«Le calme avant la Juka»

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Grande est la forêt qui entoure Konoha. Tout comme le sont les arbres qui la compose d’ailleurs. J’aime cet endroit. Il est calme, si silencieux, que prendre le temps de s’y promené est des plus reposant. En particulier après les nombreuses semaines que je viens de vivre. L’examen de sélection des chuunins, plus d’un mois pour les trois épreuves. Bien qu’en réalité, la première, celle écrite, n’aura pris que trois quart d’heure. La seconde par contre, cinq jours complet, dans une forêt plus dangereuse que celle où je me trouve actuellement. La dernière épreuve, la troisième, il ne faut pas ce fié au faite que, sa fin est venue environ un mois après, car ce n’est pas l’épreuve en elle-même qui dure si longtemps. Chaque participant a un mois complet pour s’entrainer, en vue du tournoi qu’est la dernière épreuve. Durant cette dernière, je me suis hissé jusqu’à la demi-finale, ce qui est déjà bien selon moi.

Comment expliquer ma présence ici ? C’est aussi simple qu’un kunai plus un sceau explosif fait boum. En début d’après-midi, nous autres, les genins ayant participé à l’ultime challenge de l’examen de sélection des chuunin, avons été rassemblés pour le discours de clôture. Surprise générale, puisque chacun des quinze shinobis est promu au rang supérieur, à savoir celui de chuunin, capitaine d’équipe. Le Hokage nous a fait droit d’un long dialogue pour féliciter chacun de nous. La cérémonie est maintenant terminée. Chacune des équipes s’en va, suivant leur sensei respectif. Nous suivons maitre Ookii, pendant une assez longue marche, quittant même le village de Konoha. La vallée de la fin, là où sont les statues géante des deux fondateurs du village caché de la feuille. Nous y sommes restés une petite heure. Fin de journée, nous rentrons vers Konoha. J’informe mon équipe, une fois près du village, que je compte profiter encore un peu, de notre passage dans le pays du feu, pour prendre une promenade dans les bois.

Voilà pourquoi, je me trouve seul, assis contre un arbre, l’air pensif. Je regarde doucement le soleil, fière dans son domaine, qui lentement, sans un bruit, laisse la lune prendre son tour de garde sur le monde. Le tout, avec son avant-garde d’étoiles qui brillent de toute lumière. J’aime particulièrement ce genre d’ambiance, être ainsi au calme, la solitude a parfois de bon cotés. Nous avons bien une grande forêt près de Kiri, mais ce n’est pas pareil. Celle qui borde le village de la brume, est comment dire ? Plus sombre que celle où je me trouve pour le moment. Enfin, on ne peut avoir le beurre et l’argent du beurre comme on dit. Kiri a autant davantage que n’a pas Konoha, le contraire s’appliquant aussi. Je laisse voguer mon esprit, totalement plongé dans mes pensées. Je suis si bien, que je ferme doucement les yeux, non pas pour dormir bien entendu, simplement profiter davantage.

Tout le stress que j’ai pu accumulé en quelques semaines n’est plus. Tel le vent qui souffle l’herbe des plaines, cette soirée à soufflée toute mauvaises chose en moi. Je ne pense plus à rien, je compte simplement rester ainsi assis. Après tout, je ne dérange personne et je ne suis dérangé par personne, alors à quoi bon faire autre chose ? Maintenant que je suis devenu chuunin, une fois de retour à mon village, les missions seront d’un autre niveau, je vais avoir de nouvelles responsabilités, tellement de choses à faire en tant que chef d’équipe. Je m’imagine déjà, à la tête d’un trio de genins, à peine sortie de l’académie ninja, tout excités par des missions de rang D. Un peu comme moi à l’époque en somme. Bah, après tout, chaque génération doit d’entrainer la prochaine, faut croire que mon tour est bientôt venu. Pourtant, un bruit me dire de mon songe éphémère, une sensation nouvelle se fait ressentir. Une personne s’approche, elle dégage quelque chose de particulier, mais quoi ? Une rapide analyse, elle porte le bandeau de Konoha, je n’ai sans doute rien à craindre, je reste sur mes gardes au cas où. La jeune femme approche, je la regarde en souriant, bien que près à agir.

