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Plagiat Yoko.Sujet: Plagiat Yoko. Dim 24 Juil 2011 - 14:49 | |
| Voici quelques mp x) : - Christa a écrit:
- Bonjour,
Je voulais savoir si par hasard tu n'étais pas un certain Yoko Nagao sur un forum de rp saint Seiya (of the Past). En effet, l'un ou l'autre des passages de son background pourraient éventuellement t'être familiers :
- Citation :
- Sous l’arc de lumière argenté que formait les milles facettes des pierres stellaires qui jonchaient la robe de velours d’un noir d’encre de cette créature fantasque qu’était la nuit, robe déchirée par la toge flamboyante du soleil qui commençait à dresser sa couronne de feu royal au delà des montagnes à l’horizon, teintant le noir sobre d’une délicate couleur pourpre, puis orangée, puis bleu clair, l’aube qui annonçait dans une vague de douce chaleur, telle un voile de pureté qui vient réveiller les meurtrissures de la nuit, le corps endormit et l’enlever à sa satiété de sommeil et de paix. C’était le moment où le coq glorieux dressait sa crête flamboyante au dessus de son crâne et poussait dans un hurlement tapageur son célèbre cri de guerre, annonçant le lever du jour et de la renaissance de l’esprit.
Notre staff est dans le doute, et ce serait sympathique de ta part de nous aider sur ce coup-là. ; - ]
Christa de SotP - Setsuri Hazu a écrit:
- Bonjour,
Alors pour répondre à cette question, je ne suis pas Yoko Nagao, et ne suis nullement inscris sur votre forum. J'essais de régler cela en ce moment avec le vrai Yoko qui est aussi sur ce forum avec le même pseudo, et il m'a confirmé sur Msn messenger qu'en effet, il avait bien prit des passages de mes rp ou background en essayant de les réadapter à sa sauce, pas assez réadapté du tout en l'occurence. Appréciant bien le bonhomme je ne demanderai aucune sanction sur ce forum ou le votre en tant que dédommagement, mais je vous laisse libre du choix de la sanction à appliquer si vous désirez en appliquer une.
Cordialement. - Christa a écrit:
Re ~
Bien, puisque je vois que l'on tient à ce membre sur ce forum, je ne vais pas faire de vagues. J'ai supprimé le message que j'avais envoyé à un administrateur pour vous laisser prendre votre décision en votre âme et conscience. ^^
Alors, si vous préfèrez rester dans la bienheureuse ignorance de son art de plagiaire, ne lisez pas ce paragraphe qui suit. Il y a un an, il faisait la même chose sur un forum (rpgss) pour obtenir un haut rang (gold saint du scorpion), pillant le bg d'un ancien membre, meublant ses rps d'extraits de livres ou de mémoires universitaires. Il fait pareil ici. Par exemple, regardez l'un de ses derniers rps : "Les inventions de leur cerveau ont fini par les subjuguer" dans son jeu ICI et recherchez l'expression exacte sur google. Vous en aurez une preuve concrète.
Libre à vous d'appliquer la politique que vous jugerez adéquate dans ce cas-là, la santé de votre forum est après tout de votre ressort. Mais pour notre part, nous ne pourrons pas fermer les yeux là-dessus, et nous avons l'intention de le bannir. Nous estimons qu'outre le manque de respect qu'il vous marque en vous pillant, il a manqué de respect aux modérateurs qu'il a dupés, et aux autres membres, auxquels il ressert du "réchauffé", qui dans le cadre du rp qui est une expression spontanée et circonstancée, a encore moins de valeur que le jeu d'un semi-illettré qui fait au moins l'effort de répondre à sa manière, avec son originalité. Maintenant, à vous de voir ... C'est une question de valeurs, au Moyen-Age les écrivains usaient de ce genre de pratiques courament. Si cela vous dérange pas ...
En tout cas, je vous remercie pour la preuve que vous m'avez fournie, elle nous épargne de douter bien faire en appliquant la sanction.
Cordialement,
Christa de SotP - Setsuri Hazu a écrit:
- Je sais pertinemment que la raison est de votre côté avec ce message, et même avant, mais je dois avouer que mis à part son plagiat qui me chagrine énormèment, j'admet aussi que de devoir sanctionner une personne que je considère comme étant un ami me chagrine tout autant...
Mais hélas vous avez bien raison, et il est du devoir d'une personne de staff de mettre ses pensées de côté pour rester impartial...
J'aimerai vous demander le lien du rp ou de la présentation qu'il a fait sur laquelle se trouve tout ces soucis afin que nous aussi dans la section staff de notre forum puissions en débattre et appliquer une sanction. - Christa a écrit:
- Bonjour,
Oui, je comprends bien la situation. Nous avons décidé pour notre part qu'il avait bien trop abusé de notre confiance, et nous l'avons banni du jeu. C'est peut-être de l'intolérance, mais voilà. Bon, voici un copier-coller de la présentation de Yoko Nagao sur notre forum :
- Spoiler:
- Citation :
Nom/Prénom :Yoko Nagao Solo, Hôte de Poseidon
Âge :23
Sexe : Masculin
Camp choisi :Celui des Marinas
Armure désirée :Général du Pacifique Nord détenteur de l'Ecaille de l'Hippocampe (en attendant d’essayer de passer Poseidon)
Description de votre personnage : L’apparence physique est depuis la nuit des temps au centre des préoccupations, prenons par exemple le corps qui est bien souvent détourner de sa première utilité à savoir la protection des organismes. Ainsi habituellement lorsque l’on valorise le corps d’un individu, on parlera de sa beauté, de sa texture, de sa capacité à revenir en place après qu’on l’est étiré. Ainsi on est passé du corps servant de protection au corps au corps servant d’outil de charme. Héritier d’une noble lignée d’une riche noblesse qui pensait qu’a « améliorer » physiquement la future génération, ainsi on pouvait soit se marier avec une femme beaucoup plus grande, et le siècle d’après chercher la femme la plus petite possible. Yoko avait hériter de ce sens du gout ; c’est pour cela que dès sa jeunesse il fut affublé du surnom grotesque de « Mr Tatillon ». Un surnom qui semble étrangement adéquat pour décrire ce singulier personnage !
Néanmoins, s’il passait des heures à se préparer, à réajuster sa coiffure, ce n’était pas pour l’image qu’il donnerait, il avait aussi hérité de ce narcissisme familial, c’était pour se plaire à lui-même et la femme sur qui tomberait son dévolu, devrait être aussi, sinon plus, soucieux d’affronter les ravages du temps. Même s’il se savait impuissant face à cet adversaire déloyal, à défaut de gagner cette guerre, il ne souhaitait la perdre. Celons lui le temps n’affectait l’aspect visuel qu’aux être qui se montrait, ainsi il s’était fait une spécialité dans le domaine de la discrétion, et rare sont ceux qui peuvent se vanter d’avoir vu ce visage proche de la perfection, héritier d’un peu moins de millénaire d’accommodement avec la nature.
Contrairement à ce que vous pourriez vous imaginez, son corps n’est pas sa principale priorité ; mais évidemment il ne refusera jamais un compliment bien placé sur son physique ; c’est d’ailleurs sur ce détail qu’il se base pour se comparer à tout les autres hommes. Héritier d’une stricte éducation, il s’affiche toujours en étant le plus droit possible, et lors d’un dialogue fixant toujours son interlocuteur dans les yeux, mais étonnement il avait un regard semblant vide mais brillant d’une couleur d’un bleu si pur, que votre reflet semble encore plus étincelant que vous. Du noir au centre vers le bleu à l’extérieur il se démarque une impression de changement, de contraste brutale et pourtant subtilement maîtrisé pour que cela soit d’une discrétion inutile. Ce qui donne une certaine impression de prestance royale, accentué aussi par sa façon de se déplacer, sa démarche annonçait clairement sa position : il se sentait au dessus des autres choses ; on pourrait même le trouver nonchalant, ou plutôt suffisant. Du haut de son mètre quatre-vingt tailles correctes pour un ninja, il parait cependant beaucoup plus imposant lorsque vous entretenez un dialogue simple avec lui. De par sa volonté donc de paraître de plus en plus discret, et de son attitude ce jeune aristocrate semble frêle, et affublé d’une délicatesse inutile. Et pourtant il en est tout autre, car en l’admirant de plus prêt on s’aperçoit qu’on a en fasse de nous un homme bien bâtit, peut-être trop musclé, mais ceci compensé par l’homogénéité de son corps. Il est donc plus que l’héritier de la fine fleur bourgeoise !
