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Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ]

Satoshi Hateru
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MessageSujet: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitimeDim 19 Juin 2011 - 17:40

  • Une homasse silhouette filait d'une allure vive au milieu dela placidité des chemins sinieux des allentours du village de la brume. Tous y était inerte, dépourvu de vie, les quelques arbres qui encadraient les layons se tordaient tortueusement dans une vision macabre et funeste, tant dis que quelques rares arbustes fleurit dans une once d'optimisme se dressaient piètrement face à son destin qui la ramenait systhématiquement au trépas. Ce corp lançait dans un sprint véloce, fendait telle une lame pénètre la chaire les vents tumultueux de ce village et ses lieux environnant. Son regard inexpressif, son visage clos de toute futile sensation étaient impassible face à la pluie qui s'abattait avec constance et zèle sur son biotope. Il foulait d'un pas souple le sol fangeux qui semblait vouloir le retenir de son étreinte adhésive. N'importe quel regard ce posant sur cet homme ce serait demander qu'elle mouche l'avait piqué. N'importe quel esprit saint aurait élut la chaleure d'une cheminée et l'attendrissante vue d'un lit bordé à celle d'un paysage affligeant ne refletant que la macabre vision de la faucheuse en sa moindre parcelle. Fallait-il en tirer la déduction peut-être hative que cet homme n'était pas saint d'esprit ? Cela restait à débattre. Peut-être possédait-il une raison valable qui justifirait cette conduite si insolite et utopique. Personne ne savait vraiment ce que cet homme avait dans la tête et bien souvent en ces cas les gens possède la facheuse et regrettable tendance à sous l'emprise d'une hate typiquement humaine dire que tel ou tel personne et atteinte de folie. Propre à l'espèce humaine demeure cet empressement. Et d'ailleurs n'est-il pas l'un des caractéristiques les plus zélateurs de l'humain sur cette terre maudite de l'emprise satanique des vices. Que serait l'homme sans ces derniers ? L'adjectif "vicieux" reste probablement le plus juste lorsqu'il s'agit d'apporter un adjectifs qualifiant la race humaine. Vent, pluie et basse température s'alliés d'un bloc contre ce corp fendant leurs forces. Pourtant plus les minutes plus cet homme semblait céder. A l'état de ses vêtements on pouvait au final se questionner sur ce qu'il avait fait avant de se mettre à courir. Vêtement usés, par endroit brûlés ... Il inspirait le mystère. Regardant devant soi il ne souciait guère de ce qu'il i y avait derrière lui et autour de lui, il fonçait tous simplement. *La grande forêt ! Parfait* pensai-je dans un élan d'euphorie. Poursuivant ma course rapide et agile j'allais bientôt m'engageai dnas cette forêt qui annonçait le début d'un long voyage à Konoha mon pays d'origine. Mon regard céruléen ne fixait que l'horizon. Mes membres semblait me haïr et me hurler à unison de daigner m'arrêter par de violente brûlures aux articulations. De nombreuses douleures importunes me torturaient sadiquement. Je n'avais jamais autant haïs les gardes et ... et particulièrement Kiri. La simplette pensée de m'imaginer y retrouner m'arracher un blèche rictus d'aversion. Je répugnai cette infrastructure et tout ce qui la concernait, je la rechignée jusqu'à la moelle. La flamme qui habitait mon âme et me pousser à al course n'était autre que celle d'un homme espérant la vue ne serait-ce que des portes de son séduisant village. On ne se rend compte de ce que l'on a que lorsque nous le perdons... J'adhérais en sa totalité à cette phrase enfantine. J'étais comparable à la laideur d'un enfant qui dnas la matinée hait ses parents et qui au soir lorsqu'il les a perdu les pleures à chaudes larmes. C'était une image tout à fait pitoyable et pathétique de ma situation pour être moins navrant je résumais cela en me disant simplement que j'avais le mal du pays. Rapidement je revint à l'instant présent. Je fuyais et tous cela trop aisément, la vie était trop sadique et perverse pour me laisser sauver ma vie de cette manière. Après ce que j'avais fait, je m'apprétais à la pire des sentences si j'étais récupéré par le vilage de Kiri. Cette fuite trop platonique me parraissait tellement factice. N'ayons pas peur de le dire c'était un jeu d'enfant jusqu'ici et j'admet que la raison m'empêchait de me conforter dans l'idée que tout allez bien. De plus n'étant pas un fervant adepte de la philosophie de l'optimisse je m'attendait à la pire des choses venant de ces fourbes. M'enfonçant de plus en plus dans la forêt, je me dessinais en tête une multitude de scénarios catastrophes m'amusant futilement à les résoudre. tel était le malheure de l'homme étre un penseur ! La pensée avait toujours corromput la race humaine la poussant au mal d'un coté le ramenant au bien de l'autre ... Le monde était fondé sur des bizzareries qui m'échappais tout bonnement. D'impétueux grondements se fit ouïr soudainemment, il ne me semblait pas humain. Sur l'instant je pensai à une bête, une créature de la forêt mais c'est grognement ne parraissaient même pas de nature animal. Bien que de nature calme j'inspirai profondément en me raisonnant sans nier la situation plus que problématique. Je craignai que ce soit bien pire que ce j'avais futilement imaginé il y avait quelques minutes. Je n'osai me retourner mais membre que je voulais préssé .. Ils semblaient être freinés par de la peur ? Non c'était impossible j'étais calme parfaitement calme juste un peu anxieux et tendu. Mais je crois que j'étais simplement au bout de ma vitesse déjà bien élevé. Dans des grondements de plus intenses et tapageur, ce bruit surfait, monstrueux se rapprocher. J'avais l'impression d'être traqué. Traqué ? Comme un espion pourchasser pour avoir fait sa mission ? Cette pensée m'interloquait, me heurtai violement comme une épée me pénétrant en plein ventre. Oui je venai d'y penser, et ci ces choses étaient tout simplement les nijas ou plutôt les choses qui me pourchassais ? J'avais imaginé des anbus, des escortes mais c'est vrai pourquoi pas des bêtes ou autre ? J'en frissonai déjà et surtout je me préparer psycologiquement à vivre peut-être les derniers instants de ma vie. La volonté du feu brûlait en moi et jusqu'à maintenant elle ne s'était jamais éteinte. Toujours il en avait était accompagné mais ici était-ce seulement une question de volonté ? J'étais compétent, je venais du grand clan Hateru mais serait-ce suffisent ? J'en doutais. J'allais devoir y laisser mes tripes et peut-être même au sens propre. Fuir n'allais plus servir à rien, je sentai ces choses prendre du terrain et moi en perdre, le combat apparraissait comme évident et surtout inévitable. Autant commencé directement poursuivant ma course je fit quelques signes espérant les finirs avant que ces choses me rattrapent. Une fois cela enchaîné, c'est les dents serraient et les nerfs à vif que je me retournais en usant de la fameuse technique de rang D, Doton Doro Houshi. De larges et puissante amas de boue foncèrent vers l'inconnu. Quand mon regard se posa sur la scène Je vit que ce que l'on pouvait nommer projectils avait atteint l'une de ces horribles ... de ces horribles femmes. Elle se retrouvait bloquer l'un de ses pieds prit au piège. Malheureusement pour moi les autres projectils furent inutils. Enfin peut-être que par la suite .. En l'isnatnt j'étais à la fois horrifié tout étant dégouté par ces créatures mi-femme, mi-mort. De leurs simple présence une forte effluve régnait car en effet c'était d'avantage des charognes à la chaire pourrisante et ronger par les vers que des demoiselles dans la fleur de l'age. Leurs bouches cousues, je me croyais dans un rêves, un rêves qui aurait mal tourné. Il allait me falloir du courage masi le choix ne se présenter pas à moi, j'allais devoir vaincre je me considérai trop jeune pour voir la lumière célèste. Jouant sur la défense il fallait que je me trouve un endroit où je serai inaccessible. Dans un mouvement de fougue je m'agrippais à un arbrefixant ces monstres se rapprochaient dangereusement. Je pressai alors mes mouvements trouvant refuge sur une branche de hauteur moyenne et inaccessiblle. Cependant je me faisai pas d'illusion, si j'avais grimpé à l'arbre elle pouvait le faire aussi.
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MessageSujet: Re: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitimeMar 21 Juin 2011 - 15:34