« Premier Mots »

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Je soupire lentement, je sens mon cœur battre doucement. Le calme des lieux, le silence de l’instant présent, la douce brise en fin de journée, qui lentement s’essouffle. Nous somme deux en cet endroit, pourtant, au fond je me sens seul. Bien entendu c’est une solitude volontaire, sinon à l’heure actuelle, je dois être avec mon équipe, au chaud dans la chambre de notre auberge, au sein du village caché de la feuille. Tout à l’inverse, je suis dehors, avec pour seul compagnie une jeune kunoichi du dit village et on ne peut pas vraiment dire, que le temps soit chaud, sans pour autant être froid. Un léger vent tiède, le dit vent qui va parfaitement avec le calme parfait de l’instant présent. Comment peut-on, dans ce genre de situation, vouloir encore davantage ? Savoir profiter de ce que l’on a, est une chose que toute personne dois savoir-faire, y compris quand la chose en question est éphémère. Qu’importe la durée de ce genre de petit plaisir, tant que l’on sait prendre l’essentiel. Des souvenirs à foison, voilà ce que je vais ramener au village caché de la Brume.

Lentement je quitte le domaine des songes, mon regard sur la demoiselle face à moi, tout aussi assise contre un arbre, comme je le suis également. Je l’observe, comme à mon habitude, je cherche à en apprendre un peu sur elle, sans que le moindre mot ne soit prononcé. J’aime tenter de lire dans les gens que je rencontre, qui plus est, quand la tache semble plus difficile qu’en temps normal. En l’occurrence c’est le cas, cette femme, j’ai l’impression, non la sensation qu’elle cache quelque chose en elle. C’est bien une chose que je n’ai pas ressentis jusqu’à ce soir. Alors qui est donc cette personne ? Elle m’intrigue, je sais qu’elle est de Konoha, grâce à son bandeau, non pas sur le front, mais sur l’une de ses cuisses. Chacun est libre de le mettre ou il veut après tout, le mien est bien sur mon bras droit alors. Je la vois fumé, bon je sais une chose sur elle, du moins deux. Mais ce n’est pas suffisant. Comment ouvrir un dialogue ? J’hésite, ce n’est pas dans mes habitudes d’être grand bavard, alors avec une inconnue ?

C’est la jeune demoiselle qui ouvre le bal de la discussion. Je suis, en fait je crois, soulagé. Au moins en lui répondant, je sais que je ne vais pas la déranger. Pourquoi cette crainte ? Il y a des personnes qui n’aime pas qu’on leur parle, en particulier dans un endroit si calme que celui-là. Ce n’est donc pas le cas de celle qui est peu éloignée de moi. Douce voix, quoi que pas trop aigu comme pour d’autres filles. Enfin au moins, j’ai pas l’impression que ce soit une de ces folles, qui vous parle uniquement de leur derniers achats, ou bien encore de leur coupe de cheveux, autant dire le genre que je n’aime pas vraiment. Après je peux bien entendu faire erreur. Après, toute les filles ainsi ne sont pas toute aussi ennuyante, merci les exceptions pour confirmer la règle. Je vais bientôt en savoir un peu plus, du moins je le pense. Il faut que je lui réponde, que dire ? Oh pas que le choix est difficile, au contraire même. Je reste dans ma position actuelle, les yeux fermés quelques secondes, puis je lève de nouveau ma tête vers la jeune femme.

Effectivement, mon examen c’est assez bien finis pour moi. Me voilà tout jeune chuunin. Au revoir les missions simples, bonjour les plus compliquées. Je ne t’ai pas vu à l’examen. Soit tu es genin, soit tu es déjà chuunin… Voir plus haut gradé qui sait ? Des souvenirs ? Donc vous êtes déjà passé par la case exam chuunin alors mademoiselle. Ai-je l’autorisation de vous nommer senpai madame ?