Cette harmonie est aussi présente au niveau de son visage, le visage d’un enfant ayant peut-être trop vite murit, mais ce lui d’un enfant. Son visage semble être la partie de son corps qui le représente le plus, car ces traits ne se déforment pour ainsi dire jamais, et ceci est dû au manque d’émotions que montre en général Yoko, preuve une nouvelle de son narcissisme et de son arrogance vis-à-vis des autres. Toutefois si visage semble froid et impénétrable, il est trahit par ces yeux bleutés, qui traduisent à chaque fois les émotions de Yoko, et mettant alors à jours sa véritable nature. Si malgré son apparance il repousse les gens de part sa psychologie, les yeux quand à eux attirent les foules, imposant un étrange calme à ceux qui les fixent. Malgré cela ces yeux restent souvent inexpressifs donc, mais lorsqu’ils animent traduisent tant de chos. Ce visage dont il est pourtant si fier est couronné par des cheveux d’un bleu à identique à l’extrémité de ces yeux, et lui tombant en cascade trop vite coupé dans leurs élans un peu en dessous du niveau de ces épaules. Au centre de visage se trouve un nez discrets, et qu’une de ces aventure trouvaient parfait. Néanmoins si il devait y avoir un défaut dans ce tableau, ce serait certainement la taille de ces oreilles qu’il trouve trop grande et qu’il cache donc tant bien que mal sous ces cheveux.
Etant parfois beaucoup trop narcissique, il sait aussi s’adapter à certains moments, et participer à des activités communes, et simplement distraire son entourage et paraître pour l’un des hommes les plus bon vivants de la ville. Il est évident que ce genre de situation est bien rare.
Question vêtement, il s’habille souvent de tenues aux couleurs « froide » qui semblent être les seuls couleurs capables de montrer la vraie nature dont il fait preuve et qui plus est se fondait parfaitement avec sa couleur de peau peut-être un peu trop clair par rapport aux habitants de Kumo. Ainsi bien qu’il est quelques tenues aux couleurs chauds, il ne porte que pour des grandes occasions, ou chose plus rare ; séduire. Généralement on ne voit de lui qu’une cape recouvrant l’intégralité de son corps, et ne laissant paraître que son plan droit, où l’on voit … du noir. En dessous de cette cape bien souvent il est tout vêtus de noir, et une ligne bleu traverse en Zigzag tout le flanc gauche de son corps !
Yoko est bien plus qu’un humain, à lui seul il porte l’héritage de toute une famille, et brillant de talent il brille encore plus de part son physique. Cependant croyez vous que sa physionomie annonce son âme ?
Il y a un temps où ce n'est plus le jour, et ce n'est pas encore la nuit. Ce n'est qu'à cette heure-là que l'on peut commencer à regarder les choses, ou sa vie: c'est qu'il nous faut un peu d'obscur pour bien voir, étant nous-mêmes composés de clair et d'ombre.
Qui pourrait se vanter de pouvoir comprendre l’Homme ? Ils sont non seulement tous différents, mais incapable de rester identique à eux même. Parfois joyeux, souvent éprouvant de la haine, ou même tantôt triste. Que veulent-ils donc ? Ils s’inventent même des phrases pour justifier leurs hypocrisie ; un exemple ? « Il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis ». Changer changer ; plutôt plier plier ; n’est-ce déjà trop que le pli de l’humaine nature ? Et pire, il semble que les Hommes s’accommodent très bien avec des maux tels que la folie ou le désespoir, des maux qui mènent les hommes qu’a leur propre destruction. Ils se réclament tous différent, cependant Yoko quand à lui ne voit qu’une vague de corps bougeant, changeant en fonction de leurs intérêts, les hommes capables de se forger une opinion et de ne pas changer d’avis pour améliorer leurs conditions, ou pour tout autre raison, sont les seuls hommes que Yoko considèrent comme différents ! Mais ce nombre de personne ne cesse de décroitre. De plus leurs manque d’ambition est grotesque, et lorsque on les voit en plus drapés dans leurs égoïsme, cela en devient hilarant. On ne les voit donc que sous forme de tache dans un monde rayonnant ; certains d’entre vise toutefois à se rapprocher de la vérité, de briller d’inscrire son nom dans l’éternité ! L’éternité, un mot qui semble brillé tel la flamme d’une ferveur incestueuse au cœur de tout être, un souhait, qu’ils cherchent à atteindre trop tard avec leurs mains remplis de pêchés . Et ceux là ; ne cherchent souvent que leurs propres réussite sacrifiant leurs prochain, les écrasants, et parfois même corrompant ceux qui leurs sont supérieur. C’est là qu’intervient Yoko ; le monde réel ? Il ne l’a jamais que par les yeux de ces parents, et quand il fut à même de côtoyer d’autre forme de vie « évolué », il avait déjà acquis la plupart des conceptions de ces parents. Et était assez drapés dans sa dignité pour se protégé de tout ces pêchés, ainsi si il y avait un homme, qui devrait le plus se rapprocher de la perfection, Yoko serait sans doute cet homme.
Malgré tout Yoko n’est à la base pas contre les hommes, ils se croient tout simplement meilleur, et du moment que lui peut progresser, il juge que tout homme peux tenter d’en faire autant. Bien évidemment en cas de conflit d’intérêt ne compter pas sur une quelconque générosité de sa part. Toutefois les hommes qui prétendait tout savoir et n’avoir plus rien à apprendre, où se montrant supérieur à lui, ceux là sont à ces yeux des « moins que riens » encore pire que tout les autres humains. Dominateur, avide, le jeune noble n’hésite pas user de sa force où de son charme pour augmenter son pouvoir, sa richesse. Actuellement ninja, il c’est fait un spécialiste des attaques par surprise et sournoise, il aime à se cacher pour observer, il aurait préférer pour cela donc une chevelure plus foncé, ainsi qu’une taille légèrement plus petite, pour pouvoir se fondre un peu plus discrètement dans la pénombre. C’était son divertissement favori, et chaque fois qu’il lui venait d’oublier qui il était ; ce qu’il voulait, il lui suffisait de regarder une journée le monde de Kumo entrain de s’agiter : Il voyait dès lors ce qu’il ne voulait pas être... Soyons claire, il ne méprise pas les hommes, mais l’idée d’avoir à souffrir pour gagner quelque chose, de tricher d’en arriver à extrémités, le répugnait, et bien souvent hélas on essai de mettre un fautif aux choses qui nous repousses. Néanmoins de par sa expérience personnelle, il sait ce qu’il faut parfois endurer dans la vie, ainsi il n’est pas impossible de gagner sa confiance ; pourvu que vous ayez une certaine droiture… Sa définition de l’Homme intéressant est simple : c’est l’être qui se donne forme et qui le sait ; qui sait qu’il n’est qu’en se donnant forme. Et parce qu’il a ce pouvoir, il n’en a jamais fini de l’exercer sur soi ni sur le monde qu’il intègre à lui.
