis grâce à une corde que j’avais placée ici préalablement.

C’est très bien, maintenant je t’emmène parcourir le monde avec moi pour t’entrainer va préparer tes affaires.

J’étais si réjouis, je me précipita pour aller chercher mes affaires mais c’est sans ça :

Attends, une petite chose avant , enlève tes chaussures.

Mais…

Retire-les !

(C’est finit il a surement compris depuis le début mais il m’a quand même même laissé me donner en spectacle)

Très bien, maintenant cours sur l’eau encore une fois.

Ok.

Non stop, pas par ici cours ici. Dit-il en montrant une zone d’eau juste à côté de celle que j’ai parcourue la première fois.

J’avais en faite placé des rondins de bois montant jusqu’à la surface de l’eau me permettant de faire croire que je marché sur l’eau alors que je ne marchais seulement sur les rondins.

Bon … Très bien…

Je sauta puis je m’enfonça littéralement dans l’eau en un seul coup, je ne pu même pas rester sur la surface quelques secondes.

(Incroyable, il a quand même essayai sachant que c’était impossible).

Bon sort… Et grimpe encore à l’arbre.

Ce qu’il me demandait était maintenant impossible sans mes chaussures puisqu’elle avais des crochets qui me permettaient de m’accrocher à l’arbre et de monter sans problème.

J’essaie….

Je ne pouvais pas monter plus haut que la hauteur d’un de met saut.

Bon, maintenant tu peux aller préparer tes affaires.

Mais…. Comment… Comment ça ? Je ne peux pas le faire et vous voulez….

Comment ça tu ne peux pas le faire ? Tu me l’as bien montré une fois et c’est ce que je t’avais demandé, de plus je n’avais posé aucune condition…Vite avant que je ne change d’avis !

(Je ne m’attendais pas trop à ça, je suis surpris mais agréablement, si il fait tout ce que je lui demande d’une façon si ambitieuse et déterminée il pourrait très vite apprendre, il n’a pas besoin d’un très bon professeur, il faut juste lui fournir de quoi travailler et je pense que je peux faire ça).

C’est ainsi qu’en parcourant le pays des Rivières et celui du Feu il m’apprit tout ce qu’il fallait savoir sur les ninjas, le Ninjutsu, le Taijutsu et le Genjutsu. Il m’apprit par la suite à malaxer le chakra puis à l’utiliser, il m’appris les techniques de bases des ninjas.
Durant 3 ans ont avaient surtout travaillé le Taijutsu et de nombreuses stratégies formées de ninjustsus simples car il ne voulait pas m’enseigner ses ninjustsus à lui pour que je me trouve mon propre style avec mes propres techniques que je choisiraient ou que je créerais. Je savais aussi réalisé des missions puisqu’à travers notre voyage, Subakana recevait des ordres de missions de son village par oiseaux messagers, ce n’étaient pas des missions de hautes voltiges mais nous avons eu à faire face plusieurs fois à des bandits armées ce qui m’a permis d’apprendre à travailler en équipe afin de neutraliser l’ennemi sans faire de blesser dans nos rangs ou dans les civils, il m’a même plusieurs fois laissé préparé moi-même le plan d’action de la mission.

A mes 16 ans il devait retournait à son village et disait de toute façon qu’il n’avait plus rien à m’apprendre, que je pouvais très facilement devenir ninja en vu des missions que j’ai effectuées avec lui.

Pendant un an je fit un voyage solitaire dans le pays du feu afin de me perfectionner encore et c’est à mes 17 ans que je décide de rejoindre les rangs des forces de Konoha.


Je suis aujourd’hui devant les portes de ce village du haut de mes 1m66 et de ma tenue typiquement ninja composé d’un haut blanc cassé en matière légère mais épaisse ouverte sur le torse tel un kimono et avec des manches très courtes cachant à peine l’épaule puis un pantalon noir terminant sa course aux chevilles et étant très souple et dans une matière fine le tout serré avec une ceinture d’un bleu marine délavé en tissu placé un peu plus haut que la taille. Puis des mitaines noires aux mains et des sandalettes châtaignées aux pieds.