Les retrouvailles… Comment les expliquer ? L’on ne peut pas excepter dans ce cas la, j’avais donné rendez-vous à la Mizukage elle-même pour discuter de quelque chose de très important, j’avais prit connaissance de la situation du village caché de Kiri peut après mon arrivé dans celui-ci. Lors j’avais quitté le village je n’avais pas encore réussis mes objectif en rentrant dans ce village, cette fois ci personne ne pouvait les arrêter. J’allais réussir ce que je voulais ! Cependant je ne devais pas détourner les yeux du pourquoi j’étais ici. Il fallait que je voie avec le Mizukage la démarche que je devais perdre. Une grande guerre se préparait sur plusieurs fronts du monde shinobi. Le village de Kiri avait déclarée la guerre au village de Konoha suite à une action hostile du Hokage envers le village de Kiri tout entier. D’après ce que m’avais raconté quelqu’un du village de Kiri un conseil s’était réuni pour délibérer sur la suite des événements qui allait inclure le village de Kiri ainsi que le village de Konoha ainsi que son Hokage. Comment prendre partit dans cette guerre, après tous j’étais un Nukenin, je devais faire des choses mais il devait y avoir une contre partit pour mes services, de plus je devais réussir à contrôler la chose en moi ce qui n’était pas facile vu la puissance de celle-ci. Je devais faire vite.

J’avais prit connaissance d’une chose très intéressant qui allait se dérouler dans cette guerre, je devais donc faire assez vite, j’avais prit part dans cette chose intéressante mais j’avais une mission du chef. Je devais la réussir car la suite des événements allait changer si cela échouait. Je marchais donc dans le pays du brouillard vers l’endroit où j’avais donné rendez-vous à la Mizukage, j’avais un petit sourire aux lèvres, l’on ne pouvait voir que cela car j’avais sur ma tête une cape noire avec un capuchon cachant tous le haut de mon visage. Personne ne pouvait me reconnaitre je n’avais donc rien à craindre des ninjas qui passaient tranquillement juste à côté de moi. J’allais arriver dans quelques temps au point de rendez-vous, un vent un peu froid balayait l’horizon, je le sentais sur mes lèvres, sur mon visage malgré que celui-ci était couvert. La chaleur de mon corps descendait doucement à cause du froid de ca pays, décidemment Akari Hasegawa avait très bien fait de prendre le contrôle de la force militaire de ce village…

Le Hyoton lui était prédéfinie… La glace ou la polyvalence à l'état pur, elle permettait tout : protection, attaque à toute les portées, sans oublier l'effet pétrifiant de la glace : armures de glace, miroirs de glace, shurikens de glace, pilier gardien, création d'objets en tout genre... Ce n'est cependant pas l'affinité la plus puissante mais c'est sûrement une des plus complètes et avantageuses. C’est ce qui faisait la force de la Mizukage à son post, la maitrise de cette affinité lui avait permit d’être élue pour ce post. Cependant son manque d’expérience était désavantageux, les autres Kages eux avaient de nombreuses expériences de combat ou autres mais l’aide de ses amis lui avait permet de pallier à cette faiblesse. Elle était bien entourée à ce que j’avais entendu : un bras droit très intelligent et maitrisant l’art ninja exceptionnellement et un commençant des armées tout aussi surprenant car il avait la réputation d’être l’homme le plus rapide du monde lorsque le Yondaime Hokage avait été tué.

Lorsqu’enfin j’arrivé au point de rendez-vous, la Mizukage était déjà présente sur le lien, elle se trouvait devant une petite cabane et elle m’attendait, je ne me pressai pas, j’allais toujours au même rythme sachant que j’étais en retard. Je passais ensuite juste à coté d’elle et j’entrai dans la petite cabane ou était installaient plusieurs chose : une tables avec des chaises, une deux petit canapés avec entre les deux une petite table basse où était posait des petites coupelles avec trois bouteilles de saké au centre. Je continuais de sourire, cela faisait quand même quelques semaines que je n’avais plus vu ma cher amie Akari. Je retirai ensuite ma cape avant de la placer sur une des chaises, je plaçais aussi ma nouvelle arme que j’avais réussis à faire grâce à un forgeron, c’étaient deux dagues à tête dragon, elles ressemblaient à des demi-cercles métalliques reliées par un manche qui finissait des deux côtés par des têtes de dragons aux yeux rouge, leur yeux étaient des rubis scintillant.

