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Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit]

InvitéInvité
MessageSujet: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Icon_minitimeVen 30 Sep 2011 - 19:27

Haine Mizuraki

  • Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Sexy-Okita-Souji-hakuouki-13649864-225-350

    * Identité : Haine Mizuraki
    * Âge : 28 ans
    * Sexe : Masculin
    * Village/Organisation : Kumo
    * Orientation sexuelle : Hétérosexuel
    * Rang : Raikage [Dc de Satoshi Hateru]
    * Surnom : Sen no kao no otoko
    * Date : 25/06
    * Nindo : Aide toi et le ciel t'aideras
    * Particularité : Kekkai Genkai Ranji (obtention à la présentation)

    Le caractère fait à chacun sa destinée


    Haine, Haine Mizuraki ce grand homme. Le moins que l'on puisse dire est qu'il supporte avec bien de l'infortune un prénom qui ne lui convient nullement.La haine en elle même ne résulte-t elle point de l'essence même de la cruauté, de la bassesse dont est capable l'humain ? Je crois bien que nous n'avons d'autre choix que d'apporter notre approbation à cette interrogation. Oui, en soi c'est effectivement l'entremêlement des plus avilissants ressentit de l'humanité et pourtant cet être portant cette futile appellation et tout autre. Nous nous laissons avec trop d'aisance corrompre par l'opinion publique qui devient alors argument de généralité et comme quoi il faut savoir percevoir l'imperceptible, lire entre les lignes car si cela n'est pas notre démarche nous passerons à côté d'un individu des plus surprenant tout autant que complexe. Bien débutons ce chétif résumé de cette personne abscon pour ne pas dire ésothérique. Haine Mizuraki, n'a donc rien à voir avec la plupart de ces confrères, il a beau partarger le biotope de tous il n'en n'est pas moins un être d'execption. Enchevêtré sont les duppes de sa personalité tous cela pour aboutir à un frippon. Qu'à cela ne tienne. Haine est pour débuter un homme aisément comparable à l'esquisse d'un rayon de l'astre solaire. Il est tout aussi rayonnant, éclairant les abysses de l'humanité de part son côté bonhommique. C'est un homme assurément emplis d'une fausse gaïeté, d'un sentiment discutable de joie et pour courroner le tout d'une drôlerie cynique tout autant que sadique. Comment vous dires, comment expliquer cela. Haine parrait mais n'est point. Effectivement ce shinobis se joue d'autrui continuellement, le theâtre, les jeux de rôles, tragédie, comédie, tragi-comédie ? Il brille dans n'importe quel rôle. Capable de mimer le joyeux luron, au septique viellard, Haine à le don au grand damne de son entourage de porter absolument tous les masques. Il est faux et cela au quotidien. Maîtrise sans borne des inflexions du comportement humain et des traits du facièes il modèle à sa guise son personnage en focntion de la situation qu'il se présenjte à lui. Ne vous méprenez pas il n'en n'est pas pour autant un sage capable de prouesse dans le domaine des émotions. Haine Mizuraki est tout à fait imprévisible. Autant peut-il se vanter d'être un redoutable acteur, autant peut-il s'éssouflait à justifier son manque de contenance par instant. Oui en effet on ne peut pas dire que Haine ait la faculté de ce raisonner, il n'a pas de limite définit, il ne veux pas s'en imposer juste pour une question d'image. Seul, les rares événements touchant l'échelle mondiale et politique le pousse à adopter une attitude plus mûre et ainsi il saura contenir ses sentiments. En règle général il faut bien avouer que ce Mizuraki n'apprécit que ses volontés, j'entends par là qu'il n'obéit qu'à lui même. Il estime que l'homme est trop imparfait pour exiger quoique ce soit de lui même et seul ses propre règles ne compte pour sa personne. A ce propos nous ne pouvons point évoquer cela sans toucher le sujet de son égoïsme, il serait fade que cet homme soit généreux ne trouvez-vous point ? Personellement si! Bien, Haine aime sa personne, aime impressionner, éclaboussé de boue ses utopique poursuivant. Pour lui,chacun pour soi et Dieu pour tous. Il n'est pas du genre altruiste, gaie et ne partage point sans d'excellente raison. De toute façon il ne partage pas du tout... Il voit cet acte comme délibéré selon lui il faut mieux s'assuré soi même d'être bien lottit qu'aller donner ce que l'on a pas à celui qui n'aura pas de quoi faire de même. A cela nous pouvons mettre en évidence le fait qu'il ne fait rien sans interêt, il doit toujours avoir une motivation pour le stimuler, il apprécit savourer ses victoires en ayant sa petite récompense à la fin mais étant extrêmement éxigeant et constamment insatisfait il est aisément qualifié d'idéaliste. Ces objectifs sont tous aussi fou qu'il peut endosser de rôle mais pour lui rien n'est impossible. Son orgueil grandissant ne laisse de place au doute et encore moins à l'éventualité de l'erreur. D'ailleurs à l'écouter il n'a jamais fauté et pourtant Dieu sait le contraire cependant si carte sur table vous lui prouvez sa faute jamais il ne la reniera et sera près à plus ou moins attendre sa sentence avec une complicité en sa totalité aléatoire. Méfiez vous tout de même si il avoue c'est qu'il y voit un avantage, il ne fait jamais rien pour rien, le plus bénin et anodin des geste peut-être décisif.Il se montre en permanence intolérant envers ceux qui sont moins "doués" et moins gradé que lui. Il n'irait probablement pas jusqu'à l'irrespect car sachez le Haine a bien des défaults mais reste courtois malgrè ses possible emportements. Il peut même parfois être de mauvaise foi, et son esprit de contradiction est fort développé c'est même un de ces signes distinctif. Il sera presque toujours en contradiction implicite ou explicite et si jamais par le plus grand des hasard vos esprits venaient à correrler la même opinion il y laisserait quelques part d'ombre.Appréciant le pouvoir et les possessions, c'est un homme concret et matérialiste, parfois même opportuniste. Si le bien-être et l'aisance financière sont nécessaires à sa vie, ce n'est pas uniquement pour le confort qu'ils procurent, mais aussi pour en faire profiter les quelques personnes qu'il voit comme importantes, auxquels il est très attaché. Bien que cela soit rarissime il peut aussi faire preuve de générosité mais cette place en son coeur il faut déjà qu'il l'admette et que vous la méritiez. Incroyablement soupçoneux et méfiant quand il s'agit d'accorder sa confiance à quelqu'un il est quasiment impénétrable et quand bien croyez vous lire en ce dernier c'est surement l'un de ces masques. Evidemment têtu et opiniatre il n'admet pas qu'il puisse avoir tort peu importe le sujet, il faut savoir faire preuve de diplomatie avec ce jeune homme d'autant plus que bien qu'il peut éventuellement parraître irréfléchit mais cela n'est qu'une absurdité de plus.Haine raisonne mûrement chacune de ces décisions voyant la partie comme un jeu de dame il est agit stratégiquement et empreinte souvent la voie la plus ardu car son caractère alambiqué affectionne le défi. Se voir triomphant et supérieur n'est que la concordance de ces deux amours. Face à une personne plus agée ? Il restera le même, il s'en jouera sans complexe. Il ne ressent de toute façon aucune pitié, l'aspect misérable des choses ne l'atteigne pas, attirer sa compassion ? Ne perdez pas votre temps passer votre chemin. SI jamais vous échouez et briser en quelques sorte le semblant de confiance qu'il a placé en vous, vous allez amèrement le regretter. Haine vous descendra au stade de léthargique en quelques mots car il excel dans l'activité qui consiste à octroyer du mépris autour de lui et cela gratuitement qui de plus est.
    Très attaché aux biens matériel, il apprécit le luxe, l'argent -il en est avide-... Ah oui parce que c'est vrai qu'il est plus que radin. Sa fortune personnelle est tous bonnement monstrueuse mais il n'est pas chose exceptionelle de le voir dilapidé une somme garguantuesque dans le but d'assouvir un désir passagé.C'est aussi un fervant adepte des plaisirs en leurs somme !Oui on peut dire quelque part que Haine Mizuraki voue un culte secret à tous ce qui fait que l'homme est décadant. Les femmes, la nourriture, l'argent, l'alcool, le pouvoir...Je vous voit venir avec vos gros sabots et je vous le dit tous de suite, Haine n'est pas un gros saoulard pervers friqué. Non car c'est en dépit de sa nature capricieuse et tout à fait personnel qui aome le raffinement, la délicatesse, la finesse et l'implicite. Oui, il aime els femmes, il aime le plaisir de la chaire mais d'une façon totu à fait saine. Toutes ces conquêtes sont des femmes de condition il ne va pas " Aux putes" Pardonnez l'expression. Il sait se délecter de ce liquide néfaste pour ces saveurs et non pour le plaisir d'être bourré à s'en rouler sous la table, de même pour l'alimentation quand à son argent ... C'est encore autre chose. Disons pour être plus simplet que le raffinement est necessaire pour qu'il sache apprécier. Enfin apprécier je ne cesse d'en faire l'usage mais il y a une chose que vous devez savoir, c'est qu'il n'est jamais satisfait il trouve toujours quelque chose à redire.Etrernel insatisfait certes mais ce qu'il fait de ces mains est sur d'être chérit de cet homme. Le village même de Kumo en est le parfait exemple. Ce bourg il l'iame, le vénère, l'idolâtre car il en est à la tête. Il lui est entièrement dévoué il faut bien l'admettre. Sinon Haine est tous bonnement contre la flemmardise de ceux qui sont sous ces odres, ses troupes, ses ninjas mais pas de lui même. Fait ce que je dit mais ne fait pas ce que je fait. Cet homme n'a pas que des défauts non, il est persévérant, patient, réfléchit et doté d'une culture suffisante. Raffiné il aime l'art et la poésie plus particulièrement le coté littéraire de la vie loin d'être un scientifique cela ne l'empêche pas d'avoir quelques connaissances en médecine. En fait c'est un touche à tout car il faut bien dire qu'il est extrêmement curieux. Se mêler de ces affaires ? C'est une chose impossible pour lui qui s'ennuit très aisément et dont l'occupation principale et de justement combattre ce mal auquel il n'a encore point trouvé de remède.Si il y doit y avoir une chose sur terre qu'il n'est pas c'est surement, envieux. Pour lui il a tous et représente la perfection, comment pourrait-il être envieux ? Mais je dois bien admettre que je fait une nuance entre jaloux et envieux. Car Haine est jaloux mais non envieux.
    Incapable de ce montrer aigre il est généralement bon vivant malgrè cette tendance à vouloir être au -dessus des autres. Capable de drolerie sans cynisme il peut parfois se montrer presque sympathique véritablement jamais. En amour c'est une chose tout à fait prévisible, il n'est pas ce que l'on peut qualifier de fidèle car c'est vrai qu'il met un point d'honneur à sa liberté mais reste sincère quand il s'agit de réel sentiment. C'est un homme qui ne connait que trop bien la comédie pour s'y laisser lui même prendre, il n'est donc point influencable et les manipulateurs peuvent passer leurs chemin tout autant que les mendiants. Bon inutil de le cacher... Il adore sans contest qu'on lui flatte l'égo mais ne croyez pas qu'il boira vos paroles il les saient pertinemment fausses et ne fera que les écouter sans en tenir compte. Il ne tiens que rarement compte de quelque chose, tous conseil et vouer à l'inutilité. En ce qui cocnerne la loyauté, il peut en faire preuve mais seulement en ce qui le touche comme Kumo mais envers quelqu'un il n'en n'a aucune à vraie dire et cela n'est pas étonnant, trop peu de confiance. SOus ses aires frivoles, léger et ce côté enfantin capricieux, il n'a aucun mal à ce faire obéir, capable d'enter dans des colères noires il à une autorité puissante et peu de gens osent le contredire du au fait qu'il est tout à fait imprévisible. Et ce personnage ne serait pas complet si je ne parlais pas de son comportement face à la gente féminine. Haine Mizuraki est probablement l'homme le plus neutre qu'il soit, pas l'ombre de machisme de sa part. Il traite n'importe quelle femme comme quel homme, soit comme ses sous-fiffres à ces ordres pour ne pas dire larbins. Il end emeure par contre plus galant, sensible à leurs charme il manit l'art de la séduction avec assiduité et en use avec ces dernières. Pour lui les femmes sont un fabuleux moyens de savoir. Oui de savoir et non de s'amuser. Véhiculatrice de tous les petits potins elles sont sa principales sources d'information. Mais comme tout homme il apprécit aussi parfois juste les séduires pour le plaisir de les voirs rougir. A part cela il ne les ménagera point pour tout autre tâche aussi ingrate soit-elle. On aura beau dire, il a les épaules larges, sa raison lui faisant souvent emprunter des chemins paisible, il a le sens des responsabilités et sait s'imposer au sein d'un groupe, une âme de leader en soi. Ayant le sens des priorité sa flegme temporelle est vélocement comblé par son aptitude à travailler vite et bien de plus sa confiance en soi permet à ce dernier de prendre de bonne décision assez rapidement en cas de néssécité. Son aisance d'analyse et ces capacités intellectuelles font de lui un redoutable combattant comme dit rpécédemment méfiez vous de l'eau qui dort.



