Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo]
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ ▌Sanction : Aucune
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18 ans Sujet: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Lun 10 Oct 2011 - 15:11 Descendante de Narcisse
Serait-ce ... La fin de Juka ?
E ncore une fois. On ne comptait plus les chutes. Le corps s’écroula sur les genoux entaillés, mais l’être, décidément têtu, se releva, alors que ces blessures disparaissaient étrangement, à vue d’oeil. La douleur était vive, mais ce n’était pas ces misérables blessures qui faisait souffrir notre protagoniste. Juka avait le coeur qui saignait, probablement autant lorsque son père mourrut devant elle. Non, autant, cela est une confirmation. Serrant les dents de toutes ses forces, elle donna un coup de poing dans le sable, qui lui brûla les jointures. Voilà tros jours qu’elle marchait, et le soleil tapait impitoyablement fort, comme punissant la Kiyomizu de ce qu’elle était. Elle était ... Minable, et ne valait rien. Absolument rien ! Pour la première fois depuis onze ans, oui, cela a recommencé ... Elle se haïssait. Elle, l’être imbu de narcissisme, son sang représentant la perfection, tout pour avoir le summum, la descendante de Narcisse ne se voyait plus ainsi, elle n’était plus rien. Plus rien ! Ses raisons de vivre, elle ne put les protéger, ceci traduisait sa faiblesse. Fujita Kodo est mort, Konoha est détruit et dirigé par cet homme malsain ... Elle qui se vantait de son talent, de sa force, de son appartenance ... Elle ne le méritait pas le moindre du monde ! C’est ce qui traversait son esprit. Dieu qu’elle s’en voulait, Dieu qu’elle se demandait pourquoi, pourquoi elle se daignait encore à avancer, pour une raison inconnue à ses yeux d’ailleurs ... Pourquoi faisait-elle ce long chemin déjà ... ? Où allait-elle ? Elle ne savait plus rien, plus rien ...
S on coeur se serra encore plus que de raison. Comme si ce n’était pas suffisant. Elle se souvenait, se souvenait d’où elle venait ... Après sa fuite de Konoha avec les pro-Fujita, ils se sont cachés à Hayashi ... Kaitaro, ainsi que Toshiro, étaient là. Mais Juka n’avait plus le coeur à soupirer de soulagement, parce qu’elle se serait sauvé la peau. Elle a senti son coeur se briser en mille morceaux, elle a senti chaque parcelle de son corps qui souhaitait la punir pour sa faiblesse, son inutilité. Elle ressentait sa souffrance, d’avoir perdu deux raisons chères à ses yeux, et se retenait. Elle se retenait de tout son être afin de ne pas pleurer face à Kaitaro. Et pourtant elle voulait exploser en larmes. Mais sa fierté, sa fierté qui ne valait au final rien, était au-dessus de tout ... Elle n’a jamais pleuré devant qui que ce soit, à part son cher paternel ... Lui non plus, lui non plus elle n’a pas réussi à le protéger de cette infâme mère en soif de possession, à un tel point qu’elle a tué son mari afin de l’avoir à elle à jamais. La Kiyomizu se sentait si misérable, et cette vision d’horreur, de plus qu’elle devait porter dans son coeur la mort de son Roi, elle vit Konoha exploser ... Ce qui l’acheva misérablement. S’en était fini d’elle. Elle n’avait plus rien. Plus rien !!
A quoi bon se vanter de ses soit-disant mérites si on les souille, si au final, on est si faibles ? Si nous sommes que misérables ? Son état était démentiel et inconsolable, et vivait car elle sentait cette affreuse douleur en elle qui la maintenait en vie. Une sentence, une punition. Il y a trois nuits, suite à son énième insomnie depuis onze ans –mais cette fois-ci elle avait ses raisons-, Kaitaro est venu la voir, tandis qu’elle errait dans le village de Hayashi, afin de savoir ce qui n’allait pas, la consoler, elle n’en savait trop rien. Pour la première fois, elle a hurlé sur un ami ... Pour la première fois, quelqu’un a payé pour avoir été là lorsqu’elle souffrait. Et c’est lorsqu’elle réussit à éloigner Kaitaro qu’elle s’est enfuie pendant la nuit. Elle avait une seule personne en tête à ce moment-là : Hajime. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle devait le voir. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle avait besoin de s’effondrer, et pour le faire, il fallait qu’il soit là. Juka devint une simple coquille remplie d’eau, une pierre cherchant à verser des larmes.
La chute de cet être qui troublait tant son coeur était la chose de trop, et la destruction de Konoha ... Oui, cea l’a tué, quelque chose s’est brisé en elle, la détruisant de manière impitoyable. Elle haïssait le monde entier, elle haïssait cette Mizukage, elle haïssait ces Kirijins ! Et surtout, elle se haïssait de tout son être, rongée par le regret, se reprochant de n’avoir rien pu faire ... Elle lui avait promis à Kodo de le protéger, de protéger Konoha ... Elle se sentait si fautive et faible. Le prestige des Kiyomizu ? Elle ne le méritait pas et souillait son nom, son sang ! Ses vantardises, exhibant son talent, sa force ? Elle n’en avait pas, voyons ! Elle s’est rendue compte qu’elle agissait comme ces êtres qui l’irritaient tant, ces personnes se vantant alors qu’il ne le méritaient pas. Alors oui, ce soir-là, Juka pensait qu’elle avait le droit de se haïr, qu’elle avait ce privilège, et se demandait pourquoi elle ne s’est pas encore agenouillée afin de se faire harakiri, car son honneur fut bafoué, sa promesse fut rompue par sa faute, et ses raisons de vivre furent détruits.
N e sachant pourquoi elle avançait encore, elle ne ressentait même plus son propre instinct de survie. Juka leva misérablement la tête afin de regarder l’horizon qui paraissait éternel, comme la souffrance que son coeur, ce sadique, se permettait de lui rappeller à chaque battement. Ses lèvres tremblèrent mais elle se retint. Elle ne devait pas pleurer. Malgré son air des plus pitoyables, sa fichue fierté dominait toujours ... Alors elle se releva péniblement, désireuse de continuer sa route, quitte à le faire pour l’éternité, elle s’en fichait, sauf pour voir Hajime. Repensant à Kaitaro, cela lui fit piquer une certaine colère et elle donna un coup dans le sable qui s’éparpilla paisiblement par la suite. Dieu qu’elle était sotte !! Kaitaro n’y était pour rien, mais il arriva, disons, au très mauvais moment, le seul et unique mauvais moment de toute son existence ... Si ce n’était pas un coup de malchance ça. Mais comment ne pouvait-il pas comprendre ... Cet homme, ce Hokage pour qui Juka s’est autant dévouée, elle ... Enfin, les sentiments sont affreusement vastes mais bien spéciaux, tout ce qu’elle savait c’est qu’en y repensant, son coeur se serra violemment dans sa poitrine et les larmes montèrent aux yeux. Il était mort, cet homme n’était plus ... Ses pas traînaient, avançant tel un pantin, jusqu’à ce que ses oreilles se mirent de nouveau à siffler violemment, repensant à Kodo, lorsqu’elle était dans le bureau du Hokage. Lorsqu’il embrassa sur son front, caressa les cheveux ... Lorsqu’elle ressentit cette magnifique aura ou a ouï ces paroles qui l’ont tant touché ... Et une chute de plus. Juka grogna, elle en avait marre. Marre de tout. Elle ne voulait plus rien, à part avoir ce jeune Hokage de nouveau à ses côtés. Avoir Konoha comme avant, réparer ses erreurs, reprenant sa joie de vivre. Le revoir sourire ...
Une fois de plus, elle se releva, et grimaça de douleur, posant sa main sur son abdomen. La blessure que Tatsuya lui a infligé était très handicapante et Dieu sait comment elle a autant bougé avec ceci. Il était invisible aux yeux de tout le monde, mais elle, elle le sentait bien. Et a refusé de l’exhiber devant Kaitaro ou Toshiro, ou les autres personnes qui ont fui avec eux, par pure fierté. Elle, se blesser ? Impossible ! Et pourtant si sa technique héréditaire serait annulée, nous pourrons observer une blessure sur son épaule, des égratinures surtout au niveau de ses genoux, malgré que celle sur son abdomen était tout de même très profonde, et surtout pas soignée, pas bandée. C’était du Juka tout craché, elle refusait de montrer ses faiblesses, et donc cachait ses blessures, ne voulant pas se faire soigner, ne voulant pas qu’on remarque qu’on peut la toucher. Pas elle, pas la Kiyomizu ... Et elle se permettait encore à faire ressortir ceci, alors qu’elle ne valait rien, hein ... Pitoyable.
C ’est en se relevant une énième fois, en accélérant ses pas, allez savoir avec quelle force, qu’elle s’arrêta, sentant de nouveau une douleur au niveau de sa cage thoracique. Quoi encore ?! Un goût métallique sortit de sa gorge, la forçant à cracher du sang sur le sable doré. Manquait plus que ça tiens ... Dans quel état elle allait arriver à Suna, elle se le demandait ! Combien de temps allait-elle marcher par ailleurs ? Encore ... Deux jours ? Trois ? Normalement cela met trois jours, mais vu la vitesse et les chutes minables qu’elle faisait, cela fera beaucoup plus, il en était certain ... Et pourquoi ? Elle n’en savait rien.
Tout ce qu’elle savait c’est qu’elle avait besoin de s’effondrer. Et surtout ... Elle n’acceptait pas, elle n’acceptait pas cette perte, la destruction de Konoha, la mort de Kodo ... Elle ressentit comme une implosion en elle, la punissant d’être aussi faible, de ne pas avoir pu tenir sa promesse.
L e soleil était atroce, Juka buva les dernières misérables gouttes qu’il restait dans sa bouteille qu’elle avait sur soi, avant de la jeter loin. Dans une chaleur pareille, même avec ses conditions physiques impressionantes, il n’était point évident de survivre comme ça. Son ventre se remit à gargouiller violemment, et Juka se donna un coup de poing à son estomac, gémissant de douleur ensuite. Non seulement car la famine était à l’affut, mais aussi elle venait de frapper sur sa fichue blessure. Au moins, cela calmait son appétit. Car oui, elle n’a pas mangé depuis cet événement. Le choc qu’elle encaissa fut trop fort qu’elle en perdit l’appétit, mais lorsqu’elle a fui, ce fut complètement sur un coup de tête et n’a absolument rien prévu ... A croire qu’elle le souhaitait presque. Elle a perdu une grande partie de son instinct de survie, marchant machinalement. Elle n’en avait plus rien à faire à vrai dire, et ce n’était que son corps qui prit possession de son âme afin d’essayer de faire ce qui semblait être raisonnable. Comme vous l’avez compris, ce qu’elle faisait était tout sauf raisonnable, preuve qu’elle a complètement perdu la tête.
Sa vision se troublait soudainement et la Kiyomizu avait la tête au bord de l’explosion. Sa douleur en était la cause, mais la chaleur impitoyable l’était aussi. Secouant lentement sa tête de droite à gauche, cela ne fit qu’empirer sa situation, elle porta sa main à sa bouche afin de tousser et cracher de nouveau du sang. Dieu qu’il lui manquait déjà ... Cet homme qui avait troublé son coeur, pour qui elle s’est offerte. L’injustice est sans pitié, ils se rapprochèrent à peine que la mort les a déjà séparé, et pourtant Juka avait cette sensation comme si une partie de sa vie fut déchirée. Quelque chose en elle mourut avec Kodo. Quelle étrange sensation, c’est comme s’il emporta son coeur, une partie de son âme dans sa tombe. Oui, c’est bien cela qu’elle ressentait, et cet homme emporta le meilleur d’elle, la laissant à la merci de ce triste monde, tandis qu’elle s’offrit à lui.
S on minois, défiguré par la tristesse et la saleté, exprima de nouveau une grimace. Oui, la douleur était insupportable mais elle se devait de tenir bon. Elle devait ! Tenir ... Bon ...
Ses yeux se fermèrent, ne supportant plus tout ce poids et cette condition physique. Son cerveau s’était comme éteint, afin de le refroidir, le choc et ces humiliations étaient de trop, et ce soleil, et cette famine, et cette soif horrible ... Juka s’effondra au sol, tremblante, avant que ses muscles ne se relâchent finalement, et dans un dernier soupir, laissa involontairement couler une larme de ses yeux reflétant sa peine. C’est ainsi que son voyage allait alors s’arrêter, l’invitant à entrer sur la barque afin de traverser ce ce long, long fleuve de Léthé, faisant son dernier voyage sur ce fameux fleuve d'huile dont le cours paisible ne faisait entendre aucun murmure. ... ?
Il est une évidence que survivre dans de telles conditions que cette jeune femme, dans une crise de folie et de peine, s’est imposé, est quelque chose de très peu probable. Serait-ce maintenant que l’histoire de Juka Kiyomizu allait s’arrêter ? Elle se demandait si cela n’était pas mieux ainsi, qu’un misérable cafard d’une telle envergure disparaisse d’ici ... Son état était critique, et sa chance de survie était minime, même pour elle. Chose normale, lorsqu’on perd connaissance en plein milieu d’un désert ... Chose normale lorsqu’on a tant soif, lorsqu’on a tant faim ! Mais ce n’est pas ceci qui serait la cause probable de sa perte, mais bien le risque de mourir de chagrin. C’est si bête, n’est-ce pas ? Le corps, dans un dernier et faible instinct, bougea inconsciemment, s’allongeant sur le dos, et évidemment, son pouvoir de camouflage d’annula, exhibant alors la profonde entaille sur son abdomen qui se mit à saigner abondamment. Un spectacle peu plaisant ... Ses plaies sur ses genoux, son épaule, se sont également exhibées sous sa tunique traditionnelle représentant son clan. Juka serait-elle éteinte ? De manière aussi minable que son père ? Sans avoir jamais pu le surpasser et de protéger ce qu’elle devait protéger, c’est d’une tristesse ...
*****
U ne chaleur étrangement douce enveloppa son corps, les douleurs étaient moins intenses. Serait-elle morte ? Son âme aurait finalement trouvé la paix, Dieu sait comment, malgré son état tortuté ? Pas loin, Juka entendit un crépitement, un son simple mais qu’elle appréciait cependant. Se trouverait-elle dans une maison, pas loin d’une cheminée ... ? Son mal de tête était moins présent mais persistait tout de même le bougre, la jeune femme ouvra lentement les yeux et vit le ciel noir parsemé d’étoiles qui semblait trop grandes pour elle, chose normale, sa vision était très floutée. Ah ... Elle se souvenait de ce qu’elle était en train de faire. Elle marchait dans le désert et après, plus rien ... Pourquoi faisait-elle ceci déjà ? Et de nouveau, l’image de Konoha qui explosait, et son coeur se serra encore plus lorsqu’elle revit ce jeune Hokage devant elle. Des larmes montèrent à ses yeux mais elle se retint et grimaça tout en se relevant de manière soudaine et brutale, afin de s’asseoir. Son corps qui a déjà bien dégusté vascilla et elle se rattrappa, mettant sa main derrière elle afin de prendre appui, tandis que l’autre se porta à la tête, lâchant un gémissement qui en disait long sur son état. Elle s’est relevée trop vite, sa vue s’obscurcissait.