J’en possédais deux mais la principales caractéristique était qu’elles étaient conductrice de mon chakra lumineux, elles n’explosaient par comme les autres lames voila pourquoi elles étaient très dangereuse. Ces lames coupaient tous sur leur passage, une simple épée ou une simple lame ne pouvait pas les stopper. Une fois pausée je m’installai sur le canapé avant de servir deux verres de saké en attendant mon amie Akari, je dis ensuite :

« Très, bien, tu dois te demander pourquoi je t’ai demandé ici ? Et bien je vais te l’expliquer… »

Je lui expliquai donc la chose pour laquelle je l’avais convié à venir ici même. J’attendais ensuite sa réponse avant de commencer à trinquer en nos retrouvailles qui seraient cette fois ininterrompues.

Alors nous voila enfin réunis, nos deux personnes étaient dans la même pièce sans pour autant se taper dessus, je sentais quelque chose en moi qui avait changé depuis que je l’avais revus il y a de cela quelques semaines. Une chose que je pouvais expliquer mais qui était réellement au fond de moi. Lorsque j’avais enfin quitté le village de Kiri lors de notre dernière rencontre je ne savais pas pourquoi mais même quand je m’occupais de la petite Namiko je pensais à ce visage de femme. J’imaginais toute sorte de chose mais pas la bonne, je refusais de voir ce sentiment comme la vérité, nous sommes comme chiens et chats, nous ne sommes pas fais pour être ensemble, nous sommes le yin et yang trop différent pour fusionner mais complémentaire… La voila la vérité, cela me sautait enfin aux yeux, c’était ce sentiment qui m’avait envahi la dernière fois au village de Kiri. A présent je me retrouvais encore une fois devant cette jeune femme aux traits affinés. Ces cheveux rouges furent illuminés lorsqu’elle passa enfin la porte juste après que je me sois installé sur le premier canapé, je la regardais de mes yeux verts, elle s’avança jusqu’à la table où j’avais déposé mes deux lames fétiches très utiles.

Elle les admira pendant quelques minutes avant de me faire un petit commentaire sur celles-ci. Mes lames étaient faites pour moi pas pour n’importe qui, elles étaient faites pour maintenir du chakra Hikariton en elles et non pas de simples lames qui permettent de faire circuler du chakra. Elle déposa ensuite mes deux lames sur la même table et vint ensuite me rejoindre en s’installant sur le deuxième canapé juste en face de moi. Je le regardais s’installer avec la même grâce que lorsqu'elle avait pris mes lames dans ces mains, décidemment, cette jeune femme était attentionnée. Elle était peut être la Mizukage mais ça en restait tout de même un être humain et la connaissant un minimum je ne pense pas qu’elle était une partisante de la règle pour les émotions des ninjas. Je le voyais sur son visage, elle ressentait des sentiments comme tout le monde. La différence entre les deux sortes de ninjas était que certain le faisaient ressortir et que d'autre les gardaient enfermés au fond de leur cœur. Enfin bref la Mizukage faisait partie de la première classe, l’ayant déjà vu pleurer à chaudes larmes. Je pouvais affirmer qu’elle n’était pas pour cette politique de ninja froid comme la glace.

Nous nous regardions dans les yeux lorsqu'enfin elle m'adressa la parole pour me demander avec un petit sourire narquois pourquoi je l'avais faite venir. Je lui offris, avant de commencer, un verre de saké qu'elle prit directement dans sa douce main. Je commençai alors ce que j'avais à dire, pendant une à deux heures nous étions restés là, calmes comme des maîtres de guerre qui établissaient une stratégie. Nous nous étions regarder dans le blanc des yeux pendant tout ce temps jusqu'à ce que j'arrive enfin à la conclusion de ce monologue que j'avais exposé à cette jeune et belle femme. Je la regardais de plus en plus en continuant mon discours. Elle avait un peu changé depuis la dernière fois, elle était plus jeune que moi mais elle possédait un charme fou. Je regardais ce visage à la fois guerrier mais tout aussi angélique que craquant, et dans ses yeux... c'était comme si j'arrivais à connaître ses pensées intérieurs, je savais qu'elle trouvait mon plan fort judicieux. C'est enfin, lorsque je finis, qu'elle me regarda avec son petit sourire. Elle était contente, cela se voyait, elle leva son verre de saké que je lui avais donné avant de commencer et, avec son sourire, elle me dit :

