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Sujet: La guerre est à votre porte... Jeu 14 Juil 2011 - 15:35
Une marche Impériale...
L'espoir d'un village
Le préparatif furent long mais cette guerre allait vraiment commencer. J'avais déclarer la guerre à un village que je connais bien et donc je connaissais par cœur. En effet, j'avais grandi là-bas. Depuis le départ de Kiri, je n'avais cesser de penser à la stratégie mais je me disais qu'aucune n'était vraiment valable. Bien que je connais le terrain, je ne sais pas ce qui nous attend là-bas. C'est donc l'esprit ailleurs que je pars en guerre avec mes hommes... Bien que déterminée, je ne savais pas comment allait se dérouler cette guerre mais j'avais donner des instructions claires. De plus, à nos côtés se trouvait des alliés qui avait voulu participer à cette guerre. Je n'ai rien demander à qui que se soit et ils se sont joints à nous. Au fond, un coup de main était le bienvenu. Je montre un sourire et c'est en rang que mes ninjas et moi quittons le village après avoir laisser suffisamment de troupes pour lui permettre de résister à une éventuelle attaque d'un ennemi. Autant dire qu'il ne faut jamais ignorer la partie d'ombre qui existe sur ce monde. C'est un peu comme les hommes, ils ont tous une part d'ombre. Moi inclus.
Arrivant au port, je remarque que plusieurs bateaux étaient présents pour emmener l'ensemble de mes troupes sur place. Ce village dissimule vraiment beaucoup de secrets et dont je n'en connais même pas la moitié. Enfin... Pour la première fois depuis que je suis à la tête de Kiri, je voyais mes ninjas aussi fiers. Et j'étais fière d'eux. Aujourd'hui, la bataille risque d'être difficile mais je serais là pour les soutenir. Pourquoi ai-je décider de participer ? Pour eux... Ils ont besoin de ma présence pour les encourager et les guider alors je le fais à cœur joie. Si on veut la paix, il faut la guerre... La paix seule veut qu'on se batte pour elle et c'est un passage obligatoire. Les troupes embarquent et je suis la dernière à monter sur un bateau. C'est alors que je monte sur un mat avant de prendre la parole. Les bateaux à proximité vont m'entendre. Posant les yeux sur mes fiers ninjas, le bateau prend la mer tandis que je regarde. Au bout de quelques minutes, je me mets à crier afin que tout le monde m'entende. Il le fallait.
« - Mes amis... L'heure est venue de tenir notre parole. Cette fois, plus de marche arrière possible, nous devons nous rendre sur place. Notre dernier obstacle est cette mer qui n'en est pas un pour nous, fiers peuple de la mer. Le pays du feu est à notre portée. Mais il ne faut pas mélanger les choses. C'est Konoha que nous voulons et pas le pays du feu. Sur place, les civils doivent être épargnés et battez-vous contre ceux qui luttent... Laissez les lâches s'enfuir s'il le souhaitent... Ils ne sont pas dignes de vous, dignes ninjas du village sanglant. En ce jour et en cette heure, je déclare la marche sur le village de la feuille ouverte. »
Le vent se lève et je fais apparaitre une de mes armes que je lève en l'air avec détermination. Plus rien ne nous arrêteront. Le village Sanglant est en marche surtout qu'une fois au port, des personnes font nous rejoindre et c'est non négligeable. J'étais au courant de ça et j'avais accepté qu'ils se joignent à nous dans cette guerre purement politique. Je connaissais la situation du village de la feuille et autant dire que la situation est pire que celle que j'avais il y a encore peu. Mes longs cheveux volent au rythme du vent et après avoir regarder mes ninjas m'applaudir, je range mon arme. Je quitte alors le mat pour rejoindre mes proches ninjas où on se lance dans une stratégie de taille. Néanmoins, on ne savait pas ce qui nous attendait une fois là-bas. Et puis le voyage est de courte durée de toute façon. En a peine une heure, on se retrouve au port se trouvant au sud de Konoha... D'ailleurs, sur place, je remarque des gens qui portaient nos tenues que j'avais fait parvenir. Ainsi, ils pourront se mêler à la masse et jouer le jeu comme cela était prévu. Une fois, mes hommes présents, nous nous mettons en route pour le village de Konoha. Bien entendu, grâce aux traitres qui se trouvant parmi nos rangs, on a pu esquiver les défenses que le village avait pu mettre en place pour nous contrer. D'ailleurs, je connaissais cette route mieux que personne. Bien entendu, en chemin, on en avait croiser mais ceux qui avait tenter de résister furent tuer dans le sang. Les autres eurent la vie sauve et je soupçonne même l'un d'eux être rentrer au village pour les avertir qu'on avait passé les lignes de défense autrement que prévu. Et oui, cela a un avantage de connaître le pays du feu comme sa poche... Je suis une ancienne de ce village et j'ai passé plus de 7 ans de ma vie là-haut... Mais je n'appartiens plus à ce village, ma patrie est Kiri et je suis leur guide, leur chef et le gardien de leur avenir... Du moins, c'est comme ça qu'ils me surnomme parmi mes propres rangs. Marchant en rang, nous seront bientôt sur Konoha et la guerre allait vraiment commencer... Et autant dire que tout se passait comme prévu... Pour le moment ... Arrivant à plusieurs kilomètre de Konoha, je fais stopper la marche et j'envoie des éclaireurs afin qu'ils me fasse un rapport de la situation... Cela était important. Et puis, cela permet à mes hommes de se ressourcer un peu. Bien entendu, notre tranquillité sera rapidement perturbée...
« - Qu'un périmètre de sécurité soit placé autour de notre position et que des éclaireurs fassent le tour du village de la feuille afin de me faire un rapport. »
InvitéInvité
Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Jeu 14 Juil 2011 - 17:26
mon poste est plus loin
Dernière édition par Yusuke Katano le Mer 3 Aoû 2011 - 15:36, édité 1 fois
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Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Jeu 14 Juil 2011 - 22:20
Dernière édition par Ryo Mizake le Ven 30 Déc 2011 - 21:16, édité 4 fois
InvitéInvité
Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Ven 15 Juil 2011 - 18:34
Nephthys n’avait pas beaucoup dormit, tous Kiri était à la veille d’une guerrequi allait écrire un nouveau chapitre dans sa belle et mémorable histoire. Konoha allait comprendre la signification du mot sanglant, car d’ici peu tous ceux qui se sont rangé du côté de Fujita Kodo mourront pour laisser place à une nouvelle ère, celle d’un Konoha meilleur. Un Konoha qui ne laissera pas son kage briser un pacte de paix et encore moins attaquer deux ennemies plus faible que lui qui sont censés être ses allers. Dire que c’est avec cet acte stupide et dénué de tout sens que la guerre allait frapper à la porte de Konoha. Il était temps pour Nephthys de rejoindre ses compatriotes pour partir se battre, il en tremblait d’excitation, car c’était pour lui une première. Il comptait bien s’illustrer lors de celle-ci, il savait que tous ses frères kirijens lui y compris accompagneraient leur Mizukage jusque dans la mort s’il le fallait. La mort, ce mot qui fait peur à plus d’un, ce n’est que la fin d’un ouvrage, mais derrière y a-t-il un nouveau palier, le jeune homme en doutait fortement. Il avait passé sa soirée avec son père adoptif à boire de l’hydromel. Une fois cette soirée finit il était rentré chez lui où à sa plus grande surprise une lettre l’attendait, c’était une lettre de son vrai père qui depuis peu commençait à donner signe de vie. Dans celle-ci il souhaite bonne chance à son fils et lui offre trois pilules énergétiques. Les larmes de que notre héros n’avait pas réussi à contenir tombèrent sur le papier, éparpillant l’ancre noire. Après de tels émotion et pour passer le reste de la soirée notre kirijen avait lu le livre qui le captivait sur les épéistes légendaires et assis sur son lit il n’avait cessait d’déguiser la lame de son sabre qui allait être son plus fidèle compagnon lors des combats qui l’attendaient une fois arrivé au portes de Konoha. Il veilla donc toute la nuit, ne sachant pas quoi faire à part regarder les constellations de sa fenêtre, après tout c’était peut-être la dernière fois qu’il les verrait ? Au petit matin Nephthys avait enfilé son costume militaire de ninja de Kiri et armé d’une volonté de vaincre inébranlable et d’un sabre extrêmement tranchant il quittait son appartement pour rejoindre la place principal du village. Lors de sa marche qui l’entrainait de plus en plus vers la guerre pour laquelle il était prêt il voyait dans la rue des familles dire au revoir aux ninjas de la maison, puis tous ensemble on affluait vers le place, à la rencontre de notre kage.
Une fois que tous les future participants à la guerre étaient présent la Mizukage parti avec nous au port, tous en rang bien organisé, fière de pouvoir accompagner notre Mizukage au combat et encore plus fière que Kiri c’était rassemblé en un seul homme pour terrasser les partisans de Kodo. Tous nos cœurs battaient à l’unisson, le grand Kiri était prêt ! Une fois arrivé au port des bateaux nous attendait, de très beaux et imposant bateaux qui montraient bien que Kiri était le roi sur les océans et que ce que les konohajins verront ne serait pas une vague, mais un vrai tsunami ! Pauvre de vous qui avez crue pouvoir vous moquer de Kiri le dévastateur, ce qu’ils ont créé risque de leur exploser à la figure, figure qui sera bientôt recouverte de sang. Tout le monde montait fièrement dans les navires et Nephthys eut le privilège de monter dans celui de la brave et puissante dirigeante de notre beau pays. C’est cette merveilleuse femme qui monta sur le mat du bateau, elle nous regardait avec dans ses yeux une fierté incommensurable. Après quelques longues minute elle prit la parole et pour que tous puissent bien entendre son discours elle cria dans un ciel qui était un peu brumeux :
« - Mes amis... L'heure est venue de tenir notre parole. Cette fois, plus de marche arrière possible, nous devons nous rendre sur place. Notre dernier obstacle est cette mer qui n'en est pas un pour nous, fiers peuple de la mer. Le pays du feu est à notre portée. Mais il ne faut pas mélanger les choses. C'est Konoha que nous voulons et pas le pays du feu. Sur place, les civils doivent être épargnés et battez-vous contre ceux qui luttent... Laissez les lâches s'enfuir s’ils le souhaitent... Ils ne sont pas dignes de vous, dignes ninjas du village sanglant. En ce jour et en cette heure, je déclare la marche sur le village de la feuille ouverte. »
Suite à ces paroles convaincantes la Mizukage saisit son arme qu’elle brandit en l’air et nous ses ninjas, ceux pour qui elle allait se battre nous l’applaudissons avec beaucoup de fierté. Lors d’un voyage qui faisait monter le stresse en chacun des fière guerrier qui faisaient ce qu’il pouvait pour s’occuper, pour oublier que pour certains d’entre nous il n’y avait que la mort. Nous savions tous une chose, la paix n’est pas un objet précieux qui nous appartient. Il faut toujours la conquérir et c’est pour cela que nos terribles navires allaient apporter le sang à chaque ninjas de Konoha qui s’opposerait à notre armée. Une fois arrivé au port nous nous écartions tous pour laissait passer la reine de cette bataille, puis une fois qu’elle mit le premier pied sur la terre ferme nous, la suivirent tous, heureusement surpris par les allier qui avaient revêtu la même tenue que nous, dès à présent ils étaient devenus nos frères. Une fois que tous les navires eurent accosté nous commençaire notre marche vers Konoha. Pendant cette marche des petites escouades de konohajins avaient essayé de nous stopper, mais ils furent bien vite dépassés par notre nombre et notre rage qui ne cessait de grandir. Le village ennemie n’était plus très loin lorsque notre kage nous laissa un moment de répit, il ne restait plus qu’à attendre le rapport des éclaireurs qu’elle avait envoyé et notre assaut pouvait débuter. Nephthys bouillonnait d’impatience !
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InvitéInvité
Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Ven 15 Juil 2011 - 23:57
Quand elle n'était encore qu'une petite fille, Nori avait eu le loisir d'entendre beaucoup de fables guerrières de la bouche de ses tuteurs. Assommée régulièrement par la lecture de pompeuses oeuvre littéraires, l'enfant prenait ces récits hyperboliques comme de délicieuses bouffées d'air frais. Si bien que ce n'était qu'à l'entente de leur narration énergique qu'elle levait la tête de ses cahiers pour se laisser aller à la rêverie. Qui aurait cru qu'elle deviendrait protagoniste d'une histoire à la hauteur de ces odyssées grandiloquentes ?
Tout a commencé au Pays du Feu, au sein de la faction ninja de Konoha. L'instabilité du pouvoir en place avait abouti à l'émergence d'un groupe de dissidents au sein même du village. Des gens désireux de renverser le Hokage actuel ainsi que ses partisans. Malgré les précautions prises pour étouffer l'affaire, les rumeurs relatives à ce soulèvement parvinrent aux oreilles de la Mizukage qui décida de prendre des mesures aussi radicales qu'inattendue : Apporter son soutien au mouvement rebelle.
