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L'étrange association entre la technique et la force

InvitéInvité
MessageSujet: L'étrange association entre la technique et la force L'étrange association entre la technique et la force Icon_minitimeMar 28 Juin 2011 - 18:42

Il est souvent difficile d’expliquer ces choix, on préfère alors ce dire que quoi que nous fassions, nous œuvrons pour un meilleur avenir. Certains encore agissent en connaissance de cause, et se sont dès lors fait une morale. Y t’il chose plus étrange que la destinée ? Curieusement, d’insignifiants événements de notre quotidien peuvent parfois mettre en lumière des faits autrement plus importants. Comme si de petits trous invisibles dans notre édifice mental pouvaient se révéler être des passages secrets vers nos ressentis les plus occultés. On se retrouve parfois à aimer ce qu’on avait haïs quelque temps plus tôt ; on accepte plus de chose, on n’en tolère moins ; le temps fait évoluer les hommes, et chaque jour la perspective d’un homme change légèrement, et c’est un beau jour ; en se levant et en regardant déjà tout le chemin qu’il avait parcouru que cet homme pourrait ensuite remarquer ces changements. En effet ; un homme n’est-il pas censé être une créature supérieur ? Et de par ce fait ne devrait-il pas disposer du pouvoir ultime ? Rectifier ces erreurs, réajuster son jugement ; c’est seulement en ces conditions qu’on peut se vanter d’avoir un intellect supérieur. Aussi il ne faut pas s’étonner qu’aux yeux de Yoko, certains animaux soit supérieur aux hommes. Ainsi la vie est rythmée par les évènements qu’un homme subit, l’interprétation qu’il en fera, et ce qu’il retiendra. Ne peut-on donc pas dire qu’a la fin de chaque vie, c’est des milliards d’évènements qui sont perdus ? La vie ne serait donc qu’une succession d’évènements ? La plupart seraient crée par des hommes ; n’est il donc pas évident de pouvoir affirmer que l’homme est seul maître de son destin ? Et le simple fait d’accorder sa confiance à une tierce personne, aussi négligeable soit telle ; n’ouvre-il pas une possibilité de développement quasi infini. Il est très étrange de voir comment parfois les deux s’unissent pour créer des choses complètement ahurissantes, des évènements auxquels jamais nous ne pouvions vraiment nous attendre, une fin inéluctable qui ne tend qu’a créer un monde où seul l’incertitude du lendemain prédomine, mais qui tend ainsi à créer un univers dans lequel la vie peut être douce à accepter seulement car il est impossible d’en concevoir le futur. Tout le monde ne partageant pas forcément les mêmes idéaux, et refusant l’évidence, il est parfois essentiel d’user de la manière forte pour convaincre ; ne serait ce que pour le bien de l’humanité tout entière.

C’est pour cela, qu’il fallait un chef, un dirigeant ou un président. Il devait porter sur ces épaules la responsabilité de l’avenir de son peuple ; et doit être prêt à faire n’importe quel sacrifice pour se faire. Yoko ; l’homme qui était déjà habitué à vivre une vie solitaire, n’avait quasiment jamais eu à faire à ce type de responsabilité. Bien que bras-droit du Raikage, son tout nouveau rôle était bien différent, cette-fois ci il ne suffisait pas de donner des ordres ; mais aussi et surtout de veiller sur une personne plus faible. Lui l’homme qui n’était habitué qu’a vivre dans une éternelle solitude, gardait sa cape posé contre ces doigts, il voulait tenir quelque chose de concret ; pour se rattacher au monde réel ; cette cape avait pour lui eu le rôle de garde, il était seul face au vide de la vallée, le silence étant la seule personne l’accompagnant encore dans sa réflexion. Alors le désir de frapper dans le vide ; de détruire les roches de la colline d’en face ; mais il gardait encore ces vieux réflexes, et se persuadant que c’était dangereux même dans une telle situation. Il avait de ces propres mains fabriquées l’homme qu’il était ; il en était fier certes, mais pas satisfait. Il se sentait néanmoins entouré d’une étrange sensation de sécurité ; la tempête qui habitait son cœur se serait-il calmé ? Ce serait-il satisfait de cette place de second ? Non Yoko refusait d’y croire ; il ne voulait pas s’arrêter là ; certes sa place hiérarchique avait déjà surpassé et de loin ces ambitions premières, mais sa soif de puissance elle semblait sans limite. Et d’ailleurs pour en arriver là ; il en avait fait des combats, certains même déloyal, il n’avait jamais hésités à éliminer un part un tous ces rivaux. Il se trouvait étrange, même son ambition semblait légendaire, depuis quelques temps il se surprenait lui-même à parler plus facilement au gens, serait-il entrain de se dégrader ? Il vaut mieux ainsi peut-être partagé son savoir avant de devenir complètement sénile. Les enfants sont pour lui le futur ; bien qu’étant encore dans la fleur de l’âge il sera un jour beaucoup plus vieux, et se sentirait plus rassurée de voir au moins une personne continué à proclamer.