L’une d’intégrer une personne à son idéal est l’amour. Yoko n’admet que deux sortes d’amour différents, l’amour passionnel et charnel, que l’on éprouve envers une personne du sexe opposé normalement. Et l’autre qui s’expliquera mieux avec un exemple, Yoko aime les enfants pour lui ce sont des miroirs de lui-même, chaque enfants a le potentiel pour devenir meilleur que lui-même ce qui pour lui est quelque chose d’extraordinaire. Et l’autre amour qu’il a éprouvé envers une femme qui est morte, étonnement la seule qualité intellectuelles qu’il demande à une femme est son ambition. Et de ne pas s’abaisser du moins devant lui à côtoyer des hommes peux fiables. Bien évidemment les critères de sélections de notre jeune noble sont bien plus nombreux, mais repose avant tout sur le physique, c’est pour cela qu’ici nous n’en parlerons pas. A part par amour donc, Yoko ne confiera sa confiance que très difficilement à une personne étrangère ; et pour cela il faut surtout lui tenir tête, un homme sans idéaux est pour lui aussi inutile et nuisible que de la poussière, ainsi si vous tentiez de vous approchez trop de lui par profit et qu’il n’a pas suffisamment confiance en vous, il n’hésitera pas à vous « nettoyer ». Cependant si jamais vous arrivez à vous prouver digne de lui, il saura vous révéler sa véritable identité, et être étonnement agréable, mais même moi je ne connais pas cette facette de sa personnalité, je ne peux donc m’attarder là-dessus.
Néanmoins, découvrir sa personnalité du jour est parfois tâche impossible tant son visage reste inerte, bien qu’héritier de l’arrogance de Zeus, en général il camoufle ces sentiments, et parfois n’affichant même plus sa suffisance en vers les autres. Oui ! Il lui arrive de se montrer agréable bon vivant, chaleureux, lorsqu’il le faut, mais n’abusez pas, et n’attendez pas des effusions de joie, où vous serez malheureusement surpris de sa réaction.
Généralement deux choses rompent la placidité de son visage, l’énervement et l’hypocrisie.
Edité le premier post; je vais tenter l'aventure avec le général de l’hippocampe.
Début, actuel, et fin… Tous sont des mots qui définissent le temps dans son édifice harmonieux à travers les cordes d’argents de la harpe de la vie. Début de tout, il définit l’éclosion d’une lueur faible et hurlante au cœur d’un linceul transparent d’innocence, bouclier pur et isolé face aux ténèbres abondantes de l’éternel. Actuel, démon sans cœur d’une vie qui s’écoule au fil de ses actions et de ses choix, et la fin de toute chose, la mort qui telle l’empreinte d’un fléau sème carnage et désespoir sur son passage, rompant avec allégresse les fils du destin. Bien que ces mots soient la définition même du cycle de la vie, l’éternité réunit les 3 en son sein pour former le cœur même de la reconnaissance infinie.
Mais éternel ou éphémère, aussi grand ou insignifiant soit la leur de vie qui pétrie de crainte naît en ce monde, tout commence par la naissance, tout, dieu ou mortel. Transcendant la chaire et l’esprit, c’est accompagné des hurlements de douleurs entrecoupés d’une joie singulière, que la vie éclot lors du rite de la naissance, parfaite symbiose de lumière et de ténèbres, dans la joie inébranlable de la vie donnée, et la souffrance mauvaise de cette action. C’est par une nuit sombre, au ciel recouvert d’un voile épais de ténèbres, où seule la lumière de la lune daignait bénir cet instinct particulier, que la naissance de Yoko eut lieu, dans un concert de hurlements douloureux… Après tant d’efforts et de souffrance, l’enfant était enfin née… et c’est ici que commençait déjà les infortunes de l’enfant nouveau née, semblant mort née, le corps d’une maigreur à en faire pâlir un mort… Qui pourrait penser qu’un enfant dont la naissance avait commencée par sa propre mort pourrait par la suite devenir un dieu humain ? Nul ne pourrait le deviner, mais les dieux qu’il allait défier dans le futur avait décidé de lui apporter leur clémence, car à peine une minute plus tard, après un fort massage, le bébé poussait son premier hurlement. Le pêcheur divin était né. Après l’avoir prit dans ses bras, la mère soulagée de cet heureux miracle pouvait enfin poser ses yeux sur son enfant… Des yeux pétris des larmes de la joie renouvelée au sein de la terrible douleur qu’elle avait éprouvée. Elle put alors constater avec une certaine surprise que les yeux de son enfant étaient d’un noir étrange, un noir aux reflets sanglants, d’un rouge aussi écarlate que le sang baigné dans les ténèbres salutaires de la mort à son apogée, perdue dans les champs de batailles de la haine et de la folie humaine.lle passa une main tremblante et délicate sur le crâne de son enfant qui n’était couvert que de quelques cheveux d’un brun sombre, mais dont certains reflets leurs donnaient l’impression d’être d’un bleue d’une clarté affolante.
Se baissant sur sa femme, l’homme la serra dans ses bras, contemplant avec joie son enfant… On aurait dit le tableau d’une famille parfaite, dans un monde parfait, mais la justice divine envers les mortels étaient tout autre, et les ténèbres de la vie reprendraient bientôt leur cours dans le concert alarmant des hurlements désincarnés des pêchés humains dans leurs plus terrible appareil. Après quelques minutes à se tenir immobile, la mère endormie avec son enfant posé contre son cœur, le mari se releva, prenant avec délicatesse l’enfant des bras de sa mère, pour l’emmener voir ce qui allait être son nouveau monde, celui de sa vie et de sa destinée.
Yoko, frère de Ciel et Hana, dont la dernière était née aveugle, venait de naître.
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Combien de temps avait passé depuis cette naissance ? Le temps, une chose bien étrange et merveilleuse, une ode chantée par la voix cristalline des anges d’outre tombe, clamant avec innocence, vertu et mauvaise foi la vérité absolue dans l’entrelacement des cœurs perdus. C’était comme une splendide rivière de diamants, une rivière sacré qui se perdait dans les confins de notre imagination, chantant les louanges de nos actes, de nos joies et de nos meurtrissures dans les confins de la création et de la fin destiné. C’est une rivière éclatante s’entrelaçant de façon à former le corps sublime de la déesse de l’éternité et de la création, se drapant d’un voile d’ébène couverts des paillettes de diamants, tels l’éclat céleste de la nuit terrifiante, brillant au firmament tels les lueurs subliminal des nombreuses vies qui brillent en elle. Une beauté inégalable qui semble se perdre dans une infinité de lumières tandis que l’éclat désinvolte d’un destin s’illumine ou s’éteint, comme les milles feux d’un rubis étoilé, symbole d’une vie naissante hurlant avec éclat son premier souffle de vie, ou d’une vie s’éteignant dans le remord ou le souffle apaisé d’une âme descendant rejoindre le flot des âmes dans les terres des sombres enfers. C’est le spectacle d’une existence sereine ou tourmentée qui se perd dans l’immensité du flot céleste, comme si il était perdu au plein milieu d’un désert dans lequel des milliers de flammes brûleraient à l’unisson, s’éteignant ou s’illuminant de plus belle au fils des âmes qui dansent autour de ce foyer de chaleur qu’est leur existence perdue ou vivante tels les paillons de nuit venant se brûler les ailes en cherchant la divine lueur de l’espoir enflammé.
Il est dit que peu importe la personne qui tend son cou vers la dive robe de satin dont se pare la reine Nyx dans son infini grandeur nocturne, il était impossible de ne point se sentir apaisé, comme si les maux de la vie semblaient s’envoler et se perdre ne serait-ce que momentanément dans le fleuve u temps, se noyant dans le firmament en attendant le moment de revenir avec force hanter le cœur illusoire de l’homme qui s’est jeté dans les bras vertueux de la contemplation. Il était nécessaire de penser à ce qui était plus grand que sois, en s’imaginant être bordé dans les vapeurs d’émeraude qu’émettait l’énergie infini des dieux, en espérant qu’ils daigneraient répondre à nos prières célestes, soulager les douleurs de nos cœurs et de nos corps, tandis que l’esprit vagué à la contemplation salutaire du ciel cristallin. Peu importe l’homme ? Oui, qu’il soit enfant, adulte ou vieillard, tout être qu’il soit, il peut s’apaiser de sa destiné en contemplant l'océan. C’était aussi le cas de Yoko. Enfant de constitution faible, il tentait toujours et en vain de braver ses démons, ses faiblesses afin de devenir celui qu’il rêvait d’être, l’homme qui protégerait sa mère, son père, et ses deux sœurs aînés des aléas du destin et des caprices de la vie. Transis de peur face à sa propre incapacité à grandir dans ce monde qu’il voulait fouler, il ne cessait de trembler et ruminer ses propres craintes, en proie à la sainte colère… Il avait beau n’avoir que 6 ans, il en était déjà d’une maturité incroyable, tel un adolescent d’une quinzaine d’année qui vivait seulement pour apprivoiser son envie de savoir, de connaissance et de philosophie, à tel point que l’on se demandait parfois qui était l’aîné dans cette famille. Tout jeune qu’il était, ses aspirations étaient bien étranges, il voulait tout savoir, tout connaître, et devenir le guide des agneaux perdus qui ne cessaient de se moquer de lui et de ses faiblesses incroyables, il voulait devenir le berger qui les guiderait sur la voie de la connaissance afin de ne point lui-même se perdre dans sa propre colère. Etait-ce seulement l’aveu de sa faiblesse mentale autant que physique, ou la force de caractère de celui voulant briser les chaînes du destin ? Il ne saurait y répondre, après tout, il n’était encore qu’un enfant.
