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Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang A ; Level 23 | Points Naruto Ninja RPG | : (1377/2000) | Âge du personnage | : Inconnu.
Sujet: Le changement exécute les idées. |Solo.| Mer 22 Juin 2011 - 20:39
. : Le changement exécute les idées. : .
La réflexion est une chose commune à toute personne ayant au moins le minimum acquis d’intelligence vulgaire. Comment ? Pourquoi ? Quoi ? Ou encore bien même quand ? Une plérome de questions s’établissant avec une certaine lenteur dans les nombreux esprits maussades des habitants d’un quelconque village. Des esprits malades se croyant finalement et définitivement supérieur alors qu’ils ne sont rien. Seulement de pauvres grains de poussières dans une maison lamentablement abandonné avec le temps. Les sabliers du d’espace ayant effectué leur simple travail ingrat. Malheureusement, ces souffles de sentiments valétudinaires flottent dans le passé, le présent ainsi que le futur. Bien que les personnes toute simplement lambda ne peuvent nullement voir les ectoplasmes de peur, ils sont pourtant bien là, présent derrière vous, ou encore bien-même se servant de votre enveloppe corporelles comme habitacle théorique. Ces prismes de plaisirs, ces démons de minuits avançant dans les prémisses du pandémonium. Ces derniers s’en amusent avec une fureur toute simplement inquisitrice. Leur ricanement perça encore et encore les fines oreilles rosâtres du petit ver de la mouche qu’est le démon sans visage. Ses innombrables ailes s’utilisant finalement comme des boucliers. Des objets métalliques qui, malheureusement pour le démon ou bien heureusement pour les ectoplasmes sont totalement inefficace. Grognant, vivant… Existant. Pourquoi sont-ils présents ? Comment ne nous pouvions point les voir ? La liste de questions pourrait être encore bien longue. Un long chemin de l’existence, de la réflexion, de finalement totalement tout. L’Enfer est finalement et tendrement sur Terre. Mais, les personnes ne peuvent nullement le voir et par conséquent, ils pensent que le Monde peut leur appartenir. Dans les petites mains fébriles dont les ectoplasmes effleurent de leurs dents blanchâtres. Et ce démon, cet être noir ébène grognant à son tour regarde le monde. Mourir. Lentement mais surement.
Ce démon ricane maintenant. Doucement comme la somptueuse mélodie du vent s’établissant dans les creux auditifs des personnages entourant l’espèce de sphère terreuse. Originalement, cette douce créature à la déflagration sonore change mollement de forme. Son enveloppe corporelle se faisait de plus en plus difforme. Résultant définitivement de l’espèce de ver de mouche complétement abjecte. Sa puanteur totalement infecte s’établissant avec une violence extrêmement infinie. Son regard originalement rougeâtre perçant les doucereux établissements servant de colonne pour le Monde réel. Ses ailes lépreuses disparaissant avec une certaine difficulté. La douleur étant bien entendu présente dans le cœur sombre de la créature à la semblâtes de gueule. Ses crocs s’enfonçant un petit moment dans sa chair rougeâtre pour finalement ressortir comme un magnifique ressort géant. Impeccablement enroulé comme un des cadeaux offerts pour une petite fille, ses yeux pétillants de vie et de tendresse. Des yeux dans une marée de sang noirâtre. Son apparence continue sa lente mais assurée transformation. Toujours dans cette douleur extrême ment présente. Finalement et définitivement, ce démon arrive contre la plaine verdâtre, les nombreuses brindilles cassant sous le poids conséquent de la monstruosité noir ébène. S’établissant de tout son être contre la colline terreuse de la magnifique mais conséquente. Soupirant de mal-être ainsi que, encore une fois de douleur, sa carapace se transforma avec une certaine lenteur, les nombreuses écailles légèrement rougeâtres, au reflet corbeau. La géhenne du monstre difforme se faisait maintenant encore plus présente. Un hurlement bestial perça encore et encore l’immense foret se composant uniquement d’arbres, de végétation, d’êtres humains ou encore bien-même animales. Sa douce lamentation se créant finalement par elle-même. Son enveloppe corporelle prend, peut-être définitivement forme. Une forme assez aléatoire pour l’instant. Semblable à un carnassier d’un conte bien connu. Présent, chassant la pauvre brebis mâchouillant la fine feuille molle.