Le souffle de la mort peut prendre de bien nombreuses formes, elle peut s’étendre comme un sombre et redoutable nuage pesant qui transpire la peur et qui inonde le monde d’un chant de désespoir des plus discordants et qui telle une lame particulièrement tranchante vient pourfendre le fondement de l’âme même. La terreur est ce qui semble de par sa nature se rapprocher le plus de la mort dans son habit le plus redoutable et le plus craint de toutes formes de vie, répandant un souffle pestilentiel et putride sur les chemins de la vie, fanant toute joie et vitalité sur son passage pour créer un monde en noir et blanc dans lequel seule la crainte du désespoir le plus profond pourra persister. On pense souvent que ces chimères d’un monde ancien et parfois reculé sont des démons qui jamais ne viendraient hanter de leurs corps si incroyable et puissant le monde bassement mortel qu’est celui de l’homme et de ses faiblesses et les plus crasses, mais c’est justement car l’homme piétine de ses pieds le monde tel quel que les ténèbres les plus terribles viennent parfois se dresser de part et d’autres du monde afin de le corrompre et de le faire basculer encore plus dans la déchéance. Les ténèbres insondables de ce monde sont ainsi des choses que nul être humain ne peut réellement définir et quantifier, car elles ont tellement de formes et d’apparences différentes qu’elles en deviennent une sorte d’hydre monstrueuse dont chaque tête représente un mal causé en ce monde, et que dès qu’une ce des têtes est finalement vaincue, une nouvelle représentant le même vice surgit de nouveau, plus forte encore que la précédente. Le mal est partout et réside en tout être, toute chose, dans des quantités parfois infimes, parfois incroyables, des choses monstrueuses qui résident dans les cœurs même d’apparence les plus purs et délicats, nul n’est un saint, mais tous sont démoniaques de par la nature même de leur existence. Mais il est des existences qui de par la forme qu’elles ont prit, engendrés par la malveillance de d’autres créatures, qui en deviennent alors des démons qui semblent trouver naissance que dans les cauchemars les plus primaires et sauvages de l’humanité.

