« Retour au sable»

La guerre est finis depuis quelques semaines maintenant. Tous, nous sommes de retour au village caché de la Brume. Il y a quelques jours, une grande cérémonie, en l’honneur de nos amis et camarades, qui ne sont pas revenu vivant, mais qui sont tombés avec honneur au combat, durant la bataille, a eu lieu. Par la suite, une fois les émotions des mots finis, j’ai eu l’occasion d’aller me recueillir sur la tombe d’Ookii-sensei. Seul présent, je lui ai raconté tout. Comment nous sommes arriver au village de la feuille, l’assaut premier sur les portes de Konoha et le déroulement des combats. En particulier le mien, contre cette shinobi de Konoha, Karin, qui malgré notre opposition évidente, m’a marqué, non pas uniquement par la force de ses coups, mais aussi par sa stratégie et le fameux petit quelque chose, qu’on ne s’explique jamais, mais qui est bien là si simplement.

Maintenant que le tumulte du combat n’est plus qu’un mauvais souvenir, je profite du temps de calme, pour voyager un peu. N’ayant pas de mission à faire, c’est donc une chance. Je compte simplement en faite, me rendre au village caché du sable, car nous nous y étions rendus à une époque avec mon ancienne équipe. Alors, dans une sorte d'hommage, je vais aller là ou nous avons séjournais. Ce qui implique plus tard, un retour au village caché de la feuille. Ou en tout cas, à la fameuse vallée de la fin. Nous verrons bien en temps et en heure. De toute façon, ce n’est pas comme si je risque quelque chose. Même si je ne les vois pas, je sais que des lors le village quitté, que ce soit pour une mission ou autre, un duo d’anbus n’est jamais bien loin. Deux gardes du corps

Nous sommes le matin, il est dix heures. Je ne suis déjà plus dans le village, mais bel et bien dans un bateau, direction le continent. Encore un long voyage en mer, qui n’est bien entendu, pas le premier et normalement pas le dernier. De toute façon habitant un archipel, pour n’importe quel voyage à longue distance, le bateau est une obligation. Quelques jours plus tard, je suis enfin de nouveau sur la terre ferme. Ce qui n’est pas pour me déplaire. Car bien que n’ayant pas le mal de mer, je ne reste pas moins, quelqu’un qui aime à sentir le sol sous ses pieds. Enfin, il me faut encore quelques jours de marche, pour pouvoir, enfin et avec soulagement, je ne peut pas dire le contraire, atteindre le village caché du sable. La soirée est bien là, la fraicheur de la nuit venant,

Lendemain, ou aujourd’hui, de toute façon, ça reviens à la même chose. J’ai plusieurs endroits à voir. Je vais sans doute me rendre en premier lieu, vers la zone d’entrainements des shinobis locaux, avant de prendre la direction du centre ville et d’un restaurant pour le repas de midi. Le chemin n’est pas vraiment long, je profite de la douceur du vent matinal, qui procure un certain bien, à coté de la chaleur du désert, ce qui est une assez bonne chose. Pas l’envie de revenir à Kiri avec trente kilos de moins, uniquement du à l’omniprésence du soleil. L’astre solaire pourrai être moins nuisible, façon de parler évidement, si comme tout bon Kirijin, je n’était pas habitué au mauvais temps. Pas que la chaleur des rayons solaire nous est inconnue, mais bien moins présente qu’ici. Je finis par atteindre ma destination. C’est intrigué que je sors de mes pensées, le regard attiré par une jeune demoiselle, non pas pour son physique, mais pour la technique qu’elle utilise. Je reste là, non loin, observateur de la scène intrigante.

