«Une nouvelle ère»

La vie est pleine de surprise, nous ne pouvons jamais savoir à l’avance, de quoi sera fait demain. Est-ce que ce sera une bonne journée, pleine de joie, de rire et de bonheur ? Ou alors tout le contraire ? Une journée de peines, de tristesse et de malheurs ? Personne ne peut le prédire, seul notre destin est au courant de ce qu’il va nous arriver. Pour le découvrir, il suffit de vivre. C’est ce que je fais, moi Kaiza du clan Yashiro, bras droit de Mizukage et capitaine des ninjas médecins du village de Kiri. Chaque jour passe, je me donne à fond pour le bien des miens. Bien que ma vie soit au final assez calme, du moins en apparence, elle n’en est pas moins peu commune dans le fond. Au final, seul huit autres personnes dans le monde, peuvent « au mieux » façon de parler, car ce n’est pas vraiment quelque chose de réjouissant et d’enviable, comprendre le secret qui m’entoure et ce qui en découle. Pour être franc, je ne souhaite à personne d’avoir la même condition que moi, bien que je sais que je suis loin d’être le premier jinchuriki de l’histoire. Sans doute pas le dernier non plus. Que voulez vous ? Il y a des choses qu’on ne souhaite pas, mais qui nous arrive quand on s’y attend le moins. Ce qui résume assez bien le moment ou Sanbi fut scellé en moi par une anbu de Kiri.

On ne peut pas vraiment dire, que ce jour là au réveil, je savais que dans quelques heures, un démon sera en moi. Enfin, assez parler de Sanbi pour le moment. Ce n’est ni le lieu, ni l’heure de toute façon, pour avoir ce genre de pensée. Ai-je oublié de le dire ? Je suis actuellement devant la tombe d’Ookii-sensei. Nous somme samedi matin et j’ai eu l’envie de venir ici. Ai-je réellement besoin d’une quelconque raison pour cela ? Je ne crois pas. Je reste debout. Je suis présent depuis deux bonne heures ici, pourtant je n’ai nul envie de me rendre dans un autre lieu de la ville ou même de rentrer à la maison. Après tout, rien ne m’y oblige. Pour une raison que j’ignore, à l’hôpital on m’a dit, que sur ordre de maitre Mizukage, je ne dois pas y aller et que je vais comprendre en temps voulut. Étrange consignes, mais bon, nous verrons bien plus tard. Il est presque dix heures, quand je me rend compte de présence derrière moi. Je me retourne, pour faire face à quelque chose de surprenant. Qui s’attends, dans un cimetière, à tombé nez à nez avec une unité d’anbu ? Oui une unité, ce n’est pas un, ni deux ni même trois qui me font face, mais bien une équipe complète de quatre membres des forces spécial du village de la Brume. J’attends.

Kaiza Yashiro... Maitre Shishidaime Mizukage nous a confié une mission. Tu dois nous suivre. Nous allons te servir d’escorte. Car nous devons retrouver Akari-sama à l’extérieur de Kiri et ta présence en est la principale raison. Nous n’en savons pas plus, si ce n’est que le lieu ou nous allons te conduire dois rester secret, aussi tu n’en saura plus qu’à notre arrivé.

Très bien mes senpais. Je suppose que je n’ai pas le choix de toute façon. Nous pouvons y aller.

Je me retrouve bien vite au centre de l’unité. Un anbu sur chacun de mes coté, une formation d’escorte et de protection assez basique, mais qui a fait ses preuves. Notre objectif ce situe donc hors des limites de la ville ? Cela peut expliquer la présence d’une équipe complète d’anbu alors. Car si maitre Akari me demande loin des bruits de Kiri, ce n’est sans doute pas pour une partie de carte. Il y a donc, du moins je le pense, une possibilité d’être attaqué en chemin par je ne sais qui ou je ne sais quoi. Même si je ne le montre pas, je suis impressionné par l’aura que dégage chacune des quatre personnes qui m’entoure là. Ils sont l’élite de l’élite du pays de l’eau. Peu de personnes sont à leurs niveaux dans Kiri. Si ce n’est Mizukage-sama et les autres des forces spéciales, mais ce n’est pas ce genre de détails qui me trottent en tête à vrais dire. Je me demande surtout ou et pourquoi Akari souhaite me voir en privée. Que va t’il ce passer une fois réunis ? Qu’allons nous faire et de quoi allons nous parler ? Nous verrons bien. En tout cas, les anbus et moi-même quittons enfin le village de Kiri. Mizukae ne va plus tardez à être avec nous je pense.