C’est dans l’adversité que l’on découvre vraiment quel genre d’homme nous sommes. Des guerriers intrépides et courageux, des hommes justes, des hommes trop fier et borner, ou des êtres viles et cupides. C’était quelque chose que tous les hommes devaient se demander. Mais qui suis-je réellement ? Je pensais avoir la réponse me concernant. J’ai souvent été mis au pied du mur par des évènements qui me dépassait au départ et j’avais toujours su mettre mon orgueil de cotés pour suivre les ordres en faisant tout pour ne jamais perdre espoir. Donc mon choix était déjà fait. J’étais selon moi un homme courageux et a l’écoute. C’était surement ce qui me convenait le mieux comme qualificatifs. Si bien que c’était exactement les mots qui étaient gravés sur la lame d’émeraude que mon cousin m’avait forger. A croire que tout ceci était vrai que je ne m’étais pas voilé la face pour me donner une image plus dorée qu’elle ne devait l’être.

Toutes ces belles pensées étaient bonnes mais il y avait un vrai problème que nous dévions régler. En effet nous étions dans une histoire des plus délicates car le plus grave des soucis que nous pouvions avoir….. ben il nous était tombé dessus. Une guerre était lancée contre Kiri. Kiri la terre de brume ou j’avais souvent été en mission. Une terre qui m’avait fait rencontrer mon rival actuel Gargonith Manjome et surtout une terre ou j’avais vu mourir l’un de mes héros en la personne de Teach l’ancien bras-droit qui m’avait « léguer » ce poste. Ce village caché connus pour son histoire sanglante abritait encore quelqu’un qui comptait pour moi. Akari Hasegawa la mizukage. Je ne l’avais appris que récemment et qu’elle nous ait déclaré cette foutu guerre m’avait consterné. J’avais grandis avec elle et en fait je la considérais comme étant l’une des meilleurs amis que j’avais jamais eu de ma vie. Mais cet événement allait surement tout changer entre nous.

C’était une sorte de mélange entre la déception, l’énervement et une sorte de regret qui remplissait mon cœur. Moi qui avais toujours été plein d’espoir je sentais que j’en manquais pour compenser celui de tous ceux qui avait perdu l’espoir de pouvoir arrêter cette mascarade. Mais cet espoir serait surement bientôt raviver car nous avions tous cette petite flamme que nous appelons la volonté du feu qui bien souvent nous a permis de gravir des montagnes. Même quand c’était perdu d’avance nous avions réussi a nous en sortir alors pourquoi pas cette fois. Je me devais de faire passer le bon exemple parmi les troupes et en gros je devais être fort mentalement pour ne pas montrer de signe de faiblesse. Car la moindre défaillance pourrait nous couter cher. Nous avions une pression énorme sur nos épaules maitre Fujita et moi. Une pression que bien du monde aurait souhaité ne pas avoir.

Enfin je devais vider ma tête car avoir autant de choses en tête dès le réveil n’était jamais quelque chose de bon et filait une migraine monstrueuse que j’avais vraiment frôlé. Je devais me lever car une tache de la plus haute importance m’attendait du moins c’était bien ce que je pensais. C’était surement le cas car Fujita ne m’aurais jamais convoqué aussi vite dans son bureau sinon. Je devais faire vite. Je ne savais pas trop si je devrais rester au village ou pas alors je pris l’un de mes t-shirt de maille car c’était tout ce qui me restait vu que je n’avais plus mis de t-shirt depuis un long moment. Tellement longtemps que j’avais littéralement oublié la durée exact. Mais ce n’était qu’un détail. Je mis ma veste par-dessus et mes quelques accessoires fétiches et partit aussi vite que je pouvais. J’avais un look encore plus rebelle avec le t-shirt qui laissait apparaitre ma musculature parfaite a travers. Je ne tardai pas a arriver a la tour du maitre.

Il n’y avait pas un chat dans les rues du village de Konoha Gakure no Sato. Il fallait dire qu’il était assez tôt et que les commercent n’ouvrait que dans une heure seulement. J’avais donc eu tout le loisir de voyager avec une route dégager et mes seul et uniques obstacles avaient été les tonneaux et les bâtiments qui était un peu partout en ville ce qui était tout a fait normal. Enfin bref je poussais la grande porte même si j’avais envie d’y aller en passant par le temps. Je perdais trop de temps et hésiter finalement je courus dans les escaliers pour pouvoir monter suffisamment vite. Je montais les marches quatre a quatre pour arriver un peu plus rapidement. Je n’avais jamais trouver l’ascension de ces marches aussi longues qu’aujourd’hui. Mais maintenant que j’avais passer le plus dur des obstacles qui était en fait ultra facile a surmonter je me trouvai face a la porte du bureau de Fujita. Je mis deux petit coup dessus et la voix du maitre Hokage me dit d’entrer.