« - A notre collaboration... En espérant que celle-ci soit fructueuse et qu'elle ne finisse pas comme la dernière fois... »

J'affichais alors un petit sourire, cette jeune femme ne me laissait pas indifférent, je le savais à présent. Je la regardais de haut en bas avant de lever à mon tour mon verre. Les deux verres s'entrechoquèrent avant que je ne vide mon verre de saké d'un cul sec. Je le reposais tout de suite sur la table avant de me resservir. Je vis ensuite Akari boire le sien aussi d'une traite, je lui resservis encore un autre verre. Cet alcool avait pour effet de me rendre quelque peu joyeux mais je restais tout de même conscient de mes actes. La jeune femme en face de moi, par contre, perdait presque tous ces moyens lorsqu'elle abusait quelque peu de ce breuvage japonais. Je la fixai à nouveau d'un regard emprunt d'une profondeur peu commune, je ne pouvais m'empêcher de la dévisager de mes pupilles émeraudes.

Nous buvions depuis déjà un bon moment sans manger quelque chose ou encore boire un liquide sans alcool. L’effet de l’alcool présent dans le saké commençait à faire effet dans nos deux corps, sur moi-même cette chose me faisait avoir un sens du toucher beaucoup plus de développer, sur elle par contre ça avait un tout autre effet. Je voyais les joues de cette jeune femme devenir de plus en plus rosée jusqu’à ce que l’annonce du plan fût terminée. A ce moment la, Akari-san commençait à faire des choses vraiment bizarre. Elle me fixait tel une femme qui voulait un morceau de viande, cela me fit rire au début mais plus le temps passer et plus j’entrée dans son jeu. Elle se leva donc enfin de son siège avant de se remplir un autre verre de saké et de le boire d’une traite, elle s’avança alors jusqu’à se trouver juste derrière moi, je ne bronchai pas, je bus juste moi aussi mon verre d’une traite avant de la laisser s’amuser un peu. Elle place ça tête sur le côté avant de tourner son visage vers le mien, au même moment je sentais un objet avec cinq doigt se placer vers mes pectoraux pour ensuite descendre doucement très lentement. Mons regard s’était noyé dans les pupilles si pures de cette belle jeune femme très joueuse. Elle me dit alors avec ses joues toutes roses :

« - Quelque chose me dit que notre journée ne s'arrête pas là... »

A ce moment la je sourie en la regardant dans les yeux, décidemment elle était bien la femme que je désirais avoir, belle, intelligente, forte intérieurement comme extérieurement et surtout c’était un vrai bulldog quand elle voulait quelque chose. Cependant à ce moment la nous étions tous les deux un peu soul, je restais conscient mais elle apparemment avait décidée de se lâcher. Je sentais au fait d’elle une envie que je n’arrivais pas à déchiffré. Au moment que elle allait dépasser mon nombril elle remonta doucement sa main jusqu’à mes épaules. Je la regardai en souriant, c’était vraiment une jeune femme très joueuse, il fallait que je rentre dans son jeux, j’aimais cette femme au fond de moi et je savais qu’à un moment ou à un autre j’allais laisser partir mon corps entre les bras de cette jeune femme. Je sentais qu’elle scrutait la moindre réaction de ma par, cela m’amuser mais je sentais qu’au fond de cette femme résidait une âme de bébé qui voulait jouer à des jeux qui était normalement interdit. J’éclatais de rire intérieurement et sans m’en rendre conte je laissai échapper un son de rire dans l’air qui je le savais n’allais pas échapper à l’œil affuté et aux oreilles de cette magnifique femme. Je sentais sa chaleur s’échapper de son corps, l’alcool avait réchauffé son organisme et je sentais qu’elle voulait m’entrainer dans un jeu qui allait durer tous la nuit.