Les premiers jours dans son nouveau rôle de bras droit avait été mouvementé, l’arrivée du Raikage apportant notamment plusieurs mort, la nomination d’un bras droit à peine plus jeune avait fait remué les lèvres de certains anciens. Mais ceux-ci n’avait d’ailleurs plus de pouvoir ; ils n’étaient que des vieux fruits, parfaitement inutiles mais en plus encombrant. Ainsi Yoko avait du apprendre en un temps record à assimiler plusieurs informations avec une certaine rapidité ; des informations notamment avec l’économie du village, les relations avec le monde ninja, et il devait se charger en plus de la paperasse des lois en y apposant sa signature et chose plus ennuyeuse, s’habituer aux coutumes du village, au fêtes ; enfin toute sorte de chose à retenir ; et ceux sans jamais se tromper ; c’était plus le rôle d’une secrétaire que celui de l’un des hommes les plus puissants du pays. Ainsi il a pu me rendre compte que Kumo avait sans doute l’un des meilleurs centre de formation du monde, en effet les guerriers sont prêt pour la plupart à être envoyé sur le champ de bataille dès le niveau Chuunin ; ils avaient déjà acquis assez de maturités pour participer à une véritable guerre. Yoko avait donc eu une entrevue avec les chefs responsable afin de voir le niveau de la future génération. En effet ils avaient des niveaux tout à fait admirables ; mais la témérité d’un jeune Chuunin qui était loin d’être le plus habile l’a vraiment choqué, il se relevait inlassablement ; et avait remporté son combat. Il avait déjà ces idées bien en place ; il savait où il voulait aller et savait ce qu’il ne voulait pas devenir. I Ceci est la principale qualité que recherche Yoko non seulement chez un ninja ; mais aussi pour un homme.Il y avait aussi une jeune femme; d'une rapidité et d'une force qui dépassait surement celle de Yoko; il est évident que le corps à corps de Yoko était loin d'être parfait. Bien formé ; n’importe quelle ninja pouvait devenir l’homme le plus fort ; il le croyait ou du moins voulait y croire. La seule manière d’en être assuré était donc pour lui de devenir maître ; d’enseigné tout ce qu’il savait, ces erreurs afin de créer un homme aussi, sinon plus fort que lui.

Il y réfléchissait souvent dans son bureau à la sortie de la ville : le sommet de la tour n’était toujours pas réparé. La pièce était simple mais décoré avec beaucoup de goût ; il s’y contentait pour l’instant. Le bureau avait une large fenêtre derrière la chaise où se tenait donc Yoko durant la plupart du temps ; et la table était situé en hauteur, ainsi lorsqu’on entrain on se sentait tout de suite inférieur. Néanmoins, il ne s’y plaisait pas ; pour lui cette salle appartenait à un autre ; elle ne s’accommodait en aucun cas avec les ambitions qu’il avait ; ne serait-ce qu’a juger l’état des murs… Et puis il prit sa décision, et se mit à rédiger rapidement une lettre pour un Juunin qui se chargerait de faire la commission ; en effet Yoko n’aimait pas parler ; cette fonction ne lui ressemblait tout simplement pas ; on lui expliquerait en quelque mot et si il avait des questions… Et bien tant pis, il chercha les bons mots ; mais sans jamais ce justifier-il n’avait pas à le faire- il envoya sa demande. En réalité l’une des autres raisons à cette soudaine réorientation est était l’ennui, il s’ennuyait mortellement dans ce bureau sans n’avoir rien d’autre à faire que lire… Et puis une force plus puissante reste néanmoins non négligeable.

«Message au ninja répondant au nom de code : Sempai.
Ayant pris connaissance du niveau de vos élèves jusqu'à présent, deux d’entre eux m’a particulièrement surpris, et ainsi étant convaincu de son potentiel je tiens à les prendre personnellement sous mon aile afin d’exploiter au mieux ces potentiels. Je m’occuperais donc dorénavant de leur apprentissage dans l’art ninja, je vous charge de les prévenir de ma prise de position ; je tiens à vous rappelez que votre avenir dans votre rôle, dépend de la réussite que vous aurez dans cette simple mission.
Yoko Nagao, Bras droit du Rokudaime Raikage »