C’est en lâchant sa tête afin de poser sa paume sur son abdomen qu’elle sentit une matière étrangère, et de manière pénible, la Kiyomizu baissa sa tête comme elle le pouvait afin de constater que en dehors de sa poitrine qui est, comme à son habitude, bandée, son ventre l’était également, cachant sa grosses blessure faite par Tatsuya, et cela était de même sur ses genoux. Juka soupira, c’était plutôt honteux pour elle. Qui était cette personne pleine de bonté qui a pris soin d’elle ?
C’est en se concentrant d’avantage que finalement, elle sentit une présence non loin. La descendante de Narcisse tourna lentement la tête, toujours avec son regard vide mais rempli de tristesse, vers le coupable, et vit une silhouette, près du feu. Elle voyait toujours flou, même en plissant des yeux, mais d’après ce qu’elle avait l’impression de voir, il la fixait. Cependant, son visage semblait être masqué, et il était vêtu d’une cape. A moins que c’était son imagination qui lui jouait des tours ...
Cependant, elle sentit une aura familière qui la troubla et ses grands yeux verts se remplirent à nouveau de larmes. Pourquoi maintenant ? A croire qu’on la narguait ... Cette aura angélique et paisible, magnifique, elle ne pourrait jamais l’oublier ... Kodo ? Le coeur de la malheureuse bondit sans savoir pourquoi et elle ravala sa salive, avant de détourner ses yeux, serrant les dents, retenant ses larmes. Impossible. Il est mort ... Il est mort !! Et elle n’a su le protéger cette idiote ... Oui, c’est une parfaite idiote ...
Juka passa lentement sa main dans sa crinière, balayant ses mèches de devant, avant de sentir son autre bras qui la soutenait derrière trembler et elle perdit équilibre, se rattrappant sur son coude. Toujours aussi misérable ... Toujours. Elle grimaça de douleur, sa blessure sur l’abdomen lui donna comme un coup électrique et son mal de crâne s’accentuait, tandis que sa vue devenait sombre avant de revenir à la normale, ou presque, car elle voyait flou. La jeune kunoïchi ferma alors les yeux, lâchant un soupir montrant clairement que sa respiration lui était pénible.
Fujita Kodo ~ Nanadaime Hokage - Chef du Clan Hyûga - Admin ~ ▌Sanction : Aucune
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20 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Mar 1 Nov 2011 - 21:03 Un sentiment qui s'impose... Des retrouvailles dans la joie la plus morose
https://www.youtube.com/watch?v=fc0IBXQYD0Q&feature=related (musique 1 du rp) Dans les tréfonds de mon âme des idées se bousculent et la lumière invite les ombres à s'éclipser alors que mon cœur bat... il bat fort mais dune façon saugrenue et maladroite... il bat d'une manière que j'avais essayé d'abolir il y'a de cela fort longtemps... une manière que j'avais tenté d'oublier. Serait-il vain d'oublier l'inoubliable ? Serait-il vain d'interdire le paradis ? Serait-il vain de redouter l'enfer ? Il semblait bien que oui ! D’un cliquetis argenté à la lumière miroitante la réponse martela dans mes veines éveillant mes sens ! Cependant, reprenant mon calme et ma raison supérieure j'amadouai mon âme et mon cœur avant de les dresser avec adresse dans le sens du vent... le vent impétueux et rebelle du destin. Par quel miracle pourrai-je tenir l'espoir et le matérialiser entre mes mains ? Ne serai ce qu'une seule fois d'une prise sec et robuste... je le désire plus que tout car en réalisant cela je pourrai le transformer en réalité... une réalité veloutée aspergée d'allégresse à même d'aspirer à la grandeur majestueuse de cet être qui venait de faire renaitre en moi un sentiment que je m'étai évertuer à sceller. La naissance se fait dans la joie qui instinctivement à peur d’apparaitre, elle me demande alors la permission pour éblouir la raison… elle quémande une bénédiction qu’elle ne saurait admettre pour qu’à cet instant oubliant toute gêne elle puisse s’afficher avec hauteur et volupté ! S’afficher avec grandeur et fierté est depuis toujours son rêve le plus secret… cela m’alloue par le même biais l’intense honneur de détenir les clés ingénues de son bonheur incertain… des clés d’or et de sang qui défient la pureté des fleuves et l’impétuosité des volcans. Briller d’un sourire ardent… Voilà sa supplique incessante à l’intonation haletante, et c’est alors que je me confonds à douter pour enfin sortir de cet océan gracieux et fruité avec une conviction d’autant puissante que révélatrice… Je me surprends à désirer les clés d’un autre cœur… Un cœur qui ne m’appartient pas. Serai-je un voleur avide ou bien simplement un conquérant fier et solide ? Le livre de ma destinée me surprenait alors en flagrant délit voulant obtenir un trésor qu’il n’avait jamais cru désirer. Mes lèvres d’un commun accord adoptèrent un mouvement magique et coloré pour donner naissance à un sourire libérateur que ma dentition vint à allouée… Je dis alors à la joie de se reposer car son secret est préservé… Je dis alors au sentiment de s’assumer car sa naissance est un bonheur inavoué… Je dis alors à mon cœur de se rassurer car cette fois ci je le protégerai et je dis enfin à mon âme de se calmer car c’est avec son encre que j’écrirai ma future destinée. Le temps est un ennemi sournois et trompeur… Il sait faire durer les drames et raccourcir les joies, c’est ainsi que depuis ma séparation douloureuse et accablante il se languissait perfidement faisant passer chaque seconde d’une manière lente, immonde et cruelle. Mon cœur ne cessait de se plaindre de ce drame horrible mais je le rassurai par la promesse de mon frère que je savais infaillible… Après avoir laissé du sang et un message indiquant ma mort derrière moi je portai un masque sur le visage pour cacher mon identité à mon inavoué sort… Personne ne devait savoir que Fujita Kodo était vivant et que par conséquent le vent de la divine vivacité soufflait toujours dans son corps imbus de majesté et de fierté. Autour d’un feu nostalgique mes desseins se dessinaient avec l’encre de l’espoir, et mes sentiments s’affirmaient avec la sincérité du désespoir, j’affichai alors un sourire innocent et pur brisé néanmoins par un fond de mélancolie imperturbable et dur. Cette femme… Oh cette femme… pourquoi je n’arrivai pas à oublier son sourire ? Pourquoi je persistai à lui désirer un somptueux avenir ? Etait ce seulement parce qu’elle était une konohajin ? J’étais prêt à y laisser la vie et donc la question était tout à fait digne d’intérêt… Un jour peut être, la réponse pourrait se dévoiler mais en attendant ce jour là je continuerai à sourire en pensant à son rayonnement lancinant. https://www.youtube.com/watch?v=THNydCP-SXQ (musique 2 du rp ) Le destin est farceur… Le destin est cruel… à l’instant où mes pensées les plus positives chatoyaient l’ombre de la jeune kunoichi, je l’apercevais… je contemplai la fier et élégante femme dans un état abominable … Mon sang ne fis qu’un tour et je ne pensai plus qu’à son secours. Je la pris dans mes bras et si sa vie n’était pas en danger cette étreinte si paisible et magnifique aurait pu durer des mois !!! Mais pourquoi je commence à penser comme ça ? Qu’est-ce qui m’arrive ? Serait ce simplement la nostalgie pour mes chers ninja ? Serait ce simplement la douleur pour cette guerre sans loi ? Ou bien quelque chose d’autre … Quelque chose de bien plus fort… NON !!!! IMPOSSIBLE !!! Mettant de coté ces remarques dont le temps ne permettait point l’analyse je m’attelai à ma tache pour la soigner du mieux que je puisse faire… Assis à son chevet je contemplai la pureté et l’innocence attirante de son facies… Elle était belle !! Cela était indéniable et même trivial. Je m’en voulais tellement… Je m’en voulais de ne pas avoir su les protégés et je m’inquiétai tellement pour les autres… Pour tout les autres villageois qui habitaient mon cœur pour l’éternité !!! Mais je me disais que toshiro devait avoir tenu sa promesse et pour cette raison je ne m’en faisais pas plus que ça. Je restai alors au chevet de l’attirante combattante avec un regard paisible, attendri et soucieux… On aurait même presque pu dire… NON !!! NON !!! Ce n’est pas possible. Le réveil de Juka survint alors quelques instants après et à la vue de fujita elle eu un regard larmoyants avec des larmes qui lui perlaient aux yeux puis elle essaya de se ressaisir avant de s’allonger de nouveau péniblement… contrôlant un petit malaise au cœur du à la douleur de la voir ainsi souffrir je pu dire avec ma voix pure et angélique : « Ne forcez pas trop… Vous êtes encore faible ! J’espère que ça va mieux et que ma présence ne vous importune pas… Je défie cependant ma timidité me permettant d’être un peu brusque et vous demande la raison de votre tristesse si flagrante qui est je l’avoue tout aussi pénible pour moi » Je la fixai alors avec insistance attendant une réponse et lui offrant par la même occasion une tasse de thé… Peut être était il déplacé de souligner mon ressentiment ? Se rendrait-elle compte de quelque chose ? De toute façon je ne pouvais me permettre de la laisser triste… Quelque chose à l’intérieur de mon cœur me l’interdisait et ne pouvait vivre qu’à la vue de son sourire… Ma joie de vivre semblait ne tenir qu’à son bonheur !!! C’était à la fois intriguant et de plus en plus terrifiant… Haruna aurait elle laissé sa place à une autre ? MAIS NON … J’ai déjà dis que c’était impossible… et… et si elle… Enfin, qui sait ?!!! L’avenir nous le dira.
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ ▌Sanction : Aucune
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18 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Mar 1 Nov 2011 - 22:48 Descendante de Narcisse
Ah, Seigneur, Prenez pitié de mon pauvre être, votre enfant.
L e mystérieux être observait la descendante de Narcisse, tandis qu’elle, lentement, de manière minable, se hissa en avant, afin d’utiliser un dernier effort et s’asseoir. Cette personne ... Dégageait quelque chose de familier, qui attristait d’avantage notre Juka, la forçant de se remémorer certains récents souvenirs. Pourquoi il lui faisait rappeller ce jeune homme maintenant ? A croire qu’on la poussait à souffrir d’avantage ... Lentement, gardant son regard vide, laissant place à sa tristesse qui habitait son coeur, elle leva ses yeux au ciel, observant les étoiles. Que le ciel était vaste et beau ... Se trouvait-il à cet endroit, à présent ? Elle n’aura vraiment plus l’occasion ... De le revoir ? De l’étreindre, au moins pour un simple au revoir ? Dieu qu’elle souhaitait qu’il soit en vie, il était si jeune, et sa présence, malgré qu’il la perturbait du haut point, était ... C’était un homme unique.
« Ne forcez pas trop… Vous êtes encore faible ! J’espère que ça va mieux et que ma présence ne vous importune pas… Je défie cependant ma timidité me permettant d’être un peu brusque et vous demande la raison de votre tristesse si flagrante qui est je l’avoue tout aussi pénible pour moi » VIDEO
S on coeur se serra de toutes ses forces et Juka se pinça les lèvres. Mon Dieu, même sa voix lui rappellait Kodo ... Etait-il un élément positif ou le contraire ? Sa présence était si chaleureuse mais cela rendait d’avantage triste la jeune femme, qui se souvenait, de ses maigres fragments dont elle avait la chance d’avoir dans son esprit. Une chance qui la faisait souffrir. Ah, cruelle destinée ... Elle faisait à peine connaissance avec ce jeune homme qu’ils se sont séparés ... Pourquoi la hantait-il ? Pourquoi le destin était si cruel ? Des remords ... Elle aurait dû le rejoindre et le protéger, par n’importe quel moyen. Qu’elle était stupide et sans aucune utilité ... Dieu qu’elle s’en voulait, c’était à lui de vivre. Pourquoi, la vie de cet homme ... Lui tenait tant à coeur ?
Lentement, elle baissa sa tête afin de focaliser ses yeux étrangements gris sur le masque de la présence se trouvant en face d’elle. Son regard exprimait le vide qu’elle ressentait, il semblait si aimable et cette aura paisible la rassurait comme la dérangeait. Il lui tendait une tasse de thé, mais la Kiyomizu hocha lentement sa tête de gauche à droite de manière minable avant de se mettre en avant et retomber péniblement sur ses genoux, en seiza. Pourquoi cet être a-t-il aidé cette misérable ? Son regard se porta finalement vers le feu. Un regard manquant de vie, elle qui l’avait si pétillant. Son corps ... Etait si lourd. Sa main refusait de bouger, comme s’il pesait un certain poids avancé. Son aimabilité a coûté à cet être un temps précieux afin de sauver une Konohajin qui a perdu son propre instinct de survie, perdant son envie de continuer. A quoi bon ... ? La perte de cette personne si chère lui a retiré toutes ses forces. Pourquoi ? Elle s’en remettait de ce genre de pertes, aussi douloureuses qu’elles étaient, alors pourquoi lorsqu’il s’agissait de Kodo, elle ne souhaitait plus avancer, elle sentait que chaque battement de son coeur était douloureux ? Car ils lui étaient destinés ... Il n’y avait pas de doute sur ce point-là.
J uka passa sa main dans ses cheveux, et racla discrètement sa gorge. Son front était brûlant et chaque membre lui faisaient rappeller la dure réalité d’une pauvre minable traversant le désert sans avoir pris le soin de se nourrir. La réalité minable de perdre un être qui apparemment, dans son coeur, différait de la relation des autres. En quoi ? La Kiyomizu ne savait ... Pas. Ou du moins n’avait pas la force de réfléchir.
L e silence était toujours présent et la descendante de Narcisse ne répondit rien face aux dires de l’inconnu. Non pas qu’elle ne le voulait pas, mais son état ne lui permettait pas de réfléchir plus rapidement. Mais non, elle n’était pas ... Faible. La preuve, sa douleur lui rappellait sa survie, et c’était bien ces lourds battements du coeur qui la maintenait en vie, contre sa volonté. Elle était toujours là, alors qu’elle ne le méritait même pas. Finalement, elle inspira longuement afin de faire un effort de répondre.
‘’ Je ... Non. ‘’ Commença-elle, péniblement. Sa mâchoire lui semblait lourde, mais elle regarda de nouveau le jeune inconnu. Bizarrement, sans savoir, cela lui provoqua un énorme frisson parcourant le long de son corps, et elle l’exprima en haussant soudainement les épaules. Il ne la dérangeait pas, mais cette aura familière la faisait mal, aussi douce et chaleureuse qu’elle était.