Sa main continuait de remonter vers la gorge, je sentis ensuite ses doigts se replier pour ne laisser ressortir qu’un seul doigt qui se posa sur mon front. Alors que je me demandais ce qu’elle faisait avec juste un seul doigt sur mon front je sentis ensuite une monté de frissons me parcourir de corps, c’est alors qu’elle recommença le processus en redescendit son doigt vers le bas ce qui accentua les frissons qui me traversaient le corps. Alors que le manège recommençait elle arrêta son doigt au niveau de mon cou et elle me leva la tête pour que regarde son beau visage d’ange aux joues roses. Je voyais sur son visage d’enfant un pêtit sourire coquain, c’est alors elle déposa ses l_èvres contres les miennes alors que son doigts changea d’itinéraire pour venir me faire des petites caresse sur le cou ce qui eut pour effet de me donner de plus amples frissons. A partir de maintenant nos deux corps avaient signé un contrat qui prendrait fin au matin. C’était à mon tour de lui faire plaisir de lui montrer que je pouvais aussi jouer sans pour autant qu’elle ne cède.

D’un seul alors que l’on continuait de s’embrasser je disparus dans une lumière verte intense avant de réapparaitre juste dans son dos. Je déposai mes mains sur ses hanches avant de les relever pour que le bous de mes doigts ne frôlent juste son buste pour remonter vers sa poitrine. Je lui déposai alors un baiser dans le coup qui avait pour effet d’accentuer ses frissons et de l’entrainer vers un tout autre jeu. Je continuais ce petit manège pendant quelques minutes quand je décollai une de mes mains pour placer deux doigts en bas de son dos pour remonter le long de sa colonne vertébrale lentement en la frôlant, je sentais son dos de courber, je souriais tous en continuant de déposer de nombreux baisers sur son petit cou. Je sentais que son corps frissonnais de plaisir, cependant je voulais conclure ce petit jeu, je continuais mes gestes et juste lorsque mes deux doigts allaient atteindre son bas du dos je lui dis un petit suçon juste sur la nuque. Allait-elle continuer ce jeu des frissons longtemps où allait-elle céder complètement pour que la nuit devienne une vrai savane ou des félins se réveillais petit à petit ? J’allais bientôt le savoir...

« Un jeu entraînant... »

...

Je l'avais cherché... Oui, je l'ai cherché... J'ai bu et comme à chaque fois, j'avais des envies qui étaient bien souvent enfouies. Je n'ai pas le droit de me taper mes hommes. C'est un parfait manque de respect pour eux. Mais lui... Lui ... Il n'appartient pas à mes hommes et la gourmande que je suis peut se permettre de l'occuper toute la nuit. Autant dire que cela promet et la nuit promet d'être courte... Mais tout aussi fatigante pour les deux félins présents. Connue pour être un vrai dragon insatisfait, je vais pouvoir l'essayer de manière commune mais ce n'est pas la première fois que je vais passer la nuit avec un homme qui n'a aucune attache avec moi. Bien que celui-là soit plus proche de mon ennemi qu'allié... Il faut le dire... Mon haleine empestait le saké qui est un signe de mon alcoolisme encore léger. Je peux en boire beaucoup plus. Mais je le suis suffisamment pour m'amuser avec lui de manière amplement convenable. Mais il m'en diras des nouvelles... Demain par exemple. Après tout, nous n'avions rien à craindre car nous n'étions que deux dans cette cabane... A nous la nuit et que la lune veille sur nous...

Je le vis sourire alors que je m'étais placée à côté de lui. Ou du moins, mon visage. Je regarde mes gestes et il semblait amusé. C'est un peu le but. Et oui, je suis encore jeune et je profite pleinement de la vie malgré mon statut élevé parmi la bourgeoisie de Kiri si on peut appeler ça comme ça. Je suis Mizukage et si quelqu'un était là, je l'entendrais dire que c'est indigne d'un Kage de se comporter ainsi. Au diable, l'avarice, je fais ce que je veux... Et oui, par moment, je peux être capricieuse. Très capricieuse mais personne ne le voit parce que je le dissimule dans des envies elles-mêmes dissimulées. Si je ne suis pas maître de moi-même, je ne sais pas ce que je suis. A un moment donné, il libère un petit rire et je montre un petit sourire. Au moins, il a une réaction plutôt positive et il ne semble pas me rejeter... Un point pour moi et cela semble très bien commencé. On verra où les astres sacrés vont nous mener. Puis le contrat fut signé entre deux êtres qui se haïssent mais qui vont passer la nuit ensemble. Cherchez l'erreur. Avec moi, il n'y a aucune erreur, je ne fais jamais rien comme tout le monde. C'est bien ça le problème pour les Sages membres du Conseil de mon village. Je suis si imprévisible que personne ne peut véritablement me contrôler... Pour leur plus grand regret... Mais je ne sus pas à Kiri alors mon statut peut aisément se mettre de côté... On s'amuse mieux comme ça...