Il avait finit son message, ainsi après avoir scellé son message, il le confiait à son secrétaire qu’il l’enverrait dans l’immédiat. Il vit d’ailleurs le pigeon chargé d’apporté le message par l’immense fenêtre du bureau, il envoya un autre message cette fois-ci à l’intéressé directement lui demandant de le rejoindre au sommet de la vallée des défunts ; qui semblait un lieu tout à fait approprier à son humeur mais aussi à la circonstance. La rencontre se passerait dans trois jours, le temps de laisser son élève se préparer mentalement, et puis même s’il se trompait… Cette petite escapade lui ferai le plus grand bien, il n’avait pas eu de temps à lui durant les derniers jours et il serait absolument ravi de continuer cet enseignement, peut-être apprendrais-il aussi quelque chose ? QUoiqu’il en soit, il était présent au lieu du rendez vous, le soleil se couchait, il restait tout de même plusieurs bonnes heures. Le vent reprenait finalement ces droits sur le silence se mettant à souffler avec intensité mais sans violence, chaque faisceau se répartissait convenablement, laissant ainsi entendre dans les vieilles cavités des montagnes des sortes de bruits de cris qui se plaignait. Sans doute l’origine du nom la vallée des défunts. Mais tout ceci se passait bien plus haut, Yoko se sentait l’âme d’un poète ; il se disait qu’il pouvait affronter le monde entier, après tout ici personne ne viendrait le chercher il était seul du moins pour l’instant seul face à la nature. Le moyen dont la nature se sert pour mener à bien le développement de toutes ses est leur antagonisme au sein de la société, pour autant que celui-ci est cependant en fin de compte la cause d'une ordonnance régulière de cette société. J'entends ici par antagonisme l'insociable sociabilité des hommes, c'est-à-dire leur inclination à entrer en société, inclination qui est cependant doublée par une répulsion générale à le faire, menaçant constamment de désagréger cette société. L'homme a un penchant à s'associer, car dans un tel état, il se sent plus qu'homme par le développement de ses dispositions naturelles. Mais il manifeste aussi une grande propension à se détacher, car il trouve en même temps en lui le caractère d'insociabilité qui le pousse à vouloir tout diriger dans son sens ; et, de ce fait, il s'attend à rencontrer des résistances de tous côtés, de même qu'il se sait par lui-même enclin à résister aux autres. C'est cette résistance qui éveille toutes les forces de l'homme, le porte à surmonter son inclination à la paresse, et, sous l'impulsion de l'ambition, de l'instinct de domination ou de cupidité, à se frayer une place parmi ses compagnons qu'il supporte de mauvais gré, mais dont il ne peut se passer . Sans ces qualités d'insociabilité, peu sympathiques certes par elles-mêmes, source de la résistance que chacun doit nécessairement rencontrer à ses prétentions égoïstes, tous les talents resteraient à jamais enfouis en germes, dans une concorde, une satisfaction et un amour mutuels parfaits .
L'homme veut la concorde, mais la nature sait mieux que lui ce qui est bon pour son espèce : elle veut la discorde. Il fut tiré de ces songes par une présence ; son attente était terminé . Serait-il déçu ?


Dernière édition par Yoko Nagao le Mer 29 Juin 2011 - 14:43, édité 1 fois
InvitéInvité
MessageSujet: Re: L'étrange association entre la technique et la force L'étrange association entre la technique et la force Icon_minitimeJeu 30 Juin 2011 - 10:09

Il y a certains jours où on a l’impression que quelqu’un vous a lancé un mauvais sort, on avait l’impression qu’un génie tout en haut là s’amusait à ralentir ou accélérer le temps selon ses envies, et cela juste pour nous nuire. Parfois la vie nous réserve bien des surprises, hier soir alors que je m’entraînais encore, l’un des juunins chargés de veiller à ce que l’on s’entraîne et que justement on ne fasse que cela était venu me voir. Surpris, je ne comprenais pas ce qu’il se passait, on allait m’affecter à une équipe ? La bonne blague ! Je pensais être trop désobéissant pour appartenir à un groupe de ninja… Et en plus je serais entraîné par l’homme qui était venu nous voir l’autre jour ? Surprenant ; le soir même j’appris que c’est homme n’était nul autre que le bras droit du Rokudaime ; l’un des hommes qui décidait de l’avenir du village.

Dans la plaine rase, sous le jour couvert de nuage, dans une sorte d’obscurité d’une épaisseur de verre, je suivais seul la grande route de Kumo à la vallée dix kilomètres de terre battue coupant tout droit, à travers les champs et les fermes. Devant lui, je ne voyais même pas le sol noir, et je n’avais la sensation de l’immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d’avoir balayé des lieues de marais et de terres nues. Aucune ombre d’arbre ne tachait le ciel, le pavé se déroulait avec la rectitude d’une jetée, au milieu de l’embrun aveuglant des ténèbres.

L’homme était parti de Kumo vers deux heures. Je marchaits d’un pas allongé, tremblant d’anxiété sous le trico et son pantalon rouge sang. J’avais pensé à nettoyer les protections au niveau de mes bras, ce qui donnait un éclat tout particulier. Un petit paquet, noué dans un mouchoir à carreaux, me gênait beaucoup ; et je le serrais contre ses flancs, tantôt d’un coude, tantôt de l’autre, pour glisser au fond de ses poches les deux mains à la fois, des mains gourdes que les lanières du vent d’est faisaient fermer. Une seule idée occupait sa tête vide de ninja pour l’instant sans travail et avec un maigre gîte, l’espoir que le froid serait moins vif après le lever du jour. Depuis une heure, j’avançais ainsi, lorsque sur la gauche, presque arrivé à ma destination, j’aperçus des feux rouges, trois brasiers brûlant au plein air, et comme suspendus. D’abord, j’hésitais, pris que crainte ; puis, je ne pus résister au besoin douloureux de se chauffer un instant les mains.