Doucement mais surement, la créature se releva. Sa transformation était maintenant finit. Et originalement, cela fut plus rapide que prévue. Pourquoi ? La réflexion restera malheureusement incompétente, et avec une certaine nonchalance pour tout dire. Sa nouvelle enveloppe corporelle était, finalement assez plaisante. Son ancien cri bestial n’étant peut-être plus de mise, mais cela n’était véritablement pas grave. Mais à la place, cela laissait une plérome de nouvelles possibilités. Effectué des nouveaux mouvements, faire de nouveaux choix. Oui, cela était véritablement plaisant. Cela était véritablement sûr. L’adrénaline montant finalement dans ses nombreuses artères sanguines Regardant ce petit grain de poussière qu’était la Planète Terre de ses deux nouvelles prunelles de couleurs différentes aux précédentes. Sautillant alors sur place, un fin sourire carnassier s’établissant contre la gueule béante aux crocs toujours impeccablement blanchâtres. Oh, oui. Maintenant, le monde s’ouvrait à lui avec une certaine grandeur effleurant finalement l’orgasme purement sexuelle. S’en amusant peut-être un peu, l’animal remarque une chose assez particulière contre le sol fébrile de l’immense plaine en totale harmonie avec la douce et magnifique mélodie du vent au génie. Une magnifique couleur topaze s’interposant contre le reflet de l’âme qu’était les deux nébuleuses sanglantes possédant l’ancienne créature à l’enveloppe corporelle totalement indéfinie. Une épée d’ambre. Encore. Cette chose toujours aussi présente. Originalement. Un pseudo-rire perça encore et encore la forêt. Regardant toujours la chose blanche, il l’évita finalement. Ne s’en préoccupant même pas. Sa nouvelle apparence est bien plus importante pour son esprit que ce pauvre objet à la teinte pailletée mollement. Regardant toujours son enveloppe corporelle noirâtre, ébène. Cela était tout simplement parfait. Rien ne pouvait stopper sa longue et lente montée vers le chemin de la gloire. La violence est enfin de mise. Maintenant, l’immense créature à la gueule sanglante était finalement prête. Hunk Moroshi était prêt.
Sautilla encore une fois en place. Il disparut dans les prémisses de la forêt. Son retour maintenant en règle dans l’immense mère se mourant mollement et, dans un sanglot limpide. Konoha No Kuni. Bien entendu, personne ne le connaissait, personne ne connaissait sa véritable forme. Une forme seulement présente dans les barrières de l’espace irréelles. Une chose finalement nullement présente dans les cœurs des nombreux monstres appartenant à la gargantuesque métropole de l’un des plus grands pays du monde militaire. Mais, en ce jour assez spécial, un évènement allait peut-être changer la donne envers l’ancienne créature à la masse nullement développé. Regardant par-dessus les imminentes tours, voir maison du village central, ses yeux faussement bleuâtres se posèrent au-delà de l’horizon. La liberté, la libre pensée, deux choses importantes pour le jeune homme annonçant finalement les deux imminents piliers de l’éducation d’un être qui, finalement peut-être aussi bien de la Basse-Société. Ou encore bien-même de la Haute-Société. Oui, des choses assez importante. Sa tête toujours mollement fixé contre des barrières encore inconnues, une légère idée se formant dans la réflexion-même du magnifique personnage créé par la plume de l’écrivain. Ce dernier agitant son outil avec une frénésie totalement inquisitrice. Définitivement, le fantôme à la brume vivante secoua rapidement la tête. Son fin esprit calculateur redevenant un être plein de vie et d’énergie. Son idée était maintenant prête pour son exécution finale. Cela était tout simplement parfait. Originalement, pour l’instant aucun mouvement était de mise avec cet être à la carrure frêle mais aux pouvoirs pourtant si immense. S’en amusant presque, la respiration rauque et mécanique ne s’arrêta nullement. Comme toujours. Ses bras se posant contre la rambarde de la plus haute des tours du village, la déflagration sonore brisa finalement le doux silence monotone voir religieux qui s’abattait sur le village.
L’ombre sauta. Courant entre les nombreuses artères sombres du magnifique village. Ce magnifique village mourant, encore et encore. Dans une profonde lamentation. Cela ne pouvait plus être la même cause pour toujours. Le changement s’impose et par conséquent il sera bien entendu présent. Sa respiration rauque, voir molle s’intégra contre le silence purement religieux de la scène. Son idée, maintenant elle avait une forme exacte. Son contraire purement parfait. Deux êtres, deux choses aux antipodes les plus complètes. Doucereux comme la mer, parfaite et stable comme le vent. Un saut s’engendra finalement, ce créateur de cette chose arrivant finalement contre un nouveau toit d’une maison. S’arrêtant un petit instant, son regard se perdit encore une fois. Pourquoi ? Peut-être une certaine nostalgie du geste qu’il allait effectuer ? Pour tout dire, le magnifique ectoplasme à la brume noirâtre. Cette dernière directement issu des prémisses du magnifique pandémonium humain qu’était l’atmosphère de la douce et tendre Planète Terre. Le militaire au masque de métal se trouvait maintenant à quelques mètres des immenses portes de bois du village. Un soupire arracha finalement les fines lèvres rosâtres de l’être humain, ce cette imminente créature à l’enveloppe corporelle finement humaine. Après quelques minutes de course, l’ectoplasme arriva devant le passage en boqueteau. Ce dernier bien entendu fortement gardé par les deux gardiens du village. Expliquant nullement la situation face aux deux hommes, les militaires hochèrent finalement la tête et par conséquent, les deux lourdes portes s’ouvrirent dans un bruit transperçant les tympans comme épée d’or contre le monstre de violence que se pouvait d’être le militaire Hunk. Ce personnage créant lui-même le réel et le non-réel. Deux choses complétement à leur opposé la plus totale. Pourtant, elles s’unissent, et forme le présent. Notre monde. Une vision fausse de notre monde. Il fallait rétablir cela.
