« LE SAUVETAGE D'UN CAMARADE »

...

Je revenais juste d’une petite mission de rang D qui consistait à approvisionner en au potable un petit village reculé du pays de la brume. C’est ainsi que je venais de passer ma journée à faire des aller retour entre le village et une source d’eau naturelle. Ereinté je revenais au village ninja en espérant y trouver un peu de repos et alors que je passais près du bureau magistral de notre grande Mizukage je fus interpellé par une voix de femme. Je tournai mon regard en direction des douces paroles et je m’aperçu avec stupeur qu’il s’agissait d’Akari Hasegawa, ma Mizukage. Je me rapprochai alors pour entendre ce quel avait a dire et d’un ton très pressant elle me montra la missive qu’elle venait de recevoir. Il s’agissait d’un rapport d’un de nos éclaireur qui se sachant bléssé demandait de l’aide au village. Etant donné l’urgence de la situation je pris la mission qui fut alors classé rang C.

J’étais assez fatigué mais l’esprit de camaraderie que j’éprouvais était plus fort. Pourtant je ne connaissais pas ce ninja malgré que nous habitions proche l’un de l’autre je n’eu aucune occasion d’effectuer une mission en sa compagnie mais si une situation identique m’arrivai je serai bien aise de recevoir de l’aide, même du premier venu. Je m’empressai de réunir quelques bandage et autres matérielle de premier secours et parti donc en direction de l’endroit ou il nous avait envoyé la missive. Sur le chemin je croisai le hibou qui avait servi de messager se rendant à son maitre. L’occasion était trop belle, les oiseaux ayant un champ aérien étendu de la ou il se trouve et peuvent facilement retrouver un homme et qui plus est il s’agissait du ninja que je recherché. J’augmentai l’allure pour ne pas perdre la trace du volatile qui a grand battement d’ailes véloce creusait un écart significatif entre lui et moi. Je sortais du village au pas de course les yeux rivé sur le ciel. Les deux gardes de la porte sud me regardèrent d’un regard sérieux et intrigué mais ils ne lâchèrent pas un mot sur ma raison de fixé ainsi le ciel. Mon allure se stabilisa mais la course étant à un rythme très soutenue, je fus contraint de ralentir au bout d’un quart d’heure et finit par perdre la trace de l’animal disparaissant dans l’horizon baigné de lumière. J’avais une bien piètre endurance sportive néanmoins je possédais un sens de l’orientation à toute épreuve et d’après la trajectoire qui fut exécuté par l’animal depuis lors j’en déduisis la route à suivre. Les alentour du village caché de la brume étant composé d’eau, terre plaine et marécages peut de possibilité s’offrait à moi. De plus je savais que la missive avait été envoyée depuis un forêt non loin du village. La cible était proche mais encore fallait il le retrouvé, il était blessé mais à quel point, je priais pour qu’il ne se soit pas fais attrapés par un groupe de brigand ou mercenaire désireux de le dépouillé ou pire, le tué. D’après ce que je savais de mes faibles connaissances sur la géographie du pays de la brume, il existe bien une forêt s’étendant sur trois lieu jusqu’au frontière d’un pays un peu plus petit et un peu en aval de celle-ci se trouvé les marécages nauséabond qui bordait notre village. En voyant ce marécages s’étendre à mes pieds je me rappelai d’une vielle histoire que me racontait mon oncle dans ma jeunesse qui ne semble pas si loin aujourd’hui.

D’après lui, le village caché de kiri, connu de multiple périodes sombres depuis sa créations, et l’une d’elle fut particulièrement sanglante. A cette époque le village était crains des quatre autres grandes nations guerrières, il était alors baptisé le village de la brume sanglante. Beaucoup de ninjas sanguinaires sortirent alors des écoles monstrueuses du village. C’était l’époque de la première génération des sept épéistes de Kiri, une de celle qui fut les plus puissantes. Plusieurs nukennin légendaires sortirent de nos rang tel que Zabuza Momochi ou encore Kisame, le requin qui rejoignit l’akatsuki pour leur funeste projet qui menèrent notre monde à un tel destin aujourd’hui. Ce marécage était selon mon oncle toujours, que de petits ilots entremêlés, il s’agissait plus d’un endroit paisible que nauséabond. Quand le village caché de la brume sanglante devait trouver de nouveaux guerriers sanguinaires pour grossir ses rangs, il semble qu’il se transformait en une arène regroupant la totalité de ses genins qui avait reçu le minimum de formation à l’académie de l’époque. Chaque genin n’avait que pour ordre, survivre. Seuls quelques monstres sortirent vivant de cette boucherie ouverte et plus répugnant encore, le cadavre de chaque jeune concurrent fut rejeté comme de la viande impropre dans les eaux autour de ses petits ilots. Au fils du temps, les cadavres étant trop nombreux et l’odeur rebutante des cadavres trop forts, on ordonna d’ensevelir les corps de terre. Les corps pourrir, et la terre mélangé a l’eau se transforma en vase. Le reste des cadavres servirent de fondation au sol qui recouvra les eaux d’un monticule vaseux et de pourriture en tout genre. Le marécage était né. En repensant à cette histoire je ne saurais dire si se n’étais qu’une légende permettant d’inspiré la craintes au visiteur indésirables du village ou s’il s’agissait bien de faits historique, néanmoins je considérai qu’une parti de l’histoire n’était pas usurpé, l’odeur s’échappant des marais malsain semblait toxique mais n’étais en faite que quelque bulle de gaz s’échappant des remous vaseux des profondeurs marécageuse. Je savais qu’il me faudrait inévitablement traversé ce lieux dit si je voulais arrivé à temps pour soigner correctement mon camarade de Kiri. Je m’engageai d’un pas hésitant sur les terre plein de terre isolé. Sautant de motte de terre en terre plein, je réussissais temps bien que mal à gardé mes vêtement au sec de cette vilaine boue, mais malheureusement pour moi je ne fut pas au bout de mes surprises. En effet alors que je sautai sur ce que je pensais entre un petit bout de terre émergé, j’eu la surprise de me réceptionner avec mon pied droit sur une motte de vase recouverte de monticule poussiéreuse et rendant la motte similaire au terre plein précédent. Mon pied s’enfonça immédiatement puis a une vitesse surprenante ce fut le reste de ma jambe, j’en eu le souffle coupé. Surpris j’eu un élan de panique en voyant ma jambe s’embourbé et je sautai dans les eaux du marais pour me dégager. Alors que j’avais fournie tant d’effort pour rester sec je venais de me mouiller dans l’intégralité.

