Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit]
Sujet: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Ven 30 Sep 2011 - 19:27 Haine Mizuraki
MOI Code du forum qui prouve que vous avez lu le règlement : Comment avez-vous connu ce forum : Ba je suis un Dc °° Connaissez-vous les RPG : Oui Decrivez-vous dans la vie réel :Ce n'est plus la peinne ^^
Dernière édition par Haine Mizuraki le Mar 4 Oct 2011 - 14:47, édité 7 fois
Sujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Lun 3 Oct 2011 - 19:47 Détail de sa nomination en tant que Raikage
Un tournant [Flash Back]
L'hoziron, une arrête sporadiquement alambiquée. Elle est dégrossie par les qeulques fluets et chétifs faisceaux lumineux de l'astre solaire encore bien matinale. Le ciel arborrait à des teintes azurées ténébreuses qui indiquait que nous étions dans l'éphèmère instant de la transition entre la nuit et le jour. Corrélé par un silence placide, une légère brise gelée fouettait les quelques rares passants qui sur cette terre comme des âmes érrantes sans but ni loi. Cependant je doutais qu'il y ait de nombreux hommes éveillés à cette heure si matutinal, on vait beau dire que le monde appartenait à celui qui se lève tôt les affriolantes méandre du sommeil étaient bien plus puissante et exercer avec perversion leurs emprise sur l'esprit de l'être endormit. En même temps je vous accorde que bien souvent nous ne luttons point pour subir le fastidieux labeur imposé par la vie. Mais cela était un ordre imposé de l'intouchable, du fameux créateur si souvent mentionné dans les livres saints. Ô il est beau ce Dieu, celui qui a crée l'homme ! Tellement divin qu'il a sans suspicion définit d'homme la plus inhumaine des bêtes de notre monde. Si jamais l'être humain devait être l'apogé de la chaîne de l'évolution est bien celle-ci serait bien piètre. L'évolution de toutes ces espèces se résumait-elle à l'imparfait ? Bien, il faut le croire. Eplorant constats mais puisque les choses sont ainsi alors laissons, laissons car nous ne sommes que des poussières dans un univers bien trop complexe pour notre petitesse. A l'encontre de mon regard vint se heurter sans gêne les garguantuesque portes de mon si ravissant village, Kumo. C'était un bourd d'extasie, j'y tenais autant qu'à moi même et je me serais hâté si j'en avait les moyens. Effectivement je revenais de loin cette fois-ci, je crois bien que j'aurais put y laisser ma vie et bien que je partage l'avis que nous sommes peu de chose j'avais le sentiment que mon heure n'était point venue. La preuve en était je me dressais sur mes deux jambes fièrement portant sur mon visage ma nouvelle victoire. Une fois de plus j'avais avec distinction octroyé un triomphe à Kumo. De la générosité ? Non cela n'était pas le terme adapté, selon moi cela était d'avantage la jouissance d'écraser au nom d'une bonne cause toute opposition. Je ne crois qu'en mes convictions, je suis une machine lançée avec vélocité sur l'ennemis dont on se félicite à sa victoire. Très imagé cela est certain mais il y une aprt de vraie la dedans. Me tenant de ma main droite mes côtes je sent le vent me rougir le visage, plongé dans mes songe j'en avais oublié la rpésence de mon équipe. Je me retourne alors, mon regard se pose sur ces braves ninjas qui ont participer avec moi à soulever la coupe de la consécration. Jun, Taiko et Heime, des shinobis de qualités la preuve en était. Un léger pincement désagréable me fit revenir sur terre, mes côtes me faisaient souffrir et il faut admettre que cette attaque Katon durant le combat avait été redoutable. Enfin cette mission était derrière nous à présent et ensemble nous marchions vers notre salut. Lieu de repos également, j'avais une envie profonde de m'allonger quelque part de rpéférence sur un lit bien au chaud et de me laissais porter par les méandres du sommeil, berçer par l'étreinte illusoire de Morphée. Cette pensée si simplette et humaine m'arrachait un macabre sourire. Désué de gaieté, désué de réjouissance cela ne m'évoquer que mon incapacité au repos. Le syndrome de la fatigue chronique, je fait un mouvement de désapprobation de la tête, l'on n'a jamais vue une pareille sotise. Je maudissais quelques fois encore ce combat à Konoha duran tcette fameuse guerre encore récente. Mais jamais je ne m'y attardais vraiment, trop démoralisant et la vie est trop