C'est ainsi que bon nombre d'effectifs militaires du Village de Nori -à savoir : Le refuge ninja de Kiri-, embarquèrent pour rejoindre le continent. Bien entendu, la kunoichi pâtissière faisait partie du lot. Aussi risible et singulière puisse paraître ses capacités, elle saurait apporter une aide non négligeable aux troupes du Village du Brouillard. Ne serait ce que sur le plan alimentaire, un estomac bien rempli était plus à même de libérer les capacités latentes d'un corps bien entraîné. Sans compter ses facultés martiales souvent sous estimées...
D'entre les troupes lambdas, on distinguait divers notables du Pays de la Brume. Des juunins de renom, des membres des forces spéciales, et même... l'impérieuse Mizukage. Qui se hissa sur le point culminant d'un navire, en haut du mat central pour prononcer un discours patriotique assez stéréotypé... mais sacrément efficace pour remotiver les soldats alanguis par la traversée. Pour sa part, perdue au milieu de la masse militaire, Nori laissa un grand sourire gagner son visage. Elle trouvait assez drôle le manque de discrétion de sa chef quant à ses intentions... mais il fallait reconnaître la dimension épique qu'elle conférait à cette mobilisation !
* La guerre est officiellement déclarée ! *
Songea t-elle tandis que la Mizukage relevait son arme vers le ciel, comme un appel aux faveurs divines pour les affrontements futurs. S'ensuivit une marche prolongée au coeur du Pays du Feu qui accentuait un peu l'excitation de Nori. Pour la première fois de sa vie, son existence allait prendre un sens. Elle avait quelque chose à défendre, des idéaux à concrétiser. Si des révoltes avaient éclaté au sein de Konoha, c'était surement en raison d'une attitude indésirable de part de leur dirigeant. Du moins, c'était le point de vue simpliste et manichéen que portait Nori là dessus. Cette candeur d'esprit lui permettait en tout cas de considérer les conflits à venir avec sérénité, et une curiosité infantile assez comique.
Elle jetait des regards interrogatifs tout autour d'elle tandis que son régiment avançait. Kiri n'avait pas été le seul village à avoir dépêché ses soldats au Pays du Feu. Des membres de Kumo et divers mercenaires avaient également répondu à l'appel, par conviction ou par appât du gain. Ces gens de tous horizon suscitait la curiosité de notre petit kunoichi qui ne manqua pas d'agacer quelques personnes. Fort heureusement, ça ne déboucha guère sur un règlement de compte chaotique.
Quand ils eurent fini leur interminable marche, les combattants commencèrent à dresser quelques tentes, marquant l'établissement d'un avant post à quelques lieux de Konoha. Désireuse de se rendre utile, Nori s'atteler au ravitaillement alimentaire en prenant bien soin d'élaborer un menu ne nécessitant pas de feu. Vu le monde présent, l'odeur des grillades auraient au mieux attiré des meutes d'animaux, et au pire, averti l'ennemi de leur présence massive en ces lieux.
* Ça serait riche en végétaux cette fois ! ♫ *
Ce fut donc diverses salades composées de fruits et de champignon divers qui furent servies aux ninjas alliés. Nori en profita pour écouter les ouï-dires qui circulaient dans le camp. Apparemment, les éclaireurs envoyés par la Mizukage avaient essuyé quelques problèmes fâcheux...
Cette information titilla notre jeune kunoichi qui décida d'aller enquêter à la source. Nori se rendit donc face à la grande tente où le leader incontestée d'humour affinait ses plans d'assauts. Bien entendu, l'insistance de Nori pour apporter elle-même son repas à la Mizukage ne manqua pas de faire scandale et d'agacer les anbus chargés de garder l'entrée.
- Maieuh ! J'vois pas pourquoi j'peux pas lui donner ! Y a pas de poison là dedans ! C'est pas parce que vous voyez des champignons que c'est dangereux spèces d'andouuuilles ! Allez ! S'il vous plaiiit ! Laiisez moi passeeeeer...
Voilà une bien mauvaise façon de se faire remarquer au sein d'un campement militaire...
Dernière édition par Nori Hokashi le Sam 16 Juil 2011 - 20:44, édité 4 fois
Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang A ; Level 23 | Points Naruto Ninja RPG | : (1377/2000) | Âge du personnage | : Inconnu.
Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Sam 16 Juil 2011 - 1:13
. : Le commencement, l’amour se mêlant à celle de la guerre. : .
Il faut parfois que le changement arrive avec une certaine lenteur dans les esprits de ses nombreux monstres que sont les dirigeants d’un pays. Certaines personnes n’aiment nullement cela. Mais le changement est comme le démon sans visage tirant de ses nombreux fils d’or les marionnettes grandissantes dans l’obscurité des Ténèbres. Lui aussi change avec les secondes, les minutes, les années et les siècles. Impossible de savoir véritablement pourquoi mais cela est inscrit dans la nonchalance de la vie. L’être humain est une chose tout simplement magnifique quand son art le plus puissant est enfin mis en place avec une fureur tout simplement fanatique, voire hérétique. Doucement mais surement, le changement s’opéra même si malheureusement d’innombrables et de nombreux dommages collatéraux s’effectueront. Cela est l’ivresse de la vie mais résultant finalement d’un pauvre et unique ricanement pour le monstre qu’est le démon sans visage tirant encore et encore ses longs et magnifiques choses d’une douce et spadice couleur ambre. Lui connait. Il détient la clé de tout cela avec une nonchalance assez particulière. Mais l’utilisera quand le moment sera venu. Pourquoi et comment ? Cela est encore un instrument du changement, comme les trompettes de l’apocalypse dont nous ne pouvions nullement connaitre la forme exacte. Son enveloppe corporelle est encore inconnue, pour l’instant, mais, une chose est bien prédéfinie. Cela marchera, surement. Mais pour l’instant, l’heure que définit le sablier du temps n’est nullement à son acte. Pour l’instant, le changement n’est rien d’autre qu’une voix rauque et mécanique. Flânant mélodiquement entre les fleurs et au travers les toits en briques rouges des maisons. Grandissant doucement mais surement, le changement ne se fera pas avec une seule minute ou encore bien une heure. Et par conséquent, l’effort physique devra être de mise pour les sabliers du temps, cela est sûr.
Et pourtant, cela est une chose assez amusante de voir un monstre de puissance devenir la proie même de ce changement. Une chose à l’apogée de sa puissance la plus totale. Cela est une chose plutôt amusante pour ce même démon encore présent avec un certain amusement. Comme l’insecte ne devenant qu’une chose putride et lasse, ce guerrier à l’apogée assez monstrueuse deviendra l’insecte auquel il est comparé. Chose certaine, cela est maintenant une vérité vraie. Mais pourtant, dans ce nuage blanchâtre de vérité et de certitude, une perle d’antimatière noirâtre se glisse pourtant dans le cœur de chaque personne. Car, pourtant que chaque possibilités fut examinées, chaque équations vues, et revues par les méthodiques scientifiques il existe pourtant dans le bas-monde couvrant les personnages de plombs que sont les humains une certitude plutôt vicieuse. Le définie devient l’infinie est nullement l’indéfinie. L’infinie est une chose totalement absurde ainsi qu’abstraite. Une droite longiligne qui continue sa marche vers sa destinée assez maussade et nullement véridique. Par conséquent, cette perle d’antimatière pouvant faire renverser la bataille en faveurs des créatures à la carapace maussade. Ces dernières seront – malheureusement ou heureusement, chaque personne contient son propre point de vue sur la question – gagnants dans l’apogée de la violence qui se prépare alors. Montant en grade, la perle convient que le changement n’arrivera nullement. Pourquoi et comment – Encore une fois, ces deux questions arrivent dans cette antithèse assez maussade, voire putride. - Pour l’instant, ils s’agitent. Ils cherchent. Ils pleurent. Tout cela n’arrivera pas. Pas de suite. La solution est présente sous le nez de ces personnes. Cela est une chose certaine. Maintenant que tout cela est prêt à être mis en place, ils doivent mettre cette petite et fine boule d’antimatière contre le rebord de la Planète Terre. Magnifiquement, le changement commence.
La guerre commence. Cela est une certitude certaine. Mais pourtant, les trompettes de l’apocalypse gagneront en envergure. La créature issue de l’antimatière grandit avec une lenteur assez significative. Comme le cavalier qui s’accompagne des instruments de la mort, sa présence apportera une boule de peur gagnant en envergure assez conséquente. Comme le ver de mouche rampant mollement contre le morceau de viande putride et las, mollement oublié par les êtres humains que sont leurs mères. La synthèse est, pour certaines personnes quelques choses totalement hors-sujet ne s’intégrant nullement dans la thèse ainsi que l’antithèse. Cela est une chose sûre pour un groupe bien prédéfini de personnes. Et, pour un autre, tout cela n’est rien d’autre que le contraire. Ces trois mots finalement de la même racine. Comme patience et chasseur, tout cela s’intègre dans la même racine bien que leurs enveloppes en surface, ils se retrouvent tout simplement aux antipodes les plus complètes. Gagnant encore et encore en puissance, le monstre grandit avec une puissance assez rapide, semblable à cette magnifique et merveilleuse droite qui s’allonge dans les tombeaux infinis de la connaissance de la violence, de la colère, et du champ lexical de la guerre. Tournant lentement autour du centre de la gravité, les guerriers. Pour toujours. La perle d’antimatière devient un monstre de puissance assez conséquente, voire monstrueuse. Pourquoi et comment ? Troisième fois que cette question est posée ici. La créature alors à quatre pattes s’en amusant à regarder tout cela. Tout ce petit monde s’agitant avec une merveilleuse attention. Sa propre vision du monde est présente dans son cœur venant des prémisses du pandémonium ténébreux. Grattant rapidement dans la terre fébrile, cette hydre antique sera le centre de la synthèse réunissant les deux camps. Hurlant contre une rage sans limite, le monstre arrive enfin, pour toujours.
Tenue d’A.N.B.U, masque, arme, tout cela est une reconstruction parfaite pour le jeune farfadet aux yeux, pour une fois nullement faussement bleuâtres. Bien que nullement habituer à cette tenue, l’ectoplasme de brume vivante ne pouvait être véritablement à son aise. Notamment par l’espèce de masque semi-couvrant légèrement habitant sa boite crânienne à la chevelure rougeâtre allègrement caché dans la tenue bleuâtre. Son masque à gaz totalement métallique lui manquait cela était une chose littéralement véritable. Mais pour le changement, des sacrifices se devaient d’être effectuées, surtout que, ces derniers ne seront nullement définitifs. Bien que devant le port, toutes ses troupes étaient prêtes depuis des lustres. Peu nombreuses, cela et une certitude et par conséquent, cela était une maigre puissance qu’il apportait pour la puissance de la brume. Mais que cela ne tienne. Certaines de ses troupes, la plus part étant de Konoha No Kuni étaient en membres du village attaquant, abordant le bandeau d’un village qui n’était pas le leur, des armes qui n’étaient encore jamais tombées dans leurs mains salies par le sang. Pour les mercenaires, déserteurs et autres traites des différents villages, ils se fichaient tout simplement de leurs tenues. Qu’ils se masquent ou nullement, l’important était leurs performances sur le terrain. La tension était assez conséquente dans le cœur léger du jeune homme aux performances militaires plutôt connues dans les rangs du village de la feuille maintenant morte. S’étirant en plaçant le masque à l’écart de ses troupes, le pseudo-commandant s’approchant alors de ces dernières tandis que les innombrables bateaux se faisaient masse devant le port de la Nation du Feu. Regardant ses nouvelles armes, une expression de grimace arriva contre son visage. Des aiguilles. Discret, simple mais quelques peu… Passons. Rangeant ses dernières dans un étui posé exprès, il se redirigea vers ses troupes traites.
[…]
Maintenant que les traversées étaient faites, que le campement était mis en place. Que cela soit par les tentes ou encore les nombreux guerriers se préparant à la bataille. Une personne qui, par conséquent un membre d’apparence seulement extrêmement important pour la communauté des personnes vivantes à Kiri No Satô. Effectivement, un membre des forces spéciales se trouvant en pleins milieu du campement n’est pas une chose assez habituelle pour chaque ninja. Sa place se trouvant bien entendu normalement au près du commandant de l’opération. Mais nullement cette fois-ci. Non, l’ectoplasme cherchait quelque chose d’extrêmement important à ses yeux. Ou plutôt une personne pour être largement plus précis. Cette dernière résultant de l’une des choses les plus importantes à ses yeux. Et de par la bataille qui se profilait comme le démon sans visage tirant de ses fils l’issu de la bataille, une dernière visite n’aurait pas été de refus. Mais, malheureusement, rien n’était en vue. Tout cela n’était pas une chose plaisante au plus profond du cœur du jeune homme au masque en matière totalement inconnue. Serrant le bandeau de Konoha No Kuni qu’il tenait en sa paume, son regard se perdit à travers l’agitation du campement immense. Elle, la magnifique devait bien se trouver quelque part dans cette agitation assez gargantuesque. Pourtant, comme déjà annoncé ici, rien de bien concluant se trouvait maintenant devant ses yeux. Evitant de justesse deux ninjas de rang inférieur, le jeune homme à la peau parfaitement blanchâtre se mordilla avec une frénésie conséquente sa fine lèvre inférieure rosâtre. Se déplaçant finalement dans le village, les regards étonnés des nombreux partisans de la guerre se firent finalement légion, car oui, encore étonnant de voir un membre de la haute hiérarchie perdre ses moyens comme cela. Il jeta son bandeau sur la place centrale…
« Bordel… » Cracha-t-il maussadement au cœur de l’agitation, apportant l’attention des militaire sur sa personne.