‘’ Vous ne m’importunez ... Pas. C’est moi qui doit vous déranger, vous vous êtes donnés du mal afin de ... Me sauver. Je suis désolée. ‘’ Sa voix était si faible et si triste, et après avoir prononcé ces paroles, elle posa ses paumes dans le sable afin de s’incliner, lentement mais sûrement, bien bas, à la japonaise, afin de lui présenter ses remerciement et ses excuses des plus sincères. C’est vrai, il avait sûrement autre chose à faire que de soigner cette gueunon inutile ... Juka trouvait qu’elle ne méritait pas cette bonté. Elle essaya de prononcer la suite mais sa blessure au ventre lui faisait mal, et elle se mordit la langue Cette douloureuse plaie lui rappellait cette fichue guerre et, forcémentt, revit le jeune Hokage, lorsqu’ils étaient dans la tour. Allez savoir pourquoi, mais elle décida à se confier envers cet inconnu masqué. Peut-être parce que finalement, sa présence lui faisait rappeller celle de celui qui dominait son coeur, jusqu’à sa voix. Alors ... Elle parla, malgré que le fait de remémorer tout ceci la faisait atrocement mal. Elle n’osait même plus relever la tête à présent car elle voyait de toutes façon flou, et parce qu’elle se sentait honteuse. Honteuse d’avoir pris de son temps et parce que ses larmes refirent surface.
‘’ Ne vous inquiétez pas pour une minable comme moi ... '' Elle soupira longuement et fit sortir finalement ce qu'elle avait au fond d'elle, elle osa enfin.
''Je ... J’aurais voulu ... J’aurais voulu qu’il soit là ... Je ne l’accepte pas ... Je ne me le pardonne pas ! Je ne veux plus continuer ... S’il n’est plus là ... ‘’ S es dents se serrèrent et elle sentit sur son nez couler de chaudes larmes, qui meurent par la suite dans le sable. Elle gardait toujours cette position, penchée en avant, les mains au sol, cachant son visage.
‘’ Je ne sais pas ... Pourquoi il me trouble tant ... Mais je n’ai plus la force sans lui ... ‘’ Elle laissa un suffoquement malgré elle sortir et elle se mordit la lèvre de toutes ses forces. A quoi bon, de toutes manières, que perdait-elle de s'effondrer face à un inconnu ?
‘’ J’aurais dû mourir afin qu’il vive ! Je n’ai même pas pu le protéger !!! Je suis si stupide ... Je ne vaux rien ... Moi qui me complaisais dans le prestige qu’offrait mon sang et mon talent, à quoi bon si je n’ai pas pu être près de lui ? Si je suis incapable de maintenir en vie celui à qui j’ai juré d’être son arme ? ‘’ Si le sabre n’a plus son propriétaire ... Il n’a plus de raison de vivre. Et Juka s’obstinait dans cette idée, de manière très stupide, certainement.
E t là, elle repensa à Kaitaro. Elle l’avait ... Abandonné. Alors qu’ils ont fui ensemble, alors qu’il était là, tout ce qu’elle a fait c’est de lui répondre de manière révoltante et profiter qu’il ait le dos tourné afin de fuir. Fuir pour quoi, et où ? Elle n’avait nulle part où aller ... Nulle part. Sa raison de se battre n’y était plus. Elle était inutile et ne comprenait pas comment il voulait continuer sans leur Hokage. Sur le coup, elle était ... Révoltée et refusait de saisir la chose. Mais à présent, elle repensait à tout ceci et s’est rendue compte qu’elle avait perdu toute sa tête ... Kaitaro, ainsi que Toshiro, étaient forts, acceptaient la réalité et faisaient face afin de pouvoir venger leur ami. Juka ... Elle ne savait pas vraiment elle-même ce qu’elle ressentait. Elle savait qu’elle voulait égoïstement avoir Fujita Kodo avec elle et l’interdire de partir sans elle. Elle voulait qu’il soit en vie et était prête à sacrifier la sienne, comme un chevalier. Chose qui était normale. Mais elle ne comprenait pas, ne comprenait pas pourquoi Kaitaro ne pouvait pas ressentir cette douleur atroce qu’elle avait en elle. Bêtement, elle était persuadée qu’aucun d’entre eux avait aussi mal. A tord, peut-être. Et elle était comme révoltée. C’était un sentiment très bizarre, et probablement destructeur pour un rien.
‘’ Je ne sais pas où j’en suis, je ne comprends pas ce que je ressens, vous savez ... ‘’ Souffla-elle finalement.
‘’ Je ... Je m’en veux de les avoir laissé, vraiment. Mais pourront-ils avancer avec une minable comme moi, qui est définitivement freinée par ce qu’elle ressent à l’égard de cet homme qui prit possession de mon coeur ? Je lui ai promis des merveilles ... Et je n’ai même pas pu le protéger ... Alors pourquoi veulent-ils de moi ? Je ne peux pas ... Je ne peux pas continuer sans lui !!! ‘’ S a main gauche forma un poing, prenant le sable qui était sous ses doigts, comme un anti-stress, tandis que sa vue brouillée voyait péniblement ce minéral prendre une couleur brune sous ses larmes chaudes qui lui faisait mal. Elle pouvait rester ainsi des heures, et c’était peut-être tant mieux pour elle, qu’elle était réduite aussi bas ...
Fujita Kodo ~ Nanadaime Hokage - Chef du Clan Hyûga - Admin ~ ▌Sanction : Aucune
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20 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Mer 2 Nov 2011 - 0:02 https://www.youtube.com/watch?v=pegfLJBIPLk (musique du rp) Une beauté si mélodieuse… une vérité si gracieuse… une perfection qu’on ne saurait décrire… une olfaction sur laquelle je délire… Elle m’enivre et me possède… Elle me délivre et m’obsède… Je ne divaguai pas, j’avais au contraire tout à fait raison, ce que je ressentais envers cette femme était trop fort pour être une simple affection, une simple attirance… C’était plus fort… Beaucoup plus fort. NON !!! Ce n’était pas simplement fort, c’était noble et ça scintillai d’or, mon âme frissonnait d’émoi d’entendre son cœur souffrir et mon être criai d’effroi à voir son âme mourir mais je me retenais, je me retenais pour son bien et pour celui de tout les konohajins. De la honte… De la honte et encore de la honte !!!!! Ce sentiment bas et douloureux me hante !!!! J’ai honte de la faire souffrir ! J’ai honte de l’aimer à en mourir !!! J’ai honte de préférer sa vie à mon bonheur !!! J’ai honte d’être si égoïste que j’en perds la vaillance de mon cœur d’habitude si fort. Oui !!! C’est dis !!! Je l’aime à la folie et chacune de ces larmes pèse sur moi comme une faux en plein cœur. Mes lèvres refusaient de bouger… mon corps tout entier frissonnait, mes mains tremblaient et voulaient punir le destin d’être si cruel, ma bouche tremblait et voulait crier mon amour à l’univers, mes jambes tremblaient et voulaient partir tuer tout l’univers, mon cœur tremblait et voulait appartenir à cette déesse, mon âme tremblait voulant revoir son allégresse… Chaque particule en moi tremblait devant le spectacle qui se dressait devant elle… Une telle tristesse de la part de l’être tant aimé… C’était insupportable. Son odeur si raffinée, son regard qui jadis fut si animé… Je voulais retrouver ce regard… Je voulais le revoir… je voulais m’en délecter… Je voulais le savourer !!! Oh bon dieu Mon cœur bat la chamade… Ma vie défile devant mes yeux en tornade… Des gouttes de sueurs perlent sur mon front… J’ai peur mais je me délecte du moment. C’est quoi cette sensation de vide ? Un trou noir de plaisir avide ! Aurais-je perdu le nord ? Un scintillement qui dépasse la lumière de l’or… Pour la première fois je redoute la mort, mon âme frappe mon corps et je me sens soudain plus fort… Je remercie le destin pour une fois, je respecte son judicieux acte de foi… M’offrir une raison de marcher, je n’aurais pas le droit de le fâcher. Mes yeux se plissent devant cette joie, et un éclair de bonheur frappe mon émoi… Je suis étourdi mais ne désempli pas, c’est une folie avide qui s’empare de moi !!! Je suis égoïste et je le sais mais je ne peux pas la laisser comme ça… Je vais lui dire… Je veux lui dire bon sang !!! ‘’ Je ne sais pas où j’en suis, je ne comprends pas ce que je ressens, vous savez ... ‘’ Souffla-elle finalement. ‘’ Je ... Je m’en veux de les avoir laissé, vraiment. Mais pourront-ils avancer avec une minable comme moi, qui est définitivement freinée par ce qu’elle ressent à l’égard de cet homme qui prit possession de mon coeur ? Je lui ai promis des merveilles ... Et je n’ai même pas pu le protéger ... Alors pourquoi veulent-ils de moi ? Je ne peux pas ... Je ne peux pas continuer sans lui !!! ‘’ C’était incroyablement dur pour moi et mon cœur ne le tôlera pas… La voir ainsi désespérée et triste… La voir ainsi démolie et en larmes… Chaque larme était un tonnerre qui m’électrocutai le cœur et une larme vint rejoindre les siennes sur le sable désormais humide !!! Une larme partagée par le regret de ce que j’ai fait… La honte de ce que j’allai faire… et la tristesse de ce que je voyais. D’un geste rapide et fort je la tenais avec force et émoi et la redressai avant de la pousser entre mes bras… Je la tins fort … SI FORT !!! Je voulais aspirer toutes sa tristesse … je voulais tout transformer en allégresse… Mon cœur battait pour elle, mes yeux perlaient derrière ce masque éphémère !!! Désolé Konoha… Désolé Konohajins mais je vais devoir lui dire… Je vais devoir lui avouer qui je suis … Je vais devoir la faire sourire… Je vais devoir la faire revivre, Car sans elle ma vie n’a aucun sens !!! Pardonnez-moi… Pardonnez-moi !!!!« Pardonne-moi !!! Pardonne-moi Juka !!! Moi aussi je ne peux pas continuer sans toi… Tu es la personne la plus magnifique qui existe alors arrête… ARRETE !!! ARRETE DE ME TORTURER EN T’INSULTANT COMME CELA !!! Je t’en conjure… mon cœur n’en peux plus et mon égoïsme a prit le dessus » Prenant un peu de distance et en même temps avant qu’elle me voit je profitai pour essuyer la dite larme puis d’un geste je retirai mon masque… je lui lançai alors un sourire du fond de mon cœur… un sourire confus mais un sourire sincère :« Je suis là pour toi !!! Et je le serais toujours » Mon cœur battait fort… Il battait si fort attendant sa réaction… J’avais peur et tellement honte mais je gardai mon calme.
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ ▌Sanction : Aucune
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18 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Mer 2 Nov 2011 - 2:30 Descendante de Narcisse
On retrouve une joie ... Douloureuse, car elle purifie par sa salvation.
E t voilà à quoi elle s’est misérablement réduite, cette femme qui était remplie de fierté, ne montrant jamais ses larmes. Elle les laissait chaudement verser sur son visage, devant cet inconnu qui eut le malheur de la croiser. Oui, un malheur, car à présent il écoutait les tristesses que son coeur jouait. Sa gorge se serra et Juka ne put prononcer un mot de plus. Alors elle resta penchée, afin de déverser ses larmes, n’en pouvant plus de les contenir autant. Elle les a caché à Kaitaro, elle n’avait pas le droit de pleurer devant lui ... Elle était censée rester à ses côtés afin de le soutenir, l’aider, mais à la place, cette moins que rien a fui, laissant cet être si cher à son coeur au lieu de l’épauler. Un jeune homme merveilleux, il ne l’avait pas mérité ! Et à présent, que faisait-elle, au lieu de l’aider à surmonter cette grande perte ? Elle a lâchement fui, ne supportant plus cette douleur, cherchant sûrement à mourir dans un coin. Pourquoi cet être masqué l’a sauvé, pourquoi ?! Cela aurait été beaucoup plus avantageux au reste du monde de la laisser mourir dans le désert, mais non, il prit son temps afin de la soigner. Trop de bonté, beaucoup trop de bonté pour elle, qui ne le méritait pas. C’est ce qu’elle se persuadait. Et maintenant, que pouvait-elle faire ? Retourner voir son ami, comme si ne rien n’était ? Non ! Elle l’avait trahi malgré elle, comment fera-elle afin de revenir auprès de lui ? Pourtant, il avait besoin de Juka, il avait besoin d’elle ! Elle ne savait plus quoi faire ... Et comprendrait parfaitement s’il la rejèterait. Dieu qu’elle avait peur ... Dieu qu’elle avait mal !! Comme elle voulait que son Roi soit toujours en ce monde, et tout ceci ne serait jamais arrivé. Elle demandait pardon dans sa tête. Pardon, pardon ... Cela se répétait dans sa tête. Le méritait-elle ? La Kiyomizu elle-même ne saurait le dire. Elle se sentait mal, en plus de cette douleur portée dans son coeur, refusant de faire le deuil, qu’elle ne le fera d’ailleurs sûrement jamais.
Un regret douloureux prit le dessus. Oui, elle n’avait nulle part où aller, dès à présent. Soit, de toutes manières ele ne voulait pas continuer, sans lui. Il lui était impossible. Ses forces furent abandonnées, sa volonté fut violée, dès lors qu’elle a perdu sa raison, tiraillée par la mort de cet être si cher à ses yeux.
S oudain, elle sentit son salvateur s’approcher d’elle, de manière rapide. Que lui voulait-il ? Oh et puis après tout, elle ne le savait pas et ce n’était guère important ... Mais elle n’eut le temps de faire quoi que ce soit que ce dernier la redressa avec force avant de l’attrapper dans ses bras. Surprise, Juka banda ses muscles et les relâcha tout de suite après, ne comprenant pas ce geste, ne comprenant pas ce qu’il voulait d’elle. Etait-ce ses plaintes qui l’aurait autant ému ? Il ne le fallait pas, voyons ! Elle ne le méritait pas ... Et pourtant, cette homme la serra si fort que cela lui coupa le souffle. Elle ne répondit pas à ce geste, ne sachant quoi faire, tandis que ses mains restèrent au sol, comme s’il prenait dans ses bras un vulgaire pantin. Ses larmes s’intensifièrent, car cet être le perturbait. Pourquoi cette aura, pourquoi cette même odeur ?! Ce n’était pas possible, c’était tout bonnement elle qui divaguait et ses douloureux souvenirs qui prirent la force d’une hallucination. Dieu qu’il lui manquait ... A un tel point qu’elle ressentait une ressemblance envers un inconnu. Juka n’osa prononcer une seule parole, et ne savait s’il fallait réagir, que faire ?
« Pardonne-moi !!! Pardonne-moi Juka !!! Moi aussi je ne peux pas continuer sans toi… Tu es la personne la plus magnifique qui existe alors arrête… ARRETE !!! ARRETE DE ME TORTURER EN T’INSULTANT COMME CELA !!! Je t’en conjure… mon cœur n’en peux plus et mon égoïsme a prit le dessus » L a Kiyomizu écarquilla les yeux. Comment ?! Pardon ?! Aurait-il prononcé son prénom ? Elle n’avait pas le souvenir de l’avoir dit, et de quoi il s’est mis à parler ?! Etait-elle en train d’interprêter les paroles bizarrement ? Pourtant non, elle n’était pas sourde non plus, qui était cet homme ? Serait-ce ... Non. Non non non. Juka se pinça les lèvres à cette idée, il ne manquait plus qu’à ce qu’elle espère qu’un mort soit en vie ... Elle devait se faire ... A l’idée. Qu’il était mort. Qu’elle l’a laissé mourir au lieu de le sauver. Que son Roi était ... Etait ...