« L'étoile brille dans le sable»

Il ne m’est pas souvent donné l’occasion, d’assister à ce genre de scène. Aussi j’en profite en silence. Ce que la jeune fille fait en ce moment, est tout simplement surprenant. Sa façon de donner forme à son chakra, ne me laisse aucun doute sur ses capacités. D’une part, je suis quasiment certain, que je suis en présence d’une détentrice de Kekkei. Cela explique sa maitrise du chakra, à un age ou pourtant, la très grande majorité, apprend les techniques les plus basiques et encore. Donc, en plus de cette information, celle qui est proche de moi là, dois aussi avoir un potentiel plutôt correct. Après, je ne pense pas qu’elle ai une grande expérience au combat. Cependant, avec les années, elle risque, si tant est qu’on puisse dire que c’est un risque, de devenir une kunoichi de premier ordre. Une idée me traverse alors l’esprit. La rencontre avec une possesseur de kekkei est rare, car peu répandu ceux qui en possède, alors pourquoi ne pas lui proposer un duel ? C’est vrai que l’idée peut surprendre, mais après tout, ça sera un gain d’expérience pour tous deux.

Pour le moment, je me contente de l’analysée en silence. La prise d’information, avant un éventuel combat est toujours une bonne chose à faire. Inutile de foncer dans un mur, si on ne sais pas comment le détruire. Ce que je veut dire par là, c’est que lors d’un combat contre un autre shinobi, sur lequel on ne sais rien ou presque, si on en a la possibilité, il faut acquérir le plus d’informations possible, ce que je suis entrain de faire là. Je sent que la suite promet d’etre plaisante et sympathique. Elle finit par remarquer ma présence et je lui souris. Bah, il est temps de me présenté à elle je crois. Je l’écoute qui me devance, me donna son nom et prénom. Une vrai pile électrique des plus curieuse, là est ma première impression sur la jeune Shizue de Suna. La suite me donnera tort ou raison, nous verrons bien. J’inspire doucement, puis observe le ciel pendant plusieurs instants. Je porte une fois de plus mon attention, sur la jeune enfant qui me tiens compagnie au terrain d’entrainement. Il est temps pour moi de lui répondre, alors je me présente à mon tour.

- Enchanté de faire ta rencontre Shizue-chan. Je suis bien un ninja du village de la brume. Kaiza du clan Yashiro pour te servir. Je suis ici, car mon sensei est mort il y a quelque temps et je reviens à chaque endroit ou nous sommes aller ensemble. Je t’ai observé, tu semble avoir un certain talent pour le ninjutsu. Tu m’intrigue je l’avoue jeune kunoichi. Rien ne t’oblige à me dire oui, mais je serai assez content de pouvoir combattre, amicalement cela va de soi, une probable génie de Suna.

« Découverte d'un kekkei insoupçonné»

J’effectue quelques mouvements de mes bras, simple brasse dans l’air, en guise de petit échauffement, en vue de cet affrontement, des plus amicale cela va de soi, avec la jeune shinobi du sable. Mon cerveau ne perd pas l’ombre d’un instant, je suis déjà en pleine reflexion, pour savoir quel stratégie et façon de combattre, je dois adopter. Je ne sais de Shizue, qu’elle posséde semblet-il, un Kekkei Genkei. Chose d’ailleurs qu’elle me confirme par la suite, lorsqu’elle me parle de ses parents. Une pointe de triste m’envahit, quand j’apprend alors le fait, que ses parents ne sont plus là, pour veillez sur elle. Il est dommage, de découvrir une jeune enfant orpheline. C’est la triste vie des ninjas, mourir au combat, car je suppose que c’est ainsi pour ses parents. J’ai la chance d’avoir toujours eut depuis ma naissance, la présence de mes deux parents. Oh bien entendu, parfois ce n’est pas facile, certain utilise l’adolescence comme pretexte. Mais au fond de moi, je sais que j’aime beaucoup mon pere et ma mere, ainsi que ma chere petite soeur bien entendu.