courte pour sapper soi même le morale avec de pareil futilité. J'ote mon gant et le laisse tomber au sol sans m'en préocupper, je savais que l'un de mes trois le ramasserait. Je dispose alors ma main sur mon coeur et une lueure verte fait son apparition. Mon seul moyen de m'échapper de cette sensation de fatigue était l'Iroujutsu. Je pouvais dormir autan tde temps qu'il m'était donné de le faire, la fatigue demeuré intacte c'était en quelque sorte comme donné l'amitié à qui veut l'amour. La vie ainsi faite je luttais comme je le pouvais et au moins cela me permettait d'user de l'Iroujutsu ce que j'affectionnais énorémement. Cela est comme ma passion. Je ferme les paupières en avancant droit devant moi, l'ambiance demeure aussi calme et sereine malgré les nuages grisonnants qui faisaient peu à peu leurs apparitions. Il y aurait-il encore de l'orage à Kumo ? Pour l'instant non mais il se préparait de la plus belle des façons. Laisser entrevoir les prémices de sa venue.. Quand je rouvris les paupières j'apperçut face à moi toujours ses portes mais cette fois-ci bien plus conséquentes. Nous allions les franchirs dans quelques minutes. J'étais à la fois surpris qu'il n'y ait pas un chat et déçut face à ce manque de dynamisme des habitants. Enfin ce n'était pas lui juunin qui allait changer le monde. La lueure verte qui entouré ma main droite s'estompait tant dis que je laissais retomber ma main le long de mon corp. Je jetta un coup d'oeil aux ninjas chagés de la garde. Kumo était dans un climat d'insécurité ces derniers temps. La fin de la guerre qui aurait dut apporter une certaine ambiance de solidarité n'avait pas eu lieu. J'avoue que moi même je m'attendais à undiscrou de notre Kage Setsuri Hazu mais il n'en n'était rien. Peut-être attendait-il un instant plus propice... Enfin bref cela ne me regardait nullement. Je passe ma main dans ma chevelure en traversant les portes. De retour dans mon village, quelques mètres à peinne parcourrut que mes équipiers fuir chacun d'un coté dans un signe de tête de respect. La mission achevé chacun retourner à ses occupations. Je m'étirais alors dans un mouvement précipités, je sentais mon dos se détendre agréablement alors que j'avançais vers le centre du village. Levant le regard au cieux, j'observais le ciel noirçit parraissant comme boudeur face à moi. Je m'en amusais un bref instant car vélocement je fut rejoint par un homme que je connaissais bien. Il m'adressa un signe de main mais parraissait comme tendue, son visage n'était pas illuminé de cette joie qu'on lui octroyait aisément. Soudain il posa sa main sur mon épaule en me disant quelques mots balbitué nerveusement : "Le conseil... Pffiou le conseil te convoques !" Je portais ma main à mon front en l'observant suspicieux. Un soupire lasse, le conseil ? Mais pourquoi moi ? Une moue d'où la surprise, la lassitude et la suspicion se mêlait. Je lui répondis alors dans un mouvement de tête signifiant mon approbation : "Bon dans ce cas je te donne mon rapport de mission tiens." Je lui tendit un rouleau en plantant mon regard dans le sien comme pour lui réprimander une mauvaise plaisanterie. J'avoue je n'y croiyais pas ! C'était trop gros pourquoi moi ? Convoqué par le conseil alors que je n'ai rien fait. Illogique !"Les blagues les plus courtes sont les meilleures " soufflais-je à l'homme qui avait prit mon rouleau. "Crétin ! Crétin ! Ce n'est pas uen blague dépêches toi !! Moi je m'occupe de ton rapport." Une sorte de vague depanique m'envahissait tan tdis qu'il repartais aussi vite qu'il était arrivé. Je ne comprenais franchement pas la situation. L'observant partir je l'immita alors. Je n'avais pas le choix puisque cela était vraie..Sentant comme un frisson me parcourir je me lançais dans une course folle vers le batîment maître de Kumo, là ou résidait le conseil, le manoir du Raikage. Empruntant les ruelles les plus désertes du village j'avançais un peu plus vite. Folie ! J'en étais au stade de stréssé pour une convocation ... enfin.Convocation si peu habituelle. D'un movuement véloce de droite à gauche je me sortais de la tête le mauvais présage afin d'arriver au bout d'une poignée de minute au porte du manoir de Kumo. Ambarrassé je n'avais aucune idée d'où ce trouvait la salle du conseil pour cause je n'y avait jamais été auparavant. Une fois dans le manoir un homme de petite