Qui était-il ? Il ne pouvait pas continuer sans elle ? Cela ne pouvait pas être Kaitaro, il en était certain. Elle connaissait son odeur, elle connaissait la texture de sa peau. Alors qui est cet être qui ce cache sous cette hallucination olfactive qu’elle était en train de subir ? Cet homme qui avait la même aura que lui ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi ? C’était sûrement un rêve qui la narguait, elle qui n’a pas dormi depuis onze ans, la voilà dans le coma, faisant un rêve sans queue ni tête ... Oui, c’étit probablement ainsi. Même son inconscient décida de la narguer, l’incitant à mettre fin à ses jours. Elle n’y croyait à plus rien, et était en train de se convaincre que cet être n’était qu’un souvenir de son Roi errant dans son esprit. Il ne fallait pas croire en ses rêves brisés, car il vous enfoncera d’avantage. C’est bon, elle avait compris !
Alors, elle devait s’oublier. Se laisser faire. La chaleur a atteint sa tête, son évanouissement était celui de trop, sa folie a pris le dessus. Mon Dieu, s’il pourrait l’entendre, qu’il ait pitié d’elle !
VIDEO
E t le doux Seigneur, c’était comme s’il entendit les prières désespérés de la pauvre femme. L’inconnu s’écarta et Juka lui lança un regard interrogatif à travers ses larmes. Que lui voulait-il ? Et qui était-il ?! Cela l’agacerait presque, on ne joue pas avec ses sentiments ainsi ! Comme si elle n’avait pas assez mal comme ça, ce rêve des plus absurdes la narguait. Quelle ironie, quelle tristesse. Elle n’osait bouger et resta à l’observer, tandis que sa main prit le chemin de ses yeux afin d’essuyer ses larmes honteusement sorties.
Que faisait-il ? Sa main se porta à son masque, vraisemblablement décidé à l’ôter. Telle une enfant quelque peu effrayée par la vérité, elle tourna sa tête sur le côté, ne quittant par cet homme mystérieux des yeux. Elle allait savoir, qui était cet homme qui se jouait à prendre la même aura que son Roi.
Le visage apparut, et ... Quelle surprise. Une hallucination, une fois de plus ? Ce fut le visage de Fujita Kodo. La jeune femme cligna des yeux tandis que cet homme se mit à lui sourire, de ce sourire qui la faisait littéralement frissoner
« Je suis là pour toi !!! Et je le serais toujours » E lle n’osa perler un mot. Ses yeux s’écarquillèrent, tandis que ses lèvres s’entrouvraient et se fermaient. Qu’est-ce que cela signifiait ? Elle se sentait ... Bête. Elle était consciente qu’elle avait sûrement l’air stupide. D’un coup, elle se raidit et pâlit, tandis que sa main droite rejoint sa main gauche afin de se pincer. Très fort. A un tel point qu’elle grimaça. Son coeur se serra de toutes ses forces, n’y croyant pas. Que penser ? Que faire ? Elle ne se réveillait point !! Alors ... Alors il était en vie ?! Ce n’était pas en piège ?? Elle ne comprenait pas ... Il était mort !! Il était mort ... Alors comment cela se faisait que cet être se tenait devant elle, lui souriant, lui disant des choses si merveilleuses.
‘’ Ho ... Kage ... Sama ? ‘’ Osa prononcer la pauvre femme perdue, tandis que sa gorge se nouait.
J uka porta sa main au coeur. Dieu qu’il battait fort ! Elle se sentait perdue et ne savait que faire. Elle regarda le sol, et Kodo de nouveau. Serait-ce une blague de mauvais goût ? Non ... C’était pour ça qu’elle ressentait cette aura, qu’elle a reconnu cette odeur ... Il était vivant ... Il était vivant !!
D’un coup, ses yeux se remirent à briller et sa lèvre inférieure trembla. Elle sentait en elle comme un phénix battant de ses magnifiques ailes. Partagée entre le choc, la confusion et un bonheur inexpliqué, elle ne contrôla pas ses gestes et se jeta à son cou. Son étreinte était forte, elle était portante et pleine de sentiments qu’elle éprouvait pour lui. Sa force fut si frappante qu’elle a failli le faire tomber à la renverse. Son corps se colla entièrement à lui, comme voulant qu’elle l’appartienne, l’arme cherchant à trouver son lieu de repos. La guerrière planta l’épée au sol, décidant de baisser sa garde, afin d’offrir à cet homme les sentiments qui la hantait. Une larme, et une autre, perla de ses yeux, la Kiyomizu suffoqua et se se lâchait pour la première fois devant quelqu’un.
‘’ Ne m’abandonnez plus !! Ne me laissez plus jamais !! Jamais !!! ‘’ S’exclama-elle, alors que sa voix tremblait sous ces larmes qui ne pouvaient pas s’arrêter.
P uis, sa raison reprit le dessus, et elle se rendait compte qu’elle était en train d’étreindre son Roi. Surprise par elle-même et honteuse, elle s’écarta immédiatement afin de se remettre en seiza, tandis que ses joues prirent une teinte rougeâtre fougueuse.
‘’ J ... Je ... Enfin ... Excusez-moi. ‘’ Balbutia-elle, complètement perdue, comme ne comprenant pas son propre geste, mettant ses mains devant elle, confuse.
‘’ Je ne sais pas ce qui m’a pris, enfin ... C’est que ... ‘’ U ne autre larme perla le long de sa joue, et soudain, un sourire merveilleux illumina son visage, tel un soleil apparaissant après tant de temps de tempête. Alors oui ... Il était en vie !! Fujita Kodo était en vie ! Elle ne savait que penser, perdue, mais tout ce qu’elle ressentait, c’était une joie presque douloureuse qui embrasait soudainement la dépression qui s’était installé dans son coeur. Ses joues rougies refusèrent de perdre sa couleur, et la jeune femme se mit à sourire presque bêtement, n’y croyant pas. C’était trop beau, trop beau pour être vrai !!
Sa main refit le chemin vers son coeur, avant de monter sur son visage tenant ses joues. Et, se rendant compte qu’elle était sûrement en train de rougir, cela ne lui faisait qu’augmenter les piments sur son visage. La joie était si indescriptible que son corps avait du mal à suivre ses états d’âmes. Passer de dépressive prête à se donner la mort à une jeune femme explosant de bonheur, ce n’était pas chose évidente. Ses gestes devinrent imprécis, et elle était complètement perdue. Mais Dieu que cela lui faisait du bien ... Dieu qu’elle se retenait, qu’elle essayait de contrôler son désir de le reprendre dans ses bras. Elle ne voulait plus le lâcher ... Non ! Pas après le choc qu’elle a subi ! Elle voulait le protéger, et cette fois-ci, elle accomplira sa tâche jusqu'au bout !!
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20 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Lun 14 Nov 2011 - 14:01 https://www.youtube.com/watch?v=jVIO9oZX9Ho (musique du rp) Pourquoi tant de bonheur ? Pourquoi afficher un sourire si radieux face au bourreau qui vous a prélevé le cœur ? Je n’en étais pas digne… Je n’étai pas digne de son visage lumineux, la stupéfaction remportait la bataille des sentiments et je demeurais dans une religieuse contemplation… Une contemplation de la beauté pure… Une contemplation de la joie que je procure… Une contemplation de cette princesse qui fait chavirer mon bateau de bon sens et qui deviendra surement de ma vie l’ultime essence. Une raison d’être ? Etait ce vraiment ce que je venais de gagner ? Ou pourrait-ce être encore plus que ça … Je ne savais pas, pour la première fois de ma vie quelque chose m’échappait et ce sentiment s’intensifia quand elle se jeta à mes bras avec … avec… avec amour ? Son cœur battant la chamade, sa joie folle qui se propage, ses larmes sortant d’une femme qui ne se permettait jamais de les partager… Je ne pouvais le croire ! Elle se cramponnait si fort à moi comme si elle voulait me protéger de la mort elle-même… « Ne m’abandonnez plus !! Ne me laissez plus jamais !! Jamais !!! » Se reprenant après ce moment d’égarement où l’effluve de sentiment démoli les barrières de la hiérarchie elle se rassit traditionnellement avant de dire :« Je ne sais pas ce qui m’a pris, enfin ... C’est que ... » Je lui fis un sourire illuminé venant du cœur et des abysses de mon âme… Un sourire que la guerre, la tristesse et la défaite m’avaient fait oubliés ! Puis reprenant un peu mon souffle pour maitriser cette émotion qui me possédais-je pu fredonner :« Je suis sincèrement désolé de t’avoir infligé autant de chagrin et de tristesse… Je suis toutefois intrigué que tu me considère encore comme ton hokage alors que j’ai échoué dans ma tache… Ce qui est sur c’est que je serais toujous là pour toi. Bon, pour t’avoir infligé autant de souffrance je te dois au moins la vérité sur ce qui s’est passé mais ça devra rester entre nous… Personne ne devra savoir que je suis vivant… JE DIS BIEN PERSONNE !!!!!!! » Son sourire me faisait fondre… Jamais avant cet instant quelqu’un ne m’avait fait autant d’effet et les mouvements de son cœur réchauffaient mon âme qui s’était sentie perdue sans elle. Après avoir alimenté mes dernières paroles d’un regard solide, puissant et sans équivoque… je scruta de nouveau la jeune kunoichi d’un regard paisible, apaisant et doux -qui répondait avec reconnaissance à sa jovialité magnifique - avant de commencer mon récit… Un récit long où elle pouvait savoir tout ce qui s’était passé… TOUT !!! -----------------------------------------------Flashback------------------------------------------------------ Tant d’explosions, de combats et de sang. Tant de haine, d’altercations futiles et vaines se déroulaient sous mes yeux et tout de même je gardais mon sérieux et mon calme de parfait leader. J’enchainais les combats que ma destinée m’avaient allouée mais très vite je me rendais compte que mes victoires n’étaient pas aussi glorieuses qu’elles devaient l’être… mes triomphes n’étaient pas aussi décisifs que je l’escomptai… Décevant… Décevant et encore DECEVANT !!! Toute ma puissance combinée à mon intelligence ne pouvaient protéger ce trésor tant l’ennemi était puissant, organisé mais surtout NOMBREUX !! Je n’avais plus le choix… Ma puissance allait être déchainée au péril de ma vie, je me devais de me fondre dans les limites de l’irréel et de donner tout ce que m’offrait mon corps, mon esprit et mon expérience comme puissance afin de démolir le danger qui hantait ce village. D’un coup j’explosai le plafond puis m’envola dans les cieux avant d’enchainer avec mes attaques les plus dévastatrices et meurtrières vers mes ennemis et ceux de mon peuple… De la haut j’intervenais dans presque tout les champs de bataille aidant mes ninjas à combattre mais en même temps je m’exposai de manière évidente et les attaques à mon égard ne s’arrêtaient pas… Ne pensant plus à la consommation de chakra je me vetisais de mon bouclier d’énergie pure et lançait mes attaques en même temps ce qui eu l’effet de démolir une grande partie du village, de raser un nombre conséquent de champs de batailles mais surtout de montrer une puissance faramineuse… CELLE D’UN HOKAGE !!! Le flux énergétique était gargantuesque et le village tout entier tremblait sous mes assauts mais toute puissance à sa limite… Etait-ce la fin ? J’en étais persuadé, je n’avais plus une seule goute de chakra et je commençais ma chute quand une attaque dévastatrice me prit de plein fouet terrassant mes dernières forces et ma destination était inévitablement le sol. Je voyais devant mes yeux mes amis, l’enfance que je dus mener, la perte de mon clan, ma famille et tous les êtres chers que j’ai pu connaitre … Je voyais devant mes yeux mes ninjas, ceux qui rendaient ma vie si joyeuse et splendide… ceux qui donnaient un sens à mon existence… ceux que je considérai comme ma famille et puis aussi surprenant que cela puisse paraitre je pu apercevoir une image qui englouti tout ce qui la précéda… une image nette et tellement belle… une image raffinée et magnifique !! C’était l’image de…de… « Juka Kiyomisu » ?!! Pourquoi ? Elle avait même enterré le souvenir de Haruna ? Pourquoi je me sentais si fort pensant à elle… Pourquoi je me sentais si attaché à cette vie que j’avais abandonné quelques instants auparavant? Je… Je refusais de mourir, je voulais vivre pour elle ?!!! Mais pourquoi … Oh bon sang pourquoi elle me faisait tant d’effet ? Par quel miracle avait elle conquit mon être et mes souvenirs les plus précieux ? Je devais me lever, la mort n’était pas d’actualité et la faucheuse devrait encore attendre avant de pouvoir m’enlacer.« Un kodo ne meurt pas d’une manière aussi pathétique et ENCORE MOINS SI IL EST KAGE !!! » Mon frère venait d’ôter la vie à un ennemi voulant m’achever et avec conviction, force et détermination il me lança sa réplique cinglante et très bien placée… IL AVAIT RAISON !!! J’étais Fujita Kodo et ma destinée m’imposait l’excellence… Ma nature tendait vers la perfection et j’avais pour obligation d’honorer mon nom et mon titre, je me relevais alors motivé par la fierté et la fascination que m’inspirai la jeune kunoichi qui hantait mon cœur. Mon regard reprenait des flammes et j’étais motivé à combattre jusqu’à la mort… A tuer ces monstres jusqu’au dernier souffle que j’aurais… Si je n’ai pas de pieds j’avancerai avec les mains… si je n’ai pas de pieds j’avancerai avec les mains…. Si je n’ai pas de mains j’avancerai avec ma tête… si je n’ai pas de tête J’AVANCERAI AVEC MON ESPRIT !!!! Je combattrai jusqu’à…aaah…la…la… la fin ? Mon frère m’avait assommé pour m’emmener de force en dehors du village puis dès mon réveil après une bref altercation je lui donnai l’ordre de garder le secret de ma vie et de ne le dire a personne puis de protéger les konohajins jusqu’au dernier… Ca me faisait mal, infiniment mal. Abandonner son trésor et sa famille à la fois… Comment pouvait-on se ressaisir de ça ? La seule chose qui me faisait tenir le coup était la promesse de toshiro de vous protéger et le fait que si je venais à vous rejoindre je ne ferai que vous mettre en danger. Propageant la rumeur de ma mort et la confirmant je restai ici recouvrant mes forces ayant instauré une petite barrière pour détecter les intrus. ---------------------------------------------Fin du Flashback--------------------------------------------------- C’est d’ailleurs cela qui permettait a Fujita d’enlever son masque sans crainte d’être vu par quelqu’un… et c’est aussi cela qui l’amena à la jeune kunoichi… Les souvenirs relatés le jeune homme approcha la kunoichi avant de la tenir avec ses mains… de l’étendre, la couvrir puis de déposer un petit baiser sur sa joue gauche dont la rougeur inspirait aux tomates leur couleurs… Un autre sourire conquit les lèvres de Fujita qui était assis au chevet de juka et qui prononçai alors quelques mots :« N’aie crainte je ne t’abandonnerai plus alors repose toi ma belle juka » Ne la lâchant point des yeux l’ex hokage contemplait ce trésor qui donnait sens à la vie elle-même.
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ ▌Sanction : Aucune
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18 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Mar 15 Nov 2011 - 20:45 Descendante de Narcisse
Le regret, le déshonneur. Le besoin d'expier ses fautes.