Ainsi il est des choses qui sont mais qui jamais n’auraient du être, le mal est partout et peut engendrer les créatures les plus effroyables et inhumaines qui soient dans sa toute cruauté sans fin. La cruauté est de nature même le fondement même qui soutient la majorité des existences de ce monde, et ainsi il n’est plus tellement aisé de critiquer cet état de fait qu’autrefois, car tous autant que nous sommes, nous avons en nous cette part de cruauté insipide et terrifiante. Parmi ces créatures qui ont vu leur existence éclore dans des pétales de ténèbres qui renfermaient un noir parfait, un noir de jade qui se paraient d’une étoffe de lumière pâle et cruelle, il y avait ce qu’on appelait dans un village ninja, les Dévoreuses de l’Abysse. Elles étaient pour nombre de personne au sein même de ce village qui était nommé le village caché de la brume, Kiri, des incarnations diaboliques de ce que l’hérésie humaine pouvait engendrer dans sa toute grande et infernale folie. Des démons de chaire issues des expériences les plus ignobles qui soit, transformant des humains en des démones assoiffées de chaire et de sang, ne vivant que pour étancher une faim insatiable qui ne trouvera le salut que dans la délivrance d’une mort pourtant si peu propice à se déclarer et à leur ouvrir les portes de la rédemption. Ces êtres maléfiques issus des créations d’un homme sauvage dans le cœur, dont les vices sont aussi noires que la robe de l’éternelle Nix qui pourtant sait se cacher derrière un linceul de fausse pureté sont si redoutés que même ceux qui ont déjà eu à travailler avec elles s’en sont vus retirés toutes notions de croyance en le cœur humain, tant la vision d’une chose aussi cruelle et malfaisante les avaient ébroués. Ces démons justement étaient autrefois bel et bien humaines, des femmes sans histoire ? Non, loin de là, car si leur créateur était un être sombre et cruel dans ses intentions de base, il n’était pas du genre à sacrifier des créatures innocentes pour engendrer ses enfants du mal, et venir fouiller les prisons de Kiri en quête de femelles humaines emprisonnées ici pour des crimes assez lourds pour que la peine de mort soit la sanction la plus juste vis-à-vis d’elles, et appliques ainsi à sa façon ce châtiment, les condamnant à devenir ces démoniaques créatures qui ne vivent que pour le servir, et se repaître de la chaire des victimes qu’on daigne leur offrir. Si au départ leur existence avait soulevé même au sein du conseil du village un vent de panique et de colère, histoire d’éthique morale, ce n’était toutefois plus le cas car l’efficacité dont elles faisaient preuves avait soufflé sans difficulté le vent de révolte qui menaçait de se soulever face à la création de créatures aussi monstrueuses que celles-ci. Et aujourd’hui encore, une situation d’urgence faisait qu’elles étaient une nouvelle fois lâchées à la poursuite d’un individu qui représentait soit une menace pour la nation, soit qui devait être ramené face à la justice de la brume sanglante afin d’expier des crimes qui n’avaient point lieu d’être pardonnés aussi facilement. Et c’était le cas dans la tête d’Enzeru, le créateur de ces monstruosités qui avait décidé de les lâcher sans aucune pitié sur un soldat du village caché de la feuille, Konoha, un soldat qui avait osé tenter d’espionner la brume ensanglantée trahissant ainsi les vœux de paix qui allaient peut être tissés entre Konoha et Kiri. Celui-ci ayant en plus commit le forfait de s’attaquer à certaines forces de Kiri était d’ores et déjà catalogué comme ennemi du village et de ce fait ne devait se voir offrir absolument aucun répit. Les petites bourgades qui cernaient Kiri devaient aussi probablement savoir que les « monstruosités » avaient été libérés, car les grognements sauvages et terrifiants de ces démones d’un autre monde accompagnés chacun de leurs mouvements et étaient parfaitement audible à des lieux à la ronde tant ce concert de charognard était sinistre et puissant.