Finalement et heureusement, le faux membre se retira, - le cœur lourd, certes – du campement et arriva au sud de l’entrée du campement. Il avait donné rendez-vous à ses troupes pour mettre au point les derniers préparatifs envers la stratégie du village. Bien que le plan fût extrêmement simple, avec l’aide des troupes de Kiri, cela n’était rien d’autre qu’une pauvre tâche de nettoyage qu’ils se devaient de faire. Plaisante pourtant. Alors qu’il passait le voile de la tente leur étant bien entendu réservé, il se plaça au centre de la pseudo-pièce. Tous ses effectifs étaient aux complets. Du plus faible et assez insignifiant au meilleur d’entre-deux. Qu’ils viennent par soif de pouvoir ou encore pour effectuer un pardon envers une personne, un village, ou encore bien-même une patrie. Mais tout cela n’avait pas d’importance pour le jeune homme se tenant au centre. L’avenir seul était important en ce jour si parfait. Sang, meurtres, viols pour certains, libérations pour d’autres. Regardant tour à tour ses troupes. Il pensa à un moment à son identité. Personne ne savait ce qu’il était. Que cela soit pour les membres de Konoha No Kuni ne connaissant seulement son prénom, ou encore bien par les déserteurs, mercenaires, monstres qu’ils le connaissaient seulement sous le nom de : « Fantôme de Konoha. » Un titre assez stéréotypé, certes, mais qui était finalement assez véridique. Il avait été créé par Konoha, pour servir dans l’ombre Konoha. Et, c’était cette tâche qu’il effectuait maintenant, l’Hokage détruisait le village peu à peu. L’ordre des choses devaient reprendre sa place au cœur village. Un frisson perça sa colonne vertébrale. L’envie surement ou encore peut-être la peur. La peur de perdre, la peur de devoir fuir. La peur de perdre une personne chère à ses yeux émeraude. Déglutinant, il annonça, clairement.
« Mes… Troupes. L’heure est maintenant présente de partir vers votre mission. Vous la connaissez tous, tuez le plus de Konohajins soutenant le maitre du village. Mais, comme la dit la véritable commandante des opérations, évitez les civils ainsi que les ninjas voulant fuir. Ils seront tout simplement mis en prison après tout cela… En espérant que personne ne mourra. Bonne bataille. »
Une fois tout cela finit, il sortit de la tente, attrapa un ninja passant par là et lui posa une fine couche de papier dans sa main. Tout cela respectueusement bien entendu. Lui demandant de remettre cela à sa commandante. Puis, il disparut, certainement suivit de ses compagnons qui iront vers le village…
Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : B, niveau 18 | Points Naruto Ninja RPG | : (236/1000) | Âge du personnage | : 19 ans
Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Sam 16 Juil 2011 - 20:02
La guerre... Un massacre de masse de civils, un massacre de masse de shinobis et de combattant de tout style confondu. La guerre, une simple guerre déclaré sur le passage d'un Hokage à Kiri et de la découverte de l'espion de ce dernier. Lors de la convocation pour le conseil, Tatsuya avait pas pu ce présenter à temps pour ce dernier ni pour le discourt de la Mizukage. Car bien que aucunement atteint de façon mortel ces blessures, c'étaient révélé plus handicapante et exigeante en soins que prévue. En effet, les cotes qu'il avait cru fêlé étaient en vérité cassé et sa blessure au ventre par le sabre manier de la main de l'espion de Konoha... C'était révélé beaucoup plus grave et douloureuse qu'un simple coup de sabre, du coup comparé à Hikan il avait pas pu sortir du tout de l'hôpital à temps. Car il avait même pas eu le droit d'utiliser une chaise roulante, il avait du resté couché et ce reposé suite a la déclaration de guerre alors que les medic-nin ne relâchaient aucunement leur travail. Il avait pu partir avec les troupes et profité du repos accordé par la traversée en mer pour finir de récupérer totalement, il avait suivit les instructions des médecins à la lettre afin de ce retrouver sur pieds rapidement. La récompense avait été un entrainement libre ou il avait décidé de faire que des redressement assis afin de voir si il avait perdu de la forme, il avait rien perdue mais cela avais été vraiment limite.
Une fois arrivé au pays du Feu, Tatsuya c'était assuré de ce déplacer le plus haut possible dans les arbres sans pour autant ce mettre visible hors du feuillage. Restant dans celui-ci afin de garder les risque minime d'être détecté par la voie des air, il avait pas eu d'ordre de la Mizukage encore du coup il s'assurait de ne pas ce placer en avant des troupes. Les ordres de bases étaient horriblement clair et précis, de ce fait Tatsuya était prêt a tout faire que que les troupes respectent l'ordre donner par la Mizukage. Même à subir un procès pour avoir tuer un ninja de Kiri qui allait désobéir, il ce doutait que le conseil était en train de préparer quelque chose contre la Shishidaime. Le coup de la prison était une simple preuve de plus dans l'équation de l'immense complot, calmement Tatsuya prit un peu d'avance mais pas trop, et attendit calmement dans l'arbre ou il ce trouvait. Quand il vit des chuunin qui cherchaient à monter hors des feuillages Tatsuya leur fit signe de pas monter plus haut que sa position, quand ils arrivèrent à ces côtés... Il leurs expliqua que il était possible que des ninjas ai la capacité de voler ou bien des invocations qui vol a Konoha, du coup rester sous le feuillage ce révélait plus dur pour l'ennemi a ce faire repérer. Il allait sans dire que il ce méfiait aussi des insectes, car à Konoha un des clans les plus connue était les Aburame. Des ninjas qui utilisaient des insectes pour ce battre, il ne connaissait pas la méthode de combat ni les jutsus qu'ils utilisaient pour ce battre. Mais dans tout les cas il espérait ne pas avoir à en affronter un, car il se doutait que cela serais plus que infernal comme combat... Alors que tout semble ce passer bien, Tatsuya sauta des arbres pour rejoindre le sol et marcher avec les troupes. Quand la pause eu lieu que que la Mizukage envoya des éclaireurs, Tatsuya approcha de sa supérieur en ce demandant si elle avait un plan de prévue ou bien un mauvais pré-sentiment... Une fois aux côtés de celle-ci il prit la parole avec politesse et surtout de manière a ce que la voix ne porte pas au loin... Sans pour autant chercher à parler en privé avec celle-ci, il était juste un peu curieux de savoir ce qu'elle avait en tête comme projet suivant. Et honnêtement, il espérait pouvoir lui être utile.
- Est-ce que il y aurait des soucis en vue Akari-sama? Je sais qu'il nous faut être prudent, mais est-ce que il y aurait certaines choses que je devrais savoir pour la suite? Car en ce moment je n'ai pas du tout entendu parler que nos éclaireurs étaient revenue... Et pour être honnête Akari-sama, j'aime pas du tout ce que cela peu signifier...
Le jeune Umishiro était du genre prudent, parfois même un peu trop... Mais cela l'avait maintenue en vie jusqu'à présent, il avait pas du tout le niveau de sa Mizukage mais il savait de quoi il était capable. Mais plus important encore il savait de quoi il était incapable de faire, il pouvait de ce fait décider quand de battre en retraite avant que cela ne tourne mal pour lui ou même les gens qu'il pouvait parfois avoir sous ces ordres. Il avait pas du tout vue où était Yusuke, en vérité il avait aucunement vue celui-ci depuis quelques heures et cela l'inquiétait. Le genin était du genre calme mais parfois un peu trop... Sur de lui et sa pouvais lui jouer de mauvais tours, mais d'un autre côté... Yusuke était pas du genre à oublier une leçon apprise sur le terrain, alors si il était partit voir si il y avait des éclaireurs ennemis il garderait le silence. Mais si il avait suivit ou encore fesait partit du groupe d'éclaireurs, cela risquerait vraiment d'être de très mauvais augure pour la suite des évènements. Il était non seulement de la team quatre mais aussi l'élève de la Mizukage en personne...
- J'ai pas vue Yusuke depuis plusieurs heures Akari-sama, j'espère qu'il est pas en train de faire un truc stupide. Il a un sacré potentiel, mais parfois il a tendance à ce surestimer et cela pourrait lui jouer un... Sale tour disons... Il en va de même pour Hikan, je n'ai pas vue cette tête brulée depuis notre départ...
Il était clair que Tatsuya s'inquiétait pour les deux ninjas qui étaient sous ces ordres, d'un côté Hikan était aussi prometteur que Yusuke. Mais ce dernier devait apprendre la patience alors que pour le genin, il s'agissait de savoir ces véritables limites. Il espérait de tout son coeur que ces deux la ne soient pas en train de faire un plan de fou qui pouvait déboucher sur une catastrophe, mais bon il ce devait aussi d'avouer que... Pour protéger sa Mizukage, le jeune Umishiro était prêt à allez jusqu'au fin fond des enfers pour arracher le coeur de la personne qui la menace, pas par amour... Mais par respect et dévotion envers cette kunoichi qui était digne non seulement du titre de Mizukage à ces yeux, mais parce que elle était respectable et honorable bien avant d'avoir eu le titre. Et en cela, jamais aucun membre du conseil de Kiri avait réussi à gagner ce respect chez Tatsuya pour le moment. Du coup il n'obéissait que à la Shishidaime Mizukage, ce qui était dans un sens un avantage et... un désavantage...
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Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Mar 19 Juil 2011 - 10:28
Surprise, surprise...
Je déteste les surprises
Nous étions arrivés et nous attendions nos alliés. Le Raikage se trouvant dans les rangs des ninjas qui sont plus ou moins pressés d'aller frapper ; Alors que j'avais donner mes ordres, j'observais le campement prendre peu à peu forme et je donnais un coup de main aussi. Ce n'est pas parce que je suis Mizukage que je dois rester les bras à rien faire. Par ailleurs, je déteste ça... Je dois toujours faire quelque chose. Après que la tente de fortune soit montré, je fais signe à mes stratèges de venir me rejoindre sous la tente. C'est la seule tente qui est aussi grande et d'ailleurs, elle est illuminée par une bougie. Je soupire un peu avant d'être rejoint par mes hommes. Beaucoup me reprochent le fait que je sois ici au lieu d'être rester à Kiri... Mais la véritable fonction de Kage n'est pas de se cacher derrière un mur et un village... Loin de là... Et de toute façon, j'ai ça dans le sang. Les membres du conseil avaient vu juste en me nommant à la tête de ce village... Il semblerait que le fait de savoir que mes parents ont été des kages respectés et qui ont marqué l'histoire ai un effet plutôt positif sur moi. Malheureusement, j'ai perdu mon dernier parent à l'âge de huit ans... Et le seul membre de ma famille est le shishidaime Kazekage qui vient de prendre sa retraite. Cela fait longtemps hein... Mais je ne suis pas là pour eux... Je suis là pour mon village. Mais alors que j'aidais tout le monde, un de mes ninjas me rejoint. Il s'agit d'un membre que je pouvais mettre parmi les plus fidèles. Nous avons lien qui concerne son passé et cela n'a pas changé depuis.
« - Un peu de patience, mon ami ! Laissons le temps aux éclaireurs de trouver ce qui complètera leur rapport. En attendant, montons le camp. J'y pense, j'aimerais que tu respecte la hiérarchie... je ne serais pas toujours à tes côtés pour te donner des ordres alors pour cette fois, je te demande de faire ce que t'ordonne les supérieurs. S'il te plait... »
Cessant son activité, elle s'essuye le visage qui avait la marque de transpiration. Elle est Mizukage et alors ? Elle en reste pas moins un ninja comme les autres et parmi ses rangs, la camaraderie est de mise. Cela permet le maintien de la bonne humeur et cela tisse des liens forts entre les participants de cette guerre. Consciente du chemin qu'elle emprunte, elle n'a malheureusement pas d'autre choix . C'est comme ça et pas autrement. Puis Tatsuya lui parle de Yusuke et je dois reconnaître qu'il n'a pas tord. J'ai entraîné Yusuke pendant quelques temps et je sais comment il est. Peut-être vais-je devoir faire encore plus attention lors de mes prochains entraînements avec les Gennins.