    L'habit ne fait pas le moine


    D'apparence Haine est un être humain des plus ravit, il apparrait comme l'idéal voulut et désiré, de l'homme vivant dans le meilleur des mondes. Rien ne semble l'atteindre ou bien même faire obstacle à son bonheur. Pour poursuivre sur le chemin de la fausseté on tenderait presque à lui octroyer une once de loyauté, un soupçon de dévotion. Il n'est pas rare de voir de parfait idiots lui confier leurs piétés aveugles, c'est vraisemblable que Haine Mizuraki apparrait comme une personne de confiance. En faite ce jeune homme est comme constamment paré d'une aura de magnétisme. Qu'importe votre sexe, votre âge, n'importe qui lui donnerait le bon Dieu sans concession. Ce shinobis a une auréole au-dessus de la tête inventé de toutes pièces par les gens l'appercevant. Je me questionne souvent sur la raison d'un tel pouvoir sur autrui j'en viens généralement à me dire que son physique ne peut renvoyer une image négative de cet homme. Avant toute chose disons qu'il inspire le respect, oui le moins que l'on puisse dire est que son corp ne peut en aucun cas être qualifié de chétif. Grand il l'est, frolant le mètre quatre-vingt huit son corp est assez massif malgrè cela il reste d'une silhouette élancée ne pesant que soixante neuf kilogrammes. Au premier coup do'iel juste comme ça sans prêter attention, on remarque dans l'immédiat ses rihces étoffes qui recouvre son corp, soie, cashemire il ne se refuse rien. Inutil de le nier il est séduisant.
    Enfin ... Son facièes frôle la perfection, une machoire carré rappelant les formes masculines encadré par de nombreuses mèches de cheveux brune, ébéne soyeuses et arborrant des reflets ambres délicats lui affine le visage. SUr son menton se dresse quelques poils bruns solide et belliqueux mais à croire que l'homme n'aime pas les poils il ne les laissent pas s'étendre souvent. En remonatnt légèrement nous voyons ses lèvres, fines émincés légerement rebondis on a facilement envie de les toucher juste pour voir si elles sont aussi calines que rosée. Souvent un petit sourire en coin s'y étend brièvement et triomphant sans raison particulière car le jeune homme est juste un peu fière. En toute logique son nez n'est pas loin, il se fait discret et pointu neutre comme éffacé ce dernier lui confère un petit aire enfantin qui cesse dès l'instant où vous entrez en contact visuel avec Haine. Oui, ce regard est tellement impressionant...Il dégage à lui seul une aura de puissance, d'orgeuil entremêlé à une sorte de tendresse inavouée. Chacun y voit ce qu'il souhaite mais il faut l'avouer, cela est troublant. Teinté d'un vert émeraude emplis de reflets étincellant sont ses pupilles, son iris noir comme le jais créer un contraste rappelant une forme d'autorité caché dissimulé sous un voile d'un semblant de frivolité. Tant tôt aguicheur tant tôt bonhomme aprfois même cynique et distant ce regard immite à merveille les inflexions en grand nombre des sentiment humain. Le regard est le miroir de l'âme ? En partit uniquement. Encadré par deux rangé de cils noir cela accentue la puissance et la profondeur de celui-ci ainsi soutennir son regard est un véritable exerecice de force. Quand il souhaite Haine sait jouer de ses sourcils sans lesquels il ne pourriat simuler l'étonnement ou bien même la colère qui l'eut crut mais ils ont un rôle moteur dans ses simagrès accoutumé. D'ailleurs ils sont assez fins pour un homme, bien dessiné ils rapelleent le raffinemment de ce jeune homme et adoucis quelques peu son regard tout autant qu'il peut l'accentuer. Je vous l'accorde il est atrocement complexe....Son front est de taille moyenne mais peu visible à cause des mèches belliqueuses de cheveux brun qui retombent vers l'avant. Quand on parle de ses cheveux autant aborder sa coiffe. Eh bien Haine possède des cheveux mi-long pour un homme lui arrivant en haut du dos, fin dicipliné avec soin, ils arborrent multiples reflets ambres à la lueur de l'astre solaire tout autant que lunaire il lui arrive de temps à autre d'en rattaché une partie à l'usage d'une broche noire quand le temps se fait houleux. Admettons tout de même son visage est harmonieux sa peau au teint de pêche parrait douce au touché et est un appel à cajolerie, ce regard puissant cette chevelure, vraiment c'est homme des plus attirant et ce n'est pas la gente féminine qui s'opposera à mes dires.Ses traits du visage épuré et délicat lui confère un coté fragile qui échappe à de nombreux hommes. Quand à ses oreilles, ma foi elles sont tout à fait banale, l'une d'entre a le lobe percé mais sans plus en toute franchise. Quittons ce visage angélique pour enfin évoquer son corp.
    Son corp parlons en ! Un véritable apollon vous dis-je. Nombreux sont les envieux en ce qui le concerne. Grand, beau et fort ? Grossier résumé certes. Bon commençons par ce qui relie la tête au reste le cou. Il se fait large et massif, blanc comme le marbre et parsemé de aprt et d'autre de grain de beauté sa pomme d'Adam fait une entrée remarqué brisant cette harmonie pour venir affirmer l'aspect masculin de cet homme. On aimerait y déposer des baisers car sa peau se ferait presque duveté à cette partie. Par la suite nous observons des épaules suffisemment carrés et musclé ne laissant aucun doute sur l'assiduité de l'homme quelles composent, ses bras sont élancés tous en demeurant fermes au touché et discret à la vue il ne faut pas sous-estimé son adversaire ne l'oubiez jamais. Sur son vaant bras droit une trace distincte se fait voir brisant la teinte marbré de ce dernier, c'est une cicatrice s'étendant sur toute la longueur de ce membre fin, enfin ses deux bras s'aboutissent à battoires imposantes aux doigts élancés tout autant qu'imposant. Ici la métaphore des mains de fer dans des gants de velour prend tous son sens car ces puissantes mains n'effecteuent au quotidient que des mouvements fluides et agréable au regard et pourtant Dieu siat les atrocités qu'elles ont commises amis cela est une autre histoire. Revenons à son buste, plutôt fin d'apparence il n'en n'est rien car dévêtut on le perçoit comme bien dessiné. Les pectoraux clairement visibles parraissent fermes, els abdominaux bien distincs un léger de poils ébène le parsème. Bien entendu nous trouvons son nombril en toute logique rappellant l'humanité de ce dieu vivant. Ses cîtes ne sont point visible trop disgracieux pour le jeune homme en tout cas de dos on pourriat dire que Haine est taillé en triangle avec un dos musclé et plutôt enviable. Si nous suivons ce filet de poils sur son ventre nous imaginons clairement les parties typiques masculines de Haine à u nbref coup d'oeil ? Ne jouer pas les grivois vous n'aurez rien si ce n'est que cela est probablement proportionnel au reste. En revanche son fessier est ferme et n'a quasiment pas de force de profil la faute à l'imperfection !? Non non ce n'est qu'un détail sans importance.Hummm ses cuisses sont proportionnel à l'ensemble du corp autrement dit elle sont massives musclés et longues ses mollets imuitent leurs voisine supérieur quand à ses pieds, ils sont ... comment dire grands ? Oui effectivement Haine chausse du quarante six ce qui 'nest pas rien vous en conviendrez. Comme vous pouvez le constater c'est un homme accomplit que vous avez là.
    Quand à ses tenues vestimentaires, elles sont aussi variées que les méandres de la personalité de notre homme. Généralement elles sont assez larges ne laissant pas vraiment apparraître ses formes et lui conferant une aisance de mouvement en cas de combat. Revêtit de couleurs vives semblable à son caractère il chérit par dessus tout l'harmonie et pour manier et associer els teintes n'a aucun secret. Sa tenue de prédilection si j'ose dire est probablement lorsqu'il associe son étoffe riche où le motif d'une fleur est répétée aux teints or et bordeaux lui tombant au à mi-cuisse et en queue de pie à une sorte de haut vert bouteille. Souvent il porte un pantalon plus moulant noire ne toile auquel il ajoute des mitennes bordeaux lui remontant sur tous l'avant bras. Souvent en guise de ceinture il prend u nbandeau de soie blanc.Infortunément pour le jeune homme il est souvent contraint de porter cette atroce tenue qu'il l'exaspère tant mais pourtant si importante. La tenue de Kage. Deux teintes uniquement, composé d'un chapeau qui dissimule en partit tous la partie arrière de la tête à cause d'un tissu uniforme retombant sur les épaule et une longue robe. Ah oui j'oubliais l'inscription se référant au village marqué sur le chapeau ...Vous l'aurez comprit l'indélicatesse le sied tout bonnement. Appréciant le beau et le luxieux il tient à l'élégance de vêtement de bonne fortune et lorsqu'il n'est pas revêtut en Kage il se plait à porter toute sorte d'accessoire.