Ce fut d’ailleurs l’odeur infecte de ces créatures qui s’étaient déchainés sur des cadavres en décomposition avancés afin de combler cette fin terrible qui les tenaillaient, ainsi que leurs rugissement s de folles en cavales, qui attirèrent l’attention de la cible qu’elles avaient pour mission de traquer, l’homme de Konoha qui avait osé s’attaquer aux ninjas de Kiri, et qui avaient eu l’hérétique folie de penser pouvoir s’en sortir aussi aisément que cela. Son crime ne pouvait rester impuni, et les portes de l’enfer allaient bientôt se refermer sur lui. Lorsqu’elles sentirent qu’elles s’approchaient enfin de leur cible, leur engouement sauvage s’en trouva décuplé, des sourires malfaisants déchirants leurs visages sombres et grisonnants, tirant sur les coutures épaisses qui nouées leurs lèvres entre elles. Les cris sauvages qu’elles proférèrent attirèrent l’attention de leur cible, mais elles n’étaient pas le genre de sauvage créatures à s’en inquiéter, car bestialité oblige, elles ne vivaient que par leur instinct de conservation et de chasse. Elles ne voyaient rien, leurs yeux étant complètement écrasés et leurs paupières cousus afin de les focaliser sur leurs sens le plus important, leur odorat, mais elles sentaient alors cette odeur si appétissante qui ne cherchait plus à s’éloigner de leur envie dérangeante, et elles entendaient un souffle court et répugné provenir de devant elles, elles avaient enfin atteint leur cible. Un cri sauvage s’échappa dès lors des lèvres de chacune, et d’un doigt rapide et puissant, elles arrachèrent les coutures qui refermeraient leurs bouches et les empêchaient de dévoiler leurs crocs luisants et tranchants. Elles entendirent un murmure, et ressentirent une sorte de poussée de chakra, l’ennemi attaquait, mais aucune d’entre elles n’esquissa le moindre mouvement pour esquiver cette technique car elles savaient qu’il n’y avait aucun danger pour elles. Toutefois, l’une d’entre elles se fit atteindre le pied par quelque chose qu’elle semblait en vain d’essayer de définir, mais qu’elle savait pénible et collant, aussi sans aucune hésitation, la créature se trancha elle-même le bas de la jambe, une jambe qui se recomposa en l’espace de moins d’une seconde, dans gargouillis de chaire bouillonnante absolument répugnant. Elles sentirent dès lors leur victime grimper au sommet de quelque chose de grand et qui sentait frai et bon, ce qu’elles interprétèrent comme étant une sorte d’énorme végétal, un arbre sûrement. L’une des créatures sauta et atteignit en l’espace de quelques secondes la branche sur laquelle leur cible reposait, et dans un grognement sauvage, tendit sa main devant elle, ses doigts s’allongeant et s’affinant, devenant des sortes de lances qui frappaient alors comme des fouets en tout sens afin d’happer l’adversaire désigné. Puis, elle sauta en arrière, les 7 autres sautèrent à leur tour en cercle autour de l’ennemi, accompagnés de la 8 ème, chacune attaquant transformant une partie de leurs corps pour frapper sans pitié et sans relâche l’adversaire qu’elles devaient vaincre.
Satoshi Hateru
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MessageSujet: Re: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitimeJeu 23 Juin 2011 - 13:48

