.°. Boum! Boum! .°.
Mission de rang C
Je n’avais pas dormis de la nuit, j’avais quelque chose qui me trottait dans la tête, et j’avais des papillons dans le ventre. Qu’est-ce que j’avais, aucune idée et je n’aimais pas ça. Le cadran sonna quelque seconde avant que j’écrase le bouton d’arrêt. Il était six heures trente, je devais me lever pour ne pas ambitionner sur mon temps. Aujourd’hui je devais faire les courses, rencontrer mon maître pour parler de notre équipe. De plus je crois bien qu’il faudrait que je m’entraîne. Je sortis sur le palier de ma maison, passai la clé dans la serrure et je partis en direction du marché. Je m’arrêtai après à peine dix minutes de marche lente. Une silhouette se tenait au milieu de la rue.
« Isui Aburame, attend ! Je n’ai pas le temps de me présenter, je ne viens que tu dire que tu devrais te rendre à l’hôpital immédiatement. »
Je ne pouvais apercevoir le visage de l’homme, mais je savais que je le connaissais, sa posture me rappelais vaguement quelqu’un, mais qui ? J’allais demander de plus amples informations, mais l’homme disparut en un seul clignement d’œil. Je n’étais pas sûr si je pouvais me fier à cette personne, mais je n’avais pas d’autre choix que de vérifier par moi-même. Je me dirigeai donc vers le fameux hôpital de Konoha, un hôpital absolument majestueuse, rempli d’employer plus compétant les uns des autres. J’arrivai près de l’hôpital, tout semblait parfait, on m’avait encore un fois berné. Mais pourquoi les gens font t-il des choses aussi stupides et inutiles. Je m’installai sur un des bancs en bois qui se trouvaient dans la cours, prenant bien soin de me mettre bien à part des autres personnes qui se mettaient à chahuter avec force dans les alentours de l’hôpital. La température de l’air était aujourd’hui assez fraîche. Tout à coup une alarme se mit à retentir à la suite d’une explosion, invitant tous les gens à se précipiter partout complètement affoler. L’explosion provenait de l’intérieur de l’hôpital, je me précipitai à pleine vitesse vers les portes pour porter secours aux gens encore à l’intérieur…
Je pénétrai par la porte, des gens courait par tout et essayais de fuir la fumée qui se propageait de plus en plus dans tout l’édifice. Les médecins essayaient tant bien que mal à aider les malades et les blesser. Une voix lui parvint à l’oreille, une voix qui demandais à l’aide, et c'est finalement vers l’aile ouest que je dû me rendre. Prenant une grande inspiration et courut en direction de l’appel au secours, je fut à l’endroit de l’explosion quelques seconde plus tard, dans cet endroit relativement aride et plein de fumée noir. Je n’aimais pas cet endroit, du moins plus maintenant. La voix se refit entendre, je cherchai du regard pour en trouver la provenance, rien je ne pouvais rien voir avec toute cette fumée. Le feu se propageait de plus en plus, je devais faire quelque chose. C’est à se moment que je me rappelai mon entraînement, je fis les mudras désirés pour ensuite concentrai mon chakra dans tout mon corps, j’inspirai profondément pour ensuite relâcher tout d’un coup pour faire la technique, Fuuton – Daitoppa, un grand vent balaya le feu et les débris qui couvraient l’emplacement. Bien sûr le feu n’était pas éteint mais au moins il avait arrêté quelque peu sa course poursuite dans l’immeuble. La technique avait porter fruit la personne rechercher était coucher dans l’embrasement de la porte. C’était une femme dans la mi-vingtaine, elle était sans connaissance je la pris sur mon épaule et essaya de la sortir d’ici le plus vite possible. Je fis quelques pas et une poutre tomba du plafond et s’écroula juste devant moi m’empêchant du même coup d’avancer. Il ne me restait que l’autre coté, la fenêtre. J’allai passer quand quelque chose me frappa et me projeta plus loin, je ne lâchai pas la jeune femme de peur qu’elle se blesse en tombant. Je la déposa par terre non loin de moi et regarda autour pour trouver la source de se coup étrangement bien placer, un bruit de lame me fit comprendre que ce n’était pas une coïncidence…
La lame du Kunai froid et lisse me frôla la joue laissant une petite coupure superficielle. Je sortis mon propre Kunai et me mis en position de combat près à combattre le responsable de cette abomination. Une silhouette ce dessina, lentement mais sûrement. Il ne s’agissait non pas d’un homme, mais d’une femme. Je n’arrivais pas à croire j’allais devoir me battre contre une femme, ce n’était par réellement ce que je voulais me je n’avais pas d’autres choix. Elle était muni d’un sabre, ce dernier avait l’air extrêmement coupant, un seul coup bien placer et j’étais mort je ne devais donc pas être toucher. Je jetai un regard subtil à la femme sans connaissance coucher derrière moi et décidai de faire le combat un peu plus loin de manière à éviter qu’elle soit malencontreusement blesser. Je lui lançai mon Kunai et courut dans sa direction. Nous engageâmes un combat au corps à corps. Après quelques échanges de coups je reculai. Je me devais de sortir le plus vite possible d’ici avant que tout s’écroule sur ma tête et surtout la femme avait besoin de soins médicaux le plus vite possible. Elle s’élança dans ma direction, cela prouvait ce que je pensais, elle se spécialisait dans le taijutsu. Elle sortit un rouleau et s’arrêta à quelques mètres de moi. Elle posa sa main sur le rouleau maintenant ouvert, plusieurs sortes d’armes différentes apparurent à tour de rôle une fois la main posé. Elle se mit à tout me lancer, j’esquivai le plus gros ensuite je pris un kunai et essaya d’arrêter les projectiles du mieux que je pouvais. Elle se mit à avancer tout en lançant ses armes. J’avançai aussi dans sa direction, je devais tenter le tout pour le tout. Je concentrai tout mon chakra dans tout mon corps, je sentis la puissance m’envahir et le fuuton était près. Je relâchai tout d’un coup, une immense puissance de vent fut projetée à l’extérieur arrêtant tout les projectiles et le faisant retourner vers l’utilisatrice qui fut pris de surprise par toutes ses armes qui pénétrèrent sa peau avec facilité. Je tomba à genoux quelques secondes le temps de reprendre mes esprits. Je me relevai, pris la femme trouver dans les décombres et me dirigeai vers la fenêtre avant de sauté par cette dernière. À peine à vais-je toucher le sol que les anbus et les juunins arrivèrent, il n’était pas trop tôt. Ils prirent la femme et s’occupèrent d’elle. Je crois bien que je n’avais plus vraiment besoin de m’entraîner maintenant, je finis mes courses et retournai ensuite chez moi.
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Jeu 31 Mar 2011 - 22:55