Question qui peut paraitre idiote c’est vrai, mais je suis de ceux qui respecte au mot près certaines règles. Si c’est jeune femme est déjà chuunin, bien qu’ayant le même grade, elle est plus avancé que moi, donc ma senpai, même si nos villages ne sont pas les mêmes.

« My Dream »

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[i] Cette personne, je ne sais pas encore qui elle est, mais elle me fait penser à cette fille, que j’ai croisé l’autre jour, non pas à Konoha, mais bien au village caché de la Brume. Bon c’est vrai que ça remonte à deux bon mois quand j’y pense, mais il y a comme un air de ressemblance, infime certes, mais quand même présent. Enfin, je dois sans doute faire erreur. Sauf si celle qui ce tiens face à moi, est venu à Kiri, bien que je n’en ai pas l’impression, je ne sais pas. Remarque, il me suffit de lui demander et ainsi, ma question trouvera sa réponse. De nouveau, je pose mon regard sur elle, alors qu’elle tire une nouvelle bouffée de sa cigarette.

Je retourne quelques instants dans le monde des pensées. Mes yeux ne sont alors plus ouvert, pour admirer la charmante jeune demoiselle, mais bien mi-clos, lever vers le ciel étoilée du pays du feu. Quoi de mieux, que laisser le plaisant noir de la nuit, nous envelopper doucement, presque tendrement, alors que bien au-dessus de nous, brillent de mille feux des étoiles. Ah que ne donnerai-je, pour que chacune de mes soirées se déroule ainsi. Seul ou presque, en tout cas, la compagnie de la demoiselle, qui au passage, est peu bavarde, ce qui ne me déplait pas, n’est pas désagréable, bien au contraire. Avec une certaine lenteur, je quitte les cieux, mon visage descend une fois de plus, vers la jeune femme devant moi.

Dans ma tête, alors que je suis fixé vers la kunoichi du village de la feuille, résonne une douce mélodie, calme et apaisante. Du genre que j’aime à écouter plusieurs fois. De suite bien entendu. Il ne manque vraiment rien à cette soirée. J’affiche un large sourire amusé et content. J’écoute le silence des lieux, les quelques bruits qui nous entourent, mais qui n’ont absolument rien d’inquiétant. Par contre, la voix de la compagne du soir, viens briser le silence et pénètre dans mes oreilles. Je fais attention au choix de ses mots, pour pouvoir avec précision et tact lui répondre. Enfin, lorsqu’elle marque une pause, je vais pour lui répondre. Cependant, la voilà qui m’ajoute une question, certes simple, mais qui est bien intéressante. [ /i]

Je vous remercie pour vos félicitations senpai, c’est gentil à vous. Il y a déjà quatre ans senpai ? Pourtant vous devais avoir mon âge non ? Vous l’avez donc passé à treize ans ? Cela force mon respect madame. Il est évidement que vous pouvez le savoir. Je suis Kaiza Yashiro, chuunin du village caché de la Brume. Un but dans la vie ? A vrais dire, je n’aspire pas comme une majorité, à ce que tous les ninjas me reconnaisse et tremble, rien qu’avec mon nom. Bien entendu je souhaite devenir de plus en plus fort, c’est normal. Mais avant tout, je veux protéger les êtres qui sont chère à mon cœur. Pour ce faire, je compte devenir un ninja médecin, du même calibre que Tsunade-dono. Et vous senpai ? Quel est le vôtre ?

