A mour maternel impossible
Flash back, onze ans en arrière. Juka a sept ans, enfant de Sono et de sa femme Aiyami. Dans ce RP, vous saurez ce qui s’est passé durant la nuit sanglante, la nuit du fameux ‘’massacre des Kiyomizu’’, qui a fait tant de bruits à Konoha.
C’était la fin. En un soir, à cause de l’amour qu’un enfant portait dans son cœur pur, deux personnes perdirent leur vie. Etait-ce de sa faute ? Etait-elle une criminelle, la coupable … ? Des remords, des questions, de la haine … Tout se mélangeait dans sa tête, ne pouvant comprendre, la petite, sortant de sa résidence, le visage tâché de sang de ses parents, traîna les pieds et leva les yeux au ciel, défigurés par les larmes. Ne tenant plus sur ses jambes, ses genoux tremblèrent avant de tomber à terre. Un flot de larmes, de désespoir, l’enfant maudit regarda ses mains, voyant des gouttes tomber à terre. Ses pleurs se mélangèrent avec la pluie qui commençait à tomber abondamment. Elle ne savait plus quoi faire. Elle ne s’est jamais autant haïe de toute sa vie. Relevant la tête, l’estomac serré, le cœur battant, elle hurla de toutes ses forces, regardant le ciel, comme si elle espérait de tout son cœur que quelqu’un, n’importe qui, quelqu’un de là-haut l’entendrait. Un signe, de l’aide, elle en avait besoin plus que tout … Elle avait besoin des bras de son père. Retournons un peu en arrière, vers la matinée, dans la grande résidence des Kiyomizu, pour comprendre ce qui s’est passé. Un bruit sourd résonna dans le salon, une claque plus précisément. Juka tituba et tomba à terre, se tenant la joue, elle leva ses yeux pour regarder sa mère, ne comprenant pas. Qu’a-t-elle fait encore … ? Elle n’a jamais compris pourquoi cette femme ressentait autant de mépris envers son enfant. La petite, pourtant, l’appréciait beaucoup et essayait de tout son cœur de le lui faire comprendre …‘’ Ne t’approches pas de moi ! ‘’ Siffla froidement Aiyami entre ses dents, regardant Juka. ‘’ Combien de fois t’ais-je dis de ne pas me toucher ?! Tu voles mon énergie vitale, tel un vampire, je sais que tu me détestes, alors pourquoi me suis-tu ?! ‘’ Juka déglutit, retenant ses larmes. Non, elle ne devait pas pleurer … Surtout pas ! Pas devant Aiyami, cela ne lui ferait que trop plaisir … L’enfant fixa sa mère, ne comprenant absolument pas sa réaction. Elle voulait juste l’enlacer avant de partir à l’école des kunoïchis … Pourquoi la femme réagissait ainsi ? C’est tout simplement que, parce que ce n’était pas une Kiyomizu, elle ressentait les phéromones de son enfant et, affectée, elle sentait alors du mépris à l’égard de sa fille. Mais ce n’était pas la seule raison. Le fait qu’elle ne recevait pas d’amour, ni un geste de tendresse de la part de son mari était également la raison. De plus, cerise sur le gâteau, Juka, elle, recevait toute l’attention possible de son paternel. Et c’était la seule à avoir pu briser la froideur de ce dernier, étant chaleureux qu’avec son reflet, regardant les autres de manière hautaine, se demandant comment des insectes aussi minables pouvaient exister, alors que sa beauté seule embellissait tout Konoha, et encore plus depuis l’existence de sa tendre progéniture, qu’il aimait autant que lui. Soudain, les yeux de Aiyami s’écarquillèrent, elle tomba à genoux, tremblante, les larmes montèrent à ses yeux. Juka se figea, regardant sa mère, n’osant même pas s’approcher d’elle pour l’aider, de peur de recevoir un autre coup de sa part. Que se passait-il … ? Entra alors dans la pièce un homme d’une grande beauté, avec un kimono masculin noir, brodé de tissus d'or, ouvert aisément au niveau de son torse. Un homme avec des traits fins qui dessinaient gracieusement son visage, ses cheveux effilés et argentés se tenant sur son crâne, tombant un peu sur son front. Les bras croisés, un air entre