stature me fit signe. "Suivez moi" murmura-t il. Ha la fortune est avec moi ! Je le suivais donc. Nous empruntons des escalier dans un silence tendu que je n'affectionnais point. Le calme avant la tempête pensais-je une grimace aux lèvres. L'escalier prit fin pour mener sur un long couloir richement décoré et une porte dont l'encadrement semblait être de l'or pur. Fasciné par le luxe étalé en ce simple couloir j'en oubliais presque ce qui m'attendais. Le petit homme s'inclina avant de repartir à la hâte. Si je m'étais écouter ej 'laurais bien retenut histoire d'avoir une présence à mes cotés. Inspirant profondément je posais mes deux mains sur les portes et dans un mouvement délicat vers l'avant je les poussés. Devant moi s'offrait une salle plutôt sombre en vue du temps colérique, une longue table ovale au centre et des personnes l'encadrant. Le smembres du conseil. Je ne les regarde dans les yeux par signe de respect et avance sous leurs regards présomptueusement. C'était plus fort que moi je devais me mettre en valeur pour défendre ma cause. Tendu, stréssé je demeurais face à eux, je fit une légère courbette emplis d'un profond respect tout en apréhandant la cause de cette convocation. Me redressant je mit mes mains derrière mon dos, la tête légèrement incliné, l'expression facial tout à fait neutre je dit alors quelques mots respectueux à l'égard de tous ces membres : "Salutations membres du conseil" Un homme prit la parole, le membre le plus éminent j'imagine. "Avez-vous remarqué Haine Mizuraki ?" Gardant ma position, je en voyais absolument pas de quoi cet homme parler. Remarquer ? Peut-être mais de quoi parlait-il ? Sentant la tension monté je répirmais une girmace alors qu'il reprit " Vous êtes vous penché sur notre politique actuelle ?" Notre politique actuelle ? La guerre avait prit fin, notre Kage était resté silencieux... Etait-ce de cela qu'il voulait parler ? J'imagine oui. Dans un coup de sang je dit alors. "Oui notre Raikage se fait discret ces temps-ci." J'avais prit soin de ne pas prendre de risque en répondant je voulais éviter toute possibilités de piège approprement parler. "Seulement discret ?" ajouta une femme plus usée probablement plus agée. Je en comprenais pas cette question, pourquoi avoir relever le mot discret? Ils savaient eux alors poourquoi ne pas me dire directement. "J'ose le croire" murmurais-je. Je ne voyais point d'autre alternative que de jouer le jeu de l'incertain, espérant et voire même naïf. "Savoir et préférable à croire, croire n'est qu'utopie, savoir n'est que réalité. Qu'en déduis-tu ?" Une grimace dissimulé par une moue hésitante et un questionnement grandissant. Jamais je ne posséderais cette capacité insupportable à toujours remettre en doute les paroles d'autrui pour le faire douter lui même. Astucieux. D'ailleurs je ne savais pas quoi en déduire enfin j'avais bien une idée mais je refusais d'y croire. Si il se faisait discret, peut-être était-ce qu'il avait ... disparut ? Mes sourcils se froncèrent, décédé durant la guerre?? Impossible cela aurait fait l'objet de controverses nombreuses et de bruits. Je n'avais rien à perdre de toute façon. Je relevais lentement la tête tout en gardant mon regard bas par signe de respect. "Notre Raikage s'est retiré ?" Un poil interrogateur c'est vrai, je préférais me dire qu'il voulait céder sa palce plus qu'autre chose. "Vous semblez tendu Haine, quelque chose ne va pas ?" Une mimique de désapprobation s'étendait un bref instant sur mes lèvres. Qu'est-ce que cela avait à voir avec le sujet de la conversation, bon sang ils voulaient me mettre dans l'embarra plus que je ne l'était déjà. Forçant ma voix à parraitre plus ferme, plus certaine je répondit alors : "Non respectable membre du conseil tous vas pour le mieux.Juste que ej me questionne sur el lien entre notre respectable et Raikage et moi même." L'homme se leva alors de sa chaise en posant ses mains sur la table. Avais-je dit quelque chose de mal ? " Je vais clarifier les choses Haine Mizuraki, vous êtes bien Juunin de Kumo depuis maintenant 10 ans n'est-ce pas ?" "Oui" "Votre famille fut et demeure encore au service de Kumo en prenant part aux forces militaires du pays ? " "Oui" "Bien, Setsuri Hazu, suite à la Guerre à mystérieusement disparut sans laisser de trace, nous avons étudier le problème sous tous ses angles, des