« Le fameux clan Kiyomizu»

Plus je laisse les pensées m’envahir, plus je me dit que je vais avoir du mal à rentrer à l’auberge ensuite. Bien entendu nous ne sommes pas encore là, pour l’instant, je profite de cette bonne nuit. Dans le ciel d’un noir ténébreux, l’astre lunaire que j’aime tant, brille de mille lumières des plus plaisantes et agréables. Que ce soit ici ou à Kiri, j’aime vraiment pouvoir me sentir aussi libre. Personne pour me dire ce que je dois faire, ou encore quoi dire et à qui. Oh bien entendu, en tant que ninja du village caché de la Brume, je sais ce que je dois faire, selon la tourne de la situation, mais je ne me fait pas de soucis. Après tout, ce n’est pas comme si je suis en plein milieu du désert entourant Suna, ou bien encore dans les grande montagnes de Kumo. Non, je ne suis nullement dans un lieu ou le danger domine. Oh bien entendu, la foret qui entour Konoha n’est pas le pays des bisounours, bien loin de là, mais ce soir c’est assez calme et vide de vie humaine. Du moins presque, car je ne suis pas seul et j’en suis bien content. De toute façon, même si les choses tournent mal, le village caché de la feuille n’est pas très loin. Donc la jeune femme et moi-même, pourrons toujours le rejoindre vite fait bien fait. Je soupire silencieusement.

Avec une certaine lenteur, je porte une fois de plus mon attention, sur celle qui me tiens compagnie face à moi. J’y pense, mais je me suis présenter à elle, chose normale en soi. Seulement, je n’ai même pas eu ne serai-ce, que l’idée de lui demandé son identité. Quel nom peut bien porté la jeune femme, dont le charme est assez troublant, je me dois de l’avouer. Intérieurement évidement, je ne vais pas lui dire cela, du moins, pas si je n’y suis pas obliger et comment, pourrait-elle deviner ce à quoi je pense là ? Elle finis par répondre à mes autres questionnement, je souris en l’écoutant avec beaucoup d’attention. Il est agréable d’avoir tel personne avec nous, lorsque la soirée est tout aussi sympathique. L’ennuie ne peut ainsi, rien me faire, ni m’atteindre. Je lui répond.


- Ma jeune sœur a onze ans. Qui sais, d’ici deux ans, elle sera peut etre aussi chuunin, au même age que vous senpai. Bon, je ne veut pas, sinon ça signifie qu’elle le sera devenue plus jeune que moi et si c’est le cas, j’imagine le pire niveau taquinerie. Je vous remercie pour vos encouragements qui me font plaisir à entendre. Ce n’est pas tout les jours chose facile, que d’apprendre l’art médical, mais je suis déterminé à réussir. Tu veut égaler ton père ? Voilà un but noble et qui mérite le respect. Mon père est aussi un très puissant ninja de la Brume, je ne sais pas si je vais pouvoir le dépasser un jour, seul l’avenir nous le dira. En tout cas, j'apprend beaucoup avec lui, quand nous partons en mission ensemble. A l’heure actuelle, mon niveau au combat n’est pas puissant, simplement moyen, dans la normal quoi, avec de l'expérience je compte bien devenir rapidement plus fort. Juka Kiyomizu hein. Le nom de ton clan me dit quelque chose, je crois avoir lu un peu dessus, sur un livre traitant des différents clans ninja de Konoha.

Sans vraiment avoir de bonnes ou mauvaises raison, je m’avance vers elle, pour pouvoir m’assoir à environ trois mètres d’elle. Ainsi je la voit bien mieux et peut la détailler plus aisément. Oh n’y voyez rien de vraiment lourd ou je ne sais quoi encore, mais simplement, en étant plus proche d’elle, notre conversation sera encore plus agréable et vivante. Après tout, quel intérêt de rester éloigner l’un de l’autre, ce n’est pas non plus, comme si elle va me sauter dessus et me tuer. Alors d’un geste simple, attendant sa réponse, je sors d’une de mes poche, deux barres de chocolat et lui en tend une en souriant amicalement.