    La vie est un long fleuve tranquille


    I. Il était une fois...

    L'on narre fréquemment les périples des grands à juste titre probablement mais trop peu de ceux qui constituent le corp même de la vie. Certes il est glorifiant de conter à plus chétif que soi les tumultes d'un homme qui a marqué l'Histoire en contraste à cela il est tout à fait futile de s'étendre sur la vie d'un homme quelconque. Cela n'est que l'enchevêtrement de la lassitude et de l'inutilité qu'est de converser sur une personne qui en tous point nous est semblable. C'est vrai, on ne peut la critiquer pour ce qu'elle à fait, on ne peut non plus la louanger et pas même s'y attiser car elle n'évoque que les plus pâles des ressentits. Je peux aisément comprendre le besoin humain de ce distraire mais je ne peux en revanche vous rejoindre sur le désintérêt que vous portez à autrui. C'est dans les petites gens que l'on perçoit la lueur de demain. La lueur qui viendra illuminer nos sinueux chemins, qui nous poussera de l'avant celle qui nous guidera vers des horizons plus teintés. Qui n'a jamais entrevu un faisceau d'espoir quand l'heure était aux tortueuses malédictions du hasard. Autant l'on peut envier un génie sur un coup de tête autant il n'est pas une exception d'observer que le peuple à un attrait grandissant pour les quelques rumeurs chimériques qui donne du pain à qui veut à boire. Berçé par l'illusion du désir les humains sont de nature à chérir le fruit le plus illusoire de leurs désirs fantasques, ils se cherchent des fables, des contes où la morale triomphe alors qu'autour d'eux de véritables héros aux histoires passionnantes subsiste. Je vous accorde le bénéfice du doute, de la suspicion bien que je ne la comprenne point. Pour vous convaincre car j'y tiens je vais vous conter l'histoire d'un homme qui au départ n'était qu'une utopique personne comme vous et moi.
    Il était une fois l'histoire d'une ample famille, la famille illustre des Mizuraki. J'imagine non sans confiance que vous connaissez ce nom, oui car Ô colossal hasard! C'est aussi celui de notre Raikage actuel. A son origine la famille Mizuraki ne résidait point en la localité de Kumogakure no Sato, effectivement son pays de souche était celui de la rivière se situant encore de nos jours entre le pays du feu et celui du vent. AUssi véritable cela soit-il c'est un bourg peu connut des habitants de notre Terre. L'une des uniques contrées de ce dernier qui avait jadis éffleuré du bout des doigts l'or illusoire de la popularité est le village de Takumi, le village des artisans crée par Seimei il y a de cela plus d'un siècle maintenant.
    D'ailleurs ce village est l'épicentre de cette histoire du moins pour le commencement.Oui c'est ici que tous commence. Il y a de cela bien longtemps alors que ce fameux village des artisans débuter son ascension vers les douces effluves de la richesse et du bon vivant, une petite famille comme les autres vivait. Le schéma archaïque d'un couple unit par les liens inviolables du mariage et trois marmots pour égayer leurs chaumière, franchement cela fut situation enviable durant un bon lapse de temps. L'homme du foyer, le père Zaï Mizuraki était forgeron et avait une formation de ninja même si son niveau était limité à celui de genin quand à la mère, elle l'aidait de temps à autre prévilégiant l'éducation de ces trois filles d'avantage que les commandes des clients. Personne n'a jamais sut pourquoi mais Zai n'avait pas voulut poursuivre la voie du ninja alors que lui même avait une facultée nommée le ranji hérité de son père lui procurant une force au combat. Il y régnait avec constance une jovialité qui faisait chaud au coeur du baume aux yeux et comme quoi l'addage "l'argent ne fait pas le bonheur " était bien véritable et non fausseté.Oui, j'ai hommis de vous évoquez le contexte économique de ce petit groupe si unit. En contre partie de leurs vie heureuse la vie comme voulant leurs faire payer leurs avait octroyée les difficultés financières. Echange illégitime mais le malheur se cache fourbe au sein du bonheur les choses sont souvent ainsi. Voyez cela comme vous le souhaitez, les parents de cette petite tribu ne se laisser pas abattre par cela et futile serait de croire que ce n'était qu'une fausse gaieté. Disons qu'il fallait savoir faire abstraction de ce qui obscurssit nos beaux jours afin d'en accroître un plaisir durable et bienséan. Bon si ce n'est les finances, jamais ils n'avaient connut de drame au sens propre du therme ils menaient ensemble leurs petite vie sans importance au sein d'un village qui lui prenait de l'importance. Les années passèrent, Zai était devenut optu d'esprit, les rhumatismes d'une vie bien employé se faisaient chicaneurs, sa femme Yuki plus robuste avait plsu de mobilité que ce viellard à qui elle servait de canne de fin de vie. Leurs trois fille ? Aruka était devenut une marchande ittinérante, Miku s'était rendu à Kumo et n'en n'était jamais revenue quand à la petite dernière Akane elle vivait en compagnie de ces parents encore à l'âge de 22 années. Les trois jeunes femmes avaient empruntaient des sillons différents mais jamais aucun membre de la famille n'avaient douter de elurs sincères sentiments et attachements. Le doute ne persiste jamais lorsque l'amour prône ses vertues. Infortunément les années qui étaient passées apporter avec elles les fruits trop mûres du temps et politiquement le monde n'avait plus aucun équilibre. En avait-il déjà eu un ? C'est une excelelnte interrogation philosophique, il y a de nombreuses méandres complexes entre croire et savoir et malgré tout il est hérétique de dire que les hommes savent plus souvent qu'ils ne croient. Enfin ... A cette époque une macabre rumeur planait véritablement sur le monde shinobis, les grands Kages semblaient songer à la guerre et non à ces conséquences encore une fois. Dans les mois qui suivèrent la guerre éclatait, c'était la période des grandes guerres ninjas. Ravage, saccage, ville brûlée, habitant tués ....Sans parler des pillages et autre atrocité de ce genre d'ailleurs. Imaginez le climat de crainte qui régnait sur chaque petite bourgarde du monde, la guerre n'épargnait personne. Votre sexe, votre rang, votre puissance, votre richesse rien ne permettait de la fuire véritablement. Par miracle plus que par chance le viel homme survécu sa femme de même ainsi que leurs fille. Quand était-il de Aruka et de Miku ? Cela était l'unique préoccupation du vieux couple. Akane ? Elle n'en n'avait que faire, elle était peut-être même la seule part d'ombre des Mizuraki. Oui, Akane la cadette était d'un autre moule que ces ainées. Plus belliqueuse, égocentrique voir même cynique. Elle déffraiyait la chronique et cela était la cause porbablement de cette attitude si négative qui la caractérisait tant. Le climat politique s'appaisait peu à peu mais les affrontements ne cessaient jamais réellement.