J’ouvris la porte délicatement avant de m’engouffrer dans le bureau sans faire le moindre bruit. Mon interlocuteur avait le dos tourner a la porte ce qui faisait que je ne le voyais pas. Je n’en avais pas besoin car notre Fujita je le connaissais assez bien. Je me tenais droit comme un piquet en attendant les ordres. Il y eu un silence et la il me dit d’un ton grave de me rendre a Suna et prévenir nos alliés de toujours de la situation du village. De l’aide ?? En voila une idée intéressante car vu dans quelle mouise nous étions nous n’avions pas vraiment le choix. Il fallait croire que je n’étais pas le seul a savoir être raisonnable et mettre sa fierté de coté. Voila ce que j’avais toujours apprécié chez lui. Il sais qu’il peut toujours compter sur ses alliés. Moi j’étais l’un de ceux la mais pourquoi il n’envoyait pas une lettre tout simplement. J’avais deux hypothèses. Première il veut que se soit fait de vive voix et deux une lettre peut-être intercepter et ne jamais arriver.

C’était surement la seconde alors je me mis en route de suite en passant par la fenêtre car le temps d’arriver était de six longues heures. Je courrais comme un fou et une fois arrivé aux portes je dis au deux gardes que je partais en mission et que je serais bientôt de retour. Je repris alors la route sans jamais me retourner pour lancer un regard a konoha. Je savais que je le reverrais bien assez tôt alors a quoi bon avoir peur de le laisser si peu de temps. Surtout que vu le nombre de ninja qu’il y avait au village il serait assez bien défendu pour que j’ai le temps de revenir en cas d’attaque. Konoha avait été vide a mon départ et ceci m’arrangeais bien car généralement me voir partir aussi vite n’est jamais très bon signe. Je n’avais plus qu’a tracer la route tranquillement car Suna était encore assez loin même si j’étais partis depuis dix bonnes longues minutes.

Sur le chemin il n’y avait rien de remarquable. Tout les animaux terrestres qui avaient un terrier était resté dedans les oiseaux, chantait un peu et bien sur personne n’était en vue. Techniquement ce n’était pas si mal que cela car si je ne voyais personne arriver en sens inverse c’était que Kiri n’avait pas encore commencé a bouger. Du moins n’était pas encore arrivé jusqu’ici. J’accélérai le pas car plus vite se message était transmis plus vite les habitants seront rassurer. J’avais parcourus environ un quart du chemin qui me menait au village caché du Sable. Je me demandais si Ryo Mizake l’actuel Kazekage était la. Car nous avions vraiment besoin de lui sur ce coup là, de lui et de tous ceux qui voulaient bien nous mener vers une victoire en laquelle je croyais même si j’avais cette impression qu’un désastre allait se produire durant cette guerre entre les villages de Konoha et de Kiri.

Quatre bonnes heures se sont écouler et je cours toujours pour arriver a Suna. Courir aussi vite pendant quatre heures est plus que fatiguant surtout avec la chaleur qu’il y avait par ici. Mais au moins je touchais au but. Car je voyais Suna Gakure no Sato se dessiner au loin. J’avais les pieds dans le sable chaud de se désert. Je ne pouvais pas vraiment courir car a chaque pas mes pieds s’enfonçait un peu plus dans le sol. Alors je courrais un peu en slow motion forcer et ce n’était pas du tout …. confortable. C’était même le contraire. Donc je pris la force que j’avais pour le faire pendant aussi longtemps qu’il le fallait même si ce soleil de plombs asséchait quelque peu mon corps et m’assommait littéralement mais mes effort allaient de peu de temps être récompenser après cinq bonnes heures de course éffréner sur le chemin.

J’étais arrivé a destination c’était certes quelque peu laborieux avec tout les aléas que j’avais eu, le soleil, les racines , le sable et toutes ces petites chose qui mine de rien te faisait perdre un temps pas possible. J’avais un peu mal aux jambes après un tel effort. Maintenant je savais pourquoi les ninjas de Suna avait d’aussi bonne jambes, car s’ils devaient tous traverser ce truc en été a quatorze heures précise. Mais revenons a mon objectif rencontrer le Kazekage alors j’avançais et me mis juste devant les portes. Il y avait un garde qui s’empressa de me demande de décliner mon identité ce que je fis sans broncher. Au moment même ou j’avais fini ils ouvrirent des yeux ronds. Pourquoi ?? Je n’en avais pas la moindre idée. Il me dirent alors d’entrer dans le village et qu’il ne tarderait pas a arriver car ils transmettaient le message de ma présence.

Ils annonçaient ma présence. Ce n’était jamais arriver auparavant il fallait dire que la dernière fois que j’y étais aller j’étais encore un simple Chunin juste super fort par rapport a son rang. Mais maintenant j’étais le second du maitre Hokage et j’avais une certaines notoriété mais je n’en avais jamais profiter jusqu'à maintenant et je ne comptais justement pas le faire. Je reconnaissais certain endroit dans cee village ou j’étais souvent venus pour faire des missions d’entraide et des choses dans le genre. Je me pressais en regardant a droite et a gauche le moindre signes de Ryo mais hélas rien. Je vis alors un homme. On aurait dis le fameux second du Kazekage. Quitte a ne pas joindre le Kazekage autant joindre son bras-droit.J’avancais vers lui.

-Ryu Danteshi ??