« - Je suis assez d'accord. Néanmoins, il est dans une phase que nous avons tous traversé. Comme beaucoup, ils traversent leur première guerre et ils ont besoin d'un peu de recul. Laisse-les en paix pour le moment hein. Ils reviendrons seuls, crois-moi ! »
La tente était montée et j'attends que mes conseillers et stratèges ramènent leur nez sous celle-ci. Saluant Tatsuya, j'entre à l'intérieur de celle-ci. Il ne faut pas être fou... Attaquer un village sans stratégie serait purement et simplement du suicide. C'est aussi pour cette raison que j'ai préféré les réunir à proximité du village. A l'extérieur, j'entendais encore et toujours le bruit de l'armée qui montait le camp. Ce qui est bien, c'est que la forêt qui entourait ce village était suffisamment épaisse pour nous cacher. Autant profiter du terrain... Mais alors que le silence était audible dans la tente, je me mets à soupirer car j'avais encore du mal à croire que j'ai déclarer la guerre à la Nation qui m'a vu grandir et évoluer... Je ferme les yeux et je me secoue la tête. Je devais être maître de mon esprit et de mes pensées. La guerre était en marche et je devais me conduire en leader, en chef, en Kage puisque tel est mon rang parmi Kiri. J'attendais aussi les rapports de mes éclaireurs qui devaient me signaler la situation actuelle du village de la feuille. Néanmoins, je souriais car des ninjas de ce village avaient décidé de rejoindre mes troupes pour la guerre. Et l'un d'eux est particulièrement malins et il a trouvé le moyen de payer des mercenaires pour rejoindre sa cause. Cela me fait sourire mais des hommes en plus ne sont pas de refus... Vraiment pas de refus. C'est alors que les autres arrivent et on put enfin se mettre au travail. Tandis que j'exposais une stratégie basé sur plusieurs plans, les autres penchaient plus sur une stratégie dit d'échecs . Tout simplement parce qu'on utilise cette stratégie aux échecs. Mais je leur rappelle que Fujita connait cette stratégie vu qu'il est un fin stratège. Je le connais mieux que personne comme je connais ce village mieux qui quiconque ici. J'ai grandis sur place et je leur fais rapidement un topo sur comment est construit le village. Bien qu'ils ont du le reconstruire, cela n'a pas du vraiment changer depuis toutes ses années. A dire que ce village est qui qui a le plus subit lors de la quatrième grande guerre et qu'aujourd'hui, ce village est encore debout... Soupirante à cette pensée, je regarde les stratèges discuter en silence car je cherchais aussi quelque chose.
Mais je fus stoppé dans ma réflexion par un bruit sourd avec le sol. Tournant la tête rapidement, je me lève et je vois un homme encapuchonné qui avait ramener deux de mes éclaireurs. Je fais signe aux stratèges de ne pas bouger. En effet, il était prêts à bondir sur l'homme encapuchonné mais comme d'habitude, je voulais m'en occuper moi-même. S'il avait réussi à arriver jusqu'à la tente de commandement en se faisant repérer uniquement par deux de mes éclaireurs, c'est qu'il n'est pas n'importe qui... Il ne doit pas être pris à la légère. Me mettant en face de lui, j'étais debout et j'avais une allure droite, fière et autoritaire. Il en fallait de la prestance pour diriger Kiri surtout avec tout ce que j'ai pu traverser depuis mon arrivée à la tête de ce village maudit. Malgré tout, je me sens bien et je sais que désormais beaucoup me craignent pour mes capacités. Mais un des buts de cette guerre est d'asseoir mon autorité sur Kiri mais aussi de rappeler que le village sanglant n'est pas effacé et qu'il dispose de l'armée la plus puissante de toutes les nations. C'est une sorte de rappel à ceux qui ,à l'avenir, pensent pouvoir avoir main bas sur Kiri. Je ne suis pas là pour faire un massacre, mes ninjas ont des ordres stricts et j'espère qu'ils vont les respecter. Si j'apprends que ce n'est pas le cas, je me chargerais personnellement de leur cas sans aucun jugement. S'ils sont incapable d'obéir à des ordres alors ce sont des traites potentiels et le tarif des traites est la mort sans somation. C'est ainsi et pas autrement. L'inconnu ,qui ne l'était plus pour moi, s'adresse à moi et je pose mes yeux océans sur lui tout en mettant une seule main sur mes hanches. Je reste neutre sous mon air de sévérité que j'affiche toujours vu qu'on est en guerre. Néanmoins, une phrase adoucit mes traits face à la surprise. Il avait parlé de ma mère... Cela ne pouvait être qu'une seule et unique personne... Très peu de personne peuvent prétendre avoir connu ma mère... Un seul pour être exact... Et cette personne se trouve devant moi. Replaçant une mèche de cheveux, je montre un demi-sourire.
« - Donnez-moi une seule bonne raison de ne pas le faire. Le sang a déjà coulé et c'est Konoha qui l'a fait couler et non Kiri. Si l'hokage aurait été plus intelligent, on en serait pas là... Je ne reviendrais pas sur cette décision... Quant à ma mère, laissez-là en paix. Elle a déjà eu bien trop de tourment sur cette terre maudite... Vous devriez le savoir, n'est-ce pas... Ryo Mizake, Rokudaime Kazekage ? »
Je le regardais avec détermination et je ne comptais pas reculer. Oncle ou pas, il ne m'empêchera pas de aire ce que je dois faire et appliquer la décision commune de tous les Kirijiens. Je suis là pour eux et non pour ma gloire personnelle. Je ne suis pas égoïste comme l'a été Yagura. J'aime mes ninjas mais il est temps pour eux de me montrer leur loyauté et leur force qui seront aussi celle de Kiri. Je ne suis pas à l'abri d'avoir des traîtres mais au moins, je serais sûre que cette fois, Kiri sera sous mes ordres et non sous ceux des clans que ce crétin de Yondaime a mis en place et qui ont visé leur enrichissement personnelle. D'ailleurs, plusieurs de ces clans sont présents. Les yeux fixes sur l'homme encapuchonné, des murmures se font entendre parmi mes conseillers dès que j'eus prononcer son nom mais aussi son grade. Est-il venu déclarer la guerre à Kiri ? Au fond de moi, je n'y tiens pas. Faire la guerre à son village natale... Il ne manquerait plus que ça maintenant... Mes longs cheveux attachés sur le côté gauche, je reste silencieuse tandis que d'autres événements vient perturber mes oreilles. J'entends alors une voix et je ferme les yeux en montrant un sourire. Tournant un peu la tête, je fais signe à un garde de laisser passer les repas. La kunoichi qui y a penser est vraiment adorable car je commençais à avoir faim.
Profitant de cette ouverture, un homme de Kiri entre dans la tente et il s'approche de la Mizukage en lui donnant un papier. Celui-ci lui murmure quelques mots à l'oreille et elle hoche la tête. Pour le moment, tout semblait aller dans le sens qu'elle l'avait prévu. Cette guerre allait être lourdement écourter. Ouvrant le papier, elle le lit rapidement et elle savait de qui cela venait. Soit on est organisé soit on l'ai pas. C'est au choix. Dans mon cas, je suis plutôt organisée. Cela a toujours été ainsi. Laissant le messager partir et gelant le papier qui se détruit, je souris à la personne me ramenant mon repas puis je pose une main délicatement sur son épaule et un regard plein de compassion pour celle qui voulait prendre soin de nos troupes grâce à la nourriture apporter. Elle la regarde avec une certaine tendresse, un peu comme une mère avec ses enfants. Elle est la mère et tous les Kirijiens sont ses enfants... Ils sont tous de sa famille... Après plusieurs secondes, elle retire sa main et elle dit d'une voix chaleureuse et honnête.
« - Merci pour ce repas qui m'a l'air vraiment succulent, Nori ! »
La jeune chuunin pouvait être surprise qu'elle connaisse son identité. Je ne suis pas Kage pour rien, je connais mes hommes et tout ce qu'il y a savoir sur eux. C'est comme ça qu'on peut organiser au mieux ses stratégies. Ils sont tous plus ou moins différents mais c'est tous ensemble qu'ils feront un véritable massacre. pour une fois depuis mon arrivée au pouvoir, je vois un village uni par la même flamme et uni devant un seul être...
Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (273/1000) | Âge du personnage | : 28 ans
Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Mar 19 Juil 2011 - 16:56
• Retrouvailles armées •
Autant dire que je m'étais pris un magnifique revers de manche en arrivant au camp des ninjas de Kiri. Mon apparition surprise ne semblait pas vraiment les alarmés, hormis quelques personnes qui murmuraient entre elles, les autres vaquaient à leurs banales occupations et préparatifs de guerre. Pourtant, il fallait que je demeure calme, ce qui n'était pas vraiment difficile car j'avais connu tout de même pire que ce genre de situation. Que vous dire de plus ? A part que la personne en face de moi semblait plus perplexe qu'alarmée, étrange de se dire que l'on faisait moins peur qu'avant. Les deux éclaireurs quant à eux semblaient reprendre leur esprit peu à peu, ils clignaient fréquemment des yeux et se tenaient la tête avec un regard inquisiteur. J'aurai bien voulu les assommer encore un coup pour qu'ils ne me posent pas de problèmes mais apparemment les troupes présentes se faisaient déjà violence pour ne pas tous me sauter dessus. Il étaient beaucoup, c'était le moins que l'on pouvait dire, si la guerre éclatait il était absolument improbable qu'il n'y ait pas de pertes civiles. Cette pensée m'horripilait au plus haut point ; rien que d'imaginer les cris, le sang, les pleurs, les cadavres et autres horreurs, mon ventre tournait sur lui-même et m'envoyait des haut-le-cœur successifs que je me forçais de réprimer. J'espérais secrètement que si je ne réussissais pas à convaincre ma nièce, Konoha et son Hokage soient assez préparés pour riposter ou bien simplement tenter de survivre et de repousser l'assaut.
Je ne pouvais cesser de penser qu'Akari ressemblait énormément à sa mère, la même allure avec laquelle elle me toisait maintenant me rappelait l'époque où j'étais sous les ordres de la Hasegawa. L'arc d'un sourire barra mon visage pendant un instant puis s'estompa aussitôt laissant place à une expression cristalline sans crispations. Je n'étais pas un novice dans ce genre de négociations, cependant je ne pouvais pas repousser l'idée qu'il était absolument probable que j'eusse à devoir user de la force pour ramener ma petite à la raison. La pauvre Yuka devait se retourner dans sa tombe à cet instant, l'image d'un combat entre deux membres de la même famille devait être très dure à supporter. Je me demandais qui elle pouvait supporter en ce moment, moi-même dans mon désir d'armistice ou bien sa fille dans son objectif de destruction et de conquête, à vrai dire je n'arrivais pas à cerner totalement le caractère de l'ancienne Kazekage pour tirer de telles conclusions. Quoi qu'il en soit, à cet instant, la Mizukage ne semblait pas du tout avoir peur de moi, quelque chose dont je me doutais un petit peu, elle ne serait absolument pas surprise pour deux sous. De plus j'avais fais un faux pas : j'avais parlé tellement calmement que j'en avais oublié de tenter de changer ma voix, peut-être était-ce cet élément ou bien un autre, mais elle ne fut pas dupe, sans grande surprise elle décela instantanément mon identité. J'avais le choix entre jouer la comédie, ou bien faire tomber le masque, déjà qu'à la prononciation de mon nom et de mon ancien titre les murmures se firent encore plus fort, autant jouer sur cet effet. Me redressant de toute ma taille, ce qui me rendit plus grand que la femme qui se tenait en face de moi, j'attendis quelques minutes, pendant que celle-ci semblait remercier un tel pour je-ne-savais quelle raison. Je n'aimais pas vraiment couper les gens dans leur discussion. Toutefois, celle-ci finit, mon bras gauche s'éleva jusqu'à ma capuche et la fit tomber, découvrant ainsi le visage fatigué mais toujours calme de l'ancien Kazekage. Aussitôt des exclamations fusèrent dans les rangs de l'armée qui étaient assez près pour me voir, je pus même apercevoir un mouvement de bouche-à-oreille, il fallait que j'agisse maintenant, car passer ce délai tout le monde serait prévenu de ma présence et comme Suna avait le titre d'allié de Konoha, cela serait encore plus dur de les empêcher de m'attaquer. Discrètement sous ma cape, je fis un unique mudra, instantanément je sentis mes jambes se raidir et se parcourir de chakra ; cette sensation familière me rassura et délia en même temps ma langue :
« Je n'ai pas été assez prudent, j'ai omis l'une des règles que je t'avais enseigné : la comédie. Excuse-moi ma chérie je me fais un peu vieux. J'aurai dû me douter qu'en parlant de ta mère tu me reconnaîtrais, soit. Nous somme en une trop grande compagnie, allons ailleurs, tu veux ? »
Sur ces mots je mordis mon pouce gauche pour le faire saigner puis je pris un appui sur le sol et l'infime distance qui me séparait précédemment d'Akari fut parcourut en quelques secondes, prouesse que je devais à ma technique de déplacement rapide effectuée juste avant en un mudra. Lorsque je fus à quelques centimètres de la jeune fille, mon index droit prit contact avec le pouce qui saignait, une seconde plus tard apparaissait dans un nuage de fumée mon épée fétiche "Kurai" dans toute sa longueur. Je fus content de voir qu'avec le temps la lame n'avait pas ternis et avait gardé toute sa splendeur, je fis alors secrètement la promesse de faire une prière à Lucis pour ce magnifique cadeau. Le temps quant à lui, semblait avoir ralentis, certainement un coup de l’adrénaline, je pus voir distinctement pendant un millième de seconde le visage de ma nièce, c'est vrai qu'elle était devenue jolie, mais je ne pus pas réellement explorer l'affirmation car le temps reprenait son cours normal et je fus agréablement surpris de voir que la Mizukage avait dégainé aussi rapidement que moi ce qui était en soi assez difficile sous la surprise, mais peut-être ne l'était-elle pas, surprise je voulais dire. Par la suite nous quittâmes le sol prit par l'élan de ma course, nos deux lames s'entrechoquèrent et des étincelles fusèrent un peu partout, je devais quand même faire peur avec mes iris devenus rouges sous l'utilisation du chakra, si c'était le cas la Hasegawa ne semblait pas le montrer. Malgré le reflux du vent dans mes oreilles j'entendis les exclamations s'élever dans les airs. Quand je vis que nous étions assez loin pour parler tranquillement je brisai le contact et me posta sur la branche épaisse d'un arbre, toujours positionné en face d'Akari qui semblait avoir fait de même. Je fis tournoyer la lame dans ma main et puis la plantai dans le bois pour m'accouder dessus. Dans très peu de temps je serai assaillis par des Kirijins en furie, il fallait que je règle cette affaire au plus vite :
« Je dois t'avouer que ça me fait énormément plaisir de te voir, dans d'autres circonstances je t'aurais pris dans mes bras, mais malheureusement je ne crois pas que se soit le bon moment pour cela. Apparemment les mots seront insuffisants pour t'empêcher de faire cette bêtise, donc affrontes-moi. Si je perds tu peux passer et semer le chaos à Konoha, dans le cas contraire, tu te verras obliger de battre retraite et de retourner à Kiri. », proposais-je calmement tout en fixant ma nièce d'un regard sévère.
Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Mar 19 Juil 2011 - 22:28
Sous la tente d'Akari, j'avais élue domicile temporairement. Certes j'étais encore Nukenin au sein de nombreux villages, mais la situation actuel des choses pouvaient me permettre de me tenir à côté d'une personne qui avait au final et à ma grande surprise une place importante dans ma vie, une attache, une oreille à qui parler. Depuis un certain temps, j'avais pris le large pour me retrouver seule afin de faire le pour et le contre, de me remettre en question. Qu'elle était ma place dans ce monde ? Pouvais-je encore croire à mes idéaux ? Pouvais-je supprimer cette haine qui m'avait consumée à chaque instant, cette haine envers les diplomates de Kiri et tout particulièrement envers un homme que j'avais réussi à voir dans ma nation, dans un endroit reclus de toute civilisation où la mort me côtoyait à chaque moment.
J'avais survécu à cet enfer, puissant dans cette haine pour me hisser hors des filets de Kiri. Pourtant, si Akari n'était pas là, j'aurais pu sombrer dans les ténèbres voulant me venger de ma nation. Cette femme aux cheveux de roses m'avait sortie des griffes de la mort et mieux encore ! Me donna un nouvelle avenir.
Regardant de profil les gens courir à tout bout de champs à travers l'entrée de la tente, mes yeux azur pouvaient également voir le conseil de guerre qu'entretenait la Mizukage à ses troupes, du moins ceux qui était-là. J'avais même pu assister à son discours pour motiver ses troupes pour le combat. Pour ma part cela ne me regardait pas et franchement le sort de mon village m'importait peu. Du moins j'essayais de le faire paraître physiquement dans mon attitude. Étant froide, distante, mon seul regard glaça la plupart des shinobis qui osaient croiser le mien. Soupirant face à cette nouvelle guerre qui allait commençais, j'allais exprimer mon opinion à la lady qui dirigeait Kiri d'une certaine poigne, donnant des ordres précis et clair à ses hommes et femmes qui étaient sous ses ordres.
Un homme entra dans la tente, demandant si tout allait bien. La prudence était certes nécessaire, mais que les éclaireurs ne furent pas de retour ne signifiait pas forcement qu'ils étaient morts. Pour la nouvelle génération ce fut un pas en avant pour la première guerre qui allait mener directement. Les choix qui allaient effectuer changerait à tout jamais la face de notre monde. Pour ma part, j'étais déjà habituée aux champs de bataille, voyant la mort de bien nombreuse fois. Le sang, les pleurs, les amis qui mouraient devant vous, je connaissais ce sentiment mieux qui quiconque sur cette base. Bien qu'étant qu'une jeune Kage Akari avait-elle déjà participer à un conflit de ce genre ? J'avais des soupçons sur ce sujet. Toutefois, elle pouvait compter sur moi pour la soutenir dans ces moments-là. Toutefois, en la voyant à l'oeuvre avec tant d'assurance à commander je me disais qu'au final qu'elle s'en sortirait très bien sans mes conseils.
Cependant, la venu d'un individu allait mettre Akari dans une autre situation, surtout après qu'il eut prononcé ses paroles. Ainsi Ryo Mizake était le Rokudaime Kazekage. Étrange qu'un homme de son talent vienne directement dans la base. Vu la carrure de cet individu je savais très bien pourquoi il était là, du moins ce fut logique. Tentait d'arrêter cette bataille d'une manière ou une autre.
Je n'avais pas oublié ce shinobis masqué, d'après ce que j'avais compris j'étais sous ses ordres. Ex-ninja de Konoha devenu traître pour renversé le pouvoir de Fujita Kodo. Cela était ironique, des hommes de l'hokage qui se rebellait contre leur meneur, voilà une bien triste histoire. Si ce Fujita était assez intelligent il n'aurait jamais dû faire ce qu'il avait fait à notre nation, à mon ex-nation, car la colère du pays de la brume et sans pitié envers ce genre d'individu.
Sachant que je gênais dans la conversation entre les deux protagonistes, je me retirais tranquillement ouvrant ma bouche et m'avançant vers la sortit avec ces mots pour la seule et unique personne qui fut encore en vie de ma famille.
Je te laisse Akari, je pense que ma présence risque de vous gêner. On se retrouve plus tard cousine...
Après cette phrase je sortais en direction de Konoha on j'allais commencer ma mission, du moins la débuter sans trop de danger. Ma fierté m'empêchais de dire mes vrais sentiments, j'aurais voulu pouvoir dire à Akari de ne pas mourir, de rester en vie coûte que coûte... Je ne pus rien dire, marchant silencieusement vers ma destinée encore une fois ternie par les prémices d'une future guerre.
InvitéInvité
Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Ven 29 Juil 2011 - 21:28
« Today isn't a good day »
Titre rançais
La guerre, triste évènement, qui pourtant, à de trop nombreuses reprises, dirige le monde shinobi. Que ce soit à mon époque, celle de mon père ou bien du fondateur de mon clan, à chaque époque une guerre. Des batailles rangé, sur des zones naturelle, emplie de la vie animale, mais qui au final, perd sa verdure, remplacer par la sombre couleur du sang. Maudit sois ceux qui, uniquement animé par le plaisir de tuer, sillonnent les champs de batailles, avec pour seul but, de massacrer quiconque s’oppose à eux. Nous perdons tous des personnes qui nous sont chère, au quotidien, le ninja sais très bien, qu’une fois en mission, tout peut arriver, aussi bien de bonnes choses, que de bien plus funeste. En tant que ninja du village caché de la Brume, je sais que mon destin, peut me conduire à perdre la vie pour le bien de Kiri. Je suis près au sacrifice ultime, si cela permet, comme l’ont fait tant d’autres avant moi, de protéger ma famille, mes amis, les villageois. Alors qui sait ? Oh pas que je sois presser de tomber au combat, bien au contraire.
Je sais quel est mon but, je sais quoi faire pour l’atteindre, mais depuis peu, c’est tout autre chose. J’ai une nouvelle charge sur mes épaules de chuunin, une promesse à tenir. Nous sommes en route pour la guerre, je sais d’avance que je suis en binôme, avec une autre ninja médecin, que je connais bien pour être une senpai à l’hôpital, elle est bien meilleur ninja médecin que moi, mais ça ne nous empêche pas d’être bon camarade et amis. Une kunoichi que j’apprécie grandement. Je plain nos futurs adversaire, car s’ils prennent à la légère, un duo de ninjas médecin, ils risquent de rapidement ce mordent les doigts. Enfin… Faut encore avoir l’usage de leurs doigts, je ne peux rien promettre. En plein combat, je me vois pas plus, dire à mon amie de faire attention de ne pas briser les doigts de nos ennemis, un minimum de sérieux tout de même ! Qui plus est, deux ninjas qui chacun, maitrise parfaitement leur chakra, ne sont pas des adversaires facile à combattre, donc mieux vaut ne pas nous sous-estimés. Enfin, nous verrons bien une fois les hostilités lancer.
Le voyage est des plus calmes. Par le passé je suis déjà allé au pays du feu, au village caché de la feuille. Malheureusement, ce n’est plus la même époque, plus avec les même personnes, plus dans le même contexte, ni pour les même raisons. Bien au contraire, autant ma première venue fut positive, examen de sélection des chuunins, rencontre avec diverses personnes, autres que des kirijins. Quelque chose de joyeux et plaisant en somme. Autant cette fois-là, c’est pour la guerre, devoir livrer batailles à des personnes que j’ai pu rencontrer à l’époque, ne sera pas chose facile. De toute façon, dans son discours plein de sens, maitre Mizukage à bien dit, que ne nous nous attaquions qu’à ceux qui comptent s’opposer à nous. J’espère que les personnes que j’ai rencontré n’en font pas partit. Si c’est le cas et que je suis en face d’eux, mon devoir primera sur les sentiments, mais aucune joie ne pourra en résoudre, ça j’en suis bien certain.
Nous sommes finalement en position. Notre camp, situé non loin du village de notre cible, est bien fait. Des gardes patrouillent un peu partout, diverses tentes dresser. La plus grande et belle, celle du centre, où se trouve maitre Akari-dono. Heiwa-chan, ainsi que moi-même, nous sommes un peu éloigner de la tente principale, assis contre un arbre pour ma part, mon sabre en main vers le sol et le visage lever vers ma camarade. Avec un petit sourire je dis.
Heiwa tu en pense quoi toi de tout ça ? Je veux dire, on sait ce qui va arriver, mais c’est ma première guerre. Et toi ? Tu as déjà participé à des grandes opérations militaires ? Te fait pas de soucis en tout cas, je compte bien veiller sur tes arrières. Sinon je suis bon pour me retrouver une belle senpai, qui s’occupe des frais de resto donc bon, tu imagines la galère ?
Puis je ferme doucement les yeux, comme concentré, attendant sa réponse.
Codage by Hana Lyoko / Akari Hasegawa
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Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Lun 1 Aoû 2011 - 13:26
Et bien...
Chouette
J'avais su lire à travers son regard et les indices qu'il m'avait laissé dans ses paroles.Ainsi mon très cher oncle avait décidé d'intervenir. Mais pour quelle raison ? C'est une chose que je devais absolument découvrir. Etait-il ici pour représenter Suna dans la guerre qui prône sur le village de la feuille ou bien était-il venu seul ? Je savais que le village du sable avait changé de pouvoir et Ryo avait laissé place à quelqu'un de plus jeune et plus efficace que lui. Après autant d'années de règne, il devait revoir ses priorités. Mais ce n'est pas parce qu'il est mon oncle que je vais le laisser faire tout ce qu'il veut parmi les miens. Dans une guerre, il n'y a pas de famille, il n'y a que des alliés ou des ennemis. Ce n'est pas moi qui est fixé les règles du jeu et je le regrette beaucoup car il est vrai que ce village a besoin d'un bon changement de pouvoir. Et j'avais un pacte à honoré. Je ne peux pas non plus me dire que je ne dois pas attaquer le village en raison du fait que j'ai passé la moitié de ma vie dans ce village proie à beaucoup trop de chose. Je ne suis pas là pour mettre le pays à feu et à sang... Je suis juste là pour donner une bonne leçon à ce village qui a la grande gueule et rien d'autre. Il est temps de rappeler au monde que Kiri est le village le plus puissant et le plus efficace... Depuis des années, ce village est craint et il doit le rester le long de mon règne sur ce village sanglant. J'entends alors ma cousine et je souris. Oui, j'ai encore de la famille et j'avais découvert ce lien en fouillant son dossier après qu'on se soit battue côte à côte lors de mon passage en prison. Je lui fais un signe de la main avant de dire.
« - A plus tard cousine ! »
Je la regarde s'éloigner avant de regarder une nouvelle fois mon interlocuteur. Mon oncle se redresse devant moi et je le suis du regard. Plaçant ma main gauche sur ma hanche, je ne fais que l'observer. Néanmoins, je tourne les yeux parmi les membres présents et je mets mon bras gauche à l'horizontal afin de leur rappeler qu'ils ne doivent pas s'en mêler. Je n'avais pas besoin de prendre la parole pour me faire comprendre. Ce qui est un bon avantage. Non pas qu j'ai peur de lui ,car je sais mieux que quiconque qu'il n'est pas dit que je parvienne à le battre s'il décide de me combattre pour faire entendre sa voix en guise de raison, mais j'évite de le montrer. Mes battements de cœurs se font plus rapide et mon sang ne cesse d’accélérer sa cadence... Je sentais l'adrénaline se manifester et j'avais hâte de me dérouiller un peu quand même. Il était plus grand que moi mais je maintiens calmement mon regard déterminé et inquiet à la fois. Je ne devais pas plier devant l'autorité d'un chef qui n'est pas le mien... Je refuse de plier genou. Le chef, c'est moi et personne d'autre... C'est alors que la capuche tombe et je montre un demi-sourire. J'avais vu juste et j'avais deviné qu'il s'agissait de mon oncle tout cracher. J'entendais alors les murmures s’élever un nouvelle fois. J'hoche la tête en le regardant à travers mes yeux aussi bleus que la mer qui entoure le pays de l'eau.