    II. Affaire de famille

    L'athmophère était tendue, les gens se laissaient gagner par la délation et autre poison de la lâcheté qui était propre à l'humain. Les plus vils instincts inhumains s'imposaient présomptueusement au sein des esprits les plus pacifiques, la haine se faisait si forte qu'il fallait s'abaisser pour la combattre. La solidarité ? Réduite à l'état de cendre et mêlme si le dicton "Méfiez vous du feu qui dort sous les cendres" redonnez une once d'espoir aux quelques bon croyant, beaucoup avaient abandonnés. C'était humain après tout...Certains demeuraient opiniatres et incrédules ne voulant renier leurs origines, d'autre chercher à fuire leurs pays d'origine. Parmis ces derniers il s'y trouvait la famille Mizuraki. Cette feu flamme d'espérance avait perdu la foi et Dieu sait qu'ils étaient pieux. Le couple et leurs fille voulait partir de ces terres maudites, la guerre était trop sanglante pour un village sans de véritable puissance militaire et c'est ainsi qu'un soir ils avaient ensemble prit une décision des plus surprenante pour ces gens si attachés à leurs racines.
    Spoiler:
    C'est de cette façon que les Mizuraki de Tekumi arrièvèrent à Kumo dans les semaines qui suivèrent. Pourquoi ne pas avoir évoqué plus tôt le reste de la famille ? Et bien disons que je souhaitais avant tous vous exposer les véritable racines de cette -ci.

    III.Haine c'est son nom

    Maintenant que nous connaissons l'oncle et la tante du petit Haine vous allez pouvoir enfin connaître son histoire. Bien Haine est donc el cadet de sa petite famille, son père Tomoyo Mizuraki, sa mère décdé à la naissance de l'enfant, jamais il ne l'a connut et ses deux grandes soeur Kaoru et Hana Mizuraki. Cependant cette branche dirons nous de l'ensemble est probablement sur les deux là plus infortuné, jamais ils n'eurent le bonheur, la joie en revanche ils avaient l'argent mais qu'est-ce que l'argent quand en juxtaposition nous sommes accablés ? RIen absolument rien je vous l'assure. Tomoyo Mizuraki après avoir quitté le cocon familialle à l'âge de dix neuf ans s'est rendu à Kumo froissé avec son frère il n'a jamais vraiment entretenut les liens qui l'unissait à ses racines. Pour lui le village des artisans et le pays de la rivière n'était que futilitées ! Il s'en convaincu en partie et la vie fit le reste, dnas les mois qui suivèrent il rencontra Sane Rokya. Comme lui à l'époque elle était Juunin. Et la suite est aisée à deviner. Ensemble il eurent deux filles qui prirent la même route que leurs géniteurs et devinrent respectivement de respectable shinobis du pays des nuages. Quelques années après un enfnat vit le jour, pour le plus grand plaisir de son père c'était un garçon. La grosses fut complexe, Sane n'avait pas une excellente santé infortunément. Sa grossesse malgré toute chose était vue comme prometteuse l'on s'imaginait déjà l'apogée de la famille, un vrai génie se disait-on. Cet enthousiasme qui comme une ora toubillonait continuellement au dessus des têtes de nos Mizuraki fut de briève durée. L'acouchement fut à l'image de la grossesse de Sane, c'est à dire catastrophique. Une ambiance lourde et pesante régnait ce jour là dans cette salle maculée de blanc de l'hospital de Kumo, des cries strident de souffrance profonde se faisaient ouïres comme une macabre mélodie qui de ces quelques notes mine les esprits euphoriques. Des pleurs, beaucoup de pleurs, trop peut-être même. Tomoyo lui tenait la main à sa femme ses yeux fermer il ne savait que dire, il souffrait de l'entendre se tordre de douleur, les médecins peut encourageant parlaient d'hémoragie. Oh du sang il y en avait oui, partout. Spectacle affligeant tout autant que chagrinant. Les heures s'écoulaient et l'enfant n'était toujours pas là. Maintenant l'hémoragie n'était plus le sujet de discussion, non maintenant ils parlaient de survie. Survie ? Donner la vie ? Mourir ? Tomoyo réfutait tous cela tant is que sa femme soudainement était comme muette à moins que ce soit lui qui n'entendait plus ce qu'on lui disait ? L'enfant ou bien sa femme ? Lui il voulait les deux. Des larmes coulèrent de ce colosse, scène touchante n'est-ce pas ? Peut-être mais il n'en résultera que le néan. Comme une flamme qui reprent de 'lallure un hurlement ou plutôt un mugissement ce fit entendre, perçant les tympans, l'enfant sortait! Ils crurent tous que c'était la fin, la fin d'un long périple, les utopiques ! Les naïfs ! En faite c'était le début de la fin. Fièrs de leurs prouesses les médecins suivèrent le protocole habituel. "Quel sera son nom ?" glissa l'un d'entre eux. "Haine" sursurra la jeune mère. Trop épuisée pour pleurer, ses paupières se closent. C'est une fin heureuse n'est-ce pas ? Enfin cela aurait put le devenir si un jour ces paupières s'étaient réouvertes. Pas de conclusion hatives, il n'est pas question de mort, là nous parlons d'état second. Cela est réjouissant non ? Sane Mizuraki est entre la vie et la mort ? N'est-ce pas magnifique ? Elle vit au dépend des autres. Ne soyez pas touché par cela la vie est ainsi ce n,'est pas une question de choix. Sane fut mise sous respiration artificielle, c'était la seule chose qui la tenait en vie tant dis que les années passèrent.

    VI.Don héréditaire

    En effet les années passèrent, depuis l'enfnat qu'était Haine avait fait son entrée à la l'académie de Kumo. Il avait alors six ans et malgré son jeune âge on lui prédisait un bel avenir de ninja. Apparemment il aurait des facilités, où était le vrai ou était le faux ? Excellente question. Tomoyo son père en s'exprimait point sur le sujet, jugé trop jeune pour en tirer des conclusions qui seraient selon lui trop hatives. Il soutenait cette position jusqu'au jour où comme tous les membres de la famille Mizuraki l'enfant dévelloppa cette faculté nommé le Ranji qui consistait entre autre à rendre ses cheveux durs et très longs pour s’en servir et attaquer ou bien juste se défendre. Bien entendu il ne fut pas vraiment surpris, étant donné que ses deux soeurs l'ont elles aussi dévellopés au même âge ce qui cependant restait impressionnant était qu'il le maitrisait fort bien pour une toute nouvelle acquisition. A vrai dire sans le vouloir lors d'un combat amical avec ses camarades le petit Haine en usa et blessa so nadversaire sans le vouloir. Bien sûr Tomoyo en avait été informé et c'est de là que venai tcetet fameuse vocation. Laquelle ? Celle qu'entretiens Tomoyo de voir son fils suivre un entraînement approfondis au temple de Kumo. Pour lui Haine en tierait profit sur tous les points et surtout il allait apprendre la totale maîtrise de cette facultée.


    V. Il suffit d'une fois

    Haine comme vous vous en doutez n'a jamais connut sa mère, son Tomoyo à toujours entretenut la fausseté que Sane était partit un soir en mission et n'en n'était jamais revenue. Il ne voulait probablement pas que cela ait d'incidence sur ce petit garçon en pleinne croissance. Effectivement je crois bien que ce père peut-être considéré comme protecteur, bien que l'on aurait put penser qu'il en voudrait à son fils, car c'est en partie sa faute, il n'en accrut qu'un amour sans borne pour son fils. A vraie dire je pense qu'il entretenait un espoir secret en ce qui concerne son épouse, chaque soir il s'éclipsait en prétextant qu'il avait besoin de prendre l'air. C'était u nrituel pour cet homme qui il faut l'avouer intriguait le petit-garçon qu'était Haine. Bon enfant il faut le dire ce petit bout de choue était littéralement un véritable diablotin... d'ailleurs cela a-t il changé ? Je n'en suis pas certain. Toujours est-il que jeune comme encore de nos jours il était emplis d'une curiosité maladive mêlé à un don pour le mensonge ce que lui réprimendait son père. Mais il fut un jour où il comprit, oui Haine comprit snas pour autant ne plus reproduire
    Spoiler:
    Autant le dire de suite, cet événement le marqua longtemps et même encore maintenant quand il y repense cela le fait souffrir, c'est une entaille ouverte qui jamais en ce refermera.

    VI.Adieux !