D’un coup, sans doute par cette funeste découverte sur ses origines, je me sent comme touché par son histoire, plus que je ne le devrais je crois. J’affiche un petit sourire en la regardant. Au moins, on ne peut pas dire qu’elle baisse les bras. Malgré sont jeune age, Shizue semble bien en forme et heureuse. Au fond, je dois m’en réjouir et je remercie silencieusement le maitre Kazekage. Un type des plus sympathique, à n’en pas douter de part l’adoption de Shizue-chan. Qui sais, je vais peut-etre avoir la chance d’en faire la rencontre un jour. Si c’est le cas, je n’oublierai pas de le remercier pour la jeune fille. Sans doute, me demanderat-il comment je l’a connais, à moins qu’elle n’aura eu le temps de parler de notre affrontement du jour. Nous verrons bien en temps voulut. Pour ce qui est de l’instant présent, je la regarde prendre position, avec une fois de plus, cette technique particuliere qui est sienne, qui s’active, formant une sorte de paon, du moins la forme des queues de l’animal. Je lui répond, en avançant.

- Tu me vois navré pour tes parents Shizue-chan. J’imagine que ce n’est pas chose aisé. Tout comme toi, j’ai perdu un être cher à mon cœur, mais je vais de l’avant grâce à mes amis. Tu peut dorénavant compter sur moi petite sœur Shizue. Je te promet de venir te voir de temps en temps si tu le souhaite. Tu pourra me présenter maitre Kazekage qui sais une fois. Ce sera pour moi un honneur, mais aussi un plaisir de voir une personne au grand cœur comme lui. Je vais pas faire de cadeau promis.

Plus de temps à donner pour les mots. Maintenant c’est l’affrontement qui domine la situation. Je ne fais pas l’erreur que certains pourrais commettre. A savoir sous-estimée la valeur de Shizue en combat, de par son jeune age, mais aussi son manque d’expérience au combat qui ce ressent. Je me méfie d’elle, tout autant que de n’importe quel nouveau adversaire, qu’il sois genin ou bien jonin ne change rien. Les mauvaises surprises sont toujours là ou on les attends le moins. Hors, à mes yeux, Shizue est une mauvaise surprise, dans le sens ou, sa puissance ne ce voit pas au premier abord. Preuve en est, en quelques secondes, elle a déjà établit un bouclier avec sa technique de kekkei. Du moins, je suppose que ça en est un. Aussi, pour prévoir une offensive de sa part, je commence rapidement une série de mudras et plaque mes mains sur le sol, pour transformer la moitié du terrain, en réserve d’eau conséquente pour mes suiton. Je la regarde et adresse un clin d’oeil. Je garde mes plus puissantes techniques pour après.

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« Affrontement amical»

Voilà, le combat est bien débuté. Nous allons pouvoir avoir la chance, de chacun découvrir le talent au combat, d’un shinobi, dont le village est l’opposé du sien. Suna, entouré par le sable, nous livrons bataille sur le dit sable, alors que pour la géographie de Kiri, c’est l’eau qui est notre élément pré-dominant. Le sable contre l’eau, quel ninja fera honneur à son village caché ? La jeune kunoichi de génie, au kekkei genkei ? Ou bien alors le ninja confirmé de du village de la Brume, qui n’est pas mauvais non plus ? Évidement, au fond de moi, j’opte pour la seconde option. Cependant, je sais aussi bien, qu’en cas de défaite, je n’aurai pas à rougir, car de toute évidence, mon adversaire possède en elle, un potentiel qui ne demande qu’a être exploité, pour lui permettre de devenir une kunoichi de premier ordre. Je sais bien que son opposition sera non faible, mais bien réelle. Voir même trop pour moi, si je ne met pas tout mon talent en pratique. J’attends, restant bien concentré, de voir quel sera la réaction de la genin, suite à mon préparatif suiton.