« La force du clan Kiyomizu»

La rencontre de deux incconus peut changer leur vie du tout au tout. Prenons par exemple ma rencontre du soir avec cette jeune femme. Si, au lieu de venir ici, je serai à l’auberge, la dite rencontre avec Juka n’aurai pas existé, ou bien alors dans tes circoncenstes sans doute bien différente. Nous ne saurons jamais comment pourrai etre notre vie l’un sans l’autre. Nous ne savons pas non plus comment elle va etre, en connaissant l’autre c’est certain. Tout ce qui nous différencie, mais nous rapproche aussi, va évolué, connaitre des changements au fil du temps. Au fond, j’espere bien que notre relation évoluera au plan de l’amitié. A l’heure actuel, plusieurs choses nous sépare, malgré notre rapprochement géographique, qui n’en reste pas moin éphémére. Entre nous, il y a un grand écart de distance, Konoha n’est pas vraiment peu éloigné de Kiri, bien au contraire. Rien que le nombre de kilometre, entre la ville du pays du Feu et le port pour l’archipel est grande. Le trajet en bateau l’augmente encore. Ce qui fait que nous partons toujours plus tot, pour les rassemblement du continent.

Enfin, là n’est pas vraiment le théme de notre soirée à deux. J’écoute avec une attention particuliere ce qu’elle me dit. La façon qu’a ma nouvelle amie, de parlé de feu son pere, me fait un peu pensé à mon propre paternel. Ou du moin, pour le coté puissance au combat. Car tout comme celui de Juka, le chef du clan Yashiro est bien connu au village de la Brume, pour son style de combat et l’absence de pité, lorsqu’il affronte un ennemi. Oh tactique n’est sans doute pas la meme, car le clan Kyomizu posséde un kekkei genkai, contrairement aux Yashiro. Mon pere à comblé ce fait, en poussant sa maitrise du Katon et du Fuinjutsu à un grand niveau. Oh tiens, qu’aurai pu donné un affrontements entre les deux chef de clan ? On ne le saura jamais. C’est pourquoi, je porte maintenant toute mon attention sur ce que rajoute Juka. Comme moi, elle souhaite devenir toujours plus puissante, ce qui est une bonne chose, si on sais canalysé notre besoin de progression. Tant que ça reste dans un esprit et un but saint. C’est pourquoi, je souris là.

J’aime l’état d’esprit de la jeune femme, ou du moins, la façon dont je le perçois. Juka est bien de ses personnes que j’apprécie au premier contact, bien que je n’en sache encore pas trop à son sujet, je ne demande qu’a apprendre toujours plus. Je me demande. A l’heure actuel, Juka est sans l’ombre d’une hésitation, plus douée que je ne le suis. Cependant, dans par exemple deux ans, est-ce que la donne sera toujours identiques ou pas ? Vais-réussir en vingt-quatre mois, à atteindre, voir surpasser son niveau ? Je ne dois pas oublié qu’elle aussi aura alors progressée. Ce qui signifie que je vais devoir redoublé d’efforts pour devenir son égale. Ce qu’elle viens de me proposé va d’ailleurs dans ce sens, d’une certaine façon en tout cas. Un premier affrontement amical, ici-meme, nous permettra de jugé le niveau de l’autre, d’un poiint de vue directe et personel. Je quitte la position assise pour me lever, tout en la regardant, puis m’éloigne doucement, une vingtaine de metres nous sépare maintenant. Je prend une position de combat et répond.

- Pourquoi simplement te le dire ? Le combat te fera comprendre mon niveau Juka-senpai. Ceci est un honneur pour moi de parfaire mon experience en votre compagnie. Je promet de ne pas trop vous abimé.