    Les mois s'écoulèrent pendant lesquels chacun avait évolué. Tomoyo ne se reméttait pas de ce fameux soir où il avait commit l'irréparable, aimer son fils il le faisait toujours mais différemment, c'était maintenant un amour distant différent du précédent. Son fils Haine avai tbien grandit d'ailleurs, il étai tpassé genin et fut même assigné à une équipe à l'âge de onze ans. On le voyait comme très prometteur et s'était en quelque sorte la fierté de son père mais sic ette dernière était inavouée. Hana la seconde de ces filles était passé chuunin il avait peu et Kaoru dass sa grande sagesse se préparait pour l'examen Juunin auquel elle tenait fermement à participer. Haine quand à lui était fière comme un poux et ce voyait déjà à la tête de Kumo souven ton le ramenait sur terre en lui disant que : " Seul les grands ninjas devienne Kage, tu n'es encore qu'un genin allons soit réaliste Haine, ces ninjas sont rares tu sais ! C'est écrit dans leurs histoire dès la naissance toi tu n'a aucune chance ! Haha" Inutile de vous dire à quel point il haït Kaoru quand elle lu ibrises ses rêves ce qui en l'empêche pas de s'y accrocher. Le climat politique était instable ces temps-ci partout l'on parlait de guerre. Tomoyo en père de famille la nier même si il sentait que les temps allaient changer. Il ne manquait pas une occasion d'encourager ses progétnitures vers le haut de l'estrade et pendant ce temp la guerre éclatait, Haine avait alors douze ans et croyait plus que jamais à son rêve. Tomoyo quand à lui reçut une missive du pays de la rivière contenant ce message " Bien le bonjour cher Tomoyo, je t'écrit car la situation devient critique au village des artisans. Comme tu le sais il n'y a pas de force militaire et les attaques se font de plus en plus destructrices alors en désespoir de cause j'aimerais que comme jadis nous nous réconcilions pour mieux survivre. L'heure n'est plus à n os efantillages je te demande une faveure, acceuille moi à Kimo. Je t'ai blamé par le passé certes mais crois en mes sincères sentiments d'excuse mon frère. J'attend uen réponse rapide de ta part. Ton frère Zai Mizuraki." Le message était bre et Tomoyo reconnaissait bien l'écritude maladroite de son grand-frère. Un mois s'écoulait Tomoyo avait mûrement réfléchit et informa ce qu'il avaiit de plus chère au monde, ses enfants qu'il aprtait pour le village des artisans. Il n'uet de bronchements et juste quelques questions. "Tu vas voir oncle Zai et tante Yuki?" "Pourquoi ?" Pour uen fois Haine restait muet. A croire que sa curiosité c'était engourdie avec le temps. DUrant l'absence de quelques semaines de Tomoyo, l'inimaginable eu lieu. De quoi se rendre coupable d'être partie. La guerre n'est jamais qeulque chose de beau de toute façon, tous le monde en paye le déroulement, tous le monde même ceux qui n'y prennent par. Même ceux qui sont entre la mort et la vie depuis douzes longues années. L'hospital de Kumo fut partiellement détruit, la partie réanimation fut brûlée. La nouvelle abattit Haine, imaginant ce corp si calme ce visage de profil si angélique réduit à l'état de chaire carbonisé. Tomoyo à son retour ? Il en fut détruit. D'ailleurs l'homme partit en mission et jamais ne revena. Que s'est-il passé ? Personne n'a jamis vraiment sut. si ce n'est que l'homme était moins vigilant qu'à son habitude, que ces mouvements étaient plus approximatifs, que sa souplesse légendaire avait été réduit à l'état de maladresse et que son ranji c'étaiot avéré belliqueux. La cause de sa léthargie sévère. En contre partie Zai lui remplit plus que sa dette et bien que la famille s'agrandissait encore il tenait sa promesse. Haine faisait son entrée au fameux temple de Kumo.

    VII.Entraînement avec les moines

    Haine dans un temple entouré de moine...C'était tout à fait fou, le jeune garçon n'était nullement à son aise du moins dans les premières semaines. Sa curiosité réffrainé, son coté touche à tout en sa quasi totalité inexistant on uarait put croire qu'il s'était enfin assagit. Baliverne ! Haine savait que cet entraînement dans ce lieux des plus particulier tenait au coeur de son feu père et en ces conditions il avait décidé de ce contenir. Son but étant de faire bonne impression pour ne parraître un hyperactif insupportable, ce qu'il était en partie. Emplis de bonen résolution les premiers jours étaient fructueux, on lui appprit un appronfondissement des bases et quelques exercice de corp à corp rythmé ses journées. On lui imposait u nrythme soutennu et vélocement Haine en ressentit les bienfaits, ses muscles plus puissant lui avait fait gagner de la rapidité et avouons le il se satisfaisait de son enseignement. Allez savoir pourquoi il s'était imaginé un entraînement plus alambiqué venant de moine et au final fut agréablement surpris jusqu'à ce que la nature spirituel des moines reprennent le dessus.
    Spoiler:
    Des entraînement comme celui-ci Haine en reçut en grand nombre et au quotidien mais il ne s'en plaind que sur les commencemments. Pour vous donnez une idée de son entraînement avec les moines et de sa durée surtout, il y passa cinqs années quand en il en ressortis il avait donc 17 ans avec une maitrise du ranji parfaite. Malgré cela Haine Mizuraki n'avait pas oublier qu'il était un ninja est après être passé chuunin à quatorze ans c'est tous naturellement qu'il devint juunin à la sortie du temple. Enfin il se passa un an entre l'échéance de cette période d'entraînement archaïque et l'instant où le jeune homme passa l'examen juunin mais cela n'a pas de réel importance dans le fond. Il eut donc l'obtention de son nouveau statut à ses 18 ans. Haine avait beau avoir prit de l'âge et mûrit il entretenait toujours ce secret désir d'être Kage. Ce poste c'était tous simplement une façon de rendre quelque part hommage à une mère qu'il n'avait jamais connut, il voulait la rendre fière et en quelques sorte s'excuser humblement d'avoir causé sa perte. Le jeune avait l'allure haltière, le pas stricte, un aspect frivole et aimé à se voire séduire chaque jours de nouvelles conquêtes, qui aurait put croire qu'il ait cette souffrance au fond de lui. N'importe qui pourrait penser utopiquement que Haine n'avait d'accroche à sa mère et s'accomodait du descès de son père suite à son entrainement intensif mais non absolument point. Cette femme qu'était sa mère il aurait plus que n'importe qui la connaitre, plus que jamais il aurait voulut aller la revoir avec son père, il aurait lui aussi voulut la regarder, observer les moindre traits de son visage et pourtant .... Jamais Haine Mizuraki s'est laissé piétiner par le mal, la souffrance ce sentiment de vide mêlé aux pires méandres d'un amour fraternel sans personne pour le recevoir. Haine joue à un jeu, un jeu funeste. Il est l'acteur principal d'une tragédie où son destin est déjà écrit.

    VIII. Volonté devenue réalité
    Haaaa Quand est-il devenut ? Haine à atteint le satde d'adulte accomplit. La bélliqueuse période tant redouter des parents, la crise de l'adolescence est derrière lui à présent depuis bien longtemps. Personne en peut le regretter. Maintenant il a trouné la page, une page funeste de son histoire il faut bien l'avouer. Dire qu'il c'est fait uen raison, qu'il a accepté son sort ? Non c'est une désuette futilité. Haine en connait pas la défaite pour lui c'est un combat qui vient de débuter. C'est romantique certes, se voir comme un éternel opprimé agonisant par le poison de la tristesse et luttant contre le destin ? Pour Haine ce n'est que justice, prendre une revanche sur la vie c'est un objectif. Il veut briser ce destin dit imposé c'est probablement pour cela que Haine veut devenir Kage, montrer que n'importe qui peut devenir l'un des plus grand, marquer l'histoire. Certes, je vous 'laccorde Haine n'est pas non plus un petit héros populaire épique il lui manquait pour cela la pauvreté. Enfin bref, la famille Mizuraki était des plus banales si ce n'est que venant du village des artisans Tomoyo usait au combat d'une arme particulière. D'ailleurs jamais elle ne fût retrouvée...Haine avait donc toujours cette envie puissante et brûlante de briller cela n'étonnait point ses soeurs bien qu'elles s'étonnaient sur cette volonté utopique qu'il entretenait depuis sa tendre enfance. Les années s'étaient écoulées vélocement et le jeune Haine qui ne l'était plus vraiment attaquait sa vingt-huitième années, de nouveau un climat tendu régnait au point de vue mondiale. Avec amèretume les villageois voyaient un renouveau, le renouveau d'un cycle infernal. Celui de la violence, du triomphe par le sang celui de la guerre.Les rumeurs allaient de bon train on parlait d'espion de Konoha et de la violation d'un traité, cela était vrai ? Impossible de le savoir les couquenards à répandre ce genre d'informations sont souvent quelques badineurs. Enfin qu'à cela tienne une nouvelle fois encore il fallait s'attendre à des combats meurtriers. Les mois passèrent et au final le conflit prit de l'ampleur. Des rebelles au sein de Konoha voulaient eux même du mal à leurs village, pour cela ils s'étaient apparemment alliés à Kiri et Kumo. Autant le dire cela était des plus .... comment dire : étrange. Enfin cela ne regardait pas vraiment Haine ce qu'il svaait c'est qu'il faisait partie des Juunins qui devaient se battre à Konoha. Il s'y rendit avec quelques compagnons d'armes qu'il connaissait depuis bien longtemps. La suite vous la connaissez ? Konoha fut mise à feu et à sang, les belliqueux avec Hunk Moroshi l'emportentet enfin Konoha est annéxé à Kiri. Coup de maître pour le Mizukage, beau jeu pour les fourbes. A son retour à Kumo Haine n'avait rien de plus rien de moins, il s'était battut point mais avait dévellopé une maladie aux causes inconnues, une réaction plutôt étrange de son corp à quelque chose probablement de bénin comme toute les maladies. Les seuls que l'on savait été les symptomes, l'état de fatigue ne s'amoindrissait pas et ce malgré les longues heures de sommeil. Les médecins soupçonnaient un syndrôme de fatigue chronique mais avaient trouvé une sorte de parade à cette fatigue. L'irou jutsu. Pour Haine ce fut partiellement un coup dur, bien sur il étai tdésagréable d'être malade à seulement 28 ans mais en contre partie l'irou jutsu était sa grande source d'inspiration, il la maitrisait et sur les explications des médecins en usait afin d'amoindrir considérablement cette fatigue. Les spécialistes en déduirent que ce n'était pas quelque chose d'inquiétant vue qu'une parade avait été dénicher et Haine s'accomodait de cela. Cependant cela n'était que poussière face à ce qu'il l'attendait véritablement.