E t lorsqu’elle leva les yeux, l’étincelle qui fit chavirer dangereusement son coeur fut ce qui s’est mis en évidence devant ses yeux. Le sourire de cet homme. Ce doux sourire si angélique dont elle se complaisait tant à l’analyser sans relâche. Ah que oui, elle retrouvait, quelque part au fond d’elle, cette sensation de bien être qu’elle éprouvait lors de ces jours heureux à Konoha ... De loin, de très loin. Mais ici ce qui l’importait était cet être se tenant devant elle. Il n’avait pas l’air d’avoir mal pris ce geste, ce qui rassura la jeune femme, soufflant légèrement afin de chasser son petit stress. Tout ce qui l’importait, c’était qu’il était en vie, ce qui lui donnait une certaine sensation de renaissance et en oublia presque ses problèmes qui la turlupinait. Cet être avait ce pouvoir, envers elle, manipulant son esprit à sa volonté, ayant la capacité de chasser tout de négatif rien que par sa présence. Un homme magnifique, merveilleux !« Je suis sincèrement désolé de t’avoir infligé autant de chagrin et de tristesse… Je suis toutefois intrigué que tu me considère encore comme ton hokage alors que j’ai échoué dans ma tache… Ce qui est sur c’est que je serais toujous là pour toi. Bon, pour t’avoir infligé autant de souffrance je te dois au moins la vérité sur ce qui s’est passé mais ça devra rester entre nous… Personne ne devra savoir que je suis vivant… JE DIS BIEN PERSONNE !!!!!!! » J uka secoua énergiquement la tête face à l’excuse du jeune homme. Elle n’était pas en colère contre lui, non ! Pas le moindre du monde. Il était en vie et c’est tout ce qui importait la jeune femme. Ses épaules étaient détendues et ses yeux refusaient de quitter les délicieuses pupilles de son supérieur. Evidemment qu’elle le voyait encore comme son Hokage, et ce sera toujours le cas ! Le seul, à ses yeux, capable de diriger son village, et même s’il n’est plus à la tête de Konoha, dans son coeur, il garde cette position hiérarchique, à jamais. Il était évident ! Quel était ce fou qui a osé prendre possession de leur village, elle n’en n’avait pas la moindre idée, cependant elle savait, de tout son être, qu’il sera incapable d’accomplir la tâche de la même manière, aussi parfaite, que Kodo. Préférant garder cette remarque pour plus tard, son ouïe s’aiguisa d’avantage lorsqu’il lui a annoncé qu’il allait tout lui raconter. Elle lui a tout simplement soufflé qu’il pouvait compter sur elle, afin de ne point répéter. Pas elle, pas l’arme fidèle à son Roi, elle se taira toujours face à ses secrets même les plus profonds. Roulant des épaules, elle se positionna de manière plus correcte en seiza devant son supérieur afin de lui faire comprendre qu’elle est à son écoute.E t c’est ainsi qu’elle a su. Comme elle en était persuadée, il n’était pas caché pendant la guerre, contrairement à Tatsuya qui osait le rabaisser au titre de lâche. Elle le savait ! Ce kirijin avait tord, sur toute la ligne ! Oser la provoquer, lui disant que Kodo ce serait caché au lieu de protéger leur village était une insulte si blessante aux yeux de Juka et en voulait au jeune Umishiro d’avoir dit des bêtises pareilles, sans avoir une once de connaissance. Ah, celui-là ... Elle se souvenait de son regret, avant son départ, de ne pas lui avoir tranché la gorge ... C’était passé de peu, il fallait dire, avant qu’elle ne le tue, il était parti à temps. Et cela alléga d’avantage le coeur de la Kiyomizu de savoir qu’elle avait raison ... Qu’elle avait raison de croire en son Roi ! Ses yeux ne quittaient pas une seule seconde de son Hokage, avalant délicatement chacune de ses paroles, et elle comprenait. Elle cernait la chose de mieux en mieux et comprit comment il a réussi à s’en tirer. Alors, Toshiro était également au courant que le jeune homme était en vie ... Bien qu’elle comprenait, elle lui en voulait quelque part au fond d’elle qu’il ne lui a rien dit. Il était évident des deux côtés, le jeune Kodo ne faisait que de tenir sa promesse, après tout, il n’était point coupable. Personne n’était coupable. A part ces Kirijins, à part cette Mizukage, dont Juka ressent de plus en plus de mépris au fil du temps. Dieu qu’elle haïssait ce village à présent, depuis leur fuite, depuis qu’elle a perdu son contrôle et qu’elle a effectué ce massacre sanglant ... Cela ne lui ressemblait pas de tuer de manière aussi sanguinaire par ailleurs. La jeune femme tourna légèrement sa tête sur le côté, évident de faire des gestes brusques, cherchant à chasser ces images horribles de sa tête, bien que ce n’était pas chose facile, mais les yeux de son Roi apaisa directement son esprit avant qu’il n’eut le temps de posséder son coeur.U ne chose comme d’autres la perturba. Lui ferait-il comprendre que toute cette force qu’il réussit à utiliser, c’était grâce à ... Elle ? Ou aurait-elle mal compris ? Pourquoi aurait-elle été l’élément de la motivation de son supérieur, alors qu’elle n’a joué qu’un rôle bien médiocre dans cette guerre ? Elle aurait bien souhaité le questionner à ce sujet, mais vous savez comment elle est faite et préféra ignorer ceci, le prenant comme une chose normale, car elle était après tout une konohajin dévoué. Elle savait l’amour que ce Hokage portait au village et à ses habitants, et elle n’était qu’un exemple après tout, n’est-ce pas ... ?E lle n’eut le temps d’approdondir ces pensées que son interlocuteur finit son récit afin de la tenir et l’allonger ... Juka se laissa faire, pensant qu’il souhaitait son repos, cependant elle n’avait pas le coeur à ceci, et son visage exprima un léger rictus dû à sa profonde blessure au ventre, malgré que cela allait mieux avant qu’il ne la soigne. Elle s’allongea alors et rougit aussitôt lorsqu’elle sentit les lèvres du jeune Kodo contre sa joue, mais cela la fit sourire, sentant un agréable frisson la parcourir après ce baiser.« N’aie crainte je ne t’abandonnerai plus alors repose toi ma belle juka » M ais Juka ne l’entendit pas de cette oreille. Gardant ce sourire attendri et à présent serein, elle saisit la main du jeune homme et le tint fort ... Très fort, comme cherchant à l’attirer vers elle. Elle l’a perdu une fois, et refusait qu’il s’éloigne d’elle, ne serait-ce que de quelques mètres. Qu’il la laisse le contempler, encore une fois ... Dieu sait ce qu’il en sera des lendemains, alors ce soir ... Elle ne voulait pas qu’il s’éloigne. La Kiyomizu voulait le voir. Elle voulait le sentir, et ne pas le perdre. Dieu qu’elle se sentait apaisée ...‘’ En vous sachant à mes côtés, je suis reposée, Hokage-sama. Cependant, mon sommeil fut perdu depuis fort longtemps, alors ... Vous avoir avec moi est tout ce dont je demande. Vous n’imaginez pas quel poids vous m’avez enlevé du coeur. ‘’ S on doux sourire restait dessiné sur ses élégantes lèvres, cherchant à ne pas le faire questionner concernant son insomnie. Elle avait besoin de parler, d’expier ses fautes. Et il était l’être parfait à qui elle savait qu’elle pouvait le faire sans aucune honte.‘’ Lors de cette guerre ... Je fus ralentie par un kirijin, qui est également un ami. Vous n’imaginez pas à quel point j’ai regretté de ne pas en avoir fini plus tôt. Au bout d’un moment j’étais dans un tel état que j’ai failli le tuer. Quelque part, je m’en veux, comme je lui en veux également ... D’une part parce que j’ai failli lui ôter la vie, d’autre part car j’avais l’impression de ne pas avoir pu servir correctement lors de cette bataille. Je voulais vous rejoindre. Je devais accomplir mon devoir en tant que ninja et s’il le fallait, mourir lors de cette guerre. Je me sens déshonorée et je l’étais d’avantage lorsque j’ai appris que vous étiez mort. J’ai un horrible goût amer après cet événement et je me sens coupable. Je me sens coupable de n’avoir rien pu faire, de n’avoir pas pu protéger Konoha comme il fallait que je le fasse. De ne pas avoir pu me battre aux côtés de ... Kaitaro, et les autres. ‘’ Ce prénom fit un pincement au coeur, sentant encore plus la culpabilité prendre le dessus. Elle n’avait pas oublié qu’elle a quitté Hayashi et abandonné son ami ainsi que les autres fugitifs. ‘’ Je n’ai pas accompli mon devoir. Alors, afin de pouvoir expier ma faute, je demande votre pardon avant tout. ‘’ Elle porta la main du jeune Kodo à ses lèvres et serra l’étreinte de leurs doigts d’avantage. ‘’ Pardonnez-moi ... Et quoi qu’il arrive, vous resterez à mes yeux mon Hokage, celui qui doit diriger Konoha. Je ne sais plus quoi faire de ce côté ... ‘’ Ses yeux se plissèrent et son regard se reporta tendrement vers son interlocuteur. ‘’ Et vous ... ? Qu’allez vous faire, à présent ? ‘’
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20 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Mar 15 Nov 2011 - 22:56 L’amour triomphera du destin !!!
https://www.youtube.com/watch?v=XPHIr9gGWnw (musique du rp) Oh bon dieu… Je visite pour la première fois les cieux. Je confirme il existe un paradis, à la vue de ce miracle j’y suis parti. Un ange de grâce et de lumière, un amas fantasque et non éphémère… La terre tremble par la puissance de cette beauté, la mer est jalouse devant tant de clarté… je reste perplexe devant ce visage velouté, je suis tout simplement envouté. Mes yeux ne peuvent croire cette image qui se dessine au-delà des rivages… l’image de parcelles de joies, qui se sont rassemblé en une seule fois. Le miroitement chatoyant à dicter sa loi, j’en tremble d’excitation et d’émoi… Je suis fier d’assister à ce déluge de grâce dont mon cœur jamais ne se lasse. Je remercie cet être d’exister car il m’a donné envie de résister…. Résister à la mort qui m’attirait d’un courant somptueusement fort… Résister à la dureté de la verité car elle a un gout soudainement plus velouté… Je l’aime et il n’y a plus de doute là-dessus. Elle me tint la main pour me garder à ces cotés… Cette ange à la beauté inegalée puis elle dis le plus simplement du monde : «En vous sachant à mes côtés, je suis reposée, Hokage-sama. Cependant, mon sommeil fut perdu depuis fort longtemps, alors ... Vous avoir avec moi est tout ce dont je demande. Vous n’imaginez pas quel poids vous m’avez enlevé du coeur.» Le sommeil est une denrée rare dans l’esprit des perdus… Mais cette nuit je voulais qu’elle me retrouve et qu’elle SE RETROUVE !! Mais avant tout je me devais de la laisser terminer ces paroles… Ce n’est qu’après que mon espoir decollera du sol pour venir effleuré sa peau et raviver son esprit d’une eau… Une eau si pure et fraiche que l’âme jamais ne séche !! L’eau sacrée de l’amour qui perdurera pour toujours. Mais pour l’instant je tendais mon oreille d’un air concentré et impliqué vers ces lèvres si belles et distinguées :« Lors de cette guerre ... Je fus ralentie par un kirijin, qui est également un ami. Vous n’imaginez pas à quel point j’ai regretté de ne pas en avoir fini plus tôt. Au bout d’un moment j’étais dans un tel état que j’ai failli le tuer. Quelque part, je m’en veux, comme je lui en veux également ... D’une part parce que j’ai failli lui ôter la vie, d’autre part car j’avais l’impression de ne pas avoir pu servir correctement lors de cette bataille. Je voulais vous rejoindre. Je devais accomplir mon devoir en tant que ninja et s’il le fallait, mourir lors de cette guerre. Je me sens déshonorée et je l’étais d’avantage lorsque j’ai appris que vous étiez mort. J’ai un horrible goût amer après cet événement et je me sens coupable. Je me sens coupable de n’avoir rien pu faire, de n’avoir pas pu protéger Konoha comme il fallait que je le fasse. De ne pas avoir pu me battre aux côtés de ... Kaitaro, et les autres. » En souriant je faisais un non de la tête et lui caressait tout doucement les cheveux pour apaiser son cœur tourmenté… Je comprenais ses sentiments car je les partageai mais je savais pertinement qu’elle n’avait rien à se reprocher et qu’elle a combattu de toute ses forces mais elle enchainait de suite en insistant :« Je n’ai pas accompli mon devoir. Alors, afin de pouvoir expier ma faute, je demande votre pardon avant tout. » Elle me questionna alors sur ce que j’allai faire ensuite avec un sourire sincère mais toutefois imbibé de la tristesse qu’impose la culpabilité, c’est alors que je tins sa main avec douceur avant de lui dire :« C’est une erreur que de te croire coupable, tu n’as fait qu’exécuter mon ordre … mon ordre était de protéger le village du mieux possible et de VIVRE … Tu es vivante et tu as même combattu à mort un ami à toi, c’est ce dont une kunoichi puissante, loyale et majestueuse est capable et c’est ce que tu as fais … Alors mon pardon tu l’as déjà accompagné de mes sincères remerciements » Disais-je avec un magnifique sourire. C’était l’heure… L’heure fatidique où je lui dirai tout… L’heure fatidique où elle connaîtra les tréfonds de mon cœur… L’heure finale où je lui donnerai les clés de mon âme… Je ne reculerai pas, je ne l’ai jamais fais et ce n’étais pas maintenant que je commencerai. Des yeux brillants de la pureté du ciel… Un cœur battant au-delà du réel… Un esprit obnubilé par une vision… Un être dévoué à sa passion… Une goutte de sueur suivie d’un sentiment… Une main qui bouge comme dotée de raison… Un cœur qui attrape sa raison d’être… Un contact à la douceur inavouée… les lèvres deviennent les maitres… Enfin !! Un baiser passionné… La main de son bien aimé sur son cœur, les lèvres dans les profondeurs du bonheur… Les secondes deviennent des années en espérant durer l’éternité !!!! Après avoir embrassé ma dulcinée dans sa stupeur j’enchainai : « Entends-tu les battements de mon cœur ? Je le sais… J’en suis sur… J’en suis certain !!! Juka Kiyomizu… JE T’AIME !!! Si un ange comme toi daigne m’accepter je te prierai de ne plus m’appeler par mon nom… Je serai alors fujita pour toi car tu accepterais par le même biais les clés de mon cœur et posséderais le palais de mon âme » Sa main toujours sur mon cœur elle pouvait sentir la profondeur de mes sentiments et la blancheur de ma passion… Mon être était sien, et mon cœur battait la chamade attendant sa réaction.
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18 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Mer 16 Nov 2011 - 1:29 Descendante de Narcisse
Quelle sensation ... Nouvelle. Magnifique comme effrayante.
