Suiran Reppu
C'était une folie, en ce moment le temps s'écoulait avec une étrange lenteur, les heures des journées, les mniutes des heures, les secodnes des minutes... La folie me gagnait-elle ? Je en saurais le dire mais le temps s'écoulait en slow motion sans que je ne comprenne la cause de ce délit. En faite je crois bien que c'était mon inactivité inhabituelle qui me faisait penser de telle chose. Oui, depuis quelques temps j'enchainais missions une à une sans avoir de pause réelle entre les deux. D'avantage robotisé qu'humain je dois dire. Mais je ne m'en plaignais pas vraiment, je voyais cela comme une chance inouie, de toute évidence je ne pouvais pas oser blamer la fortune de n'avoir que ce que tous ninja veut, des missions. Ce serait futile et tout à fait illogique.Non, sérieusement je serais ridicule enfin qu'à ne cela tienne je n'avais pas énormément de temps à moi. J'aimais me retrouver avec moi même dans le calme pour penser, réfléchir et me pencher sur les coquilles de mon existence, généralement vite atteint de migraine suite à ces réflexions philosophiques j'appréciais me détendre en allant aux sources chaudes ou encore tous simplement vivre. Par vivre ce therme vaste désignant une multitudes d'activité je voyais d'avantage le fait d'apprendre. D'ailleurs aujourd'hui était une journée propice à l'apprentissage. Le soleil bien que partiellement caché sous une épiasse couhe de nauge maintenait un équilibre dnas le ciel et de plus je 'navais rien d'autre à fiare pour une fois 'jalalis pouvoir m'occuoper de moi. J'avais rpesque négligé mon entraînement à courir à gauche et à droite. Cela je n'aimais pas le faire, je préférais me perfectionner même si 'javais atteint le rôle de Bras-Droit ce n'était pas une raison pour me dispenser d'entraînement et bien au contraire. Je voyais ce rang comme un appel à la prospérité, à la sagesse, par extension au perfectionnement de sa personne.J'avais pas mal de lacunes bien que je ne le parraisse pas vraiment. ET de plus cela faisait longtemps que je 'navais plus apprit de techniques nouvelles. La faute à pas de chance, ou plutôt à pas de temps. Enfin bref, je me passais la main dans mo népaisse chevelure mo nregard calme et serein j'avançais lentement à travers les ruelles de Konoha. Relevant le menton j'observais ce ciel tortueux et ses méandres, je ne savait pas si il était vraiment stable en faite il le parraissait mes les nauges arborrant une teinte grise me fasiait douter. Je doutais pour aps grand chose sur ce coup là. rabaissant mon visage j'abandonanis mes doutes tant pis ! Dans le pire des cas j'aurais un rhume pensais-je. Plus 'javançais plus devant mes yeux se dressait une étendue terreuse. Je la connaissait par coeu, les terrains d'entraînement. Dans un soupire mélancolique je les obbservaient, ils n'avaient pas changés. Un sourire anodin vint s'étendre sur mes lèvres fines, il était emplis de souvenir mais n'avait l'air de rien. Mes premiers entraînements, ceux avec Kyohei. Un pincement je retint un soufflement intempestifs et insultant à sa mémoire. Je ne voualis pas repenser à cet instant, parfois je me disais que je fut cruel mais finalement je n'avais que fait ce que l'on 'mavait dit. J'avais écouter la voix du clan et non du belliqueux, j'avais eut raison point. Je fermais cette parenthèse en arrivant près de ces derniers, ma mains vint écarter la porte de ferraille rouiléles renfermant ces lieux et d'un pas discret je m'avançais sur 'lun d'eux. Mon regard impassible se posait sur un groupe de jeune, surement des génins ils me faisaient chaud au coeur. C'était plaisant de voir la relève s'entrainer aussi dur que soi même apr le passé. Emplit de rpeve et d'espoir ils débordent d'énergie. M'en détournant je faisais le vide dans mo nesprit en restant immobile debout seul. Je n'écoutais plus que moi même, le vide de mes sentiments, j'étendais mes mains. Elles prenaient une teinte bleutées sous forme de flamme. Brûlante mes mains étaient à cause de mon chakra. Calme j'appelais au silence. Mes paupières closes, j'étendais mes bras sur les cotés. J'inspirais profondément. Ce que ej voualis ? La cocentration extrême ! J'avasi eu vent d'une technique qui eprmettait de controler à distance des objets comme des kunais ou bien des shurikens grâce au evnt mais cette technique demandait une concentration complète et apparemment il ne fallai tpas bouger. Je m'étais mit en tête de 'lapprendre depuis déjà pas mal de temps mais comme je dit précédememnt j'en n'avait eu le temps. Immobile toujours droit au milieux de cetet étendue, je concentrais mo nchakra dans mes mains. Je ne pensais plus vraiment j'étais comme dans un état second de méditation. Qaund un bruit se fit entendre derrière moi. Un objet qui fendait l'iar un shuriken. Il me frolait et une voix désolée s'en suivit : " Herrrm Pardon M'sieur !" J'ouvrais les yeux, laissait retombe rmes mains. Il 'mavait fournit un objet à bouger mainteannt c'était à moi de jouer. Mon rzegard observant la position rpécise de l'arme, j'inspirais profondément en refermant mes paupières. Je faisais de novueau le vide dans mon esprit, mes pensées étaient réduite à l'état de naussives et je n'entendais plus que le vent caressant mes cheveux.Le vent, oui, le vent mon meilleurs allié avec le feu et la terre. Laissant mes bars pendant je concentré mon chakra en mes mains j'étendais mes doigts, je visualisé l'objet en mon esprit. Je restais comme ça longtemps au moins une bonne demie-heure. C'est quand je sentais que j'errer sans bu tavec en tête la seule image de ce shuriken que j'affluais le vent vers ce shuriken. Je ne bougeais pas mais le vent et moi même ne faisons plus qu'un maintenant. Lui et moi avions fusionner un instant il était comme le prolongemment de mon bras. J'ouvrais lentement les paupières pour observer le shuriken il flottait péniblement dans l'air à quelques centimètres du sol. Dans une xcès de puissance je faisais un mouvement de joie en ramenant mon poigs devant moi. Quasi instantanément il retombait dans u nbruit métallique. J'avais compéltement oublié qu'il ne fallait pas bouger. Une fois de plus je m'immobilisais, les bras le long d emon corp mais cette fois ej gardais mes yeux rivés sur le shuriken. J'inspirais lentement, je ne pensais plus, je en me préoccupais que de lui, el vent s'instensifiait comme si il voulait m'aider. Silence, silencieux ... tout était calme. Sereinnement je sentais le vent et je fixais le shuriken dans une profonde inspiration le shuriken se levait au grès du vent. Je le fit aller à gauche puis à droite, l'air le soulevant ej décidai de le projettrer conter le tronc d'arbre en face dmoi à quelques mètre du shuriken. Dans un bruissement sourd il s'y plantait. Un sourire aux lèvres je m'avançais de l'arbre en contenant mon euphorie. Je prit le shuriken en le faisant tourner autour de mon index.