Assis sur un banc, à l’extérieur de leur demeure, alors qu’il faisait nuit de puis peu,Yoko laissait ses yeux aller à la contemplation de l’univers et de la mer, se demandant quelle était sa place et sa destiné en ces terres alors que son manque de force semblait le destiner à une vie misérable au sein d’un peuple guerrier ? Mais plus que tout, il était toujours autant émerveillé par la grandeur de ce ciel qui semblait former un bouclier impénétrable autour d’eux, tel la main de dieu qui semblait vouloir protéger ses brebis à tout jamais des agressions de l’inconnu. Admirant encore et toujours ce ciel tel un enfant qui le voyait pour la première fois, il n’entendit point les petits bruits de pas qui venaient vers lui… Alors que ceux-ci se faisaient proche, il sursauta et tourna enfin la tête pour voir arriver devant lui une de ses sœurs aînées. Il s’agissait de Ciel, sa sœur adorée qu’il voulait protéger autant que l’autre, plus distante et froide toutefois. Sa sœur le regarda avec des yeux curieux et malicieux avant de lâcher d’une voix douce et moqueuse :
-Encore en train de regarder la mer ? Tu ne veux pas venir plutôt t’amuser un peu avec nous ?
Avec un sourire éclatant, l’enfant la regarda et lui dit :
-Qu’y-t-il de mal à regarder l'océan? Il est si beau ! J’ai l’impression de pouvoir m’y perdre dedans si jamais j’y sautais ! -T’es vraiment bizarre…. -Je me demande parfois à quoi je sers, je ne suis qu’un enfant inutile… Toi au moins ‘es forte ! J’ai envie de maudire ceux qui m’ont rendu si faible, ceux que certains appellent dieux ou je ne sais pas quoi.
S’asseyant à ses côtés, elle passa son bras autour de son cou avant de lui répondre moqueuse :
-Pourquoi tu penses à ca ? On dirait un vieux ! Regardes plutôt la mer et tais-toi alors !
Détournant ses yeux d’elle, il les reposa vers l’astre maritime et les milliers d’étoiles qui brillaient comme autant de vie perdus dans la rivière de la vie, laissant ses yeux d’enfants enfin divaguer à des occupations d’enfants. C’était encore l’innocence de l’enfance.
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Le temps continua ainsi à défiler, entre joies et souffrances, lumière et ténèbres, des notions bien étranges quand on en connait la réelle définition, synonyme de division au sein même des cœurs déchaînés de l’humanité…. Yoko avait à présent 11 ans, et était devenu un jeune apprenti dans son village qui fiait un culte envers Poseidon. Encore jeune il était, mais c’était ses exceptionnelles qualités mentales qui lui valurent d’accéder à ce titre, et ce malgré ses faiblesses physiques qui ne furent jamais réellement consolidés. Alors que ses camarades arrivaient déjà à réaliser des techniques de combat, des techniques élémentaires ou à se battre au corps à corps, lui était encore bien incapable de tenir correctement une arme, et encore moins capable de se battre avec un autre sans trébucher tout les 5 pas. Risée de ses camarades, il n’avait réussis toutefois à devenir un apprentit que d’extrême justesse… Mais ses professeurs eux restaient optimistes, même si il semblait faible et dénué de tous talents pour le combat, son incroyable intelligence elle semblait être parfaite pour en faire un tacticien hors pair tel qu’il devenait rare d’en trouver. Un jour comme les autres se dressait dans le voile cristallin de la toile d’argent de la tisserande du temps. Un soleil clément et timide ne daignait se montrer que très brièvement à travers l’épaisse couche de nuage grisonnant qui envahissait peu à peu le ciel en un linceul sinistre, comme si la voute céleste remplissait son âtre d’un velours léger avant de s’y reposer dans sa clarté céleste. Yoko venait de recevoir sa première mission en tant qu'apprentit, une mission plutôt tranquille à vrai dire, ce était évident, un novice n’étant guère habilité à vivre une folle aventure de part son manque d’expérience notoire. En effet, depuis certains temps de nombreux cadavres de créatures aquatiques, aussi bien de vulgaires poissons ou des êtres amphibies remontaient le courant de maigre ruisseau qui parcourait le village, et venait donc alimenter le puits du village. La rivière était donc infecté de cadavres de poissons, et il devait se rendre sur les lieux afin d’y prélever un échantillon d’eau, probablement pour analyse. Mais il devait d’abord aller à l’hôpital afin d’y quémander le flacon qui aller servir aux prélèvements.
YOko n’y était venu qu’une seule fois auparavant, afin de quémander des médicaments pour lui-même et sa sœur aînée, Hana. Tout deux étaient faibles et n’avaient régulièrement besoin de traitements afin de les tenir en état convenable, surtout lui qui pendant de longues années avait souffert d’un tel était de faiblesse qu’il du rester des mois couchés dans son lit sans pouvoir aller admirer de ses propres yeux la beauté du monde, un véritable cauchemar quand l’on était qu’un enfant innocent. C’est donc avec cet ordre de mission en main qu’il avançait le long des rues miteuse du quartier pauvre de Suna… En effet, ce n’était pas à l’hôpital principal qu’il se rendait, mais à celui le plus pauvre du village qui ne venait en aide qu’aux miséreux perdus dans ces bas quartiers. La plupart des bâtiments n’étaient que des ruines et ceux qui tenaient encore debout étaient guère moins pitoyables avec leurs murs lézardés de toutes parts. Après de longues minutes à se balader des les rues sinueuses avec les armadas de mendiants et de marchands puérils qui n’étaient qu’a deux cheveux de se livrer bataille au corps à corps, il pressa le pas afin d’arriver devant l’hôpital de fortune qui se devait d’analyser els eaux stagnantes. A peine fus-il entré qu’un médecin lui tombait dessus afin de lui tendre un flacon de verre brut… Le flacon pour prélever l’eau qu’il fallait aller chercher. Il fit alors demi-tour et pris la direction de la rivière. C’est alors que dans le ciel les nuages chassés par le soleil laissèrent le monde se faire baigner par l’éclatante chaleur des rayons du soleil. Ce magnifique éclat commençait à éclairer la clairière dans laquelle il se trouvait, à côté la petite rivière, un endroit incroyable dans ce pays, car il était le seul et unique lieu où ma végétation avait réussie à pousser dans ces conditions arides.… Sur les feuilles des végétaux, de lourdes gouttes d’eaux scintillaient de milles éclats, offrant à ses yeux un délice de beauté et de couleurs, certaines gouttes transcendant la lumière tel des prismes. Mais ce raffiné spectacle laissait alors place à un tout autre spectacle… Une œuvre mortuaire… Naturelle ou non ? Il n’en avait aucune idée, mais les cadavres de ces poissons flottant à la surface de l’eau gâchaient cette fresque naturelle éclatante si rare dans les environs du village qui n’offraient que des scènes désertes et mortes de vie. S’approchant de bord de l’eau, il déboucha le flacon et se pencha sur l’eau en essayant de regarder de plus près le corps d’un poisson mort sans pour autant y discerner quoique ce soit d’utile…. Puis, après avoir réalisé son précieux prélèvement, il retourna en ville pour y apporter la rançon de sa mission. Heureux comme pas deux, il était fier d’avoir enfin réussis quelque chose de convenable, même si ce genre de missions n’avait rien de bien glorieux. Epuisé de cette marche, il arriva enfin à l’hôpital pour y déposer le prélèvement, et repartir chez lui afin d’y quérir un repos bien mérité. Mais il ne se doutait guère de ce qui allait lui arriver le soir même. En effet, à peine fut-il rentré, déambulant dans les couloirs de sa demeure afin d’aller raconter à son père son exploit du jour, il entendit alors des murmures provenir du bureau de son géniteur. Se penchant devant la porte légèrement ouverte, il put entendre la voix d’un de ses instructeurs, parlant ouvertement avec son père de ce qui semblait être de lui….