Un chemin creux s’enfonçait. Tout disparut. L’homme avait à droite une palissade, quelque mur de grosses planches fermant une voie ferrée ; tandis qu’un talus d’herbe s’élevait à gauche, surmonté de pignons confus, d’une vision de village aux toitures basses et uniformes. Je fis environ deux cents pas. Brusquement, à un coude du chemin, les feux reparurent près de moi, sans que je compris davantage comment ils brûlaient si haut dans le ciel mort, pareils à des lunes fumeuses. Mais, au ras du sol, un autre spectacle venait de l’arrêter. C’était une masse lourde, un tas écrasé de constructions, d’où se dressait la silhouette d’une ferme; de rares lueurs sortaient des fenêtres encrassées, cinq ou six lanternes tristes étaient pendues dehors, à des charpentes dont les bois noircis alignaient vaguement des profils de tréteaux gigantesques ; et, de cette apparition fantastique, noyée de nuit et de fumée, une seule voix montait, la respiration grosse et longue d’un échappement de vapeur, qu’on ne voyait point.

Alors, le jeune ninja que j’étais reconnus une fosse. Je fus repris de honte : à quoi bon ? Je n’y aurais rien, ces gens ne pouvaient même pas se débrouiller tout seul. Au lieu de se diriger vers les bâtiments, je me risquais enfin à gravir la légère colline qui le séparait de mon nouveau maître et dès lors, un autre feu s’allumait cette fois-ci, au fond de mon cœur pour éclairer et réchauffer mon pauvre corps. Le vent se mit à nouveau à souffler, et tandis que j’arrivais, je vis une cape sombre voler dans les airs, plus hauts les cheveux d’un homme plutôt grand, au bord d’un précipice le regard décidément tourné vers l’avenir.

– Bonjour, dit-je en m’approchant de lui.



Tournant le dos à l’autre homme, je vis un homme, un vieillard vêtu d’un tricot de laine violette, coiffé d’une casquette en poil de lapin ; pendant que son cheval, un gros cheval jaune, attendait, dans une immobilité de pierre, qu’on eût vidé les six berlines montées par lui. Le manœuvre employé au culbuteur, un gaillard roux et efflanqué, ne se pressait guère, pesait sur le levier d’une main endormie. Et, là-haut, le vent redoublait, une bise glaciale, dont les grandes haleines régulières passaient comme des coups de faux.

Ma gaieté redoubla. Le coeur de feu, maintenant, éclairait en plein ma grosse tête, aux cheveux noirs et mal coiffé. Et cette fois tout en m’approchant de lui je lançais :


-On aura droit aux capes, nous aussi ?

InvitéInvité
MessageSujet: Re: L'étrange association entre la technique et la force L'étrange association entre la technique et la force Icon_minitimeSam 2 Juil 2011 - 16:06

L’avenir nous réserve bien des surprises, même si inéluctablement au bout de chaque vie ; se trouve la mort, il serait sans doute extrêmement amusant de pouvoir observer son futur, ainsi on se rendrait bien compte du parcours, des changements qu’on aurait effectué, on serait très surpris de nous voir faire des choses qui nous répugne à l’instant présent. Certaines choses ne devraient pas exister, des choses qui semblent venir d’un autre temps, à savoir du passé ou du futur. Les choses avec lesquelles on vit dans le quotidien sont plus difficile à combattre, parce qu’il faut avoir le courage de les combattre sois même pour se permettre un meilleur avenir, un avenir où il n’y aurait plus de danger car il aura été déjà éliminé dans ce présent. Il existe certaines créatures qui semblent venir d’ailleurs, les bijuu ; et ensemble ils sont assez fort pour détruire l’espèce humaine, et pourtant, l’Homme représente lui-même la plus grande menace qui soit, les hommes se laissent corrompre par leur orgueil démesuré. Si les créatures contemporaine sont les plus difficile à combattre, ils ne le seront pas plus dans l’avenir : les démons de l’avenir ne peuvent être détruit qu’en éradiquant ceux du présent, ou du passé, tandis que les démons du passé eux, ne sont que cauchemars affaiblies par la rivière du temps, mais dont la puissance est encore suffisante pour arracher la vie du plus valeureux ninja. Cependant il y a des choses dans ce monde qui n’aurait du voir le jour, car étant trop dangereuse pour être utilisé à bonne Ossian par les hommes, ou à être utiliser correctement, et qui n’ont servir qu’assouvir une cupidité d’une remarquable bassesse, dénaturant ainsi ces objets. Il est tentant de croire que les humains ont aussi du bon en eux, que tous ne sont pas corrompu, qu’il en reste au moins une faction qui pourrait contribuer à créer un meilleur avenir, un avenir où la noblesse de l’âme ne serait pas une qualité ; mais simplement une habitude, un mode de vie, c’est l’objectif que je voulais atteindre.