Dernière édition par Moroshi Hunk le Ven 1 Juil 2011 - 18:27, édité 3 fois
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Sujet: Re: Le changement exécute les idées. |Solo.| Sam 25 Juin 2011 - 12:39
. : Chemin de roches, au travers de l’idée. : .
La cruauté est un acte présent partout dans ce pâle monde résultant des monstruosités les plus fines. Et pourtant, finalement, cela ne dérange littéralement plus personne. La violence, la cruauté, la mort, le champ lexical du désespoir est partout en nous. Nous le savons tous plus ou moins. Consciemment ou nullement. Originalement, nous nous délectons de cette cruauté chaque minute de notre pâle existence. Comme le démon sans aile, rampant à travers les égouts de la vie. Doux monstre vivant, regardant le monde qu’un œil nullement paisible. Les regardant tous, un magnifique grognement perce finalement ses crocs parfaitement blanchâtres. Sa fureur hérétique est extrêmement bien présente. Ce monstre d’originalité pure, de violence somptueuse, d’intelligence pourtant bien présente. Son enveloppe corporelle toujours indéfinie. Se déroulant comme du papier à musique, sa douce mélodie éclatant dans une gerbe de cristaux magnifiques, éveillant les pupilles des nombreuses personnes aux alentours. Ces nombreux verres se dirigeant finalement au plus profond des prunelles des êtres humains. Atterrissant dans les plus merveilleuses sphères, un flot d’hémoglobines rougeâtres arrivant alors dans ce petit grain de poussière, chose minuscule s’établissant alors dans les nombreuses artères flottantes du cosmos. Cette fastueuse planète maintenant tâché par la présence des humains. Ce monde à l’origine blanchâtre, pâle, maussade. Il est maintenant salit pour toujours. Salit indirectement par l’immense créature à la carapace noirâtre ébène. Hurlant sa rage au plus profond des prémisses de pandémonium humain, cette chose rampant toujours, elle s’amuse légèrement, regardant d’un œil plutôt vicieux le monde s’offrant mollement à lui. Il pourrait devenir le commandant, le nouveau monarque de ce magnifique royaume souterrain. Ces pauvres habitants aveugles coursent, ils ne savent où. Ce nouveau guide grogne, le pouvoir n’est pas pour l’instant, il est toujours sous une autorité supérieure. Ses chaines métalliques sont présentent. Elles s’arrachent finalement, maintenant…
La créature était partit sans prévenir personne. Ne donnant aucune information. Personne ne pouvait le suivre. Cela était tout simplement impossible. Ce monstre de cruauté et de violence connaissait chaque parcelle du village de la feuille morte. Toutes les fuites potentielles étaient maintenant bouchées avec une fureur totalement inquisitrice. L’hydre antique s’était tranquillement évaporée par la porte principale. Pour une raison totalement inconnue. Une raison nullement connue pour les pauvres habitants de l’immense agglomération. Cela en devenait légèrement comique. Faisant doucement rire la magnifique gueule de la créature béante. L’apogée de la puissance arrive doucement mais surement envers ses douces nébuleuses à la couleur incongrue. Le monarque à l’enveloppe corporelle assez importante, il connaissait tout cela. La simple vérité, la pure vérité du présent ou encore bien celle du passé. Seulement l’avenir reste malheureusement encore totalement inconnu. Une chose vague dont l’onde de l’inconnue est une chose que chaque être humain aimerait pouvoir toucher de ses doux doigts frôlant simplement l’albinisme la plus totale. Le monstre, la bête, le ravageur poussa un cri simplement gargantuesque, formant une déflagration sonore toute simplement importante contre les nombreux arbres aux alentours des bois. Le mime chantant, ce doux paradoxe n’exporte que littéralement la création de cette chose maintenant présente contre l’ensemble de la population environnante. Personne ne veut de la chose. Personne, rien. Tout simplement. Le hurlement perçant, devenant avec une certaine lenteur le cri de guerre et de ralliement pour des centaines de personnes. Ou encore bien, contrairement, ce magnifique bourdonnement annonce la peur et la déchéance de nombreuses personnes. Aussi mesquines soit-elles. Maintenant, ce bruit purement sonore est connu de tout le monde. Que cela soit, le pauvre être humain rampant encore et encore contre le trottoir. Doucement, la chose arrive avec une certaine lenteur. Elle apparait à la lumière divine…