-Ecoutez, nous ne pouvons garantir la survie de votre fils, la vie d’un guerrier de Poseidon est difficile, et savoir manier habilement son cerveau n’est pas la seule chose requise. Avouez le une bonne fois pour toute, il est un incapable fini, il n’a aucune aptitude et ne fera rien de bon à part creuser tout seul sa tombe si cela continu… Je vous conseil vivement de tout faire pour qu’il abandonne la voix du guerrier. -Mais… Pourtant il est apprenti non ? C’est qu’il a réussi. -Cessez de vous méprendre, un bon à rien pareil, ce n’était probablement que de la pitié qu’eurent les évaluateurs pour lui donner ce grade.
On dit que la peine d’un cœur est semblable au verre de cristal tombant du sommet d’une étagère pour se briser dans un éclat discordant sur le sol de pierre. C’était dans l’état dans lequel se trouvait le jeune Setsuri en ce moment même, son petit cœur d’enfant venant de se briser dans une esquisse grotesque de douleur et de refus de sois même. Oubliant comme par miracle sa fatigue, et courant à travers les couloirs, il ne pensait qu’à une chose, fuir loin de cet endroit pour trouver le lieu de son repos éternel. Devant lui apparut au détour d’un couloir sa sœur, Ciel…
-Salut ! Comment s’est….
Mais elle n’eut guère le temps de finir sa phrase, voyant alors son frère passer devant elle, des larmes s’écoulant dans son sillage comme des perles de cristal. Combien de temps passa ? Il l’ignorait, mais il avait réussis à se traîner jusque dans le désert, et y marchait péniblement depuis des heures, un sourire sombre et fou sur son visage. Que pouvait-il se passer dans sa petite tête d’enfant à ce moment là ? Il n’y avait que mépris et colère, paroles blasphématoires qui maudissaient les dieux de lui avoir accordé la vie et un destin aussi misérable. En ce moment, il ne désirait qu’une chose, être lui-même un être supérieur que plus jamais personne n’oserait regarder de haut… Un être dont la vie vaudrait la peine d’être vécue. Des heures dans un désert était une chose affreuse, surtout lorsque celui-ci devenait un endroit d’un froid phénoménale à la nuit tombé. Puis, il s’écroula, un sourire apaisé au visage, attendant avec impatience que les bras décharnés de la mort viennent enfin l’emporter dans un lieu où plus jamais il ne souffrira. Mais il n’avait alors point vue l’ombre qui s’approchait de lui, homme recouvert d’un épais manteau en lambeaux et d’une cagoule, le camouflant totalement… Homme qui le souleva dans ses bras, et prit le chemin du village le plus proche, Suna. Son destin n’était pas encore de mourir, ainsi en avaient décidés une nouvelle fois les dieux.
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Douleur, peine et désespoir. Le corps transi de terreur et de souffrance, bouillonnant dans sa propre peine, sa propre déchéance lorsque les lames du destin tragique viennent s’abattre sur lui comme une pluie de métal tranchant, comme si les flèches de milliers d’archers divins venaient d’être tirés du ciel même. C’est la douleur même du cœur qui résonne comme une complainte sinistre dans la peine infligée par des mots ou des actes aussi terribles que les blasphèmes que les hommes proféraient chaque jour qui passent envers les autres, envers la vie, le monde et toute chose juste pour satisfaire leurs égos sans borne. La peine du l’âme était la triste complainte de sa propre déchéance, le désespoir qu’elle ressentait face à sa propre tragédie, destin immuable qui semblait la condamner à se noyer dans les précipices sans fond de la culpabilité et de la solitude éternelle, comme si rien au monde, ou dans le cosmos tout entier ne pouvait s’accorder à elle de façon à rompre la discordance des notes tristes qu’elle produisait en faisant vibrer les cordes de son esprit. C’est comme si les larmes de cristal du chagrin le plus insondable qui soit se mettait à couler avec une telle abondance qu’il parviendrait à remplir en quelques heures seulement le désert de la déchéance, cuvette creuse emplie de sentiments bouillonnant et refermés sur eux même, comme si un puissant sceau les retenait prisonniers à jamais en ces lieux, mais que celui-ci volait en éclat devant la force des larmes de chagrin qui s’abattait sur lui.
Recourbé sur lui-même, nageant dans sa propre peine, pensant alors qu’il avait probablement trouvé la délivrance suprême, celle de pouvoir reposer à jamais aux côtés des dieux qui l’avaient condamnés à ce monde de souffrance, quelle fut sa triste surprise de se voir alors bordé de draps d’un blanc immaculé dans un des nombreux lits des nombreuses chambres que comportait l’hôpital principal du village. Ce n’est qu’à ce moment là qu’une véritable haine le submergea, pourquoi devait-il encore vivre si ce n’était que pour subir humiliation, opprobres et déshonneur ? Les dieux allaient-ils encore longtemps continuer à s ‘amuser de sa souffrance et de ses peines, quand allaient-ils en avoir assez de ce drame grotesque ?! Se redressant des plus péniblement sur son lit, le jeune Yoko repoussa les draps qui le couvrait afin d’essayer tant bien que mal de se lever, mais ses jambes tremblantes refusaient bien évidemment de le porter et il se retrouva face contre terre, maudissant encore une fois la vie qui lui avait été donné, celle d’un être faible et inutile à lui-même.
Se redressant en prenant appuis sur ses bras fragiles, il sentit alors une main le saisir par l’épaule et le redresser avant de le repousser sur son lit. Il vit alors avec surprise la présence d’un homme qui lui était inconnu, complètement encapuchonné caché dans l’ombre des rideaux autour de son lit… Yoko se demandait alors si c’était à cet homme qu’il devait sa survie et le fait que sa vie misérable allait encore continuer. Dune voix fébrile, il demanda alors :
-Qui êtes-vous ? -Je ne suis rien de plus qu'un marinas, on va dire en quête de providence.
Alors que Yoko s’apprêtait à poser de nouvelles questions, la porte de la chambre s’ouvrit, laissant apparaître sur l’encadrement un homme qui lui était cette fois très bien connu…. Il s’agissait de son père. Celui-ci s’approcha d’un pas déterminé vers le lit de son fils avant de, dans un geste brusque, lui infliger la plus terrible gifle de sa vie. Puis ce fut au tour de sa mère d’entrer, ne disant et faisant quant à elle rien.
-Sais tu ce que tu as fais pauvre imbécile ? -Mais père… j’en ai assez. Je suis faible, inutile, je ne veux plus d’une telle vie. -Et tu pensais sérieusement que c’était en te jetant dans les bras de la mort que tout cela allait s’arranger ? Que feras-tu une fois mort ? Rien ? alors qu’en vivant, tu peux toujours te battre et évoluer. -Mais c’est impossible pour moi… -Non cela ne l’est pas. Sais-tu combien de temps tu es resté inconscient ? -Non… -5 jours ! Et hier soir, ta sœur Hana a prouvé qu’il était possible de lutter contre son destin. Elle est capable figures toi de percer les voiles de l’avenir.Donc cesses de larmoyer mon fils, les cordes du destin peuvent aussi te sourire à toi.