Si au moins une personne dans l’avenir pouvait partager mon idéal, il resterait un espoir pour que le monde se rapproche de la perfection. Ainsi entraîner un homme, lui faire partager ces idéaux, n’était-ce pas l’un des meilleur moyens pour faire changer le monde ? Je me rendais finalement compte que je n’avais pas autant changé que ça, inconsciemment j’avais agis de la meilleure façon pour l’avenir. Mais pour être tout à fait honnête, c’était aussi et peut-être surtout pour échapper au tumulte pompeux de la cours ; en effets depuis que j’étais devenu bras droit du Rokudaime Raikage, il semblerait que mon entourage se soit séparé de leurs conceptions, de leur vision des choses, ils adhéraient tous à ma cause sans même la comprendre. On dit que les enfants ne savent pas ce qui est bon pour eux, et que c’est pour cela que les parents devaient exercés sur eux une autorité forte pour leurs propres biens. Les Hommes ne seraient-ils que des grands enfants ? Ainsi il faudrait un homme, qui agisse avec autorité sur cette terre ; mais cependant, ces hommes ne se laisseraient surement pas faire. Ainsi c’est pour cela qu’il faudrait sûrement se battre pour leurs propres biens. C’était aussi pour moi, le moyen de tester ma confiance en moi, en effets les élèves choisis avait déjà une forte personnalité, c’est d’ailleurs ce qui faisait tout leurs charmes à mes yeux ; je pourrais ainsi tester mes convictions, et voir si je souhaitais continuer dans la voie que j’avais entrepris depuis quelques années. Je comprenais maintenant bien mieux la phrase qui expliquait qu’il faudrait être prêt à la guerre pour amener à la paix. Ainsi, mon rôle ne serait pas uniquement de partager mes idéaux et à m’assurer qu’ils restent en dehors des plus grands défauts humain, mais aussi et peut-être surtout de les préparer pour les futures guerres. Les rendre quasiment invincible aux yeux du monde. C’était mon rôle, et si je n’étais pas encore prêt ; c’est que j’avais encore besoin de progresser, enfin… peu importe ; je réussirais à remplir ces objectifs.


Mes élèves avaient une prédisposition au combats, cependant ils avaient encore beaucoup de chose à apprendre, et c’est sans doute pour cela qu’ils avaient besoin de moi. L’apprentissage serait long, et dur, on dit que les voyages forgent le caractère, c’était le moyen le plus éducatif que j’avais trouvé. Je cessais mes rêveries, je n’aimais pas cela, quand je me laissais emporter par mes pensées et que je m’avançais bien trop loin dans l’avenir, je vivais dans le moment présent, et je devais agir en conséquence. Je n’étais pas aussi vieux que je voulais me laisser croire, je resterais encore dans ce monde encore pas mal de temps, oui il était finalement hors de question d’abandonner après être venu si loin. Le vent m’aida à stopper ces rêves, annonçant une nouvelle rafale pour balayer ces idées, je sentais ma cape flotter derrière moi telle un drapeau, j’étais prêt-à-porter l’étendard de mon idéal ! Et puis j’avais sentis sa présence s’annoncer, cette vie, cette homme peut-être serait-ce lui le sauveur du monde ? La première impression fut la bonne, il avait salué avec une simplicité malgré la différence entre lui et moi ; ce simple fait me confirmait que je m’étais pas trompé. Ou alors, je cherchais simplement à me rassurer ? Non ça ne me ressemblait pas, j’acquiesçais d’un signe de tête mais je ne tenais pas tant à voir sa première réaction, un vieux réflexe que j’avais du gardés. Je n’avais pas du tout l’habitude de préparer à l’avance, mes actions, c’est cette désinvolture tout en restant dans les limites de la bienséance que je demandais justement, ainsi toute chose ne serait pas qu’un enchaînement de chose inutile. Il ne faut pas se faire d’illusion, l’acquisition du pouvoir se faisait en souffrance, et par un entrainement dur ; il faudrait qu’il soit prêt à se relever de multiple blessure, et donc faire preuve d’une détermination sans défaut.


C’était donc sa première rencontre avec ce jeune homme, il agissait sans trop de pression, se mettant même à regarder le paysage environnant, il semblait tout de même heureux, qu’es-ce qu’li le conduisait ici ? Le désir de progrès surement, Quesqu’une rencontre après tout ? La confrontation entre deux vies, de points de vue différents, vue comme cela ne semblait-il pas évident que chaque vie ? Néanmoins, il est évident que je n’en allais pas rester là, le fait que la rencontre se passe quelques heures avant le coucher du soleil était justement pour me laisser le temps de tester rapidement ces capacités. De voir quelles sont ces spécialités, je ne m’attendais pas à un miracle, la différence entre nous deux, était beaucoup trop élevé, je voulais moi-même tester sa témérité qui m’avait tant plus il y a quelque jours. Son pouvoir à réaliser les choses, serait une arme décisive lors des futurs combats. Peut-être le pouvoir, quel qu'il soit, n'accomplit-il vraiment son essence que comme pouvoir sur soi-même, le pouvoir sur autre chose n'étant possible et légitime qu'à titre d'effet de celui-ci.


Peut-être, du coup, toute hiérarchie ou organisation de pouvoirs ne peut-elle être légitime qu'assise sur un pouvoir nécessairement reconnu ou déclaré absolu, une toute-puissance donc, dont disposerait un être à la volonté nécessairement droite. C'est Dieu qui, jadis, paraissait remplir cette double condition ; mais en est-ce une autre que l'on veut faire remplir aujourd'hui au peuple ? Je me surprenais encore à tomber dans mes rêveries, sa petite note d’humour me fit sourire, je lui offrais bien plus qu’une cape ; néanmoins j’appréciais cette petite note d’humour. Je sautais du rocher et tombais sur le sol dûr de la falaise, autour de moi il y avait nombreux rocher, et la zone de combat ne dépassait pas une dizaine de mètre, et derrière moi ; un profond gouffre, néanmoins cela n’était pas dangereux, à nos niveau respectifs, on est capable d’agripper la roche avec nos pieds tout en étant en chute libre ; je le fixais et remarquais finalement que ce jeune homme maîtrisait peut-être un peu plus l’art physique que moi. Je pris enfin la parole, c’était à mon tour d’affronter le tumulte du vent pour m’exprimer.