C'est alors que je ferme les yeux quelques secondes après l'avoir entendu me demander de quitter la tante. Ainsi, c'est ce qu'il voulait... Et bien soit .C'est alors que mes deux tatouages se trouvant sur mes poignets s'illuminent et ma main droite se met devant mon visage avant de s'élancer à l'horizontal et ma gunblade apparait dans ma main droite faisant disparait le tatouage de mon poignet droit. Et oui, j'ai eu le temps de travailler sur plusieurs techniques depuis toutes ses années et je porte bien le surnom de Dragon des Neiges éternelles, il faut donc se dire que ce n'est pas du au hasard. Bien que surprise, j'avais eu raison de rester vigilante. Ma lame ,ayant quitter son nid douillet, devait désormais faire son travail en me protégeant. Par réflexe, je la place devant moi et les lames s’entrechoquèrent une première fois et j'ai du m'arranger pour quitter la tante sans que mon oncle ne fasse de dégâts. Une fois à l'extérieur, je le suis des yeux et les lames ne cessent d'entrer en contact dans un bruit assez caractéristique. Pour le moment, je ne fais que me défendre et cela avait un but bien précis. Premièrement, montrer à mes hommes que j'ai bien l'intention de me battre et deuxièmement, que Konoha voit ce qui arrive lorsqu'on me fait sortir de mes gonds. Cela n'était que l'entrée à vrai dire et je dois avouer que c'est assez tentant... L’excitation d'affronter mon oncle s manifeste. Bien qu'il ai été un exemple pour moi, je devais le battre pour parvenir à mes buts finaux qui ne peuvent être révéler. Les coups se multiplient et je respirais au rythme du bruit des lames. Je n'avais pas vraiment perdue la main depuis le temps... C'est bon de marcher de nouveau dans la boue des combats en face à face.
Une fois assez éloigné, celui-ci cesse les contacts inter-lames et je l'observe simplement. Il prend pied sur une branche épaisse. Pas si vite, toi ! Le rejoignant, je le vois jouer avec sa lame puis la planter dans la branche épaisse. Baissant ma lame, pointe vers le bas, je ne compte pas l'attaquer et d'ailleurs, cela s'est prouver avec les multiples coups que mon oncle adoré à provoquer en forcant deux lames à croiser le fer. Puis il se met à me parler et je le regarde d'un air surpris. Cette fois-ci, je suis surprise car je m'attendais à ce qu'il y a plus fortement. Mais soit... Ouvrant mes oreilles, j'écoute avec attention ce qu'il devait me dire avant d'être assez intéressée par sa proposition. Un défi ? Il devrait savoir que je ne refuse jamais un défi. Mais deux possibilités possibles : soit je gagne et je mène cette guerre soit je perds et je retourne à Kiri. Rapidement rejoint par mes propres troupes, je remarque qu'un shiruken à été lancé dans le dos de mon oncle. Sautant en l'air, je lance un kunai qui vient directement se poster sur le shuriken alors dévié de sa trajectoire. Atterrissant sur une autre branche, je me relève en me tournant vers mes hommes.
« - Suffit ! Restez où vous êtes... »
Dis-je d'un ton plein de reproche. Je les regarde les uns après les autres et je soupire. Ils doivent m'obéir et ils savent ce qu'ils les attends s'ils font le pas de trop. Mais je réglerais ça plus tard. Pour le moment, je devais m'occuper de mon oncle. Le rejoignant et me remettant en face de lui, je garde ma lame en main tout en réfléchissant. A vrai dire, ma décision était déjà prise... Depuis longtemps même... Lui faisant signe de me rejoindre en bas, je disparais pour poser le pied à terre. Je n'ai pas peur du ciel mais je me sentais plus à l'aise au sol. Une fois qu'il m'a rejoint, je prends alors la parole d'un ton neutre. Cette fois, plus de retour en arrière possible.
« - Très bien puisque tu ne me laisse pas trop le choix non plus... Allons s'y, mon Oncle !»
Bien sûr que je suis contente de le revoir mais l'heure n'est pas au mode bisounours... Il m'avait lancé un défi et je me devais d'y répondre. On verra bien ce que je vaux à côté de lui qui a toujours veiller sur moi sauf depuis que j'ai quitter Konoha où j'ai choisi ma propre destinée. Mais même si je reviens au village de la feuille, ce n'est pas pour me faire silence. Bien au contraire... Me mettant en garde, je me prépare en concentrant mon chakra d'une main. Oui, vous avez bien vu, je suis capable de malaxer mon chakra d'une seule et unique main... Ce qui montre quelque part une petite supériorité sur les autres mais je ne suis pas du genre à m'en venter non plus.
Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (273/1000) | Âge du personnage | : 28 ans
Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Lun 1 Aoû 2011 - 20:00
• La famille •
Si j'avais su comment allait se dérouler le reste de ma journée je n'aurais même pas pris la peine de me lever de mon lit, et surtout pas de faire brûler mon logis. Mais la vie était ainsi faite, je ne pouvais absolument pas me lamenter sur mes choix, je savais très bien ce que je faisais, mes actes étaient accomplis dans un but précis ; agir sur un coup de tête n'était pas du tout mon genre, sous-peser le pour et le contre de la question était devenu automatique. Peut-être une habitude prise lorsque j'étais Kage, mais quoi qu'il en soit, je n'avais certainement pas le temps ni l'occasion de me poser la question, du moins pour le moment. Le deal ultime avait été posé par mes soins à ma nièce, et si j'en jugeait par les précédentes réactions qu'elle avait eut, il y avait très peu de chance pour qu'elle le refuse. Maintenant, il fallait savoir si j'étais réellement capable de la stopper, dans ses gênes coulait le sang de mon maître et de ma prédécesseur au titre de chef du village, croire qu'elle ne serait pas à ma hauteur ne pouvait être que simple absurdité. Il était même envisageable que je ne puisse même pas la blesser, si tel était le cas, je n'aurai plus qu'à partir loin dans une grotte pour vivre tel un ermite. Soit, il fallait quand même y aller maintenant, sinon quelle dignité pouvais-je détenir pour avoir lancer de telles dires sans les assumer ? Pourtant je ne pouvais cesser de penser que j'en avais fait beaucoup trop, juste à l'instant. Pour sur, elle allait y aller à fond sur moi, famille ou pas famille elle semblait résignée à partir faire la guerre. C'était donc à moi de la ramener à la réalité. Quelle dure responsabilité d'être parent vous ne croyez pas ? Cependant, pour le moment, il n'y avait pas à se poser de question, ça ne pouvait être qu'elle, ou moi, pas les deux, je me devais de faire tout mon possible pour la stopper, quitte à utiliser les grands moyens.
Le choix était fait, maintenant je devais foncer. Pour en revenir à l'instant présent, on pouvait dire avec assurance que l'heure était au jugement : ma nièce réfléchissant au dilemme que je lui proposais, ses troupes arrivèrent par masse, super un public, il ne manquait plus que cela. Et pour couronner le tout un public qui m'attaque, comme-ci je n'avais pas sentis le shuriken qui arrivait dans mon dos, quelle fourberie d'attaquer un adversaire par derrière, si j'en avais eu l'occasion j'aurai fait payer cet acte à son auteur. Mais le temps était bien le dernière chose que je devais gâcher. Alors que j'allai me défendre, Akari fut plus rapide que moi : elle lança un kunai qui se planta directement dans le creux circulaire du shuriken, "beau geste" pensais-je. Heureusement qu'elle l'avait fait car j'en aurais fait beaucoup plus que simplement dévier la trajectoire du projectile. Elle dit ensuite à ses troupes de rester sur leur position, bonne idée, s'ils avançaient un tantinet de plus, ils risquaient sans doute d'être blessés par ma prochaine attaque je préparais. L'instant d'après, ma nièce me rejoignis sur la branche où je me trouvais, elle me tint le regard et m'annonça qu'elle acceptait mon marché. Je ne fis aucun mouvement suite à cette déclaration, toujours accoudé à la garde de mon épée je me contentai de garder la même expression neutre que précédemment. Je me devais de garder pour moi ma perplexité sur l'issue du combat, autant pour moi que pour elle car s'il s'avérait qu'elle décèle la moindre once d'incertitude en sur mon visage c'en était fini d'avance. Me redressant, je me rendis compte que quelques secondes après que ma nièce avait quitté la branche et était descendue sur le sol, bon choix stratégique, il nous faudrait effectivement de l'espace pour l'affrontement qui allait suivre. Retirant mon arme de l'écorce je fis un bond et atterris doucement sur la terre ferme. Posant la lame de Kurai sur mon épaule j'attendis toute réaction possible. Et justement, la Mizukage me "permit" d'attaquer en premier. En somme c'était un bon point pour moi, mais à mauvais pour elle. Il n'y avait plus de famille qui tenait, j'allai mettre le paquet dès le début. Levant la tête vers le ciel, je priai silencieusement Yuka de ma pardonner pour ce qui allait suivre. Cela fait, je fis tournoyer mon épée, mais au lieu de foncer pour une attaque frontale, je fis autre chose : je lançai l'arme derrière moi. Acte très étrange, mais au lieu de se fracasser sur le sol, l'artefact disparus dans un nuage de fumée blanche. Je n'avais pas le temps pour des explications, de mes deux mains je me mis à effectuer une rapide série de mudra, l'air grésilla un instant, puis une odeur d'ozone se fit sentir :
Instantanément, un brouillard noir traversa les troncs d'arbre disséminés un peu partout dans la forêt, et en quelques instants, un nuage orageux engloba le terrain où nous étions sur une surface de 10 mètres, et n'importe qu'elle personne qui entrerait dans ce nuage serait foudroyé sur le champ. J'avais maintenant le bénéfice du terrain, le nuage était inoffensif pour ma personne, mais pas pour Akari. Certes je l'avais perdu de vue car le brouillard était assez épais mais je pouvais sentir son chakra. Elle avait fait la mauvaise chose que de le malaxer juste avant que j'attaque, ce qui la rendait encore plus repérable que n'importe qui. Mais je n'en avais pas fini, j'avais dis que j'allai mettre la sauce, et j'allai le faire. Mon pouce gauche saignait encore un peu, parfait. Dans un geste vif mon pouce gauche entra en contact avec mon pouce droit. Et alors que sa matérialisait dans ma main la poignée de ma prochaine arme, je fis un puissant bond sur le sol et décollai à 5 mètres du sol. N'importe qui aurait pu trouver sordide le fait que mes mains soient au-dessus de ma tête comme-ci je brandissais une arme alors qu'il n'y avait absolument rien. Mais était-ce vraiment sordide lorsque Nisshoku apparut soudainement dans un nuage de fumée ? Cette lame de 20 mètres de haut et 15 mètres de large qui cachait la lumière du soleil. Dans un râle de colère j'abattis l'immense épée sur l'emplacement où se trouvait Akari, je n'étais absolument pas à quelques centimètres près. L'ampleur de l'arc descendant fut tel que le nuage se fendit en deux. La Mizukage et Nisshoku se faisant maintenant face. J'avais eu l'effet de surprise, il y avait très peu de chance pour que ma nièce en réchappe sans égratignure. Mais alors que l'immense sabre allait s'écraser sur sa cible, j'eus un flash étrange : je vis Akari, plus petite un sourire jusqu'aux oreilles qui me disait qu'elle avait réussis à planter un kunai dans le mille. L'image s'estompa, j'eus l'absurde réflexe de ralentir par ma seule force Nisshoku dans sa descente, j'avais peut-être donné l'unique échappatoire possible à ma nièce mais en avait-elle profité ? Je ne pus le savoir, tout simplement car l'arme s’abattit alors sur le sol. Toute la terre gronda, la déflagration fut violente, un nuage de poussière se mêla à ma technique de Ranton. Je fus alors pris de panique tandis que Nisshoku disparaissait dans un "pof" et dans une ballet de fumée blanche. Où pouvait bien être Akari ? L'avais-je vraiment eu ? Si c'était le cas, c'était une bonne nouvelle, mais aussi une mauvaise. J'étais là, le visage exprimant clairement l'incertitude toujours en l'air, attendant le moindre signe de la Mizukage.
Spoiler:
Citation :
• Ranton - Raiunkûha [Vague du Brouillard Électrique] •
Description : Cette technique permet de créer un anneau d'orage noir électrifié. L'électricité se propage alors dans tout le terrain, dans les airs comme sur le sol. Touchant toute personne présente sur 10 mètres.
Rang : B
• Nisshoku [日食]. [L'éclipse du Soleil] •
Description : Si vous deviez comparé cette épée à celle de Zabuza, on peut dire que la Trancheuse de Tête n'est qu'un cure-dent. Bout de métal d'au moins 20 mètres de haut et 15 mètres de large, elle peut être comparé à l'épée de Cloud mais en 100 fois plus grande. Seul soucis, elle ne comporte qu'un seul coup, un coup ascendant de bas en haut, cela fait elle disparaît en fumée jusqu'à la prochaine invocation.
Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Mer 3 Aoû 2011 - 13:32
Leçon numéro Une
...