enquêtes furent ouvertes, et il apparrait comme évident que Kumo ne peut rester sans Homme à sa tête." "Bien entendu" soufflais-je décontennançais. Disparut sans laisser de traces ? .... Qu'est-ce que cette excuse. Cela étai tvraie pourtant... Inquiétant autant qu'étrange. "Le conseil en ces conditions à donc prit la décision d'élire un shichidaime Raikage, le pays ne peut demeurer dans un tel climat d'insécurité et surtout sans chef digne de ce nom." Bien sur je fasiait le lien, mais ce que je pensais été qu'une futile bêtise sans importance. Moi devenir ... Non ! Impossible. " C'est donc la raison de votre convocation au conseil, Haine Mizuraki, un vent de changement souffle sur Kumogakure no Sato." "Haine Mizuraki Shshidaime Raikage " J'étais, complétement perdu. Moi Raikage... Je réfutais cette évidence, ce fantasme de toujours, ce rêve d'enfant se réalisant ? De la fortune ? Je crois bine. Une vague de stresse retombe alors, mes paupières se ferment.C'était de grandes responsabilités, peut-être trop grande pour l'homme que j'étais. "Qu'elles sont les raisons de cette décision ?" lachais-je d'une voix reflétant mon boulversement. "Eh bien, toujours vous avez servit votre nation sans sourciller. La plupart du temps vous revenez tromphant, de plus vos qualités en temps que Juunin et chef d'équipe ont toujours fait de grand vent à nos oreilles et je crois bien que vous avez les épaules pour endosser un tel rôle. Vous le savez aussi bien que moi,vous êtes un homme d'autorité et de talent, prenant de bonnes décisions au bon moment sans compter que votre parcours est interressant, un entraînement de cinqs années au temple de la foudre qui de plus ont fait leurs preuves." Un long silence s'installa durant lequel je tentais de remettre en place mes idées. Ce n'était pas quelque chose d'aisé à maitriser tout de même. Des sentiments contraire et de toute nature affluant en mon esprit, je serrais els dents sous le poid de l'émotion. Mère et Père vous me regardez je le sais, voyez qui je suis devenu, soyez fière de là où vous êtes, fière de votre fils. Une larme perla sur ma joue et brisant le calme imposé d'une voix que l'on devinait émue je dit alors : "Je suis honoré que vous membre du conseil ayaient penser à moi pour une telle succession, je ferais en sorte de ne point vous décevoir et de tirer Kumo vers le haut."
Dernière édition par Haine Mizuraki le Mar 4 Oct 2011 - 14:49, édité 1 fois
Sujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Mar 4 Oct 2011 - 11:24 Bon cette fois cette présentation est bien finit en attente d'avis
Sujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Mar 4 Oct 2011 - 11:45 Bon bah pour moi : Raikage, rang S, level 20. Second avis + test rp.
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20 ans Sujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Mar 4 Oct 2011 - 20:10 Et bien, pour ma part, je pense que cela est suffisant, le fait que Setsuri soit porté disparu me paraît correct, comme ça, il peut réapparaître au cas où... après, je crois qu'il a quitté le forum, non ? (Si mes souvenirs sont bons... ) Donc, Raikage de rang S et de niveau 20 ! Il va nous falloir un test RP... dommage, j'aurais bien aimé te donner celui qui parlerait de la disparition de Setsuri, malheureusement, tu as déjà fait les choses... imaginons autre chose :Kumo... depuis des semaines, voire même des mois, ce village périt à petit feu... les habitants sont de moins en moins actifs, et voient l'avenir d'un mauvais œil. Depuis la disparition de Setsuri et son absence, les choses empirent, et cela devient très inquiétant. Le Pays a perdu sa gloire d'antan, et quelqu'un doit reprendre les choses en mains... Raconte nous les éléments qui te marquèrent, les éléments d'un Kumo abandonné, d'un Kumo délaissé, et évoque nous tes sensations lorsque les conseillers te choisirent en tant que Raikage, après la disparition de Setsuri ! Je sais, c'est nul, mais bon ! ^^"
Sujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Mer 5 Oct 2011 - 9:42 Oui en effet il a quitté le forum
Une réalité