« La cape est bien plus qu’un artefact, la tradition veut que ce soit uniquement les personnes capable de protéger non seulement sa personne mais aussi ce qui lui est cher, pas seulement une personne, mais aussi ces idéaux. Il est de coutume que lorsqu’un maître et son élève se rencontre, il s’affronte mutuellement afin de bien se mettre à niveau. Prouve-moi que je me ne suis pas trompé. »


Je n’imaginais pas recevoir une seule, secousse, ma fierté reprenait finalement le dessus sur moi ; je me sentais redevenir à nouveau hautain, ainsi un sourire fier s’invita sur mon visage tandis que moi je fixais au loin l’horizon. On considère couramment que la fierté est par définition un sentiment noble, voire une vertu. Cette opinion s’appuie premièrement sur le fait que le sentiment contraire, la honte, est évidemment négatif, et deuxièmement sur la distinction de la fierté et de l’orgueil, le second étant, contrairement à la première, injustifié. La fierté apparaît alors comme un “juste milieu” entre la honte et l’orgueil. On peut être fier de ce qu’on est cette fierté-là est-elle une “bonne” fierté, c’est-à-dire une fierté justifiée ? Sans même entrer dans le débat concernant les mérites respectifs des uns et des autres, on peut observer qu’il n’y a nul mérite à être ce qu’on est, puisqu’on n’a rien fait pour l’être. Tout au plus peut-on aimer sa communauté ou sa famille, ou se trouver chanceux de lui appartenir, si l’on croit qu’elle vaut plus qu’une autre – à moins bien sûr que l’on ait personnellement contribué à cette supériorité, auquel cas on tombe précisément dans un autre type de fierté. Du moins, c’est ce que je pensais.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: L'étrange association entre la technique et la force L'étrange association entre la technique et la force Icon_minitimeDim 3 Juil 2011 - 14:02

J’observais ces moindres fait et gestes, ce moment était magique, on était que tout les deux. J’adorais ce genre d’atmosphère, il y avait beaucoup de vent et le soleil était caché par de nombreux nuages, en cela je préférais Kumo à mon ancien village. Je me sentais bien avec le vent qui se battait contre ma peau, ma joie redoubla encore plus lorsque je le vis sourire, après tout ce serait peut-être plus qu’un maître pour moi, je ne savais pas il y avait tout de même quelque chose d’étrange, quelque chose de compliqué je ne comprenais pas, ça me dépassait. L'homme à toujours était avide de pouvoir, je fais partit de ces personnes qui veulent toujours plus de puissance. D'où mon niveau actuel. Cette pensée, idée était pouvais peut être énervé certaine personne mais aucune importance. J'étais du genre[/b] à foncer tête baissé sans me poser de question. En tout cas c'est ce que je voulais faire croire, en réalité toute mes actions étaient pensés, j'étais un fin stratège. L'homme se trouvant en face de moi était plus soigné, dirais-t-on, son style avec sa cape volant dans le vent et même sa coiffure, je n’étais pas vraiment comme lui. Moi je suis toujours assez bien coiffé, même si il n'y avais aucune intention de ma part de l'être. Je suis né comme ça. Bref... J'avais entendus parler d'une organisation l'akatsuki, c'était plutôt intéressant. Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible. Peut être mon avenir me conduirait las-bas qui c'est. J'ai aussi entendus parler que deux membre de l'akatsuki avais suivis leur chef. C'était eux-même qui m'avaient séparé de mes meilleurs amis à Kiri dans mon enfance, Jabu. Depuis ma visite il y a quelque moi là-bas, j'avais entendus dire qu'il était décédé lors d'une mission. Cela m'avait complètement changé, moi qui regardais tellement mon passé, cela ma fais voir l'avenir. J'ai beaucoup muris grâce a lui.


Et cette personne en face de moi, Yoko, mon sensei, me faisais étrangement pensé à Jabu. Les cheveux bleutés, qui faisait extrêmement attention a son style mais il était très puissant. Un petit peu plus que moi dans le temps. Maintenant je pense arriver à son niveau grâce a lui. Je crois que je possédais un désir de puissance inné pour faire ce que je souhaitais, si j'aurais été la j'aurais peut être pus le sauvé. Mon interlocuteur venait finalement de réagir, visiblement malgrés tout ce qu’il pouvait dire je ne retenu qu’une chose : je n’aurais pas de cape de sitôt. C'est alors qu'il s'était empressé de me proposer un combat. Pour moi c'était encore mieux qu'un entrainement, cela me permettrai de voir, de me situer par rapport au niveau que je voudrais idéalement atteindre. D'après ce que j'avais compris, c'était un génie dans le village. Je me considérais comme puissant mais surement pas au point d’être appelé génie. Même si avec un peu d'entrainement, je pourrais bientôt l'être. Je fais partit des ninjas qui n'ont pas de capacité a la naissance, des travailleurs, de ce qui se batte pour réussir a dépasser les autres. Arriver a un rang de Chuunin serais pour moi une grande victoire, et un pas de fais pour entrer dans la légende. Je regardais mon maître dans les yeux ,bien qu’on mes souvent répétés de ne pas faire cela car c’était la porte ouverte vers toute panoplie de genjutsu, et m'empressais de rajouter avec mes yeux rouge flamboyant :
[b]
- J'accepte le combat, que je vais te montrer de quoi je suis capable !