Mon oncle me connaissait bien. Malgré les années qui ont passées, il était le seul à réellement me connaitre. Il peut me comparer à ma mère puisque je lui ressemble surtout d'un point de vu caractérielle. Je ne suis pas le genre de personne à me laisser marcher sur les pieds et je savais prendre une décision par moi-même lorsqu'il le fallait. Mais je ne suis pas un tyran... Ma mère ne l'était pas non plus... Je savais... Au fond de moi, je savais que mon père avait été le maître de mon oncle parce que ma mère me l'avait dit alors qu'elle était encore de ce monde. Paix à son âme... Maman, je t'aime et je t'aimerais toujours... Bien que tu ne sois plus là, j'ai l'impression que tu es toujours à mes côtés. Je ne sais pas si tu es fière de moi mais je me bats dans un monde déchiré par le mensonge et l'injustice. Je promets de faire oublier ses valeurs au monde... J'ai subit l'injustice de te voir partir trop tôt et je refuse que les miens subissent la même chose. Contrairement à moi, j'ai laissé le choix à mes ninjas de venir se battre ou de rester auprès des leurs. Lorsqu'on a une famille, nos objectifs changent et c'est une chose que j'ai compris que récemment. Bien entendu, me concernant, je ne suis pas encore maman et je ne sais même pas si je le serais un jour... Mais pour le moment, je suis bien trop libertine...
En cet instant, mon oncle était mon seul et dernier parent encore en vie. Enfin, parent... Disons que je ne suis pas sa chaire mais que le considère comme le cas vu qu'il a toujours été présent pour moi lorsque j'en est eu besoin. Je le considère tout comme. Pourtant, on a aucun lien hormis le lien qui l'unissait à mon père. Seulement actuellement, nous sommes en train de nous affronter. Autan dire que les dégâts seront considérables. La preuve, je l'avais laissé attaquer le premier... Seulement, ce n'est pas par hasard... Je l'ai fais de manière volontaire et il semblerait qu'il est oublié la première leçon qu'on nous enseigne très jeune. Laissant mon chakra se malaxer, j'attends calmement. Puis il lance sa lame en cercle avant qu'elle ne disparaisse dans une fumée blanche. C'était mauvais signe pour moi. Peut-être ai-je eu tord de le laisser commencer ? Hum... Finalement non. Nos regards se croisent et je profite même de l'occasion pour composer une série avant de murmurer une technique assez pratique mais dont je suis que son élément ne traversera pas.
« - Hyouton, Sode no Shirayuki Mai ! »
Dès lors, ses deux katanas jumeaux appartenant aux Hasegawa se manifeste et deux sortes de long ruban se manifestent entourant ainsi Akari. Puis un léger claquement de doigt et un vent glaciale se présente. Pourquoi ? Deux raisons, la première est là pour faire apparaitre une couche de glace permettant de me protéger efficacement mais aussi pour rappeler aux autres que je suis maître de cet élément et que personne ne pourra faire ce qu'il souhaite. Jamais... Je suis à la tête d'un village et ce n'est pas pour rie, et c'est un rappel que je me dois de faire très souvent. Lorsque j'étais plus jeune, j'avais réussi à maitriser mon affinité héréditaire avant même de maitriser le reste. C'est la raison pour laquelle un papier chakra ne savait pas quel élément je pouvais être et c'est lors des entraînements que mes sensei ont compris pourquoi le papier chakra est resté muet sur mon affinité. Mais après il n'y a que moi pour le savoir. Mes deux maîtres ne sont plus là pour le confirmer. J'étais prise dans le nuage électrique où j'attendais. Grâce à ma protection glaciaire, j'étais tranquille puisque son élément ne pouvait traverser ma couche de glace. Bien que l'eau soit un excellent conducteur, la glace n'est pas conductrice. Bien au contraire... Aussi solide que la roche, je me tenais debout et fière comme un i. Gunblade en main et jumeau katana dans le dos, je ne préfère pas bouger vu que je ne vois rien du tout à travers ce nuage gênant. Malheureusement pour lui, son râle de colère me permet de savoir où il est et qu'il s'approche de moi à grande vitesse. Le problème, c'est que je ne vois rien jusqu'au dernier moment. Comment faire pour réagir si je ne le vois pas ? Le nuage se fend alors en deux laissant ainsi un espace visible. Esquivant à la dernière minute la lame, celle-ci parvient à me blesser au niveau du flanc droit. En même temps, si j'avais pas réagir ,j'aurais probablement périt sous cette lame immense.
Allongée sur le ventre, je me relève en toussant à cause de toute la poussière que le choc à créer sur le sol. Secouant ma tête, je me relève et je sens une douleur et un tiraillement. Qu'est-ce que... Je place d'office ma main sur le flanc où je ressens une chaleur. Puis j'approche ma main de mon visage pour m’apercevoir que j'étais blessé. Et merde... Cela commence bien... Plaçant ensuite mon bras sur mon nez et ma bouche, j'évite d'avaler de la poussière. Étant désormais debout, je lève les yeux au ciel avant d'avoir mal aux yeux. Saleté de poussière... Je me frotte alors les yeux... Voilà qui me coince quelques secondes... Aucun dire que j'ai été surprise avec cette attaque et je remarque que mon oncle ne se lésine pas. Après quoi, je baisse les yeux sur ma blessure. Elle brûle avec toute cette poussière et je grimace... Faut mieux pas que je la touche car cela risque d'être pire. Revenant sur Terre, je réalise que le duel était loin d'être fini. Levant les yeux au ciel, je remarque mon oncle toujours perché dans les airs. Et bien, je vais devoir le faire descendre de là si je veux le piéger comme il le faut. Mais d'abord, autant le blesser à son tour et lui faire comprendre que je ne me laisse pas faire. Composant une série de dix symbole d'une unique main, Ryo pouvait me repérer mais c'est trop tard car la technique prévu ne le loupera pas.
« - Hyouton Nibai Souryuu Boufuusetsu ! »
Écartant mes deux mains, elle prennent une couleur aussi blanche que la neige ou un aspect fantomatique avant que deux dragons de couleur noir fassent leur apparition. Bien entendu, ils foncent sur Ryo à peine vitesse. Pas de quartier... Néanmoins, après le lancement de cette technique, je me revois plus jeune jouant avec lui me causant ainsi un peu de remords d'avoir lancé une telle technique... Je me voyais sur ses épaules en train de chanter et de chatouiller mon oncle qui finit par me poser par terre. Après quoi, on s'amuse dans l'herbe à se chatouiller mutuellement... Ce souvenir me fait grandement sourire mais une sorte d'explosion me fait revenir à la réalité. Inspirant avec un air inquiet, je me mets à chercher toutes les traces de mon oncle... Au fond, j’espérais qu'il n'avait pas pris trop de dégâts. Mes yeux océans se mirent à le chercher et rapidement. Où était-il ? J'espèrais ne pas lavoir tuer mais je savais qu'il était plus fort que ça.
Spoiler:
Hyouton, Sode no Shirayuki Mai [Défense des Glaces éternelles] - Rang B Grâce à la présence de chakra, les deux katanas jumeaux voient un long ruban blanc apparaître. Claquant des doigt, une couche de glace flexible va se manifester afin de faire de son corps, un corps de glace qui la protège efficacement contre les techniques de rang égale ou inférieur mais qui réduit les dégâts des techniques de rang supérieur. Bien entendu, plus la technique est élevée et moins les dégâts seront réduits. Elle peut aussi s'en servir comme défense que comme d'un multiplicateur de dégâts au Taijutsu. Après quoi, les katanas gardent leur rubans en guise de décoration.
Hyouton Nibai Souryuu Boufuusetsu [Double Blizzard du Dragon Noir] – Rang S Après la série de dix mudras, le shinobi invoque deux dragons noir de glace et les lance sur l'ennemi. La vitesse de ces dragons est supérieur à la vitesse de la lumière et il est impossible d'en éviter deux.
Dernière édition par Akari Hasegawa le Mer 3 Aoû 2011 - 18:25, édité 1 fois
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Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Mer 3 Aoû 2011 - 15:47
Konoha… Le pays du feu… Le village de la feuille. Je partais en guerre. La guerre… Qu’est-ce que la guerre en réalité ? Un groupe d’homme qui se bat avec un autre groupe d’homme juste pour défendre leurs principes ou leurs intérêts ? Moi, je ne crois pas à ces foutaises. L’homme fait la guerre parce qu’il est trop lâche pour affronter le problème face à face. Il est comme ça, il ne faut pas lui en vouloir, c’est dans sa nature. La guerre, c’est comme le football : une équipe marque un but, mais ce n’est pas pour ça qu’elle va gagner. Je ne cesse de me poser des questions. Je suis peut-être différent en fin de compte. Je ne sais pas pourquoi je suis parti en guerre avec mes frères d’arme. Je ne sais pas non plus pourquoi je ressentais ce léger pincement au cœur. C’était comme une brûlure mais ça ne faisait pas mal. Ce n’était pas pour autant agréable. C’était juste… bizarre. Je me posai des questions, c’était dans ma nature mais je ne faisais pas que ça. Mes actes aussi étaient interrogatifs. Vous ne comprenez pas ? Ce n’est pas grave. Je ne me ressens pas la force de vous expliquer mais je tiens juste à vous dire que la guerre, ce n’est pas juste une conquête, ce n’est pas non plus l’apologie du bien contre le mal. Non, c’est bien plus que ça. C’est dans les gènes. Le plaisir de conquérir, d’écraser, de détruire tout ce qui compte pour l’ennemi, c’est pour l’homme un pied intégral, une satisfaction gargantuesque, un plaisir inquisiteur. Vous me direz que c’est probablement mon abnégation naturelle qui me pousse à faire des sacrifices pour les autres. Mais non, je vous réponds non. Mon abnégation n’a rien à voire dans le contexte que je vous cite. C’est totalement autre chose qui fait que vous me trouvez paranoïaque mais que puis-je y faire ?
Je suis sur un banc, sur un bateau, allongé de tout mon long, écoutant d’une oreille distraite le mizukage qui fait un beau topo pour expliquer l’enjeu de cette guerre et pour remonter le moral des troupes. Moi je reste dans mon coin. Un simple Genin sur un champ de bataille sa ne fait pas bonne impression dans une guerre mais je savais que mon esprit de stratège me permettrais de survivre. Je n’avais nullement l’intention de mourir durant cette guerre, loin de là ! Je ne pouvais pas me comporter comme ces écervelés venu se sacrifier pour le pays. Je savais que dans cette guerre j’aurais à tuer des centaines de personnes mais je devrai peut-être aussi tuer des hommes de kiri. Pour leur lâcheté ou parce qu’ils mettent en péril le groupe.
Quand nous sommes arrivés sur le sol de konoha à savoir le pays du feu, nous avons fait une halte à environ 5 kilomètres du village de konoha. Je me suis demandé pourquoi on s’arrêtait vu que les hommes n’étaient pas vraiment fatigués ou exténués. La mizukage demanda à quelques ninjas d’aller en territoire ennemi jouer les éclaireurs. Ils sont partis mais ne sont pas revenus, étrangement… Mais j’avais bien mieux à faire que de m’intéresser à de vulgaires éclaireurs. Je me baladais un peu dans le camp et j’observais les différents comportements autour de moi mais je ne pus qu’admirer de simple ninja qui étaient là juste pour la baston. J’avais une curieuse envie d’aller au village de konoha et de commencer cette guerre mais je ne pouvais m’y aventurer seul. Il me fallait une escouade de force qui puisse me soutenir et plus important, un chef et un guide qui pourrait s’avérer utile. Il me fallait donc trouver des compagnons mais je ne me risquais pas à me diriger vers des inconnus et leur dire : tiens t’as envie de venir avec moi tuer des konohajin ? Je me suis balader un peu et j’ai vu un de mes compagnon d’arme que je connaissais bien, il s’agissait de mon maitre d’équipe, le ninja Tatsuya qui avait su m’impressionner de part sa vaillance au combat et de sa vitesse. J’étais très bien avec lui et cela me convenais comme chef d’équipe.
J’ai pris un air froid et calculateur comme à mon habitude et je me suis diriger vers mon ainé et je lui ai parler d’une voie glaciale mais qui ne cachait rien au respect que j’ai pour lui et pour sa carrière militaire :
-Maitre… je suis heureux de vous voir ici et j’aime à croire que nous pourrons combattre côte à côte. Si vous ne m’avez pas vus plus tôt c’est parce que je m’étais mis en quête de retrouver les éclaireurs et c’est ce que j’ai fait. Si vous pouviez transmettre cette information à notre maitre je vous en serez grandement reconnaissant. De plus, je crois qu’il est l’heure de passer à l’attaque. J’aimerais y aller avec toi. Si tu le veux bien, retrouve moi de l’autre côté du camp et emmène des hommes avec nous moi je vais voir si une de mes autres connaissance le veux bien.