    Un jour Haine Mizuraki fut convoqué par l'imminant conseil. Imaginez la tention du jeune homme à cet instant, il s'y renda alors. La nouvelle ? Il la réfutait sur l'instant, le rôle de Raikage lui était attribué, visiblement Setsuri avait soudainement disparut ... (Disparition de Setsu donc Raikage suite au conseil idée de Kaiza) Pourquoi ? Pourquoi lui ? Pourquoi pas un autre ? ... Il n'y pensa plus c'était tellement fou pour lui qui ne voyait quand sa volonté qu'un fantasque fantasme. Mais c'était un fait il était le nouveau Raikage.


MOI

Code du forum qui prouve que vous avez lu le règlement : Comment avez-vous connu ce forum : Ba je suis un Dc °°
Connaissez-vous les RPG : Oui
Decrivez-vous dans la vie réel :Ce n'est plus la peinne ^^



Dernière édition par Haine Mizuraki le Mar 4 Oct 2011 - 14:47, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Icon_minitimeLun 3 Oct 2011 - 19:47

Détail de sa nomination en tant que Raikage

Un tournant [Flash Back]

Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] 196046hakuoukishinsengumikitanokitasoujihakuouki55dc7d0df4f7542ecfced20a20ebe78714859

  • L'hoziron, une arrête sporadiquement alambiquée. Elle est dégrossie par les qeulques fluets et chétifs faisceaux lumineux de l'astre solaire encore bien matinale. Le ciel arborrait à des teintes azurées ténébreuses qui indiquait que nous étions dans l'éphèmère instant de la transition entre la nuit et le jour. Corrélé par un silence placide, une légère brise gelée fouettait les quelques rares passants qui sur cette terre comme des âmes érrantes sans but ni loi. Cependant je doutais qu'il y ait de nombreux hommes éveillés à cette heure si matutinal, on vait beau dire que le monde appartenait à celui qui se lève tôt les affriolantes méandre du sommeil étaient bien plus puissante et exercer avec perversion leurs emprise sur l'esprit de l'être endormit. En même temps je vous accorde que bien souvent nous ne luttons point pour subir le fastidieux labeur imposé par la vie. Mais cela était un ordre imposé de l'intouchable, du fameux créateur si souvent mentionné dans les livres saints. Ô il est beau ce Dieu, celui qui a crée l'homme ! Tellement divin qu'il a sans suspicion définit d'homme la plus inhumaine des bêtes de notre monde. Si jamais l'être humain devait être l'apogé de la chaîne de l'évolution est bien celle-ci serait bien piètre. L'évolution de toutes ces espèces se résumait-elle à l'imparfait ? Bien, il faut le croire. Eplorant constats mais puisque les choses sont ainsi alors laissons, laissons car nous ne sommes que des poussières dans un univers bien trop complexe pour notre petitesse.

    A l'encontre de mon regard vint se heurter sans gêne les garguantuesque portes de mon si ravissant village, Kumo. C'était un bourd d'extasie, j'y tenais autant qu'à moi même et je me serais hâté si j'en avait les moyens. Effectivement je revenais de loin cette fois-ci, je crois bien que j'aurais put y laisser ma vie et bien que je partage l'avis que nous sommes peu de chose j'avais le sentiment que mon heure n'était point venue. La preuve en était je me dressais sur mes deux jambes fièrement portant sur mon visage ma nouvelle victoire. Une fois de plus j'avais avec distinction octroyé un triomphe à Kumo. De la générosité ? Non cela n'était pas le terme adapté, selon moi cela était d'avantage la jouissance d'écraser au nom d'une bonne cause toute opposition. Je ne crois qu'en mes convictions, je suis une machine lançée avec vélocité sur l'ennemis dont on se félicite à sa victoire. Très imagé cela est certain mais il y une aprt de vraie la dedans. Me tenant de ma main droite mes côtes je sent le vent me rougir le visage, plongé dans mes songe j'en avais oublié la rpésence de mon équipe. Je me retourne alors, mon regard se pose sur ces braves ninjas qui ont participer avec moi à soulever la coupe de la consécration. Jun, Taiko et Heime, des shinobis de qualités la preuve en était. Un léger pincement désagréable me fit revenir sur terre, mes côtes me faisaient souffrir et il faut admettre que cette attaque Katon durant le combat avait été redoutable.

    Enfin cette mission était derrière nous à présent et ensemble nous marchions vers notre salut. Lieu de repos également, j'avais une envie profonde de m'allonger quelque part de rpéférence sur un lit bien au chaud et de me laissais porter par les méandres du sommeil, berçer par l'étreinte illusoire de Morphée. Cette pensée si simplette et humaine m'arrachait un macabre sourire. Désué de gaieté, désué de réjouissance cela ne m'évoquer que mon incapacité au repos. Le syndrome de la fatigue chronique, je fait un mouvement de désapprobation de la tête, l'on n'a jamais vue une pareille sotise. Je maudissais quelques fois encore ce combat à Konoha duran tcette fameuse guerre encore récente. Mais jamais je ne m'y attardais vraiment, trop démoralisant et la vie est trop courte pour sapper soi même le morale avec de pareil futilité. J'ote mon gant et le laisse tomber au sol sans m'en préocupper, je savais que l'un de mes trois le ramasserait. Je dispose alors ma main sur mon coeur et une lueure verte fait son apparition. Mon seul moyen de m'échapper de cette sensation de fatigue était l'Iroujutsu. Je pouvais dormir autan tde temps qu'il m'était donné de le faire, la fatigue demeuré intacte c'était en quelque sorte comme donné l'amitié à qui veut l'amour. La vie ainsi faite je luttais comme je le pouvais et au moins cela me permettait d'user de l'Iroujutsu ce que j'affectionnais énorémement. Cela est comme ma passion. Je ferme les paupières en avancant droit devant moi, l'ambiance demeure aussi calme et sereine malgré les nuages grisonnants qui faisaient peu à peu leurs apparitions. Il y aurait-il encore de l'orage à Kumo ? Pour l'instant non mais il se préparait de la plus belle des façons. Laisser entrevoir les prémices de sa venue..

    Quand je rouvris les paupières j'apperçut face à moi toujours ses portes mais cette fois-ci bien plus conséquentes. Nous allions les franchirs dans quelques minutes. J'étais à la fois surpris qu'il n'y ait pas un chat et déçut face à ce manque de dynamisme des habitants. Enfin ce n'était pas lui juunin qui allait changer le monde. La lueure verte qui entouré ma main droite s'estompait tant dis que je laissais retomber ma main le long de mon corp. Je jetta un coup d'oeil aux ninjas chagés de la garde. Kumo était dans un climat d'insécurité ces derniers temps. La fin de la guerre qui aurait dut apporter une certaine ambiance de solidarité n'avait pas eu lieu. J'avoue que moi même je m'attendais à undiscrou de notre Kage Setsuri Hazu mais il n'en n'était rien. Peut-être attendait-il un instant plus propice... Enfin bref cela ne me regardait nullement. Je passe ma main dans ma chevelure en traversant les portes. De retour dans mon village, quelques mètres à peinne parcourrut que mes équipiers fuir chacun d'un coté dans un signe de tête de respect. La mission achevé chacun retourner à ses occupations. Je m'étirais alors dans un mouvement précipités, je sentais mon dos se détendre agréablement alors que j'avançais vers le centre du village. Levant le regard au cieux, j'observais le ciel noirçit parraissant comme boudeur face à moi. Je m'en amusais un bref instant car vélocement je fut rejoint par un homme que je connaissais bien. Il m'adressa un signe de main mais parraissait comme tendue, son visage n'était pas illuminé de cette joie qu'on lui octroyait aisément. Soudain il posa sa main sur mon épaule en me disant quelques mots balbitué nerveusement : "Le conseil... Pffiou le conseil te convoques !" Je portais ma main à mon front en l'observant suspicieux. Un soupire lasse, le conseil ? Mais pourquoi moi ? Une moue d'où la surprise, la lassitude et la suspicion se mêlait. Je lui répondis alors dans un mouvement de tête signifiant mon approbation : "Bon dans ce cas je te donne mon rapport de mission tiens." Je lui tendit un rouleau en plantant mon regard dans le sien comme pour lui réprimander une mauvaise plaisanterie. J'avoue je n'y croiyais pas ! C'était trop gros pourquoi moi ? Convoqué par le conseil alors que je n'ai rien fait. Illogique !"Les blagues les plus courtes sont les meilleures " soufflais-je à l'homme qui avait prit mon rouleau. "Crétin ! Crétin ! Ce n'est pas uen blague dépêches toi !! Moi je m'occupe de ton rapport." Une sorte de vague depanique m'envahissait tan tdis qu'il repartais aussi vite qu'il était arrivé. Je ne comprenais franchement pas la situation.