Une distance de « A » à « Z » est assez importante, mais toujours variable. Cela est une vérité première. Et par conséquent, l’épuisement est aussi de mise avec une certaine lenteur monotone. Cela était tout simplement parfait. Aux yeux du doux ectoplasme. Le monde ne comptait maintenant plus sur lui. Originalement, certaines personnes le connaissaient en surface, et par conséquent, leurs esprits seront portés vers une certaine inquiétude. Une inquiétude assez originale ? Une inquiétude justifiée ? Une inquiétude toute simplement banale. Monotonement, le prisme de plaisir s’établissait maintenant à travers des rocheuses, surfant sur une vague de floue complète. L’entrée des rêves, cette barrière totalement irréelle mais pourtant bien à porter de main de cette chose à la carapace noirâtre, semblable à du goudron brûlant. La distance n’était nullement un problème pour cette chose vivant dans les hauts lieux de la société d’aujourd’hui. Une chose intelligente, magnifique, mystérieuse, inconnue simplement. Une enveloppe corporelle utilisant tous les moyens possibles pour parvenir envers le lieu « Z » de la destination. Ses compétences militaires étaient assez puissantes. Pouvant effectuer un ravage auprès de la population environnante. Ou bien, être une aide assez importante pour effectuer une course à travers tout un village, ou encore bien-même un pays tout entier. Bientôt, cela serait immédiatement parfait. L’immense cri de la créature noirâtre percera de nouveau la Planète Terre. Simple morceau de roche perdue dans une plérome d’étoiles dorées. L’apogée de la force n’était pas pour encore, cela était malheureusement une vérité incontestable. Mais cela ne tardera nullement. Et pour cela, des changements doivent être présent dans les sentiments de l’imminent spectre vivant au plus profond des grottes de l’Enfer lui-même. Ses idéologies allaient maintenant être brusquement changées, le chemin de la destinée serait une chose nullement préconçue. Comme le futur, lointain…
La destination avait été bien entendu programmer depuis toujours dans l’esprit perfide de l’homme, n’étant finalement rien d’autre que le corbeau arrachant l’œil du cadavre avec une certaine fureur hérétique, se nourrissant du doux liquide contenant la sphère blanchâtre, voire légèrement rougeâtre. Marquant son territoire, ce pauvre oiseau aux ailes parfaitement soignées ouvrit mollement son bec couleur crème. Une déflagration sonore perça définitivement les magnifiques nuages blanchâtres combattant dans une somptueuse guerre confrontant avec une nonchalance toute particulière les comètes dorées s’établissant dans les cieux, simple voile ténébreux ornant avec une prestance parfaite le grain de sable s’appartenant à la Planète Terre. Cette créature aux ailes noirâtres prit définitivement son envol dans un nouveau cri de fureur morbide. Les agglomérations environnantes ne devenant finalement rien d’autre que de pauvres points noirâtres aux yeux magnifiquement émeraude de la pâle créature finalement humaine. C’était effectivement des endroits assez spéciaux. Regardant le monde avec une prestance totalement infinie. Un nouveau cri, le troisième après l’apparition de sa forme corporelle totalement indéfinie, vague. Maintenant, sa distance se devait de vite finir. Et par conséquent ses nombreuses techniques et compétences seront de mises pendant l’itinéraire pour effectuer cette dernière assez rapidement. Tout cela changeait avec une certaine nonchalance. S’en amusant presque, la créature toute particulière effleura un fin sourire contre la barrière de l’irréel s’étalant contre la fin de la destination. La magie s’établit avec une certaine lenteur au travers des pupilles humaines. Bien que, avec une certaine nonchalance de la part du créateur du rideau, cette chose est pourtant bien présente. La créature ne sait plus. Elle s’est finalement perdue dans les limbes de la frontière, voire peut-être plus. Etait –il, au plus profond du magnifique et somptueux Paradis ? Ou encore bien-même l’Enfer, une chose totalement difforme, incongrue et lasse. La bête, perdue.