Spoiler:
J'ai modifier ce RP alors tout convient maintenant je suppose
Dernière édition par Yusuke Katano le Jeu 4 Aoû 2011 - 9:50, édité 1 fois
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Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Mer 3 Aoû 2011 - 22:18
Après avoir passé une dizaine de minutes à s’égosiller sur les gardes et à essayer de leur montrer patte blanche en goûtant le plat qu’ils soupçonnaient d’être empoisonné, la patience de Nori s’en retrouvait bien entamée. Ce fut finalement une intervention de la Mizukage qui vint décanter ce conflit d’ordre mineur, et permettre à Nori de lui porter allègrement le plat frugal qui lui était destiné, ce sous le regard oppressant de gardes et notamment celui d’une curieuse jeune femme aux cheveux écarlates. La chuunin à la coiffure improbable dut toutefois attendre son tour, un messager l’avait précédé de quelques secondes, de par son statut et surtout l’importance de sa tâche d’informateur. Il lui chuchota quelques mots en lui tendant une petit morceau de papier, vraisemblablement un message de la faction insurgée de Konoha. Dès que la leader de Kiri eut réduit le message en cristaux de glace, intimant ainsi qu’elle en avait fini la lecture, Nori lui servit son plateau accompagné d’un joli sourire affable.
Cette initiative la gratifia d’un regard reconnaissant de la part de la Mizukage qui lui fit le plaisir de mentionner son prénom tandis qu’elle la remerciait oralement. Cette attention illumina d’un éclat rêveur les pupilles noisettes de la jeune chuunin, être reconnue de son chef de village était une chose des plus appréciables pour son orgueil personnel.
- À votre service Shichidaime-Sama !
Ce qui suivit, en revanche, n’entretint guère longtemps l’état euphorique dans lequel avait été plongée Nori. Un type venait de passer de pousser le tissu fendu qui constituait l’entrée de la tente de commandement, c’était un homme d’une certaine prestance dont la constitution harmonieuse du visage ne manquait pas de rappeler celui de la Mizukage. Présentant ce qu’il allait advenir, la femme aux cheveux écarlates décida de se retira en accordant un brève salutation à la Mizukage, qu’elle désigna par l’appellation ‘Cousine’ ! Nori écarquilla les yeux en entendant ça, aussi idiot que cela paraisse, c’est toujours étrange d’apprendre l’existence d’une famille intimement liée à un personnage emblématique. Tellement ces gens hors du commun donnait l’impression de sortir du néant pour changer le cours du temps et modeler l’histoire selon une logique communément appelée ‘Destin’.
C’est d’ailleurs pour huiler cette mécanique vieillissante que cet homme et la Mizukage se rencontraient aujourd’hui. Il commença par avancer à pas tranquille vers la Mizukage, tandis que les gardes devant l’entrée tombèrent brusquement derrière lui. Avant même qu’ils ne touchent le sol, l’inconnu accéléra brusquement par l’usage d’un jutsu de transposition. Il profita de cet infime bribe de seconde pour empoigner son épée et l’abattre avec puissance vers sa cible évidente : La Mizukage. Cette dernière, dans une aisance et une grâce d’un autre monde, para l’assaut en soustrayant sa lame légendaire d’un plan d’existence étranger au notre pour l’opposer à celle de son agresseur. Pour sûr, ce duel s’annonçait épique... et hors d’atteinte pour les innombrables badauds qui traînaient au sien du camp. Nori en avait conscience et se contenta de demeurer coite et immobile, respectueux de l’échange artistique de coups que se prodiguaient les deux combattants. Ils se murent conjointement hors de la tente de commandement, sans que leurs lames ne se décroisent.
Le combat continuait dehors sous le regard atterré des troupes qui semblaient absorbés par le caractère envoûtant de ce face-à-face. Nori, qui demeuraient parmi eux, savaient bien que tout comme elle, quelque part, ils étaient admiratifs devant la maîtrise martiale de ces deux shinobis.
* La beauté peut trouver place en toute chose en ce bas-monde. Même dans le conflit... *
Toutefois, la contemplation béate ne dura pas bien longtemps. Une dizaine de seconde après l’émergence des deux combattants, des troupes commencèrent à se soulever pour porter secours au leader de Kiri. Chose que la jeune femme n’apprécia guère. Après un coup d’éclat pour parer les assauts pernicieux de ses soldats sur son adversaire, elle retourna à son duel sous le regard amusé de Nori.
* Le Shichidaime a un certain sens de l’honneur... ou une drôle de fierté.*
Son opposant sembla apprécier cette initiative et ne profita pas de l’occasion pour l’attaquer, mais pour déployer une étrange brume noire qui vint les envelopper et former un dôme obscur où l’on peinait à observer le déroulement du combat. Nori plissa un moment les yeux pour se forcer à regarder, puis finit par se résigner... après tout, c’était une affaire que la Mizukage tenait à régler seule. La chuunin devait donc s’atteler à une autre tâche plutôt que de rester passif.
C’est alors qu’émerger du brouillard un élément aussi inattendu qu’inconcevable. Une épée GIGANTESQUE qui fendait le ciel et obscurcissait le camp. Nori comprit tout de suite que l’heure n’était désormais DEFITIVEMENT plus à la flânerie. En un tour de main, elle sortit de son dos sa grande pelle à crêpe la glissa sous ses pieds tandis qu’elle créait un chemin de pâte en mouvement perpétuel sous la plaque métallique et tenait le manche d’une main à l’arrière. Lui permettant ainsi un déplacement des plus véloces, lui évitant de se faire lamentablement écraser par la lame cyclopéenne qui provoqua quelques dégâts notables au sein du post avancé de Kiri.
Toutefois, la précipitation de son geste ne lui permit pas un contrôle parfait de sa trajectoire. Si bien qu’elle manqua de peu de s’écraser sur deux de ses camarades du village de la brume sanglante. Shiroame Heiwa et Yashiro Kaiza, deux confrères chuunins que Nori avait eu le loisir de côtoyer à diverses occasions, sans pour autant passer beaucoup de temps avec eux. Elle vint s’encastrer dans l’arbre qui leur était voisin, et s’en détacha avec peine en leur adressant un signe de main des plus ordinaire. Comme si la scène qu’elle venait de leur infliger était des plus normal. Chose d’autant plus comique quand on constatait qu'un fin filet de sang coulait placidement de son front.
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PS : Si un élément de ce post pose problème à qui que ce soit ayant participé à ce topic, qu'il me le fasse savoir. J'ai eu du mal à condenser les interventions de tout le monde.
Aussi, j'aimerais qu'on laisse Heiwa Shiroame poster le prochain message. On a fait sauter son tour sans raison, il faudrait qu'elle puisse participer normalement au déroulement de ce RP. Merci.
InvitéInvité
Sujet: Re: La guerre est à votre porte... Ven 5 Aoû 2011 - 0:50
Promenons nous...
"Dans les affaires, comme en amour, il est un moment où l'on doit s'abandonner." -B.Grasset-
Qu’est-ce que c’était joli ! Cela changeait vraiment de Kiri no Sato où cette l’éternelle brume recouvrait nos terres… Ici il faisait ni trop chaud, ni trop froid et le soleil scintillait dans un ciel sans nuage. Le sol souvent recouvert d’herbe rendait le déplacement agréable et je retins l’envie d’enlever mes chaussures pour enfoncer mes orteils dans le gazon moelleux. Poussant un soupir de bien être, je me roulai allègrement ce petit cône de papier que l’on appelle communément pétard, joint ou bien drogue douce et léchai la partie collante d’un geste rapide qui montrait là l’habitude. Junkie, droguée, on me percevait de différentes façons, mais rares étaient les personnes qui savaient à quel point cette drogue était plus qu’un simple passe-temps. Oui, elle faisait parti de ma vie et si elle pimentait mes journées de couleurs, elle me servait aussi pour combattre et me défendre. Autrement dit, j’étais une petite hippie combattante qui se servait de ce qu’elle connaissait le mieux pour assurer sa survie. Et celles de ses camarades, en passant… Jetant un regard à Kaiza Yashiro et Nori Hokashi qui étaient les deux autres kiriens faisant équipe avec moi, nous étions un trio de chuunins et même si mon réel niveau était supérieur, je les adorais avec une égalité parfaite. Kaiza, autre ninja guérisseur était un peu plus jeune que moi mais il restait quelqu’un d’agréable et de joyeux. Nori, elle, car oui c’était une fille, était un peu plus… Disons, excentrique, mais passer du temps avec elle signifiait ne jamais s’ennuyer. Bref, une équipe joyeuse et soudée…
« Konoha nous voila ! »
Le voyage avait duré assez longtemps, du moins à mes yeux en tout cas. Détestant le bateau, j’avais passé les trois quarts de mon temps le teint verdâtre tandis que le reste du trajet je me soignais avec l’irou. Ce fut donc malade et un peu fatiguée avec du chakra en moins que je enfin le pied sur les terres. Vous n’imaginez pas à quel point on peut être content de retrouver une sensation de support stable ! Bref, le reste du voyage se passa tranquillement. Nous marchâmes jusqu’à la destination voulue puis les ninjas commencèrent à installer le campement tandis que je flânais le nez en l’air, kaiza et Nori pas très loin. L’ambiance paisible était assez incongrue puisque nous étions censés aller nous battre et donc risquer notre vie mais au moins cela détendait l’ensemble du groupe. Quand je passai devant la tente de la mizukage, je la vis en discussion avec un jeune homme inconnu du village mais ne m’en souciai pas plus que cela puisqu’elle était suffisamment puissante pour se sortir de toutes sortes d’ennuis. Nori nous abandonnant alors que nous venions de trouver un coin sympa, je la laissai partir en regrettant qu’elle ne me fasse pas de ses merveilleuses pâtisseries. Je lui demanderai plus tard, tant pis ! Laissant quelques secondes Kaiza pour aller satisfaire mes besoins vitaux, je me levai et me dirigeai vers un endroit un peu plus éloigné. Sifflotant en jetant le cul de mon mégot dans un coin, je l’écrasai sous ma semelle et entrai en collision avec une personne inconnue. M’enfonçant dans une poitrine suffisamment étoffée pour que je reconnaisse là la nature d’une femme, je levai les yeux et vis une kunoishi à la chevelure rouge sang.
Ho, pardon ! M’exclamais-je poliment malgré mon envie pressante d’aller me réfugier dans un coin plus paisible.
Ce n’est rien. Me répondit-elle d’une voix bien plus paisible que la mienne. Kaleïs Kalinko, enchantée.
De même…
Regardant partir cette femme sans doute bien plus forte que moi, j’admirai sa silhouette élancée et l’arme imposante qu’elle avait posée dans son dos. Une nukenin ? Elle ne portait pas de bandeau. Délaissant cette inconnue pour ensuite aller faire ce que je souhaitais, je me redressai quand un coup assourdissant fit bouger le sol et je rattrapai mon équilibre in-extremis. Tiens ? La mizukage se battait avec son ami. Enfin… Son adversaire plutôt. De loin, je vis le scintillement d’une épée gigantesque et je levai les yeux au ciel. Croyait-il pouvoir battre notre kage ? Et quand bien même il réussirait, il y avait toute l’armée kirienne pour l’en empêcher… Un fou. Ou peut-être que c’était moi qui était folle ! Après tout, je venais me battre pour je ne sais quelle raison. Appuyer konoha, qu’est-ce que je m’en fichais ! Je comptais soigner tout le monde, ami comme ennemi. C’était ça ma façon de penser ! Quittant mon fourré, je retournai rejoindre Kaiza qui était appuyé contre un arbre et me laissai tomber en tailleurs devant lui avant de lui adresser un sourire resplendissant. Me roulant un deuxième petit pétou, j’attendis qu’il soit bien fait avant de le coincer entre mes lèvres pour l’allumer. La fumée nous enveloppant et son odeur me transportant comme sur un petit nuage, j’attendis quelques secondes avant que je ne prenne la parole pour répondre à la question qu’il venait de me poser.
Bof, c’est la guerre quoi. Dis-je en haussant les épaules. J’ai déjà particpé à quelques batailles oui, mais jamais directement. Je suis plutôt là en soutient, quoi ! Et compte pas sur moi pour te payer ta bouffe ! Tu as vu toute cette organisation ? C’est incro…
Coupée dans ma phrase par une masse qui venait de s’abattre juste entre nous, à savoir qu’une poêle géante venait de me frôler l’oreille, le choc fut suivi d’un craquement et des morceaux de bois volèrent un peu partout. Les esquivant un à un, je vis sortir Nori Hokashi un peu titubante, un sourire jusqu’aux oreilles. Nous adressant un signe de la main un peu incongru vu le filet de sang qui coulait le long de sa tempe, je ne pus m’empêcher d’éclater de rire avant de poser une main sur sa blessure, une lumière verte illuminant celle-ci avant de disparaitre, laissant sa peau intacte. Nori était non seulement une personne très drôle, mais même sa façon de se battre était géniale. On me reprochait souvent d’utiliser des méthodes pas très saines mais son affinité valait toutes mes bizarreries… Elle était plus jeune que moi mais mon caractère enfantin (ou immature) faisant que je m’entendais très bien avec mes deux camarades.
Si les ennemis te voient, ils vont fuir, Nori ! De peur de mourir de rire !
Blague vaseuse, j’avais envie. La suite s’avérait très intéressante et si je ne m’inquiétais pas outre mesure de ce qui allait arriver à la kage car j’avais confiance en ses capacités, je m’inquiétais plus pour ce qui allait se passer pour mes camarades. J’espérai ne pas avoir à soigner trop de personnes… Si seulement nos ennemis pouvaient capituler rapidement…