Kumogakure no Sato, le pays de la foudre, je crois bien que pour moi c'était bien plus. J'y avais mûrit après y avoir prit racine. Il est vrai que ma famille n'est point véritablement ancrée en cette caline contrée mais y étant né il y a de cela maintenant pas mal d'année, c'était tous comme. Peut-être et assurément pensez-vous que cette façon d'opérer est irresponsable, renier son origine ? Qu'elle balourdise ! Eventuellement, oui mais comment pourrais-je ressentir un sentiment d'appartenance pour un lieu ou bien même une personne sans même le connaître au préalable. Je me hasarde sur le fait évident que nous ne pouvons aimer sans connaître car selon moi cela est une question de logique. Il est tout à fait factice de vouer de grand mots charmesl débordant d'une concupiscence inéxistance, alors en ces conditions pourquoi ne pas tous bonnement laisser. Oui, laisser car ici je n'ai d'autre échappatoire, ne connaissant que Kumo je me voit dans l'obligation de n'apprécier que cette dernière au détriment du pays des artisans. Si cela doit l'être alors il en sera et le débat sera ainsi clos. Tiens revenons à notre sujet initial. Aujourd'hui me parrait être une plaisante journée, du moins sans orage. Il n'y avait pas l'ombre d'un nuage grisonnant dans nos cieux si inaccoutmés teint de bleu. Ô non je ne me permetterais point de me plaindre, gémir cela est pour les faibles personnellement j'arborre à des horizons plus ambitieuses. La vie vaut selon ma eprsonne la peinne d'être vécu alors autant en tirer profit, autant vivre avec un objectif qui rythmera nos nuits, comme nos journées qui sera notre motivation, notre unique raison de justement vivre. Bien que grand nombre de gens pronent qu'ils vivent en toute liberté n'écoutant que même et je dois avouer que cela me chagrine de voir tant d'âme se précipiter dans la fausseté. Elan d'altruisme, compassion ou pitié ? Non juste que leurs aspect burlesque m'exaspèrais au plus haut point. Croire posséder une liberté et vivre leurs vies comme ils l'entendaient, ils ne faisaient que croire ! Comment pouvais-je déduire cela ? Tous bonnement car il faut s'imposer une limite à notre liberté sinon ce n'en n'est plus une. Peut-on vraiement se sentir libre si nous ne connaissons pas en parallèle la réprésion ? Enfin cela est encore uen fois un argument de majorité et je craint qu'on ne puisse rien face à cela. D'un mouvement lent et se voulant élégant je levais la tête aux cieux en observant les méandres et entrêmelents inéxistant. Cela était un parfait camaïeu de bleue, sans interruption et totalement uniforme. Je laissais un profond soupire s'échapper d'entre mes lèvres fines et instantanément un sourire vint les revétirs. Je goutais comme souvent au plaisir simplet de notre vie si archaïque en soi, aimant d'avantage le plaisir à la torture des sentiments on me qualifiait généralement hativement de sans coeur ce qui était tout à fait faux. Cette pensée m'arracha un petit rictus sarcastique tant dis que je me redressais énergiquement. Je tapais alors ems deux paumes contre la table de chêne pour me donner un peu de courage puis me releva. Un vent d'altération se devait balayer le village. Le conseil l'avait amorsé hier dans la journée je me devais de lui donner l'impulsion necessaire pour que ce dernier ait l'effet escompter. Effectivement Kumo n'était plus vraiment ce qu'elle fut par le passé. Ce petit bourg de puissance militaire avait été réduit à l'état de bataillon suite à cette guerre à laquelle notre nation prit part. De nombreux de nos hommes tombèrent, j'étais bien placé pour parler vue que moi je composais les troupes de notre pays. Des hommes puissants, j'en ai vue tomber infortunément cela était l'essence de l'expérience. Avec le temps j'apprit une chose sur la vie c' est que probablement elle constituait la source même du mot aléatoire. SI un jour vous daignez chercher une éthymologie au mot, vie ne cherchait plus c'est aléatoire. J'en suis certain. La guerre dévastatrice eut heureusement lieu principalement sur les terres de Konoha, par chance nous n'étions qu'un pion sur l'échéquier. Les dégats furent moins denses mais tout de même. De nombreux enfants devinrent orphelins redonnant vie aux rares orphelinats qui peuple Kumo, quand aux familles dans leurs généralités ? Elles sont pincipalements monoparentale ou bien tous simplement inéxistante. De nombreuses pertes sont à déplorées. Ces dernières affaiblissent non seulement le coté militaire du pays mais aussi l'économie. Kumo est devenut fragile. Je n'ose même plus évoqué la relation entre le Kage et les habitants. En toute logique l'abscence de Setsuri