    L'observant partir je l'immita alors. Je n'avais pas le choix puisque cela était vraie..Sentant comme un frisson me parcourir je me lançais dans une course folle vers le batîment maître de Kumo, là ou résidait le conseil, le manoir du Raikage. Empruntant les ruelles les plus désertes du village j'avançais un peu plus vite. Folie ! J'en étais au stade de stréssé pour une convocation ... enfin.Convocation si peu habituelle. D'un movuement véloce de droite à gauche je me sortais de la tête le mauvais présage afin d'arriver au bout d'une poignée de minute au porte du manoir de Kumo. Ambarrassé je n'avais aucune idée d'où ce trouvait la salle du conseil pour cause je n'y avait jamais été auparavant. Une fois dans le manoir un homme de petite stature me fit signe. "Suivez moi" murmura-t il. Ha la fortune est avec moi ! Je le suivais donc. Nous empruntons des escalier dans un silence tendu que je n'affectionnais point. Le calme avant la tempête pensais-je une grimace aux lèvres. L'escalier prit fin pour mener sur un long couloir richement décoré et une porte dont l'encadrement semblait être de l'or pur. Fasciné par le luxe étalé en ce simple couloir j'en oubliais presque ce qui m'attendais. Le petit homme s'inclina avant de repartir à la hâte. Si je m'étais écouter ej 'laurais bien retenut histoire d'avoir une présence à mes cotés. Inspirant profondément je posais mes deux mains sur les portes et dans un mouvement délicat vers l'avant je les poussés.

    Devant moi s'offrait une salle plutôt sombre en vue du temps colérique, une longue table ovale au centre et des personnes l'encadrant. Le smembres du conseil. Je ne les regarde dans les yeux par signe de respect et avance sous leurs regards présomptueusement. C'était plus fort que moi je devais me mettre en valeur pour défendre ma cause. Tendu, stréssé je demeurais face à eux, je fit une légère courbette emplis d'un profond respect tout en apréhandant la cause de cette convocation. Me redressant je mit mes mains derrière mon dos, la tête légèrement incliné, l'expression facial tout à fait neutre je dit alors quelques mots respectueux à l'égard de tous ces membres : "Salutations membres du conseil" Un homme prit la parole, le membre le plus éminent j'imagine. "Avez-vous remarqué Haine Mizuraki ?" Gardant ma position, je en voyais absolument pas de quoi cet homme parler. Remarquer ? Peut-être mais de quoi parlait-il ? Sentant la tension monté je répirmais une girmace alors qu'il reprit " Vous êtes vous penché sur notre politique actuelle ?" Notre politique actuelle ? La guerre avait prit fin, notre Kage était resté silencieux... Etait-ce de cela qu'il voulait parler ? J'imagine oui. Dans un coup de sang je dit alors. "Oui notre Raikage se fait discret ces temps-ci." J'avais prit soin de ne pas prendre de risque en répondant je voulais éviter toute possibilités de piège approprement parler. "Seulement discret ?" ajouta une femme plus usée probablement plus agée. Je en comprenais pas cette question, pourquoi avoir relever le mot discret? Ils savaient eux alors poourquoi ne pas me dire directement. "J'ose le croire" murmurais-je. Je ne voyais point d'autre alternative que de jouer le jeu de l'incertain, espérant et voire même naïf. "Savoir et préférable à croire, croire n'est qu'utopie, savoir n'est que réalité. Qu'en déduis-tu ?" Une grimace dissimulé par une moue hésitante et un questionnement grandissant. Jamais je ne posséderais cette capacité insupportable à toujours remettre en doute les paroles d'autrui pour le faire douter lui même. Astucieux. D'ailleurs je ne savais pas quoi en déduire enfin j'avais bien une idée mais je refusais d'y croire. Si il se faisait discret, peut-être était-ce qu'il avait ... disparut ? Mes sourcils se froncèrent, décédé durant la guerre?? Impossible cela aurait fait l'objet de controverses nombreuses et de bruits. Je n'avais rien à perdre de toute façon. Je relevais lentement la tête tout en gardant mon regard bas par signe de respect. "Notre Raikage s'est retiré ?" Un poil interrogateur c'est vrai, je préférais me dire qu'il voulait céder sa palce plus qu'autre chose. "Vous semblez tendu Haine, quelque chose ne va pas ?" Une mimique de désapprobation s'étendait un bref instant sur mes lèvres. Qu'est-ce que cela avait à voir avec le sujet de la conversation, bon sang ils voulaient me mettre dans l'embarra plus que je ne l'était déjà. Forçant ma voix à parraitre plus ferme, plus certaine je répondit alors : "Non respectable membre du conseil tous vas pour le mieux.Juste que ej me questionne sur el lien entre notre respectable et Raikage et moi même." L'homme se leva alors de sa chaise en posant ses mains sur la table. Avais-je dit quelque chose de mal ? " Je vais clarifier les choses Haine Mizuraki, vous êtes bien Juunin de Kumo depuis maintenant 10 ans n'est-ce pas ?" "Oui" "Votre famille fut et demeure encore au service de Kumo en prenant part aux forces militaires du pays ? " "Oui" "Bien, Setsuri Hazu, suite à la Guerre à mystérieusement disparut sans laisser de trace, nous avons étudier le problème sous tous ses angles, des enquêtes furent ouvertes, et il apparrait comme évident que Kumo ne peut rester sans Homme à sa tête." "Bien entendu"soufflais-je décontennançais. Disparut sans laisser de traces ? .... Qu'est-ce que cette excuse. Cela étai tvraie pourtant... Inquiétant autant qu'étrange. "Le conseil en ces conditions à donc prit la décision d'élire un shichidaime Raikage, le pays ne peut demeurer dans un tel climat d'insécurité et surtout sans chef digne de ce nom." Bien sur je fasiait le lien, mais ce que je pensais été qu'une futile bêtise sans importance. Moi devenir ... Non ! Impossible. " C'est donc la raison de votre convocation au conseil, Haine Mizuraki, un vent de changement souffle sur Kumogakure no Sato." "Haine Mizuraki Shshidaime Raikage "J'étais, complétement perdu. Moi Raikage... Je réfutais cette évidence, ce fantasme de toujours, ce rêve d'enfant se réalisant ? De la fortune ? Je crois bine. Une vague de stresse retombe alors, mes paupières se ferment.C'était de grandes responsabilités, peut-être trop grande pour l'homme que j'étais.
    "Qu'elles sont les raisons de cette décision ?" lachais-je d'une voix reflétant mon boulversement. "Eh bien, toujours vous avez servit votre nation sans sourciller. La plupart du temps vous revenez tromphant, de plus vos qualités en temps que Juunin et chef d'équipe ont toujours fait de grand vent à nos oreilles et je crois bien que vous avez les épaules pour endosser un tel rôle. Vous le savez aussi bien que moi,vous êtes un homme d'autorité et de talent, prenant de bonnes décisions au bon moment sans compter que votre parcours est interressant, un entraînement de cinqs années au temple de la foudre qui de plus ont fait leurs preuves." Un long silence s'installa durant lequel je tentais de remettre en place mes idées. Ce n'était pas quelque chose d'aisé à maitriser tout de même. Des sentiments contraire et de toute nature affluant en mon esprit, je serrais els dents sous le poid de l'émotion. Mère et Père vous me regardez je le sais, voyez qui je suis devenu, soyez fière de là où vous êtes, fière de votre fils. Une larme perla sur ma joue et brisant le calme imposé d'une voix que l'on devinait émue je dit alors : "Je suis honoré que vous membre du conseil ayaient penser à moi pour une telle succession, je ferais en sorte de ne point vous décevoir et de tirer Kumo vers le haut."



Dernière édition par Haine Mizuraki le Mar 4 Oct 2011 - 14:49, édité 1 fois
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Icon_minitimeMar 4 Oct 2011 - 11:24

Bon cette fois cette présentation est bien finit en attente d'avis Razz
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Icon_minitimeMar 4 Oct 2011 - 11:45

Bon bah pour moi :

Raikage, rang S, level 20.
Second avis + test rp.
 Ω Hachidaime Kazekage Ω
Thrys Ω Hachidaime Kazekage Ω
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MessageSujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Icon_minitimeMar 4 Oct 2011 - 20:10

Et bien, pour ma part, je pense que cela est suffisant, le fait que Setsuri soit porté disparu me paraît correct, comme ça, il peut réapparaître au cas où... après, je crois qu'il a quitté le forum, non ? (Si mes souvenirs sont bons...)

Donc, Raikage de rang S et de niveau 20 !

Il va nous falloir un test RP... dommage, j'aurais bien aimé te donner celui qui parlerait de la disparition de Setsuri, malheureusement, tu as déjà fait les choses... imaginons autre chose :

Kumo... depuis des semaines, voire même des mois, ce village périt à petit feu... les habitants sont de moins en moins actifs, et voient l'avenir d'un mauvais œil. Depuis la disparition de Setsuri et son absence, les choses empirent, et cela devient très inquiétant. Le Pays a perdu sa gloire d'antan, et quelqu'un doit reprendre les choses en mains...
Raconte nous les éléments qui te marquèrent, les éléments d'un Kumo abandonné, d'un Kumo délaissé, et évoque nous tes sensations lorsque les conseillers te choisirent en tant que Raikage, après la disparition de Setsuri !