  • Je me tenais droit dressé contre les ténèbres, contre l'ombre de ces femmes mi-humaines et mi-charogne à la fois. Mon regard ne pouvait que contempler dans une asthénie constatable l'effroi de ces répugnantes créatures. A la fois spleen et idéal tout comme ces choses qui étaient à la fois femme et démone, sexe beau et frénésie luciférienne. D'un sens n'importe quel être humain les trouveraient fascinantes, personnellement mon esprit était corrompu par ces bizzareries inhumaine représentante des funestres ténèbres, ces créatures se tenaient là tortueusement. J'étais seul, seul face à mon destin. Quel était-ce ? Qu'allais-je devenir ? Les lignes étaient-elles déjà tracées ou bien seul étais-je le maître de la vie. Pouvais-je aspirer à tenir entre mes mains le gouvernail de ma vie entre mes mains glacées par la crainte ou bien ce derneir était-il briser d'avance. Cette embarquation sur laquelle je voguai depuis ma naissance se présenter d'avantage comme une vulgaire barque érodée par les eaux tumultueuses de la rivière de l'existence. Cette fois j'étais seul avec moi même, avec mon destin entre mes doigts crispés et ma vie comme seul bien à défendre jalousement. Pourquoi la préserver elle que j'ai tant maudit, pourquoi ne pas la condamné, pourquoi me battre pour elle, pour la vie. Tant de fois haïs, tant de fois maudit, le jour où je pouvais m'en débarasser définitivement était arrivé et pourtant je m'y accroché. Qu'est-ce qui m'empêcher de me livrer à ces démons enthousiasmé par mon sang, qu'est-ce qui me disait secrétement de me débattre de ce piège qui se refermait sur moi. La volonté ? Mais qu'elle volonté ? La volonté du feu, probablement. Cette flamme brulait en moi et s'édifiait marciale face à cette réverbération des enfers. J'étai horrifié devant ces charognes, je tremblai à l'idée qu'elles ne prennent en leurs filets et qu'ensemble prisionnier infortuné , elles me traînent dans leurs monde... le monde des morts. Je me sentai plus homme que jamais en ce moment je voyai l'étendue de ma petitesse. J'étai un rien dans l'univers, une poussière insignifiante se battant pour exister. Et là, il ne suffisait que d'un faux pas pour que je sois réduit au silence. Ma vie ne venait que de commencer, j'avai beaucoup de chose à découvrir et tout pouvait s'arrêter. Sur un instant j'allai y jouer mon futur. Triste tragédie mais je ne comptai pas m'y alisser prendre. je ne me prétendais pas être sans doute mais j'étais fermement décidé à me battre jusqu'à la fin. Je n'avais que ma vie à perdre après tout et rien à gagner. La récompense était maigre en cas de victoire ce qui m'étonnai fortement. Je n'avais aucune idée du point faible de ces bestioles, ni de leurs points forts ... Même si mon furtur semblait tout traçait je me devais de me battre pour l'honneur de mon clan. Le clan Hateru l'un des plus connut et réputé je me devais de l'honorer quitte à le glorifier de mon sang. Dans un regard téméraire je les fixaient une à une, leurs yeux étaient cousus et je fut prit d'un haut de coeur quand en ma présence d'un geste fluide et véloce elles arrachèrent grace l'usage d'une de leurs griffe leurs cousures. J'eu un mouvement de recul mais derrière moi ce toruvait le tronc, le tronc de cet arbre qui pour l'instant me servait de refuge. Pas pour longtemps c'était certain, il y allait bien avoir l'une d'entre elle qui allait me rejoindre. Prenant de profonde inspiration je sentai leur effluves de pourriture s'intensifiat à mesure que les secondes s'écoulaient. J'étais d'un sens rassuré quand j'apperçut que l'un d'entre elle avait était prise au piège par cette boue gluante et chiatique. Je fut atteint de sueur froide quand la charogne coupa sa jambe dans une légère hésitation avant que celle si dans des amas de chaire gluante se reforma. J'étais tous bonnement terrifié, je n'avais aucune idée de comment les battres. Si leurs corps pouvaient se reconstituer après destruction je ne savais pas comment faire pour les réduirs à l'état de cadavre définitif. Peut-être étaient-elles même impossible de les tuer. Pourtant il fallait bien, mes neurones s'agitaient en tous sens quand l'une de ces femmes en l'espace de quelques secondes en un saut agile se retrouvait sur cette meêm branche dans un craquement disgracieux. Dans un grognement acerbe laissant clairement apparaître des crocs acérés et luisants tendit sa main vers moi. Elle devint une sorte de tridan, les doigts étants les lances ... J'avalai nerveusement ma salive dans une bouffée de chaleur. Elle balançait ses "lances" en tous sens pour seule esquive je reculai jusqu'à ce que mon dos touche le tronc. Dans un ultime coup de griffe si l'on dire elle me propulsait violement hors du tronc. J'avais sentit ma peau se déchirer sous ses lames que formaient ses doigts. Etant tomber au sol dans grincement de dent j'avai assez bien receptionné ma chute et rapidement en portant ma main droite à mon buste je m'étais relevé. Dans une macabre constation je me vit encercler, prit au piège. Je baissai mon regard vers ma main taché de sang. Je vis l'une d'netre elle se jetait sur moi en transformant son bras en grande lame par chance je l'esquivai tant dis qu'une seconde enchaina. C'était comme une valse entre elle et moi, j'esquivai et elle attaquait. Je parais alors l'une des attaque en unissant mes mains pour stopper un violent coup de pied qui me fit reculer de quelques pas. Il fallait que je mette fin à ce simagrés. J'avais pensé au Bunshin mais ces bêtes semblaient se repérer avec leurs odorat donc cela serait inutil. Dans une profond einspiration j'enchainai des signes. J'allai usé d'une technique basique pour pouvoir attaquer la partie la plus sensible du corp humain car après tout leurs corp était bien humain ... Fuuton - Kaze no Sen Hari [Les Aiguilles du Vent]. Une abondance de pique de vent se dirigèrent proportionellement sur les bêtes. Je n'avais pas beaucoup d'espoir quand au résultat mais une allait bien se faire épingler. Ne voulant rester une proie facile je n'avais pas d'autre choix que de sortir de son fourreau mon épée qu'heureusement j'avais toujours sur moi en mission. Cette épée n'avait rien de vraiment particulier mais disons qu'elle allait tout de même m'aider. Je la tenais en mes demains observant les alentours l'une d'entre elle était à genoux au sol. J'y allai ? Je m'abstenai ? C'était ma chance. Je fonçai alors sur elle dans une course folle, une fois à sa hauteur j'abbatai mon épée sur elle. J'avais visai sa tête amis dans un éclat de sang je lui coupai le bras. Si elle avait ressentit le besoin de ce protéger au niveau du crâne cela signifiait que c'était son point faible. Sentant le sang tiède coulait sur mon visage j'eu un rictus de dégout quand son bras dans bourdonnement écoeurant se ramatérialisera. Je fitq eulques pas de recul en ouïssant des grondements inquiétants. Rapidement je jetai un coup d'oeil sur les bêtes qui accouraient vers moi. J'allai retourné la tête vers cette bête quand je me prit de plein fouet son poing dans la machoire. Je sentiai mon rythme cardiaque s'accélérait avant de me relevai en toussant tapageusement et abattre sur cette sale charogne mon épée une nouvelle fois. en ressortant ma lame de son ventre je la poussa d'un violent coup d'épaule au sol en précipitemment sortant de l'une de mes poches une petite bombe fumigène. Je la jettai donc au sol dans un épaisse brume puis quasi immédietemment abatta mon épée sur sa tête dans un hurlement assourdissant. En un hurlement une floppée de pensées négatives m'assaillirent j'ignorai si j'avais bien pensé mais un violent coup dans le dos me propulsai en avant tombant à plat sur la charogne que j'espèrai morte. Dans un crispement rageur je repensai que leurs yeux étaient cousues et que la bombe fumigène avait servit à rien. AUurement dit il fallait absolument que je retrouve mon calme. Le coup dans mon dos avait l'effet d'une petite bombe intérieur qui avait explosé. Je me relevai en prenant appui sur la chaire putride et gluante par endroit de la femme. J'en avait déduis que j'avai réussit étant donné qu'elle ne s'étais pas manifester ou bien c'était une feinte ou encore était-elle juste lente à réagir. Aussi rapidement que je le pouvais je sortis dans quelques pas de recul la lame qui était ancré dans ce corp. La fumée s'était dissipé et j'étai prêt à parer. Dans un sang froid qui de ne faisait qu'être feind des tas de questions venaient polluer mes pensées de plus en plus négatives. Ces femmes, enfin ces charognes pouvaient-elle réfléchir ? Pouvait-elle pensée ? Je ne savais pas, je en savais rien de ces bêtes hideuse, ces femmes tortueuses. Je les craignais.
EDIT