Effectivement, maintenant, le militaire ne savait où il était. C’étant de nouveau retrouvé à la surface du grain de sable, son regard faussement bleuâtre parcouru avec une certaine douceur le paysage qui s’offrait à son enveloppe corporelle. Des roches, des montagnes, d’innombrables et de gargantuesques minéraux était devant ses pupilles véritablement émeraude. S’en amusant presque, la créature sauta contre une espèce de rocher à la taille assez conséquente. Sa vision, cette dernière pouvait voir totalement tout. Simplement et purement. De nombreux espaces, rocheux la plus part du temps. Cela était assez original, totalement différent de l’immense métropole dont l’ectoplasme de plaisir avait bien l’habitude de voir. Sautant finalement avec une certaine discrétion la poussière ce souleva, comme une douce mélodie naviguant dans les flots des partitions des merveilleux musiciens. Ses deux bras se levèrent avec une certaine douceur, voire peut-être une nonchalance toute particulière. Au loin, définitivement, une légère maisonnette creusée à même la lourde pierre noirâtre de ce nouveau pays. Bien qu’il était perdu, de par l’immense changement de la Mère Nature, Déesse de tout. Cette petite bâtisse se devait d’être à quelques kilomètres de la position de la magnifique créature à l’enveloppe noir ébène. Surement quelques minutes de marches et tout cela ne sera rien d’autre que du repos assez las et faible. Engendrant finalement le pas, la créature, la bête, le monstre. Tout et rien à la fois. La véritable épée d’ambre, finalement rie n d’autre qu’une face cachée de la pauvre créature. Disparaissant de nouveau dans une légère déflagration sonore. Magnifique comme l’ange gardien, cette chose se déplace avec une nonchalance assez particulière. Cela était une certitude maintenant. Le changement était en route. Cette machinerie dorée maintenant en vie, en marche, contrôlant chaque partie du pantin en bois résultant de la pire des créatures démoniaque maussade…
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Sujet: Re: Le changement exécute les idées. |Solo.| Lun 27 Juin 2011 - 20:01
. : La Mort engendre rapidement l’œuvre de la Vie. : .
L’histoire s’intègre avec une facilité déconcertante dans les esprits assez maussade des hommes. Bien entendu orchestrer par une espèce de commentateur avalant ses propres paroles de par la nonchalance du geste. Un démon pouvant prendre d’innombrables visages, qu’il soit magnifiquement positifs, semblable à l’ange blanchâtre veillant sur l’homme. Ou encore bien même un visage purement négatif. Révélant par la même occasion le véritablement visage de ce commentateur semi-démon. Cette chose toute simplement abjecte mais pourtant qu’on vénère avec une folie tout simplement inquisitrice, voire peut-être fanatique. Oui, nous ne le savons véritablement pas. Le pandémonium tire les ficelles dans ce pauvre monde n’étant rien dans le magnifique cosmos aux étoiles dorées. Magnifique monstre, son rire s’intègre dans l’esprit des êtres humains maussade. Son royaume n’est pour l’instant nullement suffisant, l’Enfer mental n’est nullement une place suffisante pour la puissance complétement démesurée de cette chose aux ailes pourpre, légèrement sanglantes. La soif de pouvoir est une pauvre graine, plantée depuis des lunes dans le cœur ténébreux du démon, de ce monstre à la gueule purement béante. Sa bave dégoulinante transparente se délivrant contre sa masse visqueuse du la centrale de la boite crânienne de l’humain. Malheureusement, personne ne connait ce mystérieux démon œuvrant depuis le centre de l’esprit des pantins de bois. Utilisant ses fis doigt comme le meilleur moteur de la machinerie d’argent. Ce monstre, cette fameuse hydre antique dirige secrètement votre enveloppe corporelle depuis des lustres, des lunes. Et originalement, personne ne le remarque, l’histoire n’intéresse plus. Ce faux voile d’amertume et de mensonge est que, finalement, œuvre du commentateur au rire purement démoniaque, ce dernier contrôlant les écrivains de ses nombreux fils argentés, comme le créateur de la marionnette en bois. Monotonement, elle grossit, l’écume blanchâtre devenant le sous-sol, le pseudo-piller de l’histoire de la Planète Terre, doucement.
De nombreuses atrocités furent commisse de par le Monde. Qu’importe le prix à payer, qu’importe le nombre de personnes ayant tombées sous les innombrables pages de la vérité. Ces choses immondes, ces nuages infinis crachent mollement sur la bonté de l’homme. Dans ce globe, ce magnifique petit bout de terre, cette coalition de plaines, ces actions malsaines sont les colonnes antiques de la véritable histoire. Ces blocs de marbre formant finalement les membres supérieurs d’une chose littéralement sans nom. Une créature que personne ne peut connaitre, un nuage flânant définitivement avec une certaine monotonie au-dessus de la population environnante. Son odeur putride et tout simplement débectante grandissant à chaque seconde écoulée. Originalement, et pour une fois, cette brume dansante n’est nullement semblable à la créature à la gueule béante, ou encore bien-même du magnifique mais dangereux créateur de marionnettes. Ces choses venant du Pandémonium n’ont, finalement aucun point commun entre eux. Et pourtant, son but s’intègre, ou encore bien même devient avec une facilité déconcertante dans la quête des autres monstruosités vivantes dans les différents esprits des hommes. Rien n’est, pour l’instant comme avant. Le futur de l’histoire est encore une chose parfaitement indéfinie pour cette forme assez vague, dont la naissance c’est fait doucement au cœur-même des Ténèbres les plus noirâtres. Son enveloppe corporelle apporte de nouvelles perceptives contre les habitants du grain de poussière d’une couleur grisâtre, molle, sans valeur apparente. S’engagea vers un chemin qui pour l’instant n’est pas le siens, le nuage, cette masse brumeuse continue de grandir. Son élément de la matière grossissant avec une fureur totalement hérétique. Comme le créateur noirâtre, elle grandit encore et encore. Devenant un monstre de puissance pure alors que, mollement, l’histoire continue son petit chemine à travers les époques plus sanglantes les unes que les autres. Doucement, mais surement.