Trempé, je continuai ma course à la nage vers la berge de ma destination tout en prenant garde de ne pas me prendre dans un des sables mouvant qui me ferait perdre un temps précieux. Arrivé sur la berge, sain et sauf je scrutai l’horizon pour mieux discerné ma prochaine destination. La forêt était toute proche mais je n’eu même pas le plaisir de m’en approcher car Je vis au loin le ninja blessé sortant des bois et se dirigeant vers moi haletant t boitant .Je me précipita à son encontre pour lui administré les premiers soins a l’aide de bandage et garrot. Il transpirait a grosse goutte, sa jambe était salement amoché et la pression qu’il lui avait fais subir pour courir à travers les bois étais si importante que le sang ne s’arrêtait pas de couler. J4étais épuisé de ma course mais l’homme que j’avais en face de moi étais au bord de l’anémie et venait de surpasser ses limites physique. J’allais lui adressé la parole pour lui demandé si il tiendrait jusqu’au retour au village, mais je n’eu pas le temps d’ouvrir la bouche qu’il s’effondra. La perte de sang trop brutal lui avait fait perdre conscience, tous près de lui son hiboux grand duc me regardait avec de gros yeux globuleux dont s’est volatile sont munie. Je me dépêchai de préparé un garrot à la jambe ensanglanté, il s’agissait de sérer si fort les vaisseaux sanguin en aval de la blessure pour empêché une perte encore plus prononcé de son système sanguin. En une dizaine de minute l’éclaireur était enfin transportable. Je le dressai sur mon dos et commençai a le trainer lui et mon corps jusqu’au marais. L’oiseau messager étendit ses ailes pour suivre la carcasse abimé de son maitre quand sortit de la forêt, un carreau d’une trentaine de centimètre de long transperça le petit corps emplumé de l’oiseau. Celui-ci poussa un petit crissement qui me contraint à me retourné. L’oiseau était mort et face a moi se dressait un homme au regard assassin. Par reflexe je lâchai mon poid et dégaina mon sabre à une vitesse accrue. Je criai à l’agresseur :

-Qui êtes vous ?

Il ne tarda pas à me répondre, un sourire attacher au coin de ses lèvres gercer.

-Ca ne te regarde pas maintenant si tu ne veux pas nourrir les pâquerettes, tu va t’écarter bien sagement de l’homme que tu viens d’aider et repartir en douceur vers ta petite famille !

Il était clair que j’étais sous estimé mais peu importe, si cette homme au visage balafré en voulait à la vie de mon camarades de Kiri il était de mon devoir de le faire taire à jamais. J’analysai la situation paisiblement mais tout en restant à l’affut du moindre mouvement suspect de l’ennemi. Je devait en terminé rapidement, car si je ne me dépêchais pas de transporter le convalescent aux urgences, il y avait de forte chance qu’il meurent d’anémie. A cette pensé mon visage se crispa et je n’eu guère le choix que d’utilisé une technique ninja contre un homme qui ne savait même pas utilisé sont chakra mais armé jusqu’au bout des dents. Voyant que je n’avait pas du tout l’intention de coopéré le chasseur de prime passa à l’action. Il dégaina son arbalète automatique et décocha cinq carreaux bien effilés dans ma direction. Pour le perturber je soulevai une masse de poussière qui statuait à mes pieds proscrits. La fumée poussiéreuse s’éleva et embourba ma silhouette de telle façon que les trois carreaux traversèrent la fumée et se plantèrent dans le bois que j’utilisai dans la technique de substitution que je venais d’utilisé parallèle. Les bois s’écoulèrent ce qui je pense lui firent croire à ma mort. Il se rapprocha de ce qu’il pensait être mon cadavre et lorsque à sa grande stupeur je venais de me substitué, je lui tranchai la gorge net. Je m’étais faufilé habilement pour le prendre par surprise et cette ruse semblait avoir payé. N’ayant plus d’obstacle sur ma route je récupérai vivement le blessé qui grogna légèrement pendant la manipulation et m’élancai en direction du village de kiri par le même chemin que j’avais utilisé à l’allée. Nous arrivâmes sans dégats au village malgré le fait que je peinai à nagé avec le collègue sur le dos lors de la traversé des marécages. Lorsque nous traversâmes les portes sud les deux gardes me saluèrent alors qu’au début il me dénigrais quel bande d’hypocrite je pensai alors. Je ne m’attarda pas et atteignit l’hopital. Là, une vielle infirmière pas très gaté par la nature me convia à installé le bléssé sur le branct qu’elle venait d’avoir fait affrété pour moi. Sans posé de question, je me délesta avec plaisir de son lourd corps. J’étais trempé et épuisé. Chancelant je me dirigeai vers mon logement ou je pourrais y trouver l’objet de toute mes pensée, mon lit.