Dès lors, je me mis en position de combat écartant légèrement les jambes et levant mes bras au niveau de la tête. Je fis alors un saut en avant pour me trouver le plus proche possible de lui, puis j’éssayais d’enchaîner mes mouvements avec la plus grande précision possible, je me rappellais mes longs entrainements, techniquement tous devait se passer à la perfection ; derrière lui il y avait un précipice, et à coté quelques rochés assez grands pour le gêner légèrement en cas de déplacement trop brusque. Mes poings se refermaient je m’appretais à lancer mon attaque la plus commune. Prépare toi Senpai, car ovoilà le :

Reiya Ryu Sei Ken

Une multitude de coup de poing se dirigèrent vers mon adversaire, j’aimerais bien voir sa réaction ; j’avais continué dans mon élan et me retrouvait donc derrière lui, je me retournais rapidement pour voir sa nouvelle position, réalisait rapidement un nouveau mudra, j’utilisais un jutsu qui amplifierait mes attaques.

Le poing de l’espoir


Et me lançais à nouveau dans la bataille ; tendant mon poing, aussi fort qu’il fut, je doutais réellement le voir en bon état après avoir subit cette dernière attaque.




PS : J’ai pas détaillé mes attaques c ar tu les connais déjà, ai pas envie de les montrer à tout le monde
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MessageSujet: Re: L'étrange association entre la technique et la force L'étrange association entre la technique et la force Icon_minitimeMar 5 Juil 2011 - 13:39

C’est en souffrant que l’on retient le mieux, il ne faut donc pas s’étonner si certaine famille utilise cette souffrance pour mieux inculquer les bases du savoir-vivre. C’est en quelque sorte ce que visait Yoko dans ces projets, non seulement à court thermes, ici son combat ; mais aussi à plus long thermes en élevant à une classe supérieur les hommes. La souffrance est notre plus fidèle amie : elle revient toujours. Parfois elle change de robe, et même de figure ; mais nous la reconnaissons aisément à son étreinte cordiale et intime. En souffrant on se révèle ou plutôt on se confie ; la torture est pratiqué depuis la nuit des temps, de nombreuse méthode ont été développé pour obtenir la vérité détenu par un individu ; ou au moins un reflet de cette vérité. La quête de la vérité n’est pas pour autant une cause à défendre, puisque les hommes arrivent à tout pervertir de leurs doigts ; ainsi lorsque leurs intérêts sont mis devant il ne cherche pas la vérité ; il cherche leur vérité. Autant parler tout de suite à nouveau de malsain ite cuisante qui semble revenir constamment sur cette accablante espèce. Vous n’aimez pas souffrir vous-même, comment pouvez-vous donc infliger des souffrances à autrui ? Contentez vous de chasser les moustiques puisque leurs piqûres vous font mal. Mais ces hommes se battaient, se tuaient, mais cela n’est pas le pire, ils se tuaient pour des causes malsaine pour s’engorger à nouveau dans leurs hypocrisie telle le porc dans la boue. Peut-on penser que les hommes soient faits pour combattre ? On peut en douter, à la base ils n’avaient pas d’arme, ils en créèrent pour se détruire. La vocation à l’anarchie n’est elle pas retrouvé dans nos jours dans les hautes autorités ? Les dirigeants des villages n’étaient pas les plus puissants ? Que ce soit économiquement, ou de puissance guerrière, ainsi des exemples on peut en trouver encore plusieurs ; cependant passons ; il est néanmoins évident qu’au contact de la souffrance on ne peut faire autrement que de rencontrer sa propre humanité.



Dire que l’homme est libre peut se prendre dans un sens très relatif. Libre, oui, mais par rapport à quoi? Par rapport à la société, par rapport à son passé, par rapport à son milieu, son corps? Par rapport à une contrainte. C'est une manière assez négative de penser la liberté. D'un point de vue plus positif, en quoi consiste la liberté? Est-ce que la conscience est en elle-même libre absolument? Si c’était le cas, il faudrait comprendre comment l'individualité trouve sa place dans un univers dont la science mécaniste nous montre qu’il est très largement déterminé. Les nuages ne se déplacent pas « librement » dans le ciel. Ils vont et viennent conformément à des courants. Les animaux ne se comportent pas « librement » dans la nature. Ils suivent les lois de la Nature que leur commande leurs instincts. Même si nous disposons d'une liberté, de toute manière, il faudrait encore savoir quel usage nous pouvons en faire. Agir selon sa conscience, cela veut dire conserver en permanence l'autoréférence. La Conscience est par nature auto-référent. Il faut peut-être un certain courage pour se décider enfin à vivre délibérément. Mais le courage est surtout nécessaire dans les obstacles, car pour être il n'est pas nécessaire de faire un effort. L'obstacle est une fine culture qui en effet provoque la lucidité à condition que l'expérience soit pleinement comprise. Sinon les obstacles vous casse et ne donnent aucune leçon. Autrui a une place particulière dans la transformation de la conscience. Parler de révélateur, est important. C'est ce que nous disions au sujets des angles morts de la personnalité. Parler de limite et de guide par contre ne va pas de soi. Au sens de la morale, autrui est représenté comme une personne et voir dans l'autre une personne, c'est reconnaître une limite à ne pas franchir, la limite du respect. Bon d'accord. Pour le terme de guide il y a vraiment ambiguïté. Si je laisse l'autre prendre la barre sur moi, si je suis soumis, si je ne fais que subir, sous prétexte que l'autre est mon "guide", alors nous sommes en pleine aliénation. Et une aliénation très ordinaire. Le terme guide appliqué à autrui a un sens plus précis : l'autre me renvoie en permanence à la Conscience intime, à la présence vraie, il me renvoie à moi-même en me donnant toutes les occasions possibles pour mettre en écho tout ce qui est en moi à titre de nœuds, de blessures intimes, de plis entretenu par l'ego, de complaisance, de fuite ou de compensation.