Dernière édition par Satoshi Hateru le Jeu 30 Juin 2011 - 9:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitimeMer 29 Juin 2011 - 19:34

finit
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MessageSujet: Re: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitimeMer 29 Juin 2011 - 20:52

Herm, merci d'éditer, j'ai quand même promis à quelqu'un du staff de finir mes rp en cours, au moins cela x)
Satoshi Hateru
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MessageSujet: Re: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitimeJeu 30 Juin 2011 - 9:27

Désolée je ne savais pas ^^
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MessageSujet: Re: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitimeVen 1 Juil 2011 - 17:14

Les cauchemars de l’humanité peuvent se parer de nombreuses tenues diverses et étranges, entraînant les chimères de l’illusions à souvent se matérialiser dans des formes macabres et hideuses, grotesques figures de déchéances et de terreur qui ne trouve son origine que dans les rêves les plus ignobles et profonds, des choses qui sont de par nature indésirables, et si terrifiante qu’elles avaient le pouvoir de figer le temps et la raison même. Démons surgit tout droits des enfers de la conscience mortelle, les créatures de la nuit se parent de robes veloutées qui laissent passer la lumière du renouveau à travers leurs corps torturés pour cacher tant bien que mal l’insoupçonnable et atroce vérité se cachant derrière les plis de leurs robes d’argents, camouflant les ténèbres de leurs êtres dans des linceuls de lumières. Il n’est rien de pire que de voir se dessiner face à sois des choses qui semblent alors déchirer cette somptueuse tenue de lumière sainte pour laisser apparaître au monde la laideur et l’infernal charogne d’un monde impur, symbole même de déchéance et de folie, une ode mystique à la sombre cacophonie qui règne dans le cœur des sombres et décadents humains peuplant cet ignoble monde. Nous autres humains sommes faibles, ignares, mais surtout effrayés par la notion de l’inconnu, et des ténèbres qui dansent dans l’âtre de notre cœur, de notre conscience, de notre esprit, par peur de le voir d’un seul coup apparaître face à nous dans une apparence des plus insondables, des plus inimaginable, la promesse d’une souffrance et d’un déchirement de l’âme tel que le monde semblerait alors tout entier s’effondrer face aux maux de notre monde ainsi dessinés. Pure folie, décadence sournoise qui traverse le monde dans un souffle aux relents putrides, c’est la sainte dévotion d’un mal antique qui ronge profondément toute forme de vie, ne laissant aucune place à la rédemption ni au salut, laissent l’humanité s’empêtrer dans ses pêchés et démons.

Il est parfois de notoriété de se demander comment l’homme peut réagir lorsqu’une forme ténébreuses de ces êtres archaïques et innommables se dessine face à lui, déchirant le silence d’une vie humaine par les grognements déchirants et cruels de démons d’outre tombe, un souffle silencieux et lourd de sentence qui dégage une odeur pestilentielle de mort et de désespoir, un râle sournois qui n’évoque que le sinistre grincement des portes rouillés de sang de l’enfer. Il est des choses qui par l’apparence même, semblent prendre un plaisir malsain à faire trembler le monde lui-même, laissant dans un sillage suffocant de mort et d’odeur macabre, la sensation que le monde s’écroule et tend à devenir l’apogée d’une pièce théâtrale digne des cercles de l’enfer. Comment ne pas trembler lorsque la folie la plus perverse, la plus sournoise qui soit prend forme vivante, comment ne pas suffoquer de terreur malsaine face au mal humanisé et tissé par des mains d’hommes lorsque les messagers de la mort et de la décadence mortelle et humaine viennent tenter de vous arracher chaque lambeaux de chairs dans des ricanements sournois ? C’était là les questions que l’homme devait se poser lorsqu’apparaissaient devant lui les messagers démoniaques de celui qui les avaient crées dans sa sournoiserie profonde, lorsque les dévoreuses de l’abysse venaient réclamer leur du, la chaire et le sang d’une victime nouvellement désignée. L’homme qu’elles avaient d’ailleurs traqués, ne s’arrêtant jamais pour se reposer ni dévorer quoique ce soit, laissant la seule chose qui les animent les guider, leur odorat sans faille et l’infaillible désir de gouter le sang de la chose qu’elles désirent le plus, autrement dit leur cible de chasse, cet homme était certainement en ce moment même la créature humaine la plus à plaindre en ce bas monde, car il voyait se dessiner le fléau à l’état pur, les abominations d’un autre monde qui étaient de nature à être des démons coriaces et d’une rare puissance.