L e pardon ... Oui, c’est dont ce qu’elle avait besoin. Le pardon de son Roi. De son regard timide mais attendri, elle ne quittait pas des yeux le jeune ex-Hokage, on pouvait sentir une certaine honte dans son regard, comme une douceur indescriptible. Cette douceur qu’elle ne peut s’empêcher d’arborer lorsque Kodo est avec elle. Elle se sentait légère, elle se sentait bien ... Il réussit à créer, comme à chaque fois, comme un bouclier autour d’eux, les protégeant de toute douleur extérieure. Et lorsqu’il est là ... Ce n’est plus qu’elle et lui, face au reste du monde qui est au final vain, s’il n’est pas là. C’est pour ça, c’est pour ça qu’elle ne pouvait voir qui que ce soit d’autre diriger Konoha !
Le jeune homme écoutait attentivement les dires de Juka et lui faisait comprendre par les gestes à quoi il pensait ... Son visage était presque aussi expressif que celui de la Kiyomizu, et chaque geste qu’il pouvait faire, chaque parcelle de son expression était un véritable océan de bonheur qui ravivait la flamme du coeur de la jeune femme. Sa splendeur ne pouvait empêcher aux lèvres de la descendante de Narcisse de dessiner avec soin un doux sourire. Oui, elle était apaisée, et s’est sentie d’avantage après cette confidence. Elle en avait grand besoin.
« C’est une erreur que de te croire coupable, tu n’as fait qu’exécuter mon ordre … mon ordre était de protéger le village du mieux possible et de VIVRE … Tu es vivante et tu as même combattu à mort un ami à toi, c’est ce dont une kunoichi puissante, loyale et majestueuse est capable et c’est ce que tu as fais … Alors mon pardon tu l’as déjà accompagné de mes sincères remerciements » I l le pensait vraiment ? Alors, elle n’avait pas à culpabiliser ? Et là, elle repensa au discours que Kodo fit au nom de tout le village, ce qui calma son coeur, souriant de plus belle. Elle ferma les yeux afin de soupirer longuement. Alors, elle n’avait rien à se reprocher ... Le problème était que Konoha était plus la leur, et ceci ... Même si son supérieur la remerciait, même s’il la pardonnait, elle souhaitait expier sa faute ... De tout son coeur. Et, si cela pourrait être possible ... Lui rendre son poste. Que tout redevienne comme avant. Se racheter. Dieu qu’elle le souhaitait. Les paroles de cet homme lui donnait de la force et elle regagnait une certaine confiance, un certain espoir. Oui, il est possible, avec la force, avec la volonté du feu, et s’ils sont unis ! Elle espérait que ... Kaitaro. Oui, que Kaitaro la pardonne pour son acte irréfléchi et immature. Cependant, sans cette action, elle serait probablement morte de chagrin, Juka en était persuadée, car elle ne l’aurait pas revu, lui ...
S entant sa main bouger, elle entrouvrit les yeux afin de voir son Roi la porter à son coeur. Ce geste fut incompréhensible pour Juka mais elle n’eut le temps de se questionner qu’elle sentit le battement de Kodo ... Son coeur ... Battait si fort ! Cela la surprit grandement, et elle regarda le jeune homme. Pourquoi battait-il ainsi ? Que lui arrivait-il ? Elle sentait que l’ambiance était ... Changée. Etrangère à ses yeux. Sans savoir pourquoi, elle déglutit, sentant qu’elle faisait face à quelque chose qui était, jusqu’à présent, inconnu. Son coeur à elle se mit à battre étrangement fort, sentant comme une certaine adrénaline prendre le dessus de son cerveau. Que lui arrivait-il ? Une sensation qui démange mais qui est étrangement enivrante. Que faire ? Etait-elle censée dire quelque chose à ce moment-là ? Ou tout simplement se ... Taire ? Attendre quelque chose ?
Le jeune Kodo s’approcha étrangement d’elle, ce qui l’étonna bien plus que d’habitude. Son regard ... Son regard ! Il était différent ! Il était ... Plus intense. Qu’allait-il faire, elle n’en savait rien et n’arrivait pas à deviner, à moins que ce soit son coeur qui refusait d’admettre la raison. Et, sans crier gare, le visage de son Roi s’approcha d’elle afin d’effleurer ses lèvres avec les siennes. De nouveau son coeur bondit et sentit qu’elle rougit de manière soudaine, d’autant plus lorsque ce baiser entra dans une cadence plus passionnée.
S ous le choc, Juka ne réagit pas, et elle même ne le souhaitait pas, malgré que ses yeux s’écarquillèrent avant de se plisser instinctivement, savourant ce moment divin. Ses lèvres ... Bon sang, ses lèvres !! D’une douceur abondante, exprimant une fougue et une passion enivrante. Quel merveilleux baiser, Juka s’en délectait malgré qu’elle n’osait bouger. Son corps frissonna, comme si elle attendait ce moment depuis fort longtemps, la douceur était indescriptible comme divine. Qu’est-ce que ... Cela ... Voulait dire ? Elle le saura sûrement, en attendant elle profitait de ce moment si tendre afin de se familiariser avec cette ambiance nouvelle, innatendue, mais ... Sublime. Un bien étrange sentiment, qu’elle n’a jamais partagé lors de son premier baiser. C’était différent, bien différent ! C’était un baiser ... D’amour ? Oui, mais la jeune femme n’a pas pensé jusqu’à ce point-là, comme n’osant pas affronter la vérité, de peur de se perdre dans sa bêtise. Pourquoi, pourquoi il l’embrassait ? Son arme, son serviteur, lui offrant une douceur enivrante, le méritait-elle ? Et la question, aussi stupide qu’elle paraissait, turlupinait dans sa tête si innocente. ‘’ Pourquoi ? ‘’ Etait-ce vraiment ... ?
Ce moment, aussi tendre, magnifique qu’il était, fut court, trop court pour elle. Tandis que Kodo s’éloignait, sans s’en rendre compte, son coeur se serra et son regard le supplia de ne pas arrêter, de revenir ... Quel moment divin ! Bien qu’incompréhensible ... Un sentiment qu’elle avait scellé tout au fond de son coeur, refaisait surface. Quelque chose dont elle avait si peur de vivre, de peur de perdre ... Son père, oui, ce fut son amour pour lui qui le tua après tout ... Etait-ce ceci ? Juka n’en savait trop rien, cela remontait à si loin et son coeur refusait de lui donner la véritable raison, par peur. Oui, cette fameuse peur ...
Leurs regards de ne quittèrent plus et le jeune homme gardait la main de la Kiyomizu contre son coeur. Celui de la jeune femme, elle se rendait compte ... Qu’ils battaient à l’unisson. C’était magique ... Incroyable ! Elle en eut le souffle coupé à un moment mais se reprit aussitôt, voyant que son interlocuteur reprenait son souffle afin de lui parler.
« Entends-tu les battements de mon cœur ? Je le sais… J’en suis sur… J’en suis certain !!! Juka Kiyomizu… JE T’AIME !!! Si un ange comme toi daigne m’accepter je te prierai de ne plus m’appeler par mon nom… Je serai alors fujita pour toi car tu accepterais par le même biais les clés de mon cœur et posséderais le palais de mon âme » L a jeune femme écarquilla les yeux et sous le choc se redressa soudainement, ses phéromones se mirent à sortir de manière plus violente et intense sans qu’elle ne s’en rende compte, s’amplifiant au fur et à mesure et s’imposant de plus en plus autour, se rendant compte qu’au dernier moment qu’en effectuant ce geste, elle se retrouva si près, si près de Kodo que leurs nez se frôlèrent, ce qui la fit rougir encore plus. Son Roi ... Son Roi ?! Il ... L’aimait ? Un haut de coeur violent pris le dessus, elle ne savait que dire ... Depuis quand ce genre de déclarations lui faisait autant d’effets ? Quelle sensation magnifique, quelle sensation divine ... Comme tout aussi effrayante. Oui, elle avait peur d’ouvrir son coeur, elle avait peur de le faire souffrir et qu’il perde la vie, tout comme son père, à cause de son amour ... Elle était maudite après tout, maudite !!
‘’ J ... Je ... ‘’ Ce furent ces seuls balbutiements qu’elle réussit à souffler, d’une part à cause de son choc, d’autre part car sa position la faisait rougir. Oui, l’ambiance était vraiment différente. Une ambiance magnifique qui les rapprochait tant, une ambiance romantique et douce. Malgré qu’elle était consciente que son corps était vraiment proche de celui du jeune homme, que leurs nez se frôlèrent de manière presque provocative, comme l’invitant à l’embrasser de nouveau, tout son être refusait de bouger. Elle avait cette impression qu’elle attendait ce moment depuis si longtemps ... Que c’était étrange ! Elle avait peur, si peur de le faire souffrir. Et finalement, elle savait. Elle savait ce qu’elle voulait elle, il en était sûr. D’une douceur incroyable, Juka entrouvra ses lèvres et pencha sa tête sur le côté afin d’effleurer celles du jeune homme, d’une telle manière que son excitation face à cette situation nouvelle et cette démonstration la fit frissoner elle-même. Son côté aimante était en train de prendre le dessus, était-ce trop dangereux ? Ce contact était divin et si sensuel, et, ne tenant plus, elle se jeta sur ses lèvres d’une fougue enflammée, afin de lui rendre ce qu’il lui a offert, mais de manière encore plus divine. Son bras libre enlaça la nuque du jeune homme, afin d’approfondir ce contact. Jamais elle n’a embrassé ainsi. Un titillement auparavant, comme elle rêvait de le faire, comme elle savait le faire, afin de le récompenser pour ce courage, pour cet amour si touchant, pour ce cadeau magnifique. Finalement, elle cessa, décidément ne pouvant s’en passer, et posa délicatement son front contre le sien, prenant une voix étrangement différente. Elle était plus grave, plus suave, mais si douce et enivrante.
‘’ Fujita ... Etes-vous au courant de mes origines ... ? ‘’ L a main qui tenait celle du jeune homme entrelaça de manière encore plus fusionnelle et elle colla son corps contre le sien, comme ayant peur, si peur ! Que si, cette sensation était présente, elle avait peur qu’il la repousse à cause de son appartenance, à cause de son pouvoir. Et elle resta ainsi, tandis que ses particules héréditaires enlacèrent ces deux êtres, comme cherchant à les unir et à inciter.
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20 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Mer 16 Nov 2011 - 2:23 La fin du commencement !!!
https://www.youtube.com/watch?v=vv5JDZQ-xGo (musique du rp) Quel Baiser !!!! Cet entremêlement entre nos deux êtres fut au-delà de tous les rêves… C’était trop beau pour être vrai ! Un sourire ose alors s’aventurer après cet instant interminable, j’accepte de déposer mes armes sur la table… J’espère voir une réaction, sa vie est une sublimation… Je la regarde… oui ! Elle l’ange qui me garde. Et d’un plissement de lèvre elle me rassure… mon rêve perdure. Je n’ose pas parler, mon maximum c’est de maladroitement la fixer … Je me contente alors d’observer ce que ces gestes veulent insinuer. Des cheveux qui glissent dans le vent et emportent avec eux mon âme… sans effort c’est devenue la reine de mon jeu de dame. Un pas et une cambrure, le vent amoureusement me susurre… Il me chuchote qu’elle est ma muse… et cette mystérieuse réalité qui m’amuse. Je ris de ces mots qui me touchent, il est décidément bougrement farouche. Mon âme parcourt son corps parfait qui me fait vibrer… Je n’en crois pas mes yeux, elle imbibe mon être de feu… Un feu grégeois indélébile qui se mouvoit d’une manière subtile. Après ce baiser divin elle ne pu que balbutier avant que nos nez ne se frôlent amoureusement… Partagerait-elle mes sentiments ? Je l’espérai du fond du cœur et la réponse ne tarda point à m’éblouir de sa grâce inespérée… Oh mon dieu !!!! Ses mains qui m’enlacent… son nez qui se prélasse… ses lèvres qui m’attachent… ce baiser qui me détache… Il m’envoi au-delà des cieux, au-delà des rêves et de toutes les aspirations… La fin du commencement… OUI !!! C’était LA FIN DU COMMENCEMENT !!! Elle avait accepté mon attirance et avait récompensé ma bienveillance… Ma dulcinée était vraiment mienne… cette réalité pleuvait du rêve, une pluie de joie et de bonheur… une pluie de douceur et de candeur. Après ce baiser venu d’ailleurs elle posait son front sur le mien et en déposant son corps sous ma grâce elle fredonna avec la finesse d’un violon : « Fujita ... Etes-vous au courant de mes origines ... ? » Quelle grâce… Quelle délicatesse !!! Quelle douceur !!! Mon prénom visitait enfin ses lèvres et sa voix fredonnait une douce mélodie que mes tympans savouraient avec étonnement. Mes yeux brulaient de passion et le déchainement envoutant de ses phéromones n’y changeait rien… J’étais incroyablement résistant à ces phéromones et ils ne me faisaient pas autant d’effet qu’aux autres… Peut être était ce mes gênes… Etant un kodo, ma famille était connue pour posséder la maitrise ultime du feu mais aussi pour engendrer des guerriers imperturbables à la force mentale aussi aiguisées que leur force physique. Et oui… Je connaissais ces origines et toute son histoire mais ça ne changeai rien… rien du tout et il fallait le lui dire… c’est alors que mes lèvres prirent un autre rôle… Celui de messager : « Oui évidement que je connais tout de toi mon amour… Mais n’oublie pas quelque chose, JE NE SUIS PAS N’IMPORTE QUI !!! Je suis Fujita Kodo et si avant cela tu n’as pas rencontré d’homme pouvant résister a tes phéromones et qui t’aime pour ce que tu as dans ton cœur encore plus que pour ta beauté sublime C’EST PARCEQUE AVANT CELA TU NE M’AS PAS RENCONTRE ! Je t’aime et ma force dépasse toute les malédictions et les sorts… Je t’aime et en connaissance de cause je t’offre mon cœur et mon corps… JE T’AIME MA CHERIE !!! » Je laissais exploser mon chakra et mon aura sous sa forme la plus puissante et écrasante soulevant un vent puissant et anéantissant complètement le champ de phéromones qui nous entourait… La puissance de l’hokage était révélée et la verité de mon amour éclaircie… Avec des yeux remplis d’amour et une aura à la puissance pétrifiante j’enchainai en disant avec mon sourire : « Tu vois ? »
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18 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Jeu 17 Nov 2011 - 20:37 Descendante de Narcisse
Le temps des avoeux ... Le retour des souvenirs douloureux.