Alors que nos lèvres s'accompagnaient mutuellement, je sens une drôle de chaleur et j'ouvre les yeux pour voir qu'il n'est plus là. Sentant une présence derrière moi, je ne bouge pas non plus. Puis je sens ses mains et je me redresse. Il est un peu plus grand que moi mais cela ne me dérange pas. En plus d'être plus grand, il est celui qui m'a ridiculisé pendant quelques temps qui m'a valu une remise à niveau sévère si je peux dire ça... Je n'ai jamais oublier mais je ne peux pas lui en vouloir. Il doit survivre alors qu'on le pourchasse... Lorsque ses doigts se trouvent sur mon buste, mon ventre se rétracte tout seul comme un réflexe habituel. C'est une zone assez sensible. Puis encore plus entreprenant, il dépose un premier baiser dans mon cou. Décalant ma tête vers l'autre côté, je ferme les yeux en me pinçant simplement les lèvres. Il semblerait que je sois tombé sur un connaisseur cette fois... Ce n'est pas plus mal, le jeu sera plus intéressant. Sentant quelques frissons me parcourir l'échine, je ne dis rien et je le laisse mener la cadence comme je l'ai fais précédemment avec lui. Chacun son tour. C'est un partage commun de geste et de tradition... Sans ça, pas d'amour véritable et encore moins d'enfant. Il arrivera un âge où j'aurais envie mais là, ce n'est pas une envie. Si je viens à en attendre un et bien je verrais sinon bah ce n'est pas plus mal. Plaçant ma tête sur son épaule inverse, je lève la main et je me mets à lui caresser la tête tandis qu'il ne cesse de déposer des baisers dans le cou.

Après quoi malgré ma position confortable, il y avait un espace entre nos deux corps qui lui permet de pouvoir balader ses doigts. Vous vous demandez où ? Bah sur mon dos pardi mais c'est quand même dommage que je porte encore mes vêtements même s'ils sont fins et léger. En sortie, je n'allais pas porter quelque chose de lourd alors que je pourrais avoir besoin de fuir pour X ou Y raisons. Il ne faut pas être complètement fou non plus. La balade des doigts sur mon dos eut pour effet de me le faire cabrer accompagné d'un léger son de gémissement. Tête toujours placée sur son épaule alors que mon regard était dirigé vers le mur en face de nous, je garde les yeux fermés alors que mon dos est toujours cabrée sous les frissons de mon partenaire de soirée. Puis il lui demande pour un suçon sur la nuque. Hochant la tête, elle se dit que sa chevelure va le cacher. Lui tendant le cou, je ferme les yeux et je continue à frisonner sous les caresses fortes agréables de mon allié du moment. Si j'avais été novice, il m'aurait déjà eu sans la moindre hésitation. Cependant, je suis une personne qui cherche à pousser mes partenaires à leur maximum. C'est un peu le but du jeu quelque part.

C'était à mon tour de réagir. Il est vrai que l'attente me donne de plus en plus l'envie de passer directement à l'action mais ce ne serait pas du jeu... Non, non, non, cela ne se passera pas comme ça. Je suis une dominante et non pas une dominée. Bien que les dominante dans la vie sont plutôt dominée dans un lit, elle tient tout de même à montrer des signes de résistance. Il en va de son honneur qu'il a déjà bafoué par le passé. Alors qu'il exécute son suçon, ma première main le caresse au niveau du cuir chevelu alors que la seconde main est assez longue pour atteindre une certaine partie. Déplaçant sa seconde main, elle se met à lui caresse avec douceur la jambe tout en jouant sur le frôlement. Après tout, c'est un jeu qui se joue à deux non ? Après quelques dizaines de seconde, je finis par rapprocher mes vilains doigt près de deux choses qui sont dissimulé dans un pantalon. Pas grave, je sais comment faire. Bien que moyennement accessible, je fais un signe du chiffre huit là où elles se cachent... Je me demande comment il va réagir cette fois... Les réactions montrent bien souvent la véritable identité des gens que l'on côtoie...