blasé et énervé, il s’avança lentement vers la femme. Une aura incroyable émanait de lui, pourpre et puissante, magnifique, sensuelle mais imposante. Les phéromones. L’éclosion de Narcisse, au niveau maximum. C’était Sono Kiyomizu, le père de famille, le descendant de Narcisse, respecté, redouté, aimé ou détesté, tout dépend du sexe. S’arrêtant à côté de sa femme, il la regarda, haussant les sourcils, d’un air des plus hautains. Plus il l'observait, plus elle le dégoutait, la trouvant de plus en plus laide et insupportable. Il se demandait pourquoi il ne l’a pas tué, depuis le temps, elle l’agaçait du plus haut point. Ah oui, il s’en souvenait. Elle n’en valait pas la peine, cette chose. L’homme tourna ses yeux vers Juka, et, en la regardant, ses traits s’adoucissent immédiatement. Ah oui, c’est vrai, c’était parce qu’il ne voulait pas faire de la peine à son trésor également. Bien que lorsqu’il voyait comment elle traitait sa belle progéniture, ses envies de meurtres s’intensifiaient. Il n’attendit pas une seconde de plus pour s’approcher de Juka, afin de s’agenouiller vers elle et lui caresser tendrement le visage, les cheveux, admirant chaque trait parfait de la petite, avant de la prendre tendrement dans ses bras.‘’ C’est fini, ma chérie. ‘’ Souffla le bel homme doucement à sa fille.‘’ Mais papa … Qu’est-ce que tu lui as fait ? ‘’ Demanda l’enfant, regardant sa mère, inquiète.‘’ Ne prêtes pas attention à elle, je lui ai lancé un genjutsu d’horreur, à l’aide de l’éclosion de Narcisse. Elle ne vaut même pas la peine que je lève ma main sur elle ‘’ Son regard s’assombrit. ‘’ Par contre, elle mérite bien cette punition, pour avoir osé lever la main sur toi, pour t’avoir parlé sur ce ton … Alors cela valait la peine que je dépense du chakra pour celle-là. On ne te fait pas du mal, un point c'est tout. ‘’ A cette pensée, ses phéromones s’intensifièrent, comme pour exprimer le mépris qu’il éprouvait à l’égard de cette femme, malgré que ce fût son épouse. Il ne l’a jamais aimé, jamais respecté. Il se maria avec elle uniquement pour pouvoir rester auprès de Juka, sachant qu’un enfant manquant un de ses parents était un enfant probablement malheureux. Il se moquait royalement de cette sorcière, osant martyriser la chair de sa chair, c’était comme si elle manquait de respect envers son mari. Elle l’aimait ? Foutaises, du moins pour Sono. De toutes façons, au final, il était bien indifférent envers les sentiments de sa femme. Juka sentit les phéromones de son paternel s’intensifier, et vit une teinte pourpre les enlacer, comme pour créer un bouclier. Evidemment, la petite était immunisée à ces pouvoirs, les ayant également, partageant le même sang que son père. Cependant, elle savait très bien que Aiyami était en train de subir un genjutsu des plus terrifiants, mélangé au chakra des phéromones, l’Eclosion de Narcisse développé pouvait être alors utilisé pour transformer les genjutsus à base de fantasmes pour le sexe opposé, en des genjutsus d’horreur, mettant en scène les choses les plus abominables, douloureuses, gores, que la victime subit. Une torture ignoble qui dure quelques minutes, voir secondes, mais dans la tête du pauvre malheureux cela dure des heures, voir des jours, et cela peut répercuter sur la santé physique de façon grave, voir mortelle. Une technique ignoble, sans pitié, redoutable, tant craignée, une des techniques montrant que les Kiyomizu étaient incroyablement forts. Et encore, vous n'avez pas encore vu le pire, la transformation héréditaire ... Et encore, il faut voir un membre de ce clan à l'oeuvre pour comprendre leur force ... Dans les bras de Sono, Juka l'enlaça mais regardait sa mère, immobile, versant silencieusement des larmes, le regard dans le vide. Le paternel sentit que son enfant ne bougeait pas vraiment et