A h, quelle douce sensation, merveilleuse comme effrayante prenait le dessus de Juka. Qu’était-ce ? Frissons sur frissons, elle se questionnait et malgré le bonheur qui l’enivrait à la vue de cet être si important à ses yeux, elle avait peur. Si peur ! Des ‘’ et si ? ‘’ tournait dans sa tête, la crainte de le blesser était bel et bien présente. Le destin des Kiyomizu est court et c’est déjà un miracle qu’une descendante de Narcisse de sexe féminin ait survécu jusqu’à un tel âge ... Qui signifie, chez eux, l’âge où le corps sans âme se décomposait déjà sous terre, car la mort les a déjà attrappé par le passé. La question n’avait cependant pas l’air d’avoir affecté le jeune Fujita. Ses traits n’exprimaient ni la peur, ni l’hésitation. Il restait de marbre face à l’appartenance de sa bien aimée. Etait-il au moins conscient ? Conscient du risque qu’il désire prendre, en avouant son amour à la Kiyomizu ? Le risque qu’il prend en la désirant à lui ? Si l’égoïsme, que Juka refusait d’admettre qu’il était bel et bien présent, n’était pas si fort, elle l’aurait repoussé bien malgré son attirance inexpliquée ... Elle était perdue. Ne comprenait rien. Et s’il y avait rien à comprendre, juste à se laisser aller, laisser parler son coeur ? Mais elle l’avait beau l’écouter, elle n’entendait que des échos si faibles qu’elle ne reconnut aucune signification. Etait-elle au moins supposée de ressentir de l’amour envers quelqu’un, en dehors de soi-même ? La malédiction ... La fierté qu’elle ressentait envers son prestigieux clan avait beau être là ... Elle savait toutes les horreurs que son appartenance engendre.« Oui évidement que je connais tout de toi mon amour… Mais n’oublie pas quelque chose, JE NE SUIS PAS N’IMPORTE QUI !!! Je suis Fujita Kodo et si avant cela tu n’as pas rencontré d’homme pouvant résister a tes phéromones et qui t’aime pour ce que tu as dans ton cœur encore plus que pour ta beauté sublime C’EST PARCEQUE AVANT CELA TU NE M’AS PAS RENCONTRE ! Je t’aime et ma force dépasse toute les malédictions et les sorts… Je t’aime et en connaissance de cause je t’offre mon cœur et mon corps… JE T’AIME MA CHERIE !!! » Q uels magnifiques mots que cet ex-Hokage était capable de dire ... Malgré l’entourage fort affectif autour de Juka, jamais elle n’a ouï de si belles paroles à son égard. Un frisson parcourait à chaque exclamation, chaque mot possessif, chaque appellation, cependant, malgré son doux sourire, une tristesse restait en elle. La peur, toujours la peur ! Elle savait, elle savait à quel point cet homme est fort ... Mais ... La force ne faisait pas tout, oh que non ... Elle avait peur, pour lui. Fujita, afin de lui prouver ses paroles, laissa sortir son chakra de manière soudaine qui balaya les phéromones qui les entourait. ‘’ Tu vois ? ‘’ qu’il faisait de sa voix irrésistible, de ce sourire fort charmant. Juka ne pouvait que soupirer, toujours en gardant son sourire, et plissa ses yeux, ne quittant pas les pupilles de son nouvel amant. Ses doigts prirent le rôle de la soie afin de glisser jusqu’à la joue du jeune homme, et caressa d’une tendresse sans pareille. Elle voyait dans son regard la volonté de prouver à la femme de son coeur sa force, son désir, sa résistance ... Et cela touchait profondément la Kiyomizu, qui se pinça les lèvres, attendrie par la frimousse de cet être merveilleux. Son autre main, toujours dans celle du jeune Kodo, entrelaça ses doigts de manière fusionnelle, et caressa tendrement la peau qu’il lui offrait. Une étreinte merveilleuse, un contact divin ... Ce soir-là, dans ce désert, ils étaient les Rois de ces lieux, de cette nuit, dont personne ne pourrait empêcher quoi que ce soit. Quel tableau délicieux ... Ils ressemblaient à deux amants en pleine osmose, l’entente parfaite, des amants cachés comme maintes personnes fantasment afin de vivre comme danger des plus excitants. ‘’ Fujita ... ‘’ Souffla-elle doucement, afin de bien choisir ses mots. Elle comprenait ce qu’il voulait dire, cependant elle craignait fort que certaines choses lui échappèrent. Alors elle devait lui rappeller, ce souvenir horrible qui hante le coeur de la Juka, l’empêchant de dormir depuis onze ans. ‘’ Sono Kiyomizu, vous en avez entendu parler, il en est certain. Mon cher père, puissant, célèbre, redoutable. Savez-vous pourquoi il est mort ? Savez-vous pourquoi je fus éclaboussée par le sang de mon propre paternel, il y a onze ans ? L’amour. A cause de l’amour que je portais pour lui. Notre relation était magnifique, et je fus la seule qu’il aimait en dehors de lui-même. Ce n’est point correct chez nous et ce fut la seule exception de toute l’histoire de notre famille. Un Kiyomizu ... Ne doit aimer personne, à part soi-même. Le narcissisme est la clé de notre grandeur. C’est connu que ce fut ma mère qui planta la lame dans le coeur de mon père ... Mais le pourquoi du comment, à mon avis, beaucoup l’ignorent. C’est moi la criminelle, Fujita. C’est moi qui a tué mon père. Si je ne l’aurais point aimé, s’il m’aurait entretenu par fierté de son sang et non par amour qu’il portait à son enfant, il serait toujours en vie ... Ma mère ne supportait plus le fait que cet homme portait un amour pour moi, et non pour elle. Elle ne supportait plus de voir toutes ces femmes tourner autour de lui, elle voulait qu’il soit à lui, à jamais. Et elle voulait me tuer après, afin de me punir. Les phéromones lui faisaient perdre contrôle. C’est moi aussi qui a tué ma mère ! Mes particules s’intensifient lorsque je perds contrôle, à l’époque je ne savais pas les manipuler correctement ... Et ils attaquèrent cette pauvre femme, qui ne les supporta plus. Elle se donna la mort. Par ma faute. Je suis la seule criminelle de mes parents. Mon père, MON PERE, Sono, celui qui fut connu comme étant intouchable, redoutable, fut tué de manière si puérile, car il eut un moment d’innattention par ma faute ... C’est pour cela que je ne dors plus. Je me sens coupable, Fujita. J’ai peur que pendant la nuit quelqu’un viendra me tuer, par posséssivité, ou par jalousie féminine. J’ai si peur d’aimer, je ne veux pas que des personnes s’en prennent à vous à cause de mon influence ... Vous avez déjà votre fuite à gérer ... Alors qu’est-ce qui me fait dire que personne ne vous poignardera par ma faute ? ‘’ D ans un élan de peur et d’affection, tel un enfant, elle se blottit contre son amant et entoura son bras libre à nouveau autour de la nuque de cet homme. Oui, elle avait peur. Malgré sa magnificense dont elle était consciente, au final on peut dire que le symbole de perfection nh’est que destruction des alentours ... Les doigts de son autre main serrèrent l’étreinte intense, tandis que son visage s’enfouit dans le cou de Fujita, elle avait peur. De son rejet après ces paroles, de sa perte à cause de sa malédiction. Elle n’était pas un être qui avait le droit d’aimer, et elle en était bien consciente. Dieu sait ce qui pourrait bien arriver, à nouveau, si elle brise les lois de la nature et essaye d’y aller à l’encontre, ouvrir son coeur. Elle savait qu’elle n’était pas une Kiyomizu comme une autre, car son reflet n’était pas son seul centre d’attention. Ses amis, elle était si proche, si affectueuse, alors que les êtres de son sang son si froids et méprisent le reste de monde. Et ce jeune ex-Hokage ... Serait-ce l’emmener à l’abbatoir ? Le sacrifier ? Serait-ce une grande part d’égoïsme que d’accepter ces sentiments aussi magnifiques ?
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20 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Sam 24 Déc 2011 - 19:52 La fin du commencement !!!
L'humain est un être compliqué qui a besoin de calme et de stabilité pour raisonner et vivre avec sérénité. Sous la bannière de l'espèrance, il trouve la sécurité qui lui permet de réflechir et l'intérêt d'une vie qu'il croyait absurde... L'espoir est une lumière qu'on se permet d'entrevoir, de contempler et d'affectionner ... On espère alors de tout coeur que cet éclat n'est pas éphémère et que cette vision n'est point un mirage. Regardons devant nous le monde en espérant que demain il sera notre... L'espoir fait vivre ? Il empêche surtout de mourir !!! Se nourir de l'espoir chasse l'ombre pesante du désespoir et projette la lumière de la vie dans le noir. Le destin a abdiqué depuis un moment... Il sait que mon espoir est au firmament, je crois en son existence et tant qu'elle vivra j'aurais l'espoir d'une vie de bonheur car l'amour que je lui porte est basé sur la pureté et l'honneur. Chaque regard que je lui porte confirme la valeur de ma vie et lui donne un sens ... Chaque sourire qu'elle m'adresse m'apprend que le destin n'est pas si cruel. ‘’ Fujita ... Sono Kiyomizu, vous en avez entendu parler, il en est certain. Mon cher père, puissant, célèbre, redoutable. Savez-vous pourquoi il est mort ? Savez-vous pourquoi je fus éclaboussée par le sang de mon propre paternel, il y a onze ans ? L’amour. A cause de l’amour que je portais pour lui. Notre relation était magnifique, et je fus la seule qu’il aimait en dehors de lui-même. Ce n’est point correct chez nous et ce fut la seule exception de toute l’histoire de notre famille. Un Kiyomizu ... Ne doit aimer personne, à part soi-même. Le narcissisme est la clé de notre grandeur. C’est connu que ce fut ma mère qui planta la lame dans le coeur de mon père ... Mais le pourquoi du comment, à mon avis, beaucoup l’ignorent. C’est moi la criminelle, Fujita. C’est moi qui a tué mon père. Si je ne l’aurais point aimé, s’il m’aurait entretenu par fierté de son sang et non par amour qu’il portait à son enfant, il serait toujours en vie ... Ma mère ne supportait plus le fait que cet homme portait un amour pour moi, et non pour elle. Elle ne supportait plus de voir toutes ces femmes tourner autour de lui, elle voulait qu’il soit à lui, à jamais. Et elle voulait me tuer après, afin de me punir. Les phéromones lui faisaient perdre contrôle. C’est moi aussi qui a tué ma mère ! Mes particules s’intensifient lorsque je perds contrôle, à l’époque je ne savais pas les manipuler correctement ... Et ils attaquèrent cette pauvre femme, qui ne les supporta plus. Elle se donna la mort. Par ma faute. Je suis la seule criminelle de mes parents. Mon père, MON PERE, Sono, celui qui fut connu comme étant intouchable, redoutable, fut tué de manière si puérile, car il eut un moment d’innattention par ma faute ... C’est pour cela que je ne dors plus. Je me sens coupable, Fujita. J’ai peur que pendant la nuit quelqu’un viendra me tuer, par posséssivité, ou par jalousie féminine. J’ai si peur d’aimer, je ne veux pas que des personnes s’en prennent à vous à cause de mon influence ... Vous avez déjà votre fuite à gérer ... Alors qu’est-ce qui me fait dire que personne ne vous poignardera par ma faute ? ‘’ Je respectais cet homme et lui vouai une reconnaissance prononcée d'avoir mis au monde cet ange de beauté ... Cette exception de volupté ! Mais je me connaissais, et je n'avais jamais considéré qu'un homme puisse m'être supérieur alors je savais de ce fait que s’il y avait quelqu'un qui puisse la protéger et lui vouer un amour sincère et infinie sans avoir peur ce ne pouvait être que moi ! Mon amour pour elle n'avait point de limite, les anges eux mêmes perturbés essayent de comprendre et nous imitent ... Mais notre union est bien plus forte, l'aura fusionnelle qui nous unit et nous protège dépasse l'entendement des cieux ... Je l'aime et ni le danger, l'incertitude, le manque d'espoir ou la peur ne m'éloigneront d'elle ... La seule manière pour que je la quitte serait de l'entendre me l'implorer ... Jamais je ne pourrais abandonner cet être imbibé de grâce qui m'a sauvé de ma disgrâce et m'a inculqué le véritable sens de la perfection !!! Je l'aime et c'est notre amour qui triomphera... Je ne faiblirais jamais !!! Je n'abdiquerais jamais !!! Je suis trop entiché pour succomber comme ça. << Ecoutes mon ange ... Je n'ai peur de rien et je ne veux qu'être tien !!!! >> Une main qui s'élance et attrape la silhouette énergetiquement ... Des caresses faites de tendresse dépassant l'entendement ... Des levres qui s'entrechoquent passionément ... C'est la magie de l'amour qui opère et la romance des Dieux qui se manifeste. Ce soir n'était pas comme les autres ... Il était le notre !!! Profitant pleinement de ces instants j'appréhendais sa réaction.
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18 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Mar 27 Déc 2011 - 17:41 Descendante de Narcisse
Le vent du désert Annonce leur romance jusqu'au bout d'un autre ailleurs.
S e mêlant à son odeur qui ne fait que de la rassurer, elle huma son cou, profiteant de cette étreinte, le fait qu’elle se blottit ainsi contre lui. Elle avait une frayeur en elle et refusait catégoriquement de faire souffrir le jeune homme. Cela aurait été cruel, beaucoup trop cruel, un acte égoïste et au final elle porterait de ce côté-là bien le nom de son clan. Des êtres ne pensant qu’à eux, se moquant du destin des autres. Mais Juka est différente, elle a des sentiments pour son entourage ! Elle adore ses amis, elle affectionne de manière bizarre l’ex Hokage d’un sentiment qui lui échappe contrôle, à moins qu’elle refuse de se l’avouer ... Ce genre de choc est bien étrange bien que peut-être logique, ou peut-être pas, mais avant ceci elle devait se remettre en question, se remettre à propos de sa ‘’ malédiction ‘’ comme elle se plaisait à dire. En vérité, elle même ne savait pas quoi en penser, et finalement, devait-elle vraiment réfléchir ? Ou seulement ... Se laisser faire ? Etait-ce raisonnable ? Pourrait-elle vraiment se mettre en couple un jour, sans faire souffrir la personne ? Pourrait-elle tout simplement avoir le droit d’aimer ? Ou même savoir ce que c’est ? Juka est un véritable enfant concernant ce genre de sentiments, comme le refoulant au fond de soi, par simple peur ... Pourtant, c’est simple d’écouter son coeur, et pourtant c’est difficile pour la jeune femme, qui se sent de plus en plus perdue ... Ils ne devraient pas être en couple, mais son corps se laisse faire par cet homme ... Ils seront en couple le jour véritable où elle se sentira prête, mais pour rien au monde, elle ne voulait négliger cette tendresse, ces baisers, cette affection, donnés par tant de passion et d’amour ... C’est pour cela qu’elle ne dit rien. Elle ne dit rien pour le moment. << Ecoutes mon ange ... Je n'ai peur de rien et je ne veux qu'être tien !!!! >> L ’homme semblait être prêt à prendre tous les risques, au péril de son bien-être ... Juka, à ces mots, sentit un haut de coeur et un profond attendrissement par la suite. Ah, ces mots doux, le premier qui lui en fit, c’est tout compte fait une petite attention des plus touchantes.. Ses yeux exprimaient la vérité, sa force, et pourtant elle continuait à avoir peur pour lui ... Ce serait injuste, trop injuste de lui faire du mal ... Mais vu sa situation, de toutes manières leur relation ne se saura pas, et elle prendra son temps afin de réfléchir, enfin ... Si elle aura vraiment du temps à cela, en tant que nunkenin ... Car actuellement elle devait surtout penser à sa survie, à celle de Fujita, ainsi que ceux qui sont avec eux. Vivre dans l’interdit, dans le danger ... N’est-ce pas un fantasme de tout être, souhaitant endurer cet amour ? Pourtant, Juka le refusait et s’imaginait ne pas subir à l’amour jusqu’à son dernier souffle. De plus, Kaitaro ... La descendante de Narcisse ne put aller plus loin dans ses pensées, que l’ex Hokage l’attrappa par la taille soudainement afin de lui offrir un baiser des plus passionnés ... Juka frémit et ne put que sortir un court gémissement de surprise, avant de se détendre et se laisser faire. Au final ... Elle était fatiguée de trop réfléchir ... Et refusait de passer à côté de ce que Fujita lui offrait. Elle avait des sentiments, cela est certain, comme elle avait des sentiments pour Kaitaro, et c’est bien cela qui la rendait confuse. Etait-ce de l’affection bien plus avancée ? Non, c’était quelque chose de bien plus fort ... Infiniment plus fort qu’une simple amitié. Et ses réactions devant cet homme ne faisaient que de confirmer ceci. Le coeur qui bat vite, les mains qui deviennent moites, ces frissons, cette sensation, oh cette sensation ... Serait-ce de l’amour ? Succomberait-elle à ce que ses pouvoirs sont censés offrir aux victimes ? Le désir, également ... ? Elle n’en savait trop rien ... Et est-ce que cela était si important au final ? Elle devait juste se laisser bercer par cet homme, par la volonté de son coeur. Le plus important est la merveille qu’ils sont en train de vivre. Alors Juka décida de ne plus penser, plus à rien ... Et se laissa aller par le rhytme qui dictait l’amour de cet homme à son égard. Se blotissant contre lui, elle finit par répondre à ce baiser, glissant sa main dans la nuque de l’ex Hokage, et de par la fatigue de se tenir dans cette position, dans cet état, se laissa s’allonger dans le sable, le tirant vers elle le plus innocemment du monde. Le vent de nuit, du désert, tiède et apaisant, rassurait ces deux êtres. Fujita se retrouva alors au-dessus d’elle et finalement, la Kiyomizu, rassurée, ne voulant plus être tiraillée, lui adressa un sourire tendre, plissant les yeux, attendrie par son doux visage. Quelle candeur ressortait de ce minois irrésistible, qui aurait cru que derrière cet air angélique pouvait sortir une véritable femme fatale, avide de ressentir le désir ? Elle le tira à nouveau afin d’attraper ces divines lèvres et lui offrir toute la splendeur qu’il n’aurait pu imaginer. Un sentiment bien spécial, et adulte ... Tout en la faisant sentir enfant à la fois. C’était merveilleux, comme troublant. Mais qu’il en soit ainsi, de par ces gestes elle attirait son amant à elle, désireuse de lui offrir les splendeurs de ces sentiments.