« La force des mots»

Nouvelle rencontre, une nouvelle amitié voit le jour. Nouveau combat, c’est une experience inédite qui arrive. Car je n’ai jamais affronté de shinobis, ayant la possibilité de recourir à un kekkei genkei. Hors, je suppose, que du fait que le pere de Juka en avais un, il est possible qu’il lui a transmis par le sang. Ainsi, il s’agit d’un kekkei héréditaire, que seul les membres du clan Kyomizu savent utilisés. Mais à ce qu’on raconte, Juka en est la derniere représentante. Apres j’ai pu mal comprendre en effet. Cependant, ce n’est pas une question des plus faciles et je me dit, que je peut bien l’évité, ce n’est pas une réponse, quel qu’elle soit, qui va changé ma vie. Pour l’heure, je me dois de faire preuve de concentration, dans mon affrontement contre la jeune fille. Bien qu’à mes yeux, l’issue de ce duel sympathique et amical, ne fait pas l’ombre d’un doute. N’empéche, bien que je vais le savoir sous peu, je me demande encore quel est le genre de combat que prefere la kunoichi. Elle emble aimé prendre son temps.

Car une fois de plus et malgré ma position de combat, mais aussi ma petite taquinerie d’avant, elle reprend la parole pour une longue phrase. Je me surprend à me laissé envouter par le son de sa voix, lorsqu’elle utilise une métaphore, pour parler de combat. C’est une façon sympathique, belle et plaisante de faire apprendre. Ce n’est pas forcément aisé de compréhension, mais ça n’en reste pas moins appréciable. Au moins, elle ne semble pas me prendre à la légere, tout comme moi pour elle, car je suis bien conscient de notre rapport de force. C’est bien pour cela, que je ne suis-estime pas Juka. Enfin, je ne sous-estime jamais qui que ce soit, puisqu’avec le temps, à force de volonté,n’importe qui peut devenir puissant. Je me demande si c’est l’un des messages que veut transmettre ainsi Juka. Bien qu’en l’occurence, elle parle sans doute, du fait d’analysé son ennemi, pour pouvoir esquiver, puis contre-attaquer. Chose que tout bon ninja, dois etre capable de faire, en particulier nous autres les médecins. Et c’est à cet instant précis que commence le duel.

La vitesse dont fait peur la jeune konohajin est assez impressionante en soi. Je reste concentré suffisament, pour voir son coup venir et l’esquivé. Seulement, je ne comprend que trop tard la feinte. La douleur monte alors en un instant le long de mon bras et sur ma nuque, mais je retiens tout sons. S’en suit alors une série de divers taijutsu. Notre combat s’orriente donc uniquement dans la voie du corps à corps pour le moment. En tout cas, je parviens tant bien que mal, à esquiver ses différente attaques, tout comme elle le fait des miennes. Nouvelle erreur de ma part, quand je lui laisse, involontairement cela va de soi, une toute petite ouverture, dont elle profite pour me frappé au niveau de l’abdomen, ayant pour résultat de m’obligé à reculé. Heureusement qu’elle n’a pas de talon ! Elle recule aussi, bien que dans son cas, ce soit volontaire. La voilà sur un arbre, via le konobori. Je n’ai pas besoin d’avoir recour à mon irou pour le moment, les coups de Juka étant volontairement plus faible. Je lui adresse un nouveau sourire, écoutant avec attention, avant de lui répondre.

- Oui je l’ai bien compris senpai. Vous parliez, sauf erreur de ma part, d’analysé l’ennemi pour préparer une façon d’esquivé. On peut aussi faire le rapprochement, avec un champ de rose, qui bien que balayé par un puissant vent, restera toujours debout. La volonté du ninja dois être ainsi. Plié comme le roseau, mais jamais ne rompt. Je suis bien conscient de ce détail Juka, je suis un shinobi médecin après tout. Pour en revenir avec les roses senpai, ce sont de magnifique fleurs, qui nécessite du soin et un bon et beau lieu de plantation. Il faut savoir ou faire les trous, qui servirons de lieu de vie pour de si douce fleurs.

Joignant le geste à la parole, je concentre doucement mon chakra dans le poing gauche et frappe le sol, le voilà qui se brise entre Juka et moi-même, dans une demi-mesure, car mon coup n’est pas à pleine puissance, mais suffisamment pour qu’un humain tombe dans les divers trous. Puis j’ajoute...

Senpai, puis-je vous planté tel une sublime fleur, qui jamais ne fane ?