releva la tête pour la regarder, avant de tourner son regard vers Aiyami, en fronçant les sourcils. Non, il ne la supportait décidément pas. Sa vue le dégoûtait, se disant qu’une perfection telle que lui ne pouvait point être marié à un être si inférieur, si minable, maltraitant une partie de lui-même, rendant rien qu’avec sa présence le plus beau des paysages une laideur repoussante. Oui, à une époque, il la supportait, pensant qu’elle était ‘’baisable’’ comme il le disait, en réalité sa femme était des plus belles de Konoha, dôtée d’une beauté incroyable, mais aux yeux d’un homme profondément narcissique, la beauté de Aiyami était quelconque comparé au magnifique corps du descendant de Narcisse. Ah, la beauté de Sono était si importante, non seulement pour lui, mais également pour les humains qui avaient la chance de poser leurs yeux sur son visage sculpté dans les moindres détails, sans aucun défaut, ayant les gênes des Kiyomizu, préservant la perfection, ne le permettant jamais de vieillir ou d’avoir une quelconque cicatrice. Comme une beauté comme figée dans de la cire, éternelle, une beauté qui ne pâtira jamais face au temps ou la guerre, les êtres inférieurs aux Kiyomizu pâlissaient face à ce minois, que demander de plus pour ce jeune homme ? … Avoir le droit d’aimer vous dites ? Foutaises, il avait ce qu’il fallait, il partageait un amour profond avec son sublime reflet, ainsi qu’avec sa progéniture des plus magnifiques, reflétant bien la beauté de son clan. Ah, sa fille, son trésor, le seul être égalant sa perfection, atteignant un summun évident, il se voyait à travers son enfant, tel un reflet évident dans un lac … Non, il n’était point jaloux, il ne sentait aucune concurrence, pourquoi en ressentirait-il ? C’était comme s’il envierait son miroir d’être aussi sublime que lui, c’est d’un ridicule voyons ! Enfin presque. Oui, prochainement, Sono se disait qu’il devrait penser à se séparer d’Aiyami. Pour le bien de ses magnifiques yeux, mais également pour le bien de son enfant. Avant la naissance de Juka, il supportait cette femme, pouvant soulager ses pulsions sexuelles en elle. Mais à présent, tout ce qu’il voulait, c’était de vivre aux côtés de son amour, rien qu’avec elle, loin de ce monstre laid, pouvant admirer sa progéniture tous les jours, sans voir sur son minois des plus attendrissants un air triste lorsque sa mère le rejetait. C’était une bonne idée, jeter dehors Aiyami, pouvoir être le seul qui aura le droit de vivre avec sa Juka. Rien que lui, personne d’autre. Il ne la partageait pas, gare aux hommes qui allaient tourner autour d’elle ! Il se ferait un plaisir de leur montrer que son paternel était, jusqu’à ce jour, celui qu’il fallait pour cette perfection, pour la chair de sa chair. La seule personne pouvant toucher et prouver son amour profond à cette perle unique des plus magnifique, et ce chaque jour qu’ils allaient vivre. Son regard se reporta rapidement vers Juka, ne supportant décidément pas la vue de cette chose figée à cause du genjutsu. Son cœur fit un violent bond, voyant son amour en larmes, les faisant verser silencieusement le long de ses joues, le regard complètement vide. Cette vue … Etait la vue la plus insupportable pour Sono, ne tolérant pas voir son enfant mal, voulant de tout son cœur qu’elle soit heureuse chaque jour qui passait. Le sang et les morts l’indifféraient, ce n’étaient que de misérables cafards en moins dans ce monde … Et cette femme, cette garce … Elle osait, elle osait faire pleurer sa Juka ! Son regard, traduisant sa vive douleur qu’il ressentait voyant sa fille mal, changea, montrant clairement la haine qu’il ressentait envers Aiyumi, ne lui pardonnant pas de traiter sa progéniture de la telle sorte. Il avait … Exactement le même regard que Juka adulte sait si bien le faire lorsqu’elle