Hana ? Sa sœur aînée qui était née aveugle, celle qui était condamnée à vivre dans l’ombre d’elle-même, recluse dans une bulle de protection éternelle qui la condamnait à terme à étouffer sous son propre poids avait finalement réussit à la percer d’elle-même pour ouvrir ses ailes au monde ? Bien qu’il était heureux pour elle, il ressentit alors une forte culpabilité envahir son esprit, et une détresse grandissante face à ses propres actions… Hana avait vaincu le destin que les dieux maudits lui avaient réservés, et lui la seule chose qu’il avait réussit à faire, c’était jouer leur jeu. Bien qu’il s’en voulait profondément, une haine et une colère aussi noire que les enfers germa en lui, ainsi qu’une envie de meurtre, tuer les dieux était la chose qui occupait alors son esprit, les tuer pour les punir de ces choses qu’ils osaient faire… Les punir du fait qu’ils jouaient avec eux comme avec des pantins de bois facilement remplaçable. Alors qu’il était plongé dans es esprits, Setsuri vit son sauveur sortir de l’ombre et partir vers la porte en lâchant :
-Bien, si tout va mieux, veuillez m’excuser mais je dois reprendre mo…..
Sans savoir pourquoi, Yoko s’écria alors :
-Attendez ! Emmenez-moi avec vous ! Vous êtes un marina qui plus est, vous devez être fort ! Je vous en supplie, prenez moi avec vous et apprenez moi à être fort ! -Es-tu sur de le vouloir ? Sachez que je ne suis pas exactement ce que tu penses être, mais si tu es prêt à plonger des les abysses de ma vie, j’accepte de te prendre pour élève.
Son destin était finalement tout tracé, et le lendemain, se préparant à partir avec le strict minimum d’affaire, il décida de rendre une dernière visite à sa sœur Hana avant d’entamer son long voyage iniatique. Celle-ci était comme à son habitude debout face à la fenêtre de sa chambre, semblant observer un monde qu’elle ne pouvait toutefois voir, brusquement, elle se retourna ayant sentie la présence de son frère. Un maigre sourire était sur ses lèvres.
-Ma sœur, je suis heureux d’apprendre ce qui t’es arrivé… Bien qu’un tel pouvoir me semble impossible, le simple fait que tu aies pu braver ta condition me remplis de joie… -Ce pouvoir n’est point celui que l’on pense être, mais oui, j’ai enfin réussir comme tu le dis à me sortir des griffes du destin. -Moi aussi ma sœur, je désire le vaincre. Je pars de cette maison et de ce village pour je ne sais combien de temps, et je jure qu’à mon retour, je serai devenu un homme capable de pourfendre la loi que les dieux nous ont imposés.
C’était sur ses paroles que frère et sœur se quittaient, sans savoir que c’était la dernière fois qu’ils se reverraient.
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Sous l’arc de lumière argenté que formait les milles facettes des pierres stellaires qui jonchaient la robe de velours d’un noir d’encre de cette créature fantasque qu’était la nuit, robe déchirée par la toge flamboyante du soleil qui commençait à dresser sa couronne de feu royal au delà des montagnes à l’horizon, teintant le noir sobre d’une délicate couleur pourpre, puis orangée, puis bleu clair, l’aube qui annonçait dans une vague de douce chaleur, telle un voile de pureté qui vient réveiller les meurtrissures de la nuit, le corps endormit et l’enlever à sa satiété de sommeil et de paix. C’était le moment où le coq glorieux dressait sa crête flamboyante au dessus de son crâne et poussait dans un hurlement tapageur son célèbre cri de guerre, annonçant le lever du jour et de la renaissance de l’esprit.
Mais pour certains, l’aube n’était pas le moment choisit pour les arracher aux doux bras de Morphée, qui dans une étreinte délicate, serrait contre sa poitrine les corps épuisés et meurtris des créatures qui tapissaient cette planète.
En effet, depuis quelques heures déjà, au cœur même d’une lande déserte se tenait un groupe de guerrier. La plupart d’entre eux, sous leurs casques de cheveux graisseux pour certains, ou remplis d’épis pour d’autres, restaient planté là comme des ahuris de première, les yeux vitreux et globuleux, regardant avec une attention déclinante l’un des leurs en plein exercice. En effet ils étaient tous agglutinés en cercle formant un espace définit dans lequel se livrait une joute de poings et de pieds dans un concert de mugissements. Yoko se trouvait parmi eux, au centre de ce cercle, calme, l’œil vif et l’oreille tendus pour guetter le moindre mouvement ou bruit suspect de la part de son adversaire qui n’était autre que son précepteur. L’homme qui se tenait en face de lui était vêtu de sa coutumière tunique qui fermait sa tête d’un capuchon le plongeant dans la pénombre, rendant difficile d’observer clairement son visage. Yoko respirait difficilement, comme si l’air lui même semblait le tenailler de l’intérieur. D’une main tremblante, il pressait son flanc droit qui avait subit une légère entaille, et de l’autre il tenait maladroitement un large couteau dentelé dont lame n’était souillée que par la poussière de sable d’un jaune acre qui recouvrait l’ère de combat.
Le marinas précepteur était quant à lui droit, tenant fermement dans sa main la protection de son armure duquel du sang gouttait en continu, comme si l’armure elle même pleurait le désarroi qu’elle semait, tâche sanglante et douloureuse pour laquelle sa seule existence se justifiait. Après quelques minutes passées à se fixer droit dans les yeux,Yoko se rua vers lui dans un mugissement criard, comme si il crachait toute sa rancœur et son ardente et brûlante envie de victoire. D’un mouvement rapide, le maître pivotait légèrement sur la gauche en reculant son pied d’un pas pour laisser la lame du coutelas mordre le vide lui-même. Mais, 2 années avaient déjà passés, et l’entraînement de cet homme semblait porter ses fruits car Yoko semblait enfin se battre tel un lion, comblant ses lacunes physiques… Se rétablissant rapidement, il se rua de nouveau sur son maître afin de le frapper sur le flanc, ce qui celui-ci avait deviné car il déviait d’un geste sec de son bras armé da,s me flanc son élève… Toutefois, 2 ans ce n’est pas rien, et enchainé par les nombreuses défaites de cet entraînement quotidien, Yoko avait apprit à ne point refouler ses erreurs et à frapper tel un serpent tentant de mordre le mollet clairvoyant d’un dieu. En effet, se servant de la force du coup de son maître, il parvint à dévier le poing et à pour la première depuis son départ, entailler la main de son maître qui laissa perler de nombreuses gouttes de sang… Sous la cuisante coupure, la plaie enfla, formant une auréole d’un rouge léger autour du trou béant duquel de minces filaments de chairs s’échappaient.
-Très bien, cela suffit pour aujourd’hui ! Bravo Yoko ! -Merci maître. -En 2 ans tu as évolué d’une façon telle que je ne l’imaginais guère possible… Tu es le digne guerrier que j’attendais de voir pousser en toi… Comme moi tu pourras probablement devenir un général qui déchirera le flanc des dieux en protégeant seigneur Poseidon -Oui maître. -Suis-moi, je vais te montrer quelque chose, ce qui fait ma fierté…
S’éloignant du groupe d’élèves que ce déserteur formait, tous des enfants destinés à devenir les instruments qui allaient punir les dieux de leur outrecuidance envers le genre humain, cet homme si mystérieux qui s’appelait Jinzo Akufu,Général du Pacifique Nord détenteur de l'Ecaille de l'Hippocampe , un homme talentueux et puissant, un monstre qui avait abattu à lui seul à l’aide sa armure une vingtaine de guerrier venant de la surface; venus à sa rencontre pour l’éliminer, c’était le genre d’homme qui semblaient tout puissant loin de toute chose, au sommet même de la gloire… mais hanté par des drames qu’il s’interdisait d’aborder, il était en quête de rédemption afin de punir les dieux d’avoir orchestré cette marche sanglante qui avait marqué à jamais son histoire. Toute ceux qui s’étaient mis sous son aile afin d’apprendre sa force étaient tous des êtres hait par les dieux et dont la vie n’était que le drame dont les dieux s’amusaient dans leur monde si supérieur soit-il… Mais ce qu’il ignorait c’est que parmi ses élèves se trouvait un jeune homme qui n’avait pas exactement les mêmes idées que lui… En effet, depuis que son talent s’était développé à ce point, Yoko ne visait plus la destruction des dieux seulement, mais voulait leur voler leur place afin d’écrire à tout jamais de sa propre main son destin, il voulait devenir de plus en plus puissant avant de ne plus jamais être considéré comme faible, il voulait devenir un dieu; il ne savait pas quelle destin les dieux lui réservaient.