Maintenant. Maintenant que l’histoire du nuage est finit dans une lenteur sans pareille. Alors que sa puissance est finalement à son apogée, la chose noirâtre ce stoppe mollement. La délivrance s’intègre dans le passé, le présent et le futur de la personne subissant la fureur fanatique du flot brumeux. Magnifiquement, la fureur s’intégra contre la terre des hommes. Territoire sanglant et sans vie. Une chose assez débectante pour les nombreuses monstruosités grandissant dans l’ombre. Une force d’une telle puissance que, généralement ses pauvres enveloppes corporelles que sont les humains s’intègrent avec rapidité et une violence sans pareille dans leur propre habitat. Craignant par habitude l’ardeur de la monstruosité à la forme incongrue. Et cela plaisait véritablement à l’espèce de géniteur, créateur des Ténèbres, de la fureur s’abattant avec une force toute simplement olympienne contre les pauvres vers de mouches. Ces derniers rampant maussadement, évitant par la même occasion leur sort assez pitoyable et lassant. Le flot d’écume se délivrant rapidement, voir vivement sur les plaines, une seule et unique chose resta comme elle était déjà présente. Ne bougeant nullement face à la fureur de la brume si singulière. Bien qu’il fut en mouvement dans le caprice de la brume perça son être, il se stoppa. Narguant en quelque sorte cette fameuse tempête de la force assez somptueuse. L’ectoplasme de plaisir était littéralement à l’abri. Et par conséquent, la peur n’était pas une chose s’inscrivant en lettre de sang dans son cœur pourtant si pure, mais à l’apparence toute autre. Laissant ses bras ballants, travers de sa mâche, un éclat métallique perça finalement le nuage noirâtre. Avec une certaine délicatesse, cet éclat grandit, comme enfant devenant finalement un preux adulte. Gardant son point de départ dans la manche, elle s’arrêta finalement de grandir, devenant plus longue que sa main. Une lame.
Finalement, et dans un léger hochement de tête, la marche reprit lentement son avancé dans la magnifique pluie écarlate du démon riant à pleine dent. Personne ne pourrait savoir, personne ne le saura dans les années, les siècles et les décennies à venir. Cela ne restera rien d’autre qu’un pauvre mystère mollement effectuer dans le plus grand des secrets. Le seul témoin sera, bien entendu et par conséquent ce merveilleux nuage, gardant sous son aile l’ectoplasme à la brume entourant le mensonge. Personne ne devrait avoir le droit de décidé si la vie doit être de mise pour une personne, ou alors, au contraire qu’elle n’existe tout simplement plus pour cette chose immonde. Pourtant, cela est différent, la puissance est un art permettant ce choix. Tout comme l’intelligence, elle prime en fonction du chemin que nous voudrions prendre pour notre avenir. Et cela, les personnes vivantes le savent avec la plus grande monotonie… Continuant son chemin, le prisme de plaisir effleura d’un doux doigt ganté l’espèce de lame accroché à son bras. Et plus précisément, à son avant-bras. Un armement tout simplement parfait. Important une discrétion à toute épreuve et permettant alors une utilisation rapide et efficace. Les minutes passèrent comme le grain de sable tombant machinalement contre ses compères, enfermés préalablement par une vague de verre assez consistante. Les sabliers. Définitivement, la créature arriva, l’imminente pluie continuant son œuvre la plus parfaite et la plus somptueuse. L’heure était maintenant arrivée ? Ou encore bien, de nombreuses surprises seraient mollement de mise envers cette journée tombant dans la lassitude de la nuit ? La lourde porte en bois ébène s’ouvra finalement, de par l’action du jeune farfadet ricanant derrière votre dos. Un sol composé dans le même matériau que la porte subissant alors le poids de ce fantôme. Il entra.