essayait de contenir une colère bouillonante, mais celui de Sono était encore plus effrayant, d’autant plus glacial – alors que celui de Juka peut être déjà très intimidant -, faisant prendre peur les plus insensibles. Une aura énorme émanait de lui, l’aura d’un homme voulant de tout son cœur tuer une personne, il dégageait … Oui, il dégageait une aura très effrayante, faisant froid dans le dos de Juka. Ces yeux, elle ne les a vu que très rarement, lorsque quelqu’un s’en prenait à elle. Sono avait au final rien à faire ce que les autres pensaient de lui, à part sa fille. Tout simplement car il savait ce qu’il valait et que ce n’étaient pas les êtres pitoyables, inférieurs aux Kiyomizu, qui allaient le blesser avec des paroles absurdes et des plus inutiles. Mais oui, lorsqu’il s’agissait de son trésor, il pouvait très facilement partir au quart de tour. Mais jamais, jamais quelqu’un ne l’a mis dans un état pareil jusqu’à cette matinée-là. Une matinée qui s’annonçait très, très mal pour Sono, se sentant soudainement d’une humeur massacrante. Car, sachant son enfant très fier, comme toute personne de son clan, même lorsqu’elle était mal, elle contenait ses larmes et gardait la tête haute … C’était la première fois qu’il vit Juka pleurer. Ses dents se serrèrent, retenant le hurlement de son cœur voulant de toutes ses forces sortir. Dieu qu’il avait mal, jamais il n’aurait cru qu’il aurait autant mal. Fort heureusement pour certaines, son enfant ne lui ai jamais dit la maltraitance qu’elle subissait à l’école des kunoïchis, sachant très bien que son paternel serait prêt à faire un malheur, semant la terreur pour les châtier de s’en prendre à sa Juka. Retenant ses tremblements, il esquissa à la place un sourire des plus attendrissants à son amour, voulant de toute son âme la rassurer. Passant la main derrière la tête de la petite, il la tire vers lui pour lui déposer un baiser plein d’amour sur le front, avant de poser le sien contre, regardant sa fille droit dans les yeux.‘’ Ne pleures pas, ma chérie. ‘’ Fit Sono d’une voix grave et des plus douces, la voix qu’il prenait uniquement pour Juka. ‘’ Vas à l’école, je viens te chercher après tes cours, hein ? D’accord ? ‘’ ‘’ D’a .. D’accord ... ‘’ Répondit faiblement Juka. Vraisemblablement c’était la goutte de trop en ce qui concernait sa mère. ‘’ Mais … Annules le genjutsu papa, s’il te plaît … ‘’ ‘’ Hmmm … C’est bien parce que c’est toi qui me le demandes. ‘’ Finit par soupirer Sono, faisant comprendre que cette idée ne l’enchantait vraiment pas, voulant tout faire pour faire subir une crise cardiaque à Aiyami, ne supportant plus cette torture. Il passa sa main dans les cheveux de sa perle en douceur, avant de se relever, faisant comprendre à cette dernière de filer à l’école, avant que sa mère ne revienne à la réalité. Sa fille s’exécuta, mais avec un visage des plus vides, se retournant doucement afin de sortir du domicile en traînant les pieds. Pourquoi tant de haine … ? Alors qu’ils pourraient être une famille heureuse, sans amour pour Aiyami de la part de Sono, certes, mais ça aurait été un bonheur tout de même, elle en était sûre … Le descendant de Narcisse, redressé dans toute sa taille, les bras croisés, observa attentivement sa fille sortir de la maison, le cœur serré, car non seulement elle allait lui manquer durant cette journée, mais de plus, la voir partir avec une expression pareille sur son minois était des plus insupportables. Repensant à cette situation, le jeune homme se retourna brutalement, lançant un regard glacial à sa femme, et tout en continuation à la fixer de haut, sans bouger, il commanda ses phéromones qui se mirent à sortir soudainement des pores de la peau de Aiyami, alors qu’ils étaient complètement introduits pour s’emparer de son cerveau afin de la torturer, afin de lui faire subir ce genjutsu. Le corps de la femme se mit légèrement à bouger, et le regard à moitié vide, leva péniblement la tête, tremblante, pour regarder son mari.