Jinzo le conduisit dans un temple qui était leur demeure, temple sombre aux piliers lézardés et menaçant de s’écrouler sous le poids des âges perdus… Passant devant un mur couvert d’une mousse abondante, il tira un des blocs de pierre, révélant un passage secret après que le mur fût poussé par le précepteur… Au fond se dressait un autel avec une étrange caisse accroché au mur.
Vois mon trésor… C'est mon trésor ! celui destinés à nous permettre de trancher la loi divine qui est établie depuis trop longtemps. -Maître ? -Avec cette armure, il serait possible d’avoir un pouvoir assez grand j’en suis sur… Du moins il serait possible de ne serait-ce que faire trembler un tant sois peu les dieux. -Maître, c’est impossible, comment une simple armure pourrait … -Si j’en suis sur…. Je...je le sais….
Bien que Yoko se demandait comment une simple écaille aurait le pouvoir selon son maître de faire régner un semblant de terreur chez les dieux, il était toutefois intéressé par ce pouvoir, car tout ce lui permettrait alors non pas de les vaincre forcement, mais de s’hérisser au dessus d’eux, de conforter son sentiment de supériorité, était alors le bienvenue. ..............................................................
Les années, des mots qui définissaient l’inébranlable rivière du temps, permettant aux yeux des hommes et à leur esprit étriqué de pouvoir situer des choses qu’il ne pouvait imaginer, ou qu’il ne pouvait tout simplement pas jauger… C’était comme salir le nom d’une chose majestueuse en lui affichant un nom commun pour la rabaisser au même niveau que les vers qui hissaient leur tête dansante au dessus de l’amas de boue dans lequel ils vivaient afin d’espérer effleurer du bout de leur tête visqueuse les étoiles scintillantes, comme si le simple fin de quantifier l’absolu les rendaient moins insignifiants... Mais c’était un mal pour un bien, car même dans l’édifice divin suprême, les yeux des dieux ne pouvaient quantifier une chose qui leur était égale, c’est pourquoi les lois de l’univers avaient bel et bien besoins de repères… Un repère qui était le symbole d’or et de feu qui brillait en plein milieu d’un océan de néant, de ténèbres et de confusion afin d’éclairer l’ignorance et la terreur des mortels d’un halo d’espoir et de connaissance… Depuis toujours, chaque forme de vie à toujours voulu savoir les limites de toutes choses, car cela permettait à ces êtres de ne point se sentir biaisé dans cet univers qui ne possédait aucune limite
Une grande partie du texte est reprise d'un compte qui se trouve sur un autre forum encore, Vertue Cardinal Setsuri. Nous n'avons pas vérifié ce qu'il en était de ce côté-là. Votre témoignage et le pillage de livres ont été pour nous des preuves suffisantes. A vous de voir si vous lui donnez ou non le bénéfice du doute.
Un rp reprenant des passages de ce topic solo :
http://www.naruto-ninja-rpg.com/t7557-assurer-l-avenir-aneantir-le-passe-topic-solo
- Spoiler:
- Citation :
- Il y a des choses qui ne devraient jamais être, des choses qui appartiennent parfois au futur, au présent lui-même ou tout simplement au passé. Les choses du présent sont les plus difficiles à combattre car il faut alors se dresser contre elles et les affronter sois même afin de s’assurer un avenir dans lequel une créature chimérique plus redoutable que les ténèbres elles mêmes n’auraient ainsi plus aucune place. Il existe des créatures qui viennent d’époques différentes qui à elles seuls peuvent représenter des menaces parfois bien plus grande encore que l’espèce humaine, alors que pourtant elle représente elle-même la menace la plus pesante qui soit, les hommes se laissant corrompre par leurs pêchés et leur orgueil démesuré. Si les créatures du présent sont celles qui sont le plus difficiles à combattre, celles du passé et du futur ne sont pourtant pas aussi simple qu’on pourrait l’espérer, car les démons de l’avenir ne peuvent être combattus qu’en éradiquant les menaces du présent, ou du passé, tandis que les chimères du passé ne sont que des démons affaiblies par le temps mais dont les crocs restent encore assez aiguisés pour réussir à arracher le cœur du plus fort des guerriers. Il est des choses qui ont existés et qui pourtant jamais n’auraient du avoir leur place en ce bas monde, car étant d’une nature trop dangereuse pour se permettre d’avoir le droit d’être touchés par les mains odieuses de l’homme qui aurait tôt fait de s’en servir pour assouvir une cupidité sans nom qui lui est inhérente depuis sa création. Il existe en ce bas monde des légendes, des monstruosités, des créatures qui possèdent un tel potentiel destructeur qu’elles représentent par leur simple existence un risque tel qu’elles ne sont plus qu’une menace à éradiquer de toute urgence. Et de ces menaces, il y en avait une à éliminer d’urgence, la menace était si grande qu’un dieu avait envoyé quatre de ces plus grands guerriers pour résoudre le problème. Une chose est sûr, cette histoire ne se réglerait pas pacifiquement ; d’après les dires du général Kraken, cette créature avait quelque chose de terrifiant, qui dit terrifiant dit la plupart du temps puissant. Avez-vous déjà vu un être puissant renoncer à ne serait-ce qu’un droit ? Non c’est ridicule, il faudrait être prêt à croiser le fer ; ou l’or plutôt dans ce cas.
Ces créatures à elles seules représentaient une menace telle qu’il était intolérable à mes yeux de les laisser en circulation, elles étaient une menace trop évidente si jamais elles décidaient d’attaquer ouvertement, ou chose plus rare mais possible, si jamais elle se faisait contrôler ; mais cette dernière solution n’a que très peu de probabilité d’être réalisé. Aussi lorsque je repris la route avec mes semblables je me positionnais volontairement à droite, légèrement en retrait, pour moi c’est la meilleure position pour avoir du recul, on pouvait absolument tout observer et de plus en cas d’attaque on disposait d’un peu plus de temps pour réagir ; un dixième de seconde pourrait être fatale à ce niveau. Le rythme de marche était assez élevé et en quelque sorte ça me rassurait, à mon idée c’est l’absence de mouvement qui traduit la faiblesse, car c’est la paresse qui attire les vices, rester constamment en mouvement permet donc en quelques sorte de rester pur, et de ne pas laisser place au doute. En effet il faudrait agir sans avoir le moindre doute pour remporter la prochaine bataille. Je fis donc en sorte que Grâce aux précieux renseignements du survivant, corrompus par la peur comme un non corrompus, j’avais pu apprendre qu’on se dirigerait dans les fonds marins ; tant mieux retrouver mon élément me permettrait au moins d’être plus détendu mentalement.