Commençant son œuvre, la magnifique porte se referma avec une douceur sans pareille. Aucun bruit ne fut de mise pour cette action assez simpliste. Un bruit intervient finalement. Mais nullement provoqué par l’espèce de brume vivante à la respiration rauque et mécanique. Nullement, cela venait tout simplement d’un autre être humain. Un bruit de pas simpliste. Oui, le jeune homme haut gradé le savait. Maintenant, sa future victime ne savait pour l’instant rien de l’apparition du fantôme à la brume vivante. S’intégrant mollement dans la maison, l’ectoplasme après quelques secondes arriva dans le salon de la petite bâtisse. Trouvant par la même occasion la personne ayant effectué le bruit un peu plus tôt dans la soirée. Un large sourire se posa finalement contre la façade blanchâtre du militaire. Ce sourire bien entendu nullement visible pour le futur interlocuteur. La respiration rauque et mécanique de la chose brumeuse attira l’homme. Ce dernier mollement mit devant la cheminée se retourna avec une lenteur antique. Son regard examinant par la suite l’intrus, son teint devient originalement rougeâtre. Posant par réflexe une main contre le mur, il attrapa l’arme blanche la plus proche. Cette dernière n’étant rien d’autre qu’une hache accrochée grâce à deux attaches rouillées. Engendrant un beuglement assez sonore, il effectua un coup horizontal vers l’ectoplasme. Effectuant une roulade sur le côté, la lame effleura le sol en bois dans une légère déflagration sonore. Cela n’était rien, maintenant, le véritable chemin envers le combat. Attrapant vivement l’homme par la taille, l’ectoplasme se faufila avec une rapidité affolante derrière le dos de l’homme. Son avant-bras prenant un peu de recul, un mouvement de va-et-vient arriva avec une violence sanglante. La lame s’arrêtant finalement juste à la pointe de la colonne vertébrale, l’ectoplasme appuya légèrement contre la peau de sa future victime. Doucement, lentement.
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Sujet: Re: Le changement exécute les idées. |Solo.| Ven 1 Juil 2011 - 18:21
. : La distance, semblable au destin. : .
La guerre, la guérilla et encore bien d’autre, toute ces mots s’inscrivant dans une seule catégorie bien précise de chose. Nous le savons, certes et cela ne nous fait nullement de plaisir. Toute personne, qu’il possède une intelligence amoindrit ou au contraire, une intelligence largement supérieure connait les nombreux vices des soldats. C’est assez misérable pour tout dire, pourtant, cette petite perle de connaissance, ce petit haillon d’argent maussade. La population environnante la garde près de leur enveloppe corporelle magnifiquement banale. Il ne faut pas avoir peur de la vérité de l’immonde boucherie qu’est la dance de la conflagration. Accepter cette chose assez spéciale résulte d’un pas de plus vers la maturité, vers un monde nouveau et par conséquent une sélection naturelle des plus strictes. L’œuvre de la grande faucheuse est bien présente dans l’esprit assez frileux de l’homme. Elle apporte dégât astronomique et mort par évaporation depuis des millénaires, et pourtant, cela ne changera littéralement jamais. Le Destin est une chose tout simplement impossible de le connaitre, par conséquent, nous devons le construire avec une ferveur assez fanatique voir hérétique selon la personne. La guerre, comme nuage de brume s’installant au-dessus d’un village connait une monotonie assez particulière dans ce petit grain de poussière simplement pathétique. Doucement mais surement, le temps s’écoule et le nuage ne devient finalement qu’un point d’antimatière noire dont personne ne prête attention. Les humains se fichent de tout cela, la compétition de la puissance n’est nullement une chose qu’il recherche avec attention. La seule et unique chose qui intéresse. Leur propre survie. L’existence de l’enveloppe corporelle qui est la leur depuis des années et des années. Cette lutte de la paix n’est définitivement rien d’autre qu’une légère tâche de gras dans un Monde à l’utopie mourante avec un affolement morose, légèrement et doucement. Surement.
Pourtant plusieurs personnes s’investissent à fond dans les prémisses de la magnifique et somptueuse guerre. Et malheureusement, la population environnante n’est finalement pas d’accord avec ce qui peut se passer avec cette nouvelle dance de la mort, chose augmentant avec un temps assez important. Le nuage de brume arriva toujours aussi lentement, apportant le commencement d’une nouvelle ère. Un changement tel qu’aucune personne ne pourra détruire. Ne pourra arrêter. Cela était une chose bien sûr. Mollement, le nuage s’intègre vivement dans la forme la plus puissante. Une créature à l’esprit simplement maussade. Mais pourtant d’une violence extrêmement puissante. Elle œuvre secrètement pour une personne bien précise. Une magnifique et somptueuse violence grandissant avec une certaine lenteur dans les tréfonds de la maussade personne. Ce porteur aux pouvoirs finalement extrêmement puissant. Certaines personnes le craignent cela est un fait totalement véritable. Et de là, venir effectuer de nombreux gestes engendrant la peur et surement l’une des choses les plus faciles à faire. Prendre le pouvoir par la force, par sa puissance aussi simple qu’efficace. La puissance est une chose tout simplement magnifique et, avec une certaine beauté olympienne peut amener le plus bas des hommes envers un gradin de puissance tout simplement gargantuesque. Cela est le destin. Simple et littéralement efficace. Un dessin rescrit contre la feuille de papier blanchâtre, légèrement humide par le temps courant en ce moment. Originalement, nous connaissons d’un pouvoir assez violent, immense voir tout simplement infini implique le plus souvent une mort dans l’antipode de la puissance. La douleur sera équivoque à la violence de l’homme. Mais cela n’est nullement important, la magnifique et tendre faucheuse doit venir pendant un large crépuscule. Venir prendre l’enveloppe corporelle, nous attirant avec une lenteur sans nom dans les immenses grottes du magnifique et somptueux pandémonium humain. Lentement encore. Toujours.