Je sais, c'est nul, mais bon ! ^^"
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Icon_minitimeMer 5 Oct 2011 - 9:42

Oui en effet il a quitté le forum

Une réalité

Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] 912463KumoSymbole

  • Kumogakure no Sato, le pays de la foudre, je crois bien que pour moi c'était bien plus. J'y avais mûrit après y avoir prit racine. Il est vrai que ma famille n'est point véritablement ancrée en cette caline contrée mais y étant né il y a de cela maintenant pas mal d'année, c'était tous comme. Peut-être et assurément pensez-vous que cette façon d'opérer est irresponsable, renier son origine ? Qu'elle balourdise ! Eventuellement, oui mais comment pourrais-je ressentir un sentiment d'appartenance pour un lieu ou bien même une personne sans même le connaître au préalable. Je me hasarde sur le fait évident que nous ne pouvons aimer sans connaître car selon moi cela est une question de logique. Il est tout à fait factice de vouer de grand mots charmesl débordant d'une concupiscence inéxistance, alors en ces conditions pourquoi ne pas tous bonnement laisser. Oui, laisser car ici je n'ai d'autre échappatoire, ne connaissant que Kumo je me voit dans l'obligation de n'apprécier que cette dernière au détriment du pays des artisans. Si cela doit l'être alors il en sera et le débat sera ainsi clos.

    Tiens revenons à notre sujet initial. Aujourd'hui me parrait être une plaisante journée, du moins sans orage. Il n'y avait pas l'ombre d'un nuage grisonnant dans nos cieux si inaccoutmés teint de bleu. Ô non je ne me permetterais point de me plaindre, gémir cela est pour les faibles personnellement j'arborre à des horizons plus ambitieuses. La vie vaut selon ma eprsonne la peinne d'être vécu alors autant en tirer profit, autant vivre avec un objectif qui rythmera nos nuits, comme nos journées qui sera notre motivation, notre unique raison de justement vivre. Bien que grand nombre de gens pronent qu'ils vivent en toute liberté n'écoutant que même et je dois avouer que cela me chagrine de voir tant d'âme se précipiter dans la fausseté. Elan d'altruisme, compassion ou pitié ? Non juste que leurs aspect burlesque m'exaspèrais au plus haut point. Croire posséder une liberté et vivre leurs vies comme ils l'entendaient, ils ne faisaient que croire ! Comment pouvais-je déduire cela ? Tous bonnement car il faut s'imposer une limite à notre liberté sinon ce n'en n'est plus une. Peut-on vraiement se sentir libre si nous ne connaissons pas en parallèle la réprésion ? Enfin cela est encore uen fois un argument de majorité et je craint qu'on ne puisse rien face à cela.

    D'un mouvement lent et se voulant élégant je levais la tête aux cieux en observant les méandres et entrêmelents inéxistant. Cela était un parfait camaïeu de bleue, sans interruption et totalement uniforme. Je laissais un profond soupire s'échapper d'entre mes lèvres fines et instantanément un sourire vint les revétirs. Je goutais comme souvent au plaisir simplet de notre vie si archaïque en soi, aimant d'avantage le plaisir à la torture des sentiments on me qualifiait généralement hativement de sans coeur ce qui était tout à fait faux. Cette pensée m'arracha un petit rictus sarcastique tant dis que je me redressais énergiquement. Je tapais alors ems deux paumes contre la table de chêne pour me donner un peu de courage puis me releva. Un vent d'altération se devait balayer le village. Le conseil l'avait amorsé hier dans la journée je me devais de lui donner l'impulsion necessaire pour que ce dernier ait l'effet escompter.

    Effectivement Kumo n'était plus vraiment ce qu'elle fut par le passé. Ce petit bourg de puissance militaire avait été réduit à l'état de bataillon suite à cette guerre à laquelle notre nation prit part. De nombreux de nos hommes tombèrent, j'étais bien placé pour parler vue que moi je composais les troupes de notre pays. Des hommes puissants, j'en ai vue tomber infortunément cela était l'essence de l'expérience. Avec le temps j'apprit une chose sur la vie c' est que probablement elle constituait la source même du mot aléatoire. SI un jour vous daignez chercher une éthymologie au mot, vie ne cherchait plus c'est aléatoire. J'en suis certain. La guerre dévastatrice eut heureusement lieu principalement sur les terres de Konoha, par chance nous n'étions qu'un pion sur l'échéquier. Les dégats furent moins denses mais tout de même. De nombreux enfants devinrent orphelins redonnant vie aux rares orphelinats qui peuple Kumo, quand aux familles dans leurs généralités ? Elles sont pincipalements monoparentale ou bien tous simplement inéxistante. De nombreuses pertes sont à déplorées. Ces dernières affaiblissent non seulement le coté militaire du pays mais aussi l'économie. Kumo est devenut fragile.

    Je n'ose même plus évoqué la relation entre le Kage et les habitants. En toute logique l'abscence de Setsuri Hazu pesa sur les consciences et créant un sentiment d'abandon le pays s'en ressentit à travers les productions et même l'athmosphère générale. Il faisait bon vivre de résider au pays des nuages à présent les tensions et la délation sont en qeulque sorte la tenue prit en exemple. De nombreux conflits internes éclatent et des hordes de délinquant sont à réprimer. Voila ce qu'entraîne l'irresponsabilité d'un homme, un seul et unique homme. Je fait quelques pas vers la fenêtre me donnant vue sur le village. Le peuple n'a plus confiance, il devient hostile et belliqueux c'est une catastrophe. Il m'arrive encore de me demander comment un homme tel que lui à put laisser faire ça, comment il a put tout abandonner snas même penser à ses gens qui avaient placé en lui des espoirs. Je m'accoudais à cette dernière en observant d'un regard profond emplis d'une certaine empathie l'horizon. Les habitants ne aprlent même plus du futur. Ils en ont peur, ils le réfute, ils ne préfèrent pas y penser. Passer ses vieux jours dans ce village est devenue un mauvais présage. Je les comprends si bien, comment vouloir demeurer dans un lieu où lachement on vous laisse piètre sans même de justification.

    Une sensation de vide ravage mes pensées. Et moi, moi Haine Mizuraki allais devoir y remédier. Je laisse ma tête retombait en fixant le sol. Je suis affreusement haut, si je venais à tomber je n'aurais pas de chance de survie.Mais si je tombais cela voudrait donc dire que moi aussi je laissais seul le peuple. Mes paupières se referment lentement et j'esquissais un sourire radieux. J'admet hier je fut confus par la décision du conceil mais en demeurant ravit. Pour moi c'était l'accomplissement d'une vie. Les bonnes volontés necessairesà diriger je les possédés sans contest possible. Emu, touché par cette décision j'avais en moi le sentiment agréable de jouer enfin un rôle. Un rôle à ma hauteur que j'lalais pouvoir jouer à merveille. Il fallait un homme fort pour relever Kumo je le serais. Volontaire et décidé la tâche allait être rude et cela faisait naitre en moi un poil d'angoisse mais qu'à cela ne tienne. Je crois que c'est en ces moment là qu'un être montre sa valeur et c'était à moi. On avait placé en moi une confiance que je me devais d'entretenir, il fallait une fois encore que je brille comme par le passé. Je me redressais tant dis que mon regard se posait à présent sur mon bureau. Le rôle de Raikage c'était fantastique mais il engendrait de nombreuses responsabilités. En disant cela je visais la pile de papier s'accumulant depuis hier au soir. Un rire discret s'échappa d'entre mes lèvres alors qu'un sentiment profond de joie m'envahit. De la joie, était-elle réelle ? Je le croit bien. Partagé entre l'angoisse, la fierté, la joie de relever e tde redonenr l'espoir j'allais devoir m'atteller à ma tâche. A mon grade, mon rang, mon rôle. J'étais maintenant l'élement indispensable à la vie du pays des nuages.

    Passant délicatement ma mai ndans ma chevelure, je n'osais repenser à Setsuri. Il avait disparut et je ne pouvais l'admettre mais je ne pouvais accuser la mort en vue de tant de puissance qu'il avait accumulé au cours des années. Trop fort pour être vaincu, trop puissant et peut-être trop fière pour juste disparaître. Je ne sais pas en vérité je ne le connaissait que dans sa condition de Kage. Pour lui je n'étais qu'un Juunin pour moi il n'était qu'un homme en lequel j'vaais plaçé ma confiance. C'est probablemement en cela que ej comprenais les habitants. Trahits nous tous l'avons été à un titre injuste et voir inéxistant. Je laisse la parole au temps une fois de plus il nous dira quel sera le nouveau profil de Kumogakure no Sato.



Voial. J'ia fait de mon mieux avec pour sujet ... peu inspirant hein XD J'espère que cela ira ^^
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MessageSujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Icon_minitimeMer 5 Oct 2011 - 17:52

Oh mon dieu...
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J'en reviens pas...
JE VALIDE UN KUMOJIN *-*
Kaitaro Nagi
~Chef de l'ANBU de Konoha~
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MessageSujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Icon_minitimeMar 17 Juil 2012 - 19:25

Direction corbeille

Amicalement Kaitaro Nagi.
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MessageSujet: Re: Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit] Icon_minitime


Haine Mizuraki - Une ère nouvelle [Finit]

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