Balloté face à son propre destin, cet homme s’était mit en garde face à l’inhumaine menace qui se dessinait dans ses iris voilés par le doute et la terreur dissimulée d’une telle chose se présentant à lui, soufflant légèrement comme pour enfouir un stress qui pourrait se révéler être fatal, et tentant de combattre les assauts furieux que la première des créatures maléfiques présente en ces lieux lui avait lancé. Secoué par les attaques incessantes et ravageuse de la démoniaque femme, du moins pouvait on encore réellement l’appelé femme…, il essayait de survire à cette surprise qui venait de le frapper de la pire des façons qui soit, finissant alors éjecté de l’arbre sur lequel il se trouvait, perdant son seul abris provisoire, arrachant un cri bestial à la troupe maléfique qui trépignait d’impatience. Encerclé, la victime désignée était comme prit au piège par un prédateur innommable qui semblait prendre un plaisir sadique à ôter tout espoir de cet être qu’elles chassaient. Un sourire démoniaque s’affichait sur le visage de chacune des démones, se mettant alors à attaquer leur victime une à une et en tout sens, s’amusant lentement avec lui, ne cherchant pas à le tuer ou trop l’amocher immédiatement, non, le prédateur réclamait sa partie de chasse, une chasse amusante ou le gout du sang serait distillé progressivement dans la boue puante qui couvrait le sol, puis entre leurs crocs avides. Des rugissements étouffés s’échappaient de leurs gorges, mimique grotesques d’une jouissance animale et macabre qui traversait leur corps anciennement humain, anciennement féminin. Elles semblaient presque rire, se délectant des tentatives folles de cet homme d’esquiver leurs pitoyables attaques de base, et souffrir des marques de leurs coups de plus en plus nombreux au fur et à mesure qu’elles montaient la cadence. Puis, elles lâchèrent un ricanement sournois en sentant l’agitation de leur proie, puis sa voix proférer rapidement une incantation, celle d’un ninjutsu… Nul danger pour elles, elles le savaient pertinemment, et c’est avec une joie presque palpable, une folie absurde qu’elles encaissèrent les nuées de pics de vent sans s’en soucier réellement, leur chair meurtrie se régénérant immédiatement après. Une odeur ferreuse différente du sang vint alors titiller leurs narines, celle d’une épée, l’homme venait de tirer une arme pour les affronter… Un soupçon d’excitation traversa l’assemblée, un rictus non visible d’envie et de jouissance les prenant au corps avec plus d’intensité. Une des démones avait posé un genou à terre, reniflant avec appétit l’odeur de sang émanant de sa victime, et attendant patiemment une erreur, une ouverture pour la frapper sauvagement. L’homme se rua sur elle, frappant de son épée la tête de la dévoreuse qui suivant son instinct de préservation, tendis le bras pour protéger son seul et unique point faible, la tête. Le bras fut coupé net, mais dans un ricanement sonore, elle le reconstruisit instantanément dans un bruit écœurant de succion et de chaire bouillonnante, des gouttes de sang aspergeant le visage de sa victime. La proie fit quelques pas de recul, distraite alors par le grognement des sept autres démones, laissant alors le temps à celle récemment touchée de se relever et lui décocher son poing dans la figure, attaque qui reçut une réponse immédiate, l’épée traversant l’abdomen de la monstruosité. Tout en ressortant la lame du corps de la démone, les autres sentirent leur proie fouiller dans ses poches pour sortir quelque chose dont l’odeur était différente, une chose qui se révéla être une bombe fumigène, ce qui ne les gêna point, étant privée complètement de la vue. Elles ricanèrent sournoisement lorsque leur proie hurla avant d’abattre son épée sur leur compagne à terre, celle-ci ayant eu l’étonnant réflexe de briser elle-même sa nuque pour allonger son cou et le tordre assez pour que la lame ne fasse que s’enfoncer dans le sol boueux. L’une des autres se rua alors sur l’homme, le frappant avec force dans le dos, l’obligeant à s’étaler de tout son corps sur la démone à terre qui remettait tranquillement son cou en place. La créature renifla sa proie, lentement, délicatement, tandis que celle-ci posait une main sur sa poitrine pour se redresser… Et, lorsque l’homme se fut redressé, la charogne grogna sauvagement, tendant sa main devant elle et allongeant ses doigts à une vitesse vertigineuse pour lui transpercer le bassin, et en même temps, les 7 autres attaquèrent à l’unisson, transformant leurs membres en armes diverses pour tailler en pièce leur ennemi… Puis, alors qu’elles allaient frapper, une sensation étrange traversa leur esprit. Elles étaient 11, 3 des leurs étant resté auprès de leur maître, et celles-ci leurs demandaient simplement d’abandonner la mission en cours, et de rentrer au village par ordre du maître. Ne sachant pas exprimer la déception, elles firent reprendre à leurs membres forme normale, la dernière rétractant ses doigts après avoir porté à terme son attaque. Elles observèrent toute en reniflant la zone, puis sans un bruit, filèrent vers Kiri.