‘’ S … Sono … Chéri … ‘’ Murmura-t-elle d’une voix traduisant son état des plus instables, ne comprenant pas vraiment ce qui s’est passé. Elle revenait de loin après tout, d’un monde rempli de cauchemars des plus ignobles, se voyant attachée et devant elle, son mari qu’elle aimait tant la charcuter avec des gestes très lents, le fameux sourire moqueur en coin, tirant doucement ses nerfs afin de les sectionner de façon douloureuse, avant de lui enlever lentement sa peau, comme si on lui arrachait sa fourrure … Cela durait une éternité, elle hurlait de douleur, a cru mourir mais ressentait tout de même les atrocités qui étaient des plus douloureux, jusqu’à ce qu’elle sentit sa tête gonfler comme un ballon, sa boîte crânienne craquer de plus en plus avant que sa tête n’explose. De plus, quoi de pire de subir tout ceci, voyant que le tortionnaire n’était d’autre que son bien aimé, pour qui on a tout sacrifié rien que pour ses yeux ? Bien que, sans vous le cacher, Sono aurait bien voulu assouvir ce genre de désir sur elle dans la vie réelle. Aiyami était complètement sonnée, ne comprenant qu’à moitié ce qui se passait. Elle avait oublié Juka, oublié la scène qu’elle avait fait avant … Tout ce qui l’importait c’était son mari qui était en face d’elle, dès son retour dans la vie réelle. Elle grimaça soudainement, tombant sur ses fesses – dans le genjutsu, on lui a ouvert le genou afin de la faire souffrir, ainsi qu’en dessous de la cage thoracique, elle ressentait encore la douleur atroce la rendait presque folle, malgré qu’elle était dans la réalité déjà, la sensation était toujours présente, mais plus les images. La conséquence du genjutsu, la victime ressentait quelque temps après avoir subi les illusions les douleurs qui ont l’air réels, bien que ce ne soit point le cas. Cependant, la mère fixa son mari, ne le lâchant pas du regard. Elle voulait tant le prendre dans ses bras, le remercier d’être là, lui dire à quel point …* BAM ! * Même ce son horrible n’a pas pu s’empêcher de s’abattre sur la personne devant lui tant la colère l’égarait dans sa pensée.Aiyami, complètement sonnée, son corps se fit projeter violemment en arrière, frappant sa tête contre le mur de la pièce. Sono se redressa, gentiment, le poing serré et tremblant. Il venait de frapper sa compagne pour la première fois. D’habitude il se retenait, se disant que ce serait trop d’honneur pour elle de recevoir un coup de sa part, mais là, il a osé faire pleurer sa fille. Oui, SA fille, pas LEUR fille. Il n’y avait pas de mère, juste une porteuse aux yeux du descendant de Narcisse. Cette chose n’était rien qu’une porteuse et une ‘’videuse’’. Ses mots étaient décidément crus, mais il disait ce qu’il pensait, bien que cela pourrait s’avérer être ignobles, il s’en fichait, car il n’aimait personne à part lui et son enfant. Il était le seul d’avoir le droit de porter le titre en tant que ‘’parent’’ pour Juka, personne d’autre n’avait ce privilège, et ne l’aura jamais, et surtout pas Aiyami.‘’ Souillure. ‘’ Fit Sono d’une voix glaciale, plissant les yeux. ‘’ Tu as de la chance que mon trésor me demande de ne rien te faire, sinon je t’aurais déjà tué. J’espère qu’elle ne m’en voudra pas pour ce geste, mais Dieu que tu l’as mérité. ‘’ Il rajusta son kimono et se mit à marcher tranquillement vers la sortie, faisant glisser élégamment sa main le long des murs. ‘’ Ne t’avises plus à toucher à ma Juka. ‘’ Etait-ce au final utile ces mots ? Car Aiyami était inconsciente, son crâne laissait sortir un long fil de sang. Mais Ce n’était pas Sono qui allait l’aider, il en avait rien à faire. Qu’elle se débrouille !
A suivre ...