Fardeau, poids soutenable par la volonté et le feu de la jeunesse qui brûlait en moi. Chaque seconde en ta compagnie aussi fastidieuse soit-elle ne m'apportait ni vertue, ni obole. C'est alors asaillit par l'enquilosité de mes muscles et de mon corp que de nombreuses fois j'eût l'envie, le désir dévorant de t'abandonenr à ton triste sort. D'une nature intègre et fondé j'avais prit ce que je voyais comme un maux en patience. La patience, la résolution, je la comptais avec condescendance au nombre de mes vertue. Epris de commisération par la suite je n'eut l'âme à te délaisser, luttant contre mes maux corporelles pour toi. Fardeau, toi reposant de ton poid mort sur mes épaules dolentes et cacochimes, chaque minutes, chaque jours, tu me faisait bisqué. Toi qui m'étais à la fois si pesant et qui m'inspirais guère plus que la lassitude... demeurais cependant et à mon grand damne vitale. Nous étions à l'exception de quelques rares instants l'un à l'autre rellié, comparable à l'homme et sa raison nous étions inséparable. Moi ton porteur, sauveur, protecteur, toi mon fardeau, mon poids, mon injustice ? Atrabillaire réalité comme le monde peut étaler sa répugnante face. Les secondes, les minutes, les heures, les journées furent oblongues et invivable pour moi. Ma musculature était suppliciée par les fastidieuses heures de marche, de course, de survie et ne demandait que la délivrance. Par d'innombrables inflamations mes membres me hurlaient à unis son de feindre un écart involontaire du groupe pour mieux les rejoindres après une courte sieste réparatrice. Pour plache de salut j'avais une compagnie de premier choix. Notre noble Hokage et le reste de l'équipe. Je m'occupais l'esprit en simulant un zèle indescriptible aux yeux de mes camarades.
In extenso fut l'émancipation à ces heures d'élancements. Insupportable m'étais devenu ce dit fardeaux, toute la joie qu'un être humain pouvait réunir lui était à son apogée et ce lisait assurémment sur mon visage quand je vit les gargantesques portes du réputé village de Kiri. La aigre pluie du village de la brume martelait de son courroux mon visage qui ne réclamait que la caresse d'eau chaude. Le vent tambourinant, les gouttes de pluie assassinent et une température frigide me faisait soutennir que Kiri no kuni n'était probablement pas le village le plus acceuillant. N'étant que de passage je ne put que prendre une fois de plus mon mal en patience car en effet rien en presse à celui qui sait attendre. Mon geste ici bas fut de délibérément libéré mes épaules dolentes de ce poids maudit de ce sac trop chargé, c'est donc un geste qui parraitrait anodin à n'importe qui que je le posait au sol dans un innomable bien être. J'inspirai profondémment et en toute liberté l'air humide de ce village en fermant mes paupières comme pour profiter d'une inventée brise printannière. L'adaptation à son environnement était l'une des cartes maîtresses d'un ninja mais il faut bien admettre que la brume,la pluie le froid n'allait aider... Serrant mes poings qui étaient comme engourdis je rouvrais que lentement les paupières. Cette brume à outrance empêchait n'importe qui de voir convenablement sauf les fidèles habitués ce village était inhospitalier aux premières allures mais comme l'on dit fréquemment l'habit ne fait pas le moine. L'Hokage tournait alors son facièes vers moi et me dit après quelques instructions ce mot : « Caché » J'acquiessa d'un signe de tête quasi mécanique. C'est maintenant qu'allais débuter ma fameuse mission. Enfin j'allais me rendre util pour notre beau village que je n'avais jamais autant chérrit depuis bien longtemps. Il me tardais de revoir sa verdure, son doux climat, son soleil rayonnant. Comme deux antipodes Kiri et Konoha se heurtaient avec violence sous mes yeux et j'en faisais les frais. Suffisante fut les gérémiades, l'heure était à une toute autre chose.