Réaction qui ne perd pas de temps pour venir. Par réflexe je recule un peu, légèrement baisser dans une position de combat défensif, attendant de voir ce qu’elle me prépare. Vais-je devoir esquiver, me protéger d’une façon x ou y ? Ou inversement, devoir attaqué, pour tester son fameux bouclier de chakra, s’il s’avere qu’elle continu avec. Il me viens alors l’idée, de pouvoir l’imité, avec le manteau du bijuu, mais je sais bien que je ne peut pas le faire pour un tas de raisons. Personne ne dois le découvrir que je suis un jinchuriki. Qui plus est, la puissance de mes coups sera bien trop élevé. Non, ce n’est tout simplement pas une option envisageable dans un combat amical. Je la regarde en souriant, lorsqu’elle s’avance sur l’eau, une fois la basique technique du Suimen active. Au moins, elle ne compte pas ignorée mon bassin d’eau, c’est une bonne action de sa part. Enfin, j’espère pour moi, qu’en plus de son kekkei, elle ne dispose pas de suiton aussi, sinon je viens de lui donné un sacré coup de main. Je lui souris.

Maintenant, je me tiens prés à réagir, car je sent venir l’attaque. Je pose le plat de ma main droite sur l’eau et l’autre bras, semi-levé vers Shizue. Une posture de combat assez basique et répandu, mais qui a fait ses preuves. La forme du chakra autour de mon amie change. Ce n’est plus un bouclier qui l’entoure, mais six longues lances. Confirmation donc de son changement de tactique. Elle ne perd pas de temps et semble dirigé sans touché, ses armes de chakra vers moi, m’attaquant de tout cotés. Hum... N’ayant pas vraiment le choix, j’utilise la technique du Kawarimi, pour échanger ma place avec l’une des cibles du terrain. Cette dernière se retrouve empalée par les lances, pendant que je profite de l’effet de surprise, pour apparaitre derrière la jeune fille. Je concentre mon chakra dans mes mains à vitesse grand V. Puis je frappe sa nuque, sans une extrême violence, pour y diffuser mon chakra et perturbé son système nerveux, sans y mettre toute la puissance réelle du jutsu. Assez pour que ça dure une petite minute. Je recule d’une vingtaine de mètres et attend.

Technique utilisé :

Spoiler:

« Affrontement amical»

J’aime bien la tournure que prend le début de notre affrontement. Ma précédente technique est assez agaçante pour l’adversaire, car il perd le contrôle de son corps, sans bien entendu, que ce soit moi le maitre de ses mouvements. Le Ranshinshou a cela de gênant, que l’ennemi en qui le subit, n’a plus la moindre coordination dans ses mouvements, son système nerveux perturbé, ne pouvant donc agir comme le veut la victime. Certaines personnes, qui sont touchés par ce jutsu médical, paniquent facilement, d’autres non. C’est aussi et surtout dans ce but, pour voir quel genre de ninja est Shizue, savoir comment elle compte réagir, en remarquant le soucis lié à mon attaque. Elle n’a jamais, du moins je le pense, du affronter un ninja médecin, que ce soit plus faible que moi, du même niveau ou supérieur. De ce fait, elle dois ignoré ce qu’elle subit à l’instant présent. Voila qu’elle tente un mouvement, mais comme prévu, celui-ci, n’est pas vraiment comme elle le souhaite. Elle décide alors de ne pas bouger, une sage décision, du moins car là, nous somme dans un combat d’ordre amical.

Une minute est passé. Ce qui signique que l’effet de mon précédent assaut s’estompe surement dans son corps. Elle va pouvoir de nouveau bouger comme elle le souhaite. Ce qui présage donc une nouvelle attaque. A quoi dois-je m’attendre ? Elle ne va sans doute pas refaire le coup des lances, mais alors quel technique ? Encore une née de son kekkei genkei ou bien tout autre ? Hum, je ne sais pas quel d’affinité peut avoir mon opposante, là est bien le problème. Je suppose que ce n’est pas du raiton en tout cas, car sinon, elle aurai pu profité de mon suiton pour faire bien plus de dégât. Il reste donc quatre possibilités. Nous y voilà, elle compose une série de mudras et le vent ce lève. C’est donc le futon. En plus de ses techniques héréditaire, la miss utilise également l’élément vent. Pas mal pour une genin. Enfin, je ne dois pas perdre trop de temps dans la réflexion, il faut que je contre son offensive. Je sais déjà ce que je compte faire pour répliqué à son puissant assaut de vent. D’ailleurs, je vais même pouvoir en faire un combo.