Hazu pesa sur les consciences et créant un sentiment d'abandon le pays s'en ressentit à travers les productions et même l'athmosphère générale. Il faisait bon vivre de résider au pays des nuages à présent les tensions et la délation sont en qeulque sorte la tenue prit en exemple. De nombreux conflits internes éclatent et des hordes de délinquant sont à réprimer. Voila ce qu'entraîne l'irresponsabilité d'un homme, un seul et unique homme. Je fait quelques pas vers la fenêtre me donnant vue sur le village. Le peuple n'a plus confiance, il devient hostile et belliqueux c'est une catastrophe. Il m'arrive encore de me demander comment un homme tel que lui à put laisser faire ça, comment il a put tout abandonner snas même penser à ses gens qui avaient placé en lui des espoirs. Je m'accoudais à cette dernière en observant d'un regard profond emplis d'une certaine empathie l'horizon. Les habitants ne aprlent même plus du futur. Ils en ont peur, ils le réfute, ils ne préfèrent pas y penser. Passer ses vieux jours dans ce village est devenue un mauvais présage. Je les comprends si bien, comment vouloir demeurer dans un lieu où lachement on vous laisse piètre sans même de justification. Une sensation de vide ravage mes pensées. Et moi, moi Haine Mizuraki allais devoir y remédier. Je laisse ma tête retombait en fixant le sol. Je suis affreusement haut, si je venais à tomber je n'aurais pas de chance de survie.Mais si je tombais cela voudrait donc dire que moi aussi je laissais seul le peuple. Mes paupières se referment lentement et j'esquissais un sourire radieux. J'admet hier je fut confus par la décision du conceil mais en demeurant ravit. Pour moi c'était l'accomplissement d'une vie. Les bonnes volontés necessairesà diriger je les possédés sans contest possible. Emu, touché par cette décision j'avais en moi le sentiment agréable de jouer enfin un rôle. Un rôle à ma hauteur que j'lalais pouvoir jouer à merveille. Il fallait un homme fort pour relever Kumo je le serais. Volontaire et décidé la tâche allait être rude et cela faisait naitre en moi un poil d'angoisse mais qu'à cela ne tienne. Je crois que c'est en ces moment là qu'un être montre sa valeur et c'était à moi. On avait placé en moi une confiance que je me devais d'entretenir, il fallait une fois encore que je brille comme par le passé. Je me redressais tant dis que mon regard se posait à présent sur mon bureau. Le rôle de Raikage c'était fantastique mais il engendrait de nombreuses responsabilités. En disant cela je visais la pile de papier s'accumulant depuis hier au soir. Un rire discret s'échappa d'entre mes lèvres alors qu'un sentiment profond de joie m'envahit. De la joie, était-elle réelle ? Je le croit bien. Partagé entre l'angoisse, la fierté, la joie de relever e tde redonenr l'espoir j'allais devoir m'atteller à ma tâche. A mon grade, mon rang, mon rôle. J'étais maintenant l'élement indispensable à la vie du pays des nuages. Passant délicatement ma mai ndans ma chevelure, je n'osais repenser à Setsuri. Il avait disparut et je ne pouvais l'admettre mais je ne pouvais accuser la mort en vue de tant de puissance qu'il avait accumulé au cours des années. Trop fort pour être vaincu, trop puissant et peut-être trop fière pour juste disparaître. Je ne sais pas en vérité je ne le connaissait que dans sa condition de Kage. Pour lui je n'étais qu'un Juunin pour moi il n'était qu'un homme en lequel j'vaais plaçé ma confiance. C'est probablemement en cela que ej comprenais les habitants. Trahits nous tous l'avons été à un titre injuste et voir inéxistant. Je laisse la parole au temps une fois de plus il nous dira quel sera le nouveau profil de Kumogakure no Sato.
Voial. J'ia fait de mon mieux avec pour sujet ... peu inspirant hein XD J'espère que cela ira ^^
Sujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Mer 5 Oct 2011 - 17:52 Oh mon dieu... Oh mon dieu... J'en reviens pas... JE VALIDE UN KUMOJIN *-*
Kaitaro Nagi ~Chef de l'ANBU de Konoha~ ▌Messages : 1019
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19 ans Sujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Mar 17 Juil 2012 - 19:25 Direction corbeille Amicalement Kaitaro Nagi.
Sujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit]
Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit]
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