Sa détermination, n’avait en rien été stoppé par la différence de niveau entre nous deux, ni par mon charisme naturel, son allure et même sa façon de se déplacer annonçait que ces techniques de combats se basaient avant tout sur le physique ; j’anticipais donc en sachant que l’on avançait inexorablement vers un combat dans lequel je serais désavantagé. Bien évidemment j’avais plusieurs technique qui me permettrait de le tenir éloigné de moi mais ce qui était intéressant n’était-il pas de pouvoir justement l’observer ? De pouvoir comprendre comment il réagissait suite à ces échecs ; ce qu’il trouverait pour palier ces faiblesses, et améliorer de même ces points fort. Le combat est un art ! Un art que je tenterais de lui inculquer ! lors que les propriétés d’un objet en sont si constitutives qu’elles en sont inséparables, la dignité esthétique d’un objet n’est cependant qu’intermittente. Elle dépend donc bien plus de l’expérience du sujet que des caractères de l’objet. Souvent nous ne sentons plus l’art qu’on y admirait naguère, de même qu’il nous arrive d’y reconnaître un art que durant des siècles on n’y avait jamais perçu. Combien de tableaux naguère admirés et vendus à prix d’or n’encombrent désormais les caves des musées et ne nous paraissent plus qu’autant de témoignages historiques ! A l’inverse, la lumière frisante, les puissants contrastes, et les agrandissements de la photographie nous font désormais admirer comme des sculptures les motifs d’anciens lits clos Kirien, des masques de combat Anbu, ou les ailes immobiles d’anciennes charrues. Pour qu’un objet naguère usuel devînt objet d’art, il a donc d’abord fallu qu’il perdit l’usage qui l’apparentait au monde. Naguère on le percevait comme un des objets du monde ; désormais on imagine à partir de ce qu’on y perçoit un tout autre monde que celui où nous sommes accoutumés d’agir. Il ne suffit pas toutefois qu’un objet soit devenu inutile pour qu’il nous paraisse devenu esthétique. Encore faut-il qu’il nous émeuve, et cela ne se peut pas sans évoquer des situations, des tensions et des détentes, des rythmes et des sentiments que nous faisons nôtres en les imaginant. Quoiqu’il n’y ait pas de critères objectifs de l’art, on peut donc toutefois en caractériser des conditions subjectives. A quelque objet qu’on ait à faire, il suffit donc de se demander s’il remplit ces conditions pour savoir s’il peut s’agir d’œuvre d’art.


En le voyant s’approcher en sautant je me sentis menacé les roches dispersés telles pétales autour d’une fleur m’emprisonnait dans cette prison naturelle, néanmoins je n’avais pas dit mon dernier mot ; même si il est vrai que cette attaque ne me couterais pas beaucoup de souffrance ; un homme averti en vaux deux. En un nuage de fumée je me retrouvais plus loin laissant ces attaques détruire un rocher situer plus haut. J’apparaissais confiant, bien qu’il est pensé stratégie en s’approchant de moi, il avait dès lors annoncer son intention d’attaquer. Je me tenais haut un léger rictus à la lèvre quand soudain je le vis, reprendre son élan vers moi, surpris de le voir enchaîner aussi vite je tentais de m’esquiver sur le côté au plus vite, néanmoins je trébuchais, et il me toucha légèrement l’épaule gauche néanmoins le choc me fit serrer les dents ! C’était douloureux. Il continua dans son élan et s’encastra contre le mur de la falaise, le choc fut si grand qu’il n’y avait aucun doute qu’en cas de choc j’aurais sûrement sentit la chose passé. Je tentais de garder mon calme et de minimiser les faits, je tendis mon bras vers le jeune homme fougueux, et envoyais vers lui trois sphère de Chakra électrique, sautant ensuite pour prendre du recule, je demandais aux sphères de tournoyer autour de l’ennemi avant de l’attaquer.

L'étrange association entre la technique et la force ARIESStarlightExtinctionSingle

Voyons comment il réagira…




Fin archi baclé désolé.
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L'étrange association entre la technique et la force

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