Je compose une première série de mudras et utilise mon jutsu défensif suiton, Suijinheki : Muraille d’eau. Grâce à quoi, en utilisant l’eau présente sur les lieux, je lève un haut mur aquatique, qui bloque l’attaque futon de la jeune genin, avant de retombé sur le sol, à la façon d’une brève averse. Maintenant place à ma seconde technique. Nouvelle série de signes et cette fois, c’est ma technique de type eau, offensive qui fait son entrée en scène. Daibakufu no Jutsu : la grande cataracte. Sous forme d’une grande vague d’eau, le tout ce dirige vers la kunoichi du sable, qui devra trouvé le moyen d’esquiver, sous peine de subir des dégâts sérieux.

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«Seigneur du sable»

Je suis finalement vraiment content de moi. Le fait d’etre venu ici même, sur l’un des terrains d’entrainement du village du Sable. Avoir pris la décision de rester pour prendre le temps de regarder une jeune kunoichi, qui malgré son jeune age, semble recelé en elle un talent et un potentiel immense. Je peut maintenant le confirmé. Car avec ce petit combat que nous livrons, je suis premier spectateur des diverses capacités de cette jeune enfant. Encore une nouvelle expérience dans ma vie de ninja, qui va me permettre une évolution. Je doute qu’un jour, je croise un shinobi avec un kekkei genkei égal à celui de la miss Shizue, mais affronter un ninja avec un don héréditaire, est à la fois une expérience rare et enrichissante. De ce fait, je profite de chaque minutes du combat pour en apprendre toujours plus. Elle ce défend plutôt bien mine de rien. Elle me force même à l’utilisation de certaines techniques d’esquive et de protection, à savoir le kawarimi dans un premier lieu, puis ensuite la barrière aqueuse. Bon il est sans doute vrais que ma dernière offensive est un peu trop grosse pour la genin.

Pourtant, alors que je me prépare à intervenir pour la sauver, je suis surpris par l’arrivé d’une tierce personne. Je ne sais pas qui elle est, mais en tout cas, le jutsu fuuton qu’elle va d’utilisé est d’une grande puissance. Assez pour stopper net ma grande cataracte. Ce qui n’est pas vraiment rien. Est-ce que c’est possible ce à quoi je pense ? Je ne sais pas. L’homme qui me fait face, est-ce le fameux Kazekage ? Le père adoptif de Shizue et la personne avec un grand cœur en or ? Oui, c’est fort probable, après tout, cette façon qu’il a de parler à Shizue, l’air paternel qu’il dégage à coté de la jeune fille, oui je ne dois pas faire erreur. Je suis bel et bien en présence d’un des plus puissant shinobis, l’un des cinq maitre kage. Impressionnant n’est-ce pas ? Je m’incline dans une révérence, ayant un grand respect pour celui qui dirige ce village. J’écoute avec une grande intention ses paroles, tendis qu’il range son sabre. Je soupire doucement, portant une main sur ma nuque pour la massé.

Veuillez me pardonner pour cette faute maitre Kazekage. Il faut dire que Shizue-chan votre fille, déborde d’un grand talent. Je compté bien intervenir, mais vous avez était le plus rapide monsieur. Et Shizue, n’en veut pas trop à ton père. Ma technique a la puissance d’une rang S, je ne sais pas si ton bouclier aller tenir le coup. Par contre, je me permet de soigner mademoiselle Kazekage-dono.