HRP : pas grave ^^ Topic fini de mon côté donc, je te laisse filer =P
Satoshi Hateru
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MessageSujet: Re: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitimeVen 1 Juil 2011 - 19:07

  • Elles ne réveillaient en moi que les sentiments les plus lâche de la nature humaine, bien entendu je montrais d'un doigt accusateur la peur et l'envie tortueuse de fuir dès que l'occasion s'avérer se présenter. Allais-je finir en lâche ? Allais-je ternir l'image de mon clan pour sauver ma misérable vie ? Non il en était hors de question je n'en n'avez pas le courage. Si je devais remporter une victoire elle serait en règle et non le reflet cupide de ce que je haïssais le plus au monde. Je ne voulais point prendre la fuite face à ce pénible destin que je me devais d'accepter même à contre coeur. La fin d'une tragédie, peut-petre était-ce, ce qui allait se jouer sous vos yeux.Mes mebres affaiblis, endoloris, ils me hurlaient à unisson de mettre fin à ce carnage. Je n'avais que la défense pour mon salut et Dieu pour tous. Je jetai un bref coup d'oeil à celle au sol dans un frissonement d'horreur. Sa tête était toujours constitué d'un seule partie. Dans un tremblement je tressailis dans une moue désespéré j'observais ma lame enduite de boue. J'end éduis que ce n'était pas son corp mais le sol que j'avais heurté. Je maudissais la personne qui m'avait envoyé ces infectes démons et me démenais en injures incompréhensible et uniquement pensée. Ma machoire trop douloureuse pour s'engager dans de vagues articulations. J'avais beau être debout droit sur mes jamabes je n'avais pour autant l'air d'un gagnant. Je commençais à sincérement douter de la volonté du feu, je voualis me battre mais la fatigue, la douleur me gagnait contre mon grès. Dans un soupir long et douloureux je renforçais l'étreinte autour du manche de mon sabre avant de cerrer les dents dans une grimace profonde. Je cherchais des yeux ses cadavériques silhouettes mais snas succès. Elles n'avaient pas disparut mais je me sentais extrêmement mal. Des maux inconnu m'envahissais, incapable de mettre un nom sur cette souffrance ni même l'origine je me crispai dans un moment d'innatention que je regrettais d'hors et déjà. Je sentis comme d'immense lame me transpercer le bassin dans un hurlement sonore que je ne put retenir. Comme la douleur de ma chair transpercer je m'en infligeai une seule, ce crie m'octroyais la généreuse sensation de me décrocher la machoire. Deux larmes coulèrent le long de mes joues ce mélant à mon menton enduit du sang s'écoulant de ma bouche. Pour d'avantage de douleur elles m'attaquèrents ensemble, toutes ensemble. Je tentais alors de m'échapper mais ses longs ongles plantaient en moi me retenai conter mon grès. Dans un ultime crie blafard je réceptionnais un tridant en pleine épaule, un martot dans le visage, une sorte de bélier en plein ventre. J'en avait le souflle coupé, je me replais alors sur moi portant mes mains à mon ventre dans des suffocations. Je fermai volontaoirement mes yeux pour ne pas voir le coups arriver mais rien que les endurés me déchirais de douleur. Je sentis dans un frisson détestable les longs ongles se retiraient de mon bassin, je tombais au sol sur le ventre dans un coup de jus. Ma vue se troublait, mon ouïe ? Je n'entendai plus depuis pas mal de temps. Mon corps et mes sens semblaient les rejetter d'eux même. J'avais chaud; très chaud je me sentais partir peu à peu. Etait-ce la fin de ma vie ? Allais-je mourir ? ici ... seul complétement seul. Mes paupières lourdes se refermaient alors dans des gémissements plaintifs intérieures. Je n'avais pas même la force de penser. Quand je fut réveillé c'était pas de violente brûlure dorsale. J'ignorai pourquoi elles avaient fuit amis je n'e m'en plaignait pas. Peu à peu je retrouvais le monde. Je n'étais pas mort ? Non je ne l'étais pas. Dans un bref soulagement je prenais alors appuit sur le sol pour péniblement me relevais. Mes mains exercant une pression sur mes plaies les plus douloureuses l'ehure n'était pas à la plainte mais à la fuite.

    FIN
Satoshi Hateru
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MessageSujet: Re: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitimeVen 1 Juil 2011 - 19:08

Rp bel et bien finit cette fois-ci à évaluer
Vijay Jagdish
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MessageSujet: Re: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitimeSam 2 Juil 2011 - 14:20

Satoshi :

Pour avoir combattu Enzeru rang S = 100 pts NNr.
Notation de tes RPs :
Premier post => 35 pts Nnr.
Deuxième post => 35 pts Nnr.
Troisième post => 30 pts Nnr.
Total pour ce topic => 200 pts NNr ! Bravo ! Bravo

Enzeru :

Pour avoir combattu Satoshi rang A = 60 pts NNr.
Notation de tes RPs :
Premier post => 35 pts Nnr.
Deuxième post => 35 pts Nnr.
Total pour ce topic => 130 pts NNr ! Bravo =)




Dernière édition par Vijay Vaanam le Sam 2 Juil 2011 - 14:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitimeSam 2 Juil 2011 - 14:32

Vjay > T'as fait une tite erreur ^^ Normalement d'après Akari et Fujita, Satoshi gagne l'équivalent d'un combat contre un seul rang S xD
Et les deux sont notés comme rp combat >.< + le rang A ennemi pour Enze xD
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MessageSujet: Re: Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Vivre ou mourir ? Quitte à choisir autant prendre la vie. [Pv ] Icon_minitime


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