On échangeait donc le souffle du vent pour la tranquillité de l’océan, les chemins bordés de coraux étaient à identique à eux même et rien ne laissait se douter du drame qu’il c’était passé dans le village où nous nous rendions. De part la cadence de déplacement, nous arrivâmes aux portes du village plus vite que je ne l’avais initialement prévu, et ce fut avec une légère surprise que je vis derrières les épais rideaux d’algues cadavres s’affairer bruyamment et avec précipitation à se diriger vers le royaume d’Hadès… La curiosité de savoir le pourquoi du comment d’un tel cataclysme m’intéressai au plus haut point ;, mais je préférais attendre la venue des compagnons avant de m’y intéresser. Ainsi je fus le dernier à entrer dans le village, je me retournais m’assurant qu’il n’y avait personne derrière nous puis m’avançait à mon tour. A peine épuisée d’une telle course, je m’asseyais sur l’un des toits restant intact, observant attentivement les alentours en attendant le moment de la rencontre, passant une main sur ma tête pour remettre en place le casque qui était le symbole de mon rang, celui du Général de l’hippocampe. Mon visage ce crispa, je me relevais et descendit d’un simple saut, cette odeur… c’était infecte tout bonnement insupportable si on devait rester là, il faudrait au moins penser à nettoyer les corps… Mais, il y avait autre chose, sur les murs une substance étrange malodorante, je m’en éloignais donc et m’approchait d’un pas nonchalant vers le sillon au centre du village. Dans tout ce massacre je trouvais le corps d’un jeune homme, plaqué violemment contre le mur, il avait les dents et les poings serré, il était peut-être l’un des seuls à être morts en essayant de combattre. Je retirais ma cape pour le couvrir, en réalité plus qu’un geste de respect, cette cape m’avait horripilé lors de mes déplacements à toujours battre contre mes flancs. Je repris donc en me retournant vers mes camarades.
« Dite ; quelqu’un est capable de savoir quand ils sont mort ? Et donc de savoir quand l’attaque c’est déroulé…. »
Je crois que vous avez les outils nécessaires à une réaction en connaissance de cause de votre part. En cas de besoin l'adresse de notre forum :
- Spoiler:
En se rappelant que nous ne sommes que sur des forums de jeu et que finalement, il n'y a pas mort d'homme, je vous souhaite néanmoins un bon dimanche, malgré cette mésaventure.
Cordialement
Christa Bon en gros Yoko a plagié des fragments de ma présentation et de mes rps =/. J'aime bien ce type que je connais depuis un bon moment (Kanon), et je suis donc assez froid pour le sanctionner moi même, donc le mieux à faire reste de voir ce que vous décidez de façon majoritaire. |
Vijay Jagdish~ Fondateur & Ninja de Jiyuu ~▌Sanction : Aucune ▌Messages : 5547 ▌Age : 31 ▌Inscription : 09/03/2008 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (203/1000) | Âge du personnage | : 26 ans Sujet: Re: Plagiat Yoko. Dim 24 Juil 2011 - 16:39 | |
| - Citation :
- Début de session : samedi 23 juillet 2011
- ... Ţ ... (t.nice@live.fr) Jax (coolmen1000@hotmail.fr) (21:04) Jax : ouip Enfaite le truc >> j'ai pris l'histoire de Setsu que je voulais changer ce que j'ai fait, enfaite y a un passage ou 2 que j'ai zappé; ils ont du tombés sur ces passages à l'aide de certains mots clé et vu que la trame de l'histoire était à peu prêt la même :/ (21:04) - ... Ţ ... est maintenant En ligne (21:04) - ... Ţ ... : .. mdrr tu vas etre bannis, tu sais ? x) (21:05) - ... Ţ ... : Tu as plagié ton propre pote U_U (21:05) Jax : on en a parlé =) (21:05) Jax : bannis d'où ? de saint of the past ? oui je le sais (21:06) - ... Ţ ... : Tu en as parlé avec lui ? il m'a pas dit ca lui mdrrrr (21:06) Jax : dans la journée là oui il y a a peu près 3 heures (21:06) - ... Ţ ... : Ha x) Si tu as fait des trucs du meme genre sur nnr (21:07) - ... Ţ ... : dis le moi tout de suite avant qu'on le découvre x) (21:07) Jax : x) (21:07) - ... Ţ ... : tu vas surement baisser en rang et en grade (21:07) Jax : why ? (21:08) - ... Ţ ... : Si on découvre que tu as plagié sur nnr aussi (21:08) Jax : ah ok (21:08) - ... Ţ ... : alors dis le moi maintenant >> (21:08) Jax : oui oui j'avais mal compris nan c'est clean sur nnr là (21:08) - ... Ţ ... : Dac c) (21:10) Jax : =) Il essaye de nous duper aussi .. Il a pas totalement plagié des choses donc on peut pas le bannir pour ça mais on peut lui baisser son rang et son level. |
Sujet: Re: Plagiat Yoko. Dim 24 Juil 2011 - 20:06 | |
| Pour ma part, j'ai toujours été contre le plagiat que cela partiellement ou totalement. Dans les cas, les deux sont punissables par la loi... Enfin, c'était l’aparté...
Je pense qu'il est bon de le sanctionner. En effet, cela montrerait l'exemple de ce qui peut se passer lorsqu'on pique le travail de quelqu'un d'autre... Néanmoins, une expression dit "Une faute avouée, à moitié pardonnée".
Je suis pour une petite sanction. Une descente de niveau voir la perte de son rang de bras droit... |
Grimmjow ~Nanadaime Raikage ~ ▌Sanction : Aucune ▌Messages : 529 ▌Inscription : 30/03/2011 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : A / 22 | Points Naruto Ninja RPG | : (224/1000) | Âge du personnage | : 20 ans Sujet: Re: Plagiat Yoko. Dim 24 Juil 2011 - 23:10 | |
| Je dois l'avouer cela me choque quelque peu, je n'imaginais pas que quelqu'un comme lui puisse faire cela mais c'est la vérité après tous. Pour la punition et bien je vais parler en connaissance de cause est je ne vais pas proposer la même que moi car je sais pertinemment que sans mon énorme détermination je n’aurais pas pu revenir mais je vais proposer de le remettre rang A lvl 17. |
Sujet: Re: Plagiat Yoko. Lun 25 Juil 2011 - 0:43 | |
| Moi, j'aurais proposé A lvl 16. Et lui retirer son post de bras droit aussi, a la limite, comme l'a suggéré Akari. |
Fujita Kodo ~ Nanadaime Hokage - Chef du Clan Hyûga - Admin ~ ▌Sanction : Aucune ▌Messages : 1197 ▌Inscription : 21/05/2010 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (40/1000) | Âge du personnage | : 20 ans Sujet: Re: Plagiat Yoko. Ven 5 Aoû 2011 - 0:05 | |
| Je plussoie ta proposition ryu ^^ |
Thrys Ω Hachidaime Kazekage Ω▌Sanction : Aucune ▌Messages : 2466 ▌Age : 30 ▌Inscription : 23/07/2010 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (1133/2000) | Âge du personnage | : 20 ans Sujet: Re: Plagiat Yoko. Ven 5 Aoû 2011 - 9:38 | |
| Moi de même, je dis +1 à ce qu'a dit Ryu ! |
Sujet: Re: Plagiat Yoko. Sam 6 Aoû 2011 - 11:43 | |
| Puisque nous sommes à peu prêts tous d'accord, je préviens Yoko de sa sanction et j'applique ce qu'on a dit^^ Merci les gars (Oui oui, je suis la seule nana donc j'ai le droit de dire ça). C'est dire perte d'un rang (S --> A) et perte de 4 level (20 --> 16) et enfin, la perte de son grade de bras droit, il devient Junnin de Kumo Voici le MP envoyé aujourd'hui-même. - Citation :
- Bonjour,
Tu n'es pas sans savoir que tu as été accusée de plagiat sur le site Saint Seiya : Saints of the past. Signalé par le staff de ce site, tu as toi-même reconnu avoir prit des fragments de présentation de Setsuri.
De ce fait et devant les preuves apportées, le staff a décidé de te sanctionner. Voici donc la décision. A l'unanimité, tu perds un rang (S--> A) et quatre Lvl (20 --> 16). De plus, tu deviens un Juunnin de Kumo et tu ne peux plus aspirer au grade de bras droit de Kumo.
Cette décision à été acceptée et ton profil à été mise à jour aujourd'hui-même par mes soins.
Je te souhaite une bonne journée et j'espère te voir jouer en notre compagnie l'ami. Bien à toi Akari Hasegawa |
Sujet: Re: Plagiat Yoko. | |
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