Il devait revenir, cela était une certitude. Finir tout cela au plus vite avec une rapidité tout simplement inquisitrice. Son esprit venait s’agiter, semblable à la plus immonde bête en cage, hurlant contre son propre sort. La vie entre ses mains n’est nullement suffisante à sa soif de combat, de sang, mais par-dessus tout de pouvoir. Cette chose totalement infini et magnifique. Lâchant finalement sa proie dans une certaine nonchalance, il ne s’intéressa nullement à sa présente totalement superflue. Tranquillement, sa longue lame se renferma avec une certaine lenteur dans les prémisses noirâtres de sa mâche. Ne s’excusant nullement, l’ectoplasme de la brume se dirigea rapidement vers la sortie, ne prenant nullement de s’excuser auprès de l’espèce d’homme ayant doucement frôlé la mort. Cela n’était nullement l’heure. Ne plus jamais. Arrachant avec une certaine rapidité, voire peut-être de la force, se faufilant par la suite dans entre les roches. Le fantôme se retrouva alors contre l’immense nuage de la brume vivante. Délivrant encore et encore sa douce et magnifique fureur contre la coalition de plaine. Cela n’était encore une fois nullement un problème pour le prisme de plaisir totalement parfait. Tout cela n’est rien. Tout cela n’est absolument rien. Nous le savons bien entendu tous. Et cela ne changera tout simplement jamais. Portant sa vive attention vers le haut, la douce pluie pénétra alors le masque du jeune militaire, s’écrasant contre la paroi métallique. L’homme ne ressentait nullement l’effet salvateur de cette douce dance. Une chose tout simplement inutile n’important rien à l’espèce d’ectoplasme vivant naviguant maintenant entre les nombreuses gouttelettes de la magnifique fureur du nuage blanchâtre flânant encore sur les innombrables villages. S’avançant maintenant paisiblement vers l’espèce de pierre totalement gargantuesque. La représentation-même de la nature à son apogée la plus magnifique. Regardant cette force, tout simplement parfaite.
Maintenant, cela était une certitude tout simplement immense. Il devait revenir au plus vite pour que cela se mette maintenant en place avec une lenteur inquisitrice. Le fantôme secouant rapidement la tête, son attention ne se concentra plus contre l’espèce de pseudo-montagne mais sur la douce et somptueuse femme, qu’était l’horizon lointain. Le temps sera loin, mais rien de bien grave, ses techniques ainsi que ses compétences lui permettant de se déplacé, un peu plus rapidement, cela ne sera qu’un léger gain de temps nullement comparable. Sautant rapidement contre l’immense rocher, sa présence s’établissait finalement contre ce dernier avec une certaine lenteur. Magnifiquement, la pluie était toujours présente, totalement inflexible. Semblable à l’immense roi ornant son propre trône de sa présence nullement superflue. La distance de « A » à « Z » est une chose qui va –Malheureusement – permettre une disparition de la personne pendant quelques moments. Et cela est un détail nullement à négliger. Les cauchemars sont finalement des choses bien présente autour de nous, mais, originalement ils n’ont nullement la forme que nous connaissons tous dans notre pauvre esprit fatigué. Ces monstres d’antimatières simples grandissant avec une certaine lenteur, devenant alors finalement une espèce de créature tout simplement débectante. Son souffle putride se répandant avec une monotonie assez puissante contre la coalition de magnifiques plaines qu’est finalement le petit globe terrestre s’avançant dans le cosmos tout simplement grain de poussière grisâtre contre les nombreuses étoiles dorées magnifiant le ciel obscur. Tout comme la pluie s’abattant contre le prisme de plaisir, les pires cauchemars sont présents. Ne prenant nullement la forme d’une créature à la gueule béante. Nullement, cela est une certitude tout simplement véridique. Une légère tâche de gras contre un somptueux voile de paix finement blanchâtre. Malheureusement salie par des choses assez immonde, tout simplement immonde.
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Sujet: Le changement exécute les idées. |Solo.| 
Mer 22 Juin 2011 - 20:39