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20 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Jeu 29 Mar 2012 - 4:58 https://www.youtube.com/watch?v=tg00YEETFzg&ob=av3e (musique du rp) Un mirage inespéré et une douceur divine si longtemps rêvée… Une olfaction pure et parfaite nous reliait et dans des mouvements doux, passionnels et incroyablement sensuels on se mouvait dans cette étendue désertique… Deux regards qui se taquinaient… Deux corps qui se frôlaient… Deux cœurs qui se désiraient. Elle avait accepté mon amour et ces secondes qu’on passait ensemble semblaient durer une éternité… C’était si beau, si magnifique… Si parfait !!! J’aurais aimé rester en sa compagnie ainsi toute ma vie durant tellement son toucher était magique… Tellement sa présence était idyllique. C’était la femme de ma vie sans le moindre doute possible et ses mouvements doux et innocemment taquins me faisaient fondre. Son gémissement était si féminin, si excitant et si naturel… Tout en elle me fascinait et ces moments qu’on passait dessinaient mon sourire et c’est alors avec amour qu’on s’échangea des baisers passionnels et des caresses venues d’un autre monde. Geste après geste, je la transportai dans mon monde… Geste après geste, elle le conquérait avec tyrannie… Geste après geste, elle prenait possession de mon esprit et mon cœur… Geste après geste, elle s’assumait reine de mon être. Elle se cambra alors avant de s’allonger avec grâce sur le sable, je n’hésitai donc pas un moment à la rejoindre et de m’allonger sur elle assurant l’ambiance de caresses révolutionnaires et de baisers passionnels. Je l’embrassai partout soufflant parfois avec douceur et romantismes dans des parties sensibles gardant un sourire ravageur caractérisant ma prestance. « Merci de me rendre heureux… haha… Wow » Je lui caressa alors les cheveux me mettant de coté puis commença a la fixer avec persistance… Mes yeux dans les siens et mon cœur sautillait de joie comme un enfant dans un parc d’attraction. Qu’elle était belle… C’était un miracle d’entre les miracles et j’étais sacrement chanceux de pouvoir y assister ! Parcouru par une onde d’envie je l’embrassai langoureusement la caressant de part en part brisant sa résistance dans une vague d’amour et de désir… Je la pourfendais de sensualité aguicheuse… Je la gouvernais avec une vague de chaleur éprise… Eprise de cette œuvre d’art étonnante. Je l’attrapais alors ensuite la tirant avec douceur et passion vers moi alors que je m’étendais a mon tour sur le sable, j’apposai sa tête contre mon torse puis mis mes deux mains derrière ma tête et commença a contempler les étoiles… Que ce soit celle dans le ciel où celles qui résidaient dans les yeux de ma bien aimée. Après une nuit inimitable qui subjuguait mon émoi et dépassait le seuil de mon imaginaire je me réveillai avec mon amoureuse dans mes bras… Avec un sourire innocent et niais je la contemplais joyeusement puis avec des petites caresses je la réveillai… Ouvrant doucement ces yeux elle m’ouvrait un monde de magie et me regardant avec un sourire magnifique elle me faisait visiter des nuages d’amour infini. Je lui expliquai alors l’utilité de mon sceau qui lui permettra de savoir où je suis… A quelle distance et dans quelle direction… Elle était consentante et c’est donc avec beaucoup de tact et de soin que j’apposai mon sceau sur son omoplate et quand j’eu fini je destinai a cette partie là un petit baiser ampli de douceur et de raffinement. Je lui caressai alors une dernière fois les cheveux me résignant avec sagesse au fait qu’elle devait partir et lui dis avec éloquence : « Tu peux y aller maintenant, et sache qu’il te suffira d’activer ce sceau pour savoir où je suis… En plus, j’essayerai de suivre vos mouvements le plus possible pour vous protéger… Prend soin de toi et promet moi de réussir… Je t’aime ! » Je clôturai mon discours avec un baiser langoureux et sincère suivi d’un sourire coutumier mais charmeur.
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18 ans Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo] Ven 30 Mar 2012 - 3:24 Descendante de Narcisse
Des adieux douloureux, Mais des souvenirs et l'espoir.
A mbiance rosée, des gestes méditant sur la sensualité ... Plus le temps passait, ressentant cette étrange chaleur l’envahir, ses paumettes si fines prirent une teinte nuancée, Juka se sentait comme emportée. Sublimes sensations, des frissons indéfinissables, toute cette douceur qu’elle n’a jamais pu découvrir auparavant. L’Hokage déchu suivit l’invitation de sa bien aimée et finit par s’allonger sur elle afin d’enchaîner, encore et encore, ces baisers faisant perdre la raison à tout être. La vie ... La femme ressentait la vie à travers ces chaleurs qui s’intensifiaient ! Brûlante de désir malgré elle, sentant son corps qui lui chuchotait des choses bien obscènes, elle se cramponnait avec passion contre le corps de cet homme qui lui faisait visiter les plus beaux nuages existants. Que signifiaient-elles, ces caresses ? Maintes personnes sauront répondre, peut-être à tord penseront-ils qu’ils finiront ainsi. Collant son corps contre le torse de cet homme, elle lui offrait tout ce dont il désirait ... Et sentant des caresses d’avantages coquettes, la jeune femme se mit à parcourir timidement mais sûrement le corps de son amant, profiteant de chaque instant comme s’ils seront les derniers. Juka avait chaud ... Quelle était cette chaleur, cette sensation ? Son regard même se mit à changer sans crier gare, passant de coquetteries à un certain désir ardent. Une Kiyomizu, condamnée dans ses propres pêchés qu’ils se plaisent à étendre telle un nuage de gaz au reste du monde ? Cruelle plaisanterie. Elle n’est point hérétique, mais aimée et aimante. Elle a toujours tant à donner, et cet homme pourrait vandaliser son âme des infinies de fois. S urprise par elle même, Juka découvrit un nouveau souffle entre deux baisers. Oui, un souffle chaud et haletant ... Un effet explosif qui se mélangea à son coeur qui battait la chamade de par ces contacts affreusement excitants, menant à la tentation. C’était une femme, une véritable femme qui s’adonnait à l’amour que l’homme vivait. Un souffle qu’elle eut par ailleurs du mal à finir, de par ces baisers de cet homme qui se mirent à la parcourir, et à nouveau un gémissement tendre sortit en souffle de ses lèvres, avant de regagner celles de son doux amant. La tête vide, au final le reste du monde n’existait plus lorsqu’il s’agissait de plonger ne serait-ce que son regard dans les yeux de cet homme. Pour Juka, le monde n’est rien sans lui. L e jeune Kodo finit par s’allonger sur le côté et son amante le suivit, et une fois allongée afin qu’ils puissent se voir, les yeux plissés, un sourire aux lèvres, les paumettes rosies, elle le regardait. C’est incroyable de voir à quel point elle change à ses côtés. De cette femme impitoyable que cette guerre et la prise de pouvoir, leur désertion, ont fait de Juka une femme froide, abbatue par sa propre patrie, elle se retrouvait comblée à ses côtés. Et ce dernier la regardait, de cet air enfantin que la Kiyomizu ne s’en lasserait jamais, ce qui la fit d’avantage sourire ... Puis il finit par la tirer soudainement vers lui, et toujours de ce dessin des plus attendrissants sur ses lèvres, elle le suivait sans protester ... Il finit par s’allonger sur le dos et poser la tête de son aimée sur son torse, désireux d’admirer les étoiles. Un enfant doté d’un coeur des plus grands. Juka profitait encore de ce contact, et soupira de soulagement. Quelle divine soirée ... Au fur et à mesure que le temps passait, la nuit appellait ses enfants à rejoindre les rêves ... Et c’est avec grand plaisir que l’amante regarda l’ex Hokage s’endormir paisiblement, ne le quittant pas des yeux, bien trop attendrie par cet homme afin de dévier le regard. Et finalement, afin de mieux profiter de ces instants, elle clot ses paupières, non pas pour dormir, mais pour se souvenir, encore et encore. Des heures passèrent, jusqu’à ce que le soleil vint caresser les doux amants. Juka ne fit rien, voulant encore profiter de cet instant, mais sentant de douces caresses à nouveau lui parcourir le corps, elle finit par lentement ouvrir ses yeux avant de les plisser directement. Elle s’était tout bonnement bien habituée à la nuit. Elle finit par sourire et s’approcha de Fujita afin de lui déposer un doux baiser sur ses lèvres, visiblement commençant à s’habituer, lentement mais sûrement, à cette relation nouvelle qu’ils vivent.L ’Hokage déchu se mit à lui parler à propos d’un sceau ... Juka pencha sa tête sur le côté, l’écoutant, et c’est en comprenant le but de ce jutsu qu’elle se rendit compte avec douleur d’une chose – Elle ne pouvait pas rester ... Il est vrai. Sa place n’était pas de suivre cet homme en ermite, mais bel et bien aux côtés de Kaitaro, Toshiro et leurs compatriotes en cavale avec eux. Du moins c’est ainsi, pour l’instant. Baissant son regard, elle essayait de déglutir, ayant du mal à s’imaginer à nouveau loin de lui suite à toutes ces histoires, mais finit par lui sourire tendrement, refusant de l’inquiéter, et hocha la tête, l’explorant de son regard tendre. Evidemment que cela ne lui dérangeait pas, bien au contraire ... Et ce, jusqu’à la mort de l’un des deux. Il désira de s’atteler à la tâche immédiatemment, et choisit l’omoplate. Sans dire un mot, d’un geste lent mais certain elle se retourna afin de se mettre dos à lui et d’un geste, élégant, elle fit glisser la soie de ses épaules jusqu’en bas du dos, et se retrouva alors en bandages. Juka finit par porter sa main à ces derniers et les désserra de beaucoup, relativement assez afin que Fujita ait toute la place pour poser son sceau. Une fois la chose faite, la jeune femme sentit les lèvres de son Hokage se poser à la zone travaillée, chose des plus agréables qu’elle en frissonna. Voilà la chose faite, elle pouvait reserrer ses bandages, se rhabiller. Les doigts de cet homme parcourait la chevelure de la Kiyomizu, et elle se laissait faire, retenant tout bruit suspect, mais priant intérieurement de faire durer ce moment. Malheureusement, pour cette fois ses prières de furent pas entendues cependant ...« Tu peux y aller maintenant, et sache qu’il te suffira d’activer ce sceau pour savoir où je suis… En plus, j’essayerai de suivre vos mouvements le plus possible pour vous protéger… Prend soin de toi et promet moi de réussir… Je t’aime ! » F ujita saisit encore une fois les lèvres de son aimée pour lui offrir un baiser qu’elle devrait retenir. Ne voulant quitter ce moment, Juka le regarda, retenant les larmes qui se rebellaient, désireux de se montrer. Cela faisait mal, si mal de le quitter ... Et elle savait que ce sera difficile. Cependant ils font tout ceci pour cet homme se trouvant justement en face d’elle, alors elle devait, elle devait les rejoindre. Sachant qu’il allait lui manquer affreusement, elle prit doucement le tissu de vêtement de Fujita afin de le tirer rapidement vers lui, et à nouveau, un baiser si passionné ... Et encore un, elle ne se faisait pas à l’idée de le laisser. Elle s’inquiétait pour lui ! Elle finit par se coller complètement à lui afin de le prendre dans les bras, lui offrant avec force toutes les douceurs du monde.‘’ Je vous promets que je retrouverais les garçons ! Et par la suite, on mènera jusqu’à victoire certaine, c’est en vous revoyant que je vis l’évidence à ce propos. On survivra et on reviendra à Konoha tous ensemble, avec vous. ‘’ Elle finit par se relever, lui vola un dernier baiser en route et le tenait par le menton, tandis qu’elle se mit à s’éloigner. ‘’ Tout ceci est une promesse, Fujita ! Et je vous supplie de prendre soin de vous ... ‘’ S es doigts glissèrent délicatement du menton afin de le libérer, et Juka fit face au vent, afin d’aller enfin à destination – Suna. Mais au dernier moment, elle se retourna, un sourire étrangement gêné aux lèvres et un air désolé, elle lui demanda par où fallait-il y aller pour rejoindre ce village. Après les éclats de rires et taquineries, elle finit par avoir la réponse, et se retourna à nouveau comme héroïque et forte, mais cette fois-ci pour de bon. Sa silhouette finit par disparaitre parmi les ondulations que fait cette chaleur du désert. Le coeur lourd mais plein d’espoir, elle souhaitait lui redonner ce qu’ils possédaient tous auparavant ... Mais en attendant, attendre les garçons était prioritaire.
Sujet: Re: Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo]
Se laissant mourir par le chaos, l'être voit au loin une douce lumière. [PV Fujita Kodo]
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