Joignant le geste à la parole, je m’approche de la jeune kunoichi et après l’accord de son paternel, je l’allonge sur le sable, pour me permettre des soins plus rapides et simples. Je commence par me servir de Kaiseki Ken'shin, pour savoir exactement à quel endroit de son corps la demoiselle a mal, puis une fois que je le sais, je me concentre et cette fois, utilise la même technique, mais non plus pour savoir de quoi elle souffre, mais bien pour la soigner, ainsi un halo de lumière verte entoure mes mains et reste ainsi, deux trois minutes durant, puis semble disparaitre comme il est venu. Normalement elle devra aller mieux, du moins je le pense.

Et voilà petite soeur, t’est remise sur pied.

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« Miam Miam»

Je monte doucement une main le long de ma nuque, frottant cette dernière tout en gardant actif mon sourire. Maintenant que ce petit duel avec une nouvelle amie est terminée, je vais sans doute devoir rentrer à Kiri. Même si j'ai encore devant moi plusieurs heures, je ne dois pas non plus passer le mois au village caché du Sable. Après tout je suis un ninja de l'unité médicale de Kiri, donc ma présence ne doit pas être trop longtemps absente dans le village caché de la Brume, ou plus précisément son hôpital. Pourtant, avec la venue de maitre Kazekage, je ne dois pas me permettre de partir aussi vite, à la manière d'un quelconque voleur pris sur le fait. C'est bien pour ça que je viens de prendre le temps de soigner la petite Shizue, bien que même si le dirigeant du Sable n'était pas venu, Shizue-chan aurais eu les soins promis. Je ne suis pas un monstre sans coeur après tout, du moins pas quand je suis en repos ou au terme d'un combat, dont le but fut de s'amuser un peu, en testant la force de l'autre. D'ailleurs au risque de me répéter, mais la jeune genin a un bon potentiel, je me demande même à quel niveau elle sera d'ici une dizaine d'années, lorsqu'elle aura grandi et acquis l'expérience du combat qui lui manque. Elle sera alors une kunoichi d'une toute autre envergure

Cet homme qui n'est pas n'importe qui, étant de par son rang considérer comme l'un des plus puissants ninjas au monde, finis par me poser une question bien simple, mais à laquelle je me suis préparé. Après tout, il est normal de par sa position au sein de Suna, de se demander pourquoi un ninja dont le propre village est bien loin, se trouve sur l'aire d'entrainement non loin du plus grand bâtiment du village. Je vais donc lui répondre franchement et sans détour, mais au dernier moment l'homme qui me fait face prend de nouveau la parole. La proposition de partager un repas que viens de me faire le maitre Kage est surprenante, mais non moins plaisante à entendre. Bah un bon repas bien chaud pour coller à la température du coin, avant de reprendre la route pour rentrer chez moi ce n'est pas plus mal. Je n'ai pas besoin de dire l'ombre d'un mot, pour qu'il comprenne que je suis tout à fait disposé à partager une table avec lui et sa fille. Le chemin vers le restaurant auquel nous conduit Kazekage-sama n'est pas très long, apparemment lui et Shizue semblent y être allé déjà par le passé. Nous y arrivons alors et après on finit par aller prendre place à une table au fond. Je prends place face à lui, puis regarde alors le serveur qui viens nous voir pour la commande. N'étant pas du genre à abuser de la bonté des gens qui m'invitent, je passe la même commande que maitre Kazekage, à savoir quelques tranches de viandes. Puis une fois qu'il s'éloigne, je regarde le dit Kage et lui répond avec un petit sourire, bien qu'au fond je suis un peu triste des mots qui suivent.

Je suis un chuunin du nom de Yashiro Kaiza. Comme vous l'avez sans doute compris, je suis de l'unité des médecins de Kiri. Quant aux raisons de ma présence dans votre village maitre Kazekage, c'est simplement que je suis venu en voyage, dans le but de rendre un hommage à mon défunt maitre, mort il y à quelques semaines au combat. Nous étions venu ici il à plusieurs années donc bon.Puis je regarde ShizueTu sais, mon chakra est assez spécial, mais je n'ai pas le droit d'en parler, c'est un ordre de maitre Mizukage. Sinon oui, je suis bel et bien un ensei-nin.